ECN1-3

Vous recevez à votre consultation de médecine générale Mme V., 52 ans, dont les antécédents comportent un diabète de type 2, une HTA, une dyslipidémie et un éthylisme chronique non sevré. Elle vous consulte pour un panaris de l’index gauche survenu après une manucure un peu trop intensive. Par argument de fréquence, quel est le germe probablement responsable de ce panaris ?
Staphylococcus aureus
Streptococcus pyogenes
Staphylococcus epidermidis
Trichophyton rubrum
Microsporum canis
Vous recevez à votre consultation un patient de 35 ans, paysagiste, que vous suivez régulièrement pour un diabète de type 1. Il vous avait consulté pour un panaris au niveau de l’auriculaire droit il y a deux semaines, mais il vous avoue n’avoir pas été très observant concernant les bains antiseptiques que vous lui aviez prescrits. Vous constatez à l’examen clinique une attitude en crochet de l'auriculaire, avec des signes inflammatoires au bord ulnaire. Quel est votre diagnostic topographique le plus probable ?
Phlegmon de la gaine digito-carpienne ulnaire
Phlegmon d'une gaine d'un doigt médian
Phlegmon de la gaine digito-carpienne radiale
Phlegmon à bascule
Phlegmon avec nécrose du tendon
Vous recevez à votre consultation une jeune femme de 27 ans. Elle est esthéticienne et n’a pas d’antécédents particuliers. Elle se plaint d’une douleur et d’une rougeur de l’annulaire gauche depuis quelques jours. Vous constatez à l’examen clinique une collection périunguéale avec des signes locaux d'inflammation, de la fièvre, une adénopathie épitrochléenne et un écoulement de pus en surface. Quel est le diagnostic le plus probable devant ce tableau ?
Panaris périunguéal collecté compliqué d'une fistulisation
Panaris périunguéal au stade inflammatoire
Panaris périunguéal au stade collecté
Panaris périunguéal collecté compliqué d'une ostéite
Panaris périunguéal collecté compliqué d'une arthrite
Phlegmon
Vous recevez en consultation un cuisinier en milieu scolaire de 45 ans sans antécédent particulier et présentant un phlegmon des gaines suite, apparemment, à un panaris négligé. Un traitement chirurgical avec mise à plat de la gaine est réalisé en urgence. En plus de la kinésithérapie et de l’éducation du patient, quelle prise en charge est la plus appropriée ?
Éviter traitement par AINS, vaccination antitétanique selon statut vaccinal et arrêt de travail
Éviter traitement par AINS, vaccination antitétanique selon statut vaccinal et poursuite du travail
Éviter traitement par AINS, vaccination antitétanique d’emblée et arrêt travail
Traitement par AINS, vaccination antitétanique selon statut vaccinal et poursuite du travail
Traitement par AINS, vaccination antitétanique d’emblée et poursuite du travail
Traitement par AINS, vaccination antitétanique d’emblée et arrêt travail
Vous recevez aux urgences une patiente de 48 ans sans antécédent particulier retrouvé à l’interrogatoire. Elle vous explique s’être fait mordre au niveau de la main droite par l’un de ses chats il y a plusieurs jours et qu’elle n’arrive désormais plus à bouger le pouce droit car le moindre mouvement est extrêmement douloureux. Vous constatez qu’elle présente un phlegmon de la gaine digito-carpienne radiale invalidant. Quel type d’antibiotique serait le plus approprié chez cette patiente ?
Cycline
Amoxicilline
Fluoroquinolone
Céphalosporine de 3ème génération
Co-trimoxazole
Vous recevez en consultation une jeune fille de 22 ans pour un renouvellement de contraception et elle vous signale qu'un de ses doigts la fait souffrir depuis quelques jours. Elle présente en effet des signes locaux d'inflammation en périphérie de l'ongle de son index gauche, avec une douleur modérée au cours de la journée. Vous remarquez que c'est une adepte de la manucure. Elle n'a pas de fièvre. Quel diagnostic est le plus probable ?
Panaris périunguéal au stade inflammatoire
Panaris périunguéal au stade collecté
Arthrite microcristalline
Arthrite septique
Ostéite
Phlegmon de la gaine des fléchisseurs au stade collecté
Phlegmon de la gaine des fléchisseurs au stade inflammatoire
Vous recevez en consultation une jeune fille de 22 ans pour un renouvellement de contraception et elle vous signale qu'un de ses doigts la fait souffrir depuis quelques jours. Elle présente en effet des signes locaux d'inflammation en périphérie de l'ongle de son index gauche, avec une douleur modérée au cours de la journée : vous posez le diagnostic de panaris périungéal au stade inflammatoire. Quelle prise en charge est la plus appropriée ?
Pansements et bains antiseptiques pluriquotidiens associés à des antalgiques
Traitement chirurgical seul
Traitement chirurgical associé à une antibiothérapie
Pansements et bains antiseptiques pluriquotidiens associés à des antalgiques et des antipyrétiques
Antibiothérapie par cyclines PO pendant 10 jours associée à des antalgiques
Vous revoyez à 48h une patiente traitée pour panaris périungéal. La situation de son doigt a empiré. Elle vous explique que malgré le traitement que vous lui avez prescrit, elle a progressivement eu de plus en plus de mal à étendre son doigt car cela lui provoquait une douleur importante et qu'il est à présent complètement bloqué. Vous constatez à l'examen que son index est très oedématié et forme un crochet irréductible. La paume de sa main présente également des signes locaux d'inflammation et vous retrouvez quelques adénopathies satellites.
Phlegmon de la gaine des fléchisseurs au stade collecté
Arthrite septique
Ostéite
Panaris périungéal au stade collecté
Panaris périunguéal au stade inflammatoire
Phlegmon de la gaine des fléchisseurs au stade inflammatoire
Rutpure tendineuse
Fasciite nécrosante
Vous recevez à votre consultation une femme de 45 ans. Ses antécédents comportent notamment un lupus érythémateux disséminé à l’âge de 25 ans sans autre poussée depuis. Ses constantes sont les suivantes : FC 80 ; TA 130/70 mmHg. Elle vous décrit des douleurs bilatérales des mains et des pieds. Quel élément lors de votre interrogatoire peut vous orienter vers une douleur de rythme inflammatoire ?
Douleur réveillant la nuit
Douleur maximale le soir
Douleur soulagée par le repos
Douleur augmentée à la palpation
Douleur calmée par du paracétamol
Une patiente de 51 ans consulte pour des douleurs articulaires des poignets et des chevilles évoluant depuis 8 semaines. Elle a un antécédent d’hypothyroïdie. À l’interrogatoire et à l’examen physique, vous suspectez une polyarthrite rhumatoïde. Vous décidez de prescrire un bilan d’auto-immunité. Lequel de ces anticorps recherchez-vous chez cette patient qui serait le plus en faveur du diagnostic de polyarthrite rhumatoïde ?
Anti-CCP
Anti-SSA
Anti-Centromère
Anti-DNA natif
Anti-Actine
Vous recevez en consultation M. Y., 48 ans, ingénieur en aéronautique. Il souffre d’une polyarthrite survenue brutalement il y a 6 mois et qui a débuté aux genoux, avec notamment un épisode de synovite qui a duré 7 semaines, pour toucher ensuite successivement les poignets et les articulations métacarpophalangiennes. Il se plaint également d’un enraidissement de plus en plus prononcé des épaules. M.Y. n’est que peu soulagé par les AINS et il vous explique qu’il se réveille la nuit à cause de la douleur et que ses articulations sont particulièrement raides le matin. Ses antécédents comportent un tabagisme à 42 paquets-année, une dyslipidémie et un angor d’effort. Votre examen clinique et les examens complémentaires vous font finalement poser le diagnostic de polyarthrite rhumatoïde. Lors des prochaines consultations, quel sera le score le plus adapté pour évaluer l’activité de cette polyarthrite rhumatoïde ?
DAS28
BASDAI
BASFI
BASMI
HAQ
Vous recevez en consultation Mme O., 53 ans, magistrate. Elle souffre d’une polyarthrite survenue brutalement il y a 5 mois et qui a débuté au niveau des 2ème et 3ème articulations métacarpophalangiennes de manière bilatérale, avec une raideur et un dérouillage matinal supérieur à 30 min. Elle se plaint également d’une déformation de ses doigts de plus en plus prononcée. Ses antécédents comportent une hypothyroïdie, une hystérectomie pour fibrome utérin il y a 3 ans, un asthme allergique depuis l’enfance et une hypertension artérielle traitée depuis cinq ans par irbésartan et hydrochlorothiazide. Elle ne fume pas et n’est pas ménopausée. Vous suspectez une polyarthrite rhumatoïde. Quel autre signe recherchez-vous qui serait le plus en faveur de ce diagnostic ?
Nodules sous-cutanés
Lombalgies inflammatoires
Aphtes buccaux
Rash maculo-papuleux
Spondylolisthésis
Alopécie
Vous recevez en consultation M. L., 55 ans, avocat. Il souffre d’une polyarthrite survenue brutalement il y a 5 mois et qui a débuté au niveau des 2èmes et 3èmes articulations métacarpophalangiennes de manière bilatérale, avec une raideur et un dérouillage matinal supérieur à 30 min. Il se plaint également de douleurs au niveau des chevilles. Ses antécédents comportent un vitiligo, une hypertension artérielle traitée depuis quatre ans par irbésartan et hydrochlorothiazide et un tabagisme à 40 paquets-année. Vous suspectez une polyarthrite rhumatoïde et demandez des clichés radiologique Main et poignet de face. Quelles autres incidences radiologiques sont les plus appropriés pour confirmer votre diagnostic ?
Pieds face + ¾ ; rachis cervical face + profil + bouche ouverte
Pieds face + profil ; genoux face + profil
Pieds face + profil ; rachis cervical face + profil
Pieds face + ¾ ; rachis cervical face + profil
Pieds face + profil ; rachis cervical face + profil + bouche ouverte
Pieds face + ¾ ; genoux de face + profil
Vous recevez à votre consultation Mme V., 51 ans, secrétaire de mairie. Elle ne fume pas et ses antécédents comportent une appendicectomie dans l’enfance, une hypothyroïdie, de l’arthrose lombaire et une fracture du col du fémur survenue lors d’un AVP il y a 15 ans. Elle est droitière et se plaint d’acroparesthésies douloureuses fréquentes de la main droite à type de fourmillements et d’engourdissement. Ces douleurs empirent la nuit et l’empêchent de dormir. Vous pensez à un syndrome du canal carpien. Quel test allez-vous utiliser au cours de votre examen clinique pour mettre en évidence une compression du nerf médian ?
Test de Phalen
Test de Hawkins
Test de Patte
Test de Jobe
Test de Gerber
Vous recevez à votre consultation M. F., 29 ans, guide de haute montagne. Il ne fume pas, a des antécédents de fractures du calcaneum et du scaphoïde suite à des chutes, et pratique l’escalade à un haut niveau. Il vous décrit une douleur de la cuisse et de la jambe droites, irradiant jusqu’ à la plante du pied, et qui se déclenche dès qu’il part marcher sur des chemins un peu difficiles. À l’examen clinique, le Lasègue est positif, la marche sur les talons est possible mais vous constatez qu’il est incapable de tenir sur la pointe des pieds. Le réflexe achilléen est aboli à droite. Quelle est la localisation anatomique la plus probable de la lésion ?
Racine S1
Racine L5
Racine L4
Racine L3
Racine L2
Vous recevez à votre consultation M. W., 39 ans, agent d’entretien. Il a des antécédents de luxations d’épaule multiples, systématiquement à droite. Il se plaint depuis quelques temps de difficultés à lever le bras droit, ce qui le gêne dans son travail, et de douleurs au niveau du moignon de l’épaule. Quelle est la localisation anatomique la plus probable de la lésion ?
Racine C5
Racine C4
Racine C6
Racine C7
Racine C8
Vous recevez à votre consultation M. T., 47 ans, chauffeur de poids-lourd. Il est porteur d’une valve mitrale suite à une endocardite il y a 8 ans. Il se plaint d’une douleur à la face antéro-externe de la cuisse droite et se prolongeant au bord antérieur de la jambe et au niveau de la malléole interne. Quelle est la localisation anatomique la plus probable de la lésion ?
Radiculalgie L4
Radiculalgie L3
Radiculalgie L5
Radiculalgie S1
Vous recevez à votre consultation M. R., 29 ans, déménageur, pour une lombalgie aiguë survenue après le port d’une charge lourde. À l’examen, vous retrouvez une douleur lors de l’extension passive de la jambe vers l’avant (signe de Lasègue positif), et lors de l’extension passive vers l’arrière (signe de Léri). Quel autre signe clinique recherchez-vous qui serait le plus en faveur du diagnostic de hernie discale ?
Signe de la sonnette
Signe du Tabouret
Signe de Tinel
Signe de Phalen
Signe de Lhermitte
Vous recevez aux urgences un jeune homme de 27 ans. Plus tôt dans la journée, il effectuait un déménagement jusqu'au moment où il ressentit une violente douleur au niveau de la fesse et de la cuisse. À l'interrogatoire, vous comprenez que la douleur de la fesse irradie jusqu'au bord externe du pied gauche le long de son 5ème orteil, en passant par la face postérieure de la cuisse et le creux poplité. Vous ressentez une contracture des muscles para-vertébraux au niveau du rachis. Il n'a pas d'antécédent particulier hormis une appendicectomie à l'âge de 16 ans. L'état général conservé. Sa température est de 37,5 °C, sa tension artérielle est de 126/84. Sa fréquence cardiaque est normale. Le reste de l'examen clinique est normal. Quel diagnostic est le plus approprié ?
Lombosciatique commune S1
Lombocrulagie symptomatique L4
Lombosciatique commune L5
Lombocruralgie commune L3
Une étiologie extra-rachidienne
Lombocrulagie commune L4
Lombosciatique symptomatique L5
Lombosciatique symptomatique S1
Mme A., 80 ans, est admise au service d’accueil des urgences pour diarrhée abondante et vomissements. Comme antécédents on retrouve une suspicion de tumeur du foie avec scanner injecté il y a deux semaines. Elle est sous bisphosphonates et diurétique thiazidique pour une hypertension connue. À l’examen vous retrouvez : poids 35 kg, taille 1,60 m, TA 100/62 mmHg, FC 110 bpm, saturation en oxygène 87%. Il existe un pli cutané persistant. La créatininémie sur un bilan prescrit par son nouveau médecin traitant était à 70 μmol/L il y a un mois. Le résultat du bilan biologique que vous demandez est le suivant : Na+ 145 mmol/L, K+ 2,4 mmol/L, créatinine 310 μmol/L, urée 28 mmol/L. Vous faites réaliser une échographie rénale de principe qui montre des cavités pyélocalicielles fines et sans dilatation.Quel type d'insuffisance rénale est le plus probable devant ce tableau ?
Insuffisance rénale aiguë et fonctionnelle
Insuffisance rénale aiguë et nécrose tubulaire aiguë due à la déshydratation
Néphropathie interstitielle due à la pénicilline
Insuffisance rénale par obstacle lithiasique sur une éventuelle hypercalcémie d'origine thiazidique
Néphropathie vasculaire sur un terrain d'HTA
Mme A., 80 ans, est admise au service d’accueil des urgences pour diarrhée abondante et vomissements. Comme antécédents on retrouve une suspicion de tumeur du foie avec scanner injecté il y a deux semaines. Elle est sous bisphosphonates et diurétique thiazidique pour une hypertension connue. À l’examen vous retrouvez : poids 35 kg, taille 1,60 m, TA 100/62 mmHg, FC 110 bpm, saturation en oxygène 87%. Il existe un pli cutané persistant.Quel élément serait le plus en faveur du diagnostic d’une insuffisance rénale aigue?
Une créatininémie de base normale
Une anémie arégénérative
Une hyperphosphorémie
Une hypocalcémie
Une petite taille des reins
Une hyperuricémie
Une HTA
Une acidose métabolique
Vous recevez en consultation un homme de 55 ans qui se plaint de difficultés à la miction. À l'interrogatoire, il vous explique que depuis quelque temps il a la sensation de devoir « pousser » pour uriner et il se plaint d'aller aux toilettes plus de 5 fois par jour. Il était au cinéma avec sa femme quand il a eu une envie soudaine et pressante d'aller uriner (« Seulement quelques gouttes sont sortie. »). Voici ce que vous notez dans un premier temps : température 37,8°C, TA 132/85 mmHg, 1,85 m pour 75 kg, antécédent de torsion testiculaire en 1980.Quel est la prochaine étape diagnostique la plus appropriée ?
Toucher rectal
Bandelette urinaire
Recherche d'une douleur lombaire
Dosage du PSA
Échographie réno-vesico-prostatique
Vous recevez un patient de 55 ans se plaignant de dysurie. La BU ne retrouve pas d'hématurie, de glycosurie, ni de signes d'infection urinaire. Le PSA est légèrement augmenté, la créatinémie est à 95 μmol/L. Vous lui faites une échographie réno-vésico-prostatique et vous retrouvez un résidu post mictionnel de 80 ml, ainsi qu'une légère dilatation des cavités pyélocalicielles non significative. La prostate est évaluée à 30g. Le patient est géné de manière modérée dans sa qualité de vie (IPSS = 15/35).Quelle prise en charge est la plus appropriée en première intention ?
Monothérapie par un alpha bloquant
Monothérapie par un inhibiteur de la 5-alpha réductase
Abstention thérapeutique
Bithérapie comprenant un alpha bloquant et un inhibiteur de la 5-alpha réductase
Monothérapie par un anti-cholinergique
Résection transurétrale de prostate
Incision cervico-prostatique
Vous recevez un patient de 55 ans se plaignant de dysurie : après évaluation clinique, vous mettez en place de l'Alfuzosine (Xatral) 1 cp le soir après le repas. Que recherchez vous en priorité avant de prescrire ce traitement ?
Antécédent d'hypotension orthostatique
Syndrome dépressif
Association avec un inhibiteur de l'alpha-réductase
Insuffisance rénale sévère
Insuffisance cardiaque chronique
Vous suivez un patient de 55 ans porteur d’hypertrophie bénigne de la prostate. Après un évolution défavorable, vous avez réalisé une prise en charge chirurgicale : l’intervention s’est déroulée sans complication, et vous laissez sortir le patient. A quel risque est le plus exposé ce patient à long terme ?
Éjaculation rétrograde
Sténose du col vésical
Incontinence urinaire
Dysfonction érectile
Prostatite
TURP syndrome
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