64) Vous revoyez en consultation Mr M, 35 ans pour bilan d’une anémie de découverte récente. L’examen clinique retrouve une tension artérielle à 105/75 mmHg, une fréquence cardiaque à 90/min. Le bilan biologique complémentaire retrouve : Hb: 11,2g/dL, VGM: 70fl, Réticulocytes: 70G/L Leucocytes: 5,7G/L sans anomalies à la formule, plaquettes: 234G/L, Ferritinémie: 60 (Normale : 50-200), CRP: 3. Compte tenu de ces résultats, quel examen à visée étiologique vous semble le plus approprié ?
Myélogramme
Electrophorèse de l'hémoglobine
Dosage vitamines B9 et B12
TSH
créatininémie
65) Vous voyez en consultation pré opératoire un patient de 30 ans sans antécédent particulier. A l’examen clinique la tension artérielle est à 125/80 mmHg avec une fréquence cardiaque à 65/min. Son bilan de coagulation retrouve un allongement du temps de céphaline avec activateur (TCA) avec taux de prothrombine (TP) normal. Quel dosage complémentaire allez-vous réaliser en priorité pour compléter le bilan ?
Facteur X
Protéine C
Facteur VII
Facteur XIII
Facteur VIII
66) Vous voyez en consultation un patient suivi pour un déficit sévère en facteur XIII. Son examen clinique retrouve : TA 130/80 mmHg, FC à 75/mi, température 37.2°C. Sur un bilan de coagulation, quel élément serait le plus en faveur de ce diagnostic ?
66) Vous voyez en consultation un patient suivi pour un déficit sévère en facteur XIII. Son examen clinique retrouve : TA 130/80 mmHg, FC à 75/mi, température 37.2°C. Sur un bilan de coagulation, quel élément serait le plus en faveur de ce diagnostic ?
Un temps de céphaline avec activateur allongé
Un taux de prothrombine normal
Un temps de saignement allongé
Un temps de thrombine allongé
67) Mr J, 51 ans est adressé par son médecin pour l'exploration d'anomalies biologiques découvertes de façon fortuite. Il n'a pas d'antécédent notable.Il est agriculteur, fumeur à 15 paquets-année non sevré. L’examen clinique retrouve : TA 115/80 mmHg, FC 80/min, température 37.1°C. Le bilan biologique retrouve : Hb 11g/dL, VGM: 90fl, Leucocytes: 4,5G/L dont polynucléaires neutrophiles: 3,4G/L, plaquettes: 55G/L. Quel examen complémentaire faites-vous en priorité?
Myélogramme
Dosage des vitamines B9 et B12
Biopsie ostéo-médullaire
Ferritinémie
Test de Coombs
68) Vous diagnostiquez une HTA modérée chez un homme de 55 ans. Son examen clinique retrouve une tension artérielle à 165/90 mmHg sans autre anomalie. Quel examen complémentaire est le plus approprié en première intention pour évaluer les conséquences de cette pathologie chez ce patient ?
Echocardiographie
ECG
Radio de thorax
Echographie abdominale
Fond d'oeil
69) Vous recevez à votre cabinet une femme âgée de 65 ans, diabétique non insulinodépendante depuis 15 ans, pour l’apparition d’une dyspnée. Celle-ci est apparue tout d’abord pour des efforts importants puis maintenant au moindre geste. A l’examen physique vous retrouvez : PA 100/60 mmHg, pouls 75/min, T° 37,3°C, Sp02 94%. Quel est le meilleur examen complémentaire à réaliser pour confirmer une insuffisance cardiaque gauche et orienter vers une étiologie ?
Echographique cardiaque
Radiographie thoracique
Epreuve d’effort
Dosage biologique du BNP
Scintigraphie myocardique
70) Vous recevez en consultation un homme de 63 ans pour réalisation d'un bilan préopératoire. Il n'a pas d'antécédent particulier en dehors d'une notion de ''mort subite'' dans la famille sans autre précision. Son examen clinique est normal en dehors d'une pression artérielle élevée à 150/100 mm Hg, pouls 60/min. Il ne prend pas de traitement médicamenteux. Vous lui réalisez un électrocardiogramme que vous interprétez. Quelle l’étiologie la plus probable?
Myocardiopathie dilatée
Myocardiopathie valvulaire
Myocardiopathie hypertrophique
Myocardiopathie rythmique
Myocardiopathie ischémique
71) Vous êtes appelé au domicile d’un homme âgé de 78 ans, alité depuis plusieurs jours en raison d’une lombalgie invalidante. A l’examen clinique, le patient est polypnéique, il se plaint d’une douleur basi thoracique droite. Les constantes sont le suivantes : PA 100/50 mmHg, pouls 100/min, T° 37,8°C, FR 28/min. Quel est le meilleur examen à réaliser en première intention pour confirmer le diagnostic le plus probable ?
Angio-scanner thoracique spiralé
Angiographie pulmonaire
Scintigraphie pulmonaire de ventilation/perfusion
Echographie-doppler des membres inférieurs
Echographie cardiaque trans thoracique
72) Un patient âgé de 57 ans, opéré d'une gastrectomie pour adénocarcinome il y a 6 mois, présente depuis quelques semaines des tremblements et des sueurs accompagnés d’une sensation de malaise, cédant au resucrage, survenant toujours dans les 2 heures suivant ses repas et sans signes de neuroglucopénie. Quelle démarche vous paraît la plus appropriée à la situation ?
Rassurer le patient, il s’agit d'hypoglycémies fonctionnelles
Rechercher une néoplasie endocrinienne multiple par un bilan hypophysaire
Doser l'insulinémie à 8H le matin pour écarter toute organicité
Pratiquer une imagerie abdominale pour écarter une lésion organique
Réaliser une épreuve de jeûne pour rechercher un hyperinsulinisme
73) Une patiente âgée de 73 ans consulte à votre cabinet dans le cadre du suivi annuel de son diabète. Celui-ci est bien équilibré sous régime associé à de la metformine, avec une Hb glyquée à 6,5%. Quels examens complémentaires systématiques (une fois par an au moins) sont les plus appropriés pour le dépistage de la microangiopathie?
Fond d'oeil, échographie rénale et échographie cardiaque de repos
Electrocardiogramme de repos, échographie cardiaque et épreuve d'effort
Electrocardiogramme de repos, microalbuminurie des 24H et électroneuromyogramme
Electrocardiogramme de repos et doppler artériel fémoral, carotidiens
Fond d'oeil, microalbuminurie des 24 H et clairance de la créatinine
74) Vous suivez une jeune patiente âgée de 30 ans en consultation, dans le cadre de la découverte d'une insuffisance surrénalienne lente sur un bilan d'asthénie. En dehors de l’asthénie celle-ci n’a pas de plainte. Ses constantes sont les suivantes : PA 92/50, pouls 50/min, T°36,1. Quel examen complémentaire vous permet le mieux d'orienter le bilan étiologique?
Test au synacthène
IRM hypophysaire
Scanner surrénalien
Anticorps anti 21 hydroxylase
Dosage de l'ACTH
75) Un homme de 48 ans consulte aux urgences pour des vomissements de sang rouge de faible abondance depuis 2 jours. A l’examen physique, vous retrouvez un abdomen ballonné, une circulation veineuse collatérale et une gynécomastie. Ses constantes sont les suivantes : PA 105/60 mmHg, pouls 70/min, T° 36,9°. Vous décidez de réaliser une endoscopie. Quel situation CONTRE INDIQUERAIT le plus la réalisation de cet exame ?
Une perforation gastrique
Une instabilité hémodynamique
Un trouble de l’hémostase
Une altération de la conscience
Une dysphagie haute
76) Un patient âgé de 32 ans consulte aux urgences de l’hôpital pour des douleurs abdominales violentes depuis quelques heures. Il n’a pas d’antécédents particuliers. A l’examen, il semble prostré par la douleur. Son abdomen est très tendu avec une défense généralisée. Ses constantes sont les suivantes : PA 100/85, pouls 130/min, T° 38,8. Devant une douleur abdominale avec syndrome péritonéal quel est le meilleur examen à faire réaliser ?
Une échographie abdominale
Un abdomen sans préparation
Un scanner abdominal
Une coelioscopie exploratrice
Une coloscopie courte
77) Aux urgences, vous examinez un jeune patient de 22 ans, se plaignant d’une diarrhée à 5 selles aqueuses par jour depuis 48 heures. L’examen physique ne retrouve pas de signe de déshydratation sévère. Les constantes sont les suivantes : PA 125/65 mmHg, pouls 85/min, T° 38,2°. Quel meilleur examen mettra en évidence le pathogène du choléra ?
Une sérologie
Une hémoculture
Une coproculture
Un examen parasitologique des selles
Une antigénurie
78) Vous voyez en consultation de chirurgie, un patient de 70 ans adressé pour hernie crurale droite. Il est suivi pour un diabète non insulino dépendant. A l’examen clinique, la tension artérielle est à 130/90 mmHg, et la fréquence cardiaque à 75/min. A la palpation, la hernie est indolore, souple et réductible. Quelle est la prochaine étape de votre prise en charge?
Scanner abdomino-pelvien
Echographie des orifices herniaires
Surveillance clinique simple
Radiographie standard de l’abdomen sans préparation
Coloscopie
79) Vous suivez un enfant de 2 ans présentant des douleurs abdominales récentes (< 48 heures), avec fièvre, sans anomalie   la palpation (hormis une sensibilité diffuse) pour lesquelles une échographie abdominale a déj  été effectuée, normale. Quel examen complémentaire est le plus approprié pour avancer dans le diagnostic étiologique ?
Radiographie thoracique
Lipasémie
Scanner abdominal
Abdomen sans préparation
Bandelette urinaire
80) Aux urgences, vous examinez une jeune fille de 14 ans se plaignant de douleurs abdominales continues avec vomissements depuis 3 jours. Cette jeune patiente, myopathe, a subi la pose d’une gastrostomie il y a 7 jours en raison de fausses routes répétées. La palpation abdominale retrouve une défense généralisée. Vous faites réaliser un cliché radiologique, ci-joint. Quel est le diagnostic le plus probable?
Un syndrome alvéolaire à droite
Une péritonite généralisée
Un pneumopéritoine bilatéral
Un syndrome bronchique à gauche
Un syndrome occlusif grêlique
81) Vous faites réaliser un scanner cérébral non injecté, ci-joint,   un enfant de 6 ans suivi pour une aplasie médullaire idiopathique profonde évoluant depuis 3 mois (GB < 0,5 G/L, plaquettes < 20 G/L) et qui vient tout juste d'être admis en réanimation pédiatrique pour état de mal épileptique. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Un accident vasculaire cérébral
Une hémorragie intracérébrale
Une tumeur intracranienne
Un abcès intracranien
Une méningoencéphalite
82) Vous prenez en charge un patient de 61 ans présentant une dengue hémorragique avec epistaxis. Ses constantes sont les suivantes : PA 110/60 mmHg, pouls 95/min, T° 38,6° Sp02 91 %. Il existe une thrombopénie modérée à 87 000/mm3 sur la formule sanguine. Vous demandez une radiographie pulmonaire devant la légère désaturation associé à une polypnée à 28/min. Quel est le diagnostic le plus probable?
Oedème lésionnel
Pneumopathie bactérienne
Hémorragie intra alvéolaire
Oedème cardiogénique
Epanchement pleural
83) Vous voyez en consultation d’oncologie un patient de 70 ans pour le bilan étiologique d’une lésion hépatique unique. Il s’agit d’un patient aux antécédents de cirrhose. A l’examen clinique tension artérielle à 110/75 mmHg, fréquence cardiaque à 65 /min. A la palpation abdominale, vous retrouvez une hépatomégalie à 3 travers de doigts. Vous réalisez un dosage de marqueurs tumoraux complémentaires. Quel marqueur tumoral sera le plus probablement augmenté ?
CA 15-3
AFP
NSE
Béta HCG
PSA
84) Vous voyez en consultation de dépistage du cancer du col de l’utérus une patiente de 38 ans. Elle a déjà eu 2 grossesses avec un garçon âgé de 8 ans et une fille âgée de 5 ans. Elle n’a pas de symptomatologie clinique particulière. A l’examen clinique le toucher vaginal est normal. Parmi les propositions suivantes, quel résultat du frottis cervical vous semble le plus probable ?
Lésion de type carcinome épithélial
Lésion de type adénocarcinome
Infection à VIH
Infection à gonocoque
Infection à HPV
 
85) Un patient de 65 ans est hospitalisé dans votre service pour neutropénie fébrile après son 2e cycle de chimiothérapie pour un cancer du poumon. A l’examen clinique, la température est à 38°C, la tension artérielle est à 115/70 mmHg avec une fréquence cardiaque à 80/min. Le laboratoire vous appelle pour vous informer que les hémocultures périphériques sont positives en 12 H avec des Cocci gram positifs en amas. Quel germe suspectez-vous en priorité ?
Pneumocoque
Staphylocoque
Méningocoque
Entérocoque
Gonocoque
1) Vous prenez en charge en réanimation Monsieur P, 40 ans présentant une méningoencéphalite à pneumocoque avec Coma initial. Le patient est maintenant extubé. 4h plus tard il est somnolent de nouveau, bradypnéique, hypotonique. Sa saturation est de 94%. Quel prise en charge est le plus approprié en urgence ?
Contention
N-acétylcystéine
Flumazenil
Intubation
Naloxone
2) Vous prenez en charge une patiente retrouvée chez elle dans le coma, entourée de comprimés de Trycicliques. A l’arrivée en réanimation, elle présente un trouble de conscience, mydriase bilatérale, crises cloniques, syndrome pyramidal. L'ECG déroule une tachycardie sinusale, des QRS à 200 ms, PR régulier à 140ms, des ondes T plates. Sa tension est symétrique à 80/40 mmHg. Quel est le traitement le plus adapté ?
Glucagon IV
Bicarbonate de sodium molaire
Hydratation par cristalloides
Dobutamine IVSE
Atropine IV
3) Vous recevez aux urgences un patient de 67 ans présentant une douleur rétro-sternale en barre irradiant dans la mâchoire depuis 45 min. Vous retrouvez les constantes suivantes : FC 80 bpm ; TA 120/75 mmHg aux deux bras ; FR 18 ; saturation 98 % en AA. L’ECG réalisé montre un sus-décalage du ST convexe vers le haut en V7-V8-V9. La coronarographie réalisée retrouve une sténose importante de l’artère circonflexe. Il est donc décidé de poser un stent actif dans le même temps. Le patient ressort de l’hôpital quelques jours plus tard avec notamment une bithérapie antiplaquettaire. Une pose de prothèse de hanche était prévue de longue date chez ce patient deux semaines plus tard. Quelle serait la meilleure conduite à tenir concernant cette intervention ?
Différer l’opération et attendre au moins 3 mois
Différer l’opération et attendre au moins 6 mois
Différer l’opération et attendre au moins 9 mois
Différer l’opération et attendre au moins 12 mois
Différer l’opération et d’attendre au moins 18 mois
4) Vous recevez un patient de 54 ans présenant des malaises à répétition. D'après les résultats de vos examens, vous suspectez un bloc auriculo-ventriculaire du 3ème degré asymptomatique. Quel traitement de 1ère intention devez-vous envisager en priorité?
Pacemaker
Isoprénaline en perfusion continue
Atropine à la dose de 0,5 mg par voie intraveineuse directe
Sonde d’Entrainement Electro-Systolique
Aucun
5) Vous recevez un monsieur de 65 ans aux urgences. Il est admis pour hallucinations auditives et visuelles ainsi que pour agressivité. À l'examen clinique, vous remarquez un globe vésical. Après votre toucher rectal, vous pensez à une origine iatrogène. Vous récupérez son ordonnance. Quel est le médicament est le plus probablement responsable selon vous de ce globe vésical ?
INEXIUM (Ésoméprazole) 20 mg le soir
LOPRIL (captopril) 75 mg le matin
LAROXYL (amitriptyline) 100 mg le soir
TAHOR (atorvastatine) 80 mg le soir
CARDENSIEL (bisoprolol) 10 mg le matin
6) Vous prenez en charge un garçon de 1 an pour douleur abdominale aiguë. L’abdomen est douloureux et météorisé, sans défense. TA 110/80, pouls 80/mn, temp 37,4. Le bilan biologique retrouve une hyperleucocytose modérée (GB 14000). L’échographie abdominale retrouve un boudin d’invagination. Quel est le traitement le plus approprié en première intention?
Traitement antalgique
Lavement aux hydrosolubles
Désinvagination chirurgicale
Résection de l'anse intestinale
Coloscopie interventionnelle
7) Vous accueillez aux urgences un patient de 66 ans, pour douleur abdominale et arrêt des matières et des gaz depuis 48h. Il n'a aucun antécédent notable hormis une appendicetomie apr Mac burney dans l'enfance, mais se plaint de troubles du transit et à type de diarrhée/constipation depuis 3 mois. Vous suspectez un cancer colo-rectal compliqué d’occlusion. Quel traitement en urgence vous semble le plus adapté ?
Traitement chirurgical avec remise en continuité non protégée par une stomie
Traitement chirurgical par stomie d'amont
Coloscopie avec pose d'une prothèse endocolique
Mise en place d'un tube de Faucher
Traitement médical avec mise à jeun, aspiration digestive par sonde nasogastrique
8) Vous prenez en charge un garçon de 6 ans, sans antécédents pour douleur abdominale aiguë en fosse iliaque droite ayant débuté la veille. L'examen clinique du patient est le suivant : TA=90/55 mmHg, Fc=110/min, SaO2 = 95%. L'examen clinique est sans particularité notable en dehors d'une paleur cutanéo-muqueuse et d’une défense en fosse iliaque droite. Le patient vous signale des douleurs abdominales post-prandiale depuis 48h. Quelle prise en charge vous paraît la plus adaptée ?
Antibiothérapie sans chirurgie
Antibiothérapie puis chirurgie à froid
Chirurgie immédiate sans antibiothérapie associée
Chirurgie immédiate avec antibiothérapie pendant 48h
Chirurgie immédiate avec antibiothérapie pendant 5j
9) Vous prenez en charge une fillette de 9 ans pour douleur abdominale en fosse iliaque droite. TA 110/80, pouls 60/mn, temp 38,6. Vous suspectez une appendicite aiguë. Vous demandez un bilan biologique et d’imagerie afin de confirmer votre diagnostic et de rechercher d’éventuelles complications. Lequel de ces tableaux vous ferait opter pour une prise en charge médicale en première intention ?
Appendicite aiguë non compliquée
Abcès appendiculaire
Appendicite aiguë rétro-caecale
Péritonite aiguë généralisée
Plastron appendiculaire
10) Vous êtes devant un patient de 50 ans présentant des douleurs abdominales sus pubienne, asthénie, altération de l'état général, nausées et des épisodes de fièvre. Il y a une heure il a présenté une douleur abdominale brutale et un abdomen péritonéal. L’évolution initiale est défavorable, et le patient est traité par noradrénaline et dobutamine pour un choc septique. Quelle prochaine étape de votre prise en charge est la plus appropriée ?
TDM abdominopelvien en urgence
Début d'une épuration extrarénale
Laparotomie en urgence
Elargissement de l'antibiothérapie
Stabilisation puis TDM abdominopelvien
11) De garde en réanimation-chirurgicale, vous recevez en début d'après-midi un patient de 27 ans héliporté par le SMUR suite à un AVP en moto. Il a percuté une voiture de face en se déportant dans un virage. Il a un trauma au niveau du membre inférieur droit et l'équipe du SMUR l'a transporté avec une attelle de Donway. Les radios des membres montrent une fracture fémorale diaphysaire simple à droite, avec un trait de fracture situé dans les 2/4 moyens. Quel est le traitement le plus approprié pour sa fracture?
Ostéosynthèse par plaque
Enclouage centro-médullaire à foyer fermé
Enclouage verrouillé ou claveté
Enclouage élastique selon la technique de Métaizeau
Fixateur externe
12) Vous recevez en urgence au bloc un patient pour AVP. Sa remorque lui a comprimé les membres inferieurs pendant 6h environ et a provoqué 1 fracture tibiale gauche ouverte. Un garrot est mis en place par l'urgentiste à heure 0. Le patient vomit pendant l'intubation en séquence rapide. Vous pensez prévenir une possible pneumopathie d'inhalation. Quel antibiotique est le plus approprié ?
Tazocilline
Augmentin
Cefepime
Ceftriaxone
Augmentin + Métronidazole
13) Vous êtes anésthesiste au bloc opératoire, pendant la prise en charge d’une patiente de 34 SA avec mise en place de péridurale. Elle présente soudain un passage en FV. Quelle est la suite de la prise en charge la plus appropriée ?
Corticothérapie foetale
Hypothermie thérapeutique précoce
Mise en décubitus latéral gauche
Glucagon 1mg
CEE biphasique 150j
14) Une femme de 29ans présente une angine aiguë. Le test de diagnostic rapide pour la détection du streptocoque du groupe A est positif. Elle n'a pas d'antécédent particulier ni d'allergie. Quel est le traitement de référence pour cette angine ?
Amoxicilline 50mg 2 fois/jour pendant 6 jours
Cefpodoxime-proxétil 100mg 2 fois/jour pendant 5 jours
Azithromycine 200mg/jour pendant 3 jours
Amoxicilline 1g 2 fois/jour pendant 6 jours
Ofloxacine 200mg 2 fois/jour pendant 5 jours
15) Un enfant de 5ans présente une infection à Mycoplasme dont l'antibiogramme est le suivant: sensible à la tétracycline, sensible à la ciprofloxacine, intermédiaire à l'ofloxacine, intermédiaire à la rifampicine, résistant à l'érythromycine. Quel antibiotique est le plus approprié pour ce patient ?
Tétracycline
Ciprofloxacine
Ofloxacine
Rifampicine
Erythromycine
16) Vous recevez la famille d'un enfant de 7ans qui a présenté une méningite à méningocoque. Quel traitement antibiotique est le plus approprié pour les membres de sa famille ?
Pénicilline G
Fosfomycine
Ofloxacine
Gentamycine
Rifampicine
17) Une femme de 23 ans présente pour la première fois des brulures mictionnelles. Elle n'a pas d'antécédent particulier ni d'allergie. Quel est votre traitement de 1ère intention ?
Fluoroquinolone en prise unique
Nitrofurantoïne pendant 5 jours
Fosfomycine trométamol en prise unique
Céfixime pendant 5 jours
Fluoroquinolone pendant 3 jours
18) Vous recevez une patiente de 23 ans présentant une pyélonéphrite aiguë simple. Elle a eu une cystite traitée par ofloxacine il y a 6 semaines. Elle n’a pas d’autre antécédent connu. Quel est votre choix d'antibiothérapie probabiliste ?
Céphalosporine de 3ème génération orale
Fosfomycine trométamol par voie orale
Pénicilline par voie intraveineuse
Fluoroquinolone par voie orale
Céphalosporine de 3ème génération intraveineuse
19) Vous recevez une patiente de 23 ans présentant une pyélonéphrite aiguë simple. Elle a eu une cystite traitée par ofloxacine il y a 6 semaines. Elle n’a pas d’autre antécédent connu. Vous mettez en place un traitement par Céphalosporine puis un relai par antibiothérapie orale. Quelle est la durée du traitement la plus appropriée si l'évolution est favorable ?
3 jours
5 à 7 jours
10 à 14 jours
3 semaines
4 à 6 semaines
20) Vous recevez une patiente de 23 ans présentant des infections urinaire à répétition. Il est décidé de mettre en place un traitement antibioprophylactique par sulfaméthoxazole – triméthoprime. Quel prescription est la plus appropriée pour éviter les effets secondaires de ce traitement ?
Traitement par bicarbonate de sodium
Supplémentation en fer
Supplémentation en acide folinique
Supplémentation en vitamine B6
Apport hydrique > 2L par jour
21) Un patient de 41 ans vous consulte pour un lumbago. Vous décidez de prescrire de l'ibuprofène comme anti-inflammatoire non stéroïdien pour traiter ses lombalgies. Quelle est la posologie la plus appropriée ?
50mg/jour en 1 prise
50mg x3/jour
400mg/jour en 1 prise
400mg x3/jour
1g x3/jour
22) Une femme de 38ans, primipare, présente une menace d'accouchement prématuré. Quelle molécule est la plus appropriée pour la maturation pulmonaire foetale ?
Prednisone
Méthylprednisolone
Ibuprofène
Bétaméthasone
Acide tiaprofénique
23) Une patiente de 84 ans est mise sous corticothérapie pour une maladie de Horton révélée par une neuropathie optique ischémique antérieure aiguë de l'oeil gauche. Elle a eu des bolus intraveineux de corticoïdes pendant 3 jours. Vous débutez une corticothérapie orale. Quelle prescription est la plus appropriée ?
Prednisone 1mg/kg/jour
Prednisone 10mg/kg/jour
Prednisone 100mg/kg/jour
Prednisone 1g/kg/jour
Prednisone 1mg/jour
24) Une patiente de 84 ans est mise sous corticothérapie pour une maladie de Horton révélée par une neuropathie optique ischémique antérieure aiguë de l'oeil gauche. Elle a eu des bolus intraveineux de corticoïdes pendant 3 jours. Vous débutez une corticothérapie orale. Quelle supplémentation est la plus appropriée dans ce cas ?
Bicarbonate de sodium
Fluor
Potassium
L-thyroxine
Oméga 6
25) Une patiente de 84 ans est mise sous corticothérapie au long cours pour une maladie de Horton. Une ostéodensitométrie est réalisée, le T-score est à -1,7 au niveau de la hanche et -1,6 au niveau du rachis L2-L4. La patiente est déjà supplémentée en vitamine D et a des apports calciques suffisants. Elle n'a jamais eu de fracture. Quelle prise en charge est la plus appropriée?
Instauration d'un traitement par tériparatide
Instauration d'un traitement par bisphosphonate
Instauration d'un traitement hormonal substitutif de la ménopause
Instauration d'un traitement par raloxifène
Instauration d'un traitement par ranélate de strontium
26) Vous devez traiter une hypertension artérielle secondaire chez une patiente de 49ans chez qui un bilan a retrouvé une hyperplasie bilatérale des surrénales. Quel traitement antihypertenseur est à privilégier dans cette situation ?
Bisoprolol
Hydrochlorothiazide
Spironolactone
Ramipril
Amlodipine
27) Un patient de 73ans a présenté il y a 3 semaines un infarctus du myocarde qui a été pris en charge de façon rapide et adaptée. Vous poursuivez l'aspirine en prévention secondaire de la coronaropathie. Quelle est la prescription la plus appropriée pour la dose d'aspirine ?
10 mg/kg/jour
10mg/jour
75mg/kg/jour
75mg/jour
500mg/kg/jour
28) Un patient de 69ans a présenté un syndrome coronarien aigu il y a quelques jours. Vous mettez en place un traitement anti-aggrégant plaquettaire. Quelle est la durée est la plus appropriée pour ce traitement ?
Au moins 15 jours
Au moins 1 mois
Au moins 3 mois
Au moins 6 mois
Au moins 1 an
29) Une patiente de 64 ans est admise aux urgences pour une douleur du mollet gauche d'apparition aiguë. Vous retrouvez à l'examen un oedème du mollet gauche prenant le godet et une douleur à la palpation. Elle a pour antécédents une hypertension artérielle bien équilibrée sous IEC + inhibiteur calcique. Elle porte une attelle depuis 8 jours pour une entorse de la cheville gauche. TA 120/80, pouls 110/mn, temp 38,2. L’échographie-doppler met en évidence une thrombose veineuse profonde distale. Quelle durée de traitement anticoagulant est la plus adaptée chez cette patiente?
3 semaines
6 semaines
3 mois
6 mois
2 ans
30) Vous prescrivez du paracétamol à un enfant de 3 ans pour de la fièvre. Quelle est la prescription la plus appropriée ?
15mg/kg/6h en sirop
100mg/kg/6h en sirop
60mg/kg/6h en sirop
7,5mg/kg/6h en sirop
15mg/kg/6h en comprimé
31) Vous hospitalisez un enfant de 6 mois pour une gastro-entérite avec vomissements abondants et déshydratation. Quelle est la prescription de paracétamol par voie intraveineuse la plus appropriée ?
60mg/kg/6h
30mg/kg/6h
100mg/kg/6h
7,5mg/kg/6h
50mg/kg/6h
32) Vous décidez de prescrire du tramadol chez un patient de 36ans présentant des douleurs post-opératoires non soulagées par du paracétamol. Quelle est la prescription la plus appropriée ?
5mg toutes les 6h
50mg toutes les 6h
200mg toutes les 6h
500mg toutes les 6h
50mg toutes les 3h
33) Vous décidez de faire un relais intraveineux pour une prescription de morphine chez un patient traité pour des douleurs chroniques résistantes aux autres classes d'antalgiques, qui était équilibré avec 60mg/j de morphine par voie orale. Il ne peut plus prendre ses médicaments per os en raison de vomissements. Quelle est la prescription la plus appropriée pour la dose totale quotidienne de morphine par voie intraveineuse ?
5mg/j
10mg/j
20mg/j
30mg/j
0mg/j
34) Vous prenez en charge dans votre service d'oncologie un patient de 71 ans atteint d'un cancer de la prostate métastatique au niveau osseux. Il signale des douleurs lombaires évaluées à EN = 3/10 malgré la prise de paracétamol. Vous décidez de la prescription de tramadol LP par voie orale. Quelle posologie est la plus adaptée en première intention ?
1g toutes les 12h
15mg toutes les 6h
100 mg toutes les 12h
1g toutes les 6h
5 mg toutes les 4h
35) Vous prenez en charge dans votre service d'oncologie un patient de 71 ans atteint d'un cancer de la prostate métastatique au niveau osseux. Il signale des douleurs lombaires évaluées à EN = 3/10 malgré la prise de paracétamol. Vous décidez de la prescription de tramadol LP par voie orale. A quel risque est le plus probablement exposé ce patient en raison de ce traitement?
Diarrhée
Vertiges
Rétention aiguë d'urine
Cytolyse hépatique
Tachycardie
36) Vous prenez en charge dans votre service d'oncologie un patient de 71 ans atteint d'un cancer de la prostate métastatique au niveau osseux, avec une fracture vertébrale de T10 à l'origine de douleurs importantes non soulagées par les antalgiques usuels. Vous décidez d'initier un traitement par morphine par voie intraveineuse. Quelle posologie est la plus adaptée en première intention ?
Sulfate de morphine 0,1 mg/kg
Sulfate de morphine 1 mg/kg
Sulfate de morphine 10 mg/kg
Chlorhydrate de morphine 0,01 mg/kg
Chlorhydrate de morphine 0,1 mg/kg
37) Vous prenez en charge dans votre service d'oncologie un patient de 71 ans atteint d'un cancer de la prostate métastatique au niveau osseux, avec une fracture vertébrale de T10 à l'origine de douleurs importantes non soulagées par les antalgiques usuels. Vous décidez d'initier un traitement par morphine par voie intraveineuse. Quelle posologie des bolus est la plus appropriée lors de la titration ?
0,05 mg toutes les 5 minutes
0,2 mg toutes les 5 minutes
0,5 mg toutes les 5 minutes
2 mg toutes les 5 minutes
0,05 mg toutes les heures
38) Vous vous occupez en salle de naissance d'une patiente de 39 ans, G3P2. Le déroulement de la de l’accouchement est sans complication, la délivrance dirigée a lieu dans les 10 minutes. Il existe cepedant un filet de sang persistant, vous faisant poser le diagnostic d’hémorragie du post partum. Un traitement par ocytocine est mis en place avec massage utérin. 15 minutes plus tard, le saignement persiste. Quel traitement est le plus approprié ?
Carbétocine
Sulprostone
Acide traxénamique
Methylergométrine
Atosiban
34) Vous prenez en charge dans votre service d'oncologie un patient de 71 ans atteint d'un cancer de la prostate métastatique au niveau osseux. Il signale des douleurs lombaires évaluées à EN = 3/10 malgré la prise de paracétamol. Vous décidez de la prescription de tramadol LP par voie orale. Quelle posologie est la plus adaptée en première intention ?
1g toutes les 12h
15mg toutes les 6h
100 mg toutes les 12h
1g toutes les 6h
5 mg toutes les 4h
35) Vous prenez en charge dans votre service d'oncologie un patient de 71 ans atteint d'un cancer de la prostate métastatique au niveau osseux. Il signale des douleurs lombaires évaluées à EN = 3/10 malgré la prise de paracétamol. Vous décidez de la prescription de tramadol LP par voie orale. A quel risque est le plus probablement exposé ce patient en raison de ce traitement?
Diarrhée
Vertiges
Rétention aiguë d'urine
Cytolyse hépatique
Tachycardie
36) Vous prenez en charge dans votre service d'oncologie un patient de 71 ans atteint d'un cancer de la prostate métastatique au niveau osseux, avec une fracture vertébrale de T10 à l'origine de douleurs importantes non soulagées par les antalgiques usuels. Vous décidez d'initier un traitement par morphine par voie intraveineuse. Quelle posologie est la plus adaptée en première intention ?
Sulfate de morphine 0,1 mg/kg
Sulfate de morphine 1 mg/kg
Sulfate de morphine 10 mg/kg
Chlorhydrate de morphine 0,01 mg/kg
Chlorhydrate de morphine 0,1 mg/kg
37) Vous prenez en charge dans votre service d'oncologie un patient de 71 ans atteint d'un cancer de la prostate métastatique au niveau osseux, avec une fracture vertébrale de T10 à l'origine de douleurs importantes non soulagées par les antalgiques usuels. Vous décidez d'initier un traitement par morphine par voie intraveineuse. Quelle posologie des bolus est la plus appropriée lors de la titration ?
0,05 mg toutes les 5 minutes
0,2 mg toutes les 5 minutes
0,5 mg toutes les 5 minutes
2 mg toutes les 5 minutes
0,05 mg toutes les heures
38) Vous vous occupez en salle de naissance d'une patiente de 39 ans, G3P2. Le déroulement de la de l’accouchement est sans complication, la délivrance dirigée a lieu dans les 10 minutes. Il existe cepedant un filet de sang persistant, vous faisant poser le diagnostic d’hémorragie du post partum. Un traitement par ocytocine est mis en place avec massage utérin. 15 minutes plus tard, le saignement persiste. Quel traitement est le plus approprié ?
Carbétocine
Sulprostone
Acide traxénamique
Methylergométrine
Atosiban
39) Vous voyez aux urgences Mme B. 37 ans pour métrorragies intermittentes de faible abondance. C’est la première fois qu’elle présente ce symptome, et n’a aucun antécédent. L’examen clinique est sans autre particularités. TA 120/80, pouls 70/mn, temp 37,2. L’échographie retrouve des Fibromes. Quel traitement chirurgical est le plus adapté dans ce cas ?
Aucun traitement
Polymyomectomie par laparotomie
Polymyomectomie par coelioscopie
Hystéroscopie diagnostique
Résection de myome par hystéroscopie
40) Vous voyez en consultation aux urgences ophtalmologiques Mr B., 74 ans, pour baisse de vision de l'oeil gauche apparue de façon brutale il y a 2 jours. Il s'est fait opéré de la cataracte de l'oeil droit il y a 7 mois et de l'oeil gauche il y a 6 mois. Il décrit un épisode de phosphènes il y a 5 jours. L'acuité visuelle avec correction est à 9/10ème P2 à droite, 3/10ème P7 à gauche. Vous évoquez le diagnostic de décollement de rétine. Quel thérapie est la plus adaptée ?
Prise en charge chirurgicale
Injection intravitréenne d'anti-VEGF
Traitement par laser YAG
Collyre hypotonisant
Corticothérapie locale
41) Un homme de 55 ans consulte pour avoir des informations sur le cancer colorectal, suite au décès du père de son épouse de cette maladie à l’âge de 76 ans. Il n’a pas d’antécédents personnels ni familiaux directs. L’interrogatoire ne retrouve pas de troubles de transit. L’examen clinique est sans particularité. Vous l’informez sur cette maladie et les possibilités de prévention. Quelle attitude est la plus adaptée ?
Prévention primaire par règles diététique
Prévention primaire par toucher rectal
Prévention secondaire par hémocult
Prévention secondaire par coloscopie
Prévention tertiaire par coloscanner
42) Madame R, 65 ans, consulte pour une dyspnée de stade III (NYHA) d’aggravation progressive. Elle n’a pas d’antécédents connus. A la fin du bilan, vous avez diagnostiqué une cardiopathie ischémique à fonction systolique préservée et une hypertension artérielle. PA 150/90 mmHg, FC 86/min, T 37°C. Auscultation cardio-pulmonaire sans particularité. Quelle association médicamenteuse est la plus appropriée pour son insuffisance cardiaque ?
Inhibiteur de l’Enzyme de Conversion, bêtabloquant, inhibiteur de l’aldostérone
Inhibiteur de l’Enzyme de Conversion, alphabloquant, inhibiteur de l’aldostérone
Inhibiteur de l’Enzyme de Conversion, bêtabloquant, diurétique de l’anse
Anti-Récepteur de l’Angiotensine II, bêtabloquant, diurétique de l’anse
Anti-Récepteur de l’Angiotensine II, alphabloquant, inhibiteur de l’aldostérone
43) Un patient de 27 ans diabétique de type 1 depuis 15 ans traité par insuline est admis aux urgences pour coma. Il a été retrouvé par ses parents, inconscient dans sa chambre à 7h. PA 110/70 mmHg, FC 100/min, FR 22/min, Glasgow 7, sueurs profuses. Dextro à 0,6 g/l. Vous décidez un test de resucrage, quelle est la prescription la plus adaptée ?
Glucose 5% 500 ml Sur 30 min
Glucose 10% 50 ml Sur 3 min
Glucose 10% 500 ml Sur 30 mi
Glucose 30% 40 ml Sur 3 min
Glucose 30% 500 ml Sur 30 min
44) Une patiente âgée de 65 ans est hospitalisée pour douleurs abdominales diffuses et vomissements répétés depuis 48h. Elle a des antécédents de tuberculose pulmonaire il y a 6 ans. La patiente est agitée et confuse. PA 90/50 mmHg P 110/mn, T 37,5. Le bilan biologique est en faveur d’une hypothèse d’insuffisance surrénalienne aiguë. Quel est le traitement d’urgence le plus adapté ?
Hémisuccinate d’hydrocortisone 50 mg IV, 4 fois / 24h
Hémisuccinate d’hydrocortisone 200 mg IV, 1 fois / 24h
Hémisuccinate d’hydrocortisone 200 mg PO, 1 fois / 24h
Hémisuccinate d’hydrocortisone 50 mg PO, 4 fois / 24h
Hémisuccinate d’hydrocortisone 25 mg IV, 1 fois / 24h
45) Une femme âgée de 57 ans sans antécédents consulte pour dyspnée fébrile. Elle a une douleur thoracique basale gauche apparue en même temps que la fièvre à 39,9°C, depuis 24 heures. Léxamen physique et la radio sont en faveur d’une pneumopathie aigue communautaire lobaire inférieure gauche. PA 120/70 mmHg, FC 90/min, pas de signe de gravité Clinique. Elle n’a jamais pris de traitement antibiotique. Quelle antibiothérapie probabiliste est la plus adaptée pour cette patiente ?
Amoxicilline 3 gramme par jour per os
Ceftriaxone 2 gramme par jour IV
Levofloxacine 750mg par jour per os
Gentamycine 3mg/kg/j IV
Erythromycine 2 grammes par jour per os
46) Une jeune fille de 15 ans asthmatique connue stable présente depuis 4 jours une rhinorrhée et une toux fébrile à 38°C. Depuis hier, elle présente une dyspnée avec wheezing et est amenée aux urgences. PA 120/70 mmHg, FC 120/min, SpO2 à 92% en air ambiant, T 38*C, FR à 40/mn, tirage intercostal et sus sternal, râles sibilants diffus bilatéraux. Quelle prise en charge thérapeutique en urgence est la plus appropriée pour cette patiente?
Corticoïde IV Salbutamol inhalé Oxygénothérapie au masque haute concentration
Corticoïde PO SalbutamolIV Oxygénothérapie aux lunettes
Antibiotique IV Salbutamol inhalé Oxygénothérapie au masque haute concentration
Antihistaminiques PO Salbutamol inhalé Oxygénothérapie
Corticoïde IV Salbutamol IV Oxygénothérapie après intubation trachéale
47) Un homme de 43 ans est hospitalisé dans votre service pour toux depuis 2 mois, associé à une perte de poids de 5kg. L’examen direct des crachats retrouve des Bacilles-Acido-Alcoolo-Résistants (BAAR) positifs à 3+ (+++). Il n’a pas d’antécédent ni d’allergies connues. PA 120/70 mmHg, FC 80/min, FR 16/min, T 37,3°C. Quel est le traitement le plus approprié à la phase initiale ?
Isoniazide
Isoniazide + Rifampicine
Isoniazide + Rifampicine + Levofloxacine
Isoniazide + Amikacine + Ethmabutol
Isoniazide + Rifampicine + Ethambutol + Pyrazinamide
48) Un patient de 34 ans diabétique de type 1 consulte pour une douleur du pied droit : il est devenu rouge et chaud 3 jours après une plaie traumatique du pouce. A l’examen vous diagnostiquez un érysipèle du dos du pied. Il n’y a pas de critères de sepsis sévère. Il n’a pas d’allergie. PA 120/70 mmHg, FC 90/min, T 38,7°C, poids 60 kg. Quel traitement est le plus approprié en première intention ?
Pénicilline A par voir orale : 3 grammes /jour
Pénicilline M par voir orale : 3 grammes / jour
Ceftriaxone par voir intraveineuse : 2 grammes / jour
Ceftazidime par voir intraveineuse : 3 grammes /jou
Ofloxacine par voie orale : 400milligrammes / jour
49) Une femme de 32 ans sans antécédents est hospitalisée en urgence à 18h pour un accouchement. Elle accouche d’un garçon en bonne santé de 2,7 Kg à 20 h. Après l’accouchement, la sage-femme note une hémorragie vaginale d’environ 1000 ml à 3h du matin. PA 80/50 mmHg, FC 110/mm, marbrures. Interne de garde, vous appelez à l’aide et débutez une expansion volémique en urgence. Quelle prescription est la plus adaptée pour cette patiente ?
Sérum salé 9/1000 500 ml en 20 min
Sérum salé 9/100 500 ml en 60 min
Sérum salé 5/100 500 ml en 20 min
Sérum glucosé 5/1000 500 ml en 90 min
Sérum glucosé 5/100 500 ml en 30 min
50) Un patient professeur de 58 ans, venant de Phnom Penh, consulte pour des épistaxis. A l’interrogatoire vous apprenez qu’il est sous traitement par AVK pour une ACFA sur myocardiopathie ischémique dilatée depuis 3 ans. Un médecin de ville vient de prescrire un anti-inflammatoire non-stéroïdien (AINS) de la famille des pyrazolés (phénylbutazone) il y a 1 semaine pour une lombalgie aiguë. Bilan initial : INR : 7. Quel est le mécanisme pharmacologique d’interaction médicamenteuse le plus probable à l’origine de ce surdosage en AVK ?
Déplacement de l’AVK de sa liaison protéique par l’AINS
Induction de l’élimination hépatique de l’AVK par l’AINS
Inhibition de l’agrégation plaquettaire par l’AINS
Augmentation de l’absorption gastrique de l’AVK par l’AINS
Diminution de l’élimination rénale de l’AVK par l’AINS
51) Vous êtes chirurgien orthopédique de garde aux urgences et recevez un jeune homme de 22 ans sans antécédents qui a eu un accident de la voie publique à Siem-Reap il y a 24 heures et présentait une fracture ouverte de la jambe gauche de stade II de Gustilo. Sur les clichés, le trait de fracture est transversal, mediodiaphysaire. Le bilan vasculo-nerveux de l’extrémité est normal. Après le bilan clinique, biologique et injection de serum et vaccine anti tetanos et antibiotiques, un traitement chirurgical en urgence est décidé. Quelle est l’attitude thérapeutique la plus appropriée ?
Parage chirurgical soigneux avec fixation osseuse par fixateur externe
Parage chirurgical soigneux avec fixation osseuse par enclouage centromédullaire
Parage chirurgical soigneux avec fixation osseuse par plaque vissée
Parage chirurgical soigneux avec extension continue trans-calcanéenne
Parage chirurgical soigneux avec plâtre suro-pédieux
52) Un homme de 30 ans est hospitalisé pour une troisième crise épileptique généralisée tonico-clonique de type Grand mal. Il se comporte parfaitement bien entre les crises et on ne trouve pas de facteur déclenchant pour chaque crise après un bilan étiologique approprié. Vous décidez de donner un traitement de fond. Quelle molécule de première intention est la plus appropriée?
Phénobarbital 2 mg/kg/j en per os
Carbamazépine 10 mg/kg/j en per os
Acide valproïque 15 mg/kg/j en per os
Gabapentine 30 mg/kg/j en per os
Lamictal 3 mg/kg/j en per os
53) Un homme de 39 ans est hospitalisé en chirurgie suite à une chute de moto. Il n’a pas d’antécédents médicaux ou chirurgicaux. Il est ouvrier, fume 1 paquet de cigarettes par jour et boit 5-6 bières / jour. Il a été opéré en urgence d’une fracture déplacée de la cheville droite. Au 2° jour post-opératoire, il présente un syndrome confusionnel aigu associé à des hallucinations visuelles et auditives. A l’examen, PA 140/70 mmHg, FC 80/min, T 37,8°C. Vous essayez de le calmer par la communication verbale, puis vous décidez d’un traitement médicamenteux. Quel est le traitement le plus approprié ?
Lorazépam (Témesta®)
Lévomépromazine (Nozinan®)
Gabapentine (Neurontin®)
Haloperidol (Haldol®)
Carbamazépine (Tégretol®)
54) Une femme de 45 ans est amenée aux urgences pour une somnolence suite à une intoxication médicamenteuse volontaire. Elle a des antécédents de syndrome anxio-dépressif, d’hypertension artérielle, d’arthrose diffuse et d’obésité. A l’examen clinique, vous notez un Glasgow 14, pas de signes de localisation, mydriase, rétention aiguë d’urine, une sécheresse buccale. FC 120/min, PA 130/70 mmHg, T 37,4°C. Vous ne connaissez pas les médicaments absorbés, ni la quantité. Devant le tableau clinique, quelle famille thérapeutique est la plus probablement en cause ?
Tricycliques
Benzodiazépines
Opiacés
Bêtabloquants
Salicylés
55) Une femme de 55 ans est hospitalisée pour une pneumopathie bactérienne. Vous êtes appelé pour un état de choc pendant une perfusion d’antibiotique. Vous suspectez un choc anaphylactique. Elle a des antécédents de diabète, d’hypertension artérielle et de douleurs articulaires. PA 80/50 mmHg, FC 110/min, SpO2 90% en air, FR 34/min. Parmi les molécules de son traitement habituel, laquelle est un facteur aggravant du choc anaphylactique ?
Aténolol (TENORMINE )
Furosémide (LASILIX )
Losartan (COZAAR )
Paracétamol (DOLIPRANE )
Gliclazide (DIAMICRON )
56) Un homme de 35 ans hospitalisé dans une clinique privée pour déshydratation secondaire à des diarrhées et vomissements présente une perte de conscience brutale. Médecin de garde, vous êtes appelé par l’infirmière et constatez un arrêt cardiaque : patient non réactif et absence de pouls carotidien. Vous débutez la réanimation cardio-pulmonaire et faites poser un scope-défibrillateur. Le tracé ECG montre une asystolie. Quelle est votre attitude immédiate?
Adrénaline intraveineuse
Choc électrique externe
Intubation trachéale
Thrombolyse intraveineuse
Sonde électro-systoliqu
57) Une patiente de 24 ans (sans antécédents ni allergies) consulte le médecin traitant car elle a « mal à la gorge ». L’interrogatoire et l’examen sont en faveur d’une angine. PA 110/60 mmHg, FC 80, T 37,6°C. En l’absence de test de diagnostic rapide de l’angine à streptocoque, vous prescrivez une antibiothérapie probabiliste. Quelle est la prescription la plus appropriée ?
Amoxicilline 1000 mg, 2 fois/jour pendant 10 jours
Co-Amoxiclav 1000 mg, 2 fois/jour pendant 10 jours
Cefpodoxime-proxétil 100 mg, 2 fois/jour pendant 5 jours
Azithromycine 200 mg, 1 fois/jour pendant 5 jours
Ofloxacine 200mg, 2 fois/jour pendant 10 jours
58) Un patient de 56 ans est vu en consultation suite à la découverte d’une hypertension artérielle (contrôlée à 3 reprises). Il a un antécédent de tabagisme sevré (30 paquet-année), de BPCO stade IV (GOLD), de diabète de type 2 (HbA1C 6%) et d’insuffisance rénale (Clairance 60 ml/min). Vous décidez de débuter un traitement de l’HTA. Quelle classe d'antihypertenseur est contre-indiquée chez ce patient ?
Bêta-bloquants
Antagonistes calciques
Diurétiques thiazidiques
Inhibiteurs de l’Enzyme de Conversion
Anti-hypertenseurs centraux
59) Un enfant de 7 ans est amené en consultation par ses parents pour des douleurs pharyngées. PA 110/60 mmHg, FC 100/min, T 38°C, Poids 22 kg. L’examen clinique est en faveur d’une angine. L’enfant se plaint de douleurs importantes et vous décidez de prescrire un traitement antalgique par paracétamol en plus du traitement antibiotique. Quelle est la prescription la plus appropriée ?
10 mg/kg/6h
10 mg/6h
100 mg/kg/6h
100 mg/6h
1000 mg/kg/6h
60) Vous voyez en consultation une patiente de 34 ans à J-4 de post-partum pour des douleurs du sein droit de début rapidement progressif ces dernières 24h. A l’examen, à l’examen PA 110/50 mmHg, FC 90/min, T 37.9°C, sein engorgé et inflammatoire. Quelle est la prise en charge la plus appropriée?
Application de compresses chaudes
Arrêt de l'allaitement sur le sein
Anti-inflammatoires non-stéroïdiens par voie locale
Bromocriptine par voie orale
Paracétamol par voir parentérale
61) Un patient de 43 ans est amené aux urgences pour coma. Il a un antécédent d’alcoolisme chronique. A l’examen, PA 130/80, FC 80/mn, T 37,2°C, Glasgow 7/15. L’examen physique ne retrouve pas de signe de localisation, pas de syndrome méningé, pas de signes de traumatisme. Vous suspectez un coma hypoglycémique : Glycémie capillaire 0,39 g/L. Quelle injection est la plus approprié à administrer en urgence à visée diagnostique et thérapeutique?
Sérum Glucosé à 30/100 50 ml sur 2 minutes
Sérum Glucosé à 30/1000 500 ml sur 20 minutes
Sérum Glucosé à 5/100 50 ml sur 2 minutes
Sérum Glucosé à 5/1000 500 ml sur 20 minutes
Sérum Glucosé à 30/100 50 ml sur 200 minutes
62) Une patiente de 31 ans est hospitalisée en urgence pour diarrhées profuses: 8   10 fois par jour depuis 48h. Elle est immunodéprimée par le VIH, sous trithérapie mais non compliante, avec des CD4 < 150/mm3. A l’examen, PA 80/30 mmHg, FC 130/mn, T 37,2°c, signes de déshydratation extracellulaire. Vous notez une somnolence que vous attribuez   la déshydratation (Glasgow 14/15, examen neurologique normal, dextro normal). Quelle réhydratation est la plus adaptée pour les 4 premières heures de cette patiente
Réhydratation par voie veineuse : sérum salé 9/1000, 100 ml/kg
Réhydratation par voie veineuse : sérum glucosé 5/100, 100 ml/kg
Réhydratation par voie orale : soluté de réhydratation, 2 litres
Réhydratation par sonde naso-gastrique : soluté de réhydratation, 2 litres
Réhydratation par voie osseuse : sérum salé 9/1000, 100 ml/kg
63)Mme A., 80 ans, est admise au service d’accueil des urgences pour oligurie depuis 24h (diurèseestimée à 300ml), suite à des diarrhées abondantes et vomissements après un banquet de mariage à Battambang. Antécédents: HTA depuis 5 ans, fracture du col du fémur il y a 5 ans. Traitement habituel: 1 diurétique thiazidique (hydrochlorothiazide, ESIDREX°). Elle a aussi eu une échograhie abdominale et un scanner injecté il y a 2 semaines pour le bilan d’une hépatomégalie suspecte de cancer. Poids 35 kg, taille 1,60 m, PA 100/62 mmHg, FC 110/min, saturation en oxygène 97%. Quel est le traitement le plus approprié pour améliorer la fonction rénale et augmenter la diurèse?
Sérum salé isotonique IV + Arrêt du diurétique thiazidique
Sérum salé isotonique IV
Arrêt du diurétique thiazidique
Introduction d’un diurétique de l’anse
Sérum salé isotonique IV + Introduction d’un diurétique de l’anse
64)Vous accueillez aux urgences un patient de 66 ans, pour douleur abdominale de début progressifdepuis 72h, avec arrêt des matières et des gaz depuis 24h. Il a des nausées mais n’a pas vomi. Quel traitement en urgence est le plus approprié ?
Traitement chirurgical : colectomie avec stomie d'amont
Traitement chirurgical : colectomie + anastomose termino-terminale
Traitement endoscopique : coloscopie + pose de prothèse endocolique
Traitement endoscopique : coloscopie + résection à l’anse diathermique
Traitement chirurgical : colectomie avec stomie d'aval
65)Vous accueillez aux urgences un patient de 66 ans, pour douleur abdominale de début progressif depuis 72h, avec arrêt des matières et des gaz depuis 24h. Il a des nausées mais n’a pas vomi. Il a un antécédent d’appendicectomie à 40 ans, d’HTA sous furosémide (LASILIX°) et de arythmie complète en fibrillation auriculaire (AC/FA) sous antivitamine K warfarine (COUMADINE°). Le patient est hospitalisé en urgence. En attendant le Traitement chirurgical : colectomie avec stomie d'amont, quelle attitude est la plus appropriée ?
Arrêt de l’AVK + antagonisation par vitamine K
Arrêt de l’AVK
Arrêt de l’AVK + introduction d’héparine à dose anticoagulante
Arrêt de l’AVK + introduction d’antiagrégants plaquettaires
Arrêt de l’AVK + antagonisation par vitamine K+ Aspirine
66)Vous recevez aux urgences ophtalmologiques une patiente de 48ans pour une rougeur oculaire del'oeil droit associée à des douleurs oculaires profondes importantes, d'apparition brutale. L'acuité visuelle avec sa correction (OD: +2,50 add +1, OG: +2,25 add +1) est à 2/10 P6 à droite et 10/10 P2 à gauche. Elle signale également des nausées : vous posez le diagnostic de crise aigue de glaucome par fermeture de l’angle. Quelle est la prise en charge la plus appropriée ?
Corticothérapie locale en collyr (dexaméthasone) + atropine
Collyres hypotonisants + inhibiteur de l'anhydrase carbonique par voie intraveineuse
Injections intravitréennes d'antibiotiques et collyres antibiotiques fortifiés
Collyres hypotonisants seuls
Corticothérapie par voie intraveineuse en bolus et locale
67) Vous recevez aux urgences ophtalmologiques une patiente de 48ans pour une rougeur oculaire de l'oeil droit associée à des douleurs oculaires profondes importantes, d'apparition brutale. L'acuité visuelle avec sa correction (OD: +2,50 add +1, OG: +2,25 add +1) est à 2/10 P6 à droite et 10/10 P2 à gauche. Elle signale également des nausées : vous posez le diagnostic de crise aigue de glaucome par fermeture de l’angle, et votre prise en charge initiale est efficace. Quelle prise en charge est la plus appropriée sur l’oeil controlatéral (= «oeil adelphe ») ?
Collyre myotique + iridotomie périphérique au laser YAG
Corticothérapie locale
Collyre antiseptique
Collyre mydriatique + iridotomie périphérique au laser YAG
Collyre antibiotique à large spectre
68) Vous voyez en consultation un garçon de 7 ans amené par sa maman pour des céphalées et une vision trouble de près lors de la lecture ou d'un travail prolongé sur ordinateur. La réfraction sous cycloplégique confirme votre hypothèse. Quelle prise en charge est la plus appropriée ?
Verres cylindriques concaves
Verres cylindriques convexes
Verres sphériques concaves
Verres sphériques convexes
Verres Triangulaire covexes
Apprendre qu’il se plaignait de maux de tête dans la matinée et que sa mère lui a administré 3 comprimés effervescents d’aspirine 500 mg espacés de 2 heures car elle a l’habitude d’utiliser de l’aspirine pour soulager ses propres maux de tête. Le patient continue à perdre du sang et vous le trouvez de plus en plus pâle, avec une fréquence cardiaque qui est à présent à 135 bpm. La compression bidigitale après mouchage a échoué. Quelle prise en charge est la plus adaptée ?
Tamponnement antérieur avec des mèches non résorbables
Cautérisation de l’artère sphéno-palatine par voie endonasale
Embolisation des artères sphéno-palatines seules
Embolisation de l’artère ethmoïdale seule
Embolisation des artères sphéno-palatines et de l’artère ethmoïdale
70) Vous recevez aux urgences un patient de 47 ans pour épistaxis unilatérale gauche. Il est tabagique à 25 paquets-année et ne présente pas d’antécédents particuliers hormis une appendicectomie dans sa jeunesse. Il ne prend aucun traitement et ne présente pas de signes cliniques de gravité. Ses constantes sont les suivantes : FC 88 ; TA 120/75 mmHg. Après mouchage efficace, compression bi-digitale et méchage antérieur, l’épistaxis ne s’interrompt pas. Que proposez-vous ?
Tamponnement antéro-postérieur
Cautérisation de la tâche vasculaire
Embolisation de l’artère ethmoïdale
Embolisation de l’artère sphéno-palatine
Ligature de l’artère ethmoïdale
71) Vous recevez à votre consultation M. L., 48 ans, pompier. Il présente depuis 3 mois des céphalées, une cacosmie droite et une rhinorrhée purulente droite. Il vous explique que ses problèmes sont apparus suite à des soins dentaires. L’imagerie met en évidence une sinusite maxillaire droite mycotique avec surinfection bactérienne. Quelles sont les modalités de votre prise en charge?
Traitement médical antibiotique seul
Traitement médical antimycotique seul
Traitement médical antibiotique + antimycotique
Traitement chirurgical + traitement antibiotique
Traitement chirurgical + traitement antimycotique
72) Vous recevez en consultation une femme de 40 ans. Elle présente une obstruction nasale du côté droit et une rhinorrhée postérieure apparues il y a environ deux semaines. Elle se plaint également de céphalées et d'une douleur sous-orbitaire pulsatile à droite depuis quelques jours et augmentant la nuit. Le mouchage est purulent et elle a une fièvre à 38,5°C. Elle vous signale avoir fait une importante réaction allergique à l'Augmentin dans l'enfance. Ses constantes sont normales. La rhinoscopie retrouve du pus dans le méat moyen et l'état buccodentaire est excellent. Vous posez le diagnostic de sinusite aigue maxillaire droite. Quel traitement est le plus adapté ?
Amoxicilline
Amoxicilline + acide clavulanique
Pristinamycine
Lévofloxacine
Macrolide
73) Vous recevez en consultation un cuisinier en milieu scolaire de 45 ans sans antécédent particulier et présentant un phlegmon des gaines suite, apparemment, à un panaris négligé. Un traitement chirurgical avec mise à plat de la gaine est réalisé en urgence. En plus de la kinésithérapie et de l’éducation du patient, quelle prise en charge est la plus appropriée ?
Traitement par AINS, vaccination antitétanique d’emblée et arrêt travail
Traitement par AINS, vaccination antitétanique d’emblée et poursuite du travail
Traitement par AINS, vaccination antitétanique selon statut vaccinal et poursuite du travail
Éviter traitement par AINS, vaccination antitétanique selon statut vaccinal et poursuite du travail
Éviter traitement par AINS, vaccination antitétanique selon statut vaccinal et arrêt de travail
74) Vous recevez aux urgences une patiente de 48 ans sans antécédent particulier retrouvé à l’interrogatoire. Elle vous explique s’être fait mordre au niveau de la main droite par l’un de ses chats il y a plusieurs jours et qu’elle n’arrive désormais plus à bouger le pouce droit car le moindre mouvement est extrêmement douloureux. Vous constatez qu’elle présente un phlegmon de la gaine digito-carpienne radiale invalidant. Quel type d’antibiotique serait le plus approprié chez cette patiente ?
Amoxicilline
Cycline
Fluoroquinolone
Céphalosporine de 3ème génération
Co-trimoxazole
75) Vous recevez en consultation une jeune fille de 22 ans pour un renouvellement de contraception et elle vous signale qu'un de ses doigts la fait souffrir depuis quelques jours. Elle présente en effet des signes locaux d'inflammation en périphérie de l'ongle de son index gauche, avec une douleur modérée au cours de la journée : vous posez le diagnostic de panaris périungéal au stade inflammatoire. Quelle prise en charge est la plus appropriée ?
Traitement chirurgical seul
Traitement chirurgical associé à une antibiothérapie
Pansements et bains antiseptiques pluriquotidiens associés à des antalgiques et des antipyrétiques
Pansements et bains antiseptiques pluriquotidiens associés à des antalgiques
Antibiothérapie par cyclines PO pendant 10 jours associée à des antalgiques
76) Vous recevez un patient de 55 ans se plaignant de dysurie. La BU ne retrouve pas d'hématurie, de glycosurie, ni de signes d'infection urinaire. Le PSA est légèrement augmenté, la créatinémie est à 95 μmol/L. Vous lui faites une échographie réno-vésico-prostatique et vous retrouvez un résidu post mictionnel de 80 ml, ainsi qu'une légère dilatation des cavités pyélocalicielles non significative. La prostate est évaluée à 30g. Le patient est géné de manière modérée dans sa qualité de vie (IPSS = 15/35). Quelle prise en charge est la plus appropriée en première intention ?
Abstention thérapeutique
Monothérapie par un inhibiteur de la 5-alpha réductase
Monothérapie par un alpha bloquant
Bithérapie comprenant un alpha bloquant et un inhibiteur de la 5-alpha réductase
Monothérapie par un anti-cholinergique
77) Mme V, 38 ans est hypertendue et traitée pour un VIH. Elle se présente à sa consultation de suivi, sa tension artérielle est à 140/85 mmHg, avec une fréquence cardiaque à 75/min et une température à 37.1°C. Son bilan sanguin retrouve une hypophosphorémie chronique. Dans l'hypothèse d'une cause iatrogène, vous inspectez son ordonnance. Parmi ses médicaments habituels, lequel est le plus susceptible de provoquer cette anomalie ?
De provoquer cette anomalie ? ténofovir
Furosemide
Indapamide
Teriparatide
Cholécalciférol
78) Un petit garçon de deux ans est amené aux urgences de l’hôpital car celui-ci a présenté un épisode de convulsions spontanément résolutives dans un contexte fébrile. A l’examen clinique, l’enfant est hypotonique, ses constantes sont les suivantes : TA 70/40 mmHg; pouls 140 /min; T° 38,9°. Quel est le meilleur traitement chez cet enfant de 2 ans ?
Aciclovir 15 mg/kg/8 heures pendant 21 jours
Aciclovir 10 mg/kg/8 heures pendant 21 jours
Aciclovir 10 mg/kg/8 heures pendant 14 jours
Aciclovir 15 mg/kg/8 heures pendant 14 jours
Aciclovir 20 mg/kg/8 heures pendant 21 jours
79) "Dans votre service de pneumologie, un patient de 38 ans est hospitalisé pour tuberculose pulmonaire. Il n’a pas d’antécédent particulier, et n’a jamais été traité pour la tuberculose. Son examen clinique retrouve une température à 38.2°C, une tension artérielle à 140/80 mmHg et une fréquence cardiaque à 95/min. Quel est le meilleur traitement pour cette.tuberculose pulmonaire. H = isoniazid, R = rifampicin, Z = pyrazinamide, E = ethambutol, S = streptomycin" ?
HRZE pendant 2 mois puis HR pendant 4 mois
HRZE pendant 2 mois, puis HE pendant 6 mois
HRE pendant 3 mois, puis HR pendant 6 mois
RZE pendant 6 mois
HRZE pendant 4 mois, puis HR pendant 2 mois
80) Un homme de 73 ans consulte aux urgences de votre hôpital pour fièvre associée à une dysurie intense. Ses constantes sont: TA 95/30 mmHg; pouls 110 /min; Temp à 38,8°C. Quel est le meilleur traitement probabiliste à administrer en urgence chez un patient sans antécédent présentant une prostatite aiguë avec signes de sepsis sévère ?
Amoxicilline-acide clavulanique et gentamicine
Ceftriaxone et gentamicine
Ciprofloxacine et gentamicine
Trimthoprime sulfamethoxazole et gentamicine
Imipenem et gentamicine
81) Un bébé de 18 mois est amené par sa grand-mère à votre cabinet pour une fièvre inexpliquée. A l’examen clinique, l’enfant est rouge, il pleure quand vous palpez ses fosses lombaires. Ses constantes sont: TA 80/40 mmHg; pouls 120 /min; T° à 39°C. Quel est le meilleur traitement probabiliste d'une pyélonéphrite aiguë chez ce jeune enfant?
Amoxicilline-acide clavulanique
Ciprofloxacine
Ceftriaxone
Cefalexine
Trimethoprime sulfamethoxazole
82) Vous suivez depuis peu dans une ONG un patient de 36 ans, séropositif pour le VIH et le VHB. Quelle est la meilleure proposition thérapeutique chez ce patient asymptomatique ayant 457 CD4/mm3 sans autre antécédent ?
Pas de traitement antirétroviral car CD4 > 350 /mm3
Zidovudine + lamivudine + efaviren
Ténofovir + emtricitabine + efavirenz
Ténofovir + emtricitabine + atazanavir/ritonavir
Ténofovir + emtricitabine + névirapine
83) Un jeune homme de 32 ans consulte à votre cabinet pour une fièvre depuis deux jours associée à un syndrome pseudogrippal. Ses constantes sont les suivantes : PA 120/65, pouls 95/min, T° 38,7°C. Le frottis goutte épaisse est positif. Il n’existe pas de signe clinique de gravité. Bandelette urinaire négative. Au niveau biologique : Hb 12g/dl, Plaquettes 70 G/L, Glycémie 6,7mmol/l, ionogramme et fonction rénale normale. Quelle est votre prise en charge
Arthémeter-luméfantrine
Quinine
Mefloquine
Atovaquone-proguanil
Quinine -clindamycine
84) Un jeune homme de 18 ans sans comorbidités consulte à votre cabinet pour une dyspnée fébrile depuis 48 heures. A l’auscultation vous retrouvez un foyer de crépitants en base gauche. Ses constantes sont les suivantes : PA 15/60, pouls 105/mn, T° 38,4°C, SP02 97%. Quel serait le meilleur traitement probabiliste ici ?
Amoxicilline
Penicilline G
Ceftriaxone
Ofloxacine
Piperacilline
85) M. Oum, 53 ans, se présente aux urgences de votre clinique pour fièvre associée à des frissons. Il n’a aucun antécédent particulier. A l’examen clinique, la tension artérielles est à 140/80 mmHg, la fréquence cardiaque à 95/min, et la température à 39°C. Vous remarquez un érysipèle du membre supérieur probablement secondaire à une lésion cutanée du poignet droit. Vous faites prélever des hémocultures, le laboratoire vous appelle le lendemain pour vous signaler quelles sont positives à streptocoque. Quelle antibiothérapie vous semble la plus adaptée dans l’attente de l’antibiogramme ?
Amoxicilline 1 gr 3 fois par + gentamycine 3 mg/kg
Vancomycine 15 mg/kg/j + ofloxacine 200mg 2 fois par jour
Ceftriaxone 2 gr par jour + amikacine 20 mg/kg/j
Streptomycine 1 gr par jour
Ciprofloxacine 500 mg 2 fois par jou
86) Vous êtes le chirurgien qui opère Mme Tola, 27 ans, sans antécédents, d'une péritonite appendiculaire. Son examen clinique est normal avec un poids à 45 kg, une tension artérielle 120/80 mmHg et une fréquence cardiaque à 65/min. Quelle antibiothérapie est la plus appropriée en post opératoire ?
 
Amoxicilline 1 gr 3 fois par jour pendant 10 jours
Amoxicilline + acide clavulanique 1 gr 3 fois par jour pendant 48h
Gentamicine 3 mg/kg + ciprofloxacine 500 mg 2 fois par jour pendant 10 jou
Ceftriaxone 1 gr par jour + Metronidazole 500 mg 3 fois par jour pendant 7 jours
87) Un homme de 40 ans consulte à votre cabinet pour des douleurs de la face associées à des céphalées dans un contexte fébrile. Ses constantes sont les suivantes : PA 125/75, pouls 80/min, T° 38,3°C. Vous diagnostiquez une sinusite maxillaire et prescrivez de l’erythromycine. De quel effet secondaire le plus fréquent informez-vous le patient ?
Troubles digestifs
Insuffisance rénale
Photosensibilisation
Cytolyse hépatique
Réactions allergiques
88) Vous diagnostiquez une BPCO stade 2 à un fumeur non sevré de 46 ans. Il n'y a pas encore de complication. Son examen clinique est normal avec une tension artérielle à 130/80 mmHg, une fréquence cardiaque à 70/min, sa saturation en air est à 95%. Quelle est la principale modalité thérapeutique à mettre en oeuvre pour prendre en charge cette BPCO ?
Vaccination antigrippale annuelle
Oxygénothérapie
Kinésithérapie respiratoire
Bronchodilatateur de courte durée d'action
Sevrage tabagique
89) Vous voyez en consultation un jeune homme de 21 ans pour un asthme. A l’interrogatoire, il rapporte des crises persistantes d’intensité modérée, à raison de 2 par semaine en moyenne. Il est apyrétique. L’examen clinique retrouve quelques sibilants en fin d’expiration, la tension artérielle est à 130/80 mmHg, sa fréquence cardiaque à 70/min et sa saturation en air à 100%. Son Peak-Flow est à 600 l/min comme habituellement. Son traitement de fond comporte un corticostéroïde inhalé à faible dose et du salbutamol à la demande. A votre avis, quelle est l’adaptation thérapeutique la plus appropriée
Ajout d’un corticostéroïde inhalé forte dose
Ajout d’un bronchodilatateur de longue durée
Ajout d’une corticothérapie systémique
Ajout d’omalizumab
Ajout de théophylline
90) Vous voyez en consultation de suivi un patient de 22 ans, pour la surveillance de son 1er épisode de pneumothorax spontanée idiopathique. Il n’a pas d’antécédent particulier. Son examen clinique est normal avec une tension à 125/80 mmHg, une fréquence cardiaque à 65/min, une fréquence respiratoire à 18/min, une saturation à 100%. L’auscultation pulmonaire est normale. Quelle contre-indication principale devez- vous lui recommander ?
Définitive à la plongée sous-marine
Temporaire (12 mois) aux voyages aériens pressurisés
Temporaire (3 mois) à l'effort physique intense
Définitive aux séjours en altitude > 2500m
Définitive au parachutisme
91) Vous revoyez en consultation un patient de 35 ans qui habite Kratie et qui vous consulte une 3e fois en 2 mois pour une pleurésie droite récidivante. Il n’a pas d’antécédent particulier. A l’examen clinique vous retrouvez une température à 38°C, une tension à 130/75 mmHg, une fréquence cardiaque à 90/min, une fréquence respiratoire à 22/min et une saturation en air à 95%. L’auscultation pulmonaire retrouve une diminution du murmure vésiculaire à mi- champ à droite. Les différentes ponctions pleurales réalisées retrouvent toujours une pleurésie lymphocytaire. Il n’y a pas d’autre documentation bactériologique, ni de cellules tumorales. Quel traitement est le plus approprié en première intention ?
Anti tuberculeux
Anti coagulation
Antibiothérapie
Corticothérapie
Anti allergique
92) De garde aux urgences, un homme de 50 ans vous est amené par ses voisins car il hurle des paroles incohérentes, il est impossible de le calmer ou de discuter avec lui, il est très agité. Il ne semble pas avoir consommé de l’alcool. Ses constantes sont normales : PA 135/80, pouls 90/min, T°37,4°C. Devant un état délirant aigu, quel traitement médicamenteux est le plus adapté pour améliorer son agitation ?
Amitriptylin
Valproate
Halopéridol
Lithium
Fluoxetine
93) Vous revoyez en consultation une femme âgée de 44 ans, pour une répétition d’attaque de panique durant les quelques mois précédents. Quel est le meilleur traitement de fond à mettre en place dans le cadre de ce trouble panique ?
Antidépresseur
Anxiolytique
Hypnotique
Bétabloquant
Neuroleptique
94) Vous recevez aux urgences un patient de 60 ans, sans antécédent particulier. Il vient de présenter de manière brutale un déficit hémi corporel droit, apparu il y a 1 heure. Son examen clinique retrouve une tension à 140/80 mmHg, une fréquence cardiaque à 80/min. Le score de Glasgow est à 15. Le scanner cérébral réalisé en urgence est normal. Vous suspectez un AVC d’origine ischémique, et vous voulez adresser votre patient en centre spécialisé pour une indication de thrombolyse intraveineuse. Dans quel délai maximal disposez-vous pour adresser le patient depuis le début de son symptome
2h20
3h30
4h30
5h30
6h30
95) Vous recevez en urgences un patient de 40 ans pour douleur aigue de la face. Il s’agit d’une douleur intense péri orbitaire droite à type de brulure, accompagné de larmoiement et de rhinoré unilatérale. Il présente ces crises douloureuses depuis 3 jours. Il avait déjà présenté un épisode de ce type il y a 10 mois. A l’examen clinique, la tension artérielle est à 170/95 mmHg, avec une fréquence cardiaque à 95 /min. Il est apyrétique, le Glasgow est à 15 et l’examen neurologique ne retrouve pas de signes déficitaires. Quel traitement est le plus approprié en première intention?
Paracétamol
Morphine
Corticoïde
Oxygénothérapie
Carbamazépine
96) Vous suivez un patient de 22 ans pour épilepsie. Il n’a pas d’autres antécédents. Vous le revoyez pour mettre en place un traitement par Carbamazépine. Son examen clinique ce jour retrouve une tension à 125/75 mmHg, une fréquence cardiaque à 60/min. Le score de Glasgow est à 15 et l’examen neurologique normal. Vous lui expliquez les effets secondaires du traitement. De quel effet secondaire est le plus à risque ce patient ?
Hypernatrémie
Insuffisance rénale aigue
Réaction cutanée sévère
Diabète
Hyperthyroïdie
97) Mme D, 55 ans est adressé à la demande de son médecin traitant suite à la mise en évidence d'une anémie lors d'un bilan d'asthénie. Elle n'a aucun antécédent et ne prend pas de traitement. Elle décrit une asthénie d'apparition progressive. A l'examen vous retrouvez une pâleur cutanéo-muqueuse, un subictère conjonctival, une tachycardie à 120 battements/minutes et une splénomégalie à 4 cm sous le rebord costal. Le reste de l'examen est sans particularité. Le bilan biologique retrouve : Hémoglobine: 9g/dL, VGM: 102fl, Leucocytes: 6G/L formule normale, plaquettes: 175G/L. Réticulocytes: 350G/L, Haptoglobine indosable. Test de coombs positif à IgG. Schizocytes négatifs. Quelle prise en charge vous semble la plus adaptée?
Transfusion de 2 concentrés érythrocytaires
Splénectom
Supplémentation acide folique
Corticothérapie
Supplémentation B12
98) Vous recevez aux urgences un garçon de 12 ans pour chute avec plaie superficielle au membre inférieur droit. La plaie saignement abondamment, et la maman vous informe que l’enfant est porteur d’une hémophilie A mineure. A l’examen clinique, la tension artérielle est à 140/80 mmHg, la fréquence cardiaque à 90/min et la température à 37.3°C. Le bilan biologique en urgence retrouve une hémoglobine à 135 g/L. Quel est le traitement est le plus approprié ?
Concentrés de facteur IX
Concentrés de facteur Willebrand
Desmopressine
Héparine
Vitamine K
99) Vous suivez Mr D depuis de nombreuses années pour un purpura thrombopénique idiopathique. Il a bénéficié d’une splénectomie il y a 10 jours. Mr D vous appelle car il vient de recevoir les résultats de son bilan sanguin retrouvant une numération plaquettaire à 700G/L. Quelle est la prise en charge la plus adaptée?
Surveillance
Antiagrégant plaquettaire
Anticoagulant
Cyto-reducteur type hydroxyurée
Saignée
100) Vous voyez en consultation une femme de 55 ans à qui vous venez de découvrir une hypertension artérielle. Elle n’a pas d’autres comorbidités, aucun traitement en cours. SA tension artérielle est à 170/100 mmHg, avec une fréquence cardiaque à 85/min. En plus des règles hygiénodiététique, quelle est la prise en charge la plus appropriée en première intention ?
Surveillance simple
Monothérapie anti hypertensive
Bithérapie anti hypertensive
Dosage de l'activité rénine plasmatique
Scanner cérébral
101) Vous donnez ce jour son ordonnance de sortie à une patiente âgée de 68 ans, hospitalisée dans votre service pour une poussée d’insuffisance cardiaque gauche. Ses constantes sont les suivantes : PA 120/65 mmHg, pouls 65/min, T° 37°C. Vous expliquez à l’étudiante qui vous suit le principe du traitement. Quelle est la meilleure classe de médicament à mettre en place pour diminuer la mortalité de la patiente?
Les diurétiques
Les dérivés nitrés
Les digitaliques
Les béta bloquants
La noradrénaline
102) Vous recevez en consultation un homme de 53 ans qui présente depuis 3 jours une asthénie importante. Il a pour principaux antécédents un diabète de type II sous metformine et une hypertension artérielle sous celiprolol 200 mg. Son examen clinique est normal en dehors d'une prise de PA à 150/95 mm Hg. Un ECG est réalisé que vous interprétez. Quelle prescription thérapeutique est la plus appropriée ?
Anticogulation curative par Héparine et relais AVK
Traitement anti arythmique par Amiodarone
Ajout d’un traitement anti hypertenseur par amlodipine
Mise sous double antiagrégation plaquettaire
Arrêt du traitement beta bloquant et mise au repos
103) Madame E., 75 ans est hospitalisée dans votre service pour une pneumopathie. Vous découvrez sur le scanner thoracique réalisé au décours de l’hospitalisation un caillot dans l’artère pulmonaire droite. Ses constantes sont les suivantes : T° 37,6, PA 125/65mHg, pouls 85/min. Quel est le meilleur traitement curatif à court et moyen terme?
Héparinothérapie intra veineuse par héparine non fractionnée (HNF) puis relais par Anti-vitamine K
Anti-vitamines K par voie orale en première intention compte tenu de l’absence de signes de gravité
Héparinothérapie par Héparine de bas poids moléculaire (HBPM) sous cutanée au long cours
Héparinothérapie par Héparine de bas poids moléculaire (HBPM) avec relais précoce par Anti-vitamine K
Fibrinolyse en urgence puis héparinothérapie par voie intra-veineuse par héparine non fractionnée (HNF)
104) Vous revoyez en consultation une patiente âgée de 61 ans, un mois après une chirurgie de gastrectomie totale. La patiente a pu reprendre une alimentation qui semble satisfaisante en terme de quantité ; cependant elle se plaint de vertiges et d’une sensation de malaise après les repas. A l’examen la cicatrice est propre. Les paramètres vitaux sont normaux, le poids est stable depuis l’intervention. Quelle est la prise en charge thérapeutique à proposer dans ce cas?
Deux repas par jour au maximum en favorisant les sucres d’absorption rapide
Traitement médicamenteux par antiacide associé à un inhibiteur de la pompe à protons
Resucrage régulier par voie orale si nécessaire + surveillance de la glycémie capillaire
Glucagon par voie intramusculaire dès l’apparition des symptômes d’hypoglycémie
Fractionnement des repas avec diminution des produits sucrés d'absorption rapide
105) Vous voyez aujourd’hui à votre cabinet un patient âgé de 67 ans dans le cadre du suivi annuel de son diabète sous antidiabétiques oraux. Celui-ci n’a pas de plainte particulière. L’examen physique est sans particularité, ses constantes sont les suivantes : PA 130/80, pouls 72/min, apyrexie. L’examen de la bandelette urinaire met en évidence une protéinurie à 2 croix. Quel est le meilleur traitement à mettre en place chez ce patient ?
Un inhibiteur de l'enzyme de conversion
Une insulinothérapie de type semi lente
Un beta-bloquant de type cardiosélectif
Un diurétique épargneur de potassium
Un anti aggrégant plaquettaire classique
106) Aux urgences, vous examinez une patiente de 64 ans, amenée par son mari pour des douleurs abdominales aiguës depuis le matin. A l’interrogatoire, celle-ci rapporte qu’elle prend de l’hydrocortisone au long cours, arrêté depuis un mois car elle ne le trouve plus en pharmacie. Les constantes sont les suivantes : PA 80/50 mmHg, pouls 120/min, T°37,4. Quelle réhydratation hydro-électrolytique vous semble la plus adaptée devant ce tableau?
Ringer lactate 1000 ml + serum glucosé 5% 1000 ml + 4 gr potassium
Sérum glucosé 5% 2000 ml seul + 4 gr sodium + 4 gr potassium
Sérum glucosé 1000 ml + serum physiologique 1000 ml
Sérum physiologique 2000 ml seul dans un premier temps
Sérum salé 2000 ml + 4 gr Potassium + 4 gr Calcium
107) Vous revoyez en consultation une patiente âgée de 43 ans, une semaine après la réalisation d’une fibroscopie gastrique. A cette occasion vous aviez diagnostiqué un ulcère du bulbe. Les biopsies sont positives pour l’infection à helicobacter pylori. Quel est le meilleur traitement à mettre en place pour l’éradication de cette bactérie en première ligne thérapeutique ?
Amoxicilline, clarithromycine, métronidazole, antiH2
Doxycycline, azythromycine, sel de Bismuth, oméprazole
Amoxicilline, levofloxacine, azythromycine, antiH2
Sels de Bismuth, doxycycline, métronidazole, oméprazole
Amoxicilline, clarithromycine, métronidazole, oméprazole
108) Vous accueillez aux urgences un patient âgé de 22 ans. Celui-ci se plaint de douleurs abdominales aiguës depuis 3 heures. Il n’a pas d’antécédents particuliers. A l’examen physique, il existe une défense en fosse iliaque gauche. Ses constantes sont les suivantes PA 140/80, FC 125 min T° 38°. Vous lui administrez du tramadol par voie intraveineuse mais celui-ci ne fonctionne pas. Quel est le meilleur traitement à administrer devant cette douleur persistante?
De la morphine
De la codéine
Du paracétamol
Du kétoprofène
De l’hydrocortisone
109) Aux urgences, vous examinez un patient âgé de 75 ans, présentant une diarrhée aqueuse très abondante depuis 48 heures. L’examen des selles ne révèle pas de trace glairo sanglante. A l’examen physique, vous remarquez un pli cutané, la langue est rôtie. Les constantes sont les suivantes : PA 80/40 mmHg, pouls 125/min, T° 38,2°. Quel est le meilleur traitement antibiotique à mettre en place ?
Doxycycline 200 mg x 1 / jour
Metronidazole 500 mg x 3 / jour
Amoxicilline 1 g x 3 / jour
Ciprofloxacine 400 mg x 2 / jour
Ceftriaxone 1 g x 1 / jour
110) Vous revoyez en consultation de suivi post opératoire, un patient de 65 ans opéré il y a 4 mois d’une hernie inguinale gauche. A l’examen clinique, tension artérielle à 125/80 mmHg, , fréquence cardiaque à 60/Min. Quelle complication post opératoire tardive est la plus probable par argument de fréquence ?
Douleur résiduelle
Hydrocèl
Infection chronique
Hématome
Atrophie testiculaire
111) Vous venez de diagnostiquer une appendicite aiguë chez un enfant de 5 ans. L’examen clinique est normal en dehors d’une sensibilité en fosse iliaque droite. Les constantes sont sans particularité en dehors d’une fièvre à 38,5°. Quelle est la prise en charge la plus appropriée ?
Antibiothérapie associée à la mise en place d’une sonde naso gastrique en aspiration
Intervention chirurgicale associée à une antibiothérapie selon les constations per opératoires
Intervention chirurgicale suivie d’une reprise chirurgicale impérative dans les 5 jours
Surveillance armée pendant 48 heures et réalisation d’un scanner si aggravation
Antibiothérapie associée à une analgésie par anti inflammatoires non stéroidiens
112) Vous examinez à votre cabinet un enfant de 3 ans, amené par ses parents car présentant des vomissements et une diarrhée aqueuse depuis 48 heures. A l’examen, l’enfant n’est pas asthénique et ne présente pas de signe de déshydratation majeure. Ses constantes sont les suivantes : PA 85/40mmHg, pouls 100/min, T°37,1°. Quelle prise en charge est la plus adaptée?
Réhydratation par soluté de réhydratation orale (SRO) en quantité illimitée en ambulatoire
Hospitalisation en urgence pour réhydratation parentérale par serum glucosé 5%
Hospitalisation en urgence pour réhydratation et réalisation d’une échographie abdominale
Réhydratation par boisson sucrée et mise sous amoxicilline-acide clavulanique en ambulatoire
Hospitalisation en urgence pour réhydratation parentérale+ antibiothérapie par ceftriaxone
113) Vous prenez en charge aux urgences pédiatriques un garçon de 4 ans présentant une crise convulsive généralisée. Vous administrez du diazepam (0,5 mg/kg), puis une deuxième injection devant l’absence de réponse au traitement. Vous injectez ensuite du Clonazepam (0,02 mg/kg) car l’enfant convulse toujours. Malheureusement, ce traitement est inefficace. Quelle est la meilleure prise en charge médicamenteuse de cet état de mal épileptique ?
De la phénytoïne à 15 mg/kg
Du phénobarbital à 200 mg/kg
Du thiopental à 5 mg/kg
De la phénytoïne à 150 mg/kg
Du propofol à 3 mg/kg
114) Vous venez de diagnostiquer une dengue chez un patient de 20 ans. Il ne présente pas de vomissement. Ses constantes sont les suivantes: PA 120/80mmHg, pouls 90/min, T° 38,6°. Son bilan biologique retrouve : hémoglobine 12 g/dL, plaquettes 31 000 /mm3, créatinine 122 μmol/L. Quelle est la meilleure prise en charge de la dengue dans ce cas précis ?
Réhydratation orale seule et surveillance
Réhydratation parentérale seule et surveillance
Réhydratation parentérale et transfusion plaquettaire
Réhydratation parentérale et ribavirine per os
Réhydratation orale et ribavirine per os
115) Vous revoyez en consultation d’oncologie un patient de 60 ans avec les résultats de ses examens complémentaires. Il n’a pas de comorbidités. A l’examen clinique, son état général est bon avec un score OMS à 1. Son poids est à 60 kg stable. Sa tension artérielle est à 135/85 mmHg et sa fréquence cardiaque à 80/min. Vous lui annoncez que la biopsie a confirmé le diagnostic de cholangiocarcinome et qu’au scanner on retrouve une métastase hépatique unique et des adénopathies secondaires du hile hépatique. Quelle proposition thérapeutique lui faites-vous ?
Résection chirurgicale
Chimiothérapie
Greffe hépatique
Radiothérapie
Cryothérapie
116) Vous revoyez en consultation une patiente de 56 ans, pour le traitement de son cancer du col de l’utérus. A l’examen clinique, l’état général est bon avec un score OMS à 1. La tension artérielle est à 125/80 mmHg avec une fréquence cardiaque à 80/min. Le toucher vaginal est anormal avec un col macroscopiquement anormal. Il s’agit d’un stade IB2 selon la classification de FIGO. Quel traitement est le plus adapté ?
Une colpo-hystérectomie totale non conservatrice
Une conisation
Une curiethérapie exclusive
Une radiochimiothérapie pelvienne à base de sel de platine
Une colpo-hysterectomie totale suivie d'une radio-chimiothérapie
117) Vous revoyez en urgences un patient de 70 ans en neutropénie fébrile après son 2e cycle de chimiothérapie pour un cancer du poumon. Il consulte pour hyperthermie à 39.5°C, isolée sans autre point appel clinique. A l’examen clinique, la tension artérielle est à 85/60 mmHg avec une fréquence cardiaque à 90/min. Le reste de l’examen clinique retrouve des marbrures sans autre anomalie. Le patient n’est pas porteur de voie centrale. Sa radiographie pulmonaire retrouve la lésion pulmonaire tumorale lobaire supérieure droite inchangée sans autre signe. Le bilan biologique retrouve des leucocytes à 0.3 G/L, des plaquettes à 50 G/l, une hémoglobine à 78 g/L et une créatinine à 70 μmol/L. Quelle antibiothérapie probabiliste est la plus appropriée ?
Une β-lactamine active contre le pseudomonas aeruginosa type Piperacilline Tazobactam
Une pénicilline M active contre le staphylocoque type Oxacilline
Une quinolone active contre le pneumocoque type Levofloxacine
Un aminoside actif contre Escherichia coli type Gentamicine
Un glycopeptide actif contre le SARM type Vancomycine
118) Une patiente de 68 ans sans antécédent particulier commence une chimiothérapie à base de sel de platine pour un cancer du sein triple négatif avec envahissement ganglionnaire et osseux diffus. En post cure, vous avez prescrit du G-CSF, comme indiqué dans le protocole. Quinze jours après la première cure de chimiothérapie, elle présente une neutropénie fébrile à 450/mm3 sans aucun signe de gravité résolutive en moins de 48 heures. Quelle prise en charge est la plus appropriée pour les prochaine cures ?
Diminution des doses de chimiothérapie et poursuite des G-CSF
Poursuite de la chimiothérapie et des G-CSF selon les même modalités
Augmentation de la durée de prescription des G-CSF jours en post-cure
Contre indication définitive à ce type de chimiothérapie
Mise en place d'une antibioprophylaxie par quinolone à la prochaine cure
1) De garde au SAMU, vous êtes envoyé par le médecin régulateur au domicile d'un patient à 3h du matin avec une équipe. Ce patient de 60 ans est dyslipidémique et hypertendu. Votre examen physique retrouve une fréquence cardiaque à 120 bpm, une fréquence respiratoire à 22 cycles/min, une saturation en air ambiant à 92% et une apyrexie. La PA est symétrique à 120/70 mmHg. L'ECG 18 dérivations réalisé au domicile du patient retrouve un atteinte du territoire inférieur. Quelle complication devez-vous plus particulièrement redouter chez votre patient compte-tenu de la localisation de l'infarctus ?
Insuffisance mitrale aiguë
Hémopéricarde
Bloc indra-nodal de haut degré
Insuffisance cardiaque gauche aiguë
IRA sur nécrose tubulaire aiguë
2) Vous prenez en charge aux urgences un patient de 60 ans pour d'abondants saignements rouges vifs s'extérioriant par l'anus. L'examen clinique du patient est le suivant : TA=90/55 mmHg, Fc=110/min, SaO2 = 95%. L'examen clinique est sans particularité notable en dehors d'une paleur cutanéo-muqueuse. Quel examen est le plus approprié en urgence ?
Echographie abdominale
Scanner abdominopelvien avec injection
Fibroscopie oeso-gastro-duodénale
Coloscopie totale
NFS, plaquettes, bilan pré-transfusionnel
3) Vous prenez en charge aux urgences un patient de 60 ans pour d'abondants saignements rouges vifs s'extérioriant par l'anus. Ses antécédents notables sont des douleurs lombaires dues à l'arthrose pour lesquelles il a été mis sous antalgiques par son médecin traitant, et un ulcère gastrique. L'examen clinique du patient est le suivant : TA=90/55 mmHg, Fc=110/min, SaO2 = 95%. L'examen clinique est sans particularité notable en dehors d'une paleur cutanéo-muqueuse. Quelle est votre prise en charge étiologique de première intention ?
Traitement médical par mise à jeun et aspiration par sonde nasogastrique
Traitement médical par inhibiteur de la pompe à proton à haute dose en intraveineux
Hémostase endoscopique
Embolisation par radiologie interventionnelle
Traitement chirurgical avec résection de la lésion hémorragique
4) Vous prenez en charge au déchocage un patient de 65 ans, cirrhotique éthylique connu, pour hématémèse. Le patient est Child A6, et présente une hypertension portale modérée non traitée. Quel paramètre clinique recherchez-vous en priorité afin d’apprécier au mieux l’importance de l’hémorragie ?
Coloration cutanéo-muqueuse
Tension artérielle
Saturation en oxygène
Abondance de l'hématémèse
Confusion
5) Vous prenez en charge un garçon de 6 ans, sans antécédents pour douleur abdominale aiguë en fosse iliaque droite ayant débuté la veille. Vous prenez en charge son appendicite. 3 jours après votre prise en charge chirurgicale, votre jeune patient se plaint d'une douleur en regard d'une zone inflammée sur sa cicatrice opératoire. TA 110/80, pouls 90mn, Temp 37,1. Que suspectez-vous en priorité ?
Un hématome pariétal
Un abcès pariétal
Un abcès intra-abdominal
Une péritonite aiguë généralisée
Une occlusion sur bride
6) Vous avez opéré un jeune garçon de 10 ans d’une appendicectomie par Mac Burney pour appendicite aiguë non compliquée il y a 2 mois. Vous le revoyez aux urgences où il consulte pour des douleurs abdominales aiguës depuis moins de 24h. TA 120/60, pouls 80/mn, temp 38,2. Quelle complication dans les suites de sa pathologie initiale suspectez-vous ?
Abcès de paroi
Hématome
Occlusion sur bride
Péritonite aiguë
Abcès intra-abdominal
7) Vous recevez aux urgences un patient de 62 ans, fumeur actif (24 paquets-année) et diabétique de type 2. Sa femme vous explique qu'il a présenté une douleur thoracique latérale à droite il y a environ douze heures, suivie d'une toux, de frissons, et d'une sensation d'essouflement au repos qui s'est progressivement aggravée. Ses constantes sont les suivantes : température 39,8°C, PA 88/58 mmHg, FC 125 bpm, FR 38 cycles/min, saturation en oxygène percutanée 80%. La dyspnée de votre patient s'aggrave de plus en plus et il devient inconscient. Quelle prise en charge est la plus appropriée en urgence ?
Prise en charge ambulatoire et oxygénothérapie par lunettes
Hospitalisation en réanimation et oxygénothérapie par lunettes
Hospitalisation en réanimation et oxygénothérapie par masque haute concentration
Hospitalisation en réanimation et mise en place d'une technique de ventilation non invasive
Hospitalisation en réanimation et intubation endotrachéale
8) De garde en réanimation-chirurgicale, vous recevez en début d'après-midi un patient de 27 ans héliporté par le SMUR suite à un AVP en moto. Il a percuté une voiture de face en se déportant dans un virage. Il a un trauma au niveau du membre inférieur droit. Les radios des membres montrent une fracture fémorale diaphysaire simple à droite, avec un trait de fracture situé dans les 2/4 moyens. Le lendemain, alors que le réveil s'est bien passé et que le patient est stabilisé, son état neurologique se dégrade et il présente un tabeau de détresse respiratoire aiguë accompagnée d'une fièvre et de pétéchies sur la peau. Quelle complication est à évoquer en priorité devant ce tableau?
Embolie graisseuse
Thrombose veineuse profonde
Syndrome des loges
Tétanos
Gangrène gazeuse
9) Vous recevez en urgence au bloc un patient pour AVP. Sa remorque lui a comprimé les membres inferieurs pendant 6h environ et a provoqué 1 fracture tibiale gauche ouverte. Un garrot est mis en place par l'urgentiste à heure 0. Il présente soudain une tachycardie ventriculaire sans pouls. Vous venez d'effectuer 3 chocs éléctrique externes, sans évolution favorable. Quelle est la suite de la prise en charge la plus appropriée ?
Atropine 1mg
300 mg cordarone
150mg cordarone
Sulfate de magnésium
Coup de poing sternal
10) Un patient de 35ans, traité pour une infection pulmonaire à Chlamydia pneumoniae par un macrolide, est admis aux urgences à la suite d'un malaise survenu à son domicile. Il a fait un surdosage par erreur et a pris 3 fois la dose recommandée. Quelle anomalie ECG est la plus probable ?
10) Un patient de 35ans, traité pour une infection pulmonaire à Chlamydia pneumoniae par un macrolide, est admis aux urgences à la suite d'un malaise survenu à son domicile. Il a fait un surdosage par erreur et a pris 3 fois la dose recommandée. Quelle anomalie ECG est la plus probable ?
Allongement du QT
Tachycardie sinusale
Bloc auriculo-ventriculaire
Fibrillation atriale
Bradycardie sinusale
11) Vous recevez une patiente de 23 ans présentant des infections urinaire à répétition. Il est décidé de mettre en place un traitement antibioprophylactique par sulfaméthoxazole – triméthoprime. Douze jours après le début du traitement, elle est une éruption cutanée diffuse avec des vésicules et des bulles de petite taille, ainsi que des zones de décollement cutané limitées, recouvrant environ 5% de la surface corporelle. Quel diagnostic suspectez-vous ?
Eczéma
Syndrome de Lyell
DRESS syndrome
Syndrome de Stevens-Johnson
12) Une femme enceinte de 35 semaines d'aménorrhée présente des lombalgies. Quel est le principal risque cardiaque pour le foetus si une prescription d'AINS est effectuée chez cette femme enceinte ?
Aucun risque foetal
Communication inter-atriale
Bloc auriculo-ventriculaire
Tachycardie sinusale foetale
Fermeture prématurée du canal artériel
13) Une patiente de 84 ans est mise sous corticothérapie au long cours pour une maladie de Horton La patiente a comme antécédents ophtalmologiques une chirurgie de la cataracte des 2 yeux. A quel autre complication est la plus exposée la patiente en raison du traitement?
Occlusion de l'artère centrale de la rétine
Glaucome chronique
Décollement de rétine
Migraine avec aura ophtalmique
Crise aiguë de fermeture de l'angle
14) Une patiente de 84 ans est depuis longtemps traitée par corticothérapie au long cours pour une maladie de Horton. Peu compliante, elle vous annonce son souhait d’interrompre brutalement son traitement par corticoïdes. A quel risque est la plus exposée la patiente dans ce cas ?
Décompensation oedémato-ascitique
Risque infectieux
Insuffisance thyréotrope
Crise aiguë hypertensive
Insuffisance surrénale aiguë
15) Suite à la constation de plusieurs mesures de la pression artérielle élevées lors de consultations répétées, vous avez décidé de prescrire une mesure ambulatoire de la pression artérielle (MAPA) à votre patient de 68 ans. Le bilan que vous avez réalisé est en faveur d'une HTA essentielle. Vous décidez de prescrire un inhibiteur de l'enzyme de conversion en monothérapie. A quel risque le patient est il le plus probablement exposé ?
Hyperkaliémie
Hypercalcémie
Hyperuricémie
Hyperchlorémie
Hypokaliémie
16) Suite à la constation de plusieurs mesures de la pression artérielle élevées lors de consultations répétées, vous avez décidé de prescrire une mesure ambulatoire de la pression artérielle (MAPA) à votre patient de 68 ans. Le bilan que vous avez réalisé est en faveur d'une HTA essentielle. Vous décidez de prescrire un inhibiteur de l'enzyme de conversion en monothérapie. A quel effets secondaire le patient est il le plus probablement exposé ?
Aggravation d'un syndrome de Raynaud
Hyponatrémie
Agranulocytose immuno-allergique
Toux
Gynécomastie
17) Vous recevez les résultats d’un patient traité par héparine non fractionnée (TCA cible = de 1,5N   2,5N): TCA > 4N. Quel est le traitement le plus approprié ?
Transfusion de plaquettes
Injection de sulfate de protamine
Transfusion de plasma
Injection de vitamine K
Injectioin de l’adrénaline
18) Vous avez reçu en traité en hospitalisation une patiente pour phélbite du membre inférieur droit : vous avez effectué un relais HBPM - AVK. La patiente vous appelle après avoir reçu le résultat de son INR qui est à 5,3. Elle est asymptomatique. Quelle prise en charge est la plus appropriée chez cette patiente ?
Saut d'une prise d'AVK et contrôle de l'INR à +24h
Arrêt des AVK, apport de 5mg de vitamine K par voie orale et contrôle de l'INR à +24h
Poursuite du même traitement et contrôle de l'INR à +24h
Arrêt des AVK, apport de 10mg de vitamine K par voie orale, administration de concentré de complexes prothrombiniques et contrôle de l'INR 30 minutes après
Arrêt des AVK, apport de 1 à 2mg de vitamine K par voie orale et contrôle de l'INR à +24h
19) Vous avez reçu en traité en hospitalisation une patiente pour phlébite du membre inférieur droit : vous avez effectué un relais HBPM - AVK. Une semaine plus tard, la patiente présente une épistaxis de la narine droite ayant duré 20 minutes, s'étant tarie spontanément après compression locale. Son INR est à 6,7. Quelle prise en charge est la plus appropriée chez cette patiente ?
Saut d'une prise d'AVK et contrôle de l'INR à +24h
Arrêt des AVK, apport de 5mg de vitamine K par voie orale et contrôle de l'INR à +24h
Poursuite du même traitement et contrôle de l'INR à +24h
Arrêt des AVK, hospitalisation, apport de 10mg de vitamine K par voie orale, administration de concentré de complexes prothrombiniques et contrôle de l'INR 30 minutes après
Arrêt des AVK, apport de 1 à 2mg de vitamine K par voie orale et contrôle de l'INR à +24h
20) Un enfant de 4 ans est amené aux urgences par ses parents pour une intoxication au paracétamol. L'enfant a échappé à la surveillance et a bu la fin d'un flacon de paracétamol qui était resté sur une table. Quelle est la prescription la plus appropriée comme antidote ?
Flumazénil
Sulfate de protamine
Naloxone
N-acétyl-cystéine
Hydroxocobalamine
21) Les parents de la petite Raksmey, 16 mois, l’amènent aux urgences suite à une « crise de convulsion ». A l’admission, elle est en état post critique, consciente, PA 110/70 mmHg, FC 100/min, T 39°C. Vous ne retrouvez pas de porte d’entrée infectieuse évidente, en particulier l’examen cardio-pulmonaire, ORL et neuro est normal. Pendant votre examen, l’enfant récidive une crise tonico-clonique généralisée. Quelle est l’attitude la plus adaptée en urgence dans les 5 premières minutes ?
Position latérale de sécurité
Diazépam intra rectal
Diazépam intra veineux
Intubation naso-trachéale
Immersion en bain glacé
22) Un jeune homme de 25 ans est transféré de Battambang pour une hyperthermie depuis 2 jours et une confusion depuis 12h. PA 90/60 mmHg, FC 120/min, T 38,9°C, FR 26/min, SpO2 en air 97%, Glasgow 14. A l’examen Clinique, patient réveillable mais confus. Pas de syndrome méningé, pas de signes de localisation. Vous suspectez un accès palustre grave. Parmi les signes biologiques suivants, lequel est un critère de paludisme grave ?
Bicarbonates 14 mmol/l
Hémoglobine 15 g/dl
Parasitémie 2%
Glycémie 6 mmo/l
Créatinine 70 mcmol/l
23) Une patiente de 43 ans diabétique depuis 10 ans et tabagique chronique non sevrée consulte pour une baisse de l’acuité visuelle unilatérale gauche survenue brutalement il y a 6 heures. A l’examen, l’oeil gauche n’est pas inflammatoire (« oeil blanc ») et vous notez une mydriase aréactive, mais avec un réflexe consensuel normal. PA 150/90 mmHg, FC 90/min, irrégulière, T 37°C. Quelle urgence ophtalmologique vous paraît la plus probable ?
Occlusion de l’artère centrale de la rétine par embole
Glaucome aigu par fermeture de l’angle
Glaucome chronique par ouverture de l’angle
Kératite aiguë par infection virale
Occlusion de la veine centrale de la rétine par thrombose
24) Une jeune femme de 32 ans sans antécédents a eu un accident de moto à Takéo. Elle a perdu connaissance pendant 2 minutes environ d’après les témoins. Elle présente un traumatisme crânien et une douleur cervicale, une fracture fermée du tibia droit. Glasgow 15, pas de signes de localisations, auscultation cardio-pulmonaire normale, abdomen souple indolore. PA 110/70 mmHg, FC 90/min, FR 20/min, SpO2 98% en air, T 37°C. Vous décidez un transfert vers un hôpital national à Phnom Penh pour réaliser un bilan scanner et une chirurgie spécialisée. Avant le transport, quelle mesure d’urgence est la plus appropriée ?
Voie veineuse périphérique, collier cervical
Voie veineuse centrale, collier cervical
Voie veineuse centrale, expansion volémique
Voie veineuse périphérique, transfusion
Voie veineuse périphérique, oxygénothérapie
25) Un patient de 45 ans, alcoolique chronique non sevré, est admis en urgence pour un tableau de douleurs abdominales évocatrices de pancréatite. PA 110/70 mmHg, FC 100/min, T 37°C. Abdomen sensible avec défense, transit conservé. Examen cardio-pulmonaire normal. Le bilan initial retrouve : Globules blancs 14 G/l, Hb 14 g/dl, Plaquettes 170 G/L, ASAT 200 (4 x N), Glycémie 15 mmol/L. Vous évaluez la gravité initiale de cette pancréatite avec les 5 critères du score de RANSON à la phase initiale. Quel critère biologique manque t il pour pouvoir calculer ce score de gravité ?
LDH
ALAT
Bilirubine totale
CRP
Lipase
26) Un enfant de 5 ans est amené aux urgences pour une céphalée de début rapidement progressif il y a 6 heures. Il avait été vu par son médecin pour une sinusite aiguë de l’éthmoïde il y a 24h et mis sous antibiotiques. A l’examen, PA 100/50 mmHg, FC 120/min, T 38,7°C. Vous notez un oedème inflammation palpébral supéro-interne et une exophtalmie irréductible. Quelle complication suspectez-vous en urgence?
Cellulite péri-orbitaire
Thrombophlébite cérébrale
Staphylococcie de la face
Ostéomyélite de l’ethmoïde
Ostéomyélite des sinus
27) Un enfant de 4 ans est amené aux urgences par ses parents pour des lésions cutanées noires au niveau du tronc et des extrémités des 4 membres. Les lésions sont apparues très rapidement ces 6 dernières heures, au début de 1-3 mm puis extensives. Les lésions ne disparaissent pas à la vitropression. PA 80/40 mmHg, FC 120/min, T 38,7°C. Enfant somnolent et hypotonique, Glasgow 9. Qu’est-ce que vous évoquez en urgence?
Un purpura fulminans
Un exanthème morbilliforme
Un exanthème scarlatiniforme
Un purpura rhumatoïde
Une fièvre
28) Un patient âgé de 23 ans est admis aux urgences pour fièvre depuis 4 jours. A l’examen clinique, PA 110/60, FC 120/min, T 38,5°c, score de Glasgow à 15, éruption maculo-papuleuse. La biologie retrouve une thrombopénie à 34 000/mm3. Vous suspectez une dengue. Selon la classification de l'OMS, lequel des signes suivants est un critère d’alarme (« warning signs »)?
Saignements muqueux
Rash cutané
Diarrhées répétées
Douleurs articulaires
Saignement cutané
29) Le petit Sophors, 2 ans, est amené par ses parents aux urgences pédiatriques pour altération récente de l’état général et douleurs abdominales. Il n’a pas d’antécédents. Sa courbe staturo-pondérale est satisfaisante, son calendrier vaccinal à jour. A l’examen : PA 100/50mmHg, FC 100/mn, T 37°4. Après votre interrogatoire et examen physique, vous évoquez le diagnostic d’invagination intestinale aiguë. Devant les vomissements répétés, vous procédez à l'évaluation de l'état d'hydratation de Sophors. Quel est le signe le plus spécifique d'un état de déshydratation extracellulaire
Pli cutané
Hypertension artérielle
Tachycardie sinusale
Sécheresse muqueuse
Soif intense
30) Le petit Sophors, 2 ans, est amené par ses parents aux urgences pédiatriques pour altération récente de l’état général et douleurs abdominales. Il n’a pas d’antécédents. Sa courbe staturo-pondérale est satisfaisante, son calendrier vaccinal à jour. A l’examen : PA 100/50mmHg, FC 100/mn, T 37°4. Après votre interrogatoire et examen physique, vous évoquez le diagnostic d’invagination intestinale aiguë. Vous réalisez un bilan biologique qui retrouve : Na 140 mmol/l, K 2,2 mmol/l, Créat 150 micromol/l, urée 13 mmol/l, plaquettes 300 G/l, GB 15 G/l. Quel signe ECG est le plus probable en faveur d'une hypokaliémie ?
Ondes T plates ou négatives dans toutes les dérivations
Ondes T amples, positives et symétriques dans toutes les dérivations
Ondes T amples, positives et symétriques dans le territoire inférieur
Ondes T plates ou négatives dans les 3 dérivations inférieures
31) Le petit Sophors, 2 ans, est amené par ses parents aux urgences pédiatriques pour altération récente de l’état général et douleurs abdominales. Il n’a pas d’antécédents. Sa courbe staturo-pondérale est satisfaisante, son calendrier vaccinal à jour. A l’examen : PA 100/50mmHg, FC 100/mn, T 37°4. Après votre interrogatoire et examen physique, vous évoquez le diagnostic d’invagination intestinale aiguë. Le bilan clinique et radiologique initial confirme le diagnostic d’invagination intestinale aigüe avec des signes biologiques de déshydratation extracellulaire. Quelle prise en charge est la plus adaptée?
Lavement aux hydrosolubles
Spasmolytiques intraveineux
Désinvagination chirurgicale
Coloscopie interventionnelle
Prokinétiques intraveineux
32) Le petit Sophors, 2 ans, est amené par ses parents aux urgences pédiatriques pour altération récente de l’état général et douleurs abdominales. Il n’a pas d’antécédents. Sa courbe staturo-pondérale est satisfaisante, son calendrier vaccinal à jour. A l’examen : PA 100/50mmHg, FC 100/mn, T 37°4. Après votre interrogatoire et examen physique, vous évoquez le diagnostic d’invagination intestinale aiguë. Avant que le traitement soit réalisé, l’enfant présente un état de choc et un coma. A l’examen, PA 60/30, FC 130/mn, température 37,5°C, FR 40/min, marbrures et apathie. Quel diagnostic le plus probable évoquez-vous en urgence?
Choc hypovolémique
Choc septique
Choc cardiogénique
Choc anaphylactique
Choc obstructif
33) Vous recevez une patiente pour oeil rouge et douloureux. Dans quelle situation est-il recommandé de rechercher une maladie de système dès le 1er épisode ?
Crise aiguë de fermeture de l'angle
Conjonctivite papillaire
Kératite
Conjonctivite folliculaire
Sclérite
34) Vous recevez à votre consultation Mme V., 53 ans, professeur de français. Elle est tabagique à 25 paquets-année et est atteinte d’endométriose. Elle se plaint de céphalées rétro-orbitaires persistantes et irradiant au vertex depuis plusieurs jours. Vous pensez à un diagnostic de sinusite sphénoïdale mais vous ne retrouvez pas d’écoulement purulent à la rhinoscopie. Quel est le diagnostic différentiel à évoquer devant ce tableau clinique ?
Hématome sous-dural aiguë
Accident ischémique transitoire
Hypertension intracrânienne
Névralgie du trijumeau
Hyperthyroïdie
35) Vous recevez à votre consultation une jeune femme de 27 ans. Elle est esthéticienne et n’a pas d’antécédents particuliers. Elle se plaint d’une douleur et d’une rougeur de l’annulaire gauche depuis quelques jours. Vous constatez à l’examen clinique une collection périunguéale avec des signes locaux d'inflammation, de la fièvre, une adénopathie épitrochléenne et un écoulement de pus en surface. Quel est le diagnostic le plus probable devant ce tableau ?
Panaris périunguéal au stade inflammatoire
Panaris périunguéal au stade collecté
Panaris périunguéal collecté compliqué d'une fistulisation
Panaris périunguéal collecté compliqué d'une ostéite
Panaris périunguéal collecté compliqué d'une arthrite
36) Vous suivez un patient de 55 ans porteur d’hypertrophie bénigne de la prostate. Après un évolution défavorable, vous avez réalisé une prise en charge chirurgicale : l’intervention s’est déroulée sans complication, et vous laissez sortir le patient. A quel risque est le plus exposé ce patient à long terme ?
Prostatite
Dysfonction érectile
Incontinence urinaire
Sténose du col vésical
Éjaculation rétrograde
37) Mr X, 55 ans, est admis aux urgences pour un myélome multiple avec hypercalcémie. Son examen clinique retrouve une tension artérielle à 125/80 mmHg, une fréquence cardiaque à 85/min. Le patient est apyrétique. Un électrocardiogramme est réalisé. Parmi les manifestations électrocardiographiques suivantes, laquelle serait la plus évocatrice d'une hypercalcémie avec signes de gravité ?
Allongement de l’espace QT
Sous-décalage de l'espace PQ
Ondes T amples et pointues
Ondes de Pardee (sus-décalage de l'espace ST)
Raccourcissement de l'espace QT
38) Une jeune femme de 30 ans est amenée par son mari à votre cabinet car elle présente des céphalées très intenses depuis le début de la matinée. A l’examen clinique vous notez quelques éléments purpuriques des membres inférieurs et ses constantes sont les suivantes : TA 90/50 mmHg; pouls 120 /min; T° 39°C. Quel est le meilleur traitement à administrer dans ce cas?
Ceftriaxone 50 mg/kg puis dexamethasone 20 mg
Dexaméthasone 10 mg puis ceftriaxone 25 mg/kg
Dexaméthasone 20 mg puis ceftriaxone 50 mg/kg
Dexaméthasone 10 mg puis ceftriaxone 50 mg/kg
Ceftriaxone 25 mg/kg puis gentamycine 5mg/kg
39) Une patiente de 45 ans est hospitalisée dans votre service pour une tuberculose pulmonaire. Son examen clinique retrouve une tension artérielle à 136/77 mmHg, une fréquence cardiaque à 85/min et une température à 38°C. Dans le cadre du bilan de cette tuberculose, une co-infection virale doit être systématiquement recherchée. Quelle sérologie complémentaire devez-vous demander pour votre patiente?
VIH
VHB
CMV
HHV6
Parvovirus B19
40) Vous voyez pour la première fois en consultation une jeune femme de 25 ans, adressée par son médecin traitant dans le cadre de la découverte d’une séropositivité pour le VIH. Ses constantes sont les suivantes PA 120/70, pouls 65/min, T° 37°C. Quelle complication classe recherchez-vous en faveur d’un stade 4 OMS?
Tuberculose pulmonaire dans l'année
Leucoplasie chevelue de la langue
Candidose vulvovaginale persistante
Tuberculose ganglionnaire
Pneumopathie bactérienne sévère
41) Un homme de 40 ans est hospitalisé en soins intensifs dans le cadre d’une fièvre avec confusion. Ses constantes sont les suivantes : PA 80/45 mmHg, pouls 120/min, T°39,2°C. Le bilan biologique est le suivant : Hb 5,2g/dl, Plaquette 40G/L, Glycémie 2,2mmol/L, Frottis Goutte épaisse positif. Quelle espèce est la plus proablement en cause dans ce cas ?
Plasmodium knowlesi
Plasmodium falciparum
Plasmodium malariae
Plasmodium ovale
Plasmodium vivax
42) Vous examinez une femme de 40 ans à votre cabinet pour une dyspnée dans un contexte fébrile depuis 48 heures. Elle présente une toux productive. Les constantes sont les suivantes : PA 110/60, pouls 100/min, t° 38,5°C, Sp02 94%. A l’examen vous retrouvez des crépitants en foyer. Quel score, facilement calculable en médecine ambulatoire, est le meilleur indicateur de gravité dans ce cas ?
Score CRB65
Score de Genève
Score de Bold
Score de Glasgow
Score de Borg
43) Interne de garde à l'Hôpital National Pédiatrique, vous accueillez le petit Chanty, 18 mois, amené par sa mère pour une fièvre importante associée à des frissons et une altération de l'état général. A l’examen clinique, la température est à 39.2°C, la tension artérielle à 90/60 mmHg, la fréquence cardiaque à 95/min. L’auscultation cardiopulmonaire est normale, l’examen cutané retrouve des éléments purpuriques. Quel traitement administrez-vous en urgence avant tout prélèvement ?
Peni G 100 000 unités/kg
érythromycine 10 mg/kg
Vancomycine 15mg/kg
Ceftriaxone 50 mg/kg
Aciclovir 20 mg/kg
44) De garde en réanimation, vous recevez Melle Chovyvann, 27 ans, amenée par sa famille pour hyperthermie à 39,4° et altération de l'état général depuis 48 heures. A l'examen physique, la patiente est pâle, marbrée aux genoux, son Glasgow est à 14. Vous notez : fréquence respiratoire à 34/min, SpO2 88%, fréquence cardiaque 126/min, pression artérielle 70/50 mmHg, oligurie. Quel est le traitement à débuter en urgence ?
Diurétiques de l'anse type furosémide
Hydratation par Glucosé 5% 500 ml/24H Paracétamol 1 gramme intraveineux
Antibiothérapie large spectre type pipéracilline-tazobactam
Transfusion en urgence par 2 concentrés globulaires
Paracétamol 1g x 3/Jour
45) Une agricultrice de 54 ans est hospitalisée dans votre service pour une hématémèse. L’examen clinique retrouve des signes cliniques d’hypertension portale. L’hémodynamique est conservée, la numération de formule sanguine met en évidence une hyperéosinophilie. L’échographie abdominale retrouvedes nodules hépatique et splénique avec hypertension portable sévère. La sérologie revient positive en IgM pour Schistosoma mekongi. Quel est le traitement le plus approprié ?
Ivermectine
Albendazole
Praziquentel
Diéthylcarbamazine
Metronidazole
46) Un de vos patients, connu pour une BPCO de stade 2 stable, consulte aux urgences pour une dyspnée aiguë survenue brutalement il y a 2 heures. Sa saturation en air ambiant est à 84%, sa fréquence respiratoire est à 38/min, il est fébrile à 38.2°C. La tension artérielle est à 130/80 mmHg, avec une fréquence cardiaque à 85/min. L’auscultation retrouve des ronchii du champ pulmonaire droit. Les gaz du sang en urgence montre un pH à 7.38, une pO2 à 50 mmHg et une pC02 à 43 mmHg. Quel est le traitement à débuter en première intention et en urgence à ce patient ?
Ventilation non-invasive
Diurétique intraveineux
Oxygène
Salbutamol intraveineux
Ventilation invasive
47) Vous suivez un patient de 23 ans pour un asthme allergique. Il vous consulte aujourd'hui car ses crises sont de plus en plus fréquentes à raison de 3 à 4 par semaine, avec des crises nocturnes. La prise de bronchodilatateur de courte durée d’action environ 5 fois par semaine le soulage bien. Votre examen retrouve une auscultation pulmonaire normale. UneFfréquence respiratoire à 21/minute; un pouls à 68 bpm; une tension artérielleà 126/78mmHg et une SpO2 à 100%. Son peak-flow (DEP) est à 650 L/min comme à son habitude à l'état stable. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Asthme bien contrôlé
Asthme partiellement contrôlé
Asthme non contrôlé
Exacerbation asthme en crise modérée
Asthme aigu grave
48) Vous voyez en consultation en urgences un patient de 25 ans pour récidive d’un pneumothorax. Il a déjà présenté il y a 2 ans un pneumothorax droit complet. Il n’a pas de comorbidités. A l’examen clinique sa tension est à 140/80 mmHg, la fréquence cardiaque à 90/min, la fréquence respiratoire à 30/min, et la saturation en air à 93%. L’auscultation pulmonaire retrouve une abolition du murmure vésiculaire à droite. La radiographie pulmonaire confirme le pneumothorax droit complet non compressif. Quelle stratégie thérapeutique proposez-vous pour cette récidivede pneumothorax ?
Drainage thoracique exclusif à droite
Pleurodèse à droite
Exsufflation à l’aiguille à droite
Thoracostomie droite
Pleurodèse à gauche
49) Vous voyez en consultation en urgence une patiente de 35 ans, pour douleur thoracique. Elle est suivie habituellement pour un cancer du sein. A l’examen clinique vous retrouvez une tension à 125/70 mmHg, une fréquence cardiaque à 65/min et une saturation à 96%. L’auscultation pulmonaire retrouve une diminution du murmure vésiculaire de la base gauche. Vous faite une ponction pleurale exploratrice. Le cliché pulmonaire de contrôle est le suivant. Quelle est votre prise en charge en urgence?
Oxygénothérapie
Exsufflation à l’aiguille
Drainage thoracique
Surveillance simple
Ventilation non invasive
50) Vous revoyez en consultation de suivi un jeune patient de 23 ans, un mois après la mise en place d’un traitement neuroleptique dans le cadre d’une psychose débutante. Devant son traitement, qu’allez-vous rechercher an priorité chez ce patient à l’examen clinique ?
Une crise tonico-clonique
Une dyskinésie aiguë
Un syndrome malin
Une constipation opiniâtre
Une hypotension orthostatique
51) Vous examinez une patiente de 40 ans qui se présente seule aux urgences pour une attaque de panique. Celle-ci se connait bien car elle a déjà présenté des épisodes similaires dans les mois précédents. Quel élément de gravité allez-vous rechercher en priorité lors de l'entretien
Une addiction à l'alcool
Une addiction aux benzodiazépines
Un risque suicidaire
Un trouble obsessionnel compulsif
Un syndrome dépressif
52) Vous recevez aux urgences un patient de 65 ans pour céphalées. Dans ses antécédents on retrouve seulement un éthylisme chronique. A l’examen clinique, sa tension artérielle est à 155/80 mmHg avec une fréquence cardiaque à 80/min. Les céphalées sont modérées, le patient est nauséeux mais n’a pas vomit. Il est obnubilé avec un score de Glasgow à 14. L’examen neurologique ne retrouve pas de déficit. Le scanner cérébral réalisé en urgence montre un hématome intra-parenchymateux de 2 cm. Vous le gardez en hospitalisation pour surveillance. Le patient présente une élévation de tension artérielle. Quelle valeur de pression artérielle systolique maximale est la plus appropriée dans ce cas?
160 mm Hg
180 mm Hg
200 mm Hg
220 mm Hg
240 mm Hg
53) Vous recevez aux urgences une patiente de 40 ans pour céphalées brutale associée initialement à un malaise syncopal. Il n’a pas d’antécédent particulier. Elle présente des nausées avec vomissement depuis son admission. Les céphalées sont intenses, de siège occipital. L’examen clinique retrouve une température à 38°C, une tension artérielle à 160/90 mmHg avec une fréquence cardiaque à 70/min. L’examen neurologique retrouve une raideur de nuque, ainsi qu’une diplopie. La patiente est obnubilée avec un score de Glasgow est à 14. Quel est le premier diagnostic à rechercher en urgence ?
Accident vasculaire ischémique
Dissection carotidienne
Thrombose veineuse profonde cérébrale
Méningite purulente
Hémorragie méningée
54) Vous recevez en soins continu une patiente de 33 ans en état de mal épileptique convulsif depuis plus de 30 min. Son examen clinique retrouve une tension artérielle à 135/80 mmHg, avec une fréquence cardiaque à 80/min. A l’examen clinique, elle présente une crise tonico-clonique généralisée, sans signe déficitaire. Son score de Glasgow est à 10. Vous débuter un traitement intraveineux par benzodiazépine et phénytoïne. Qu’allez-vous surveiller en priorité pendant la perfusion
Diurèse
Saturation pulsée en oxygène
éléctrocardiogramme
éléctroencéphalogramme
Tension artérielle
55) Monsieur H, 75 ans est adressé aux urgences de votre hôpital suite à un accident de voiture à haute cinétique (90 km/h) compliqué d'une probable fracture splénique. Ses principaux antécédents sont une hypertension artérielle,une hypercholestérolémie, un éthylo-tabagisme non sevré. L’examen clinique retrouve une tension artérielle à 70/40 mmHg, une fréquence cardiaque à 120/min et une température à 36°C. L'hémogramme à l'admission retrouve: Hémoglobine: 6g/dL, VGM 80fL, Leucocytes : 7,4G/L sans anomalies à la formule. Plaquettes: 360G/L. Quelle complication secondaire à l'anémie devez-vous craindre en priorité chez ce patient ?
Coma
Détresse respiratoire aigue
Ischémie aigue des membres inferieurs
Syndrome coronarien aigu
Insuffisance rénale aigue
56) Monsieur S, 82 ans est admis aux urgences pour l'apparition de multiples ecchymoses. Monsieur S présente comme principaux antécédents une hypertension artérielle sous amlodipine et une arythmie cardiaque par fibrillation auriculaire traité par warfarine sodique. Cliniquement vous retrouvé un patient apyrétique, stable sur le plan hémodynamique présentant de multiples ecchymoses sur l'ensemble du corps. Le bilan biologique demandé en urgence retrouve : Hb: 9,8g/dL, VGM: 103fl, leucocytes: 5,5G/L sans anomalie à la formule, plaquettes: 33G/L. INR: 6,3. Vous lui faites arrêter immédiatement la Warfarine. Quelle est l’attitude thérapeutique la plus appropriée ?
Transfusion de plaquette et surveillance clinique simple
Transfusion de plaquettes et corticothérapie
Corticothérapie et surveillance simple
Administration de vitamine K et corticothérapie
Administration de vitamine K et transfusion de plaquettes
57) Vous voyez aux urgences un patient de 55 ans pour céphalées avec paresthésie du membre supérieur droit apparu depuis le matin. Il n’a pas d’antécédent particulier ni de traitement. Il est fumeur non sevré à 40 paquets-année. A l’examen clinique vous retrouvez une tension artérielle à 200/115 mmHg, une fréquence cardiaque à 90/min. Le Glasgow est à 15. L’examen clinique retrouve un déficit à 4/5 du membre supérieur droit sans autre anomalie. Quelle est la première chose à faire dans votre prise en charge en urgence ?
Echographie cardiaque
Antiagrégant plaquettaire
Anti hypertenseur intraveineux
Scanner cérébral
Héparinothérapie curative
58) Un homme âgé de 82 ans consulte aux urgences pour une aggravation très récente d’une dyspnée d’effort. A l’examen, le patient présente une dyspnée avec des crépitants jusqu’à mi champ pulmonaire, il est pâle et des genoux sont marbrés. Ses constantes sont les suivantes : PA 95/50mmHg, pouls 90/min, T°37°C, Sp02 91%. Vous réalisez un électrocardiogramme. Quelle étiologie grave est la plus probable concernant l’aggravation de l'insuffisance cardiaque de votre patient?
Un événement ischémique
Un trouble du rythme
Une atteinte valvulaire
Une cardiopathie dilatée
Une cardiopathie hypertrophique
59) Une femme de 69 ans est admise aux urgences pour dyspnée aiguë. Elle est atteinte d'un adénocarcinome gastrique métastatique avec compression médiastinale. Vous notez une PA à 105/60 même Hg, une SaO2 à 92% sous 6L. Elle n'a pas de signe de choc périphérique. Elle présente également un mollet droit rouge et douloureux. Vous suspectez une embolie pulmonaire sub-massive. Quel critère électrocardiographique est le plus spécifique de ce diagnostic ?
Tachycardie sinusale régulière
Bloc de branche droite incomplet
Sous décalage du segment ST en latéral
Onde S en DI et Q en DIII
Ondes T négatives de V1 à V3
60) Lors de la visite médicale dans le service d’orthopédie, vous êtes frappé par une patiente de 70 ans, légèrement dyspnéique à J5 d’un enclouage pertrochantérien. Vous demandez ses constantes qui sont les suivantes : PA 95/50 mmHg, pouls 115/min, T° 38,1. Le mollet homolatéral à la fracture est chaud et oedématié. Quel est le meilleur signe clinique surveillez-vous qui vous orienterait vers une embolie pulmonaire grave ?
Une hypoxie avec désaturation < 92%
Une tachycardie > 110 / minute
Une tachypnée > 16/minute
Une hypotension avec PAS < 90 mmHg
Une embolie pulmonaire récidivante
61) Aux urgences, vous examinez un patient de 55 ans, éthylique chronique, présentant des troubles de la vigilance dans un contexte évident d’intoxication éthylique aiguë. Devant ces troubles de la vigilance sans agitation, vous effectuez de principe une mesure de la glycémie capillaire. Celle-ci est à 0,39 g/L. Quel est le meilleur traitement à mettre administrer en urgence chez ce patient?
Ampoule de Glucagon puis ampoule de vitamine B1
Ampoule de G30 (30g/l) puis serum physiologique
Ampoule de G30 (30g/l) puis une ampoule de vitamine B1
Serum glucosé type G10% (10g/l) puis serum physiologique
Ampoule de G30 (30g/l) puis d’une ampoule de vitamine C
62) Une patiente âgée de 83 ans, diabétique depuis de nombreuses années, est amenée par sa fille car elle n’arrive plus à marcher depuis plusieurs jours car son pied droit lui fait mal. Pour faire l’examen clinique, vous devez défaire un gros pansement tâché pour voir le pied. Devant cette situation évoquant un mal perforant plantaire, quel signe clinique qui doit vous orienter le plus vers une hospitalisation en urgence
Une abolition du pouls pédieux homolatéral
Un érysipèle homolatéral avec fièvre associée
Un contact osseux au niveau d’une plaie creusante
Une plaie ne cicatrisant pas depuis plus de 3 mois
Une douleur neuropathique rebelle au traitement
63) Aux urgences, un patient de 45 ans consulte pour une asthénie intense associée à des douleurs abdominales depuis plusieurs jours. Il a un antécédent de tuberculose ganglionnaire. Le scanner abdominal ne retrouve aucune étiologie digestive à cette douleur ; le patient semble très déshydraté avec une langue rôtie. Dans ce contexte, vous suspectez une insuffisance surrénalienne aiguë. Quel est le meilleur examen permettant de déterminer la gravité de la situation?
Ionogramme (Na, K, urée, créatinine)
Cortisolémie à 8 heures à jeun
Numération formule sanguine
Enzymes musculaires (CPK, LDH)
Test au Synactène à midi
64) Un homme de 55 ans consulte aux urgences pour hématémèse ayant débuté il y a quelques heures. A l’interrogatoire, il a vomi trois verres de sang. A l’examen physique, le patient est pâle et asthénique. Ses constantes sont les suivantes : PA 80/50 mmHg, pouls 125/min, T° 36,7, SPO2 97%. Quel signe clinique est le plus spécifique d’un état de choc ?
La pâleur conjonctivale
Les marbrures
La confusion
Les sueurs
La tachycardie
65) Aux urgences, vous examinez une patiente âgée de 38 ans qui consulte pour douleur abdominale intense. A l’examen physique, vous constatez une contracture abdominale. Ses constantes sont les suivantes : pouls 130/min, PA 80/45 mmHg, T° 37,6°. Quelle est la meilleure attitude thérapeutique à adopter en urgence chez cette patiente ?
Une intervention chirurgicale
Un traitement antibiotique à large spectre
Une sonde nasogastrique en aspiration
Une fibroscopie oesogastro-duodénale
Un traitement antalgique de palier 3
66) Aux urgences, vous examinez une femme âgée de 41 ans. Celle-ci est victime d’une diarrhée aiguë depuis 72 heures. Elle présente des signes de déshydratation sévère avec un pli cutané, des yeux enfoncés dans les orbites. Ses constantes sont les suivantes : PA 85/50 mmHg, pouls 115/min, T° 37,8°. Quelle est la prise en charge la plus adaptée dans les premières heures ?
2 à 4 l de soluté de réhydratation par voie orale
100 ml/kg de glucosé 5% (G5%) intra-veineux
2 à 4 l d'eau associés à des oligoéléments par voie orale
2 litres de G5% associés à de la vitamine B1 intraveineuse
100 ml/kg de serum salé isotonique intra veineux
67) Vous voyez aux urgences chirurgicales, un homme de 52 ans adressé pour hernie ombilicale. Il est suivi pour un artériopathie sous Kardegic 75 mg/jour. A l’examen clinique, tension artérielle à 140/90 mmHg, fréquence cardiaque à 85/min. A la palpation, la hernie est douloureuse, tendue et irréductible. Quelle est la prise en charge la plus approprié?
Intervention chirurgicale d’emblée
Confirmation diagnostique par imagerie
Lavement baryté
Hospitalisation et surveillance rapprochée
Port d'une ceinture de contention abdominale
68) Vous examinez aux urgences une patiente de 15 ans, qui consulte pour douleur abdominale aiguë. Celle-ci est une diabétique connue, sous insulinothérapie. A l’examen, son abdomen est sensible ; ses constantes sont les suivantes : PA 90/50, pouls 130/min, T° 36,8. La bandelette urinaire retrouve une glycosurie à 4 croix et une cétonurie à 4 croix. En dehors de la gazométrie, quel est l’examen le plus approprié pour évaluer la gravité biologique de la situation ?
Ionogramme sanguin
Enzymes musculaires
Numération de formule
Facteurs de coagulation
Enzymes hépatiques
69) Dans le cadre de vomissements très importants, secondaires à une intoxication alimentaire chez un garçon de 8 ans, vous faites réaliser un ionogramme sanguin retrouvant : Na+ 140 mmol/L ; K+ 2 mmol/L ; HCO3- 15 mmol/L ; protidémie 85 g/L ; créatinine 60 μmol/L ; urée 8 mmol/L. Quel signe de gravité le plus probable recherchez-vous sur l'électrocardiogramme (ECG) que vous réalisez en urgence ?
Raccourcissement du segment QT
Aplatissement des ondes T
Bloc de branche droit
Torsade de pointe
Sus-décalage du segment ST
70) Une jeune patiente de 16 ans, diabétique sous insulinothérapie, est amenée par sa soeur aux urgences car elle a présenté une première crise convulsive généralisée. A l’examen clinique, elle semble avoir complètement récupéré, est légèrement somnolente, sans déficit focal associé. Ses constantes sont normales. Quel examen vous parait le plus urgent ?
Une bandelette urinaire
Un scanner cérébral
Une glycémie capillaire
Une ponction lombaire
Un électroencéphalogramme
71) Vous recevez un patient de 34 ans, sans antécédent, présentant une dengue avec des épistaxis et gingivorragies spontanés, une tension artérielle à 80/60, une fréquence cardiaque à 120/min, un score de Glasgow à 15, une augmentation de son hématocrite de 24% par rapport aux chiffres habituels et une thrombopénie à 34 000/mm3. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Dengue simple
Dengue hémorragique grade 1
Dengue hémorragique grade 2
Dengue hémorragique grade 3
Dengue hémorragique grade 4
72) Vous prenez en charge aux urgences une patiente de 65 ans pour ictère et hyperthermie à 38.5°C. La patiente est suivie dans votre hôpital en oncologie pour un cholangiocarcinome métastatique hépatique et ganglionnaire (hile hépatique). A l’examen clinique, on retrouve un ictère cutanéo-muqueux. La tension artérielle est à 100/70 mmHg, avec une fréquence cardiaque à 95/min. Le bilan biologique fait en urgence retrouve en particulier : leucocytes à 12 G/L, bilirubine totale à 70 μmol/L. L’échographie abdominale confirme la dilatation des voies biliaires intra-hépatiques droites. Quel traitement est le plus approprié?
Antibiothérapie probabiliste et prothèse biliaire par voie endoscopique
Antibiothérapie probabiliste sans prothèse biliaire
Antibiothérapie probabiliste et drainage des voies biliaires par voie percutanée
Antibiothérapie probabiliste et cholécystectomie à distance
Antibiothérapie probabiliste et cholécystectomie en semi-urgence
73) Vous voyez aux urgences, une patiente de 45 ans, pour métrorragies importantes. L’examen clinique retrouve une tension à 120/80 mmHg et une fréquence à 80/min. Le toucher vaginal est anormal avec un col macroscopiquement anormal. Vous suspectez un cancer du col de l’utérus, quel examen serait le plus approprié pour faire le diagnostic histologique de cette lesion ?
Frottis cervico vaginal
Conisation
Biopsie à la pipelle de cornier
Endoscopie
Colposcopie
74) Vous recevez aux urgences une patiente de 49 ans, suivie pour un cancer du sein. Elle a bénéficié il y a 8 jours de sa 2e cure de chimiothérapie adjuvante par DOCETAXEL. Elle se présente pour une hyperthermie à 39.5°C avec des diarrhées à raison de 5 par jour, associé à des nausées. Elle n’a pas d’autre antécédent. A l’examen clinique, la tension artérielle à 90/50 mmHg, sa fréquence cardiaque à 100/min, sa fréquence respiratoire à 22/min et la saturation à 90% en air ambiant. Elle n’a pas de marbrures. Ella a soif et présente un pli cutané. Le laboratoire vient de vous appeler pour vous prévenir que les leucocytes sont à 0.4 G/L, les plaquettes à 45 G/L et l’hémoglobine à 75 g/L. Quel est le traitement que vous mettez en place en priorité ?
Transfusion de culots globulaire
Antibiothérapie
Oxygénothérapie
Facteurs de croissance hématopoïétique (G-CSF)
Perfusion de Glucosé 5%
1) Une patiente de 35 ans se présente en consultation de suivi de grossesse. Vous suspectez une hypertension artérielle (HTA) gravidique. Concernant la définition de l’HTA gravidique, quelle est l’association exacte de critères de diagnostic positif ? PAs = Pression Artérielle systolique; PAd = PA diastolique; SA = Semaines d’Aménorrhées
PAs≥ 140 mmHg PAd≥ 90 mmHg Après 20 SA
PAs≥ 140 mmHg PAd≥ 90 mmHg Avant 20 SA
PAs≥ 150 mmHg PAd≥ 100 mmHg Avant l'existance de la grossesse
PAs≥ 150 mmHg PAd≥ 100 mmHg Au cours du travail
PAs≥ 150 mmHg PAd≥ 100 mmHg Après la période de suite de couche
2) Une patiente de 35 ans se présente aux urgences à 30 SA de grossesse pour des céphalées. A l’examen vous trouvez une hypertension artérielle (HTA) gravidique et vous suspectez une pré-éclampsie. Quelle association de critères définit la pré-éclampsie sévère? PAs = Pression Artérielle systolique ; PAd = PA diastolique ; SA = Semaines d’Aménorrhées ; BU = Bandelette Urunaire ; NF : numération Formule sanguine ; BH : bilan hépatique ; N = Normale
PAs≥ 160 mmHg PAd≥ 110 mmHg BU : Protéinurie ≤ 1 +
PAs≥ 150 mmHg PAd≥ 100 mmHg BU : Hématurie ≥ 1 +
PAs≥ 160 mmHg PAd≥ 100 mmHg NF : Plaquettes ≥200 G/L
PAs≥ 160 mmHg PAd≥ 100 mmHg BU : Hématurie ≥ 1 +
PAs≥ 160 mmHg PAd≥ 100 mmHg BH : transaminases ≥ 2N
3) Melle R, âgée de 25ans, primipare, vient d’accoucher d’un gaçon vivant pesant 3,5kg, 10 minutes après la délivrance dirigée, la sage femme alerte à son médecin de garde pour la rétention totale du placenta Quelle étiologie devez-vous rechercher devant une aménorrhée secondaire avec des gonadotrophines augmentées et un test aux progestatifs négatif ?
Hyperoestrogénie relative
Insuffisance lutéale
Insuffisance ovarienne précoce
Syndrome de Sheehan
Hyperthyroïdie
4) Aménorrhée secondaire et désir de grossesse à 21 ans (dossier N*23 BENJAMIN). Madame M, 21ans, consulte pour aménorrhée secondaire, apparue après une longue période de spanioménorrhée. Mariée depuis 2 ans, elle est désireuse d’une grossesse, et n’a jamais utilisé de moyens contraceptifs. Elle ne prend aucun médicament. Elle a été réglée à l’âge de 13 ans, avec des cycles longs et irrégulier. On note une obésité modérée de type androïde, ainsi qu’une acné non inflammatoire, et une hyper-séborrhée du cuir cheveulu. Sa tension est à 110/60mmHg. Une dame 33 ans venant consulter au votre cabinet de consultation pour hémorragie génitales de 30 SA et de douleur abdominal, sa TA est 150/90mmHg. Quel type de l’insertion du placenta qui n’indique pas le placenta praevia ?
Placenta latéral
Placenta postéro-fondique
Placenta marginal
Placenta recouvrant
Placenta partiellement recouvrant
5) Madame B, 48 ans, d’origine africaine, consulte en urgence pour saignement important par voie vaginale : Docteur, je me suis changée 10 fois depuis ce matin et ça fait 10j que ça dure. Je suis très fatigué, cela fait 3 mois que je saigne beaucoup plus pendant mes règles et parfois aussi en dehors des règles. A l’interrogatoire : Teste urinaire de grossesse négative (fait par elle-même). G3 P3 A0. Ménarche à 12 ans, règles régulières, pas encore ménopausée. Contraceptif orale par oestro-progestatif depuis plus de 10 ans.FCV normale il y a 1 ans. A l’examen : TA=105/62, poule= 106/min, température 37,3C ; Abdomen indolore, Spéculum : col sain, écoulement abondant de sang provenant endo-utérine. TV : utérus augmente de volume, forme irrégulière, annexes non perceptible, aucun douleur déclenché par TV. Quel est le terme médicale pour décrire ce symptôme?
Saignement génitale
Métrorragie
Ménorragie
Méno- métrorragie
Hémorragie vaginale
6) Une femme 35 ans présentant un cancer du col au stade IIA, évalué à 3cm, sans envahissement métastatique ganglionnaire et viscéral, Quelle prise en charge thérapeutique proposez-vous ? A quelle l’âge qu’on doit être effectué le frottis cervico-vaginal en général chez les femmes ?
Après la puberté tous les 3ans jusqu’à 65 ans
Après la marriage tous les 3ans jusqu’à 65 ans
A n’importe quel âge tous ans
A 25 ans tous les 3ans jusqu’à 65 ans
A 40ans tous les 3 ans jusqu’à 65 ans
7) Une femme 35 ans présentant un cancer du col au stade IIA, évalué à 3cm, sans envahissement métastatique ganglionnaire et viscéral, Quelle prise en charge thérapeutique proposez-vous ? Quels sont les principaux types de HPV en cause du cancer du col utérin ?
HPV types 11 et 12
HPV types 16 et 18
HPV types 21 et 22
HPV types 42 et 35
HPV types 110 et 180
8) Une femme 35 ans présentant un cancer du col au stade IIA, évalué à 3cm, sans envahissement métastatique ganglionnaire et viscéral, Quelle prise en charge thérapeutique proposez-vous ? Le cancer du col utérin est –il dépendant des autres facteurs
Le cancer du col est hormonodépendant
Le cancer du col est non hormonodépendant
Le cancer du col est souvent secondaire à un cancer des autres organes
Le cancer du col est une maladie contagieuse
Le cancer du col est souvent spontané chez les femmes âgées
1) Une femme de 38ans, consulte aux urgences d’un hôpital de Phnom Penh à 34 SA pour une fièvre à 39°C depius 12 heures, associée à des courbature, des vomissements et une diarrhée. Elle vous dit avoir eu plusieurs poussées d’herpès génital il y a 2 et 3 ans. La patiente vous donne tous les examens qu’elle a réalisé depuis le début de grossesse. Hémogramme : normal, groupe sanguine : A Rh(-) ; Sérologies syphilis et VIH : négatives ; Sérologie de le toxoplasmose : negative. Concernant les examens complémentaires nécessaires au suivi de grossesse, lequel manque et aurait dû être réalisé chez cette patiente? Le bilan revient : GB 14 G/L à prédominance de PNN, Hb:11 g/dl, Plaquettes 400 G/L. La BU est contrôlé négative, et l’hémoculture est détectée positive à bacilles gram positifs. Quel est le germe pathogène le plus probable?
L. monocytogenes
S. aureus
E. Coli
M. tuberculosis
E. Faecalis
2) Melle R, âgée de 25ans, primipare, TA : 170/110mmHg, vient d’accoucher d’un gaçon vivant pesant 3,5kg, 20 minutes après la délivrance dirigée, la sage femme alerte à son médecin de garde que la patiente a perdu de sang d’une quantité très importante s’accompagnant d’une trouble de la coagulation. Quel est le facteur de risque de trouble de coagulation par CIVD ou Fibrinolyse ?
Infections graves
Vulvo-vaginite dans les derniers mois de la grossesse
Infections virales
Intoxication alimentaire
Hépatite chronique
3) Melle R, âgée de 25ans, primipare, TA : 170/110mmHg, vient d’accoucher d’un gaçon vivant pesant 3,5kg, 20 minutes après la délivrance dirigée, la sage femme alerte à son médecin de garde que la patiente a perdu de sang d’une quantité très importante s’accompagnant d’une trouble de la coagulation. Quel est le facteur de risque de trouble de coagulation par CIVD ou Fibrinolyse ?
Menace d’accouchement prématurée
Accouchement prématurée
Hémorragie rétro-placentaire
Grossesse prolongée
Placenta praevia
4) Melle R, âgée de 25ans, primipare, TA : 170/110mmHg, vient d’accoucher d’un gaçon vivant pesant 3,5kg, 20 minutes après la délivrance dirigée, la sage femme alerte à son médecin de garde que la patiente a perdu de sang d’une quantité très importante s’accompagnant d’une trouble de la coagulation. Quel est le facteur de risque de trouble de coagulation par CIVD ou Fibrinolyse ?
Thromboses de membres inférieures
Insuffisante cardiaque
Embolie amniotique
Embolie gazeuse
Rupture prématurée des membranes
5) Melle R, âgée de 25ans, primipare, TA : 170/110mmHg, vient d’accoucher d’un gaçon vivant pesant 3,5kg, 20 minutes après la délivrance dirigée, la sage femme alerte à son médecin de garde que la patiente a perdu de sang d’une quantité très importante s’accompagnant d’une trouble de la coagulation. Quel signe clinique qui marque le trouble de la coagulation ?
Le saignement massive fait de gros caillot mélangé de liquide
Le sang qui saigne ne coagule pas, purement liquide
Etat d’agitation
Etat comateuse
La Chute de tension artérielle
6) Melle R, âgée de 25ans, primipare, vient d’accoucher d’un gaçon vivant pesant 3,5kg, 10 minutes après la délivrance dirigée, la sage femme alerte à son médecin de garde que la patiente a perdu de sang d’une façon anormale, il s’agit d’une hémorragie proprement dite de la délivrance. C’est une prise en charge en urgence en obstéstrique devant d’une hémorragie de la délivrance, quel est le premier intention ?
Transfusion sanguine en urgence
Transférer au bloc opératoire
Assurer la vacuité utérine et l’intégrité de la filière génitale
Chercher les causes médicales qui donnent les conséquences de ces troubles
Donner des oxytociques
7) Melle R, âgée de 25ans, primipare, vient d’accoucher d’un gaçon vivant pesant 3,5kg, 10 minutes après la délivrance dirigée, la sage femme alerte à son médecin de garde que la patiente a perdu de sang d’une façon anormale, il s’agit d’une hémorragie proprement dite de la délivrance. Après la révision utérine, il s’agit d’une Atonie utérine, quelle geste faut-il réagir ?
Remplissage la volémie
Assurer la contraction utérine
Transférer au bloc opératoire
Massage utérin
Antibiothérapie
8) Melle R, âgée de 25ans, primipare, vient d’accoucher d’un gaçon vivant pesant 3,5kg, 10 minutes après la délivrance dirigée, la sage femme alerte à son médecin de garde que la patiente a perdu de sang d’une façon anormale, il s’agit d’une hémorragie proprement dite de la délivrance. Quel moyen de prévention de l’hémorragie de la délivrance?
La délivrance artificielle
Massage utérin
Les oxytociques
La révision systématique, si l’intégrité du placenta et des membranes est en doute
En attendant la délivrance physiologique
9) Melle R, âgée de 25ans, primipare, vient d’accoucher d’un gaçon vivant pesant 3,5kg, 10 minutes après la délivrance dirigée, la sage femme alerte à son médecin de garde que la patiente a perdu de sang d’une façon anormale, il s’agit d’une hémorragie proprement dite de la délivrance. Quel moyen de prévention de l’hémorragie de la délivrance?
La délivrance naturelle et spontanée
Donner des oxytociques
La délivrance dirigée chez toutes les patientes à risque d’atonie
La délivrance artificielle
La césarienne
10) Melle R, âgée de 25ans, primipare, vient d’accoucher d’un gaçon vivant pesant 3,5kg, 10 minutes après la délivrance dirigée, la sage femme alerte à son médecin de garde que la patiente a perdu de sang d’une façon anormale, il s’agit d’une hémorragie proprement dite de la délivrance. Quel précaution devant la patiente en travail pour prévenir de l’hémorragie de la délivrance ?
Chez les multipare
Chez les primipare
Travail prolongée
Placenta praevia
Grossesse prolongée
11) Melle R, âgée de 25ans, primipare, vient d’accoucher d’un gaçon vivant pesant 3,5kg, 10 minutes après la délivrance dirigée, la sage femme alerte à son médecin de garde que la patiente a perdu de sang d’une façon anormale. Donnez la définition de l’hémorragie de la délivrance proprement dite.
Une perte de sang inférieure à 500ml avec un état convulsivante
Une perte de sang supérieure à 500ml avec accélération du pouls
Une perte de sang supérieure à 500ml avec présence du globe utérin
Une perte minime du sang avec un état de choc
Une perte de sang minime mais continue avec tension artériel et pouls normaux E
12) Melle R, âgée de 25ans, primipare, vient d’accoucher d’un gaçon vivant pesant 3,5kg, 10 minutes après la délivrance dirigée, la sage femme alerte à son médecin de garde que la patiente a perdu de sang d’une façon anormale. En face du Médecin, l’écoulement du sang se continue, quel signe clinique qui marque l’hémorragie de la délivrance proprement dite de début ?
Une chute brutale de tension artériel
Une accélération du pouls artériel
Un état d’inconscience
Un état d’agitation
Un trouble de la coagulation
13) Melle R, âgée de 25ans, primipare, vient d’accoucher d’un gaçon vivant pesant 3,5kg, 10 minutes après la délivrance dirigée, la sage femme alerte à son médecin de garde que la patiente a perdu de sang d’une façon anormale. Quelle est la plus souvent cause de la rétention partielle du placenta ?
La traction sur le cordon
Hypercinésie utérine au cours du travail
Hypocinésie utérine au cours du travail
Expression abdominale au cours de l’expulsion du foetus
La délivrance dirigée
14) Melle R, âgée de 25ans, primipare, vient d’accoucher d’un gaçon vivant pesant 3,5kg, 10 minutes après la délivrance dirigée, la sage femme alerte à son médecin de garde que la patiente a perdu de sang d’une façon anormale. Quelle est la cause la plus fréquence de l’atonie utérine ?
La primiparité
Travail prolongé
La durée du travail est plus courte
Utérus cicatricielle
Utérus fibromateuse
15) Melle R, âgée de 25ans, primipare, vient d’accoucher d’un gaçon vivant pesant 3,5kg, 10 minutes après la délivrance dirigée, la sage femme alerte à son médecin de garde que la patiente a perdu de sang d’une façon anormale. Quel est le facteur favorable de l’atonie utérine?
La multiparité
L’éclampsie
La surdistension utérine au cours de la grossesse
Raccourcissement de la durée de travail
Le déclenchement du travail
16) Melle R, âgée de 25ans, primipare, vient d’accoucher d’un gaçon vivant pesant 3,5kg, 10 minutes après la délivrance dirigée, la sage femme alerte à son médecin de garde que la patiente a perdu de sang d’une façon anormale. Quel est le facteur favorable de l’atonie utérine?
Accouchement prématurée
Travail prolongé
L’antécédent de l’atonie utérine de l’accouchement récente
Grossesse prolongée
La rupture prématurée des membranes
17) Melle R, âgée de 25ans, primipare, vient d’accoucher d’un gaçon vivant pesant 3,5kg, 10 minutes après la délivrance dirigée, la sage femme alerte à son médecin de garde que la patiente a perdu de sang d’une façon anormale. Quel est le facteur favorable de l’atonie utérine ?
Grossesse multiple à terme
La délivrance dirigée
La Menace d’accouchement prématurée
La Menace d’accouchement prématurée
L’Avortement de répétition
La rétention urinaire
18) Melle R, âgée de 25ans, primipare, vient d’accoucher d’un gaçon vivant pesant 3,5kg, 10 minutes après la délivrance dirigée, la sage femme alerte à son médecin de garde que la patiente a perdu de sang d’une façon anormale. Quel est le facteur favorable de la trouble de la crase sanguine ?
La multiparité
La délivrance dirigée
L’anémie sévère au cours de la grossesse
L’hémorragie de la délivrance
L’intoxication médicamenteuse
19) Melle R, âgée de 25ans, primipare, vient d’accoucher d’un gaçon vivant pesant 3,5kg, 10 minutes après la délivrance dirigée, la sage femme alerte à son médecin de garde que la patiente a perdu de sang d’une façon anormale. Quel est le facteur favorable de la trouble de la crase sanguine ?
La multiparité
Mort-in utéro
L’hémorragie de consommation massive au cours de l’hémorragie de délivrance
L’avortement de répétition
L’incompabilité foeto-maternelle
20) Melle R, âgée de 25ans, primipare, vient d’accoucher d’un gaçon vivant pesant 3,5kg, 10 minutes après la délivrance dirigée, la sage femme alerte à son médecin de garde pour la rétention totale du placenta On voit aucune perte de sang après l’expulsion du foetus, quel est le diagnostique de cette rétention complète du placenta ?
L’enchatonnement du placenta
Placenta adhérence partielle anormale
Contraction utérine hypertonique
Placenta accreta
Travail prolongé
21) Madame X, 60 ans nulligeste,obèse ( 100 kg pour 1m56 ),ménopausée depuis 10 ans, sans traitement hormonal substitutif et sans antécédents pathologiques, consulte en raison de métrorragie minimes, intermittentes depuis 6 mois. TA = 150/85mmHg. Pouls = 70/mn. Température =37,1C. Quel diagnostic devez-vous suspecter en priorité ? Pour quoi ?
Hyperplasie endomètriale
Cancer de l’endomètre
Métrorragie atrophique
Facteurs de risques : ménopause, obésité, métrorragies post-ménopausiques
Carence oestrogénique prolongée
22) Madame X, 60 ans nulligeste,obèse ( 100 kg pour 1m56 ),ménopausée depuis 10 ans, sans traitement hormonal substitutif et sans antécédents pathologiques, consulte en raison de métrorragie minimes, intermittentes depuis 6 mois. TA = 150/85mmHg. Pouls = 70/mn. Température =37,1C. Hystérographie montre une lacune irrégulière volumineuse d’aspect marécageux du fond utérin et de la corne utérine gauche, quel diagnostic évoquez-vous ?
Aspect d’un myome sous muqueuse
Aspect évocateur de cancer de l’endomètre
Aspect d’un parquet de polype intra-cavitaire
Aspect d’un adénomyose
Aspect d’une hyperplasie endomètriale
23) Aménorrhée secondaire et désir de grossesse à 21 ans (dossier N*23 BENJAMIN). Madame M, 21ans, consulte pour aménorrhée secondaire, apparue après une longue période de spanioménorrhée. Mariée depuis 2 ans, elle est désireuse d’une grossesse, et n’a jamais utilisé de moyens contraceptifs. Elle ne prend aucun médicament. Elle a été réglée à l’âge de 13 ans, avec des cycles longs et irrégulier. On note une obésité modérée de type androïde, ainsi qu’une acné non inflammatoire, et une hyper-séborrhée du cuir cheveulu. Sa tension est à 110/60mmHg. Une dame 33 ans venant consulter au votre cabinet de consultation pour hémorragie génitales de 30 SA et de douleur abdominal, sa TA est 150/90mmHg. Quels est le facteur de risque de l’hématome rétro-placentaire ?
La surdistention de la hauteur utérine
Dans un contexte d’HTA, prééclampsie
La multiparité de la femme
Diabète et grossesse
Grossesse gemellaire
24) Aménorrhée secondaire et désir de grossesse à 21 ans (dossier N*23 BENJAMIN). Madame M, 21ans, consulte pour aménorrhée secondaire, apparue après une longue période de spanioménorrhée. Mariée depuis 2 ans, elle est désireuse d’une grossesse, et n’a jamais utilisé de moyens contraceptifs. Elle ne prend aucun médicament. Elle a été réglée à l’âge de 13 ans, avec des cycles longs et irrégulier. On note une obésité modérée de type androïde, ainsi qu’une acné non inflammatoire, et une hyper-séborrhée du cuir cheveulu. Sa tension est à 110/60mmHg. Une dame 33 ans venant consulter au votre cabinet de consultation pour hémorragie génitales de 30 SA et de douleur abdominal, sa TA est 150/90mmHg. Ce sont des tableaux cliniques de l’hématome rétro-placentaire, quelle symptôme est fausse ?
Dans un contexte d’HTA +++
Métrorragies de sang rouge cailloté sans douleur
Métrorragie de sang noir, de faible abondance
Douleur abdominale violente, brutale, permanente
Utérus dur (de bois)
25) Aménorrhée secondaire et désir de grossesse à 21 ans (dossier N*23 BENJAMIN). Madame M, 21ans, consulte pour aménorrhée secondaire, apparue après une longue période de spanioménorrhée. Mariée depuis 2 ans, elle est désireuse d’une grossesse, et n’a jamais utilisé de moyens contraceptifs. Elle ne prend aucun médicament. Elle a été réglée à l’âge de 13 ans, avec des cycles longs et irrégulier. On note une obésité modérée de type androïde, ainsi qu’une acné non inflammatoire, et une hyper-séborrhée du cuir cheveulu. Sa tension est à 110/60mmHg. Une dame 33 ans venant consulter au votre cabinet de consultation pour hémorragie génitales de 30 SA et de douleur abdominal, sa TA est 150/90mmHg. Quel contexte qui n’est pas en relation avec l’apparition du placenta praevia ?
Contexte d’HTA
Multiparité et âge maternel avancé
Antécédents de placenta praevia et césarienne
Antécedents d’endomètrite
Mulliparité
26) Aménorrhée secondaire et désir de grossesse à 21 ans (dossier N*23 BENJAMIN). Madame M, 21ans, consulte pour aménorrhée secondaire, apparue après une longue période de spanioménorrhée. Mariée depuis 2 ans, elle est désireuse d’une grossesse, et n’a jamais utilisé de moyens contraceptifs. Elle ne prend aucun médicament. Elle a été réglée à l’âge de 13 ans, avec des cycles longs et irrégulier. On note une obésité modérée de type androïde, ainsi qu’une acné non inflammatoire, et une hyper-séborrhée du cuir cheveulu. Sa tension est à 110/60mmHg. Une dame 33 ans venant consulter au votre cabinet de consultation pour hémorragie génitales de 30 SA et de douleur abdominal, sa TA est 150/90mmHg. Quelle proposition est fausse dans le domaine du placenta praevia ?
Métrorragie de sang rouge, brutales, non douloureuses
Métrorragie au cours du premier trimestre
Parfois asymptomatique
Métrorragies du troisième trimestre
Toucher vaginal contre-indiqué avant l’échographie +++
27) Aménorrhée secondaire et désir de grossesse à 21 ans (dossier N*23 BENJAMIN). Madame M, 21ans, consulte pour aménorrhée secondaire, apparue après une longue période de spanioménorrhée. Mariée depuis 2 ans, elle est désireuse d’une grossesse, et n’a jamais utilisé de moyens contraceptifs. Elle ne prend aucun médicament. Elle a été réglée à l’âge de 13 ans, avec des cycles longs et irrégulier. On note une obésité modérée de type androïde, ainsi qu’une acné non inflammatoire, et une hyper-séborrhée du cuir cheveulu. Sa tension est à 110/60mmHg. Une dame 33 ans venant consulter au votre cabinet de consultation pour hémorragie génitales de 30 SA et de douleur abdominal, sa TA est 150/90mmHg. Quelle est la complication qui n’est pas en relation avec les conséquences dues au placenta praevia ?
Hémorragies résidivantes, jusqu’au choc hémorragique
Mort inutéro
Allo-immunisation foeto-maternelle si mère Rhésus négatif
Risque de prématurité du foetus à cause de l’interruption de la grossesse
Placenta accréta sur la plaie cicatricielle
28) Aménorrhée secondaire et désir de grossesse à 21 ans (dossier N*23 BENJAMIN). Madame M, 21ans, consulte pour aménorrhée secondaire, apparue après une longue période de spanioménorrhée. Mariée depuis 2 ans, elle est désireuse d’une grossesse, et n’a jamais utilisé de moyens contraceptifs. Elle ne prend aucun médicament. Elle a été réglée à l’âge de 13 ans, avec des cycles longs et irrégulier. On note une obésité modérée de type androïde, ainsi qu’une acné non inflammatoire, et une hyper-séborrhée du cuir cheveulu. Sa tension est à 110/60mmHg. Une dame 33 ans venant consulter au votre cabinet de consultation pour hémorragie génitales de 30 SA et de douleur abdominal, sa TA est 150/90mmHg. Quelle image échographique recherchez-vous devant le tableau d’HTA gravidique connue, une image en faveur d’un hématome rétro-placentaire ?
Trouble du rythme foetale
Disparition des bruits du coeur foetal
Lentille bicovexe anéchogène entre placenta et utérus
Oligo-amniotique sévère
Calcification du placenta
29) Quelle prise en charge proposez vous à Madame Z, consultant en urgence à la maternité, de 31 SA avec un placenta praevia compliqué de métrorragies bien tolérées ? Quel est le vrai signe clinique de l’hémorragie due au placenta praevia devant des hémorragies génitales ?
Cancer du col utérin
Hémorragie spontannée importante venant de l’endocol
Ectropion infectée
Cervico - vaginite aigüe
Polype du col
30) Mme PHALLA, consulte aux urgences gynécologiques ce matin pour métrorragies ,associées à des douleurs abdominales. Vous réussissez à comprendre qu’elle est enceinte, en début de la grossesse. Quel est le premier diagnostic auquel vous devez penser devant tous ces propositions ?
GEU
Colique néphrétique
Avortement tubo-abdominale
Appendicite
Torsion d’annexe
31) Mme PHALLA, consulte aux urgences gynécologiques ce matin pour métrorragies, associées à des douleurs abdominales. Vous réussissez à comprendre qu’elle est enceinte, en début de la grossesse. Quel est l’autre possibilité de diagnostics auquels vous devez penser ?
Grossesse extra-utérine
Pyélonéphrite
Gastro-entérite aiguë
Fausse couche spontanée précoce
Décollement partiel de la partie basse du placenta
32) Mme PHALLA, consulte aux urgences gynécologiques ce matin pour métrorragies ,associées à des douleurs abdominales. Vous réussissez à comprendre qu’elle est enceinte, en début de la grossesse. Pour quoi avez-vous penser dans la majorité des cas de la GEU
Parce qu’on doittoujours penser aux causes de métrorragies non due à la grossesse
Parce qu’il ya un risque de rupture tubaire et d’hémopéritoine, ce qui engage le pronostic vital
Parce que c’est une urgence chirurgicale : hystérectomie d’hémostase
Parce que c’est le diagnostic le plus fréquent
Parce que c’est une urgence chirurgicale : césarienne pour sauvetage foetal
33) Mme PHALLA, consulte aux urgences gynécologiques ce matin pour métrorragies ,associées à des douleurs abdominales. Vous réussissez à comprendre qu’elle est enceinte, en début de la grossesse.Quel est le moyen le plus simple de la mettre en évidence ?
Echographie rénale
Echographie abdominale
Prise des constantes : pouls, tension artérielle
IRM abdomino-pelvienne
Echographie obstétricale
34) Madame x, 23 ans consulte aux urgences de votre maternité pour douleurs pelviennes, associées à des métrorragies de faible abondance , elle vous annonce ensuite qu’elle est enceinte de 2 mois environ. Quel diagnostic évoquez-vous de principe, devant toute hémorragie génitale de la femme en âge de procréer ?
La grossesse extra-utérine
Avortement spontané précoce
Grossesse intra-utérine évolutive
La menstruation
Mole hydartiforme
35) Madame x, 23 ans consulte aux urgences de votre maternité pour douleurs pelviennes, associées à des métrorragies de faible abondance, elle vous annonce ensuite qu’elle est enceinte de 2 mois environ. Les étiologies de métrorragies du premier trimestre citées ci-dessous sont vraies, sauf une qui est fausse ?
Avortement spontané précoce
Menace d’avortement
Grossesse intra-utérine évolutive
Mole hydatiforme
Endomètrite aiguë
36) Madame x, 23 ans consulte aux urgences de votre maternité pour douleurs pelviennes, associées à des métrorragies de faible abondance , elle vous annonce ensuite qu’elle est enceinte de 2 mois environ. Quel est le signe clinique en faveur de l’avortement spntané précoce ?
Douleur sus pubienne irradiée au flanc droit
Métrorragies minime sans douleur
Douleur épigastrique avec vomissement
Toucher vaginal indolore, col entrouvert +++
Douleur sus pubienne avec dysurie
37) Madame x, 23 ans consulte aux urgences de votre maternité pour douleurs pelviennes, associées à des métrorragies de faible abondance , elle vous annonce ensuite qu’elle est enceinte de 2 mois environ. Quels est le signe clinique qui est en faveur d’une grossesse intra-utérine évolutive ?
Douleurs sus pubienne avec métrorragies abondance
Métrorragies abondance ave col ouvert
Métrorragies de faible abondance, contraction douloureuse abdomino-pelviennes
Toucher vaginal indolore, col fermé +++
Douleurs abdomino-pelviennes avec écoulement de sang noirâtre
38) Madame x, 23 ans consulte aux urgences de votre maternité pour douleurs pelviennes, associées à des métrorragies de faible abondance , elle vous annonce ensuite qu’elle est enceinte de 2 mois environ. Ces signes cliniques sont en faveur d’un mole hydatiforme sauf un est fausse lequel ?
Métrorragies répétées
Douleur abdomino-pelvienne avec métrorragies abodance et le col est entrouvert
Intensification des signes sympathiques de grossesse
Toucher vaginal : utérus mou, hauteur utérine trop importante pour le terme
Métrorragies mêlées de vésicules transparentes avec exagération des troubles sympathiques
40) Madame R, enceinte de 7 mois présente un épisode de métrorragie isolée, elle a des antécédents de l’avortement depuis 2 ans, mère de 2 enfants et pas autres antécédents médicaux et chirurgicaux. Les autres causes de l’hémorragie du 3ème trimestre en dehors du placenta praevia sont citées ci-dessous, sauf une est fausse, la quelle ?
Hématome décidual marginal
Hématome rétroplacentaire
Trouble de la spoliation sanguine
Hémorragie de Benckiser
Rupture utérine
41) Madame R, enceinte de 7 mois présente un épisode de métrorragie isolée, elle a des antécédents de l’avortement depuis 2 ans, mère de 2 enfants et pas autres antécédents médicaux et chirurgicaux. HTA ET GROSSESSE Parmi ces complications maternelles de la pré-éclampsie, il ya une seule qui est fausse, la quelle ?
Eclampsie
Hématome rétro-placentaire
HELLP syndrome
Menace d’accouchement prématurée
Coagulation intra-vasculaire disséminée
42) Madame R, enceinte de 7 mois présente un épisode de métrorragie isolée, elle a des antécédents de l’avortement depuis 2 ans, mère de 2 enfants et pas autres antécédents médicaux et chirurgicaux. HTA ET GROSSESSE Parmi ces complications foetales de la pré-éclampsie, il ya une qui n’est pas correcte, la quelle ?
Souffrance foetale chronique : RCIU, oligoamnios
Souffrance foetale aiguë, jusqu’à la mort inutéro
Risque de retard mental
Prématurité induite par l’extraction foetale avant terme
OEdème anasarque du foetus
43) Mme S, suivie pour sa 2ème grossesse, consulte ce jour à 24 SA, elle présente une tension artérielle à 150/60 mmHg aux 2 bras en position allongée. Quel examen très simple devez-vous pratiquer dans votre cabinet ? Si celui-ci est négatif, quel est le traitement à adopter ? Quelle est la mode de surveillance de la patiente quand elle est à la domicile ?
La prise de la TA le matin et le soir
Il faut des surveillances rapprochées de la TA à domicile
La surveillance de l’apparition des oedèmes
S’il ya l’apparition de signes urinaires
Contrôler régulièrement son régime alimentaire
44) Une femme de 38ans, consulte aux urgences le 26 mai 2012 à 34 SA +2jours pour une fièvre à 39°C depius 12 heures,associée à des courbature,des vomissements et une diarrhée.Vous ne trouvez pas de pointd’appel urinaire ou poulmonaire à cette fièvre. Elle vous dit avoir eu plusieurs poussées d’herpès génital en 2006,2008et 2009. Les examens de début de grossesse sont les suivants : -Hémogramme : normal, - groupe sanguine : A Rh(-), - Absence d’Agglutinines irrégulières,- VDRL , TPHA et Anticorps Anti-HIV : négatives, - Sérodiagnostic de la Rubéole et Toxoplasmose : absence d’immunités. Quelle est la première pathologie à laquelle vous devez penser devant un tel tableau ?
Toxoplasmose
Grippe
Gastro-entérite aiguë
Listériose
Chorio-amniotite aiguë
45) Une femme de 30ans, vient consulter au votre cabinet à 34 SA pour une fièvre à 39°C depius 12 heures, associée à des courbature, des vomissements et une diarrhée Parmi ces étiologies que vous devez évoquer devant toute fièvre de la grossesse, quelle est la pathologie qui est la propre conséquence possible de cette infection ?
Listériose, par argument de gravité
Pyélonéphrite aiguë, cause la plus fréquente
Menace d’accouchement prématurée (MAP)
Infection materno-foetales : Rubéole, Toxoplasmose, CMV, Hépatite, virale, VIH
Causes digestives : Appendicite aiguë, Cholécystite aiguë
46) Une femme de 30ans, vient consulter au votre cabinet à 34 SA pour une fièvre à 39°C depius 12 heures, associée à des courbature, des vomissements et une diarrhée Quel est le bilan clinique ou paraclinique pour évaluer le retentissement foetale de cette fièvre ?
Un examen clinique : Rechercher la présentation du foetus
Prise de la température maternelle régulièrement
Mensuration de la hauteur utérine
Prélèvement vaginal et ECBU
Une échographie obstétricale : Evaluation du bien-être foetal
47) Mme B 50 ans vient consulter pour une perte de sang rouge importantes de quantité abondante depuis une semaine. A l’interrogatoire, elle précise que ses règles antérieures étaient régulières. Elle a eu ses ménarches à 12ans, se mariée à 16 ans. Sa fille unique a 35 ans en bonne santé. Elle pratique de gymnastique 5 fois par semaine. Elle est encore règlée. Son dernier frottis cervico-utérin a été réalisé par un médecin gynécologue il y a un an et était normal. A l’examen : TA : 105/62 mmHg, pouls 110/mn, température 37,2°C, taille 1,60m, poids 55kg, Abdomen souple et non douloureux. Au spéculum, le col est normal, le sorte de l’endocol. Le TV met en évidence un utérus volumineux comme une grossesse de 2 mois, les annexes sont non perceptibles. L’examen ne déclenche aucune douleur. A l’échographie, on trouve que la cavité utérine s’épaissie. Quel type de règle qu’elle souffre cette dame?
Polyménorrhée
Hyperménorrhée périménopausique
Métrorragie périménopausique
Pollakiménorrhée
Règles abondantes
48) Mme B 50 ans vient consulter pour une perte de sang rouge importantes de quantité abondante depuis une semaine. A l’interrogatoire, elle précise que ses règles antérieures étaient régulières. Elle a eu ses ménarches à 12ans, se mariée à 16 ans. Sa fille unique a 35 ans en bonne santé. Elle pratique de gymnastique 5 fois par semaine. Elle est encore règlée. Son dernier frottis cervico-utérin a été réalisé par un médecin gynécologue il ya un an et était normal. A l’examen : TA : 105/62 mmHg, pouls 110/mn, température 37,2°C, taille 1,60m, poids 55kg, Abdomen souple et non douloureux. Au spéculum, le col est normal, le sorte de l’endocol. Le TV met en évidence un utérus volumineux comme une grossesse de 2 mois, les annexes sont non perceptibles. L’examen ne déclenche aucune douleur. A l’échographie,on trouve que la cavité utérine s’épaissie. Quel est le diagnostic le plus probable de cette dame ?
Le cancer du corps utérin
Le cancer du col utérin
L’endométrite
Les cancers de l’ovaire
Le Fibrome sous muqueuse
49) Mme B 50 ans vient consulter pour une perte de sang rouge importantes de quantité abondante depuis une semaine. A l’interrogatoire, elle précise que ses règles antérieures étaient régulières. Elle a eu ses ménarches à 12ans, se mariée à 16 ans. Sa fille unique a 35 ans en bonne santé. Elle pratique de gymnastique 5 fois par semaine. Elle est encore règlée. Son dernier frottis cervico-utérin a été réalisé par un médecin gynécologue il y a un an et était normal. A l’examen : TA : 105/62 mmHg, pouls 110/mn, température 37,2°C, taille 1,60m, poids 55kg, Abdomen souple et non douloureux. Au spéculum, le col est normal, le sorte de l’endocol. Le TV met en évidence un utérus volumineux comme une grossesse de 2 mois, les annexes sont non perceptibles. L’examen ne déclenche aucune douleur. A l’échographie,on trouve que la cavité utérine s’épaissie. Quelle est la cause fonctionnelle la plus probable de cette dame ?
Cause iatrogène par hyperplasie de l’endm`tre
Atrophie par carence oestrogénique
Adénomyose utérin
Endomètriose cervicale
Maladie de willebrand
50) En consultation une jeune fille de 18 ans, vierge, se plainte des hémorragies génitales anarchique depuis 2mois, ménarchie à l'âge de 13 ans. A l'interrogatoire : les saignements sont espacés une dizaine à quinzaine de jours, et chaque fois dure 3 à 4 jours faite de sang rouge vif. Elle change 8 fois de linge par jour. Sa mère n'ètait jamais prise de tel hormone. A l'échographie vous notez que l'utérus mesure 30mm d'épaisseur, et sa cavité non élargie, les 2 ovaires sont normaux. La TA 90/50mmHg, température 37ºC, pouls 105/mn, taille 163cm, poids 45 kg. Donnez le type de menstruation qui indique le symptôme que souffre la jeune fille ?
Saignement génital
Ménorragie
Ménométrorragie
Polyménorrhée
Règles abondantes
51) En consultation une jeune fille de 18 ans, vierge, se plainte des hémorragies génitales anarchique depuis 2mois, ménarchie à l'âge de 13 ans. A l'interrogatoire : les saignements sont espacés une dizaine à quinzaine de jours, et chaque fois dure 3 à 4 jours faite de sang rouge vif. Elle change 8 fois de linge par jour. Sa mère n'ètait jamais prise de tel hormone. A l'échographie vous notez que l'utérus mesure 30mm d'épaisseur, et sa cavité non élargie, les 2 ovaires sont normaux. La TA 90/50mmHg, température 37ºC, pouls 105/mn, taille 163cm, poids 45 kg. Quel est le diagnostic le plus probable de ce contexte ?
Hyperplasie endomètriale
Métrorragie fonctionnelle
Adénomyose
Polype endomètriale
Fibrome sous muqueuse
52) Madame B, 48 ans, d’origine africaine, consulte en urgence pour saignement important par voie vaginale : Docteur, je me suis changée 10 fois depuis ce matin et ça fait 10j que ça dure. Je suis très fatigué, cela fait 3 mois que je saigne beaucoup plus pendant mes règles et parfois aussi en dehors des règles. A l’interrogatoire : Teste urinaire de grossesse négative (fait par elle-même). G3 P3 A0. Ménarche à 12 ans, règles régulières, pas encore ménopausée. Contraceptif orale par oestro-progestatif depuis plus de 10 ans. FCV normale il y a 1 ans. A l’examen :-TA=105/62, poule= 106/min, température 37,3C, Abdomen indolore, spéculum : col sain, écoulement abondant de sang provenant endo-utérine. TV : utérus augmente de volume, forme irrégulière, annexes non perceptible, aucun douleur déclenché par TV. Quel est le diagnostic le plus probable de ce contexte?
Cancer de l’endomètre
GEU
Cancer du col utérin
Fibrome sous-séreux
Fibrome sous-muqueux
1) Une femme de 38ans, consulte aux urgences d’un hôpital de Phnom Penh à 34 SA pour une fièvre à 39°C depius 12 heures, associée à des courbature, des vomissements et une diarrhée. Elle vous dit avoir eu plusieurs poussées d’herpès génital il y a 2 et 3 ans. La patiente vous donne tous les examens qu’elle a réalisé depuis le début de grossesse -Hémogramme : normal, groupe sanguine : A, Rh(-), Sérologies syphilis et VIH : négatives, Sérologie de le toxoplasmose : negative. Concernant les examens complémentaires nécessaires au suivi de grossesse, lequel manque et aurait dû être réalisé chez cette patiente? Vous recherchez un point d’appel à cette fièvre par un interrogatoire et un examen clinique attentifs. Vous ne trouvez pas de point d’appel évident. Vous faites un bilan infectieux systématique avec une NF, CRP, hémocultures, BU et ECBU. Concernant la BU, quel profil est le plus en faveur d’une infection urinaire ?
Nitrites négatifs, leucocytes 1+, sang 0, protéines
Nitrites ++ Leucocytes + Sang +
Nitrites + Leucocytes 0 Sang +
Nitrites 0 Leucocytes +++ Protéines +
Nitrites 0 Leucocytes +++ Protéines +++
Sang +++ Leucocytes ++ Protéines +++
2) Mme PHALLA, consulte aux urgences gynécologiques ce matin pour métrorragies ,associées à des douleurs abdominales. Vous réussissez à comprendre qu’elle est enceinte, en début de la grossesse. Quel est l’examen complémentaire le plus utile et nécessaire à réaliser pour aider au diagnostic de GEU ?
Echographie pelvienne par voie abdominale et endovaginale
Scanner abdomino-pelvienne
Numération globulaire
Ponction du douglas
Bêta HCG qualitatif
3) Madame R, enceinte de 7 mois présente un épisode de métrorragie isolée, elle a des antécédents de l’avortement depuis 2 ans, mère de 2 enfants et pas autres antécédents médicaux et chirurgicaux. HTA ET GROSSESSE Quelle surveillance foetale proposez vous devant un tableau de pré-éclampsie, parmi ces propositions il ya une qui est fausse, la quelle ?
Rechercher les signes de la souffrance foetale
Rythme cardiaque foetal pluriquotidien
ECBU, protéinurie des 24 H
Mouvements actifs foetaux ressentis par la patiente
Echographie obstétricale hebdomadaire : vitalité, liquide amniotique, dopplers. E
4) Madame R, enceinte de 7 mois présente un épisode de métrorragie isolée, elle a des antécédents de l’avortement depuis 2 ans, mère de 2 enfants et pas autres antécédents médicaux et chirurgicaux. HTA ET GROSSESSE Quel bilan biologique demandez- vous lors de ce premier épisode de pré-éclampsie, mais il ya un bilan in correct, lequel ?
Cholestérolémie
ASAT, ALAT, Bilirubine
Bilan prétransfusionnel : groupe, Rhésus, RAI, NFS, plaquette
ECBU, protéinurie des 24 heures
Bila rénal : créatinémie, urée, uricémie
5) Madame R, enceinte de 7 mois présente un épisode de métrorragie isolée, elle a des antécédents de l’avortement depuis 2 ans, mère de 2 enfants et pas autres antécédents médicaux et chirurgicaux. HTA ET GROSSESSE Quel moyen est contre indiqué pour inhiber la lactation chez une femme qui ne voulant pas allaiter ayant des antécédents de pré-éclampsie ?
La bromocriptine
Bandages compressifs des seins
Restriction hydrique
Eviter toute stimulation des mamelons
Les oetroigènes
6) Mme S, suivie pour sa 2ème grossesse, consulte ce jour à 24 SA, elle présente une tension artérielle à 150/60 mmHg aux 2 bras en position allongée. Quel examen très simple devez-vous pratiquer dans votre cabinet ? Si celui-ci est négatif, quel est le traitement à adopter ? Quel est le geste le plus simple pour éliminer la pré-éclampsie, pour une patiente hypertensive au cabinet de votre consultation
Surveillance rapprochée à domicile
La recherche d’une protéinurie négative sur une bandelette urinaire
En basant sur les antécédents
Examen échographique pour rechercher une hydramnos aiguë
Rechercher les signes de l’insuffissance rénale
7) Une femme de 38ans,consulte aux urgences le 26 mai 2012 à 34 SA +2jours pour une fièvre à 39°C depius 12 heures,associée à des courbature,des vomissements et une diarrhée.Vous ne trouvez pas de pointd’appel urinaire ou poulmonaire à cette fièvre. Elle vous dit avoir eu plusieurs poussées d’herpès génital en 2006,2008et 2009. Les examens de début de grossesse sont les suivants :-Hémogramme : normal, - groupe sanguine : A Rh(-), - Absence d’Agglutinines irrégulières,- VDRL , TPHA et Anticorps Anti-HIV : négatives, - Sérodiagnostic de la Rubéole et Toxoplasmose : absence d’immunités. Quel est L’examen paraclinique qui a dû être réalisé chez cette patiente avant 20 SA et inutile après 20SA ?
La sérologie toxoplasmose
La sérologie VIH
La sérologie rubéole
La sérologie de l’anticorps et l’antigène VHB
La sérologie de VHC
8) Une femme de 38ans,consulte aux urgences le 26 mai 2012 à 34 SA +2jours pour une fièvre à 39°C depius 12 heures,associée à des courbature,des vomissements et une diarrhée.Vous ne trouvez pas de pointd’appel urinaire ou poulmonaire à cette fièvre. Elle vous dit avoir eu plusieurs poussées d’herpès génital en 2006,2008et 2009. Les examens de début de grossesse sont les suivants :-Hémogramme : normal, - groupe sanguine : A Rh(-), - Absence d’Agglutinines irrégulières,- VDRL , TPHA et Anticorps Anti-HIV : négatives, - Sérodiagnostic de la Rubéole et Toxoplasmose : absence d’immunités. Quelle est l’examen qui n’est pas de valeur de diagnostique durant l’exploration de cette infection?
La sérologie toxoplasmose
Une échographie foetale B
L’albuminurie et glucosurie
L’ionogramme
La sérologie VIH
9) Une femme de 30ans, vient consulter au votre cabinet à 34 SA pour une fièvre à 39°C depius 12 heures, associée à des courbature, des vomissements et une diarrhée Quel est le bilan complémentaire le plus nécessaire que vous allez prescrire devant une fièvre chez une femme enceinte ,d’origine indéterminée au cabinet de votre consultation?
Biologie : NFS, CRP
Bactériologie : ECBU plus Hémoculture pour rechercher de Listéria monocytogènes
Sérologie : Toxoplasmose, CMV, Hépatitevirale, VIH
Culot urinaire
Si suspicion de Paludisme : frottis sanguin et goutte épaisse
10) Mme B 50 ans vient consulter pour une perte de sang rouge importantes de quantité abondante depuis une semaine. A l’interrogatoire, elle précise que ses règles antérieures étaient régulières. Elle a eu ses ménarches à 12ans, se mariée à 16 ans. Sa fille unique a 35 ans en bonne santé. Elle pratique de gymnastique 5 fois par semaine. Elle est encore règlée. Son dernier frottis cervico-utérin a été réalisé par un médecin gynécologue il ya un an et était normal. A l’examen : TA : 105/62 mmHg, pouls 110/mn, température 37,2°C, taille 1,60m, poids 55kg, Abdomen souple et non douloureux. Au spéculum, le col est normal, le sorte de l’endocol. Le TV met en évidence un utérus volumineux comme une grossesse de 2 mois, les annexes sont non perceptibles. L’examen ne déclenche aucune douleur. A l’échographie,on trouve que la cavité utérine s’épaissie. Quel est le premier geste thérapeutique le plus approprié pour cette dame ?
Hystérectomie d’emblée
Coelioscopie opératoire
Pratique un curetage biopsique pour l’examen d’anapath
Biopsique pour l’examen d’anapath Hystéroscopie opératoire
Le traitement progestatif
11) En consultation une jeune fille de 18 ans, vierge, se plainte des hémorragies génitales anarchique depuis 2mois , ménarchie à l'âge de 13 ans.A l'interrogatoire : les saignements sont espacés une dizaine à quinzaine de jours, et chaque fois dure 3 à 4 jours faite de sang rouge vif. Elle change 8 fois de linge par jour. Sa mère n'ètait jamais prise de tel hormone.A l'échographie vous notez que l'utérus mesure 30mm d'épaisseur, et sa cavité non élargie, les 2 ovaires sont normaux. La TA 90/50mmHg , température 37ºC, pouls 105/mn, taille 163cm, poids 45 kg. Quel examen que vous demandez pour confirmer que la jeune fille a eu une immaturité hypothalamique, qui cause cette anomalie menstruelle ?
Dosage du taux d’Oestrogène
Dosage du taux de progestérone
Dosage du taux de FSH
Dosage du taux de βhCG
Dosage du taux de LH-RH
1) Une patiente de 25 ans se présente en consultation de suivi de grossesse pour une hyperthermie et des signes fonctionnels urinaires. Vous suspectez une pyélonéphrite. Après la réalisation d’une hémoculture et d’une ECBU vous débutez une antibiothérapie. Parmi les classes d’antibiotiques listées ci-dessous, lesquelles sont possibles et indiquées dans l’infection urinaire de la femme enceinte ?
Pénicillines Pénicilline Amoxicilline
Céphaloporines Céphalexine Céphalosporine
Macrolides Erythromycine Clarithromycine
Fluoroquinolones Ofloxacine Cyprofloxacine
Aminoglycosides Gentamycine Tobramycine
2) Melle R, âgée de 25ans, primipare, vient d’accoucher d’un gaçon vivant pesant 3,5kg, 10 minutes après la délivrance dirigée, la sage femme alerte à son médecin de garde que la patiente a perdu de sang d’une façon anormale. Quel est la première geste de la prise en charge devant cette hémorragie ?
La perfusion pour maintenir volémie
La transfusion du sang pour compenser la perte
La révision utérine
Massage avec compression utérine
Suture de la plaie d’épisiotomie
3) Melle R , âgée de 25ans, primipare, vient d’accoucher d’un gaçon vivant pesant 3,5kg, 10 minutes après la délivrance dirigée, la sage femme alerte à son médecin de garde pour la rétention totale du placenta Comment peut-on faire le diagnostique en face de cette rétention totale
Expression abdominale avec traction sur le cordon
L’échographie abdominale
La délivrance artificielle
La coelioscopie exploiratrice
La césarienne
4) Melle R , âgée de 25ans, primipare, vient d’accoucher d’un gaçon vivant pesant 3,5kg, 10 minutes après la délivrance dirigée, la sage femme alerte à son médecin de garde pour la rétention totale du placenta S’il ya de l’hémorragie, mais la délivrance ne peut se faire, quelle est leur première prise en charge ?
La traction immédiate sur le cordon ombilicale
La délivrance artificielle
Donner des oxytociques
Transférer immédiatement au bloc opératoire
Expectative
5) Melle R , âgée de 25ans, primipare, vient d’accoucher d’un gaçon vivant pesant 3,5kg, 10 minutes après la délivrance dirigée, la sage femme alerte à son médecin de garde pour la rétention totale du placenta Après la délivrance artificielle et révision utérine, l’utérus bien rétracté mais l’hémorragie persiste, quelle est la première intention de leur prise en charge ?
La transfusion sanguine
La perfusion du plasma pour compenser la volémie
Chercher autres causes traumatiques des parties molles
Transférer au bloc opératoire
Suture les plaies de l’épisiotomie
6) Aménorrhée secondaire et désir de grossesse à 21 ans ( dossier N*23 BENJAMIN )Madame M, 21ans, consulte pour aménorrhée secondaire, apparue après une longue période de spanioménorrhée. Mariée depuis 2 ans, elle est désireuse d’une grossesse , et n’a jamais utilisé de moyens contraceptifs. Elle ne prend aucun médicament. Elle a été réglée à l’âge de 13 ans, avec des cycles longs et irrégulier. On note une obésité modérée de type androïde, ainsi qu’une acné non inflammatoire, et une hyper-séborrhée du cuir cheveulu. Sa tension est à 110/60mmHg. Une dame 33 ans venant consulter au votre cabinet de consultation pour hémorragie génitales de 30 SA et de douleur abdominal, sa TA est 150/90mmHg . Quelle est l’indication l’accouchement dans le placenta praevia recouvran
Déclenchement du travail
Accouchement par césarienne programmée
Rupture des membranes
Césarienne en urgence s’il ya des métrorragies
Abstention
7) Quelle prise en charge proposez vous à Madame Z, consultant en urgence à la maternité , de 31 SA avec un placenta praevia compliqué de métrorragies bien tolérées ? Il s’agit d’une urgence thérapeutique du placenta praevia, mais l’objectif est de poursuivre la grossesse dans le but de dépasser les 34 SA, quelle proposition qui n’est pas nécessaire ?
Transvert materno-foetal, pour hospitalisation en urgence
Repos au lit, groupe Rhésus et bilan complet
Trasfusion sanguine
Prévention de l’allo-immunisation foeto-maternelle si Rhésus négatif
Prescrire de l’Inhibiteur calcique, s’il ya des contractions utérine
8) Quelle prise en charge proposez vous à Madame Z, consultant en urgence à la maternité , de 31 SA avec un placenta praevia compliqué de métrorragies bien tolérées ? La conduite de poursuivre la grossesse dans le but de dépasser les 34 SA, quelle proposition qui est inutile ?
Corticothérapie prénatale car terme < 34 SA
Antibiothérapie à large spectre pour prévenir l’infection
Surveillance materno-foetale rapprochée
Eviter de faire le TV
Si placenta recouvrant : envisager une césarienne programmée
9) Quelle prise en charge proposez vous à Madame Z , consultant en urgence à la maternité , de 31 SA avec un placenta praevia compliqué de métrorragies bien tolérées ? Après stabilisée de quelques jours, Madame Z présente une nouvelle épisode de métrorragies abondantes et associées à une souffrance foetale importante, quelle est la prise en charge ?
Abstention
Surveillance Le BCF rapprochée
Extraction foetale en urgence par césarienne
Corticothérapie en urgence
Décontraction utérine
10) Quelle prise en charge proposez vous à Madame Z , consultant en urgence à la maternité , de 31 SA avec un placenta praevia compliqué de métrorragies bien tolérées ? Si la patiente présente un placenta praevia marginal en travail, quelle est la conduite obstétricale qu’on doit réaliser ? :
La césarienne est obligatoire
Expectative
Rupture large des poches des eaux pour accélérer le travail
Corticothérapie
Antibiothérapie à large spectre pour prévenir l’infection
11) Madame R, enceinte de 7 mois présente un épisode de métrorragie isolée, elle a des antécédents de l’avortement depuis 2 ans, mère de 2 enfants et pas autres antécédents médicaux et chirurgicaux. La prise en charge immédiate proposée en urgence devant ces deux étiologies les plus fréquentes ( placenta praevia et hématome rétroplacentaire ) est indiquée ci-dessous, il s’agit d’une urgence diagnostique et thérapeutique,sauf une proposition est fausse,la quelle ?
Palpation abdominale, assurer le tonus utérin
Prise de la tension artérielle, pouls
Toucher vaginal
Groupage sanguin, Rhésus
Mensuration de la hauteur utérine rapprochée
12) Madame R, enceinte de 7 mois présente un épisode de métrorragie isolée, elle a des antécédents de l’avortement depuis 2 ans, mère de 2 enfants et pas autres antécédents médicaux et chirurgicaux. Suite de la prise en charge pour ces 2 étiologies, sauf une proposition est incorecte, la quelle ?
Pose d’une voie veineuse périphérique
Echographie obstétricale trans-abdominale et endovaginale
Electro-cardiotocographie externe : tonus utérin,RCF
Interrogatoire minutieuse sur les antécédents
Transfusion sanguine en urgence en cas de choc hypovolémique
13) Madame R, enceinte de 7 mois présente un épisode de métrorragie isolée, elle a des antécédents de l’avortement depuis 2 ans, mère de 2 enfants et pas autres antécédents médicaux et chirurgicaux. Suite de la prise en charge pour ces 2 étiologies, sauf une proposition est incorecte, la quelle ?
S’il s’agit d’un hématome rétro-placentaire : Extraction foetale en urgence
Surveillance étroite: S’il s’agit d’un placenta praevia
Sans souffrance foetale : extraction foetale en urgence
Si souffrance foetale : extraction foetale en urgence
Sans souffrance foetale : repos, corticothérapie prénatale si <34SA
14) Mme S, suivie pour sa 2ème grossesse, consulte ce jour à 24 SA, elle présente une tension artérielle à 150/60 mmHg aux 2 bras en position allongée. Quel examen très simple devez-vous pratiquer dans votre cabinet ? Si celui-ci est négatif, quel est le traitement à adopter ? Quelle est la décision à faire pour cette patiente HTA gravidique ?
Prise de travail et régime alimentaire comme ordinaire
Il faut hospitaliser la patiente
Prise en charge ambulatoire, à domicile, arrêt de travail
De prendre un régime plus sucré
Remplissage vasculaire sous surveillance stricte
15) Mme S, suivie pour sa 2ème grossesse, consulte ce jour à 24 SA, elle présente une tension artérielle à 150/60 mmHg aux 2 bras en position allongée. Quel examen très simple devez-vous pratiquer dans votre cabinet ? Si celui-ci est négatif, quel est le traitement à adopter ? Traitement médicamenteux : quelle est l’hypotenseur plus favorable à adopter pour cette patiente ?
Diurétique
Inhibiteur enzymatique de conversion
Bêta bloquant
L’inhibiteurs calciques per os (nicardipine)
Le régime hyposodé
16) Mme S, suivie pour sa 2ème grossesse, consulte ce jour à 24 SA, elle présente une tension artérielle à 150/60 mmHg aux 2 bras en position allongée. Quel examen très simple devez-vous pratiquer dans votre cabinet ? Si celui-ci est négatif, quel est le traitement à adopter ? Quel est le critère et le motif d’hospitalisation en urgence de cette patiente pour ce schéma de traitement déjà adopté ?
Amélioration du symptôme
Etat stastionnaire
Sans amélioration rapide après traitement
Besoin de surveiller l’accroissement du foetus
Trop de souci sur l’avenir de sa grossesse
17) Une femme de 38ans, consulte aux urgences le 26 mai 2012 à 34 SA +2jours pour une fièvre à 39°C depius 12 heures,associée à des courbature,des vomissements et une diarrhée.Vous ne trouvez pas de pointd’appel urinaire ou poulmonaire à cette fièvre. Elle vous dit avoir eu plusieurs poussées d’herpès génital en 2006,2008et 2009. Les examens de début de grossesse sont les suivants : -Hémogramme : normal, - groupe sanguine : A Rh(-), - Absence d’Agglutinines irrégulières,- VDRL , TPHA et Anticorps Anti-HIV : négatives, - Sérodiagnostic de la Rubéole et Toxoplasmose : absence d’immunités. Devant ce tableau clinique,quelle est la conduite à tenir choisissez-vous parmi les propositions suivantes ?
Extraction immédiate de l’enfant en vue d’une sérothérapie anti-hépatite B
Antibiothérapie per os par amoxicilline et hémoculture à la recherche de Listéria monocytogenes
Hospitalisation pour antibiothérapie IV en urgence car il s’agit d’une endomètrite
Hospitalisation et césarienne en urgence car il s’agit d’une chorioamniotite aiguë
Antibiothérapie probabiliste par fluoroquinolone car les pyélonéphrites peuvent être frustes chez la femme enceinte
18) Une femme de 38ans, consulte aux urgences le 26 mai 2012 à 34 SA +2jours pour une fièvre à 39°C depius 12 heures,associée à des courbature,des vomissements et une diarrhée.Vous ne trouvez pas de pointd’appel urinaire ou poulmonaire à cette fièvre. Elle vous dit avoir eu plusieurs poussées d’herpès génital en 2006,2008et 2009. Les examens de début de grossesse sont les suivants : -Hémogramme : normal, - groupe sanguine : A Rh(-), - Absence d’Agglutinines irrégulières,- VDRL , TPHA et Anticorps Anti-HIV : négatives, - Sérodiagnostic de la Rubéole et Toxoplasmose : absence d’immunités. Votre diagnostic se confirme, Quelle est la prise en charge incorrecte parmi les mesures ci-dessous ?
Déclaration obligatoire
Hydratation abondante
Prélèvement multiples chez le nouveau-né (sang, LCR, gastrique, méconium...)
Anatomopathologie du placenta à la recherche d’abcès placentaire
Isolement infectieux
19) Une femme de 30ans, vient consulter au votre cabinet à 34 SA pour une fièvre à 39°C depius 12 heures, associée à des courbature, des vomissements et une diarrhée Après la réalisation d’une hémoculture et d’une ECBU vous débutez une antibiothérapie. Parmi les classes d’antibiotiques listées ci-dessous, lesquelles sont possibles et indiquées dans l’infection urinaire de la femme enceinte ?
Pénicillines Pénicilline Amoxicilline
Céphaloporines Céphalexine Céphalosporin
Macrolides Erythromycine Clarithromycine
Fluoroquinolones Ofloxacine Cyprofloxacine
Aminoglycosides Gentamycine Tobramycine
20) Une femme de 30ans, vient consulter au votre cabinet à 34 SA pour une fièvre à 39°C depius 12 heures, associée à des courbature, des vomissements et une diarrhée La fièvre chez la femme enceinte doit être traitée comme une Listériose, et quand elle est allergique aux pénicillines, Quelle l’antibiotique est indiquée pour ce schéma de traitement ?
Tétracycline 1000mg/jour per os pendant 10 jours
Aminoglycosides (160mg/jour IM pendant 10 jours
Macroloide (érytromycine 3g/jour per os pendant 21 jours)
Amoxicilline 3g/jour per os pendant 10 jours
Quinolone (ofloxacine 400mg/jour per os pendant 15 jours
21) Mme B 50 ans vient consulter pour une perte de sang rouge importantes de quantité abondante depuis une semaine. A l’interrogatoire, elle précise que ses règles antérieures étaient régulières. Elle a eu ses ménarches à 12ans, se mariée à 16 ans. Sa fille unique a 35 ans en bonne santé. Elle pratique de gymnastique 5 fois par semaine. Elle est encore règlée. Son dernier frottis cervico-utérin a été réalisé par un médecin gynécologue il ya un an et était normal. A l’examen : TA : 105/62 mmHg, pouls 110/mn, température 37,2°C, taille 1,60m, poids 55kg, Abdomen souple et non douloureux. Au spéculum, le col est normal, le sorte de l’endocol. Le TV met en évidence un utérus volumineux comme une grossesse de 2 mois, les annexes sont non perceptibles. L’examen ne déclenche aucune douleur. A l’échographie,on trouve que la cavité utérine s’épaissie. Si cette dame a eu 45 ans et l’examen anatomopathologique décèle aucune malignité de ce produit de curetage, et affirme de l’hyperplasie de l’endomètre relative à une hyperestrogénie entrainant un cycle anovulatoire, quel est le traitement le plus probable ?
Progestatif du 5ème au 25ème jour du cycle
Anticoagulant
Stimulation de l’ovulation
Blocage de l’ovulation
OEstrogène 10μg/jour du Jour 0 au Jour 10
22) En consultation une jeune fille de 18 ans, vierge, se plainte des hémorragies génitales anarchique depuis 2mois, ménarchie à l'âge de 13 ans.A l'interrogatoire : les saignements sont espacés une dizaine à quinzaine de jours, et chaque fois dure 3 à 4 jours faite de sang rouge vif. Elle change 8 fois de linge par jour. Sa mère n'ètait jamais prise de tel hormone.A l'échographie vous notez que l'utérus mesure 30mm d'épaisseur, et sa cavité non élargie, les 2 ovaires sont normaux. La TA 90/50mmHg, température 37ºC, pouls 105/mn, taille 163cm, poids 45 kg. Dans le contexte de la jeune fille, quelle est la cause iatrogène le plus probable ?
Prise sauvage de contraceptifs oraux
Infection ou corps étranger intravaginale
Adénocarcinome du vagin (enfant des distilbène)
Maladie hémolytique (thrombopathie, maladie de willebrand)
Tumeur estrogénosécrétante de l’ovaire
23) En consultation une jeune fille de 18 ans, vierge, se plainte des hémorragies génitales anarchique depuis 2mois, ménarchie à l'âge de 13 ans. A l'interrogatoire : les saignements sont espacés une dizaine à quinzaine de jours, et chaque fois dure 3 à 4 jours faite de sang rouge vif. Elle change 8 fois de linge par jour. Sa mère n'ètait jamais prise de tel hormone. A l'échographie vous notez que l'utérus mesure 30mm d'épaisseur, et sa cavité non élargie, les 2 ovaires sont normaux. La TA 90/50mmHg, température 37ºC, pouls 105/mn, taille 163cm, poids 45 kg. Quel est votre schéma de traitement devant une insuffisance lutéale provoquant une hémorragie foctionnelle de moyenne abodance ?
Progestatif du 15ème au 25èmejour du cycle pendant 6mois
Pilule contraception ( oestrogène + progestérone ) au long cours
Oestroprogestatif pendant 6 mois
Injection intraveineuse d’oestrogène avec ou sans transfusion
Oestroprogestatif deux mois + progestatif pendant 4 mois
24) Une femme 35 ans présentant un cancer du col au stade IIA, évalué à 3cm , sans envahissement métastatique ganglionnaire et viscéral , Quelle prise en charge thérapeutique proposez-vous ? Quelle l’indication souvent pratiquée mais reste discutée de premier choix proposez-vous ?
Hystérectomie totale avec annexectomies
Curiethérapie utéro-vaginale pré-opératoire
Chirurgie radicale avec lymphadénectomie
Hystérectomie totale avec cobalthérapie
Curie et cobalthérapies associées
25) Une femme 35 ans présentant un cancer du col au stade IIA, évalué à 3cm , sans envahissement métastatique ganglionnaire et viscéral , Quelle prise en charge thérapeutique proposez-vous ? Quelle étape classique qu’on doit proposer pour le cancer de ce stade ?
Colpo-hystérectomie totale simple
Colpo- hystérectomie totale avec annexectomie bilatérale
Colpo-hystérectomie totale avec annexectomie bilatérale et lymphadénectomie
Chirurgie radicale à lieu d’emblée ou 6 semaines après une curie thérapie
Une seule cure de curie thérapie est suffissante
26) Une femme 35 ans présentant un cancer du col au stade IIA, évalué à 3cm , sans envahissement métastatique ganglionnaire et viscéral , Quelle prise en charge thérapeutique proposez-vous ? En peropératoire, on a trouvé des envahissements ganglionnaires diagnostiquées lors de l’anatomopathologie, quelle prise en charge proposez-vous ?
Une simple cobalthérapie
Une chimiothérapie seule
Une radio-chimio thérapie concomitante post opératoire
Cobalthérapie associée à un traitement palliative
Chimiothérapie associée à un traitement palliative
27) Une femme 35 ans présentant un cancer du col au stade IIA, évalué à 3cm , sans envahissement métastatique ganglionnaire et viscéral , Quelle prise en charge thérapeutique proposez-vous ? Quelle type de surveillance post-opératoire proposez-vous pour cette dame ?
La Surveillance de tous les ans par frottis du dome vaginal
La Surveillance de l’état général
La surveillance doit être rapprochée et prolongée par examen clinique et frottis du dome vaginal
La surveillance pour rechercher de la métastase
La surveillance se fait en une seule fois à 3mois
28) Une femme 35 ans présentant un cancer du col au stade IIA , évalué à 3cm , sans envahissement métastatique ganglionnaire et viscéral , Quelle prise en charge thérapeutique proposez-vous ? Tous les procédures thérapeutiques sont bien réalisés, Quel est le pronostic de survie moyenne pour cette dame ?
Au plus 1an
Au plus 3 ans
A 5 ans
A 10 ANS
A vie
29) Une femme 35 ans présentant un cancer du col au stade IIA, évalué à 3cm , sans envahissement métastatique ganglionnaire et viscéral , Quelle prise en charge thérapeutique proposez-vous ?Quelle est l’indication d’une manière systèmatique pour HSIL, si la jonction pavimento-cylindrique n’est pas visible sous colposcopique ?
Vaporisation au laser
Hystérectomie totale
Conisation et examen anatomopathologique
Biopsie de la zone suspecte
Colposcopie de répétition
30) Une femme 35 ans présentant un cancer du col au stade IIA, évalué à 3cm , sans envahissement métastatique ganglionnaire et viscéral , Quelle prise en charge thérapeutique proposez-vous ? Quelle est le futur compréhension exacte, pour la patiente vaccinée d’anti-HPV 16 et 18 ?
Une fois vaccinée, la protection du cancer du col est définitive
Pas besoins de frottis cervico-vaginal de contrôle après la vaccination
La vaccination anti- HPV ne dispense pas du frottis cervico-vaginal
Il faut vacciner de rappel ultérieurement
Vaccination des patientes âgées est nécessaire pour la prévention du cancer du col
1) Une femme de 38ans, consulte aux urgences d’un hôpital de Phnom Penh à 34 SA pour une fièvre à 39°C depius 12 heures, associée à des courbature, des vomissements et une diarrhée. Elle vous dit avoir eu plusieurs poussées d’herpès génital il y a 2 et 3 ans. La patiente vous donne tous les examens qu’elle a réalisé depuis le début de grossesse . Hémogramme : normal, groupe sanguine : A Rh(-); Sérologies syphilis et VIH : négatives ; Sérologie de le toxoplasmose : negative. Concernant les examens complémentaires nécessaires au suivi de grossesse, lequel manque et aurait dû être réalisé chez cette patiente ?Vous avez débuté un traitement antibiotique probabiliste et une réhydratation. Mais après 12h, son état hémodynamique s’aggrave. Quelle association de signes est un diagnostic de sepsis sévère ? critères PAs = Pression Artérielle systolique ; PAm = PA moyenne ; SA = Semaines d’Aménorrhées
PAs≤90 mmHg; Diurèse < 0,5 ml/kg/h; Confusion
PAs≤ 90 mmHg ; FC > 90/min; FR > 20 min
PAm≤ 90 mmHg; Diurèse < 500 ml/h ; T > 39 C
PAm≤ 65mmHg ; FR > 20 min ; T > 39 C
PAs≤ 90 mmHg ; FC> 90/min ; T > 39 C
2) Melle R , âgée de 25ans, primipare, TA : 170/110mmHg, vient d’accoucher d’un gaçon vivant pesant 3,5kg, 20 minutes après la délivrance dirigée, la sage femme alerte à son médecin de garde que la patiente a perdu de sang d’une quantité très importante s’accompagnant d’une trouble de la coagulation.Quel est le facteur de risque de trouble de coagulation par CIVD ou Fibrinolyse ?
Le placenta praevia
Praevia Pré-éclampsie
La grossesse multiple
Multiparité
Grossesse rapprochée
3) Melle R , âgée de 25ans, primipare, vient d’accoucher d’un gaçon vivant pesant 3,5kg, 10 minutes après la délivrance dirigée, la sage femme alerte à son médecin de garde pour la rétention totale du placenta Quelle est la complication sévère de l’hémorragie de la délivrance prolongée?
L’ Atonie utérine irréversible
Trouble de la crase sanguine par CIVD
L’hémorragie interne
L’hémorragie résidivante au cours de la prochaine accouchement
Besoins de la transfusion massive
4) Aménorrhée secondaire et désir de grossesse à 21 ans (dossier N*23 BENJAMIN). Madame M, 21ans, consulte pour aménorrhée secondaire, apparue après une longue période de spanioménorrhée. Mariée depuis 2 ans, elle est désireuse d’une grossesse, et n’a jamais utilisé de moyens contraceptifs. Elle ne prend aucun médicament. Elle a été réglée à l’âge de 13 ans, avec des cycles longs et irrégulier. On note une obésité modérée de type androïde, ainsi qu’une acné non inflammatoire, et une hyper-séborrhée du cuir cheveulu. Sa tension est à 110/60mmHg. Une dame 33 ans venant consulter au votre cabinet de consultation pour hémorragie génitales de 30 SA et de douleur abdominal, sa TA est 150/90mmHg. Quelle est la complication foetale du placentta praevia?
Souffrances foetales aiguë
Rupture prématurée des membranes
Présentation dystocique
Retard de croissance intra-utérin
Accouchement à terme
5) Aménorrhée secondaire et désir de grossesse à 21 ans (dossier N*23 BENJAMIN). Madame M, 21ans, consulte pour aménorrhée secondaire, apparue après une longue période de spanioménorrhée. Mariée depuis 2 ans, elle est désireuse d’une grossesse, et n’a jamais utilisé de moyens contraceptifs. Elle ne prend aucun médicament. Elle a été réglée à l’âge de 13 ans, avec des cycles longs et irrégulier. On note une obésité modérée de type androïde, ainsi qu’une acné non inflammatoire, et une hyper-séborrhée du cuir cheveulu. Sa tension est à 110/60mmHg. Une dame 33 ans venant consulter au votre cabinet de consultation pour hémorragie génitales de 30 SA et de douleur abdominal, sa TA est 150/90mmHg. Quelle est la complication foetale du placenta praevia?
Mortalité post natale
Procidence du cordon
Mort inutéro
Menace d’accouchement prématuré
Choc hémorragique aiguë
6) Mme M, suivie pour sa 1ère grossesse, consulte ce jour à 25 SA, elle présente une tension artérielle à 140/90 mmHg aux 2 bras en position allongée. Quel est le mécanisme relié au développement de l’HTA gravidique au cours de la grossesse ?
Une Adhérence anormale du placenta
Une Insertion basse du Placenta
Une mauvaise placentation entraîne une insuffissante placentaire
Une Grossesse arrêtée
Une multiparité
1) Chez un patient âgé de 65 ans dont l'auscultation cardiaque était normale deux mois auparavant, on constate devant une dyspnée d'effort durant depuis quelques jours, l'apparition d'un souffle systolique intense témoignant d'une insuffisance mitrale dans un contexte par ailleurs normal (pas de fièvre, pas de douleur, électrocardiogramme normal ...). Quelle cause doit-on évoquer?
Endocardite bactérienne
. Prolapsus mitral
. Rupture de cordage mitral
Infarctus du myocarde
Rupture d'un pilier mitral
2) Mme X, 38 ans, se présente en consultation pour des lésions cutanées atteignant les coudes et les genoux. Elle a dans ses antécédents dépressif majeur traité par Sertraline, ulcère gastrique traité par Oméprazole 20mg/j et un surpoids. Elle prend régulièrement de l'Aténolol à visée anxiolytique. Elle est rousse avec des yeux bleus et ne bronze presque pas lorsqu'elle s'expose au soleil. Elle ne fume pas et consomme de l'alcool occasionnellement. TA 145/95 mm Hg au repos. Décrivez la lésion cutanée?
Macules squameuses mal limitées
Plaques érythémato squameuses bien limitées
Papules oedémateuses érythémateuses bien limitées
Nodules infiltrées, confluentes
Placard érythémateux, oedémateux, bien limitées
3) Un patient atteint de la varicelle vous demande qui, son entourage, peut se faire vacciner contre la varicelle. Que lui répondez-vous?
Sa femme de 35 ans, en bonne santé, qui a déjà eu la varicelle
Son fils de 5 ans qui n'a jamais eu la varicelle
Sa fille de 12 ans qui a déjà eu la varicelle
Sa soeur de 54 ans, en bonne santé, qui n'a jamais eu la varicelle
Son frère de 39 ans, qui n'a jamais eu la varicelle, qu’il a vu 2 jours avant de tomber malade
4) Mr. R, 25 year-old is admitted to the inpatient department. We suspect he has type one diabetes. All the symptoms below are in favors for type one diabetes except one.
Obese
No family history
Polyuria
Polydypsia
Lost weigh
5) A 76-year-old man with squamous cell lung carcinoma attends accident and emergency with his wife who is his full-time career. She has become concerned as he has become extremely depressed over the last couple of weeks, along with being extremely thirsty and having little energy. Up until then he was coping very well with his diagnosis. What is the most likely cause of these symptoms?
. Hypercalcaemia
. Hypocalcaemia
Hyperkalaemia
Hypokalaemia
. Hypophosphataemia
6) Madame M. 56 ans a été opérée voilà 4 ans d'une mastectomie droite type Patey avec chimiothérapie et radiothérapie complémentaire. Le bilan de surveillance annuel montre une hypercalcémie à 2,8 mmol/I, la protidémie est à 65 g/l, la créatininémie à 55 mmol/I, mais ne retrouve pas d'argument en faveur d'une récidve. Son hypercalcémie peut-être causée par une
Mastectomie
Chimiothérapie
Radiothérapie
Hyperparathyroïdie primitive
. Tumeur maligne du sein droite
7) For the patient you consult for dyspepsia, you have to do anamnesis and clinical examination to find the causes. Which of the following etiology that is the most likely play a role?
Insomnia
Alcohol
Helicobacter pylori Infection
Intestinal parasite
Smoking
8) Mme Y. âgée de 40ans est hospitalisée pour une hémorragie digestive haute. Elle a la notion de la prise de l'ANIS depuis 5jours. Elle a bénéficié d'une endoscopie haute qui a montré un ulcère gastrique Forrest IIb. Quelle hormone de la défense de muqueuse gastrique qui est perturbé lors de l'utilisation de l'AINS?
Gastrine
Rostaglandine
Histamine
Somatostatine
Sécrétine
9) Le 16/11/2014, 20h40, Vous êtes interne au service urgence porte d’un hôpital à Phnom Penh. Monsieur C.V, âgé de 53 ans amené par son fils pour une émission de selle noirâtre une fois à 17 heures. 21h00. Après votre prise en charge immédiate l'état hémodynamique du patient est stable. Le patient a bénéficié d'une endoscopie en urgence qui montre de trois cordons variqueuse oesophagienne de stade III avec des signes rouge. La ligature élastique a été réalisée. Votre sénior vous a demandé, pourquoi existe-il des varice oesophagiennes pour ce patient?
Insuffisance hépatocellulaire
Hypo albuminémie
Hypertension portale
Rétention hydro sodée
Trouble de coagulation
10) Lors d'un bilan scannographique du Monsieur TG âgé de 39ans pour l'ictère, on a découvert fortuitement d'un pseudo-kyste du pancréas de taille 30x40mm. Quelle est la cause possible de cet ictère?
Compression des voies biliaires intra-hépatiques
Compression du canal de Wirsung
Compression des canaux de Santorini
Compression de la voie biliaire principale
Compression du duodenum
11)Un patient âgé de 60ans ayant un adénocarcinome de la tête du pancréas est hospitalisé au serviced'urgent pour l'état fébrile. Quelle est la cause qu'on doit rechercher en premier intention ?
Angiocholite
Occlusion intestinal
Diarrhée hydrique
Perforation intestinal
Pneumopathie infectieuse
12)Un homme de 45 ans, se présence aux urgences pour douleurs abdominales survenues brutalementil y a quelques heures. Il s’agit de douleurs épigastriques intenses (EVA à 8) avec irradiation postérieure associées à 2 épisodes de vomissements alimentaire. Le diagnostic de pancréatite aiguë est confirmé. Le scanner de 48 heures est réalisé. Quelle est la proposition juste?
A = Foie, B = Pancréas, C = Intestin grêle
A = Foie, B = vésicule biliaire, C = Pancréas
A = Foie, B = Intestin grêle, C = Pancréas
A = Rate, B = Intestin grêle, C = Pancréas
A = Rate, B = Pancréas, C = Intestin grêle
13)La Radio pulmonaire montrait une opacité floue basale droite. Le diagnostic est confirmé pour unePneumonie nosocomiale, quel est le germe le plus souvent peut responsable dans cette pathologie?
Streptococcus susi
Streptococcus pneumoniae à SDP
Staphylococcus Méti-Résistant
Staphylococcus Blanc
Pseudomonase spp
14) Vous avez reçu un patient avec un tableau d’insuffisance rénale chronique terminale, mais la calcémie est à 112 mg/L. Parmi les étiologies suivantes, laquelle est la plus probable?
Néphropathie diabétique
Néphroangiosclérose
Myélome multiple
Néphropathie lupique
Syndrome néphrotique
15) Monsieur D, 53 ans, aux antécédents d’HTA et goutte, vient à la consultation pour faiblesse musculaire. Il apporte le résultat d’un ionogramme réalisé il y a 2 jours, qui montre une kaliémie à 2.5 mmol/L. Vous pensez que cette hypokaliémie est iatrogène et analysez son ordonnance. Parmi les molécules suivantes, laquelle est la plus probablement en cause ?
Amlodipine
Perindopril
Furosémide
Allopurinol
Rosuvastatine
16) Vous voyez en consultation Monsieur M, 55 ans, qui apporte avec lui quelques résultats paracliniques et biologiques réalisés en ville : urée = 1,05 g/L, créatinine = 534 μmol/L (435 μmol/L il y a 9 mois) et échographie rénale montrant les reins de taille et structure normales. Parmi les étiologies d’insuffisance rénale chronique suivantes, laquelle est la plus probable ?
Néphropathie lupique
Néphropathie diabétique
Syndrome néphrotique pur
Syndrome néphrotique impur
Néphroangiosclérose
17) Monsieur M, 60 ans, est adressé aux urgences pour son médecin traitement pour hypercalcémie à 120mg/L. Quelle atteinte met en jeu le pronostic vital ?
Hépatique
Cérébrale
Cardiaque
Rénale
Pulmonaire
18) Monsieur M, 60 ans, est adressé aux urgences pour son médecin traitement pour hypercalcémie à 120mg/L. Quelles les causes d’hypercalcémie ?
Iatrogène, néoplasie, myélome
Infection, iatrogène, maladie de système
Néoplasie, infection, maldie de système
Néoplasie, infection, maldie de système
Maladie de système, néoplasie, myélome
19) Un jeune homme de 18 ans présente en même temps qu’une douleur pharyngée et une température à 38°C, une hématurie macroscopique sans autre manifestation. Il s’agit d’un deuxième épisode. Le diagnostic le plus probable est
Infection Urinaire
Lithiase vésicale
Reflux vésico-urétérale
Glomérulonéphrite aiguë post streptococcique
Glomérulonéphrite mésangiale à dépôts d’IgA
20) Madame X âgée de 23 ans est été admise pour fourmillements des quatre membres, l’évolution ascendante. Le diagnostic de polyradiculonévrite de type syndrome de Guillain Barré est posé. Quelle est la nature d’atteinte nerveuse de cette pathologie?
Atteinte axonale aiguë et précoce d’origine auto-immune
Axonopathie segmentaire et focale d’origine auto-immune
Démyélinisation générale ou focale d’origine auto-immune
Démyélinisation segmentaire et focale d’origine inflammatoire
Démyélinisation segmentaire et focal d’origine infectieuse
21) Monsieur X, 65 ans est myasthénique connu. Il se présente aux urgences avec une dyspnée compliquée d’une détresse respiratoire. Vous recherchez les facteurs déclenchants possibles, dont les médicaments. Parmi les molécules suivantes, indiquez celle connue comme facteur déclenchant de crise myasthénique :
Atropiniques
Diamox
D-pénicillamine
Mucomyst
Motilium
22) Une femme de 40 ans, qui a eu ses premières règles à 11 ans et a eu un enfant qu’elle n’a pas allaité à l’âge de 29 ans, est particulièrement exposée à présenter un des cancers suivants. Lequel?
Carcinome épidermoïde du col utérin
Adénocarcinome du corps de l’utérus
Sarcome du sein
Adénocarcinome du sein
Sarcome de l’utérus
23) Un jeune garçon de 13ans, sans antécédent personnel et familial particulier, est adressé à l’hôpital pédiatrique de Phnom Penh pour des douleurs osseuses diffuses et une fièvre persistante. Il est à 2 mois de son traitement de tuberculose ganglionnaire diagnostiqué à Siem Reap devant une fièvre chronique et une adénopathie médiastinale sur le scanner thoracique. L’examen clinique retrouve une pâleur cutanéomuqueuse, purpuras pétéchiales au niveau du tronc et membres, des polyadénopathies cervicales millimétriques, une hépatomégalie de 3cm sous rebord costale droit et une splénomégalie de 2cm sous rebord costale gauche. Les testicules sont normaux. L’examen neurologique est sans particularité. La TA est à 110/70mmHg, la fréquence cardiaque à 100/mn, la température est à 38.7C, le poids à 37kg, la taille à 140cm. L’examen biochimique montre un Na à 138 mmol/l, K 6 mmol/l, Ca 65mg/l, Ph 1.8mmol/l, Acide urique 120mg/l , LDH 850UI/l , créatininémie à 120mg/l. Quelle est la cause de cette anomalie?
Infection chronique
Inflammation chronique
Déshydratation
Malnutrition
Syndrome de lyse
24) Un jeune garçon de 13ans, sans antécédent personnel et familial particulier, est adressé à l’hôpital pédiatrique de Phnom Penh pour des douleurs osseuses diffuses et une fièvre persistante. Il est à 2 mois de son traitement de tuberculose ganglionnaire diagnostiqué à Siem Reap devant une fièvre chronique et une adénopathie médiastinale sur le scanner thoracique. L’examen clinique retrouve une pâleur cutanéomuqueuse, purpuras pétéchiales au niveau du tronc et membres, des polyadénopathies cervicales millimétriques, une hépatomégalie de 3cm sous rebord costale droit et une splénomégalie de 2cm sous rebord costale gauche. Les testicules sont normaux. L’examen neurologique est sans particularité. La TA est à 110/70mmHg, la fréquence cardiaque à 100/mn, la température est à 38.7C, le poids à 37kg, la taille à 140cm. Deux heures plus tard, il se plainte de céphalée intense avec hypotonie de membre supérieur gauche. En plus, il devient dyspnéique avec SaO2 à 90%. Cette situation urgente est causée par quel mécanisme ?
Trouble ionique
Syndrome de leucostase
Embolie pulmonaire
Anémie
Pneumonie grave
25) Au cours d’une intervention pour traitement d’un anévrisme aortique abdominale, une femme de 61 ans a reçu un culot globulaire de groupe A rhésus négatif. Son groupe sanguin est O rhésus positif. Cinq minutes après le début de la transfusion, sa température monte à 39oC et sa pression artérielle chute de 100/60 mmHg a 60/20 mmHg. Quelle est l’explication la plus probable de ces phénomènes?
Destruction des globules rouges médiée par le complément
Incompatibilité rhésus
Interaction entre leucocytes du donneur et antigène du receveur
Formation de microthrombi et agrégation plaquettaire
Anticorps du donneur contre antigène O du receveur
26) M. H. Chan 72ans, 1m65, 79kg, droitier, consulte au service de neurologie à 10h15 du 26 Juin 2016 pour troubles de la parole depuis ce matin. Dans ses antécédents, on retrouve un diabète de type II depuis plus 5 ans, un tabagisme actif à deux paquets par jour, une dyslipidémie. Il ne suit aucun traitement régulier. Au cours des 3 dernières semaines, avant, vous apprenez qu’il a également présenté une perte vision de l’oeil gauche à deux reprises, épisodes entièrement résolutif en moins de 24heures.C’est sa femme qui vous explique ce qui est arrivé à M.H.Chan. Au réveil à 6h20 de même jour sans facteur déclenchant, il a présenté des troubles de la parole à type de manque du mot, apparu brutalement. A l’interrogatoire, il semble comprendre ce que vous lui demandez, et il énerve de ne pas trouver ses mots. De plus vous notez une faiblesse de l’hémicorps droit, prédominant au niveau brachio-facial. L’auscultation cardio-pulmonaire est sans particularité. La pression artérielle est à 185/90 mmHg. A quoi semble correspondre l’épisode antérieur de perte de vision ?
Un accident ischémique transitoire
Un accident ischémique constitué
Un syndrome de menace
Une occlusion de la veine centrale de la rétine
Un accident vasculaire cérébral en cours d’évolution
27) M. H. Chan 72ans, 1m65, 79kg, droitier, consulte au service de neurologie à 10h15 du 26 Juin 2016 pour troubles de la parole depuis ce matin. Dans ses antécédents, on retrouve un diabète de type II depuis plus 5 ans, un tabagisme actif à deux paquets par jour, une dyslipidémie. Il ne suit aucun traitement régulier. Au cours des 3 dernières semaines, avant, vous apprenez qu’il a également présenté une perte vision de l’oeil gauche à deux reprises, épisodes entièrement résolutif en moins de 24heures.C’est sa femme qui vous explique ce qui est arrivé à M.H.Chan. Au réveil à 6h20 de même jour sans facteur déclenchant, il a présenté des troubles de la parole à type de manque du mot, apparu brutalement. A l’interrogatoire, il semble comprendre ce que vous lui demandez, et il énerve de ne pas trouver ses mots. De plus vous notez une faiblesse de l’hémicorps droit, prédominant au niveau brachio-facial. L’auscultation cardio-pulmonaire est sans particularité. La pression artérielle est à 185/90 mmHg. Quels sont les facteurs de risque cardio-vasculaires nontraitables présentés par ce patient ?
Personnes âgées, ATCD famillial d’AVC, Femme âgée supérieur à 80 et race noir
Antécédent familial des accidents vasculaires cérébraux
Antécédent familial des accidents vasculaires cérébraux
HTA, cardiopathies emboligènes, dyslipidémie, Tabagisme et alcoolisme
Diabète
28) Un homme fonctionnaire de 50 ans, venant de Preahvihea, vient vous consulter pour une douleur importante de l’articulation métatarso-phalangienne droite du gros orteil. C’est un homme marié, qui a 5 enfants en bonne santé. Il a une HTA bien traitée sous coversyl 5 mg et une obésité. Son père a été goutteux et mort il y a 10 ans. A l’interrogatoire vous apprenez que la douleur est apparue il y a 2 jours. Elle a débuté de façon brutale et intense. Il n’y pas de traitement spécifique en dehors des antalgiques à domicile. Votre maladie est classée dans un des groupes de la maladie suivants, lequel?
Maladie métabolique et génétique
Méladie métabolique et endocrinienne
Maladie métabolique et nutritionnelle
Maladie génétique et endocrinienne
Maladie génétique et nutritionnelle
29) Vous recevez une femme âgée de 65 ans, pour dyspnée fébrile. Elle est dyspnéique et toux non productive et de douleurs thoraciques postérieur droite apparues en même temps que la fièvre qui était d’emblée à 39,9°C depuis 24 heures. A l’examen : fréquence respiratoire à 32/min, TA à 90/50 mmHg, la fréquence cardiaque à 137 par min, la température à 39°C, SpO2 à 87% en air ambiant. Une gazométrie artérielle est effectuée en air ambiant et retrouve : pH 7,47 ; PaO2 60 mmHg ; PaCO2 32 mmHg ; HCO3 23 mmHg. Quelle est l’anomalie la plus appropriée ce gaz du sang ?
Acidose respiratoire
Alcalose respiratoire
Acidose métabolique
Alcalose métabolique
Hypercapnique hypermébolique
30) Vous recevez une femme âgée de 58 ans, pour dyspnée fébrile. Elle est dyspnéique et toux non productive et de douleurs thoraciques postérieur droite apparues en même temps que la fièvre qui était d’emblée à 39,9°C depuis 24 heures. A l’examen : fréquence respiratoire à 32/min, la tension artérielle à 90/50 mmHg, la fréquence cardiaque à 137 par min, la température à 39°C, SpO2 à 87% en air ambiant. Une gazométrie artérielle est effectuée en air ambiant et retrouve : pH 7,47 ; PaO2 60 mmHg; PaCO2 32 mmHg ; HCO3 23 mmHg. Quelle anomalie le gaz du sang le plus probable ?
L’hypoxémie lié à une hypoventilation
L’hypercapnie liée à une hyperventilation
Le shunt lié à une embolie pulmonaire
Le shunt lié à une pneumopathie
Le gaz du sang est de l’état de base
31) Vous recevez une femme âgée de 58 ans, pour dyspnée fébrile. Le score de Glasgow est à 13, perte de conscience pendant le transport. Elle est dyspnéique et toux non productive et de douleurs thoraciques postérieur droite apparues en même temps que la fièvre qui était d’emblée à 39,9°C depuis 24 heures. A l’examen : fréquence respiratoire à 32/min, la tension artérielle à 110/70 mmHg, la fréquence cardiaque à 137 par min, la température à 39°C, SpO2 à 87% en air ambiant. Vous hospitalisez la patiente. Quel est le score CURB-65 pour cette patiente ?
Le score CURB-65 est de 0
Le score CURB-65 est de 1
Le score CURB-65 est de 2
Le score CURB-65 est de 3
Le score CURB-65 est de 4
32) Vous voyez en consultation à l’hôpital Mr. T 21 ans, taille 176cm/59Kg, tabagique à 2 PA, consulte pour une douleur thoracique gauche d’apparition brutale survenue ce soir. La tension artérielle: 110/65 mmHg, la fréquence cardiaque : 90/min, la saturation d’oxygène SaO2: 97%. L’examen clinique : diminution du murmure vésiculaire et abolition des vibrations vocales hémothorax. Vous pensez à un pneumothorax. Quelle est la localisation de présence d’air anomale pour la définition d’un pneumothorax ?
Entre le plèvre pariétal et viscéral
Entre la petite scissure et grande scissure
Entre la trachée et médiastin antérieur
Entre le peau et tissu graisseux du cou
Entre le péricarde et artère pulmonaire
33) Vous voyez en consultation à l’hôpital Mr. X 27 ans, taille 180cm/62Kg, tabagique à 4 PA, consulte pour une douleur thoracique gauche d’apparition brutale survenue ce soir. La tension artérielle : 110/65 mmHg, la fréquence cardiaque : 90/min, la saturation d’oxygène SaO2: 97%. Le cliché du radio thorax et la tomodensitométrie thoracique vous retrouvez ci-joint. Quelle est la physiopathologie du pneumothorax :
Rupture de bulle d’emphysème
Entré l’air par paroi thoracique
Fracture la trachée
Fracture la trachée
Fistule broncho oesophagien
Perméable l’air par parenchyme pulmonaire
34) Vous recevez en consultation une femme âgée de 28 ans qui est adressée par le médecin du travail pour dyspnée sifflante épisodique chaque matin au milieu de sa profession. La conscience normal, la tension artérielle 120/67 mmHg, la fréquence cardiaque 14 par min, la fréquence respiratoire 14/min et sibilants diffus. Vous pensez à un asthme professionnel. Quel est le métier le plus fréquemment concerné par l’asthme professionnel ?
Consultrice
Coiffeuse
Cultivatrice
Cuisinière
Contrôleuse
35) Vous recevez en consultation d’un homme de 49 ans, fumeur pour bronchite chronique et dyspnée avec sibilants. La conscience normal, la tension artérielle 120/67 mmHg, la fréquence cardiaque 14 par min, la fréquence respiratoire 14/min et spasme expiratoire avec sibilants diffus. Vous pensez à la maladie professionnelle surajoutée avec le facteur risque. Quel est le secteur d’activité impliqué dans la survenue d’une BPCO ?
Porteurs et vendeur
Eleveur les oiseaux
Travailleur du bois
Métiers du nettoyage
Fonderie et sidérurgie
36) Vous recevez un home âgé de 54 ans en consultation pour fièvre prolongée et dyspnée. Le principal antécédent : diabète sucré type 2 déséquilibré. L’apparition de la fièvre, toux et douleur thoracique un mois. La fièvre persistante hospitalisation. L’état général altéré. L’examen : un amaigrissement, la tension artérielle: 110/56 mmHg, la fréquence cardiaque: 112 par min, la température : 38,5°C, la fréquence respiratoire : 22/min, la SpO2 93%. Quel est le germe responsable la mélioïdose?
Hisplasma capsulatum
Burkholderia pseudomallei
Pneumocystis jeroveccii
Pseudomonas aeruginoza
Penicillium marneffei
37) Vous recevez en hospitalisation Mr. P 48 ans pour une dyspnée et fébrile depuis 3 semaines. Il est tabagique à 30 paquets - années non sevré. Cliniquement, la fréquence cardiaque est à 95 par min, la tension artérielle à 110/80 mmHg. L’auscultation pulmonaire ne retrouve pas de crépitant. Il n’y a pas d’hippocratisme digital. La radiographie de thorax réalisée en ville retrouve un syndrome interstitiel bilatéral de type micronodule diffuse. Quelle est la pathologie à évoquer plus probable en priorité par leur fréquence devant une pneumopathie interstitielle diffuse aiguë et fébrile?
Virose respiratoire
Pneumocystose pulmonaire
Pneumopathie d’hypersensibilité
OAP cardiogénique
Pneumopathie infectieuse
38) Me. Z 65 ans vous consulte pour une dyspnée d’effort apparue progressivement depuis 3 semaines. Elle est de plus en plus gênée dans les gestes de la vie quotidienne. Il a comme antécédent une sclérodermie connue depuis 3 ans. Elle ne fume pas. Cliniquement, la fréquence cardiaque est à 75 par min, la tension artérielle à 130/80 mmHg. L’auscultation pulmonaire retrouve des crépitants aux 2 champs pulmonaire. La radiographie de thorax réalisée en ville retrouve un syndrome interstitiel bilatéral. Vous pensez une pneumopathie interstitielle diffuse primitive. Quelle est l’anomalie gaz du sang devant la pneumopathie interstitielle primitive avec la dyspnée d’effort?
Hypoxémie au repos
Acidose respiratoire
Hypoventilation alvéolaire
Shunt vrai
Effet shunt
39) Mr. Ph 63 ans hospitalisation pour dyspnée au moins d’effort apparue progressivement depuis environ un moi. Il est de plus en plus gêné au parler. Il a comme antécédent une lymphangite carcinomateuse connue depuis 1 ans. Il fume 30 paquet-année non sevré. Cliniquement la fréquence cardiaque est à 110 par min, la tension artérielle à 130/80 mmHg. L’auscultation pulmonaire retrouve des crépitants aux 2 champs pulmonaire. La radiographie de thorax réalisée en ville retrouve un syndrome interstitiel bilatéral. Quelle est l’anomalie retrouvée de la spirométrie dans une pneumopathie interstitielle diffuse chronique ?
Augmentation de la diffusion du CO
Perturbation rapport du Tiffneau
Diminution de volume expiratoire maximal seconde
Augmentation le débit expiratoire de pointe
Diminution de la capacité pulmonaire totale (CPT)
40) Me. Z 45 ans vous consulte pour une dyspnée d’effort apparue progressivement depuis 5 semaines. Elle est de plus en plus gênée dans les gestes de la vie quotidienne. Elle ne fume pas. Cliniquement la fréquence cardiaque est à 75 par min, la tension artérielle à 130/80 mmHg. L’auscultation pulmonaire retrouve des crépitants aux 2 champs pulmonaire. La radiographie de thorax réalisée en ville retrouve un syndrome interstitiel bilatéral. Quelle est la principale complication d’une pneumopathie interstitielle diffuse d’origine sarcoïdose ?
Pneumothorax
Cancer bronchique
Embolie pulmonaire
Détresse respiratoire aiguë
Fibrose pulmonaire
41) Vous recevez Mr. Sok , 69 ans pour altération de l’état général et dyspnée. Il a pour principal antécédent une BPCO post-tabagique. Vous retrouvez une fréquence respiratoire à 32/min, discret tirage sus-sternal, cyanose péribuccale. La saturation est à 76% en air ambiant, PaO2 40 mmHg. A l’auscultation, il est spastique avec des sibilants bilatéraux diffus. Pas de douleur thoracique. Fonctions supérieures conservées, examen neurologique normal. PA 97/60 mmHg, FC 120/min, Température 37,3°C. Quel est le rapport PaO2/FiO2 pour ce patient?
100 mmHg
200 mmHg
300 mmHg
400 mmHg
500 mmHg
42) Un jeune homme de 18 ans a polytraumatisme sévère avec état de choc. L’apparition brutale d’une dyspnée aigue avec désaturation à 70% en air ambiant. Vous évoquez un syndrome déstresse respiratoire aigu. Quelle en est la physiopathologie le plus vraisemblable ?
Hyperperméabilité alvéolaire
Diminution pression osmotique
Effet shunt
Diminution de pression interstitielle
Insuffisance lymphatique
43) Un jeune home, auparavant sain, est admis aux urgences pour une intoxication aux barbituriques responsables d’une hypoventilation sévère. La respiration mélange à 50% d’O2 n’a pas modifiée sa PaCO2. Quelle est la valeur approximative la PaO2 estimée?
25
50
75
100
200
44) Une patiente de 38 ans, en consultation pour fièvre le soir avec sueur nocturne. L’amaigrissement -5Kg en 1mois. L’interrogatoire, vous retrouvez une notion de contact étroit de tuberculose pulmonaire BK positif. Vous pensez à une tuberculose atteinte chez cette patiente. Quelle est l’histoire naturelle de ce maladie ?
Transmission interhumaine et environnement
Incubation tuberculeuse 3 mois
Primo-infection tuberculeuse et signe gravité
Primo-infection tuberculeuse et signe gravité
Infection tuberculeuse latente et signe clinique
Tuberculose maladie pas de signe clinique
45) Une patiente de 38 ans, en consultation pour fièvre et toux chronique. L’amaigrissement -5Kg en 1mois. L’interrogatoire, vous retrouvez un enfant de 2 ans vit avec elle. Vous pensez à une tuberculose atteinte chez cette patiente. Quel est l’efficacité de vaccination BCG chez l’enfant à la naissance le plus confortement ?
Protection la tuberculose maladie
Prévention la primo-infection tuberculeuse
Limitation l’infection tuberculeuse latente
Aggravation la tuberculose maladie
Diminution la forme grave de la tuberculose
46) Vous recevez en consultation un patiente de 60 ans pour une dyspnée expiratoire. Le patient suivi régulier pour une bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) post tabagique. La dyspnée d’apparition progressive associée à une toux avec expectoration purulente depuis 5 jours qui ne cessent de se majorer. Vous évoquez donc à une exacerbation de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) post tabagique. Quel est l’élément appartient à la physiopathologie de la dyspnée récente de cette patiente ?
Bronchoconstriction pulmonaire
Obstruction bronchique pulmonaire
Diminution du débit inspiratoire
Hypoperfusion artérielle pulmonaire
Accumulation du liquide extra capillaire pulmonaire
47) Vous recevez au service pneumologie une patiente de 68 ans cuisinière, vous suivez pour une bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) biomasse stade 3 GOLD, consulte aux urgences pour une dyspnée d’apparition progressive. Cliniquement, vous trouvez une légère cyanose des extrémités et des sueurs, la fréquence respiratoire : 26/min, la tension artérielle 140/90 mmHg, la fréquence cardiaque : 90 par min. Vous évoquez donc à une exacerbation de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO). Quel est le facteur déclenchant d’exacerbation le plus important à rechercher chez ce patient ?
Pneumothorax
Insuffisance cardiaque gauche
Embolie pulmonaire
Pneumopathie aiguë infectieuse
Surinfection bronchique
48) Vous recevez en consultation un patiente de 60 ans pour bilan explorations fonctionnelles respiratoires (EFRs) dans un contexte stable. Le patient suivi régulier pour une bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) post tabagique. Cliniquement, vous trouvez pas de dyspnée, la fréquence respiratoire : 16/min, la tension artérielle 130/70 mmHg, la fréquence cardiaque : 80 par min. Vous réalisez des explorations fonctionnelles respiratoires (EFRs). Quelle est l’anomalie la plus probable expliquée?
VEMS/CVF>70%
Trouble ventilatoire obstructif
Courbe débit-volume convexe vers le haut
Distension thoracique avec CPT <80%
Réversibilité avec bronchodilatateur est nulle
49) Vous recevez aux urgences Melle. H. , 25 ans, accompagnée par son mari, pour une dyspnée aiguë. Elle est très agitée et est incapable de terminer ses phrases. A l’examen clinique, vous trouvez des sibilants diffus, ainsi qu’une cyanose. Les première constantes sont suivantes : la fréquence cardiaque: 140/min, la tension artérielle : 120/80 mmHg, la fréquence respiratoire: 35/min, la saturation SpO2: 90% en air ambiant. Son mari vous montre l’ordonnance qui comprend: Formeteropl et Beclomethasone. Vous évoquez à un asthme le plus vraisemblablement. Quelle est la physiopathologie de l’asthme ?
Déficit immunitaire
Hyperactivité alvéolaire
Bronchodilatation
OEdème de la paroi bronchique
Hypersécrétion de la paroi bronchique
50) Vous recevez aux urgences Me. H. , 35 ans, accompagnée par son mari, pour une dyspnée aigue. Elle est très agitée et est incapable de terminer ses phrases. A l’examen clinique, vous trouvez des sibilants diffus, ainsi qu’une cyanose. Les première constantes sont suivantes : la fréquence cardiaque : 140/min, tension artérielle : 120/80 mmHg, la fréquence respiratoire: 35/min, SpO2: 90% en air ambiant. Son mari vous montre son ordonnance qui comprend: Formeteropl et Beclomethasone. Le diagnostic asthme aigu grave retenu le plus vraisemblablement. Quelle est l’explication de la cyanose de cette patiente ?
Hypercapnie
Hypoxémie sévère
Hémoglobinémie baisse
Phénomène de Raynaud
Hypoperfusion tissulaire
51) Vous recevez en hospitalisation un chauffeur âgé de 27 ans pour sensation d’étouffement. Poids 109 Kg pour taille 1m62, la tension artérielle: 143/98 mmHg, poules 98 par min, fréquence respiratoire : 21/min et SpO2 96% en état éveil et 84% en dorment avec ronflement. Il n’a pas antécédent particulier ni acromégalie ni hypothyroïdie. Il a deux accidents de voie publique par rapport au somnolence. Vous pensez à syndrome d’apnée du sommeil. Quelle est la localisation de l’obstruction des voies aériennes responsable des apnées ou hypopnées?
Nasale
Rhinopharynx
Oropharynx
Cordes vocales
Trachée
52) Vous recevez en consultation une jeune antillaise bancaire de 20 ans pour opacité hilaire bilatérale. Elle est mariée sans enfant. Le poids est de 48 Kg pour taille 158 cm, la tension artérielle est 110/67 mmHg et poules 102 par fréquence respiratoire 22/min SpO2 96% en air ambiant. Le résultat anatomopathologique confirme le diagnostic de sarcoïdose. Quelle lésion histopathologique la plus retrouvée dans la sarcoïdose de type granulome épithélioïde et associée ?
Giganto-cellulaire sans nécrose caséeuse
Adénocarcinome bien différentié
Lymphocytaire avec nécrose centrale
Epidermoïde avec kératinisation
Fibroblasto-myofibroblaste et collagène
53) Vous recevez en consultation une jeune noire de 24 ans pour asthénie fébrile. Elle est mariée sans enfant. Le poids est de 44 Kg pour taille 162cm, la tension artérielle est 110/67 mmHg et poules 102 par fréquence respiratoire 22/min SpO2 96% en air ambiant. Le cliché de radiographie thoracique révèle des opacités hilaires et interstitielles bilatérale. Vous êtes appelé pour le résultat histologique une lésion endobronchique de granulome épithélioïde et giganto-cellulaire sécrose caséeuse. Quelle est la maladie la plus probable ?
Tuberculose
Maladie de Crohn
Corps étranger
Tumeur bénigne
Sarcoïdose
54) Vous êtes en consultation sevrage tabagique devant une jeune fille de 17 ans qui fume récemment. La maman qui l’accompagne à votre consultation veut savoir le tabac. Quelle est la composition dans la fumé de tabac la vraisemblable ?
La taille des particules est comprise entre 0,1 et 0,2 μ
L’anabasine a une action de type IMAO
La fumée de tabac contient environ 400 substances chimiques
Le monoxyde de carbone est contenu dans la phase particulaire
Le CO en courant secondaire est 2 fois moindres que dans le courant principal
55) Vous recevez en consultation sevrage tabagique devant une patiente de 27 ans qui fume 5 paquet-année depuis 5 ans. Elle est enceinte 17 semaine-aménorrhée. Elle s’inquiète les effets néfastes au foetus. Quel est le substance de la fumée de tabac provoque une hypotrophie du nouveau-né le plus probable?
Cadmium
Harmane
Myosmine
Nickel
Arsenic
56) Vous recevez en consultation sevrage tabagique devant un patient de 51 ans qui fume 10 paquet-année depuis 5 ans. Il a une bronchite chronique sans trouble ventilatoire obstructif sur explorations fonctionnelles respiratoire. Il s’inquiète les effets néfastes du tabac surtout substance radioactif. Quel est le substance de la fumée de tabac contient le substance radioactif ?
Polonium
Nitrosamines
Benzopyrène
Acroléine
Arsenic
57) Vous recevez en consultation sevrage tabagique devant un patient de 61 ans qui fume 30 paquet-année depuis 25 ans. Il a une bronchopathie chronique obstructive (BPCO) avec trouble ventilatoire obstructif sur explorations fonctionnelles respiratoire. Il veut s’arrêter du tabac. Quel est le substance de la fumée de tabac responsable de BPCO plus probable ?
Polonium
Acroléine
Anabasine
Cotinine
Cadmium
58) Vous recevez en consultation sevrage tabagique devant une patiente de 43 ans est le tabagisme passif avec son mari qui fume 40 paquet-année. Quel est le caractéristique concernant la cotinine après inhalation de la fumée passive plus probable?
Sa demi-vie est de 15 à 20 heures
La nornicotine est son principal métabolite après passage hépatique
Elle se fixe sur les récepteurs nicotiniques cérébraux 8 secondes
Elle peut être dosée dans le sang ou les urines ou la salive
Son taux est normal chez un patient qui a arrêté de fumer et par patchs de nicotine
59) Vous recevez en consultation sevrage tabagique devant une patiente de 43 ans est le tabagisme passif avec son mari qui fume 40 paquet-année. Quel est le caractéristique concernant le monoxyde de carbone (CO) plus probable?
Une intolérance au lactose peut provoquer en faux négatif
Sa demi-vie est de 10 à 15 heures
Son affinité pour l’hémoglobine est 10 fois supérieure à celle de l’oxygène
La consomme d’alcool diminue le taux de CO dans l’air expiré
La mesure du CO outil de motivation à l’arrêt
60) Vous recevez Mr. Sok 65 ans cuisinier, pour un nodule pulmonaire de 30 mm sur un scanner thoracique sans injection. Il vous dit qu’une radio de thorax avait été prescrite pour une toux chronique il y a 3 semaines et qu’une anomalie a conduit à réaliser le scanner thoracique ci-joint. La derrière radiographie de thorax réalisé il y a un an à suite d’une pneumopathie infectieuse était normale. Il vous décrit également une grande asthénie ainsi qu’une perte appétit et une toux depuis 4 mois. Il a un oiseau dans la maison. Vous remarquez à l’interrogatoire une voie bitonale. Quel est le mécanisme de la paralysie des cordes vocales le plus probable ?
Métastases cérébrales
Envahissement laryngé
Atteinte du nerf récurrent droit
Atteinte du nerf récurrent gauche
Accident vasculaire cérébral
61) Vous recevez un homme âgé de 61 ans en hospitalisation au service pneumologie pour opacité médiastinale dans un contexte d’hémoptysie. Il a principale une BPCO. Il fume la cigarette artisanale 40 paquet-année. Vous pensez à un cancer bronchique. Quelle est la localisation la plus préférentielle le cancer broncho pulmonaire à petite cellule (CBNPC)?
Cordes vocales et trachée haute
Alvéole et plèvres
Bronchiole et alvéoles
Scissure et colonne thoracique
Bronche source et médiastin
62) Une dame de 45 ans est diagnostiquée pour un cancer de l’utérus récemment. Dans le bilan d’extension par IRM pelvienne, on note que la tumeur envahisse des dans le stroma de corps utérin mais limité au niveau de la jonction cervicale. On trouve également une attente de l’ovaire gauche. Les paramètres sont intacts. D’autre examen complémentaire ne montre pas une dissémination de la maladie à distance. Pourriez classifier sa maladie en raison de la classification de FIGO 2009?
Stade IIIC
Stade IIIB
Stade IIIA
Stade IVA
Stade IIIB
63) Une jeune patiente de 33 ans, rizière, est venu vous vous pour une métrorragie très abondante. Votre bilan de l’échographie abdominale monstre une volumineuse masse au niveau du corps utérin avec une infiltration vers les annexe (ovaires et 1/3 supérieure du vagin). C’est une choriocarcinome en raison de dosage hCG qui est en plateaux de 4 dosages consécutifs hebdomadaires. On ne trouve pas d’autre lésion métastatique en dehors de l’utérus. Pourriez-vous donner une classification juste de la maladie selon FIGO?
FIGO II
FIGO III
FIGO IVa
FIGO IIIb
FIGO IIIa
64) Une jeune patiente de 33 ans, rizière, est venu vous vous pour une métrorragie très abondante. Votre bilan de l’échographie abdominale monstre une volumineuse masse au niveau du corps utérin avec une infiltration vers les annexe (ovaires et 1/3 supérieure du vagin). C’est une choriocarcinome en raison de dosage hCG qui est en plateaux de 4 dosages consécutifs hebdomadaires. Après évaluation clinique, vous devez rechercher les éléments suivants : Grossesse précédente (môle, avortement, à terme), intervalle de grossesse, diamètre maximum de la tumeur. Parmi les propositions suivantes, choisissez une seule réponse pour donner de score de pronostic de cette patiente ?
Age
Forme et caractéristique de la tumeur (invasif, adhérente)
Site métastatique
Nombre de ganglion atteint
Infiltration péritonéale
1) Un homme de 50 ans consulte pour une douleur thoracique constrictive angoissante d'apparition récente survenant à la marche, forçant à l'arrêt et cédant rapidement. Quel est le diagnostic le plus vraisemblable?
Infarctus du myocarde
. Dystonie neuro-végétative
. Angine de poitrine
. Dissection aortique débutante
Embolie pulmonaire
 
2) Chez un patient porteur d'une prothèse mécanique en position mitrale, quelle proposition n’est pas un signe évocateur d’une dysfonction de la prothèse?
. L'apparition d'un souffle systolique au foyer mitral
. La survenue d'une embolie pulmonaire
. La survenue d'une ischémie aiguë du membre inférieur droit
. La survenue d'une ischémie aiguë du membre inférieur droit
. La survenue d'un oedème aigu pulmonaire
. La découverte d'une anémie hémolytique
3) Un homme de 50 ans consulte pour une douleur thoracique constrictive angoissante d'apparition récente survenant à la marche, forçant à l'arrêt et cédant rapidement. Quelle est la proposition la plus appropriée?
. Infarctus du myocarde ambulatoire
Dystonie neurovégétative
Angine de poitrine .
Dissection aortique débutante
. L'épreuve d'effort est indispensable au diagnostic
4) Une femme de 35 ans, est atteinte d'un rétrécissement mitral en arythmie complète. Elle ressent brutalement une douleur vive du mollet qui s'accompagne rapidement d'une impotence complète. A l'examen la jambe et le pied sont froids. Quel est votre diagnostic?
Thrombose artérielle
. Phlébite
Embolie artérielle
Accès de goutte
. Arthrite rhumatismale
5) Melle P. 19 ans, vous voit en consultation pour vous montrer le résultat complémentaire de contrôle. Elle est agriculteur. Son antécédent : lupus cutanéo-articulaire depuis 5 ans. Quelques années dernières, la patiente, maintenant est sous immunosuppresseurs pour une atteinte rénale. On note une augmentation de la CRP. Quelle est la cause à évoquer en premier pour cette anomalie?
Poussée du lupus atteinte cutanée
Poussée du lupus atteinte articulaire
Infection sous-jacente
Tumeur sous-jacente
Vascularite
6) Vous voyez en consultation une petite fille de 6 mois pour un prurit évoluant depuis une semaine environ. Elle est née à terme. Ses vaccinations sont à jour. Elle a un frère en bonne santé. Elle a eu une bronchiolite l'année dernière, sans gravité. Son père est asthmatique depuis l'adolescence. Quel est le diagnostic le plus probable?
Eczéma de contact
Dermatite atopique
Dermite séborrhéique
Psoriasis en plaque
Impétigo
7) M. K, 52 ans se présente pour une lésion prurigineuse de la main gauche; évoluant depuis 1 semaine. Ce patient exerce la profession de boucher. Il est marié et a 3 enfants. Il ne prend aucun traitement. Il a 2 chats à la maison. Quel est le diagnostic le plus probable?
Eczéma de contact
Dermatophytie
Zona
Impétigo
Psoriasis
8) Mr A, 19 year-old, is admitted to the emergency of a national hospital. He has DKA. It is notes that he has type 1 diabetes. The symptoms below could possibly be the symptoms of DKA except one.
Dehydration
Kussmaul respiration
Polyuria
Acantosis nigrigans
Coma
9) Mrs A, 69 year-old, is admitted to the emergency of a nationa hospital. She has hyperosmolar coma. It is noted that she has type 2 diabetes. The symptoms below could possibly be the symptoms of hyperosmolar coma except one.
Dehydration
Kussmaul respiration
Polyuria
Acantosis nigrigans
Severe fatigue
10) A patient comes to consult you because of fatigue and he presents a Cushing syndrom. And in the interrogation you find that the patient uses lots of Prednisone but recently stops because of gastric intolerence. What do you suspect?
Acute hypoadrenalism
Cushing disease
Ectopic ACTH secretion
Adrenal tumor
Pituitary tumor
11) Mr B. 65 ans, est adressé aux urgences par son médecin traitant. Il a aimablement joint une lettre: “Cher confère, merci de prendre en charge Mr B., qui présente une hypercalcémie à 3,05 mmol/L, chez qui je suspecte une hyperparathyroïdie primitive. Lequel est un signe clinique d’hypercalcémie?
Anorexie
Fébrile
Convulsion
Clonus
Hyperréflexie
12) For patients with diagnosis as dyspepsia, they may have many symptoms. Which of the following symptoms is the most likely encountered?
Upper abdominal fullness
Diarrhea
Dysphagia
Hematemesis
Constipation
13) In patients with irritable bowel syndrome, symptoms for which we have to look for in the alarm features were below. Which of the following propositions is the most likely?
Age > 50 years with long onset of symptoms
Unremitting or Nocturnal symptoms
Past history of parasitic infection
Intentional weight loss
Severity of symptom
14) Monsieur X., âgé de 58 ans, est hospitalisé au service urgence pour une hématémèse. A l’examen clinique: la tension artérielle est de 100/60mmHg avec la fréquence cardiaque à 110/min, les téguments et muqueuses sont pâles. Il présente un ictère, des angiomes stellaires sur le tronc et des circulations veineuses collatérales. L’abdomen est distendu avec la matité déclive avec splénomégalie. TR : méléna. Quel diagnostic étiologique le plus probable évoquez-vous?
Oesophagite ulcéré complique
Syndrome de Mallory-Weiss
Rupture des Varice oesophagienne
Ulcère gastroduodénal complique
Saignement par d’Angiodyspalsie
15) Le 16/11/2014, 20h40, Vous êtes interne au service urgence porte d’un hôpital à Phnom Penh. Monsieur C.V, âgé de 53 ans amené par son fils pour une émission de selle noirâtre une fois à 17 heures. 20h42, vous avez un doute sur ce méléna à l’interrogatoire. Quel est le geste le plus approprie que vous devez faire pour le confirmer ?
Endoscopie rectal
Toucher rectal
Coloscopie
Sonde rectale
Lavement rectal
16) Monsieur CX âgé de 30ans se présent au Service des urgences porte pour douleurs épigastriques intense transfixant intermittente calmée par la position antéflexion avec vomissements et l’arrêt des matières. Dans son antécédent: plusieurs épisodes de ce type de douleur mais régressée spontanément. Une ASP a montré de quelques calcifications à la région épigastrique sans image hydro-aérique ni croissance gazeux. Quel est le diagnostic le plus probable de ce patient?
Tumeur du pancreas
Pancréatite chronique
Ulcère gastrique
Infarctus du myocarde
Colique néphrétique
17) Madame TS âgée de 54ans avec notion familial de cancer du pancréas. Elle vous demande quels sont les symptômes faisant évoquer une tumeur du pancréas?
Amaigrissement et jaunice avec selles décolorées
Douleur de l'épigastre et diarrhée avec selles glaireuses
Amaigrissement et vomissement post prandial
Douleur de l'hypochondre droit et jaunice avec vomissement
Amaigrissement et selle glairo-sanglant
18) A 62-year-old woman with a past medical history of chronic renal insufficiency presents with iron-deficiency anemia and intermittent melena for 2 months requiring multiple blood transfusions. She underwent multiple endoscopic investigations, including EGD, colonoscopy, CT scan of the abdomen and pelvis, and upper gastrointestinal series. No bleeding source wasidentified. Wireless capsule endoscopy shows multiple vascular abnormalities in the jejunum. Which of the following is the most like diagnosis?
Dieulafoy’s lesions
Anemia from chronic renal failure
. Vascular ectasia
. Crohn’s disease
. Small bowel diverticulosis
19) A 68-year-old man presents with intermittent episodes of hematochezia for several months. His stools are normal, but he passes blood clots a few times per week. His past medical history is significant for prostate cancer, for which he received radiation therapy 4 years ago. He denied any weight loss or diarrhea. Physical examination is unremarkable. An endoscopic view of the rectum showed: rectum appears with friability and telangiectasia pale. These findings are limited to the distal rectum. Which of the following is the most likely diagnosis?
Hereditary hemorrhagic telangiectasia
Ulcerative proctitis
Ischemic colitis
Crohn’s colitis .
. Radiation proctopathy
20) Un homme de 62 ans vous voyez en consultation pour une trouble du transite récente. Il se plaint d’avoir une constipation depuis environs 2 mois. Le symptôme s’est aggravé depuis environs 2 semaines. A l’interrogatoire vous notez des épisodes de rectorrhagie minime depuis environs 2 mois et une notion de perte de poids de 5 kg en 2 mois. Cliniquement, le ventre est souple, pas de masse palpable. Quel est le diagnostic le plus probable?
Constipation chronique
Trouble fonctionnelle intestinale
Cancer colorectal
Hémorroïde
Hypothyroïdie
21) Une femme de 58 ans admise au service d’hépatogastroentérologie pour suspicion cancer du côlon. Elle se plaint d’avoir une constipation depuis environ 1 mois et le symptôme semble aggraver depuis environs 2 semaines. Elle a l’ATCD de lithiase de la vésicule biliaire et alcoolisme chronique. Après avoir bu 2 litres de Fortran pour la préparation colique, elle se plaint de douleur abdominale assez importante avec le ventre très ballonné. Quel diagnostic évoquez-vous ?
Occlusion du intestinale
Perforation colique
Ischémie mésentérique
Pancréatite aiguë
Cholécystite aiguë
22) Vous voyez en consultation une femme de 60 ans une douleur HCD minime intermittente depuis environs 6 mois. La tempţérature est de 38oC mais il n’y a pas d’ictère. L’examen physique montre une douleur HCD minime à la palpation. Elle n’a pas ATCD particulier. Echographie abdominal est demandée et montre une épaississement et irrégularité de la paroi vésiculaire. Quel est le diagnostic le plus probable?
. Cholécystite aiguë lithiasique
. Cholécystite aiguë alithiasique
Cholécystite chronique
Cancer de la vésicule biliaire
Abcès de la vésicule biliaire
23) Une femme de 38 ans, obèse, admise au Urgence pour une douleur HCD, fièvre et ictère. Ses symptômes commencent depuis environs 3 jours. À l’interrogatoire, elle vous révèle que la douleur survienne brutalement et s’aggrave à l’inspiration profonde. L’examen physique montre un signe de Murphy positive. Quel est le diagnostic le plus probable ?
. Cholécystite aiguë lithiasique
. Angiocholite lithiasique
. Pancréatite aiguë
. Abcès du foie
. Colique hépatique
24) Une femme de 40 ans, obèse, se plaint de douleurs sus ombilicale à prédominant HCD survenue brutalement depuis environs 4 heures. La douleur est intense (EVA à 8) avec irradiation postérieure. Dans ses ATCD on note : HAT (-), daibète (-), Alcool (-), Tabac (-), cholécystectomie pour une cholécystite aiguë il y a 2 mois. ECG réalisé en urgence est normale. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Infarctus du myocarde
Angiocholite lithiasique
Ulcère gastrique
Pancréatite aiguë lithiasique
Infarctus mésentérique
25) Madame M de 56 ans, hypertendue sous diurétique thiazidique, se présente à la consultation pour oedème des membres inférieurs. Elle apporte un résultat biologique qui montre : Na = 140 mmo/l ; K = 4 mmol/l ; Créat = 100 μmol/, Ca = 80 mg/L ; albuminémie = 25 g/L. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Hypercalcémie
Vraie normocalcémie
Fausse normocalcémie
Vraie hypocalcémie
Fausse hypocalcémie
26) Mademoiselle D, 18 ans, sans ATCD connu, est amenée aux urgences pour état confus. L’examen clinique retrouve : PA = 115/85 mmHg, T= 38,9°C, fréquence cardiaque à 110/min et fréquence respiratoire à 25/min. Pas de signe de localisation en examen neurologique. L’auscultation cardio-respiratoire est sans particularité. Le gaz du sang montre : Na = 132 mmol/L, K = 5,5 mmol/L, chlore = 102 mmol/L, Bicarbonates = 8 mmol/L, pH artériel = 7, pCO2 = 18 mmHg, pO2 = 110 mmol/L et Hb = 125 g/L. Quel est le trouble acido-basique présenté par cette patiente ?
Equilibre acido- basique normal
Acidose métabolique
Acidose respiratoire
Alcalose métabolique
Alcalose respiratoire
27) Monsieur M, 60 ans, est adressé aux urgences pour altération de l’état général. Il est hypertendu, suivi régulièrement par son médecin traitant. Il présente depuis trois jours des diarrhées liquides. A l’examen clinique, la pression artérielle est à 90/60 mmHg, la fréquence cardiaque à 130/min. Le patient a perdu 3 kg depuis le début des diarrhées. L’auscultation cardiaque et pulmonaire est sans particularité. L’examen abdominal révèle une sensibilité diffuse, sans défense ni contracture. Il présente de légères marbrures, un pli cutané persistant et réclame toutes les 15 minutes un verre d’eau. Il est apyrétique. Le bilan biologique montre : urée = 1.65mg/L, créatinine = 210μmol/L, Bicarbonate = 17 mmol/L, Na⁺ = 152mmol/L, K⁺ = 7.2 mmol/L, calcémie = 86 g/L, phosphore = 35 mg/L, albuminémie = 50g/L. La numération globulaire est sans particularité. Le bilan biologique réalisé il y a trois mois était sans particularité. Sa diurèse des 12 dernières heures est évaluée à 200ml. Quel est l’état d’hydratation du patient ?
Hyperhydratation intracellulaire + déshydratation intracellulaire
Déshydratation intracellulaire + hyperhydratation extracellulaire
Hyperhydratation extracellulaire + déshydratation extracellulaire
Déshydratation extracellulaire + déshydratation intracellulaire
Hyperhydratation intracellulaire et hyperhydratation extracellulaire
28) Monsieur M, 60 ans, est adressé aux urgences pour son médecin traitement pour hypercalcémie à 120mg/L. Quels sont les signes cliniques d’hypercalcémie ?
Syndrome polyuro-polydipsique, fébricule, asthénie
Fébricule, nausées, faiblesse musculaire
Nausées, syndrome polyuro-polydipsique, fébricule
Asthénie, syndrome polyuro-polydipsique, nausées
Faiblesse musculaire, asthénie, fébricule
29) Un garçon de 7 ans est venu vous voir pour des épisodes de regard dans le vide, clignement palpébral avec retour rapide à la conscience antérieure. Quel type d’épilepsie évoquez-vous en première?
Absence typique
Absence atypique
Grand mal
Syndrome de West
Syndrome de Dravet
30) Mademoiselle K, 20 ans, est venue en consultation pour une contracture tonique intermittente, du bras gauche depuis trois jours sans fièvre ni altération de l’état général. Examen clinique montre une parésie faciale inférieure gauche. TDM cérébrale révèle une image nodulaire prenant le contraste en cocarde avec oedème périlésionnel en frontal droit. Quel est le diagnostic le plus probable chez cette jeune fille?
Encéphalite
Neurocysticercose
Tuberculome
Sarcoïdose
Sclérose en plaque
31) Un patient de 16 ans apparait brutal d’une faiblesse musculaire et paresthésie des extrémités des 4 membres avec trouble de déglutition évoluée pendant 4 jours. Réflex rotuliens sont abolis, réflex cutanéo-plantaire est normal. Pas l’antécédent particulier hors une diarrhée fébtile une semaine avant l’apparition des symptômes. TDM cérébral était normal. LCR était normal, (2 cellules /mm3 et protéïnorhachie à 0,2 g/l. Quel est le diagnostic le plus probable?
Myasthénie
Syndrome de Guillain Barrée
Multinévrite
Polynévrite
Mononévrite
32) Il s’agit d’un patient de 51 ans dont la symptomatologie s’est étendue sur 2 mois environ. Il y a d’abord eu un syndrome pseudo-grippal, puis quelque jours, après l’apparition de paresthésies distales aux quatre membres, suivie d’un déficit moteur s’étendant de manière rapide et symétrique aux membres inférieurs puis membres supérieurs et aux muscles du tronc et de la nuque. Quel signe fonctionnel rechercher vous?
Hypertension artérielle
Trouble de déglutition
Signe de Babinski
Signe d’atteint oculaire : ptosis
Signe d’atteint végétative
33) Madame S 24 ans, est consulté pour une faiblesse musculaire des quatre membres évoluant depuis trois semaines. Il ne présente aucun antécédent personnel et aucun facteur de risque cardiovasculaire. La patiente vous explique que ces symptômes s’améliorent en fin de matinée puis s’aggravent en soirée. A l’examen neurologique, vous ne retrouvez pas de déficit moteur, pas d’amyotrophie, pas de troubles sensitifs, Les réflexes ostéo-tendineux sont bilatéraux et symétriques. Après votre examen clinique, le patient n’arrive plus à se lever de sa chaise sans s’aider de ses mains, Quelle est votre principale hypothèse diagnostique?
Myasthénie
Myopathie de Duchenne
Syndrome de Guillain Barrée
Polyradiculonévrite inflammatoire chronique
Polymyosite
34) Interne aux urgences, vous interrogez et examinez une patiente de 30 ans à la recherche d’une migraine simple. Vous utilisez la « classification d’IHS ». Indiquez la proposition exacte :
Au moins 3 crises
Toujours bilatérale et pulsatile
Durée de 4 à 12 heures en absence de traitement
2 caractéristiques au moins : bilatéral, diffuse, sans facteur aggravant
Migraine cataméniale
35) Interne aux urgences d’un hôpital de Phnom Penh, vous accueillez Mme K de 55 ans, qui a été est amenée par sa famille pour une céphalée intense depuis 5 heures. Elle est mariée, a 2 enfants de 14 et 16 ans en bonne santé. A l’interrogatoire, vous apprenez que la douleur s’apparaît la 1ère fois. Elle est de plus en plus douloureuse d’heure en heure. Elle a été soulagée par 1 vomissement en jet. Elle a un antécédent d’hypertension artérielle diagnostiquée depuis 2 ans, elle prend de l’Amlodipine 5mg en cas de poussée. A l’examen clinique: PAs à l’entrée : 160/90mmHg, FC 100/min, FR 22/min, T° 37,3°C. Vous notez une raideur méningée. Pas de signes de localisations, examen des paires crâniennes normal. Quelle hypothèse diagnostique différentielle évoquez-vous en première intention?
Accès de migraine
Céphalée hypertensive
Hémorragie méningée
Méningite infectieuse
Thrombophlébite cérébrale
36) Un jeune garçon de 13ans, sans antécédent personnel et familial particulier, est adressé à l’hôpital pédiatrique de Phnom Penh pour des douleurs osseuses diffuses et une fièvre persistante. Il est à 2 mois de son traitement de tuberculose ganglionnaire diagnostiqué à Siem Reap devant une fièvre chronique et une adénopathie médiastinale sur le scanner thoracique. L’examen clinique retrouve une pâleur cutanéomuqueuse, purpuras pétéchiales au niveau du tronc et membres, des polyadénopathies cervicales millimétriques, une hépatomégalie de 3cm sous rebord costale droit et une splénomégalie de 2cm sous rebord costale gauche. Les testicules sont normaux. L’examen neurologique est sans particularité. La TA est à 110/70mmHg, la fréquence cardiaque à 100/mn, la température est à 38.7C, le poids à 37kg, la taille à 140cm. Quel est le diagnostic le plus probable devant ce tableau ?
Leucémie aigue
Tuberculose ganglionnaire
Purpura Thrombopénique idiopathique
Thalassémie
Drépanocytose
37) M. H. Chan 72ans, 1m65, 79kg, droitier, consulte au service de neurologie à 10h15 du 26 Juin 2016 pour troubles de la parole depuis ce matin. Dans ses antécédents, on retrouve un diabète de type II depuis plus 5 ans, un tabagisme actif à deux paquets par jour, une dyslipidémie. Il ne suit aucun traitement régulier. Au cours des 3 dernières semaines, avant, vous apprenez qu’il a également présenté une perte vision de l’oeil gauche à deux reprises, épisodes entièrement résolutif en moins de 24heures.C’est sa femme qui vous explique ce qui est arrivé à M.H.Chan. Au réveil à 6h20 de même jour sans facteur déclenchant, il a présenté des troubles de la parole à type de manque du mot, apparu brutalement. A l’interrogatoire, il semble comprendre ce que vous lui demandez, et il énerve de ne pas trouver ses mots. De plus vous notez une faiblesse de l’hémicorps droit, prédominant au niveau brachio-facial. L’auscultation cardio-pulmonaire est sans particularité. La pression artérielle est à 185/90 mmHg. Après une anamnèse d’interrogatoire sur son histoire et ses ATCD, on fait les examens physiques, quels sont les anomalies de l’examen neurologique que recherchez-vous ?
Une aphasie de Broca
Une aphasie de Wernicke
Un infarctus de l’hémisphère gauche sans atteinte de l’hémisphère droite récente
Une hémiparésie brachio-faciale droite et aphasie motrice, apparus brutalement
Accident vasculaire cérébral ischémique
38) Une dame de 30 ans est arrivée au service des urgences pour douleur abdominale diffuse , pâleur , agitation et tachycardie à 120c/mn . Sa pression artérielle (PA) est 50/20mmHg. Quel est le diagnostic le plus probable?
A. Choc cardiogénique
B. Choc hémorragique
C. Choc anaphylactique
D. Choc septique
E. Choc vasoplégique
39) Vous êtes en face d’un patient confus qui a une ouverture des yeux et une flexion anormale des membres supérieurs en réponse à la stimulation douloureuse. Evaluez la profondeur du coma de ce patient en utilisant le score de Glasgow (E-M-V)?
A. GCS: 10/15 (E3 M3 V4)
B. GCS: 10/15 (E2 M4 V4)
C. GCS: 9/15 (E2 M3 V4)
D. GCS: 9/15 (E2 M4 V3)
E. GCS: 11/15 (E3 M4 V4)
40) Une patiente cultivatrice de 20 ans venant de Banteaymeanchey étant diagnostiquée un lupus érythémateux systémique est hospitalisé dans votre service de Rhumatologie et Médecine Interne. Ses symptômes ont débuté depuis 30 jours. Il n’y a pas d’antécédents particuliers à noter. Le diagnostic est réalisé par les critères de classification du lupus érythémateux systémique proposés par ACR modifié en 1997 ≥ 4. Parmi les propositions suivantes, il y a une seule proposition répond aux critères diagnostiques, laquelle ?
Alopécie, fièvre, polyarthrite, éruption malaire en aile de papillon
Alopécie, polyarthrite, éruption malaire en aile de papillon, photosensibilité
Polyarthrite, éruption malaire en aile de papillon, photosensibilité, pleurésie bilatérale
Bilatérale Éruption malaire en aile de papillon, photosensibilité, pleurésie bilatérale, fièvre
Éruption malaire en aile de papillon, photosensibilité, pleurésie bilatérale, alopécie
41) Une jeune fille étudiante de 18 ans venant de Kampong Cham vient vous consulter pour une éruption cutanée faciale en aile de papillon avec aggravation lors d’une exposition au soleil et des arthralgies inflammatoires des mains, du genou et de la cheville gauches. Ces symptômes évoluent depuis 3 semaines. Les signes associés sont : asthénie, fièvre modérée et perte de poids de 3Kg. À l’interrogatoire, elle signale des antécédents de phlébite (l’épisode spontané) il y a 5 ans et une rougeole à l’âge de 2ans. L’examen clinique ne révèle que quelques adénopathies cervicales mobiles, ulcérations bucco-pharygées, température 38 °C, pouls 94/mn, TA 110/70 mmHg, fréquence respiratoire 24/mn et poids 46kg. Le reste de l’examen est sans particularité. Parmi les signes cliniques suivants, lequel est le plus évocateur de cette maladie?
Arthralgies inflammatoires
Asthénie
Fièvre à 38 C
Perte de poids de 3 kg
Adénopathies cervicales
42) Une patiente vendeuse de 63ans venant de Kampong Speu, consulte pour une douleur articulaire intense du genou gauche, est suspectée d’une goutte. Concernant une des étiologies secondaires de cette maladie, parmi les propositions suivantes, laquelle ?
Insuffisance rénale aiguë
Insuffisante rénale chronique
Insuffisante rénale chronique
Insuffisante surrénalienne aiguë
Insuffisante surrénalienne chronique
{"name":"64) Vous revoyez en consultation Mr M, 35 ans pour bilan d’une anémie de découverte récente. L’examen clinique retrouve une tension artérielle à 105\/75 mmHg, une fréquence cardiaque à 90\/min. Le bilan biologique complémentaire retrouve : Hb: 11,2g\/dL, VGM", "url":"https://www.quiz-maker.com/QPREVIEW","txt":"64) Vous revoyez en consultation Mr M, 35 ans pour bilan d’une anémie de découverte récente. L’examen clinique retrouve une tension artérielle à 105\/75 mmHg, une fréquence cardiaque à 90\/min. Le bilan biologique complémentaire retrouve : Hb: 11,2g\/dL, VGM: 70fl, Réticulocytes: 70G\/L Leucocytes: 5,7G\/L sans anomalies à la formule, plaquettes: 234G\/L, Ferritinémie: 60 (Normale : 50-200), CRP: 3. Compte tenu de ces résultats, quel examen à visée étiologique vous semble le plus approprié ?, 65) Vous voyez en consultation pré opératoire un patient de 30 ans sans antécédent particulier. A l’examen clinique la tension artérielle est à 125\/80 mmHg avec une fréquence cardiaque à 65\/min. Son bilan de coagulation retrouve un allongement du temps de céphaline avec activateur (TCA) avec taux de prothrombine (TP) normal. Quel dosage complémentaire allez-vous réaliser en priorité pour compléter le bilan ?, 66) Vous voyez en consultation un patient suivi pour un déficit sévère en facteur XIII. Son examen clinique retrouve : TA 130\/80 mmHg, FC à 75\/mi, température 37.2°C. Sur un bilan de coagulation, quel élément serait le plus en faveur de ce diagnostic ?","img":"https://www.quiz-maker.com/3012/images/ogquiz.png"}
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