All- Pneumologie -MCQ part7 (1-100)

1. Chez un adulte suspect de pneumonie aiguë communautaire (PAC). Parmi les propositions suivantes concernant les arguments cliniques de diagnostic de PAC, indiquez celle qui est vraie ?
σ¾ La présence de râles crépitants apparus récemment a une bonne valeur prédictive positive
σ½ L’absence de signe de gravités apparus récemment a une bonne valeur prédictive positive
σ½ Une température à 38,5° C (hyperthermie) permet d’affirmer le diagnostic
σ½ Une dyspnée de repose a une bonne valeur prédictive positive
σ½ Une température à 37° C (apyrexie) permet d’éliminer le diagnostic
2. Parmi les circonstances suivantes, laquelle peut rendre le diagnostic de pneumonie aiguë communautaire le plus difficile ?
σ¾ Patient très âgé
σ½ Fibrose hépatique
σ½ Cancer prostatique
σ½ Insuffisance rénale
σ½ Grossesse à terme
3. Un malade chez lequel une pneumonie aiguë communautaire est diagnostiquée aux urgences. Quel critère le plus grave pour transfert le patient à la réanimation ?
σ¾ PaO2/FiO2 <250
σ½ Hémoglobinémie 10 g/dl
σ½ Opacité interstitielle bilatérale
σ½ Epanchement minime
σ½ pH artériel < 7,42
4. Vous voyez en consultation à l’hôpital un homme de 52 ans, chauffeur de Tuk Tuk vivant seul dans la banlieue de Phnom Penh. Il présente depuis 2 jours une toux et une sensation fébrile, non améliorés par l’achat d’un sachet de médicaments à la pharmacie du quartier. Il va de plus en plus mal et n’a plus la force de travailler.
A l’examen, vous notez : fréquence respiratoire à 31/min; fréquence cardiaque à 128/mn, pression artérielle à 110/80 mm Hg et la température 37,7°C (sous sachets). Trouble de conscience; foyer de râles crépitants des lobes inférieurs droit et gauche.
Quel critère clinique de gravité vous manque-t’il pour calculer le score CURB-65 ?
σ¾ Le taux d’urée plasmatique
σ½ La socio-économie
σ½ L’âge du patient
σ½ La baisse de TA
σ½ L’existence d’un coma
5. Vous voyez en consultation à l’hôpital d’un patient âgé de 36 ans consulte aux urgences pour une toux fébrile suspecte de pneumonie aiguë communautaire (PAC). Parmi les propositions suivantes concernant les examens paracliniques d’imagerie. Quel examen paraclinique le plus approprié dans ce cas?
σ¾ Une radiographie thoracique de face et de profil réalisée en 1ère intention
σ½ Une TDM thoracique avec IV de produits de contraste réalisée en 1ère
σ½ Une radiographie thoracique de face réalisée en 1ère
σ½ Une TDM thoracique sans IV de produit de contraste réalisée en 1ère
σ½ Une échographie pleuro-pulmonaire réalisée en 1ère
6. Vous voyez en consultation une patiente de 43 ans, obèse, institutrice en école primaire à Takéo. Depuis 4 jours, elle présente une rhinite, pharyngite, et une toux avec expectoration blanchâtre et mousseuse, associée à une douleur rétro-sternale à l’inspiration. Elle a présenté une température pendant 2 jours, au maximum à 38,2°C, puis est devenue apyrétique sans traitement. Mais elle consulte car la toux s’est majorée. A l’examen, T 37,2°C ; PA 120/70 mmHg ; FC 80/min ; FR 16/min ; SpO2 99% en air ambiant. L’auscultation pulmonaire retrouve quelques râles bronchiques, pas de crépitants. Vous évoquez une bronchite aigue en 1èrehypothèse diagnostique.
Laquelle option du bilan paraclinique la plus choisie?
σ¾ Pas de prescription d’examens paracliniques
σ½ Prescription d’un bilan microbiologique : hémocultures et ECBC
σ½ Prescription d’une radiographie thoracique de face
σ½ Prescription d’un bilan virologique : écouvillon naso-pharyngé H5N1
σ½ Prescription d’un bilan biologique : CRP et NFP
7. Vous recevez un home âgé de 57 ans, pour une dyspnée fébrile. Il est dyspnéique, se plaint d’une toux non productive et de douleurs thoraciques postérieur droite apparues en même temps que la fièvre qui était d’emblée à 39,9°C depuis 24 heures. Son élève qui l’emmène à l’hôpital dit qu’il a une diarrhée et une fébrile. A l’examen : fréquence respiratoire à 32/min, TA à 90/50 mmHg, la fréquence cardiaque à 137 par min, la température à 39°C, SpO2à 87% en air ambiant. Le score de Glasgow est à 13, perte de conscience pendant le transport, râles crépitants bi basales. Dentition en mauvais état. ECG : rythme régulier et sinusal, tachycardie à 128. La biologie : créatininémie 80 μmol/L; Na 138 mEq/L; Cl 100 mEq/L; K 3.1 mEq/L; glucose 0,8g/L; CRP 125 mg/L; GB 12 800 103/ml; PNN : 9500 103/ml; D-dimères 500 ng/ml.
Quel critère le plus important selon le score Pneumonia Severity Index ?
 
σ¾ Le score de Glasgow à 13
σ½ Le risque d’inobservance
σ½ Son âge
σ½ Le sexe féminin
σ½ L’isolement social
8. Vous recevez une femme âgée de 65 ans, pour dyspnée fébrile. Elle est dyspnéique et toux non productive et de douleurs thoraciques postérieur droite apparues en même temps que la fièvre qui était d’emblée à 39,9°C depuis 24 heures. A l’examen : fréquence respiratoire à 32/min, TA à 90/50 mmHg, la fréquence cardiaque à 137 par min, la température à 39°C, SpO2à 87% en air ambiant. Une gazométrie artérielle est effectuée en air ambiant et retrouve : pH 7,47 ; Pa O2 60 mmHg ; PaCO2 32 mmHg ; HCO323 mmHg.
Quelle est l’anomalie la plus appropriée ce gaz du sang ?
σ¾ Alcalose respiratoire
σ½ Alcalose métabolique
σ½ Acidose respiratoire
σ½ Hypercapnique hypermébolique
σ½ Acidose métabolique
9. Vous recevez une femme âgée de 58 ans, pour dyspnée fébrile. Elle est dyspnéique et toux non productive et de douleurs thoraciques postérieur droite apparues en même temps que la fièvre qui était d’emblée à 39,9°C depuis 24 heures. A l’examen : fréquence respiratoire à 32/min, la tension artérielle à 90/50 mmHg, la fréquence cardiaque à 137 par min, la température à 39°C, SpO2à 87% en air ambiant. Une gazométrie artérielle est effectuée en air ambiant et retrouve : pH 7,47 ; PaO2 60 mmHg; PaCO2 32 mmHg ; HCO323 mmHg.
Quelle anomalie le gaz du sang le plus probable ?
σ¾ le shunt lié à une pneumopathie
σ½ le shunt lié à une embolie pulmonaire
σ½ l’hypoxémie lié à une hypoventilation
σ½ le gaz du sang est de l’état de base
σ½ l’hypercapnie liée à une hyperventilation
10. Vous recevez une femme âgée de 58 ans, pour dyspnée fébrile. Elle est dyspnéique et toux non productive et de douleurs thoraciques postérieur droite apparues en même temps que la fièvre qui était d’emblée à 39,9°C depuis 24 heures. A l’examen : fréquence respiratoire à 32/min, la tension artérielle à 90/50 mmHg, la fréquence cardiaque à 137 par min, la température à 39°C, SpO2à 87% en air ambiant.
Quelle est la prise en charge la plus adaptée à visée bactériologique dans ce contexte ?
σ¾ Ces examens ne doivent pas retarder l’antibiothérapie
σ½ Aucun examen bactériologique n’est réalisable car la toux est sèche
σ½ L’antibiothérapie est débutée avant tout examen
σ½ Aucun examen bactériologique n’est nécessaire car hors de réanimation
σ½ L’attente du résultat du examen avant débuter une antibiothérapie
11. Vous recevez une femme âgée de 58 ans, pour dyspnée fébrile. Elle est dyspnéique et toux non productive et de douleurs thoraciques postérieur droite apparues en même temps que la fièvre qui était d’emblée à 39,9°C depuis 24 heures. A l’examen : fréquence respiratoire à 32/min, la tension artérielle à 120/75 mmHg, la fréquence cardiaque à 137 par min, la température à 39°C, SpO2à 87% en air ambiant. Votre externe vous demande si il y a un intérêt à réaliser une antigénurie pneumocoque.
Quel argument le plus probable de ce test?
σ¾ L’examen peut être réalisé après le début de l’antibiothérapie
σ½ L’examen doit être réalisé avant le début de l’antibiothérapie
σ½ L’examen interprété sans difficulté compte tenu de l’antécédent de sinusite
σ½ L’examen a une sensibilité de 100%
σ½ L’examen n’a aucun intérêt car les symptômes sont moins de 24h avant
12. Vous recevez une femme âgée de 58 ans, pour dyspnée fébrile. Le score de Glasgow est à 13, perte de conscience pendant le transport. Elle est dyspnéique et toux non productive et de douleurs thoraciques postérieur droite apparues en même temps que la fièvre qui était d’emblée à 39,9°C depuis 24 heures. A l’examen : fréquence respiratoire à 32/min, la tension artérielle à 110/70 mmHg, la fréquence cardiaque à 137 par min, la température à 39°C, SpO2à 87% en air ambiant. Vous hospitalisez la patiente.
Quel est le score CURB-65 pour cette patiente ?
σ¾ le score CURB-65 est de 3
σ½ le score CURB-65 est de 2
σ½ le score CURB-65 est de 0
σ½ le score CURB-65 est de 4
σ½ le score CURB-65 est de 1
13. Vous recevez une femme âgée de 58 ans, pour dyspnée fébrile. Le score de Glasgow est à 13, perte de conscience pendant le transport. Elle est dyspnéique et toux non productive et de douleurs thoraciques postérieur droite apparues en même temps que la fièvre qui était d’emblée à 39,9°C depuis 24 heures. A l’examen : fréquence respiratoire à 32/min, la tension artérielle à 129/65 mmHg, la fréquence cardiaque à 137 par min, la température à 39°C, SpO2à 87% en air ambiant. Vous hospitalisez la patiente.
Quel est le traitement antibiotique vous prescrivez le plus approprié?
σ¾ Lévofloxacine 750 mg PO, jour en 10 jours
σ½ Amoxicilline 3g Injection repartir en 3 fois par jour puis relais PO en 10 jours
σ½ Cotrimoxazole 960 mg PO, 3 fois par jour en 10 jours
σ½ Ceftriaxone 2g une fois PO par jours en 10 jours
σ½ Erythromycine 2g PO, 2 fois par jour en 10 jours
14. Vous recevez une femme âgée de 58 ans, pour dyspnée fébrile. Le score de Glasgow est à 13, perte de conscience pendant le transport. Elle est dyspnéique et toux non productive et de douleurs thoraciques postérieur droite apparues en même temps que la fièvre qui était d’emblée à 39,9°C depuis 24 heures. A l’examen : fréquence respiratoire à 32/min, la tension artérielle à 130/70 mmHg, la fréquence cardiaque à 137 par min, la température à 39°C, SpO2à 87% en air ambiant. Vous hospitalisez la patiente. Vous hospitalisez le patient pour la prise en charge. Au bout de 72heures d’antibiothérapie : une douleur thoracique réapparue et dyspnée avec hyperthermie à 38,8°C. Le cliché de thorax révèle ci-jointe.
Quelle est votre hypothèse diagnostique sur l’imagerie ?
σ¾ Pleurésie cloisonnée
σ½ Infiltration nodulaire
σ½ Atélectasie pulmonaire
σ½ Opacité alvéolaire
σ½ Excavation pulmonaire
15. Vous voyez en consultation à l’hôpital Mr. T 21 ans, taille 176cm/59Kg, tabagique à 2 PA, consulte pour une douleur thoracique gauche d’apparition brutale survenue ce soir. La tension artérielle: 110/65 mmHg, la fréquence cardiaque : 90/min, la saturation d’oxygène SaO2 : 97%. L’examen clinique : diminution du murmure vésiculaire et abolition des vibrations vocales hémothorax. Vous pensez à un pneumothorax.
Quelle est la localisation de présence d’air anomale pour la définition d’un pneumothorax ?
σ¾ Entre le plèvre pariétal et viscéral
σ½ Entre le peau et tissu graisseux du cou
σ½ Entre la petite scissure et grande scissure
σ½ Entre le péricarde et artère pulmonaire
σ½ Entre la trachée et médiastin antérieur
16. Vous voyez en consultation à l’hôpital Mr. X 27 ans, taille 180cm/62Kg, tabagique à 4 PA, consulte pour une douleur thoracique gauche d’apparition brutale survenue ce soir. La tension artérielle : 110/65 mmHg, la fréquence cardiaque : 90/min, la saturation d’oxygène SaO2 : 97%. Le cliché du radio thorax et la tomodensitométrie thoracique vous retrouvez ci-joint.
Quelle est la physiopathologie du pneumothorax :
σ¾ Rupture de bulle d’emphysème
σ½ Fistule broncho Å“sophagien
σ½ Entré l’air par paroi thoracique
σ½ Perméable l’air par parenchyme pulmonaire
σ½ Fracture la trachée
17. Vous voyez en consultation à l’hôpital Mr X, 20 ans, poids : 58 Kg pour taille 1m70, tabagique à 3 PA, consulte pour une douleur basithoracique droite d’apparition brutale survenue ce matin. Cliniquement, il est en bon état général, le conscience normal, la tension artérielle 120/67 mmHg, la fréquence cardiaque 98 par min, la fréquence respiratoire 14/min eupnéique (SpO2 : 96% en air ambiant). Vous suspectez à un pneumothorax droit.
Quel signe physique le plus confortement votre diagnostic ?
σ¾ L’abolition des vibrations vocales droite
σ½ La diminution du murmure vésiculaire droit
σ½ L’immobilisation de l’hémithorax gauche
σ½ La sonorité à la percussion gauche
σ½ L’augmentation du murmure vésiculaire droit
18. Vous voyez en consultation à l’hôpital un homme de 35 ans pour douleur thoracique apparue brutale. L’examen clinique : le conscience normal, la tension artérielle 120/67 mmHg, la fréquence cardiaque 90 par min, la fréquence respiratoire 14/min murmure vésiculaire abolie et tympanisme à la percussion du poumon atteinte et une cliché de radio de thorax confirmation .
Quel argument le diagnostic un pneumothorax spontané primaire le plus probable?
 
σ¾ Le terrain d’un sujet jeune
σ½ Le poumon pathologique pré existence
σ½ Le sujet éthylique chronique
σ½ La séquelle de tuberculose pulmonaire
σ½ Le sujet petit est en taille
19. Un adulte de 19 ans fumeur depuis l’enfant entré pour douleur thoracique brutale. La douleur associée à une dyspnée modérée, toux sèche irritative. Le conscience normal, la tension artérielle 120/67 mmHg, la fréquence cardiaque 76 par min, la fréquence respiratoire 14/min. L’examen hémithorax normal, diminution du murmure vésiculaire, diminution de vibration vocale et sonorité du sommet du poumon atteinte. Vous pensez à un diagnostic, mais le cliché de radiographie du thorax ne se révèle pas contributif.
Quel examen complémentaire le plus approprié doit-on effectuer en cas de suspicion de ce diagnostic ?
σ¾ Scanner thoracique
σ½ Gaz du sang en air ambiant
σ½ Radiographie du thorax
σ½ Echographie pulmonaire
σ½ Fibroscopie bronchique
20. Un adulte de 19 ans fumeur depuis l’enfant entré pour douleur thoracique brutale. La douleur associe à une dyspnée modérée, toux sèche irritative. Le conscience normal, la tension artérielle 120/67 mmHg, la fréquence cardiaque 115 par min, la fréquence respiratoire 17/min. L’examen hémithorax normal, diminution du murmure vésiculaire, diminution de vibration vocale et sonorité du sommet du poumon atteinte. Vous pensez le diagnostic pneumothorax.
Quel signe de gravité radiologique le plus recherché ?
σ¾ Pneumothorax bilatéral
σ½ Pneumothorax avec des brides
σ½ Pneumothorax inferieur
σ½ Pleurésie bilatérale associée
σ½ Pneumothorax post traumatique
21. Vous êtes interne du 1er année, appelé au lit d’un patient de 53 ans aux antécédents de broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) qui présente une déstresse respiratoire aigu (DRA) avec des signes d’arrêt cardio respiratoire (ACR) imminent. Le conscience somnolence, la tension artérielle 96 /56 mmHg, la fréquence cardiaque 143 par min, la fréquence respiratoire 32/min L’examen: distension thoracique, silence auscultatoire, tympanisme unilatéral. Vous suspectez à un pneumothorax.
Quel est votre prise en charge en urgence ?
σ¾ Vous augmentez l’oxygénothérapie 2 à 6 litres/min
σ½ Vous réalisez une exsufflation dans le 2° espace intercostal
σ½ Vous demandez une radiographie thorax en urgence avant d’exsuffler
σ½ Vous vérifiez la coagulation avant d’exsuffler
σ½ Vous appelez un réanimateur pour exsuffler le pneumothorax
22. A 67 year-old-man with chest pain and dyspnea. The chest radiography showed findings suggestive of the left tension pneumothorax (The Figure A). Thoracentesis in the aspiration. 4 hours later coughing and had tachypnea and tachycardia, with right lung crackles heard on physical examination. The SaO2 82% roomt air. The (Figure B) chest x ray post procedure: near-immediate reexpension of the lung with new infiltrates in the whole lung.
What is the diagnosis most likely complicate post procedure ?
 
σ¾ Reexpension pulmonary edema
σ½ Intra alveolar haemorrhages
σ½ Hospital acute pneumonia
σ½ Right tension pneumothorax
σ½ Left pleural effusion
23. Vous recevez un jeune home étudiant en consultation pour gène respiratoire léger et douleurs thoraciques. Les symptômes sont disparus pendant votre visite. Le conscience normal, la tension artérielle 120/67 mmHg, la fréquence cardiaque 105 par min, la fréquence respiratoire 17/min. Vous ne trouvez pas de signe gravité. Le cliché de radiographie du thorax : vous trouvez ci-jointe. Vous décidez de ne pas faire une thoracocentèse (ponctionner ou drainer pneumothorax).
Quelle situation est la plus appropriée ?
σ¾ Primaire partiel pas symptôme
σ½ Pleurésie grande abondante
σ½ Présence de brides pleurale
σ½ Plusieurs épisodes pneumothorax
σ½ Plongeur sous marine
24. Vous recevez un jeune home 23 ans étudiant, entrée pour gène respiratoire léger et douleurs thoraciques. Elles sont disparues pendant votre visite. Il n’a pas antécédent particulier. Le conscience normal, la tension artérielle 120/67 mmHg, la fréquence cardiaque 90 par min, la fréquence respiratoire 18/min. Vous ne trouvez pas de signe gravité. Le cliché de radiographie du thorax : pneumothorax gauche et un bulbe emphysème sous pleural. Le patient a bénéficié une prise en charge avec évolution favorable.
Quel conseil donnez vous à cet étudiant ?
σ¾ Pas de plongée sous marine
σ½ Pas de voyage en avion à vie
σ½ Pas d’alcool absolu
σ½ Pas de conduit automobile
σ½ Pas d’activité physique
25. Vous recevez en consultation une femme âgée de 28 ans qui est adressée par le médecin du travail pour dyspnée sifflante épisodique chaque matin au milieu de sa profession. Le conscience normal, la tension artérielle 120/67 mmHg, la fréquence cardiaque 14 par min, la fréquence respiratoire 14/min et sibilants diffus. Vous pensez à un asthme professionnel.
Quel est le métier le plus fréquemment concerné par l’asthme professionnel ?
σ¾ Coiffeuse
σ½ Cuisinière
σ½ Consultrice
σ½ Contrôleuse
σ½ Cultivatrice
26. Vous recevez en consultation d’un homme de 49 ans, fumeur pour bronchite chronique et dyspnée avec sibilants. Le conscience normal, la tension artérielle 120/67 mmHg, la fréquence cardiaque 14 par min, la fréquence respiratoire 14/min et spasme expiratoire avec sibilants diffus. Vous pensez à la maladie professionnelle surajoutée avec le facteur risque.
Quel est le secteur d’activité impliqué dans la survenue d’une BPCO ?
σ¾ Fonderie et sidérurgie
σ½ Travailleur du bois
σ½ Porteurs et vendeur
σ½ Métiers du nettoyage
σ½ Eleveur les oiseaux
27. Vous recevez en consultation d’une femme de 49 ans, non fumeur pour dyspnée avec sibilants. Vous pensez à la maladie professionnelle. Le conscience normal, la tension artérielle 120/67 mmHg, la fréquence cardiaque 89 par min, la fréquence respiratoire 14/min et râles sibilants diffus.
Quel interrogatoire le plus recherché en faveur d’un asthme professionnel ?
σ¾ Apparition de novo à rythme professionnel
σ½ Activité physique défavorable
σ½ Aggravation le week-end
σ½ Aménorrhée s’aggrave
σ½ Amélioration sur le poste de travail
28. Vous recevez en consultation d’un homme de 59 ans, non fumeur pour dyspnée et douleurs thoracique. Vous pensez à la maladie professionnelle. La tension artérielle 140/67 mmHg, la fréquences respiratoire 18/min et diminution des murmures vésiculaire et abolition du vibration vocale hémothorax.
Quel argument le diagnostic le plus confortement recherché en faveur d’une mésothéliome pleurale ?
σ¾ Exposition à l’amiante
σ½ Exposition au méthane
σ½ Exposition aux hydrocarbures
σ½ Exposition à l’azote
σ½ Exposition aux aldéhydes
29. Vous recez en hospitalisation d’un homme âgé 42 ans a le métier mineur depuis 5 ans. Il vous dit qu’il touche depuis 6 mois et la dyspnée au moins d’effort a remonté à 2 semaines. Le conscience normal, la tension artérielle 120/67 mmHg, la fréquence cardiaque 28 par min, la fréquence respiratoire 14/min. Le cliché de radiographie du thorax ci-joint.
Quelle est l’interprétation de ce cliché ?
σ¾ Micronodules diffus
σ½ Emphysème pulmonaire
σ½ Opacité alvéolaire
σ½ Cavité hydro-aérique
σ½ Pleurésie bilatérale
30. Vous recez en hospitalisation d’un homme âgé 60 ans a le métier à risque la maladie professionnelle. Il vous dit qu’il touche depuis 6 mois et la dyspnée au moins d’effort a remonté à 2 semaines et douleurs basithoracique gauche. Le conscience normal, la tension artérielle 120/67 mmHg, la fréquence cardiaque 120 par min, la fréquence respiratoire 14/min et la murmure vésiculaire diminuée et diminution vibration vocale à coté gauche. Le cliché de radiographie du thorax face et profil ci-joints .
Quelle est la pathologie professionnelle non cancéreuse liée à l’amiante ?
σ¾ Plaques pleurales
σ½ Adénocarcinome pulmonaire
σ½ Pneumopathie d’hypersensibilité
σ½ Hémorragie alvéolaire
σ½ Mésothéliome pleurale
31. Vous recevez un homme de 49 ans pour toux aiguë et dyspnée. Il ne fume pas. Il a un métier identifié. Le symptôme a brutalement apparu pendant l’exposition au travail. Tension artérielle 120/76 mmHg, la fréquence respiratoire 28 par min et SpO2 92 % en air ambiant. Vous pensez à une pneumopathie professionnelle.
Quel profession exposé le plus risqué en faveur une complication d’une pneumopathie d’hypersensibité?
σ¾ Fermiers
σ½ Peintres industriels
σ½ Coiffeurs
σ½ Prothésistes
σ½ Employés des piscines
32. Vous recez en hospitalisation d’un homme âgé 60 ans a le métier à risque la maladie professionnelle. Il vous raconte d’apparition la toux et dyspnée brutale, pas de bronchospasme et associé à un syndrome pseudo grippal. Le cliché de radiographie du thorax ci-joint.
Quel est le secteur d’activité est principalement responsable des pneumopathies d’hypersensibilités d’origine professionnelle?
σ¾ secteur agricole
σ½ secteur textile
σ½ secteur minier
σ½ secteur automobile
σ½ secteur bâtiment
33. Vous recez en hospitalisation d’un homme âgé 50 ans pour toux et dyspnée. Il est cultivateur du riz. Vous retrouvez sur l’interrogatoire : la toux et dyspnée brutale associés à un syndrome pseudo grippal au cours d’exposition poussiers grange du riz. L’examen clinique : la tension artérielle 130/78 mmHg, poules 98 par min et SpO2 93 % lunette d’O2 à débit 4 litres par min et pas de bronchospasme. Le cliché de radiographie du thorax ci-joint . Votre diagnostic est une pneumopathie d’hypersensibilités d’origine professionnelle.
Quel est le traitement le plus approprié prescrivez vous?
σ¾ Prednisolone
σ½ Cetirizine
σ½ Ventoline
σ½ Dexchlorpheramine
σ½ Mentelukast
34. Vous recez en hospitalisation d’un homme âgé 50 ans pour toux et dyspnée. Il est cultivateur du riz. Vous retrouvez sur l’interrogatoire : la toux et dyspnée brutale associées à un syndrome pseudo grippal au cours d’exposition poussiers grange du riz. L’examen clinique : tension artérielle 130/78 mmHg poules 98 par min et SpO2 93 % lunette d’O2 à débit 4 litres par min et pas de bronchospasme. Le cliché de radiographie du thorax ci-joint . Votre diagnostic est une pneumopathie d’hypersensibilités d’origine professionnelle.
Quelle est la moyenne préventive la plus efficace?
σ¾ Eviction allergène
σ½ Suspension d’alcool
σ½ Sevrage tabagique
σ½ Arrêt du travail
σ½ Porte masque buccal
35. Vous recevez un home âgé de 54 ans en consultation pour fièvre prolongée et dyspnée. Le principal antécédent : diabète sucré type 2 déséquilibré. L’apparition de la fièvre, toux et douleur thoracique un mois. La fièvre persistante hospitalisation. L’état général altéré. L’examen : un amaigrissement, la tension artérielle: 110/56 mmHg, la fréquence cardiaque: 112 par min, la température : 38,5 °C, la fréquence respiratoire : 22/min, la SpO2 93%.
Quel est le germe responsable la mélioïdose?
σ¾ Burkholderia pseudomallei
σ½ Pseudomonas aeruginoza
σ½ Hisplasma capsulatum
σ½ Penicillium marneffei
σ½ Pneumocystis jeroveccii
36. Quel est le pays ou la continente plus connue come hyper endémiques de mélioïdose du monde ?
σ¾ Asie sud-est
σ½ Argentine
σ½ Etat unis
σ½ Amérique latine
σ½ Union européenne
37. Vous recevez en hospitalisation Mr. Ph âgé de 53 ans pour fièvre prolongée. Il a maladie avec le traitement irrégulier. L’examen : un conscience normal, la tension artérielle 98/66 mmHg, la fréquence cardiaque 120 par min, la fréquence respiratoire 21/min.
Quel est le facteur de risque ou comorbidité le plus probable favorise la maladie Mélioïdose ?
σ¾ Insuffisance insuline
σ½ Insuffisance rénale aiguë
σ½ Insuffisance cardiaque
σ½ Insuffisance respiratoire
σ½ Insuffisance hépatocellulaire
38. Vous recevez en hospitalisation Madame Kh âgé de 58 ans pour fièvre prolongée. L’examen : un conscience normal, la tension artérielle 98/66 mmHg, la fréquence cardiaque 120 par min, la fréquence respiratoire 21/min.
Quel est le facteur de risque ou comorbidité plus favorise la maladie Mélioïdose ?
σ¾ Insuffisance Hb par thalassémie
σ½ Insuffisance cardiaque chronique
σ½ Insuffisance hépatocellulaire
σ½ Insuffisance vasculaire cérébral
σ½ Insuffisance respiratoire chronique
39. Vous recevez en hospitalisation Madame S âgé de 52 ans pour fièvre prolongée. L’examen : un conscience normal, la tension artérielle 98/66 mmHg, la fréquence cardiaque 120 par min, la fréquence respiratoire 21/min, la température 39,9 o.Quel est le métier le plus favorise probable la maladie Mélioïdose ?
σ¾ Cultivateur
σ½ Electricien
σ½ Pêcheur
σ½ Ouvrier
σ½ Femme ménage
40. Vous recevez en hospitalisation Madame Kh âgé de 53 ans pour fièvre prolongée. Elle a principal antécédent diabète sucré découverte récent. L’examen : un conscience normal, la tension artérielle 98/66 mmHg, la fréquence cardiaque 120 par min, la fréquence respiratoire 21/min.
Quel est le signe clinique de la maladie Mélioïdose le plus probable ressemblance entre ?
σ¾ Mycobactériose- like
σ½ Mononucleose - like
σ½ Malaria - like
σ½ Myosite - like
σ½ Mycoplasmose - like
41. Vous recevez en hospitalisation Madame Kh âgé de 53 ans pour fièvre prolongée. Elle a principal antécédent diabète sucré découverte récent. L’examen : un conscience normal, la tension artérielle 98/66 mmHg, la fréquence cardiaque 120 par min, la fréquence respiratoire 21/min.
Quel examen paraclinique le plus souvent effectué pour identifier le germe Burkholderia pseudomallei responsable de la maladie Mélioïdose au Cambodge,?
σ¾ Hémocultures/crachats
σ½ Urines/selles
σ½ Hémocultures/selles
σ½ Crachats/urines
σ½ Selles/crachats
σ½ Hémocultures/urines
42. Vous recevez en hospitalisation Madame Kh âgé de 53 ans pour fièvre prolongée. Elle a principal antécédent diabète sucré découverte récent. L’examen : un conscience normal, la tension artérielle 98/66 mmHg, la fréquence cardiaque 120 par min, la fréquence respiratoire 21/min.
Quelle est l’antibiothérapie le plus choisie pour le traitement intensif pour diminuer la mortalité et la morbidité la maladie Mélioïdose ?
σ¾ Ceftazidime (Fortum)
σ½ Cefobactam (Sulbactam)
σ½ Ceftriaxone (Rocephin)
σ½ Cephalexin (Keforal)
σ½ Cefotaxime (Claforan)
43. Vous recevez une femme de 45 ans en hospitalisation pour fièvre prolongée avec abcès du coude. Elle n’a pas d’antécédent particulier. Vous avez effectué un prélèvement du pus abcédée et labo vous appel la présence de Burkholderia pseudomallei, donc votre diagnostic mélioïdose confirmée.
Quelle est la complication la plus souvent rencontrée chez un sujet atteinte une Mélioïdose?
σ¾ Choc septique
σ½ Guérison
σ½ Hémoptysie
σ½ Rechute
σ½ Surinfection
44. Quelle est l’antibiothérapie le plus choisie le traitement d’éradication pour éviter la rechute la maladie Mélioïdose ?
σ¾ Cotrimoxazole + Doxycycline
σ½ Lamivudine + Tenofovir
σ½ Rifampin + Isoniazide
σ½ Ceftriaxone + Metronidazol
σ½ Amoxicilline + ac clavulanique
45. Vous êtes appelé en réanimation traumatologie au sujet de jeun homme âgé de 18 ans a été traumatisme crânien avec coma profonde. Ce patient a été bénéficié une intubation endotrachéale dès à l’admission. Au bout 7 jours de l’intubation, la fièvre 38,8oC apparue et la sécrétion endotrachéale devenue verdâtre. Le cliché de radiographie thoracique ci-joint. Vous pensez à une pneumonie nosocomiale tardive.
Quel est le mécanisme physiopathologique en cause de pneumonie nosocomiale le plus fréquence ce patient ?
σ¾ Inhalation de germes colonisant l’oropharynx
σ½ Contamination de l’air inspiré
σ½ Dissémination bactérienne par hématogène
σ½ Reflux gastro Å“sophagien
σ½ Extension infectieuse par contigu
46. Vous êtes appelé en réanimation traumatologie au sujet de jeun homme âgé de 18 ans a été traumatisme crânien avec coma profonde. Ce patient a été bénéficié une intubation endotrachéale dès à l’admission. Au bout 7 jours de l’intubation, la fièvre 38,8oC apparue et la sécrétion endotrachéale devenue verdâtre. Le cliché de radiographie thoracique ci-joint. Vous pensez à une pneumonie nosocomiale tardive.
Quelle est la bactérie la plus probable responsable de la pneumonie nosocomiale tardive?
σ¾ Staphylococcus aureus
σ½ Bordetella pertussis
σ½ Streptococcus pneumoniae
σ½ Burkholderia pseudomaleii
σ½ Chlamydia trachomatis
47. Vous êtes appelé pour avis pneumologie d’un patient 26 ans pour aggravation de l’état respiratoire et la nouvelle opacité sur le cliché de radio de thorax et le patient en réanimation depuis 6 jours sous ventilation mécanique dans un contexte d’un accident de la route et traumatisme crânien avec coma profonde. Vous pensez à une pneumonie nosocomiale.
Quel est le critère diagnostique le plus recherché ?
σ¾ Fièvre >38°C
σ½ Tachycardie >120/min
σ½ Désaturation < 90%
σ½ Tachypnée > 30/min
σ½ Râles crépitants en foyer
48. Vous êtes appelé en réanimation traumatologie au sujet de jeun homme âgé de 18 ans a été traumatisme crânien avec coma profonde. Ce patient a été bénéficié une intubation endotrachéale dès à l’admission. Au bout 7 jours de l’intubation, vous retrouvez les signes clinique et paraclinque. Vous pensez à une pneumonie nosocomiale tardive.
Quel est le signe clinique ou paraclinique le plus argumenté du diagnostic de pneumonie nosocomiale ?
σ¾ Sécrétions endotrachéale : purulentes
σ½ Radiographie thorax : pleurésie bilatérale
σ½ Numération formule sanguine : globule blanc 500/mm3
σ½ Echographie abdominale : hépatisation pulmonaire
σ½ Biochimie plasmatique : procalcitonine 0,04 µg/l
49. Vous êtes appelé en réanimation traumatologie au sujet de jeun homme âgé de 18 ans a été traumatisme crânien avec coma profonde. Ce patient a été bénéficié une intubation endotrachéale dès à l’admission. Au bout 7 jours de l’intubation, vous retrouvez les signes clinique et paraclinque. Vous pensez à une pneumonie nosocomiale tardive.
Quel est l’examen bactériologique le plus argumenté le diagnostic d’une pneumonie nosocomiale ?
σ¾ Aspiration bronchique par fibroscope seuil de bactérie >105 UFC /ml
σ½ Brosse bronchique protégé seuil par fibroscope de bactérie >102 UFC /ml
σ½ Biopsie muqueuse par fibroscope recherche la bactérie >107 UFC /ml
σ½ Aspiration endotrachéale par sonde seuil de bactérie >105 UFC /ml
σ½ Lavage broncho alvéolaire par fibroscope seuil de bactérie >103 UFC /ml
50. Vous êtes appelé en réanimation traumatologie au sujet de jeun homme âgé de 18 ans a été traumatisme crânien avec coma profonde. Ce patient a été bénéficié une intubation endotrachéale dès à l’admission. Au bout 7 jours de l’intubation, la fièvre 38,8oC apparue et la sécrétion endotrachéale devenue verdâtre. Le cliché de radiographie thoracique ci-joint. Vous pensez à une pneumonie nosocomiale tardive.
Quelle est la stratégie la plus adaptée pour diagnostic la pneumonie nosocomiale?
σ¾ Aspiration endotrachéale
σ½ Recherche antigène urinaire
σ½ Biopsie pulmonaire
σ½ Crachat pour bactériologie
σ½ Hémocultures
51. Vous êtes appelé en réanimation traumatologie au sujet de jeun homme âgé de 18 ans a été traumatisme crânien avec coma profonde. Ce patient a été bénéficié une intubation endotrachéale dès à l’admission. Au bout de 10 jours de l’intubation, la fièvre 38,8oC apparue et la sécrétion endotrachéale devenue verdâtre. Le cliché de radiographie thoracique ci-joint. Vous pensez à une pneumonie nosocomiale tardive.
Quel est le taux mortalité d’une pneumonie nosocomiale de ce patient?
σ¾ Mortalité : 30%
σ½ Mortalité : 50 %
σ½ Mortalité : 10 %
σ½ Mortalité : 60 %
σ½ Mortalité : 20 %
52. Vous êtes appelé en réanimation traumatologie au sujet de jeun homme âgé de 18 ans a été traumatisme crânien avec coma profonde. Ce patient a été bénéficié une intubation endotrachéale dès à l’admission. Au bout 7 jours de l’intubation, la fièvre 38,8oC apparue et la sécrétion endotrachéale devenue verdâtre.Vous pensez à une pneumonie nosocomiale tardive.
Quel est le manœuvre ou le geste à haut risque la survenue d’une pneumonie nosocomiale le plus fréquence?
σ¾ Intubation orotrachéale
σ½ Nébulisation β-mimétique
σ½ Bronchoscopie rigide
σ½ Corticostéroïde inhalé
σ½ Ventilation non invasive
53. Vous êtes appelé en réanimation traumatologie au sujet de jeun homme âgé de 18 ans a été traumatisme crânien avec coma profonde. Ce patient a été bénéficié une intubation endotrachéale dès à l’admission. Au bout 7 jours de l’intubation, la fièvre 38,8oC apparue et la sécrétion endotrachéale devenue verdâtre et vous adresse cette sécrétion au labo bactériologie. Vous pensez à une pneumonie nosocomiale tardive. 12 heure plus labo vous appel pour le Cocci Gram (+) très nombreux et à la culture >107 ufc/ml.
Quelle est l’antibiothérapie la plus probable proposez-vous?
σ¾ Vancomycine
σ½ Ceftriaxone
σ½ Levofloxacine
σ½ Pristinamycine
σ½ Bactrime
54. Vous êtes appelé en réanimation traumatologie au sujet de jeun homme âgé de 18 ans a été traumatisme crânien avec coma profonde. Ce patient a été bénéficié une intubation endotrachéale dès à l’admission. Au bout 7 jours de l’intubation, la fièvre 38,8oC apparue et la sécrétion endotrachéale devenue verdâtre et vous adresse cette sécrétion au labo bactériologie. Vous pensez à une pneumonie nosocomiale tardive.
Quelle prévention la plus pratiquée d’une pneumonie nosocomiale chez ce patient?
σ¾ Aspiration endotrachéale continue
σ½ Extubation sauvage
σ½ Anti Histaminine H2
σ½ Réintubations itératives
σ½ Antibiothérapie préalable
55. Mr. MP 65 ans vous consulte pour une dyspnée d’effort apparue progressivement depuis 3 semaines. Il est de plus en plus gêné dans les gestes de la vie quotidienne. Il a comme antécédent une insuffisance cardiaque sur une cardiopathie hypertensive traitée par beta bloquant non sélectif et Ramipril et il est traité depuis 6 mois par Amiodarone pour une fibrillation auriculaire. Il est tabagique à 30 paquets - années non sevré.
Cliniquement, la fréquence cardiaque est à 75 par min, la tension artérielle à 130/80 mmHg. L’auscultation pulmonaire retrouve des crépitants aux 2 champs pulmonaire. Il n’y a pas d’hippocratisme digital. La radiographie de thorax réalisée en ville retrouve un syndrome interstitiel bilatéral.
Quelle est la lésions élémentaire radiologique plus probable en pneumopathie interstitielle diffuse ?
σ¾ Réticulation intra lobulaire bilatérale
σ½ Micronodule au sommet
σ½ Pleurésie bilatérale
σ½ Dilatation des broches localisée centrale
σ½ Opacité alvéolaire diffuse
56. Vous recevez en hospitalisation Mr. P 48 ans pour une dyspnée et fébrile depuis 3 semaines. Il est tabagique à 30 paquets - années non sevré.
Cliniquement, la fréquence cardiaque est à 95 par min, la tension artérielle à 110/80 mmHg. L’auscultation pulmonaire ne retrouve pas de crépitant. Il n’y a pas d’hippocratisme digital. La radiographie de thorax réalisée en ville retrouve un syndrome interstitiel bilatéral de type micronodule diffuse.
Quelle est la pathologie à évoquer en priorité devant des micronodules diffuse ?
σ¾ Tuberculose
σ½ Varicelle
σ½ Sarcome
σ½ Parasitose
σ½ Mycose
57. Vous recevez en hospitalisation Mr. P 48 ans pour une dyspnée et fébrile depuis 3 semaines. Il est tabagique à 30 paquets - années non sevré.
Cliniquement, la fréquence cardiaque est à 95 par min, la tension artérielle à 110/80 mmHg. L’auscultation pulmonaire ne retrouve pas de crépitant. Il n’y a pas d’hippocratisme digital. La radiographie de thorax réalisée en ville retrouve un syndrome interstitiel bilatéral de type micronodule diffuse.
Quelle est la pathologie à évoquer plus probable en priorité par leur fréquence devant une pneumopathie interstitielle diffuse aiguë et fébrile?
σ¾ Pneumopathie infectieuse
σ½ Pneumopathie d’hypersensibilité
σ½ Virose respiratoire
σ½ OAP cardiogénique
σ½ Pneumocystose pulmonaire
58. Vous recevez en hospitalisation Madame P 32 ans pour une dyspnée et fébrile depuis 2 jours précédé par syndrome grippal. Elle ne fume pas. Cliniquement, la fréquence cardiaque est à 95 par min, la tension artérielle à 110/80 mmHg. L’auscultation pulmonaire retrouve des crépitants bibasales. La radiographie de thorax réalisée retrouve un syndrome interstitiel bilatéral de type micronodule diffuse.
Quel est l’intérêt du lavage broncho alvéolaire (LBA) devant une pneumopathie interstitielle diffuse aiguë ?
σ¾ Hémorragie intra alvéolaire
σ½ Présence des fibres amiantes
σ½ Présence de cause cardiaque retrouvée
σ½ Sans intérêt à différentier
σ½ Pneumopathie d’hypersensibilité
59. Vous recevez en hospitalisation Mr. P 48 ans pour une dyspnée et fébrile depuis 3 semaines. Cliniquement, la fréquence cardiaque est à 95 par min, la tension artérielle à 110/80 mmHg. L’auscultation pulmonaire ne retrouve pas de crépitant. Il a hippocratisme digital. La radiographie de thorax réalisée en ville retrouve un syndrome interstitiel bilatéral de type micronodule diffuse.
Quel élément à rechercher à l’interrogatoire devant une pneumopathie interstitielle diffuse chronique ?
σ¾ Tabagisme actif
σ½ Traumatisme thoracique
σ½ Tumeur colique
σ½ Touriste tropical
σ½ Terrain éthylique
60. Me. Z 65 ans vous consulte pour une dyspnée d’effort apparue progressivement depuis 3 semaines. Elle est de plus en plus gênée dans les gestes de la vie quotidienne. Il a comme antécédent une sclérodermie connue depuis 3 ans. Elle ne fume pas.
Cliniquement la fréquence cardiaque est à 75 par min, la tension artérielle à 130/80 mmHg. L’auscultation pulmonaire retrouve des crépitants aux 2 champs pulmonaire. La radiographie de thorax réalisée en ville retrouve un syndrome interstitiel bilatérale.
Vous pensez à une pneumopathie interstitielle diffuse primitive.
Quel est le signe extra pulmonaire le plus recherché devant la fibrose pulmonaire primitive ?
σ¾ Hippocratisme digital
σ½ Erythème palmaire
σ½ Adénopathie cervicale
σ½ Nodules noueux
σ½ Peaux cartonnées
61. Mr. X 50 ans fermier, vous consulte pour une dyspnée apparue brutale au cours de ménager sa ancienne grange de riz. Il fume la cigarette 15 paquet-année non sevré. Pas de signe bronchite chronique. Pas de HTA ni notion prendre médicaments.
Cliniquement, la fréquence cardiaque est à 87 par min, la tension artérielle à 130/80 mmHg, fréquence respiratoire 25 par min et SpO2 91% en air ambiant et la température 38°C. L’auscultation pulmonaire retrouve des crépitants aux 2 champs pulmonaire. La radiographie de thorax réalisée en ville retrouve un syndrome interstitiel bilatéral. Vous pensez à une pneumopathie hypersensibilité (poumon fermier).
Quel examen paraclinique le plus conforté à un diagnostic de pneumopathie d’hypersensibilité ?
σ¾ Dosage des précipitines sérique
σ½ Dosage de nicotine urinaire
σ½ Dosage de procalcitonine plasmatique
σ½ Dosage des lymphocytes CD4 au LBA
σ½ Dosage d’Immunoglobuline E du crachat
62. Me. Z 65 ans vous consulte pour une dyspnée d’effort apparue progressivement depuis 3 semaines. Elle est de plus en plus gênée dans les gestes de la vie quotidienne. Il a comme antécédent une sclérodermie connue depuis 3 ans. Elle ne fume pas.
Cliniquement, la fréquence cardiaque est à 75 par min, la tension artérielle à 130/80 mmHg. L’auscultation pulmonaire retrouve des crépitants aux 2 champs pulmonaire. La radiographie de thorax réalisée en ville retrouve un syndrome interstitiel bilatéral. Vous pensez une pneumopathie interstitielle diffuse primitive.
Quelle est l’anomalie gaz du sang devant la pneumopathie interstitielle primitive avec la dyspnée d’effort?
σ¾ Effet shunt
σ½ Hypoventilation alvéolaire
σ½ Hypoxémie au repos
σ½ Shunt vrai
σ½ Acidose respiratoire
63. Mr. Ph 63 ans hospitalisation pour dyspnée au moins d’effort apparue progressivement depuis environ un moi. Il est de plus en plus gêné au parler. Il a comme antécédent une lymphangite carcinomateuse connue depuis 1 ans. Il fume 30 paquet-année non sevré.
Cliniquement la fréquence cardiaque est à 110 par min, la tension artérielle à 130/80 mmHg. L’auscultation pulmonaire retrouve des crépitants aux 2 champs pulmonaire. La radiographie de thorax réalisée en ville retrouve un syndrome interstitiel bilatéral.
Quelle est l’anomalie retrouvée de la spirométrie dans une pneumopathie interstitielle diffuse chronique ?
σ¾ Diminution de la capacité pulmonaire totale (CPT)
σ½ Perturbation rapport du Tiffneau
σ½ Augmentation de la diffusion du CO
σ½ Augmentation le débit expiratoire de pointe
σ½ Diminution de volume expiratoire maximal seconde
64. Me. Z 45 ans vous consulte pour une dyspnée d’effort apparue progressivement depuis 5 semaines. Elle est de plus en plus gênée dans les gestes de la vie quotidienne. Elle ne fume pas .
Cliniquement la fréquence cardiaque est à 75 par min, la tension artérielle à 130/80 mmHg. L’auscultation pulmonaire retrouve des crépitants aux 2 champs pulmonaire. La radiographie de thorax réalisée en ville retrouve un syndrome interstitiel bilatéral.
Quelle est la principale complication d’une pneumopathie interstitielle diffuse d’origine sarcoïdose ?
σ¾ Fibrose pulmonaire
σ½ Embolie pulmonaire
σ½ Pneumothorax
σ½ Détresse respiratoire aiguë
σ½ Cancer bronchique
65. Vous recevez Mr. Sok , 69 ans pour altération de l’état général et dyspnée. Il a pour principal antécédent une BPCO post-tabagique. Vous retrouvez une fréquence respiratoire à 32/min, discret tirage sus-sternal, cyanose péribuccale. La saturation est à 76% en air ambiant, PaO2 40 mmHg. A l’auscultation, il est spastique avec des sibilants bilatéraux diffus. Pas de douleur thoracique. Fonctions supérieures conservées, examen neurologique normal. PA 97/60 mmHg, FC 120/min, Température 37,3°C.
Quel est le rapport PaO2/FiO2 pour ce patient?
σ¾ 200 mmHg
σ½ 100 mmHg
σ½ 300 mmHg
σ½ 500 mmHg
σ½ 400 mmHg
66. Un jeune homme de 18 ans a polytraumatisme sévère avec état de choc. L’apparition brutale d’une dyspnée aigue avec désaturation à 70% en air ambiant. Vous évoquez un syndrome déstresse respiratoire aigu.
Quelle en est la physiopathologie le plus vraisemblable ?
σ¾ Hyperperméabilité alvéolaire
σ½ Diminution de pression interstitielle
σ½ Diminution pression osmotique
σ½ Insuffisance lymphatique
σ½ Effet shunt
67. Vous recevez Mr. Sok , 69 ans pour altération de l’état général et dyspnée. Il a pour principal antécédent une BPCO post-tabagique. Vous retrouvez une fréquence respiratoire à 32/min, discret tirage sus-sternal, cyanose péribuccale. La saturation est à 76% en air ambiant, PaO2 40 mmHg. A l’auscultation, il est spastique avec des sibilants bilatéraux diffus. Pas de douleur thoracique. Les fonctions supérieures conservées, examen neurologique normal. La tension artérielle 97/60 mmHg, la fréquence cardiaque 120/min, la température 37,3°C.
Quel est le critères diagnostic d’un syndrome de déstresse respiratoire aiguë donné dans annoncé ?
σ¾ Rapport PaO2/FiO2 < 200
σ½ Pas argument pour insuffisance ventricule gauche
σ½ Installation aigue/brutale
σ½ Râles sibilants bilatéraux
σ½ Opacité alvéolaire bilatérale diffus
68. Vous recevez un homme de 67 ans aux urgences pour dyspnée intense. Il a principal antécédent insuffisance rénale chronique suivi irrégulier. La maladie a remonté il y a 4 heures : dyspnée intense, orthopnée. Vous évoquez un déstresse détresse respiratoire aiguë.
Quel diagnostic à évoquer le plus souvent en priorité devant une détresse respiratoire aiguë avec des opacités radiologique ?
σ¾ Å’dème aigu du poumon
Asthme aigu grave
σ½ Embolie pulmonaire
Pneumothorax compressif
σ½ Corps étranger
69. Patient de 53 ans a été opéré il y a 3 jours une endocardite infectieuse valve aortique, dyspnée rapide progressive jour 2 post opératoire. Le gaz du sang sous FiO2 100%, pH: 7,26 PaCO2 75 mmHg, PaO245 mmHg, HCO3 18 mmol/l.
Quelle est l’interprétation ce gaz du sang ?
σ¾ Hypercapnie respiratoire
σ½ Alcalose respiratoire
σ½ Acidose respiratoire
σ½ Acidose métabolique
σ½ Effet shunt
70. Vous recevez un homme de 67 ans aux urgences pour dyspnée intense. Il a principal antécédent bronchite chronique post tabagique connu depuis 2 ans. La maladie a remonté il y a 24 heures: dyspnée intense, orthopnée et spasme expiratoire. Vous évoquez à une déstresse détresse respiratoire aiguë.
Quel examen paraclinique le plus demandé devant une détresse respiratoire aiguë sans opacité radiologique du thorax?
σ¾ Gaz du sang artériel en air ambiant
σ½ Echocardiographie doppler
σ½ Scintigraphie pulmonaire ventilation
σ½ Scanner thoracique injection
σ½ Exploration fonctionnelle respiratoire
71. A 67-year-old-man with advanced alcoholic cirrhosis, progressive dyspnea, chest radiography showed findings suggestive of a large right pleural effusion (Panel A). Thoracentesis in the aspiration of 1500 ml 4 hours later coughing and had tachypnea and tachycardia, with right lung crackles heard on physical examination. The SaO2 82% ambiant air. The CT of the chest: diffuse areas of consolidation and ground-glass opacity in the right lung reexpansion pulmonary edema (Panel B).What is the mechanism this lung edema most likely
σ¾ Decreased interstitiel space pressure
σ½ Obstruction to lymphatic drainage
σ½ Increased microvascular hydrostatic pressure
σ½ Increased permeability of capillaries
σ½ Decreased microvascular oncotic pressure
72. Vous recevez un homme de 57 ans aux urgences pour dyspnée intense et fébrile. Il a principal antécédent bronchite chronique post tabagique connu et diabète sucré type 2 avec traitement irrégulier depuis 2 ans. La maladie a remonté il y a 12-24 heures : dyspnée intense avec fièvre 39,7°C et frisson. Vous trouvez le patient est en état réanimation.
Quelle est l’indication d’assistance ventilatoire ?
σ¾ Respiration abdominale paradoxale
σ½ Respiration d’hyperventilation
σ½ Respiration superficielle rapide
σ½ Respiration par bouche ouverte
σ½ Respiration de Cheyne-Stokes
73. Vous êtes interne du 1er année appelé recevez aux urgences un homme de 67 ans pour dyspnée intense, fièvre 40,3°C fréquence respiratoire 38 par min, tension artérielle 87/56 mmHg SpO2Quel est le premier geste de prise en charge le plus adapté à votre niveau?
σ¾ Appeler réanimateur
σ½ Intuber orotrachéale
σ½ Installer ventilateur
σ½ Oxygénothérapie à débit élevé
σ½ Donner les antibiotiques
74. Vous recevez une jeune fille de 18 ans aux urgences pour dyspnée intense inspiratoire avec œdème les lèvres après manger cacahouète. Elle a principal antécédent polyallégies. Le conscience somnolence, la tension artérielle 67/45 mmHg, poules filants 132 par min, la SpO2 hyposignal. Vous pensez le diagnostic choc anaphylactique.
Quel est le traitement de 1ère intention associé le plus approprié?
σ¾ Adrénaline 0.1 mg IVD
σ½ Adrénaline 0.1 mg sous cutané
σ½ Adrénaline 1 mg IVD
σ½ Adrénaline 0.1 mg IV SE
σ½ Adrénaline 10 mg IM
75. Un jeune home, auparavant sain, est admis aux urgences pour une intoxication aux barbituriques responsables d’une hypoventilation sévère. La respiration mélange à 50% d’O2n’a pas modifiée sa PaCO2.
Quelle est la valeur approximative la PaO2 estimée?
σ¾ 200
25
50
100
75
76. On constate chez un patient ayant une inégalité du rapport ventilation/perfusion sévère et qui reçoit un mélange à 80% d’O2 n’a atteint que 300 mmHg. Les facteurs susceptible d’expliquer un chiffre si bas sont existence d’unités pulmonaires à très bas VA/Q une atélectasie des unités à bas rapport VA/Q du a Les avantages des sondes nasales pour l’administration d’O2 sont :
σ¾ elles sont supportées confortablement sur le long période
σ½ les concentration d’O2 inspire dépasse facilement 60%
σ½ la concentration d’O2 dans l’air inspirée est connue avec précision
σ½ la PCO2 inspirée s’élève
77. Les masques à oxygène avec effet Venturi sont utile parce que :
σ¾ la concentration d’O2 inspirée est bien contrôlée
σ½ FiO2 s’élève lorsque la ventilation augmente
σ½ ils délivrent une concentration d’O2 supérieur 60%
σ½ la PaCO2 inspirée est augmentée
78. L’oxygénothérapie intermittente peut être dangereuse dans le traitement de l’insuffisance respiratoire parce que:
σ¾ l’élévation de la pression artérielle pulmonaire est importante
σ½ une HTA est possible
σ½ l’élévation de la PaCO2 est rapide après arrêt de l’O2
σ½ la PaO2 s’effondre après arrêt de l’O2
79. Quel patient la prescription d’O2 est-elle potentiellement iatrogène ?
σ¾ Chez tous les patients hyperocéaniques chronique
σ½ Chez tous les insuffisants respiratoires chroniques restrictifs
σ½ Chez tous les BPCO
σ½ Chez tous les patients hypoxiques chroniques
σ½ Chez tous les Insuffisants respiratoires chroniques obstructifs
80. Le but d’oxygénothérapie pour obtenir la PaO2 supérieur à 60 mmHg.
Quelle est la saturation la plus probable correspond la PaO2 supérieur à 60 mmHg?
σ¾ SpO2 supérieur à 90%
σ½ SpO2 supérieur à 80%
σ½ SpO2 supérieur à 95%
σ½ SpO2 supérieur à 75%
σ½ SpO2 supérieur à 85%
81. Quelle est la source de l’oxygène plus souvent fabriqué pour oxygénothérapie, au Cambodge ?
σ¾ Concentrateur
σ½ Ozone
σ½ Oxygène liquide
σ½ Oxygène gazeux
σ½ Air ambiant
82. Quel est l’intérêt d’administrer d’oxygène à fort débit dans un pneumothorax?
σ¾ Augmente la vitesse de réabsorption du pneumothorax
σ½ Facilite l’expiration le gaz CO2
σ½ Corrige l’hypoxémie du à hypoventilation alvéolaire
σ½ Diminue le bulbe emphysème sous pleurale
σ½ Améliore l’oxygénation alvéolaire
83. Un patient âgé de 67 ans, dyspnée laryngée conséquence d’une cancer des cordes. Le patient nécessite une intubation par trachéotomie.
Quelle est la voie d’introduction d’oxygénothérapie ce patient?
σ¾ Sonde trachéotomie
σ½ Masque naso buccale
σ½ Lunette nasale
σ½ Sonde buccale
σ½ Sonde nasale
84. Quelle est la durée de l’oxygénothérapie au longue durée chez un patient atteint broncho pneumopathie chronique obstructive (BPCO) avec PaO2 ?
σ¾ 18 heures par jour
σ½ 10 heures par jour
σ½ 14 heures par jour
σ½ 8 heures par jour
σ½ 12 heures par jour
85. Vous recevez un patient âgé de 34 ans en hospitalisation au service Maladie Infectieuse pour dyspnée intense progressive depuis 12 jours. L’examen la fréquence respiratoire 34 par min, la SaO2 78% en air ambiant, l’auscultation de râle crépitant. La sérologie VIH est positive après d’accord du patient. La numération formule sanguine : globule rouge :2 630 000/mm3, Hb : 8,0 g/dl globule blanc: 2 030/mm3, polynucléaire neutrophile : 1 220/mm3, lymphocyte 530/mm3 et plaquette : 150 000/mm3.
Quel est le taux de CD4 plus approximative ?
σ¾ CD4 : 100/mm3
σ½ CD4 : 300//mm3
σ½ CD4 :700/mm3
σ½ CD4 : 200/mm3
σ½ CD4 : 500/mm3
86. Vous recevez un patient 22 ans, homosexuel, aux urgences pour dyspnée intense progressive depuis 10 jours. Votre 1er hypothèse diagnostique est la pneumopathie fébrile hypoxémiante donc la pneumocystose chez un patient VIH découverte récente.
Quel est le critère clinique ou paraclinique est habituellement présent ?
σ¾ Opacités interstitielles/alvéolaires diffuses
σ½ Râles crépitants diffus
σ½ Présence de prophylaxie par Bactrim
σ½ Saturation en O2 supérieur à 90%
σ½ Taux de lymphocytes CD4 (+) >200/mm3
87. Parmi les anomalies radiologiques suivantes, une a une valeur prédictive positive élevée pour le diagnostic de tuberculose, laquelle?
σ¾ Adénopathie médiastinale
σ½ Excavation du sommet
σ½ Pleurésie bilatérale
σ½ Infiltration du sommet
σ½ Pleurésie localisée
88. Chez un patient Cambodgien VIH (+) avec moins de 100 CD4/mm3, la tuberculose se traduit le plus souvent par anomalie radiologique suivante, laquelle ?
σ¾ Adénopathie médiastinale
σ½ Opacité alvéolo interstitielle
σ½ Pleurésie purulence
σ½ Infiltrat des 2 lobes supérieurs
σ½ Caverne au sommet
89. Chez un patient Cambodgien VIH positif avec moins de 100 CD4 /mm3, quelle donnée s’observe plus souvent au cours de la pneumocystose qu’au cours de la tuberculose?
σ¾ SaO2 < 90%
σ½ Hémoptysie
σ½ Céphalées
σ½ BMI < 17Kg/m2
σ½ Diarrhée
90. Laquelle de cette situation clinico-radiologique suivante doit faire systématiquement proposer une sérologie VIH chez le patient Cambodgien ?
σ¾ Adénopathie médiastinale fébrile
σ½ Adénocarcinome colique
σ½ Opacité atélectasie en banque
σ½ Abcès du poumon
σ½ Opacités alvéolaires en ails de papillon
91. Chez un patient Cambodgien dont la tuberculose révèle un SIDA méconnu.
Quand est une trithérapie antirétrovirale doit être introduite ?
σ¾ Au 15 ème jour du traitement anti tuberculeux
σ½ Au 6 ème mois du traitement anti tuberculeux
σ½ Au 1erjour du traitement anti tuberculeux
σ½ Au 12 ème mois du traitement anti tuberculeux
σ½ Au 3 ème mois du traitement anti tuberculeux
92. Vous recevez un patient âgé de 34 ans en hospitalisation au service Maladie Infectieuse pour dyspnée intense progressive depuis 12 jours. L’examen la fréquence respiratoire 34 par min, la saturation SaO2 78% en air ambiant, l’auscultation de râle crépitant. La sérologie VIH est positive après d’accord du patient. La numération formule sanguine (NFS) : globule rouge : 2 630 000/mm3, Hb : 8,0 g/dl, globule blanc (GB) : 2 030/mm3, polynucléaire neutrophile (PNN) : 1 220/mm3, lymphocyte 530/mm3, plaquette : 150 000/mm3. Le cliché de radiographie du thorax . Vous pensez qu’il a une infection opportuniste chez un sujet immunodéprimé par le VIH.
Quel est le diagnostic le plus probable ?
σ¾ Pneumocystose pulmonaire
σ½ Mycose pulmonaire
σ½ Pneumonie bactérienne
σ½ Anguillulose pulmonaire
σ½ Miliaire tuberculeuse
93. Chez une patiente de 32 ans, VIH positif sans suivi, fièvre prolongée. Poids 35 Kg pour taille 156 cm. La tension artérielle : 10/6 cmHg, poules 90/min et les conjonctives assez pâles, la fréquence respiratoire est de 32 par min. Le cliché de radio thoracique .
Quel est le diagnostic le plus probable.
σ¾ Tuberculose
σ½ Pneumocystose
σ½ Bactérie
σ½ Anguillulose
σ½ Mycose
94. Vous recevez un patient âgé de 34 ans en hospitalisation au service Maladie Infectieuse pour dyspnée intense progressive depuis 12 jours. L’examen la fréquence respiratoire 34 par min, la saturation SaO2 78% en air ambiant, l’auscultation de râle crépitant. La sérologie VIH est positive après d’accord du patient. La numération formule sanguine (NFS) : globule rouge : 2 630 000/mm3, Hb : 8,0 g/dl GB : 2 030/mm3, polynucléaire neutrophile (PNN) : 1 220/mm3, lymphocyte 530/mm3, plaquette : 150 000/mm3. Le cliché de radiographie du thorax . Vous pensez à une pneumocystose chez un sujet VIH positif.
Quel est le traitement anti pneumocystis du 1er intension ?
σ¾ Sulfamethoxazol-tromethoprime (Bactrim®
σ½ Pentamidine (Pentacarinat®)
σ½ Dapsone (Disulone®)
σ½ Atovaquone (Wellvone®)
σ½ Clindamycine (Dalacine®)
95. Vous faite sortir patient âgé de 34 ans en hospitalisation une pneumocystose pulmonaire chez un sujet VIH positif découverte récent.
Quel est le mot clef le plus importance de traitement des associations anti rétroviraux?
σ¾ A vie et à prendre régulièrement
σ½ Arrêter quand succès clinique
σ½ Arrêter quand succès virologique
σ½ Arrêter quand patient veut
σ½ Arrêter quand succès immunologique
96. Une patiente de 38 ans, en consultation pour fièvre le soir avec sueur nocturne. L’amaigrissement -5Kg en 1mois. L’interrogatoire, vous retrouvez une notion de contact étroit de tuberculose pulmonaire BK positif. Vous pensez à une tuberculose atteinte chez cette patiente.
Quelle est l’histoire naturelle de ce maladie ?
σ¾ Incubation tuberculeuse 3 mois
σ½ Infection tuberculeuse latente et signe clinique
σ½ Transmission interhumaine et environnement
σ½ Tuberculose maladie pas de signe clinique
σ½ Primo-infection tuberculeuse et signe gravité
97. Une patiente de 38 ans, en consultation pour fièvre et toux chronique. L’amaigrissement -5Kg en 1mois. L’interrogatoire, vous retrouvez un enfant de 2 ans vit avec elle. Vous pensez à une tuberculose atteinte chez cette patiente.
σ¾ Diminution la forme grave de la tuberculose
σ½ Limitation l’infection tuberculeuse latente
σ½ Protection la tuberculose maladie
σ½ Aggravation la tuberculose maladie
σ½ Prévention la primo-infection tuberculeuse
98. Une patiente de 32 ans, vous consulte pour toux et altération de l’état général depuis 2 mois. Elle a perdu du poids 5 Kg en 2 mois. Elle se plaint aussi d’asthénie intense. Elle est mariée un enfant de 3 ans et ne prend aucun traitement d’une pilule œstroprogestative. Le cliché de radio thoracique effectuée en ville .
Quelle est l’anomalie sur la radiographie thoracique retrouvez vous ?
σ¾ Opacité excavée
σ½ Opacité grelot
σ½ Opacité du lobe moyen
σ½ Opacité micronodule
σ½ Opacité infiltrative
99. Un patient de 32 ans, vous consulte pour toux et altération de l’état général depuis 2 mois. IL a perdu du poids 5 Kg en 2 mois. Il se plaint aussi d’asthénie intense. Il est marié un enfant de 3 ans. Le cliché de radio thoracique effectuée en ville .Vous pense à une tuberculose pulmonaire.
Quel examen microbiologique effectué le plus sensible et plus rapide pour confirmation du diagnostic de la tuberculose ?
σ¾ GenXpert
σ½ MTBDR plus
σ½ Examen direct BAAR
σ½ MGIT
σ½ PCR
100. Une patiente de 32 ans, vous consulte pour toux et altération de l’état général depuis 2 mois. Elle a perdu du poids 5 Kg en 2 mois. Elle se plaint aussi d’asthénie intense. Elle est mariée un enfant de 3 ans et ne prend aucun traitement en dehors d’une pilule œstroprogestative. Le cliché de radio thoracique effectuée en ville .
Quel est le diagnostic le plus fort suspicion ?
σ¾ Tuberculose pulmonaire commune
σ½ Aspergillome broncho pulmonaire
σ½ Pneumonie à Mycoplasme atypique
σ½ Cancer broncho pulmonaire
σ½ Pneumopathie interstitielle diffuse
{"name":"All- Pneumologie -MCQ part7 (1-100)", "url":"https://www.quiz-maker.com/QPREVIEW","txt":"1. Chez un adulte suspect de pneumonie aiguë communautaire (PAC). Parmi les propositions suivantes concernant les arguments cliniques de diagnostic de PAC, indiquez celle qui est vraie ?, 2. Parmi les circonstances suivantes, laquelle peut rendre le diagnostic de pneumonie aiguë communautaire le plus difficile ?, 3. Un malade chez lequel une pneumonie aiguë communautaire est diagnostiquée aux urgences. Quel critère le plus grave pour transfert le patient à la réanimation ?","img":"https://www.quiz-maker.com/3012/images/ogquiz.png"}
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