Pédiatrie (Pr. KIM Ang)

La méningite est une inflammation des méninges dont l'étiologie la plus fréquente est :
Bactérienne
Tuberculeuse
Parasitaire
Virale
Mycosique
La pénétration des germes de portages du rhinopharynx dans le LCR se fait par :
Voie hématogène et voie respiratoire
Voie hématogène ou par extension d’un foyer régional de voisinage
Contamination directe le plus souvent
Septicémie ou bactériémie et voie respiratoire
Thrombophlébite locale et voie respiratoire
Les germes se multiplient très rapidement dans le LCR car dans le LCR :
Il y a peu de glucose
Il y a trop de glucose
Il n’existe pas de monocyte
Il n’existe aucune bactéricide naturelle
La production de cytokines (TNFalpha, interleukine 1 et 6) est insuffisante
Principaux germes des méningites purulentes de l’enfant avant l’introduction de vaccination universelle sont
Haemophilus influenzae b, méningocoque et pseudomonas
Haemophilus influenzae b, méningocoque et pneumocoque
Haemophilus influenzae b, pneumocoque et streptocoque
Sreptocoque, E coli et listéria monocytogen
Salmonelles, staphylocoque et pseudomonas
Chez les nourrissons (<12 mois), l’examen clinique pour le diagnostic de méningite est retrouvé:
Le plus souvent la raideur de la nuque, signe de Koerniq et Brudzinski
La tension de la fontanelle, l’hypotonie de la nuque et parfois les signes neurologiques de localisation
La raideur de la nuque d’opposition, signe de Koerniq et Brudzinski
Le plus souvent la raideur de la nuque d’opposition et la raideur anormale à la mobilisation du rachis avec rejet de la tête en arrière.
Les deux maîtres signes de la contracture d’origine méningée.
La flexion sur le tronc des membres inférieurs maintenus en extension, entraînant une flexion invincible des jambes sur les cuisses, est un signe positif de :
Koerniq
Brudzinski
Babinski
Raideur de la nuque
Syndrome méningé
La tentative de flexion de la nuque entraînant la flexion des genoux et des hanches, est un signe positif de :
Koerniq
Brudzinski
Babinski
Raideur de la nuque
Syndrome méningé
La contracture d’origine méningée est confirmée par:
Raideur de la nuque, signe Koerniq et Brudzinski
Tension de la fontanelle
Hypotonie de la nuque
Signes neurologiques de localisation
Tension de la fontanelle et hypotonie de la nuque
L’examen du LCR doit être urgent et les résultats du LCR étant en faveur d’une méningite bactérienne purulente sont :
LCR hypertendu, LCR garde sa limpidité habituelle
Protéinorachie autour de 0,45g/l
Rapport du glucose dans LCR/ glucose dans le sang >0,40
Nombres de cellules anormalement élevés avec prédominance de PN altérés
Hyperleucocytose à prédominance lymphocytaire.
L’examen direct par coloration de Gram se présente de cocci Gram positif en chaînette. Quel est le germe le plus probablement en cause :
Haemophilus influenzae b (Hib)
Méningocoque
Pneumocoque
Staphylocoque
E. Coli
Quel est l’examen paraclinique à rechercher en cas de suspicion d’une sécrétion inappropriée d’ADH avec prise anormale de poids :
Echographie transfontanellaire
Scanner or IRM cérév
Recherche des antigènes solubles (sang et urines)
Recherche des antigènes solubles (sang et urines)
Ionogramme sanguin
Parmi les signes de gravité suivants, indiquez la phrase qui est en faveur d’une collection purulente cérébro-méningée :
Purpura rapidement extensif ou nécrotique
†‘fréquence cardiaque, ↑temps de recoloration
Extrémités froides, absence de diurèse
Troubles de la conscience, coma ou convulsions
Pression artérielle↓ ou collapsus
Le trouble hémodynamique est un signe de gravité de méningite purulente chez l’enfant. Indiquez la phrase juste de trouble hémodynamique :
†‘temps de recoloration de la peau, extrémités froides
Purpura rapidement extensif ou nécrotique
Troubles de la conscience, coma ou convulsions
Signes d’hypertension intracrânienne
Diurèse environ 1 à 2 ml/heure.
Quels sont les pourcentages de séquelle dans la méningite purulente concernant le retard psychomoteur et la surdité ?
Retard psychomoteur dans 15 à 20% des cas et surdité dans 10% des cas
Retard psychomoteur dans 15 à 20% des cas et surdité dans 15% des cas
Retard psychomoteur dans 5 à 10% des cas et surdité dans 10% des cas
Retard psychomoteur dans 5 à 10% des cas et surdité dans 15% des cas
Retard psychomoteur dans 15 à 20% des cas et surdité dans 20% des cas
En cas de germe identifié étant le pneumocoque chez l’enfant de moins de 5 ans, quel est l’antibiothérapie à démarrer ?
Céfotaxime 200mg/kg/24h en 4 perfusions
Ceftriaxone 100mg/kg en 1 ou 2 injections IVL + vancomycine 30mg/kg/24h en 4 IVL de 1 heure.
Ceftriaxone 50mg/kg/j en 1 ou 2 injections IVL.
Ceftriaxone 100mg/kg en 1 ou 2 injections IVL + vancomycine 60mg/kg/24h en 4 IVL de 1 heure
Céfotaxime 100mg/kg/24h en 4 perfusions + vancomycine 60mg/kg/24h en 4 IVL de 1 heure.
En cas de germe non identifié ou de méningite décapitée, quel est l’antibiothérapie à démarrer ?
Céfotaxime 200 à 300mg /kg/24h + vancomycine 60mg/kg/24h.
Céfotaxime 200mg/kg/24h en 4 perfusions
Céfotaxime 100mg/kg/24h en 4 perfusions + vancomycine 30mg/kg/24h en 4 IVL de 1 heure.
Céfotaxime 200 à 300mg /kg/24h + vancomycine 30mg/kg/24h.
Ceftriaxone 100mg/kg/j en 1 ou 2 injections IVL.
En cas de méningite purulente, l’examen du LCR de contrôle se fait 48h après le début du traitement antibiotique si:
Une persistance de signes infectieux ou neurologiques anormaux
La méningite confirmée à méningocoque
La méningite confirmée à Haemophilus influenzae b
La méningite confirmée à bacille Gram négatif polymorphe
Présence d’une nette régression ou disparition du syndrome inflammatoire.
En cas de méningite purulente avec la culture de LCR confirmée à pneumocoque sensible au céfotaxime et le CMI est <0,5mg/l, quel est l’attitude thérapeutique utlérieure pour l’antibiothérapie?
Maintenir céfotaxime + vancomycine.
Continuer seulement la vancomycine (60 mg/kg/j)
Monothérapie par céfotaxime (100mg/kg/j) ou par ceftriaxone (50mg/kg/j).
Arrêter tous les antibiotiques.
Quelle est la phrase juste pour le contexte évocateur de méningite à pneumocoque ?
Fièvre élevé
OMA ou pneumopathie associé
Conjonctivite
Tubercule de Bouchut au fond d'oeil
Céphalée intense avec photophobie
Quels sont les apports hydriques en cas de syndrome d’hypersécrétion d’ADH confirmé :
Apports hydriques de 80 à 100ml/kg/j.
Apports hydriques de 100 à 150ml/kg/j.
Apports hydriques de 150 à 180ml/kg/j.
Apports hydriques à 40 à 50ml/kg/j
Apports hydriques à 70 ml/kg/j
Quelle est la phrase juste pour l’indication de scanner ou IRM cérébrale à la recherche d’un abcès ou d’un empyème cérébral induisant à une modification antibiothérapique urgente :
Fièvre durable et anomalie neurologique persistante
Céphalée intense et anomalie neurologique
Vomissements répétés ou anomalie neurologique
Bombement de la fontanelle ou convulsions
Collapsus ou état de choc
En dehors de toute complication immédiate, quelle est la durée habituelle d’un traitement antibiotique et en fonction du germe ?
Méningocoque: 7 jours, Haemophilus: 7 jours, pneumocoque: 14j
Méningocoque: 3jours, Haemophilus: 7 jours, pneumocoque: 10j-15j
Méningocoque: 7 jours, Haemophilus: 7jours, pneumocoque: 8j
Méningocoque: 5 à 7 jours, Haemophilus: 5-7 jours, pneumocoque: 9j
Méningocoque: 5 à 7 jours, Haemophilus: 4 jours, pneumocoque: 10j-15j
Indiquez la phrase juste pour l’antibioprophylaxie de l’entourage en cas de méningite purulente.
Haemophilus influenzae b et pneumocoque
Haemophilus influenzae b ou méningoque
Pneumocoque ou streptocoque
Staphylocoque et Salmonelle
Listeria monocytogen et E coli
Quels sont les vaccins contre les bactéries de méningites purulentes déjà disponibles dans le programme de vaccination national du Cambodge en 2016 :
Haemophilus influenzae b et pneumocoque
Haemophilus influenzae b et méningoque
E Coli et Listeria monocttogen
Pneumocoque ou streptocoque
Méningocoque et pneumocoque
Quelle est la phrase juste concernant le vaccin antiméningococique :
Deux types de vaccins de nature polysaccharidiques sont disponibles en France: vaccin antiméningococcique A+C
Seulement un type de vaccin de nature polysaccharidiques est disponible en France: vaccin antiméningococcique A+C
Le vaccin tétravalent A/C/Y/W135 n’est pas disponible.
Le vaccin de nature polysaccharidiques est pour les enfants de moins de 2 ans.
Le vaccin de nature polysaccharidiques est pour les enfants de moins de 1 an.
Quelle est la phrase juste concernant la vaccination antiméningococique :
L’immunité apparaît en moyenne 5j après la vaccination et dure environ 1 ans.
L’immunité apparaît en moyenne 5j après la vaccination et dure environ 2 ans.
L’immunité apparaît en moyenne 5j après la vaccination et dure environ 3 à 4 ans.
L’immunité apparaît en moyenne 10j après la vaccination et dure environ 3 à 4 ans.
L’immunité apparaît en moyenne 10j après la vaccination et dure à la vie.
Quelle est la phrase juste concernant l’antibioprophylaxie en cas de méningite purulente causée par le méningocoque ?
Le traitement de portage est institué seulement chez l’enfant malade lui-même au terme du traitement curatif.
Le traitement de portage est inutile pour des sujets contacts.
La chimioprophylaxie doit être réalisée dans 5 jours après le diagnostic
La chimioprophylaxie n’a plus aucune utilité au-delà de 5j après le dernier contact.
La chimioprophylaxie doit être réalisée dans 24 à 48h après le diagnostic.
Le virus qui est en règle responsable d’une méningo-encéphalite avec signes neurologiques déficitaires dans un contexte fébrile est :
Entérovirus
Paramyxovirus: Oreillons, grippe
Virus Echo
Adenovirus
Herpes virus
La méningite survient de façon concomitante aux autres manifestations des oreillons (parotidite, sous-maxillite) est :
Méninggite virale à Entérovirus
Une méningite ourlienne
Une méningite à Herpès Virus
Une méningite à Adenovirus
Une méningite à virus de rougeole
Une ponction lombaire de contrôle est utile et indispensable après 48 heures de traitement en cas de :
Méningite virale
Méningite ourlienne
Méningite à pneumocoque
Méningite à Hib
Méningite à méningoque
L’examen direct de LCR a retrouvé de Bacille acido-alcoolo-résistant. Quel est le germe le plus probablement en cause ?
Bacille de Koch
Escheria Coli
Bacille d’Ebert
Méningoque
Haemophilus influenzae de type b
L’examen cyto-chimique de LCR chez un enfant présentant de syndrome méningé montre une hyperalbuminorachie (>1 g/l) à prédominance lymphocytaire une hypercytose (>100/mm3) et un taux de sucre abaissé. Quel est le germe le plus probablement en cause ?
Virus des oreillons
Salmonella
Méningoque
HiB
BK
L’examen cyto-chimique de LCR chez un enfant présentant de syndrome méningé montre une réaction cellulaire faite de nombreux éléments à prédominance lymphocytaire ou de polynucléaires intacts (50-100/mm3), une albuminorachie modérément élevée(0,5 g/l) et une glycorachie et des chlorures normaux. Quelle méningite que vous devez évoquer en premier?
Méningite bactérienne purulente
Méningite virale
Méningite tuberculeuse
Méningite aux germes opportunistes
Méningites aux Salmonelles
L’examen cyto-chimique de LCR chez un enfant présentant de syndrome méningé montre des nombres de cellules anormal avec une prédominance de PN altérés (> 1000/ mm3), une protéinorachie anormale (>1 g/l) et un rapport du glucose dans LCR/sang <0,40.Quelle méningite que vous devez évoquer en premier?
Méningite virale
Méningite TB
Méningite ourlienne
Méningite bactérienne purulente
Méningo-encéphalite herpétique
Une réaction tuberculinique (IDR ou PPD test) est positif si:
Le diamètre de l’induration est ≥ 10 mm pour les enfants à haut risque (enfants à VIH positif ou malnutrition sévère).
Le diamètre de l’induration est ≥ 15 mm pour les enfants à haut risque (enfants à VIH positif ou malnutrition sévère)
Le diamètre de l’induration est ≥ 10 mm pour les autres enfants y compris ceux qui sont vaccinés par le BCG.
Le diamètre de l’induration est ≥ 15 mm pour les autres enfants y compris ceux qui sont vaccinés par le BCG.
Le diamètre de l’induration est ≥ 20 mm pour les autres enfants y compris ceux qui sont vaccinés par le BCG.
Une affection cérébraux chronique d’étiologies diverses, caractérisée par la répétition de crises résultant d’une décharge excessive des neurones, est une définition de :
Crise partielle
Crise généalisé
Crise tonico-clonique
épilepsie
Crise épileptique
Un ensemble des phénomènes résultant de décharges paroxystiques synchronisées d’une série de neurones, est une définition de :
épilesie
Crise epileptique
Crise partielle
Crise generalise
Convulsion
Des crises paroxystiques d’origines cérébrales dont le mécanisme neurophysiologique est celui des crises épileptiques, et qui se traduisent par des contractions musculaires involontaires toniques ou cloniques. C’est la définition de :
épilesie
Crise epileptique
Crise partielle
Crise generalise
Convulsion
Des crises épileptiques se classifiées en :
Crises sensorielles, visuelles et auditives
Crises généralisées et absences
Crises généralisées et crises partielles
Crises tonico-cloniques généralisées et myoclonies massives
Crises motrices et crises partielles complexes
Le diagnostic de convulsion du nourrisson se basé sur :
La description de crise et EEG
L’interrogatoire et les explorations neuroradiologiques
L’examen neurologique et les explorations neuroradiologiques
La description de crise, l’examen neurologique et EEG
L’interrogatoire, la description de crise et l’examen neurologique
Des convulsion survenues au cours d’une fièvre ,jamais précédées par des crises non fébriles, en dehors de toute affection cérébro-méningée, en dehors de tout désordre métabolique, en dehors de toute intoxication avec un développement psychomoteur et examen neurologique parfaits, sont les caractères de :
Convulsion et hyperthermie
Convulsion et occasionnelle
Convulsion fébrile
Convulsion avec fièvre
épilepsie
Chez l’enfant, la classification en EPR: épilepsie à paroxysmes rolandiques, épilepsie à paroxysmes occipitaux et épilepsie bénigne à symptomatologie affective, est celui de :
épilepsies généralisées
épilepsies partielles
épilepsies symptomatiques
épilepsies cryptogéniques
épilepsies idiopathiques
La prévalence des épilepsies chez l’enfant est :
0,1 à 0,3 %; 60 % de bon pronostic
0,4 à 0,5 %; 60 % de bon pronostic
0,5 à 1 %; 60 % de bon pronostic
1 à 2 %; 60 % de bon pronostic
0,5 à 1 %; 40 % de bon pronostic
Un aspect de l’EEG montre des pointes ondes généralisées symétriques et synchrones. Quel est le diagnostic de cette épilepsie ?
Epilepsie petit mal absence
Syndrome de Lennox-Gastaud
Syndrome de West
Grand mal
Epilepsie à paroxysmes occipitaux
Un aspect de l’EEG montre des pointes ondes à début et fin brusques. Quel est le diagnostic de cette épilepsie ?
Epilepsie petit mal absence
Syndrome de Lennox-Gastaud
Syndrome de West
Grand mal
Epilepsie à paroxysmes occipitaux
Une épilepsie symptomatique grave chez l’enfant caractérisée par des crises toniques, crises cloniques avec un aspect des pointes ondes lentes intercritiques, tracé de fond lent sur l’EEG et une atteinte intellectuelle, est :
Epilepsie petit mal absence
Syndrome de Lennox-Gastaud
Syndrome de West
Grand mal
Epilepsie à paroxysmes occipitaux
Une épilepsie grave du nourrisson caractérisée par des spasmes épileptiques causés par les malformations cérébrales ou les anomalies chromosomiques, s’appelle :
Le Sd de West
Le Sd de Lennox-Gastaud
Le petit mal absence
Le grand mal
Le spasme du sanglot
Choisir la réponse correcte de l’antiépilepique de choix pour le traitement de l’épilepsie généralisée tonico-clonique (grand mal) chez l’enfant :
Carbamazépine (Tégrétol)
Benzodiazépines
Ethoxuccamide(Zarontin)
Valproate de sodium (Dépakine)
Clobazam (Urbanyl)
Choisir la réponse correcte de l’antiépilepique de choix pour le traitement de l’absence-petit mal et des absences myocloniques chez l’enfant :
Carbamazépine (Tégrétol)
Phénobarbital (Gardénal)
Vigabatrin (Sabril
Phénytoïne (Di-Hydan
Valproate de sodium (Dépakine)
Choisir la réponse correcte de l’antiépilepique de choix pour le traitement de l’épilepsie partielle bénigne chez l’enfant :
Carbamazépine (Tégrétol)
Phénobarbital (Gardénal)
Vigabatrin (Sabril),
Phénytoïne (Di-Hydan)
Clobazam (Urbanyl)
Choisir la réponse correcte concernant la durée de traitement antiépileptique chez l’enfant :
L’arrêt de traitement: après 1 ans sans crise dans les épilepsies bénignes
L’arrêt de traitement: après 2 ans sans crise dans les épilepsies bénignes
L’arrêt de traitement: après 3 ans sans crise dans les épilepsies bénignes
L’arrêt de traitement: après 1 ans dans les épilepsies sévères
L’arrêt de traitement: après 2 ans dans les épilepsies sévères
Indiquez la posologie correcte de valproate de sodium (Dépakine) :
3 à 5 mg/kg/j (taux thérapeutique: 15-30μg/ml)
10 à 20 mg/kg/j en 2 prises (taux thérapeutique = 70 à 90 mg/ml)
20 à 40 mg/kg/j en 2 prises (taux thérapeutique = 70 à 90 mg/ml)
10 mg/kg/j en 2 à 3prises (taux thérapeutique = 5 à 10 mg/ml)
20 mg/kg/j en 2 à 3prises (taux thérapeutique = 5 à 10 mg/ml)
Indiquez la posologie correcte de phénobarbital (Gardénal) :
3 à 5 mg/kg/j (taux thérapeutique: 15-30μg/ml)
10 à 15 mg/kg/j (taux thérapeutique: 15-30μg/ml)
10 à 20 mg/kg/j en 2 prises (taux thérapeutique = 70 à 90 mg/ml)
20 à 40 mg/kg/j en 2 prises (taux thérapeutique = 70 à 90 mg/ml)
20 mg/kg/j en 2 à 3prises (taux thérapeutique = 5 à 10 mg/ml)
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