DES MED TC SEM 2

A detailed and educational illustration showing various aspects of cancer treatment and hematology, including diagrams of blood cells, chemotherapy illustrations, medical charts, and healthcare professionals in a clinical setting.

Comprehensive Cancer and Hematology Quiz

Test your knowledge and understanding of cancer treatment and hematological disorders in this informative quiz. This quiz covers a variety of critical topics including diagnosis, treatment, and patient management strategies in oncology and hematology.

Key Topics Covered:

  • Symptoms and diagnosis of cancers
  • Management of hematological disorders
  • Understanding treatment options
  • Preventive measures in oncology
247 Questions62 MinutesCreated by HealingHeart215
M. S DR âgé de 75 ans, vient vous voir en consultation pour la douleur lombaire très intense avec un déficit sensitive et motrice des 2 membres inférieurs, une constipation depuis 7 jours. Il est en cours d’un traitement hormonal pour son cancer de la prostate découverte depuis 7 mois. Quel est votre diagnostic ?
Syndrome de compression médullaire
Calcul rénal.
Effets indésirables de traitement hormonal.
Ostéophyte.
Pyélonéphrite Aiguë.
En cas d’un syndrome de compression médullaire par une métastase osseuse suit à un IRM rachidienne, En cas de la présence d’un signe de l’épidurite, voulez-vous ajouter quel médicament de plus ?
Paracétamol.
Aspirine.
Corticoïdes.
Ibuprofène.
Diazépam.
Dans quel cas la radiothérapie de la colonne rachidienne est indiquée dans le syndrome de compression médullaire compliqué par un cancer de la prostate ?
Le traitement chirurgical est possible.
Après l’intervention chirurgicale.
L’apparition du déficit neurologique dans les 48 premières heures.
L’apparition du déficit neurologique dans les 24 premières heures.
L’apparition du déficit neurologique dans les 72 premières heures.
Dans certain cancer, un syndrome de lyse tumorale apparait
2 semaines après le traitement par la chimiothérapie.
Quelque mois plus tard après avoir finis le traitement.
Le plus souvent pendant la chimiothérapie ou dans les jours qui suivent (entre 1 et 5 jours).
Lorsqu’il y a des sites métastatiques multiples.
3 semaines après le traitement par la chimiothérapie.
Qu’est-ce qu’on voit à la radiographie thoracique dans un syndrome cave supérieur compliqué par une tumeur?
Opacité micronodulaire.
Encombrement des sinus costo diaphragmatique.
Elargissement du médiastin.
Epaississement bronchique.
Opacité retrouvé surtout dans l’apex du poumon droite.
Comment traiter une thrombose diagnostiquée chez un patient cancéreux ?
Commencer tout d’abord pas Aspirine.
Héparine Bas Poids Moléculaire 200 UI/kg/j (en 1 ou 2 injections SC). Puis Anticoagulant orale SINTROM avec INR > 2,0 et < 3,0.
Anticoagulant orale SINTROM avec INR > 2,0 et < 3,0 puis Héparine Bas Poids Moléculaire 200 UI/kg/j (en 1 ou 2 injections SC).
Héparine Bas Poids Moléculaire 200 UI/kg/j jusqu’à une amélioration.
Héparine Bas Poids Moléculaire 400 UI/kg/j jusqu’à une amélioration.
Concernant le critère de la gravité de la neutropénie fébrile, le taux des Polynucléaires neutrophiles ( ≤ 500 - < 1000/mm3) est classé dans quel grade de l’OMS ?
Normal
Grade 1
Grade 2
Grade 3
Grade 4
Quel est la première question urgente pourra être posé au patient dans le cas d’une suspicion de la neutropénie fébrile suite à une chimiothérapie d’un cancer?
En cas de neutropénie grade 3 ou 4 : Le malade est-il fébrile . En cas de fièvre : Le malade est-il neutropénique
Vous avez quoi comme le type de cancer
Quelle est le protocole de la chimiothérapie que vous avez reçu
Quand est-ce que vous avez reçu le traitement
Est-ce que c’est la première cure de traitement
Quel est le risque principal causer le décès dans la neutropénie fébrile suite à une chimiothérapie d’un cancer?
La déshydratation causée par la fièvre.
Choc cardiogénique.
Choc septique.
Choc hypovolémique.
Choc anaphylactique.
Le recours au Facteurs de croissance hématopoïétiques de manière préventive, prophylaxie secondaire, est indiqué dans quel cas ?
Dès la première cure da la chimiothérapie.
Suite à un épisode de neutropénie fébrile post chimiothérapie.
Avant commencer la chimiothérapie.
S’il y a une demande d’un patient.
Patient à haut risque d’une infection grave.
L’ OMS adefinit paliers trois de la douleur, le paracétamol codéine est classé dans :
Palier 1
Palier 2
Palier 3
Anti inflammatoire
Anti pyrétique
Quelle est le type de la douleur cancéreux?
Douleur aigue
Douleur post-traumatisme
Douleur pose opératoire
Douleur nocturne
Douleur chronique
Dose équivalente de la morphine par voir oral et sous cutanée
Dose oral =Dose SC /2
Dose oral =Dose SC/3
Dose oral =Dose SC/4
Dose oral =Dose SC/5
Dose oral =Dose SC
Quelle est l’ effets indésirables le plus fréquent de la morphine :
Nausées
Vomissement
Constipation
Vertige
Somnolence
Quelle est la méthode plus simple et couramment pour évaluation la douleur ?
Auto-évaluation
Hétéro-évaluation
Echelle NCCPC
Echelle GED-DI
Echelle EDINN
Une dame de 23ans avec grossesse de 12SA, G1P0A0 ente pour une consultation anté-natale. Un hémogramme demandé de façon systématique retrouve des globules rouges à 4000.000/mm3, une hémoglobine à 9g/dl, Ht à 28%, VGM à 70fl, CCMH à 30%, GB à 8000/mm3, plaquettes à 400 000/mm3. Vous êtes interne au service d'hématologie et vous êtes invité(e) pour donner vos avis concernant cette anomalie. Comment interprétez-vous cet hémogramme?
Une anémie hypochrome microcytaire avec leucopénie et thrombocytose.
Une anémie normochrome normocytaire avec la taux de plaquettes et GB dans la limite normale.
Une anémie hypochrome michrocytaire avec la taux de plaquette et de GB normale.
Une anémie normochrome macrocytaire avec thrombopénie et leucopénie.
Aucune réponse juste.
Une dame de 23ans avec grossesse de 12SA, G1P0A0 ente pour une consultation anté-natale. Un hémogramme demandé de façon systématique retrouve des globules rouges à 4000.000/mm3, une hémoglobine à 9g/dl, Ht à 28%, VGM à 70fl, CCMH à 30%, GB à 8000/mm3, plaquettes à 400 000/mm3. Vous êtes interne au service d'hématologie et vous êtes invité(e) pour donner vos avis concernant cette anomalie. Quels hypothèses de diagnostiques pensez-vous?
Une anémie hémolytique Auto-immune
Une anémie réfractaire
Une anémie par carence en vitamine B12
Une thalassémie ou carence en fer
Leucémie Aigue
Une dame de 23ans avec grossesse de 12SA, G1P0A0 ente pour une consultation anté-natale. Un hémogramme demandé de façon systématique retrouve des globules rouges à 4000.000/mm3, une hémoglobine à 9g/dl, Ht à 28%, VGM à 70fl, CCMH à 30%, GB à 8000/mm3, plaquettes à 400 000/mm3. Vous êtes interne au service d'hématologie et vous êtes invité(e) pour donner vos avis concernant cette anomalie. A l'interrogatoire, elle est une seule enfant dans la famille. Son père et sa mère sont en bonne santé. Elle n'a aucun signe hémorragique. A l'examen clinique, vous trouvez une splénomégalie de 2cm sous rebord costale gauche sans autre anomalie. La TA 110/80 mmHg, FC 86/mm, RR 20/mn. Quel est votre prise en charge?
La transfusion en urgence
Augmentation de la dose de fer qu'elle prend pour sa grossesse
Suplémentation vitaminique
Interruption de la grossesse
Bilan paraclinique pour trouver la cause de son anémie.
Une dame de 23ans avec grossesse de 12SA, G1P0A0 ente pour une consultation anté-natale. Un hémogramme demandé de façon systématique retrouve des globules rouges à 4000.000/mm3, une hémoglobine à 9g/dl, Ht à 28%, VGM à 70fl, CCMH à 30%, GB à 8000/mm3, plaquettes à 400 000/mm3. Vous êtes interne au service d'hématologie et vous êtes invité(e) pour donner vos avis concernant cette anomalie. Vous demandez d'ajouter le taux de réticulocyte et un électrophorese des hémoglobines. Le taux de Réticulocyte est à 4%. L'électrophorese des Hb: - Hb A: 40% - Hb A2: 15% - Hb F: 20% - Hb E: 25% Quel est la cause de son anémie?
Beta thalassémie majeur
Beta thalassémie mineur
Beta/E thalassémie
Alpha thalassémie modérée avec délétion de 3 genes.
Aucune réponse correcte
Une dame de 23ans avec grossesse de 12SA, G1P0A0 ente pour une consultation anté-natale. Un hémogramme demandé de façon systématique retrouve des globules rouges à 4000.000/mm3, une hémoglobine à 9g/dl, Ht à 28%, VGM à 70fl, CCMH à 30%, GB à 8000/mm3, plaquettes à 400 000/mm3. Vous êtes interne au service d'hématologie et vous êtes invité(e) pour donner vos avis concernant cette anomalie. Vous annoncez le diagnostique au patiente et sa famille. Pour donner le conseil génétique, vous demandez à son mari une électrophorese des Hb qui est tout à fait normale. Comment définir le risque de ses enfants?
25% de beta thalassémie majeur, 75% normale
25% d'alfa thalassémie silencieuse, 75% normale
50% de beta thalassémie mineur et 50% d'hémoglobinopathie E hétérozygote
50% de beta thalassémie mineur et 50% normale
Pas de réponse correcte
Une jeune femme de 18 ans vient consulter son médecin traitant pour une fatigue depuis un mois. L’examen clinique retrouve des petites adénopathies cervicales, axillaires et inguinales. L’hémogramme demandé montre les résultats suivants :• Hématies: 3,8 T/L • Leucocytes: 23 G/L,Hémoglobine: 120 g/l PN: 31 %, Hématocrite: 36 % PE: 0 %, V.G.M.: 92 fl PB: 0 %, C.C.M.H. 33 %Lymp.: 65 %, Mono.: 4 % • Plaquettes: 135 G/L, Interprétez cet hémogramme :
Anémie normocytaire
Normochrome Bicytopénie
Hyperleucocytose
Hyperleucocytose, thrombopénie
Hémogramme Normale
Une jeune femme de 18 ans vient consulter son médecin traitant pour une fatigue depuis un mois. L’examen clinique retrouve des petites adénopathies cervicales, axillaires et inguinales. L’hémogramme demandé montre les résultats suivants :• Hématies: 3,8 T/L• Leucocytes: 23 G/L, Hémoglobine: 120 g/l PN: 31 %, Hématocrite: 36 % PE: 0 %, V.G.M.: 92 fl PB: 0 %, C.C.M.H. 33 % Lymp.: 65 % Mono.: 4 % • Plaquettes: 135 G/L. Quels sont les diagnostics à envisager ?
Infection
Aplasie médullaire
Leucémie Aigue
PTI
Leucémie chronique
Une jeune femme de 18 ans vient consulter son médecin traitant pour une fatigue depuis un mois. L’examen clinique retrouve des petites adénopathies cervicales, axillaires et inguinales. L’hémogramme demandé montre les résultats suivants : • Hématies: 3,8 T/L • Leucocytes: 23 G/L, Hémoglobine: 120 g/l PN: 31 %, Hématocrite: 36 % PE: 0 %, V.G.M.: 92 fl PB: 0 %, C.C.M.H. Lymp.: 65 %, Mono.: 4 %, • Plaquettes: 135 G/L. Quels examens complémentaires allez-vous demander ?
Examen ORL + marqueurs infectieux
Myéllogramme
Auto-anticorps
TDM Thoraco-abomino-pélvienne
Ponction ganglion obligatoire
Un homme de 30 ans, sans antécédent médical, consulte pour une asthénie modérée et une sensation de gêne post prandiale dans l’hypochondre gauche. Votre examen révèle une splénomégalie isolée, débordant le grill costal de 4 cm. • Hématies: 4,8 T/L • Leucocytes: 80 G/L, Hémoglobine: 140 g/l PN: 70 %, Hématocrite: 43 % PE: 0 %, V.G.M.: 90 fl PB: 0 %, C.C.M.H. 33 % Lymp.: 3 %, Mono.: 1 %, • Plaquettes: 550 G/L Myéloblastes: 2 %, Promyélocytes 5 % Myélocytes: 9 % • V.S. 8 mm/1h Métamyélo.: 10 %. Quel est le diagnostic le plus vraisemblable ?
Leucémie aigue
Leucémie chronic myéloblastique
Leucémie chronic Lymphoblastique
Thrombocytose Essentielle
Infection Bactérienne
Un homme de 30 ans, sans antécédent médical, consulte pour une asthénie modérée et une sensation de gêne post prandiale dans l’hypochondre gauche. Votre examen révèle une splénomégalie isolée débordant le grill costal de 4 cm. • Hématies: 4,8 T/L • Leucocytes: 80 G/L, Hémoglobine: 140 g/l PN: 70 % Hématocrite: 43 % PE: 0 % V.G.M.: 90 fl PB: 0 %, C.C.M.H. 33 % Lymp.: 3 %, Mono.: 1 % • Plaquettes: 550 G/L Myéloblastes: 2 %, Promyélocytes 5 %, Myélocytes: 9 %, • V.S. 8 mm/1h, Métamyélo.: 10 %. Quels examens faut-il pratiquer ?
Myélogramme + BCR-abl
TDM abdominopelvienne pour rechercher tumeure de rate
Biopsie Rate
Coloscopie
rechercher parasitoses
What is primary prevention in cancer?
To protect individuals from having cancer diseases
To cure the individuals from the early stage of diseases
To prevent individuals from exposing to risk factors of cancers
To prevent the individuals from developing a pre-cancerous lesion to a cancer
To cure a primary cancer disease thus the disease will be prevented
What is secondary prevention in cancer?
To protect individuals from having cancer diseases
To screen individuals from primary metastasis to secondary metastasis of cancer
To prevent individuals from exposing to risk factors of cancers
To prevent the individuals from developing a pre-cancerous lesion to a cancer by screening methods
To cure individuals from primary cancer disease thus the disease will be prevented
What is tertiary prevention of cancer?
To protect individuals from having cancer diseases
To screen individuals from primary metastasis to secondary metastasis of cancer
To prevent individuals from exposing to risk factors of cancers
To prevent the individuals from developing a pre-cancerous lesion to a cancer
To take multi-disciplinary approach to make curative intent for individuals
If grouped, what are the major risk factors of cancers. Please choose the best answer?
Nutrition, Environment, Genetic risk factors
Modifiable and non-modifiable risk factors
Genetic factors and Environmental risk factors
Auto-immune and non self risk factors
Genetic mutation, nutrition risk factors
What is correct answer regarding to the risk factors of colon cancer?
Lynch syndrome (HNPCC), Familial Polyposis, Non healthy Diet, Tobacco, Alcohol
Pollution, diet, BRCA1 mutation
Lynch syndrome (HNPCC), Non-healthy diet, radiation exposure
BRCA1-2 mutation, radiation exposure
Pollution, Non-healthy diet, Tobacco
Regarding public health measure for cancer screening, there are two main major measures to be considered for making the program, please choose the best answer.
Individual screening vs community-based screening
Public vs private health care centers screening
Opportunistic vs Population-based screening
Hospital based vs Community based screening
Individual based vs hospital based screening
What are the criteria to take in account for making the decision to choose a screening program?
Important disease, Resource available, Impact on disease outcomes, funding, Cost-effectiveness
Important of disease, resources, impact on disease outcomes, cost-effectiveness, Consequences
Funding, Human resource, sustainability, cost-effectiveness,
Important of disease Important of disease, funding,
Cost-effectiveness, consequence Cost-effectiveness, resources, impact, funding, sustanability
What is sensitivity of a test?
The probability to have cancer following a positive test result. Proportion of positive test results which are TRUE POSITIVE
Ability of the test to identify negative results. Proportion of negatives which are correctly identified
The probability and ability of the test to identify negative results.
The probability to be healthy following a negative test result. Proportion of negative test results which are TRUE NEGATIVE
Ability of the test to identify positive results. Proportion of actual positives which are correctly identified as such
What is specificity of a test?
The probability to have cancer following a positive test result. Proportion of positive test results which are TRUE POSITIVE
Ability of the test to identify negative results. Proportion of negatives which are correctly identified
The probability and ability of the test to identify negative results.
The probability to be healthy following a negative test result. Proportion of negative test results which are TRUE NEGATIVE
Ability of the test to identify positive results. Proportion of actual positives which are correctly identified as such
What is Positive predictive value?
The probability to have cancer following a positive test result. Proportion of positive test results which are TRUE POSITIVE
Ability of the test to identify negative results. Proportion of negatives which are correctly identified
The probability and ability of the test to identify negative results.
The probability to be healthy following a negative test result. Proportion of negative test results which are TRUE NEGATIVE
Ability of the test to identify positive results. Proportion of actual positives which are correctly identified as such
What is Negative predictive value?
The probability to have cancer following a positive test result. Proportion of positive test results which are TRUE POSITIVE
Ability of the test to identify negative results. Proportion of negatives which are correctly identified
The probability and ability of the test to identify negative results.
The probability to be healthy following a negative test result. Proportion of negative test results which are TRUE NEGATIVE
Ability of the test to identify positive results. Proportion of actual positives which are correctly identified as such
What is a best answer regarding primary and secondary prevention of Cervical cancer?
Vaccination of bivalent HPV can prevent cervical cancer up to 80%
It is alternative to do a screening test after Vaccination
Women up to 35 years old is systematically recommended to do screening test
Screening can be done 5 years if negative on PAP smear
Vaccination is also mandatory for married women
What is a best answer regarding primary and secondary Hepato-Cellular Carcinoma?
Hepatic ultrasound is the best method to detect early HCC disease
Currently, there is a national program (Cambodia) for primary prevention on HCC, it is the vaccination of hepatitis (B)
The best choice for public early detection of HCC (secondary prevention) is to have a hepatic MRI with contrast
Detection of Alpha-foeto-protein cancer be an effective way to find HCC at early stage
Alpha-Foeto-protein and hepatic ultrasound must be done every month for cirrhotic patients
What is the best answer regarding primary and secondary prevention of colon cancers?
The effective method to reduce colon cancer is to have an effective primary prevention by suppressing risk factors
Colonoscopy can reduce incidence of colorectal cancer up to 60%
FOBT can reduce incidence of colorectal cancer up to 50%
FOBT can reduce mortality rate of colorectal cancer up to 30%
Colonoscopy can reduce mortality rate of colorectal cancer up to 60%
What is the best answer regarding primary and secondary prevention of lung cancer?
PET Scan is the best public screening test for early detection of lung cancer
Chest-X ray could be the best choice for early detection of lung cancer
Public health measure to reduce the consumption of tobacco would be feasible to reduce lung cancer incidence
The only best way to detect lung cancer at early stage is to have a health check-up with bronchoscopy
At least Thoracic high sensitivity CAT Scan will help to reduce lung cancer incidence
Le jeune homme B, 15 ans, sans antécédent particulier, vient à la consultation de néphrologie pour syndrome œdémateux. Il apporte avec lui des examens suivants : urée = 0.40g/L, créatinine = 85μmol/L, albuminémie = 18g/L. Vous pensez à un syndrome néphrotique idiopathique. Quel est l’examen complémentaire pour confirmer le diagnostic ?
Uroculture (ECBU)
Bandelette urinaire
Protéinurie des 24 heures
Electrophorèse des protéines urinaires
Electrophorèse des protéines plasmatiques
Monsieur M, âgé de 50 ans est venu voir un médecin de ville pour un bilan de santé. Le médecin a trouvé une protéinurie des 24 heures à quantité néphrotique mais cette protéinurie est négative en bandelette urinaire. Le patient est donc adressé à la consultation de néphrologie. Devant ce contexte, quel est le diagnostic le plus probable ?
Néphropathie lupique
Nécrose tubulaire aiguë
Néphropathie diabétique
Myélome multiple à chaînes légères
Syndrome néphrotique idiopathique
Mademoiselle S, de 20 ans, sans antécédent particulier sauf diabétique chez les parents, se présente à la consultation pour syndrome œdémateux. Elle apporte quelques résultats biologiques réalisés en ville qui montrent : GB = 6 giga/L, Hb = 125g/L, plaquettes = 115giga/L, urée = 0.45g/L, créatinine = 90μmol/L, albuminémie = 22 g/L, protéinurie = 5 g/24h, pas d’hématurie. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Néphropathie lupique
Glomérulonéphrite aiguë
Néphropathie diabétique
Syndrome néphrotique idiopathique
Maladie de Berger (néphropathie à IgA)
Vous voyez Monsieur D, 25 ans, sans antécédent particulier, en consultation externe pour œdème des paupières et des membres inférieurs. Il apporte des résultats biologiques qui montrent : Na = 140 mmo/l ; K = 4,2 mmol/l ; Créat = 90 μmol/l ; Ca = 1,9 mmol/L (76 mg/L). Pour compléter ce bilan biologique, quel dosage vous semble le plus approprié en 1° intention ?
Dosage de la PTH
Dosage de la TSH
Dosage de la vitamine (D)
Dosage de l’albuminémie
Dosage de la phosphorémie
Monsieur N de 56 ans, hypertendu sous diurétique thiazidique, se présente à la consultation pour un œdème des membres inférieurs. Il apporte un résultat biologique qui montre : - Na = 140 mmo/l ; K = 4 mmol/l ; Créat = 100 μmol/l - Ca = 80 mg/L ; albuminémie = 25 g/L. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Hypercalcémie
Vraie hypocalcémie
Fausse hypocalcémie
Vraie normocalcémie
Fausse normocalcémie
Vous voyez en consultation un homme de 64 ans suivi pour une Insuffisance rénale chronique d’origine diabétique. Le dernier bilan biologique a montré : - Na = 140 mmo/l ; K = 5 mmol/l ; Créat = 500 μmol/l - Ca = 2 mmol/L (80 mg/L) ; albuminémie = 40 g/L. Parmi les traitements ci-dessous, lequel est le plus approprié dans ce contexte en 1° intention ?
Alfacalcidol
Ergocalciférol
Cholécalciférol
Calcium et vitamine (D)
Carbonate de calcium
Vous avez reçu un patient avec un tableau d’insuffisance rénale chronique terminale, mais la calcémie est à 112 mg/L. Parmi les étiologies suivantes, laquelle est la plus probable?
Myélome multiple
Néphroangiosclérose
Néphropathie lupique
Syndrome néphrotique
Néphropathie diabétique
Monsieur D, 65 ans, est adressé aux urgences pour état somnolent. Les examens sanguins montrent : Hb= 95g/L, Na+ = 130mmol/L, K+ = 7.6mmol/L, Cl = 110mmol/L, urée = 1.45g/L, créatinine = 1425μmol/L, Bicarbonates = 18mmol/L, GB = 9.2giga/L, plaquettes = 280giga/L, CRP = 45mg/L. Pour les urgences suivantes, laquelle nécessite le traitement immédiat ?
Anémie
Hyponatrémie
Hyperkaliémie
Insuffisance rénale
Acidose métabolique
Monsieur K, 65 ans, diabétique, vient vous voir à la consultation pour œdème des membres inférieurs. Les résultats sanguins du même jour montrent : urée = 0.95g/L et créatinine = 260μmol/L. Il y a 6 mois, la créatininémie était à 250μmol/L. Vous décidez de proposer un diurétique en plus des antihypertenseurs. Quel médicament prescrivez-vous ?
Furosémide
Bumétamide
Acétazolamide
Spironolactone
Hydrochlorothiazide
Une jeune femme de 30 ans vous est adressée par un médecin de ville pour nausées et vomissements répétés. On note dans ces antécédents des épisodes d’œdème généralisé il y a 10 ans. Les résultats biologiques montrent : urée = 2,56 g/L, créatinine = 1580 μmol/L et une atrophie des 2 reins avec dédifférenciation cortico-médullaire à l’échographie. Quelles sont les causes les plus probables de cette insuffisance rénale chronique ?
Maladie de Berger
Néphropathie lupique
Syndrome d’Alport
Néphropathie diabétique
Glomérulonéphrite rapidement progressive
 
Quel est le paramètre qui ne correspond pas au tableau biologique d’une insuffisance rénale fonctionnelle ?
Augmentation de l’urée sanguine
Augmentation de la créatininémie
Diminution de la natriurèse
Diminution de la concentration uréique urinaire
Hématocrite augmenté
Une femme de 35 ans sans ATCD médical, a eu une septicémie post-abortum, compliqué d’une insuffisance rénale auguë anurique justifiant le recours à des hémodialyse répétées. 6 semaines plus tard, la diurèse n’a toujours pas repris. Parmis les causes suivantes, quelle est celle qui vous parait expliquer le plus vraisemblablement la persistance de l’insuffisance rénale ?
Néphrocalcinose
Thrombose des veines rénales
Nécrose corticale bilatérale
Obstacle sur les voies urinaires
Aucune des propositions n’est correcte
Parmis les éléments suivants, donnez celui (ceux) qui ne représente(nt) pas une circonstance favorisante à l’apparition d’une hyperkaliémie dans l’insuffisance rénale aiguë :
Hémolyse
Rhabdomyolyse
Hémorragie digestive
Hyperhydratation
Acidose
Lors d’une insuffisance rénale aiguë le risque vital immédiat est lié à l’un des facteurs suivants :
L’hyperuricémie
L’hyperkaliémie
L’élévation de l’urée
La rétention hydrique
L’hypotension artérielle
Les médicaments suivants sont renommés susceptibles de déclancher des insuffisances rénales aiguës dans certaines conditions, sauf un. Lequel ?
Amphotéricine .B
Aminosides
Glafénine
Produit de Contraste Iodée
Insuline
Parmis les mécanismes de l’insuffisance rénale aiguë, Les affirmations suivantes sont exactes, sauf un, lequel ?
La résistance artériolaire efférente diminue
La résistance artériolaire afférente augmente
Gradient de pression entre les tubules et les capillaires glomérulaires
Diminution du débit sanguin renal
Augmentation de pression dans la chambre urinaire
Le mécanisme de l’adaptation apparait au cours de l’insuffisance rénale aiguë fonctionnelle :
Vasoconstriction pré-glomérulaire, inhibition de la réabsorption de a et d’eau au niveau tubulaire.
Vasoconstriction post-glomérulaire, réabsorption de a et d’eau au niveau tubulaire.
Vasodilatation pré et post-glomérulaire, réabsorption de Potassium et d’eau au niveau tubulaire.
Vasoconstriction pré-glomérulaire, réabsorption de a et d’eau au niveau tubulaire.
Vasoconstriction post-glomérulaire, réabsorption de phosphate et de la créatinine au niveau tubulaire.
. Chez un malade attaint d’insuffisance rénale chronique, on observe souvent une tendance hémorragique anormale. Parmi les examens suivants, lequel est habituellement perturbé ?
Numération des plaquettes
Fibrinogène
Temps de saignement
Temps de Quick
Temps de céphaline activé
La qualité minimum de protéine nécessaire pour maintenir une balance azotée chez les malades en insuffisance rénale chronique est :
0,5g/kg de poids
1g/kg de poids
2,25g/kg de poids
3g/kg de poids
4g/kg de poids
L’anémie de l’insuffisance rénale chronique présante les caractéristiques suivantes, sauf une, laquelle :
Liée à un déficit en érythropoiétine
Normochrome
Peu régénérative
Parfaitement corrigée par l’épuration extra rénale
Demie vie des GRs diminuée
Un homme de 55 ans est en hémodialyse depuis 5 ans pour insuffisance rénale terminale causée par une HTA. Il est actuellement asymptomatique et anurique. Une échographie rénale révèle des kystes simples au niveau du rein gauche, aucune anomalie rénale n’est visible à droite.Conduite à tenir :
Néphrectomie du rein gauche
Artériographie avec embolisation de l’artère rénale gauche
Scanner abdominale
Echographie de controle dans 1 an
Angiographie par voie veineuse
Parmi les diurétiques suivants, quell est celui qui n’est pas contre-indiqué en cas d’insuffisance rénale ?
Spironolactone
Diurétique thiazidique
Furosémide
Diurétique épagneurs de potassium
Association de diurétique thiazidique et épagneurs de potassium.
Dans la maladie rénale chronique, l’argument qu’on doit penser à l’origine glomérulaire :
Contexte de maladie générale, présance de proteinuriae > 3g/ hématurie et HTA
Contexte de maladie générale, absance de proteinurie/ hématurie et HTA
Contexte de maladie générale, présance de proteinurie/ hématurie mais pas d’HTA
Contexte de maladie infectieuse, présance de proteinuria > 3g/ hématurie et HTA
Contexte de maladie générale, présance de proteinuria < 3g/ hématurie et HTA
Les moyens thérapeutiques pour ralentir la progression de l’insuffisance rénale chronique :
Bon contrôle de PA < 13/8cmHg et proteinuria < 0,5g/j, restriction protidique (1   2g/kg/j)
Bon contrôle de PA < 13/8 cmHg et protéinurie < 1,5g/j , restriction protidique (0,8   1g/kg/j)
Bon contrôle de PA < 13/8cmHg et protéinurie < 1g/j , restriction protidique (1g   1,5g/kg/j)
Bon contrôle de PA < 13/8 cmHg et proteinuria > 1 g/j , restriction protidique (0,8 à 1g/kg/j)
Bon contrôle de PA < 13/8 cmHg et protéinurie < 0,5g/j , restriction protidique (0,8   1g/kg/j)
une néphropathie interstitielle chronique si l’on constate : Devant une insuffisance rénale chronique de cause inconnue, on peut évoquer à son origine
Protéinurie > 5g/24h
Une leucocyturie à 50 000/ml à une protéinurie de 0,3g/24h
Une hématurie de l’ordre de 100 000/ml associée à une protéinurie de 1g/24h
Un syndrome néphrotique
Présance d’auto anticorp anti MBG
 
La dialyse péritonéale est une dialyse
Discontinue avec un cathétère péritoneal, poches plastiques souples de 2 ou 3 litres contenant un dialysat riche en glucose et bonne système de connection.
Continue avec un cathétère péritoneal, poches plastiques souples de 2 ou 3 litres contenant un dialysat riche en glucose et bonne système de connection.
Continue avec un catheter fémoral, poches plastiques souples de 2 ou 3 litres contenant un dialysat riche en glucose et bonne système de connection.
Discontinue avec un cathétère péritoneal, poches plastiques souples de 4 ou 5 litres contenant un dialysat riche en glucose et bonne système de connection.
Continue avec un cathétère péritoneal, poches plastiques souples de 2 ou 3 litres contenant un dialysat riche en sodium et bonne système de connection.
Combien y-a-t-il d’échanges de dyalisat par jour au cours de la DPCA (dialyse péritonéale continue ambulatoire) ?
1à2
2à3
3à4
4à5
5à6
Un phénomène d’ultrafiltration au cours de l’hémodialyse :
Phénomène actif permettant le passage d’eau et des solutés à travers de la membrane, grâce au gradient de pression
Phénomène passif permettant le passage d’eau et des solutés à travers de la membrane, grâce au gradient de pression
Phénomène actif permettant le passage d’eau et des solutés à travers de la membrane, grâce au gradient de concentration
Phénomène passif permettant le passage d’eau et des solvants à travers de la membrane, grâce au gradient de concentration
Phénomène passif permettant le passage des substances du compartiment plus concentré vers le compartiment moins concentré, grâce au gradient de concentration
les Incidents-accidents en hémodialyse, sauf un, lequel ?
Choc anaphylatique
Syndrome de déséquilibre
Nausées, vomissements , crampe musculaire
Problèmes cardiaques
Cécité complete
Qu’est-ce qu’une fistule artério-veineuse ?
Anastomose vasculaire sous cutané entre l’artère et l’artère
Anastomose vasculaire sous cutané entre la veine et l’artère
Anastomose vasculaire sous cutané entre la veine et la veine
Anastomose vasculaire sous cutané entre la veine et les capillaires
Anastomose vasculaire entre l’artère et les capillaires
Which of the following confirmed values meet the diagnostic threshold for diabetes?
Fasting blood glucose equal to or greater than 140mg/dl
Random glucose greater than 160 mg/dl
2 hour post prandial glucose greater than or equal to 126 mg/dl
Fasting blood glucose equal to or greater than 126mg/dl.
Of the following, who is at greatest risk for type 1 diabetes
Someone with family members who have celiac and thyroid disease.
Someone with family members who have type 2 diabetes.
Someone who is overweight and smokes cigarettes.
Someone who has a history of severe and chronic hypoglycemia.
Which of the following best describes type 1 diabetes?
Insulin resistance secondary to obesity
Hyperglycemia that can be treated with pills or insulin
Auto-immune disease that attacks the beta cells of the pancreas
A disease that is more common in children who drink cows milk
Circle the statement that reflects the action of insulin.
Enhances lipogenesis
Inhibits glycogenolysis
Promotes protein synthesis
All of the above
Tight glucose control reduces the risk of diabetes related complications. Circle the blood glucose targets as outlined by the American Diabetes Association.
Before meal glucose 80mg/dl - 120mg/dl, post prandial glucose 100mg/dl - 140mg/dl
Glucose between 70mg/dl - 150mg/dl, A1c less than 6.5%
Before meal glucose 70mg/dl - 130mg/dl, 1-2 hours after a meal, < 180mg/dl, A1c < 7%
Fasting glucose < 126mg/dl, random < 200mg/dl
TR is taking 15 units of glargine at bedtime and 4 units of humalog before each meal. TR is experiencing at least one episode of hypoglycemia a day, usually between meals. TR checks glucose levels before each meal. Pre meal glucose levels are 110mg/dl on average. What initial change in self- management would you recommend?
Decrease the glargine dose by 2 units
Decrease the humalog by 1 unit each meal
Ask TR to monitor 2 hour post-prandial glucose levels
Ask TR to increase carbohydrate intake by 15 gms at each meal
Diabetes Ketoacidosis (DKA) is a dangerous condition for people with diabetes. Which of the following statements is NOT accurate?
Sub-Q insulin should be given 4 hours after the intravenous insulin infusion is discontinued.
The two most important things the patient needs are fluid and insulin
DKA is often precipitated by illness or infection.
People with type 1 diabetes are more likely to go into DKA
KL is a 24 year old admitted in DKA. Which of the following insulins may be used intravenously to treat his hyperglycemia?
Regular
Lantus
NPH
A basal bolus combination
Which of the following is a risk factor for HHNS (hyperglycemic, hyperosmolar nonketotic syndrome) in persons with type 2 diabetes.
Stress
Viral infection
Occasional alcohol intake
Over insulinization
During a diabetes education session, you notice the patient is beginning to sweat and get shaky. She uses her meter to test her blood glucose and it is 58. The patient tells you she has a box of raisins in her purse. What is the best action?
Advise the patient to eat about 2 tablespoons of her raisins
Leave the room to get 3 glucose tablets
Call the doctor for orders
Give a glucagon injection
According to the Diabetes Control and Complications Trial (DCCT), patients with intensive diabetes management had a significant reduction in:
Retinopathy progression only
All three microvascular complications of diabetes
Macrovascular complications
Macrovascular and microvascular complications
The main feature of proliferative retinopathy is: [Multiple Choice ]
Proliferation of cotton wool spots.
Venous beading
Thickening of the retina
Growth of new blood vessels
Risk factor reduction prevents complications. Which of the following actions will reduce microvascular disease?
Increasing fiber intake
Taking a daily aspirin
Controlling hypertension
Stress management
Which of the following is an example of a peripheral sensory polyneuropathy:
Intermittent claudication
"stocking glove" loss of protective sensation
Loss of the fat pad below the metatarsal head
Gustatory sweating
Of the following, which risk factor is most predictive for future foot ulcers?
Loss of protective sensation
Smoking
Insulin treatment
History of previous foot ulceration or amputation
Which of the following is a correct retinopathy screening guideline according to the American Diabetes Association?
For both Type 1 and Type 2 diabetes, a dilated eye exam should be done upon diagnosis.
Eye examinations must be provided in-person by an experienced Ophthalmologist or Optometrist.
Laser photocoagulation should be provided to patients with nonproliferative retinopathy.
Patients with new onset type 2 diabetes require a dilated eye exam upon diagnosis.
Which of the following is a true statement about microvascular disease? [MultipleChoice ]
Erectile dysfunction is an indicator of nephropathy,
Cigarette smoking increases risk of nephropathy.
Alchohol consumption decreases neuropathic pain.
Proteinuria is an early indicator of retinopathy.
Which of the following findings may occur when a person with diabetes has a severe infection?
Hypoglycemia
Hyperglycemia
Decreased insulin requirements
Somogyi effect
Diabetic nephropathy is a clinical syndrome characterized by the following?
Persistent albuminuria (>300 mg/d or >200 μg/min) that is confirmed on at least 2 occasions 3-6months apart
Progressive decline in the glomerular filtration rate (GFR)
Elevated arterial blood pressure
All of the about
Une patiente de 53 ans est hospitalisé pour le bilan d’une perdre du poids (anorexie, amaigrissement de 3 kg en 4 semaines, asthénie). Quel signe clinique est plus un argument pour une hyperthyroïdie?
Palpitation à 120/mn
Tremblement des extrémités
Hypertension
Angoisse
Asthénie
Quel facteur aggravant l’orbithopathie dysthyroïdienne devez vous rechercher?
Tabagism sevré
Régime sans iode
Alcoolism actif
Tabagism actif
Alcoolism sevré
Quel bilan hormonal vous prescrivez dans le premier plan pour confirmer l’hyperthyroïdie?
TSH, T3L
TSH, T3L, T4L
T4L, T3L
THS, T4L
T4L
Quel examen paraclinique prescrivez-vous à visée étiologique de l’hyperthyroïdie dans le premier plan?
TDM du cou
Echographie de la thyroid
Echocardiographie
IRM du cou
Scintigraphie
Quel est l’examen biologique pour confirmer le diagnostic de la maladie de Basedow?
Ac-anti thyroglobuline
Ac-anti TPO
Thyroglubuline
Ac-anti récepteur de la TSH
Calcitonine
Jours après vous commencez le traitement par PTU votre patiente présente de la fièvre et douleur de la gorge. Quelle est votre mesure à prendre?
Hg urgence
TSH urgence
T4L urgence
TSH, T3L, T4L urgence
Procalcitonine urgence
Quelle est le bilan pré-thérapeutique (ATS) à faire chez les femmes ayant une hyperthyroïdie?
BHCG
Hg
Fonction rénal
Procalcitonine
Calcitonine
Les sigines et symptômes si-dessous ce sont des caractères d’une exopthalmie maligne sauf un le quel?
Exopthalmie > 25mm, irréductible, douloureuse
Inocclusion palpébrale (infiltration oedémateuse)
Exopthalmie < 25mm, réductible, non douloureuse
Atteinte neuropathique: diplopie
Atteinte inflammatoire: kératite
Quel est, parmi les éléments de l’anamnèse celui qui n’est pas lié à un risque de dénutrition ?
Les conditions sociales (vit seul)
L’antécédent de gastrectomie
Contexte dépression mentale
Le trouble de la déglutition
Le sexe masculin ou féminin
Parmi les élément de dénutrition suivants, lequel n’est pas juste ?
Déséquilibre entre les apports et les besoins
Altération de composition corporelle
Altération de fonction physiologique
État d’agression augmente les besoins
État d’agression diminue les besoins
Lequel n’est pas un élément clinique en faveur du diagnostic de dénutrition présentant chez un patient adulte jeune ?
Indice de masse corporelle inférieur à 18,5
L’amyotrophie des quatre membres
La diminution des capacités fonctionnelles
La perte de poids récente ≥ 5% en 6 mois
La perte de poids récente ≥ 10% en 6 mois
Concernant l’index de masse corporelle, lequel est un élément clinique en faveur du diagnostic de dénutrition modérée présentant chez un patient âgé ≥ 70 ans?
IMC ≤ 18,5
IMC ≤ 21
IMC ≤ 18
Albumine < 20g/l
Albumine < 30g/l
Les propositions suivantes sont les indices anthropométriques dans le diagnostic dénutrition, sauf :
Périmètre brachiale
Indice de masse corporelle
Pli cutané rétro-tricipital
Mesure talon-genou
Mesure tour de la hanche
Les propositions suivantes sont les indices anthropométriques de la dénutrition, laquelle est pour mesurer la masse maigre :
Périmètre brachiale
Indice de masse corporelle
Pli cutané rétro-tricipital
Mesure talon-genou
Mesure tour de la hanche
Les propositions suivantes sont les indices anthropométriques de la dénutrition, laquelle est pour mesurer la masse grasse :
Périmètre brachiale
Indice de masse corporelle
Pli cutané rétro-tricipital
Mesure talon-genou
Mesure tour de la hanche
Les propositions suivantes sont les indices anthropométriques de la dénutrition, laquelle est pour mesurer la masse grasse :
Périmètre brachiale
Indice de masse corporelle
Pli cutané rétro-tricipital
Mesure talon-genou
Mesure tour de la hanche
Parmi les propositions suivantes concernant la gravité de la dénutrition chez le sujet âgé, laquelle n’est pas juste ?
Augmente le risque d’infection
Augmente le risque de décès
Augmente la durée d’hospitalisation
Est un facteur pronostic dépendant
Est un facteur pronostic indépendant
Face à l’aggression ( Stress, traumatisme, chirurgie, infection sévère), la réponse de notre organisme donne?
Augmente la métabolisme de bas
Augmente la dépense énergétique de repos
Hyperproduction des protéines inflammatoires
Augmente la production hépatique de l’albumine
Diminue la production hépatique de l’albumine
Dans l’état aggression ( Stress, traumatisme, chirurgie, infection sévère), une des hormones suivantes n’est pas augmentée, laquelle?
Le glucagon
Le cortisol
L’adrénaline
La thyroxine
La catécholamine
Parmi les propositions suivantes concernant l'albumine, une seule est fausse. Laquelle?
Est normalement présente dans le plasma à un taux plus élevé que celui de l'ensemble de toutes les autres protéines
Est bio-synthétisée dans le foie
Est le meilleur marqueur de la dénutrition aiguë
Son taux plasmatique abaissé favorise la constitution de l'ascite chronique
Constitue un bon marqueur de la dénutrition
Lequel est un élément biologique en faveur du diagnostic de dénutrition
Albuminémie < 30g/l
Transthyrétinémie > 300 mg/l
LDL - cholestérol augmenté
Proteine (C) réactive est élevée
Transferrinémie augmentée
Lequel n’est pas un élément biologique nécessaire dans la condition de risque de dénutrition?
Sérum albumine
Sérum préalbumine
Sérum cholestérol
Les leucocytes
Les lymphocytes
Au stade d’insuffisance rénale terminale (patient dialysé): une réponse juste
L’état nutritionnel n’a aucune influence sur le pronostic
La dénutrition majore le risque de mortalité
L’obésité est un facteur péjoratif qui aggrave le pronostic
La perte de poids améliore le pronostic
La prise de poids aggrave le pronostic
Parmi les propositions suivantes concernant les compléments nutritionnels oraux (CNO), laquelle n ‘est pas juste ?
Au moins 2fois / j et 2h avant les repas
Ne remplace pas les aliments normaux
Peut remplacer les aliments normaux
Peut être mélangé aux aliments
Les goûts sont sucrés ou salés
Vous préconiser une nutrition parentérale car :
L’utilisation de la voie digestive est impossible en raison de l’ ATCD de gastrectomie
La nutrition parentérale entraine moins de risque de complication infectieuse que la nutrition entérale
La nutrition parentérale entraine moins de risque d’hyperglycémie que la nutrition entérale
La nutrition parentérale est moins couteuse que la nutrition entérale
Toutes ces propositions sont fausses
L'obésité grade I chez un adulte jeune est défini par:
Un IMC > 25 kg/m2
Un IMC > 30 kg/m2
Un IMC > 35 kg/ m2
Un IMC > 40 kg/m2
Un IMC > 23 kg/m2
Les elements suivants sont à déterminer le risque de dénutrition, sauf:
La perte d’appétit
La perte de gout
Le stress psychologique
La perte de poids
L’index de masse corporelle
On préfère la nutrition entérale par rapport à la nutrition parentérale car: Une seule est fausse :
Elle est plus simple et moins coûteuse
Elle a un effet trophique sur muqueuse intestinale
Elle est demandée par les patients hôpitalisés
Elle a moins de complications métaboliques
Elle est indiquée dans le digestif fonctionnel
On préfère la nutrition parentérale par rapport à la nutrition entérale car: Une seule est fausse
Le patient a eu une gastrectomie partielle
Le patient a une malabsorption intestinale
Le patient a une perforation intestinale
Le patient a une occlusion intestinale
Le patient a un vomissement incohersible
Un patient de 53 ans est hospitalisé pour le bilan d’une baisse de l’état général (anorexie, amaigrissement de 3 kg en 2 semaines, asthénie), diarrhées et vomissements depuis 2 semaines. Vous évoquez 2 diagnostics différenties : une gastro-entérite par intoxication alimentaire et une insuffisance surrénalienne aiguë (ISA). Quel signe clinique est plus un argument pour une ISA ?
Diarrhées glairo-sanglantes
Hypotension
Mélanodermie
Douleurs abdominales
Fièvre à 38(°C)
Vous suspectez une ISA chez une patiente de 45 ans, avec pour facteur déclenchant possible une infection urinaire. Parmi les critères suivants, lequel est un critère de gravité immédiate ?
FC > 90 / min
T > 38(°C)
FR > 20 / min
Diurèse < 50 ml/kg/min
Confusion
Madame F, 33 ans a été amenée par sa famille pour un malaise il y a 1 heure, sans perte de conscience. Elle se plaignait d’asthénie, anorexie et vomissements depuis 3 semaines. A l’examen clinique : PA = 85/60 mmHg, FC= 100/min, T=37,9°C ; confusion. Abdomen sensible de façon diffuse mais particulièrement en fosse iliaque droite. Vous évoquez une ISA. Parmi les diagnostics ci-dessous, quel diagnostic différentiel évoquez-vous en urgence ?
Choc septique secondaire à une appendicite compliquée
Choc hémorragique secondaire à une grossesse extra-utérine
Choc cardiogénique secondaire à une embolie pulmonaire
Choc hypovolémique secondaire à une insuffisance rénale aiguë
Choc anaphylactique secondaire à une allergie médicamenteuse
Le diagnostic étiologique d’une hyponatrémie nécessite d’évaluer l’état d’hydratation extra- cellullaire et un ionogramme urinaire. Concernant cet examen, indiquez la proposition exacte.
Nécessite une diurèse des 24h
Difficile à réaliser car il faut une sonde urinaire
Oriente vers une insuffisance surrénale si natriurèse >20 mmol/l
Oriente vers une insuffisance surrénale si natriurèse < 20 mmol/l
Après injection de furosémide pour relancer la diurèse si oligurie
Concernant le traitement hormonal en urgence, indiquez les propositions exactes
Hémisuccinate d’hydrocortisone 200 mg IV, 1 fois / 24h
Hémisuccinate d’hydrocortisone 50 mg IV, 4 fois / 24h
Hémisuccinate d’hydrocortisone la voie PO est possible si pas de voie IV
Hémisuccinate d’hydrocortisone à débuter dès la confirmation diagnostique
Hémisuccinate d’hydrocortisone remplacé par Fludrocortisone si indisponible
Parmi les cas de découverte récente chez les Cambodgiens de souche, quelle est la cause la plus fréquente d'insuffisance surrénale lente ?
Rétraction corticale
Métastases d'un cancer pulmonaire
Tuberculose
Déficit enzymatique
Accident des anticoagulants
Parmi les thérapeutiques ci-dessous, laquelle est dangereuse en présence d'une insuffisance surrénale primitive ?
Pénicilline
Hydrocortisone
Potassium
Régime normosodé
9 alpha Fluorohydrocortisone
Quelle est la condition qui permet de porter avec certitude le diagnostic de maladie d'Addison ?
La cortisolémie est inférieure à 5 microgrammes pour 100 ml
L'hypotension, l'hyponatrémie et l'hyperkaliémie sont présentes
Le taux de 17 OH urinaires est inférieur à 2 mg/24h et ne s'élève pas après stimulation par le synacthène
Le taux des 17 OH urinaires est inférieur à 2 mg/24h et ne s'élève pas
Le taux d'ACTH plasmatique est normal
Une malade de 42 ans est traitée depuis 5 ans pour une authentique insuffisance surrénale chronique. Elle reste fatiguée et hypertendue. Une erreur importante dans la prescription de son traitement précisé ci-dessous est probablement responsable de ce mauvais résultat :
Hydrocortisone 10 mg : un comprimé le matin, à midi et le soir
Flurocortisone 50 mg : un comprimé le matin
Vitamine (C) 50 mg : un comprimé le matin et à midi
Traitement à maintenir en permanence, doses à tripler en cas d'épisode infectieux intercurrent
Maintien d'une alimentation très peu salée en raison de la corticothérapie
Vous explorez une maladie d'Addison d'origine tuberculeuse. Parmi les propositions suivantes, concernant l'exploration hypophyso-surrénale, quelle est celle ou quelles sont celles qui est (sont) exacte(s) ?
Il existe des calcifications au niveau des cortico-surrénales
Le taux d'ACTH plasmatique est bas
Le test de stimulation par le synacthène est positif
L'activité rénine plasmatique (ARP) est base
Il existe une hypokaliémie en période de décompensation
Mme B, 63 ans, est amenée aux urgences par son mari pour confusion. Dans ses antécédents, on note une hypothyroïdie substituée, un diabète insulino-requérant équilibré. Son mari vous précise que depuis 3 semaines, elle est beaucoup plus fatiguée, et elle a perdu du poids. Ce qui les amène ce jour, c’est que Mme B ne sait plus ni où elle est, ni la date du jour. A cela s’ajoutent des vomissements et des douleurs abdominales diffuses. A l’examen clinique : PA= 95/53 mmHg, FC= 97/mn, To =38o 2. Elle tient des propos confus. Vous êtes frappé par la couleur foncée de sa peau. Elle présente de francs signes de déshydratation intra et extra cellulaire. L’examen abdominal révèle une sensibilité diffuse, mais pas de défense ni de contracture. L’examen cutané retrouve un vitiligo. Le reste de l’examen est sans particularité. Quelle est votre hypothèse diagnostique :
Insuffisance surrénalienne aiguë centrale
Insuffisance surrénalienne aiguë périphérique
Péritonite
Sepsis sévère
Lupus érythémateux disséminé en poussée
Mme B, 63 ans, est amenée aux urgences par son mari pour confusion. Dans ses antécédents, on note une hypothyroïdie substituée, un diabète insulino-requérant équilibré. Son mari vous précise que depuis 3 semaines, elle est beaucoup plus fatiguée, et elle a perdu du poids. Ce qui les amène ce jour, c’est que Mme B ne sait plus ni où elle est, ni la date du jour. A cela s’ajoutent des vomissements et des douleurs abdominales diffuses. A l’examen clinique : PA= 95/53 mmHg, FC= 97/mn, To =38o 2. Elle tient des propos confus. Vous êtes frappé par la couleur foncée de sa peau. Elle présente de francs signes de déshydratation intra et extra cellulaire. L’examen abdominal révèle une sensibilité diffuse, mais pas de défense ni de contracture. L’examen cutané retrouve un vitiligo. Le reste de l’examen est sans particularité. Que signifie la mélanodermie?
Excès de TRH
Excès de TSH
Déshydratation extracellulaire
Exposition solaire prolongée
Excès d’ACTH
Mme B, 63 ans, est amenée aux urgences par son mari pour confusion. Dans ses antécédents, on note une hypothyroïdie substituée, un diabète insulino-requérant équilibré. Son mari vous précise que depuis 3 semaines, elle est beaucoup plus fatiguée, et elle a perdu du poids. Ce qui les amène ce jour, c’est que Mme B ne sait plus ni où elle est, ni la date du jour. A cela s’ajoutent des vomissements et des douleurs abdominales diffuses. A l’examen clinique : PA= 95/53 mmHg, FC= 97/mn, To =38o 2. Elle tient des propos confus. Vous êtes frappé par la couleur foncée de sa peau. Elle présente de francs signes de déshydratation intra et extra cellulaire. L’examen abdominal révèle une sensibilité diffuse, mais pas de défense ni de contracture. L’examen cutané retrouve un vitiligo. Le reste de l’examen est sans particularité. Quels trouble ionique vous attendez-vous à retrouver ?
Hypokaliémie
Hypermagnésémie
Hyponatrémie
Hypernatrémie
Riens
Mme B, 63 ans, est amenée aux urgences par son mari pour confusion. Dans ses antécédents, on note une hypothyroïdie substituée, un diabète insulino-requérant équilibré. Son mari vous précise que depuis 3 semaines, elle est beaucoup plus fatiguée, et elle a perdu du poids. Ce qui les amène ce jour, c’est que Mme B ne sait plus ni où elle est, ni la date du jour. A cela s’ajoutent des vomissements et des douleurs abdominales diffuses. A l’examen clinique : PA= 95/53 mmHg, FC= 97/mn, To =38o 2. Elle tient des propos confus. Vous êtes frappé par la couleur foncée de sa peau. Elle présente de francs signes de déshydratation intra et extra cellulaire. L’examen abdominal révèle une sensibilité diffuse, mais pas de défense ni de contracture. L’examen cutané retrouve un vitiligo. Le reste de l’examen est sans particularité. Quel sera votre bilan étiologique en urgence :Mme B, 63 ans, est amenée aux urgences par son mari pour confusion. Dans ses antécédents, on note une hypothyroïdie substituée, un diabète insulino-requérant équilibré. Son mari vous précise que depuis 3 semaines, elle est beaucoup plus fatiguée, et elle a perdu du poids. Ce qui les amène ce jour, c’est que Mme B ne sait plus ni où elle est, ni la date du jour. A cela s’ajoutent des vomissements et des douleurs abdominales diffuses. A l’examen clinique : PA= 95/53 mmHg, FC= 97/mn, To =38o 2. Elle tient des propos confus. Vous êtes frappé par la couleur foncée de sa peau. Elle présente de francs signes de déshydratation intra et extra cellulaire. L’examen abdominal révèle une sensibilité diffuse, mais pas de défense ni de contracture. L’examen cutané retrouve un vitiligo. Le reste de l’examen est sans particularité. Quel sera votre bilan étiologique en urgence :
Test au synacthène
Dosage cortisol et ACTH
Dosage cortisol et TSH
Dosage aldostérone
Dosage rénine
Mme B, 63 ans, est amenée aux urgences par son mari pour confusion. Dans ses antécédents, on note une hypothyroïdie substituée, un diabète insulino-requérant équilibré. Son mari vous précise que depuis 3 semaines, elle est beaucoup plus fatiguée, et elle a perdu du poids. Ce qui les amène ce jour, c’est que Mme B ne sait plus ni où elle est, ni la date du jour. A cela s’ajoutent des vomissements et des douleurs abdominales diffuses. A l’examen clinique : PA= 95/53 mmHg, FC= 97/mn, To =38o 2. Elle tient des propos confus. Vous êtes frappé par la couleur foncée de sa peau. Elle présente de francs signes de déshydratation intra et extra cellulaire. L’examen abdominal révèle une sensibilité diffuse, mais pas de défense ni de contracture. L’examen cutané retrouve un vitiligo. Le reste de l’examen est sans particularité. Quelle est la principale étiologie ?
Hémorragie surrénalienne
Tuberculose surrénalienne et atteinte auto-immune
Thrombose surrénalienne
Bloc 21 alpha hydroxylase
Cancer surrénalienne
Mme B, 63 ans, est amenée aux urgences par son mari pour confusion. Dans ses antécédents, on note une hypothyroïdie substituée, un diabète insulino-requérant équilibré. Son mari vous précise que depuis 3 semaines, elle est beaucoup plus fatiguée, et elle a perdu du poids. Ce qui les amène ce jour, c’est que Mme B ne sait plus ni où elle est, ni la date du jour. A cela s’ajoutent des vomissements et des douleurs abdominales diffuses. A l’examen clinique : PA= 95/53 mmHg, FC= 97/mn, To =38o 2. Elle tient des propos confus. Vous êtes frappé par la couleur foncée de sa peau. Elle présente de francs signes de déshydratation intra et extra cellulaire. L’examen abdominal révèle une sensibilité diffuse, mais pas de défense ni de contracture. L’examen cutané retrouve un vitiligo. Le reste de l’examen est sans particularité. Quel va être votre traitement en urgence ?
Remplissage vasculaire et glucocorticoïde IVSE
Apport de K+
Insuline glucose
Minéralocorticoïde IVSE
Glucocorticoïde PO
The following statements are about macule, tick the correct answer
Macule is a palpable skin lesion < 5 mm in diameter
Macule is a palpable skin lesion > 5 mm in diameter
Macule represents a change in color of the skin, not raised or depressed compared to the skin surface usually < 10mm in diameter
Macule represents a change in color of the skin, not raised or depressed compared to the skin surface usually > 10mm in diameter
Macule is non-blanchable punctate foci of hemorrhage lesion
2- A 10 months old boy consulted for a hyperpigmented non-palpable skin lesion with 30 mm in diameter on the buttock. What is your appropriate diagnosis? Tick the incorrect answer
Congenital dermal melanocytosis
Congenital nevus
Café- au- lait spot
Speckled lentiginous nevus
Solar lentigo
The following statements are about papule, tick the correct answer:
Papule is an elevated, solid skin lesion usually < 5 mm in diameter
Papule is an elevated, flat topped skin lesion > 10mm in diameter
Papule is an elevated skin lesion containing clear liquid
Papule is an elevated skin lesion containing yellow liquid
Papule is an non- palpable skin lesion
A 45 year-old man with 45kg, consulted for a hypopigmented patches on the body since about 5 years. On physical examination those patches are numbness. He has an enlargement of the ulnar nerve of the right hand. What would be your best diagnosis? Tick the correct answer:
Vitiligo
Post-inflammatory hypopigmentation
Nevus anemicus
Pityriasis versicolor
Leprosy
A 65 year-old lady consulted for a hyperpigmented patch on the left cheek for 4 years. She reported that the skin lesion is changing during the last 6 months, it get darker with different colors, larger. The plaque was asymmetric with irregular border. With a suspicion of lentigo maligna, you would like to perform the following procedures. Which one the most appropriate?
.A curettage for culture .
A curettage for histopathology .
A CO2 Laser- therapy, take the crust for culture and histopathology .
A spindle (part of dark brown and part of light brown) skin biopsy .
An electrodessication and send the burned out tissue to histopathology
A 6 year-old boy brought to you for multiple flesh-colored pimples on the body. The parents reported that those lesion are appeared soon after his first school and it does itch sometimes. On examination the kid has dry skin. Multiple, waxy non-follicular papules and nodules are with central umbilicated. What would be your best diagnosis?
Folliculitis
Furuncle
Furunculosis
Acne
Mollucum contagiosum
A 14 year-old boy which is in the nearby primary school, brought to you for multiple papules and nodule on the centrofacial area since very young age. Parents reported that the kid take regularly medication for his epileptic problem. Examination we found additionally white patch on the body and skin colored papules on the periungual areas. What would be your best diagnosis?
Acne
Folliculitis
Molluscum contagiosum
Tuberous sclerosis
Furuncle
A 24 year-old woman consulted for multiple erythematous lesion on the both legs. This is the 6th times of the same problem she has this year. Those lesions are painful to the touch, infiltrated and hot. You made a diagnosis of erythema nodosum. The following cause you should check. Tick the incorrect answer.
Throat infection
Sarcoidosis
Tuberculosis
Food allergy
Leprosy
Urticaria is a skin disease defined by an eruption with (which answer is correct)
Fixed and not transient papules
Papules and vesicles
Macules and vesicles
Transient papules and oedematous plaques
scales and papules
Psoriasis is a skin disease with (which answer is correct)
Erythema, plaques, scales
Erythema, plaques, crusts
Erythema, vesicles, scales
Erythema, papules, erosions
No erythema, macules and scales
Panniculitis is characterized by (which answer is correct)?
Macules
Papules
Palpable nodules
Ulcerations
Urticae (wheals)
If a young man has a generalized eruption with target lesions on his hands, what would be your best diagnosis (which answer is correct):
Contact dermatitis
Bullous pemphigoid
Urticaria
Erythema multiforme
Pemphigus vulgaris
A 35 year-old man presented with multiple urticarial plaques with strong pruritous. He reported, sometimes he has swelling on the lips and the tongue, Abdominal pain and dyspnea were also reported. You made a diagnosis of urticarial with angioedema. The following medications would be an appropriate treatment, which answer is incorrect?
Systemic steroids
Systemic antihistamines
Topical corticoids
Subcutaneous adrenaline
High dose of systemic antibiotic
A 35 year-old man presented with multiple urticarial plaques with strong pruritous. He reported, sometimes he has swelling on the lips and the tongue, Abdominal pain and dyspnea were also reported. You made a diagnosis of urticarial with angioedema. The following laboratory examinations would be very helpful for you to find out the cause of the urticarial. Which test you would think it doesn’t help you much?
Skin prick test
Thyroid function test and antibody
Specific IgE
Syphilis serology
Stools examinations
A 60 year-old woman consulted for burning lesion on the lower lip since 3 days. The patient was travelling to province which take more than 6 hours. We saw group of vesicle on erythematous base and erosion. What would be your best diagnosis?
Dermatitis herpetiformis
Herpes gestationis
Herpes simplex
Varicella
Zoster
A 7 year-old boy brought to you for skin lesion around the nose and on the ears. Those lesion are started on the ears with itching and small vesicle confluence to plaques. We saw multiple erosions and plaques with honey-yellow crust on perinasal areas. What would be your appropriate diagnosis?
Tinea faciei
Lupus erythematosus
Herpes simplex
Impetigo
Varicella
A 10 year-old boy brought to the Department of pediatricdermatology for high fever, vomiting, weakness (sleeping all the time) and skin rashes since 3 days. We saw purpura and ecchymosis which are with central necrosis and mostly located on the trunk, but axillary area and limbs was also affected. What would be your best diagnosis?
Scorbut
Idiopathic thrombocytopenic purpura
Leukocytoclastic vasculitis
Meningococcemia
Dengue fever
What kind of skin lesion you see in the picture?<br>
 
a
.An erosion .
A fissuration
.An excoriation
.A fistule .
An ulcer
What kind of skin lesion you see in the picture?<br>
 
b
Vesicles
Nodules
Pustules
Papules
Patches
What kind of skin lesion you see in the picture?<br>
 c
Vesicles
Papules
Pustules
Patches
Wheal
What kind of configuration lesion you see in the picture?
 
d
Annular
Reticular
Serpiginous
Dermatoma
Target lesion
What kind of skin lesion you see in the picture?
 f
Telangiectasia
Livedo reticularis
Livedo racemosa
Cutis marmorata
Purpura
What kind of configuration lesion you see in the picture?<br>
 
g
Annular
Reticular
Serpiginous
Dermatoma
Target lesion
What kind of skin lesion you see in the picture?<br>
 
h
Crust
Scale
Scar
Atrophic
Erosion
L’ostéoblaste est une cellule qui assure :
La résorption osseuse
la formation osseuse
la réparation du cartilage
La sécrétion du liquide synovial
l’orientation des travées
Une de ces hormones freine la résorption ostéoplastique. Laquelle :
La PTH
la calcitonine
la thyroxine
la 1-25OH)2 OH-D3
Le cortisol
Une femme de 58 ans, ménopausée depuis près de 10 ans, présente sur l’absorptiométrie au rayon X une densitométrie osseuse de T score -2.5, avec douleur lombaire d’apparition spontanée. Ce symptôme disparait quelque temps après. Sa densitométrie est l’un des cas suivant :
Ostéopénie
Ostéoporose
Ostéoporose préfracturaire
ostéoporose fracturaire
Toutes les réponses sont justes
L’ostéoporose peut survenir chez les sujets exposés à une corticothérapie prolongée. Laquelle de ces réponse est inexacte :
Une dose moyenne à 7.5 mg d’équivalent prednisolone
L’action directe sur les ostéoclastes
L’âge (plus de 65 ans) est un facteur de risque
l’augmentation du risque de fracture
Toutes les réponses sont inexactes
Parmi les éléments du mécanisme des ostéonécroses cortico-induites, lequel n’est pas justifié dans le processus de la perte osseuse.
Elles sont préférentiellement épiphysaires, plus rarement métaphysaires.
Elles surviennent précocement mais sont souvent détectées après plusieurs mois de traitement
La dose cumulée et la dose journalière (> 20 mg/j) les facteurs de risque les plus importants.
Elles prédominent à l’une des têtes fémorales, puis au condyle femoral
L'IRM est l'examen de choix pour détecter les ostéonécroses (de petite taille).
Une femme de 50 ans, récemment ménopausée, n’a jamais bénéficié d’examen gynécologique, vient vous consulter pour son problème osseux. Laquelle de ces propositions vous semble justifiée pour éviter une fragilisation osseuse.
Supplémentation en calcium
Supplémentation en vitamine (D)
Traitement par les biphosphonates
Supplémentation hormonale
Traitement par le raloxifène
Ces résultats biologiques suivants concernent l’hyperparathyroidie primitive, laquelle vous parait le plus convenable.
Hypercalcémie
Hypercalciurie
Hypophosphorémie
Elévation des phophatases alcalines
Toutes les réponses sont exactes
A la différence des autres ostéopathies fragilisantes, le diagnostic de l’ostéomalacie par carence de vitamine D est évoqué devant :
Les douleurs par tassements vertébraux
l’effondrement de la densitométrie osseuse
l’hypertransparence osseuse à la radiographie
Bassin en coeur de carte à jouer
Toutes les réponses sont fausses
Lequel de ces médicaments ne diminue pas le risque de déminéralisation quand vous prescrivez à une femme ostéoporotique.
Anticonvulsivants
Tamoxifène
Estrogènes
Progsérone
Bétamétasone
Parmi ces éléments relevant de la déminéralisation, lequel concerne le plus l’ostéoporose
Les antécédents familiaux
Le terrain : éthylisme, tabagisme
L'âge, le sexe
Les habitudes alimentaires : apports en Ca
La prise de médicaments : biphosphonates, corticoides
Une jeune femme de 23 ans est hospitalisée pour OMI apparus brutalement en 7-8 jours. Elle n’a pas d’antécédents. A l’interrogatoire, vous apprenez qu’elle se plaint depuis 3 mois d’arthralgies des poignets et doigts avec dérouillage matinal d’environ 15 minutes ? Vous notez des ulcérations sur la face interne des joues et des lèvres. PA 140/70 mmHg. Examen cardio-pulmonaire normal. OMI blanc nous non inflammatoires. Le bilan réalisé en ville retrouve : GB 3.1 G/L (30% de neutrophiles, 60% de lymphocytes) ; Hb 9g/dL ; plaquettes 120 G/L. BU : hématurie ++, protéinurie +++, créat 30 mcmol/l ; urée 0.45 g/l ; Quelle est l’hypothèse diagnostique la plus probable ?
Syndrome néphritique compliquant un lupus éythémateux aigu disséminé
Syndrome néphritique compliquant une polyarthrite rhumatoïde
Syndrome néphrotique compliquant un lupus érythémateux aigu disséminé
Syndrome néphritique compliquant un lupus érythémateux aigu disséminé
Syndrome néphrotique compliquant une polyarthrite rhumatoïde
Une jeune femme de 21 ans est hospitalisée pour une douleur du membre inférieur gauche 3 jours après un avortement spontané à 15 semaines d’aménorrhées. L’interrogatoire retrouve un antécédent d’avortement spontané 6 mois avant un épisode de polyarthralgie il y a 1 an traité par antalgiques sans bilan complémentaire. T 37,9o C, PA 130/60 mmHg, Fc 80/min, SpO2 98% en air. L’auscultation cardio-pulmonaire est sans particularités. Mollet gauche inflammatoire et oedématié. Le bilan réalisé avant tout traitement note : GB 3.2 G/L dont 63% de neutrophiles et 37% de lymphocytes ; Hb 11g/dL ; plaquettes 120 G/L, TCA 84 (témoin 32) ; TP 98% . Quelle est l’hypothèse diagnostique la plus probable ?
Thrombophlébite compliquant un avortement spontané
Thrombophlébite compliquant un syndrome des antiphospholipides
Thrombophlébite compliquée d’une embolie pulmonaire
Thrombophlébite compliquant un lupus érythémateux aigu disséminé
Avortement spontané compliqué d’un érysipèle
Une patiente de 62 ans est hospitalisée pour AEG fébrile depuis 3 mois. Depuis 6 mois elle a perdu 10 kg. Vous notez un purpura des 2 membres inférieurs infiltré et un souffle systolique aortique. T 37,9o C, PA 190/90 mmHg, FC 90/min, RR 22/min, SpO2 98% en air. L’auscultation cardio-pulmonaire est sans particularités. Le bilan réalisé avant tout traitement note : VS 72, CRP 150, GB 12,4 G/L dont 80% de neutrophiles; Hb 11g/dL ; plaquettes 180 G/L, Bilan hépatique normal ; crátinine 150 mcmol/l, urée 0,52 g/l ; BU protéine ++, hématies +++ nitrites 0. La radio de thorax est normale. Vous suspectez une polyartérite noueuse mais vous voulez éliminer un diagnostic différentiel en urgence, lequel plus précisément ?
Endocardite infectieuse subaiguë
Glomérulonéphrite paranéoplasique
Myxome de l’oreillette gauche
Embolies de cholestérol
Lupus érythémateux aiguë
Chez cette patiente le diagnostic de PAN est fortement suspecté avec en plus à l’examen neurologique des paresthésies du pied droit suspectes de mononévrite. Le bilan biologique est en faveur d’une hépatite B chronique active. Quel critère de gravité de PAN menace le pronostic vital à court-terme ?
Perte de poids > 4 kg
Mononeuropathie
Hypertension artérielle
Insuffisance rénale aiguë
Hyperéosinophilie
Une jeune femme de 27 ans sans antécédents personnels ni familiaux est hospitalisée pour une fièvre à 38oC intermittente depuis 1 mois, pas d’étiologie retrouvée à l’examen, sans amélioration après une antibiothérapie probabiliste par amoxicilline dans l’hypothèse d’une infection urinaire. Le bilan biologique montre GB 3 G/L avec 50% de neutrophiles et 50% de lymphocytes, Hb 11g/dL ; plaquettes 90 G/L. Quel examen complémentaire vous paraît le plus utile en 1ère intension à ce stade ?
Anticorps anti-VIH en ELISA
Anticorps anti-nucléaires de type ACAN en IFI
Anticorps anti-nucléaires de type ACAN en ELISA
Anticorps anti-DNA natifs en ELISA
Anticorps anti-mycoplasme en ELISA
Une jeune femme de 32 ans aux antécédents personnels de vitiligo, et familial d’Hypothytoidie est hospitalisée pour une fièvre à 38oC intermittente depuis 1 mois, polyarthralgie sas polyarthrite à l’examen. Le bilan biologique montre GB 3 G/L avec 80% de neutrophiles et 20% de lymphocytes, Hb 11g/dL ; plaquettes 90 G/L. Bilirubine toltale 30 dont 20 de libre. Quel examen complémentaire vous paraît le plus utile en 1ère intension à ce stade ?
Anticorps anti-VIH en ELISA
Anticorps anti-nucléaires de type ACAN en IFI
Anticorps anti-nucléaires de type ACAN en ELISA
Anticorps anti-DNA natifs en ELISA
Anticorps anti-mycoplasme en ELISA
Une jeune femme de 37 ans aux antécédents de lupus consulte pour une récidive par éruption cutanée de la face et polyarthrite. Vous examinez son ordonnance ci-dessous. Parmi les classes médicamenteuses et molécules qu’elle prend, quelle est la plus probablement responsable de lupus induit ?
Antiépileptique : cabamazépine
Antihypertenseur : inhibiteur calcique
Contraception : microprogestatif
Antituberculeux : rifampicine
Immunosuppresseur : plaquenil
Un patient de 63 ans est diagnostiqué pour une vascularite giganto-cellulaire de Horton et mis sous corticoïdes à la posologie de 1 mg/kg. Il a des antécédents de diabète non-insulinodépendant depuis 10 ans et de HTA ; il a pour traitement régulier DAONILo et TRIACEFo. A quelle complication aiguë est-il le plus à risque pendant le premier mois de traitement ?
Hyperglycémie
Hypertenstion
Hyperkaliémie
Hypersomnie
hypernatrémie
Vous recevez en consultation de médecine interne Mlle R, 27 ans, venant de la province Preah Vihea. Elle est adressée par son médecin traitant pour suspicion de lupus érythémateux disséminé. Elle a un antécédent de thyroïdite de Hashimoto et une fracture du poignet gauche. Elle n’a pas d’antécédents gynécologiques et n’a pas d’allergie. Elle prend pour traitement LEVOTHYROX 1/jour et une contraception oestro-progestative. Elle ne fume pas et ne boit pas. Elle se plaint de polyarthralgies matinales des poignets et des doigts, une photosensibilité et une toux irritative depuis 3 semaines. L’examen cutané retrouve un érythème malaire typique en ailes de papillon. Pas de signes d’arthrite nets. Matité basale pulmonaire droite et diminution du murmure vésiculaire en bas droite. Auscultation cardiaque normale. T : 37.30 C, PA : 130/60 mmHg, FC : 100/min, FR : 24/min. D’après la classification < < ARA > >, Combien de critères cliniques de lupus retenez-vous ?
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Vous recevez en consultation de médecine interne Mlle R, 27 ans, venant de la province Preah Vihea. Elle est adressée par son médecin traitant pour suspicion de lupus érythémateux disséminé. Elle a un antécédent de thyroïdite de Hashimoto et une fracture du poignet gauche. Elle n’a pas d’antécédents gynécologiques et n’a pas d’allergie. Elle prend pour traitement LEVOTHYROX 1/jour et une contraception oestro-progestative. Elle ne fume pas et ne boit pas. Elle se plaint de polyarthralgies matinales des poignets et des doigts, une photosensibilité et une toux irritative depuis 3 semaines. L’examen cutané retrouve un érythème malaire typique en ailes de papillon. Pas de signes d’arthrite nets. Matité basale pulmonaire droite et diminution du murmure vésiculaire en bas droite. Auscultation cardiaque normale. T : 37.30 C, PA : 130/60 mmHg, FC : 100/min, FR : 24/min. Vous avez prescrit un bilan biologique dont voici les résultats. Hb 11g/dl, GB 3.5G/L dont 80% de PNN ; Plaquettes 450 G/L . Na 142, K 3,5 ; Clore 110 ; Bicarbonates 24 ; Créat 70 mcmol/l ; CRP 10. Bilan hépatique normal. Bilan de coagulation normal. D’après la classification < < ARA > >, Combien de critère(s) biologique(s) de lupus retenez-vous ?
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Vous recevez en consultation de médecine interne Mlle R, 27 ans, venant de la province Preah Vihea. Elle est adressée par son médecin traitant pour suspicion de lupus érythémateux disséminé. Elle a un antécédent de thyroïdite de Hashimoto et une fracture du poignet gauche. Elle n’a pas d’antécédents gynécologiques et n’a pas d’allergie. Elle prend pour traitement LEVOTHYROX 1/jour et une contraception oestro-progestative. Elle ne fume pas et ne boit pas. Elle se plaint de polyarthralgies matinales des poignets et des doigts, une photosensibilité et une toux irritative depuis 3 semaines. L’examen cutané retrouve un érythème malaire typique en ailes de papillon. Pas de signes d’arthrite nets. Matité basale pulmonaire droite et diminution du murmure vésiculaire en bas droite. Auscultation cardiaque normale. T : 37.30 C, PA : 130/60 mmHg, FC : 100/min, FR : 24/min. Quel examen biologique d’auto-immunité le plus spécifique choisissez-vous ?
Anticorps anti nucléaires (ACAN) en IFI
Anticorps anti-DNA natifs
Anticorps anti-cardiolipides
Anticorps anti- Scl-70
Anticorps anti-phospholipides
Vous recevez en consultation de médecine interne Mlle R, 27 ans, venant de la province Preah Vihea. Elle est adressée par son médecin traitant pour suspicion de lupus érythémateux disséminé. Elle a un antécédent de thyroïdite de Hashimoto et une fracture du poignet gauche. Elle n’a pas d’antécédents gynécologiques et n’a pas d’allergie. Elle prend pour traitement LEVOTHYROX 1/jour et une contraception oestro-progestative. Elle ne fume pas et ne boit pas. Elle se plaint de polyarthralgies matinales des poignets et des doigts, une photosensibilité et une toux irritative depuis 3 semaines. L’examen cutané retrouve un érythème malaire typique en ailes de papillon. Pas de signes d’arthrite nets. Matité basale pulmonaire droite et diminution du murmure vésiculaire en bas droite. Auscultation cardiaque normale. T : 37.30 C, PA : 130/60 mmHg, FC : 100/min, FR : 24/min. Quel est le diagnostique étiologique que vous évoquez à l’atteinte pulmonaire ?
Pleurésie lupique
Embolie pulmonaire
Fibrose pulmonaire
Hypertension artérielle pulmonaire
Hémorragie intra-alvéolaire
Vous recevez en consultation de médecine interne Mlle R, 27 ans, venant de la province Preah Vihea. Elle est adressée par son médecin traitant pour suspicion de lupus érythémateux disséminé. Elle a un antécédent de thyroïdite de Hashimoto et une fracture du poignet gauche. Elle n’a pas d’antécédents gynécologiques et n’a pas d’allergie. Elle prend pour traitement LEVOTHYROX 1/jour et une contraception oestro-progestative. Elle ne fume pas et ne boit pas. Elle se plaint de polyarthralgies matinales des poignets et des doigts, une photosensibilité et une toux irritative depuis 3 semaines.L’examen cutané retrouve un érythème malaire typique en ailes de papillon. Pas de signes d’arthrite nets. Matité basale pulmonaire droite et diminution du murmure vésiculaire en bas droite. Auscultation cardiaque normale. T : 37.30 C, PA : 130/60 mmHg, FC : 100/min, FR : 24/min. Le diagnostic de Lupus est affirmé sur les critères de l’ARA, y compris un bilan d’auto-immunité en faveur. Vous allez prescrire un traitement par corticoïdes et Hydroxychloroquine (Plaquenilo). Quel bilan pré-thérapeutique prescrivez-vous ?
Radiographie pulmonaire
Examen fond d’oeil
Fonction rénale
Fonction hépatique
Bilan infectieux
L’état de la patiente s’améliore sous traitement : les douleurs articulaires et le tableau thoracique disparaissent, ce qui vous permet d’arrêter rapidement la corticothérapie. Elle poursuite le Plaquenil régulièrement. Vous la revoyez en urgence 1 an après pour un tableau de douleurs diffuses et frissons depuis 1 semaine, mal calmé par du paracétamol (3g/j). Elle se plaint aussi de dyspnée et d’épistaxis depuis 3 jours. Elle a voyagé toute la nuit depuis son domicile, et quand vous la voyez à Phnom Penh le matin : T : 37,3o C, PA 120/70, FC 120/min régulier, SpO2 98% en air, FR 26/min. Pâleur et subictère. Auscultation cardio-pulmonaire normale. Epistaxis antérieur sans lésion ORL évidente. Examen articulaire sans anomalie. L’examen abdominal retrouve une splénomégalie sans hépatomégalie. Quelle est votre hypothèse diagnostique no1 ?
Anémie hémolytique auto-immune
Purpura thrombopénique auto-immune
Hémorragie Digestive
Accès palustre
CIVD
L’état de la patiente s’améliore sous traitement : les douleurs articulaires et le tableau thoracique disparaissent, ce qui vous permet d’arrêter rapidement la corticothérapie. Elle poursuite le Plaquenil régulièrement. Vous la revoyez en urgence 1 an après pour un tableau de douleurs diffuses et frissons depuis 1 semaine, mal calmé par du paracétamol (3g/j). Elle se plaint aussi de dyspnée et d’épistaxis depuis 3 jours. Elle a voyagé toute la nuit depuis son domicile, et quand vous la voyez à Phnom Penh le matin : T : 37,3o C, PA 120/70, FC 120/min régulier, SpO2 98% en air, FR 26/min. Pâleur et subictère. Auscultation cardio-pulmonaire normale. Epistaxis antérieur sans lésion ORL évidente. Examen articulaire sans anomalie. L’examen abdominal retrouve une splénomégalie sans hépatomégalie. Quel examen biologique réalisez-vous en urgence en faveur de votre hypothèse no1 ?
NFS, réticulocyte, Haptoglobine
Plaquettes
Test Paludisme
Bilan de coagulation : TP, TCA
EPS
L’état de la patiente s’améliore sous traitement : les douleurs articulaires et le tableau thoracique disparaissent, ce qui vous permet d’arrêter rapidement la corticothérapie. Elle poursuite le Plaquenil régulièrement. Vous la revoyez en urgence 1 an après pour un tableau de douleurs diffuses et frissons depuis 1 semaine, mal calmé par du paracétamol (3g/j). Elle se plaint aussi de dyspnée et d’épistaxis depuis 3 jours. Elle a voyagé toute la nuit depuis son domicile, et quand vous la voyez à Phnom Penh le matin : T : 37,3o C, PA 120/70, FC 120/min régulier, SpO2 98% en air, FR 26/min. Pâleur et subictère. Auscultation cardio-pulmonaire normale. Epistaxis antérieur sans lésion ORL évidente. Examen articulaire sans anomalie. L’examen abdominal retrouve une splénomégalie sans hépatomégalie. Quel est le principe votre traitement en urgence ?
Corticothérapie forte dose
Splénectomie
Anti-TNF alpha
Transfusion
Plasma cytaphérèse
Vous prenez en charge un home de 54ans en arrêt cardio-respiratoire. L’ECG du patient est le suivant: Quelle est votre diagnostic l’éctrocardiographique?
TV(tachycardia ventriculaire) .
FV( fibrillation ventriculaire) .
Extrasystole ventriculaire .
Torsade de point .
Rythme idioventriculaire.
Vous prenez en charge un home de 54ans en arrêt cardio-respiratoire. L’ECG du patient est le suivant: Quelle modalité thérapeutique instaurez-vous?
Adrénaline 1mg .
Bicarbonate de sodium .
Adrénaline 2mg
Choc électrique externe .
Amiodarone.
Vous prenez en charge un home de 54ans en arrêt cardio-respiratoire. L’ECG du patient est le suivant: L’ECG reste inchangé après 3 chocs, quelle mesure thérapeutique proposez-vous?
Arrêt de la RCP
Amiodarone 200mg/kg
Amiodarone 300mg
Bicarbonate de sodium
Atropine
Quelle mesure thérapeutique auriez-vous prise si l’ECG du patient avait été le suivant:
Adrénaline 1mg/Kg toutes les 5 minutes
Adrénaline 1mg toutes les 4 minutes
Choc électrique externe
Amiodarone 1mg/Kg toutes les 3 minutes
Bicarbonate de sodium
Quelle mesure neuroprotectrice prenez-vous en cas d’ACR?
Administration d’aspirine
Corticothérapie
Tête proclive à 30❰
Mise en hypothermie
Vitaminothérapie B1, B6.
En l’absence de facteur neuroprotecteur comme l’hypothermie( ou en cas d’ACR par intoxication), quelle est la duré minimale de la RCP au bout de laquelle l’arrêt de la reanimation peut être discuté?
15minutes
20minutes
30minutes
60minutes
120minutes
Si l’aucune cas n’est pas retrouvée pour expliquer l’ACR extra hospitalier de patient, quell examen complémetaire demandez-vous?
Echographie cardique
Coronarographie
AngioTDM throracique
D-dimère
Troponine
Un malade est en ACC, quell est le premier geste devez-vous pratiquer?
Compression throracique
Ventilation au ballon
Adrénaline 1mg
Choc électrique externe
Mise en hypothermie
Quel est le profondeur effice de massage cardique externe chez un adulte?
5cm
2cm
10cm
15cm
20cm
Quel est le fréquence optimale par minute de massage cardiaque chez un adult en ACR?
100/min
60/min
150/min
40/min
Maximum possible.
Quelle est le rapport compression-ventilation dans la prise en charge de l’ACR?
30:2
10:2
50:3
15:2
40:1
En cas d’asystolie, quel est le medicament choissisez-vous?
Atropine
Adrénaline
Amiodarone
Lidocaine
Bicarbonate de sodium
Dans quelle situation d’électrocardiograme suivants , choissisez-vous de choc électrique externe en première intention?
BAV III
Asystolie
Fibrillation ventriculaire
Dissociation électro-mécanique
BAV II
Quelle est la cause plus fréquent responsable de l’ACR?
Cause cardiaque
Cause métabolique
Cause respiratoire
Cause accidentelle
Etat de choc
Vous réalisez une RCP de base chez un patient en ACC. Dans quel ordre réalisez-vous les gestes? A = Airways (LVAS) ; B = Breathing = ventilation ; C = Circulation = MCE :
.A-B-C .
.B-C-A .
.B-A-C .
.C-A-B .
.C-B-A
Vous réalisez une RCP de base chez un patient en ACC. Dans quel ordre réalisez-vous les gestes? A = Airways (LVAS) ; B = Breathing = ventilation ; C = Circulation = MCE :
.A-B-C .
.B-C-A .
.B-A-C .
.C-A-B .
.C-B-A
Un home de 80ans est admis pour un malaise brutal au lever. Il était alité depuis plusieurs jours en raisons d’un syndrome grippal est maintenant résolu. Le malaise est survenu brutalement sans prodrome. L’examen neurologique est normal. PA 142/86, T° 37.5°C.ECG
Deviation axiale droite .
BAV I .
Hémibloc antérieur gauche .
Bloc de branche droit .
Aucune.
Un home de 80ans est admis pour un malaise brutal au lever. Il était alité depuis plusieurs jours en raisons d’un syndrome grippal est maintenant résolu. Le malaise est survenu brutalement sans prodrome. L’examen neurologique est normal. PA 142/86, T° 37.5°C.ECG Quel est le diagnostic le plus probable?
Hypotension orthostatique .
Sycope vaso-vagale .
Embolie pulmonaire .
AVC ischémique .
Hypoglysémie.
Un home de 80ans est admis pour un malaise brutal au lever. Il était alité depuis plusieurs jours en raisons d’un syndrome grippal est maintenant résolu. Le malaise est survenu brutalement sans prodrome. L’examen neurologique est normal. PA 142/86, T° 37.5°C.ECG Quel examen le plus sensible pour confirmer votre diagnostic?
Radiographie thoracique .
Echographie cardiaque .
Angioscanner thoracique .
Scintigraphie pulmonaire de ventilation-perfusion .
D-dimères.
Un home de 80ans est admis pour un malaise brutal au lever. Il était alité depuis plusieurs jours en raisons d’un syndrome grippal est maintenant résolu. Le malaise est survenu brutalement sans prodrome. L’examen neurologique est normal. PA 142/86, T° 37.5°C.ECG Quel examen complémentaire réalisez-vous à visée étiologique?
Troponine Tc .
Bilan thrombophilia .
Artériographie .
D-dimères .
Echo-doppler MI.
Un home de 80ans est admis pour un malaise brutal au lever. Il était alité depuis plusieurs jours en raisons d’un syndrome grippal est maintenant résolu. Le malaise est survenu brutalement sans prodrome. L’examen neurologique est normal. PA 142/86, T° 37.5°C.ECG Si PA 84/42mmHg, Fc 136/min, FR 25/min, SpO₂ 84%, quel examen paraclinique auriez-vous demandé en première intention?
Troponines .
Echographie cardique .
Angioscanner thoracique .
Scintigraphie pulmonaire de ventilation –perfusion .
D-dimères
Quel autre diagnostic faut-il systématiquement rechercher lors d’une TIH de type II ?
Syndrome des anticorpsnantiphospholipides .
Coagulation intravasculaire dissiminée .
Microangiopathie thrombotique .
Prééclamsie sévère .
Syndrome hémolytique et urémique.
Quel est l’examen complémentaire de première intention devant une suspicion d’embolie pulmonaire avec choc?
L’échocardiographie-Doppler transthoracique
L’écho doppler vasculaire des MI
Radiographie thoracique
Scanner thoracique
Scintigraphie pulmonaire.
Un patient de 65 ans est suivi pour un ndiabète de typeII depuis 15 ans, ses autres antécédents comportent une dyslipidémie, une HTA traité par inhibiteur calcicique, un tabagisme actif à 75paquets-année. Il reseent une masse abdominale battante de siege épigastrique. Vous suspectez un anévrysme de l’aorte abdominale(AAA). Vous identifies aussi un signe de DE Bakey.Que vous apprend le signe de De Bakey?
Confirmation du diagnostic d’AAA .
Indication opératoire .
Signe annonciateur de rupture anévrysmale .
Siège sous-rénal de l’anévrysme .
Grand taille de l’anévrysme
Un patient de 65 ans est suivi pour un ndiabète de typeII depuis 15 ans, ses autres antécédents comportent une dyslipidémie, une HTA traité par inhibiteur calcicique, un tabagisme actif à 75paquets-année. Il reseent une masse abdominale battante de siege épigastrique. Vous suspectez un anévrysme de l’aorte abdominale(AAA). Vous identifies aussi un signe de DE Bakey. Quel est en general le principal mode de révélation de l’AAA?
Pesenteur épigastrique .
Choc hémorragique par rupture de l’AAA .
Masse abdominale battante .
Complication embolique systémique .
Découverte fortuite.
Un patient de 65 ans est suivi pour un ndiabète de typeII depuis 15 ans, ses autres antécédents comportent une dyslipidémie, une HTA traité par inhibiteur calcicique, un tabagisme actif à 75paquets-année. Il reseent une masse abdominale battante de siege épigastrique. Vous suspectez un anévrysme de l’aorte abdominale(AAA). Vous identifies aussi un signe de DE Bakey. Quelle est la principale cause d’AAA?
Tabagisme .
Artérite à cellules géantes( ex: Horton) .
Athérosclérose .
Maladie du collagène .
HTA.
Un patient de 65 ans est suivi pour un ndiabète de typeII depuis 15 ans, ses autres antécédents comportent une dyslipidémie, une HTA traité par inhibiteur calcicique, un tabagisme actif à 75paquets-année. Il reseent une masse abdominale battante de siege épigastrique. Vous suspectez un anévrysme de l’aorte abdominale(AAA). Vous identifies aussi un signe de DE Bakey. Quel est le type d’anévrisme que vous suspectez chez ce patient?
Sacciforme .
Fusiforme .
Mixte .
Piriforme .
Filiforme.
Un patient de 65 ans est suivi pour un ndiabète de typeII depuis 15 ans, ses autres antécédents comportent une dyslipidémie, une HTA traité par inhibiteur calcicique, un tabagisme actif à 75paquets-année. Il reseent une masse abdominale battante de siege épigastrique. Vous suspectez un anévrysme de l’aorte abdominale(AAA). Vous identifies aussi un signe de DE Bakey. Quelle examen complémentaire de première intention demandez-vous devant une suspicion d’AAA?
Echographie abdominale .
TDM abdominal .
Artériographie aorto-mésentérique .
Angio-IRM .
Angio-TDM
Soudain, le patient se plaint d’une douleur péri-ombilicale intense. Ses constants sont les suivants: PA 105/59mmHg, Fc 118/min, FR 20/min, SpO₂ 95%. Quelle complication redoutez-vous?
Rupture retro-péritoinéale de l’AAA .
Rupture intra-péritoinéale de l’AAA .
Syndrome de Leriche .
Compression du plexus solaire .
Dissection aortique abdominale.
Vous opérz le patient en urgence> Quelques heures après la fin de l’intervention, l’infirmière vous appellee car le patient présente une diarrhée sanglante> Quel diagnostic redoutez-vous?
Cancer colorectal .
Rupture anévrysmale dans le tube digestif .
Infactus mésentérique .
Angiodysplasies coliques .
Perforation digestive.
Vous opérz le patient en urgence> Quelques heures après la fin de l’intervention, l’infirmière vous appellee car le patient présente une diarrhée sanglante> Quel examen para clinique demandez vous en urgence devant cette complication?
Aucun, le diagnostic est clinique .
. Echographie abdominale .
Recto-segmoidoscopie .
TDM abdominal .
Coloscopie totale.
Quel est le principal facteur de risque de l’AOMI?
Dyslipidémie
Diabète
HTA
Tabagisme
L’âge
Quelle donnée de l’examen clinique est indispensable au diagnostic de l’AOMI?
Test de marche
Index de Pression Systolique
Echo-doppler artériel des membres inférieurs
Trouble trophique.
Crampe nocturne.
Quel est le mode de découverte le plus frequent de l’AOMI chez diabètique?
Trobles trophiques.
Crampes nocturnes.
Paresthésie des members.
Oedèmes MI.
Hypotrophie musculaire.
IPS (Index de Pression Systolique) < 0.4 signifies:
Artériopathie moyennement compensée
Retentissement hémodynamique sévère
Artères incompressibles
état hémodynamique normal
Artériopathie bien compensée.
0,4 < IPS < 0,75 (IPS : Index de Pression Systolique) signifie :
Artériopathie moyennement compensée
Retentissement hémodynamique sévère
Artères incompressibles
état hémodynamique norma
artériopathie bien compensée.
Citez la topographie probable responsable d’une claudication intermittente au niveau fessier :
Oblitération du carrefour aortique
Oblitération fémorale commune.
Oblitération fémorale superficielle.
Oblitération poplitée.
Oblitération jambière.
Citez la topographie probable responsable d’une claudication intermittente au niveau du mollet:
Oblitération du carrefour aortique.
Oblitération jambière.
Oblitération de l’iliaque primitive.
Oblitération fémorale commune.
Oblitération fémoro-poplité.
Un patient est admise dans votre sevice pour une douleur de la jembe droite survenu brutalement il y a2 heures. Ses antécédents comportment un diabète type II sous issuline, une HTA traité par inhibiteur calcique, un tabagisme active, une AOMI compliqué d’un ulcère artériel et une alcoolo-dépendance. La jembe droite est froide, blanche,et il existe un deficit moteur des releveurss du pied et un deficit de la marche sur les talons. Les constances sont les suivants: PA 135/78, Fc 86/min, FR 18/min, SpO₂100%, T❰ 37.4❰C.Quel est le diagnostic avancez-vous?
Ischémie permanente chronique
Ischémie critique
Phlébiet bleu
Ischémie aigue
Crise de douleurs neuropathiques.
Un patient est admise dans votre sevice pour une douleur de la jembe droite survenu brutalement il y a2 heures. Ses antécédents comportment un diabète type II sous issuline, une HTA traité par inhibiteur calcique, un tabagisme active, une AOMI compliqué d’un ulcère artériel et une alcoolo-dépendance. La jembe droite est froide, blanche,et il existe un deficit moteur des releveurss du pied et un deficit de la marche sur les talons. Les constances sont les suivants: PA 135/78, Fc 86/min, FR 18/min, SpO₂100%, T❰ 37.4❰C. Quelle est le mécanisme généralement resposable de cette pathologie?
Compression vasculaire intrinsèque
Embolie systémique
Inflammation locorégionale
Rupture artèrielle traumatique.
Déchirurure musculaire.
Un patient est admise dans votre sevice pour une douleur de la jembe droite survenu brutalement il y a2 heures. Ses antécédents comportment un diabète type II sous issuline, une HTA traité par inhibiteur calcique, un tabagisme active, une AOMI compliqué d’un ulcère artériel et une alcoolo-dépendance. La jembe droite est froide, blanche,et il existe un deficit moteur des releveurss du pied et un deficit de la marche sur les talons. Les constances sont les suivants: PA 135/78, Fc 86/min, FR 18/min, SpO₂100%, T❰ 37.4❰C. Quelle est le mécanisme généralement resposable de cette pathologie?
Compression vasculaire intrinsèque
Thrombose.
Inflammation locorégionale
Rupture artèrielle traumatique.
Déchirurure musculaire
Un patient est admise dans votre sevice pour une douleur de la jembe droite survenu brutalement il y a2 heures. Ses antécédents comportment un diabète type II sous issuline, une HTA traité par inhibiteur calcique, un tabagisme active, une AOMI compliqué d’un ulcère artériel et une alcoolo-dépendance. La jembe droite est froide, blanche,et il existe un deficit moteur des releveurss du pied et un deficit de la marche sur les talons. Les constances sont les suivants: PA 135/78, Fc 86/min, FR 18/min, SpO₂100%, T❰ 37.4❰C. Les pouls poplité, tibial potérieur et pédieux droits sont abolish mais le pouls femoral droit est perçu. Quel est le siege de l’occlusion vasculaire?
Artère fémorale commune droite
Artère fémorale superficielle droite
Artère fémorale profonde droite
Artère iliaque externe droite
Artère poplité droite.
Un patient est admise dans votre sevice pour une douleur de la jembe droite survenu brutalement il y a2 heures. Ses antécédents comportment un diabète type II sous issuline, une HTA traité par inhibiteur calcique, un tabagisme active, une AOMI compliqué d’un ulcère artériel et une alcoolo-dépendance. La jembe droite est froide, blanche,et il existe un deficit moteur des releveurss du pied et un deficit de la marche sur les talons. Les constances sont les suivants: PA 135/78, Fc 86/min, FR 18/min, SpO₂100%, T❰ 37.4❰C. Quel examen paraclinique demandez-vous en urgence pour confirmer votre diagnostic?
Echographie-doppler des MI
IPS( index de pression systolique
Artériographie
Mesur transcutanée de la pression en O2(TcPO₂)
Aucun.
Un patient est admise dans votre sevice pour une douleur de la jembe droite survenu brutalement il y a2 heures. Ses antécédents comportment un diabète type II sous issuline, une HTA traité par inhibiteur calcique, un tabagisme active, une AOMI compliqué d’un ulcère artériel et une alcoolo-dépendance. La jembe droite est froide, blanche,et il existe un deficit moteur des releveurss du pied et un deficit de la marche sur les talons. Les constances sont les suivants: PA 135/78, Fc 86/min, FR 18/min, SpO₂100%, T❰ 37.4❰C. Quel mesure thérapeutique pouvez-vous mettre en oeuvre en urgentce pour ce patient?
HNF
Amputation
Pontage artériel
Angioplastie+stent
Vasodilatateur
Un patient est admise dans votre sevice pour une douleur de la jembe droite survenu brutalement il y a2 heures. Ses antécédents comportment un diabète type II sous issuline, une HTA traité par inhibiteur calcique, un tabagisme active, une AOMI compliqué d’un ulcère artériel et une alcoolo-dépendance. La jembe droite est froide, blanche,et il existe un deficit moteur des releveurss du pied et un deficit de la marche sur les talons. Les constances sont les suivants: PA 135/78, Fc 86/min, FR 18/min, SpO₂100%, T❰ 37.4❰C. Quel mesure thérapeutique pouvez-vous mettre en oeuvre en urgentce pour ce patient?
Déobstruction à la sonde de Forgaty
Amputation
Pontage artériel
Angioplastie+stent
Vasodilatateur.
Le traitement adéquat est réalisé. Quelques heures plus tard, le patient signale à nouveau des douleurs de la jembe droite.Sa jembe est oedémateuse, douloureuse et tendue à la palpation, les pouls sont perçu, le deficit moteur précédemment observe persiste.Quel diagnostic évoquez-vous?
Thombose veineuse profonde
Dissection artérielle lors de l’artériographie
Embolisation du l;it d’aval lors de l’artériographie
Syndrome de loges
Retrombose précoce.
Le traitement adéquat est réalisé. Quelques heures plus tard, le patient signale à nouveau des douleurs de la jembe droite.Sa jembe est oedémateuse, douloureuse et tendue à la palpation, les pouls sont perçu, le deficit moteur précédemment observe persiste.Quel examen paraclinique demandez-vous en urgence pour confirmer votre diagnostic?
Echographie-doppler des MI
IPS( index de pression systolique
Artériographie
Mesur transcutanée de la pression en O2(TcPO₂)
Aucun.
Le traitement adéquat est réalisé. Quelques heures plus tard, le patient signale à nouveau des douleurs de la jembe droite.Sa jembe est oedémateuse, douloureuse et tendue à la palpation, les pouls sont perçu, le deficit moteur précédemment observe persiste. Quelle est votre attitude thérapeutique en urgence?
Aponévotomie de décharge
Amputation
Pontage artériel
Thrombolyse in situ
HBPM.
Vous instaurez le traitement adpté mais dans les heures qui suivent les urines de patient deviennt rouges sombres et la function rénales est la suivante: urée 17.6mmol/l, créatinie 135μmol/L, l’échographie rénale est normale. Comment expliquez-vous la function rénale?
IRA obstructive
IRA fonctionnelle
IRA organique par nécrose tubulaire aigue
Néphropathie tubule-inyterstitille aigue
IRA organique d’origine vasculaire.
Vous instaurez le traitement adpté mais dans les heures qui suivent les urines de patient deviennt rouges sombres et la function rénales est la suivante: urée 17.6mmol/l, créatinie 135μmol/L, l’échographie rénale est normale. Quel mécanisme vous semble le plus probable pour expliquer ce tableau clinic-biologique?
Infuctus renal
Calcul urétral
Déshydratation extracellulaire
Précipitation intra-tubulaire d’acide urique
Rhabdomyolyse.
Vous recevez au service d’accueil des urgences Monsieur D, patient de 52 ans.FdRCV: tabagique à 10 cigarettes par jour depuis l’âge de 25 ans non sevré, dyslipidémie, hypertendu. Il consomme 1 à 2 verres d’alcool par semaine. ATCD: appendicectomie en 1975 et d’endartérectomie carotidienne en 2004. Traitement actuel: aspirine 100 mg/jour et périndopril 10 mg/jour. Il se présente au service urgence vers 23:00 du 03/06/2015 car il se plaint depuis 21:00 une douleur thoracique constrictive, constante, rétrosternale profonde, intense, à début brutal, prolongée, irradiant vers les épaules et la région cervicale antérieure, accompagnée de sueurs. Cette douleur est isolée, sans lipothymie, palpitation ni dyspnée associée. Quelle est, compte tenu des antécédents du patient et de la sémiologie présentée, l'hypothèse diagnostique à évoquer en priorité devant la douleur thoracique actuelle ?
Embolie pulmonaire .
Syndrome coronarien aigu .
Péricardite aigue .
Dissection aortique .
Cholecystite aigue
A l'arrivée, la douleur se persiste, mais moins intense (EVA 5/10). La PA est à 160/90 mmHg aux deux bras, la FC est à 87 bpm avec un pouls régulier, la fréquence respiratoire à 16/min, la température à 37.2 °C, et la saturation de l'O2 en air ambiant est de 97%. Vous recevez au service d’accueil des urgences Monsieur D, patient de 52 ans.FdRCV: tabagique à 10 cigarettes par jour depuis l’âge de 25 ans non sevré, dyslipidémie, hypertendu. Il consomme 1 à 2 verres d’alcool par semaine. ATCD: appendicectomie en 1975 et d’endartérectomie carotidienne en 2004. Traitement actuel: aspirine 100 mg/jour et périndopril 10 mg/jour. Il se présente au service urgence vers 23:00 du 03/06/2015 car il se plaint depuis 21:00 une douleur thoracique constrictive, constante, rétrosternale profonde, intense, à début brutal, prolongée, irradiant vers les épaules et la région cervicale antérieure, accompagnée de sueurs. Cette douleur est isolée, sans lipothymie, palpitation ni dyspnée associée. A ce stade de la prise en charge diagnostique, quel examen paraclinique doit être réalisé en 1ère intention? Vous réalisez en urgence un ECG de repos dont voici le tracé.
Epreuve d'effort .
Echocardiographie de stress .
ECG de repos .
Scintigraphie myocardique .
IRM cardiaque
Vous recevez au service d’accueil des urgences Monsieur D, patient de 52 ans.FdRCV: tabagique à 10 cigarettes par jour depuis l’âge de 25 ans non sevré, dyslipidémie, hypertendu. Il consomme 1 à 2 verres d’alcool par semaine. ATCD: appendicectomie en 1975 et d’endartérectomie carotidienne en 2004. Traitement actuel: aspirine 100 mg/jour et périndopril 10 mg/jour. Il se présente au service urgence vers 23:00 du 03/06/2015 car il se plaint depuis 21:00 une douleur thoracique constrictive, constante, rétrosternale profonde, intense, à début brutal, prolongée, irradiant vers les épaules et la région cervicale antérieure, accompagnée de sueurs. Cette douleur est isolée, sans lipothymie, palpitation ni dyspnée associée. Cet électrocardiogramme, associé aux éléments anamnestiques et aux données de l’examen clinique, vous permet de progresser dans votre démarche diagnostique. Parmi les diagnostics proposés ci-dessous, le quel est le plus probable?
Syndrome coronarien aigu avec sus décalage du ST .
Syndrome coronarien aigu sans sus décalage du ST .
Infarctus du myocarde .
Péricardite aigue .
Dissection aortique
Vous recevez au service d’accueil des urgences Monsieur D, patient de 52 ans.FdRCV: tabagique à 10 cigarettes par jour depuis l’âge de 25 ans non sevré, dyslipidémie, hypertendu. Il consomme 1 à 2 verres d’alcool par semaine. ATCD: appendicectomie en 1975 et d’endartérectomie carotidienne en 2004. Traitement actuel: aspirine 100 mg/jour et périndopril 10 mg/jour. Il se présente au service urgence vers 23:00 du 03/06/2015 car il se plaint depuis 21:00 une douleur thoracique constrictive, constante, rétrosternale profonde, intense, à début brutal, prolongée, irradiant vers les épaules et la région cervicale antérieure, accompagnée de sueurs. Cette douleur est isolée, sans lipothymie, palpitation ni dyspnée associée. Pour ce patient, quel est l'examen biologique pertinent pour confirmer le diagonstic du SCA sans sus décalage du ST? Voici, les résultats des examens biologiques:
Numération formule sanguine .
Créatininémie .
Dosage de D-Dimère .
Dosage de Troponine .
Dosage de ASAT et ALAT
Vous recevez au service d’accueil des urgences Monsieur D, patient de 52 ans.FdRCV: tabagique à 10 cigarettes par jour depuis l’âge de 25 ans non sevré, dyslipidémie, hypertendu. Il consomme 1 à 2 verres d’alcool par semaine. ATCD: appendicectomie en 1975 et d’endartérectomie carotidienne en 2004. Traitement actuel: aspirine 100 mg/jour et périndopril 10 mg/jour. Il se présente au service urgence vers 23:00 du 03/06/2015 car il se plaint depuis 21:00 une douleur thoracique constrictive, constante, rétrosternale profonde, intense, à début brutal, prolongée, irradiant vers les épaules et la région cervicale antérieure, accompagnée de sueurs. Cette douleur est isolée, sans lipothymie, palpitation ni dyspnée associée. Quel diagnostic retenez-vous finalement à la lumière des données cliniques et para-cliniques dont vous disposez?
Angor stable .
Infarctus du myocarde avec sus décalage du ST .
Infartus du myocarde sans sus-décalage du ST .
Angor instable .
Myocardite
Vous recevez au service d’accueil des urgences Monsieur D, patient de 52 ans.FdRCV: tabagique à 10 cigarettes par jour depuis l’âge de 25 ans non sevré, dyslipidémie, hypertendu. Il consomme 1 à 2 verres d’alcool par semaine. ATCD: appendicectomie en 1975 et d’endartérectomie carotidienne en 2004. Traitement actuel: aspirine 100 mg/jour et périndopril 10 mg/jour. Il se présente au service urgence vers 23:00 du 03/06/2015 car il se plaint depuis 21:00 une douleur thoracique constrictive, constante, rétrosternale profonde, intense, à début brutal, prolongée, irradiant vers les épaules et la région cervicale antérieure, accompagnée de sueurs. Cette douleur est isolée, sans lipothymie, palpitation ni dyspnée associée. Quelle est votre décision concernant la prise en charge de Monsieur D?
Retour à domicile avec dérivés nitrés, IEC et bétabloquant .
Retour à domicile avec une ordonnance antalgique .
Hospitalisation en service de médecine générale .
Hospitalisation en unité de soins intensifs cardiologiques (USIC) .
Transfert immédiat en salle de coronarographie
Vous recevez au service d’accueil des urgences Monsieur D, patient de 52 ans.FdRCV: tabagique à 10 cigarettes par jour depuis l’âge de 25 ans non sevré, dyslipidémie, hypertendu. Il consomme 1 à 2 verres d’alcool par semaine. ATCD: appendicectomie en 1975 et d’endartérectomie carotidienne en 2004. Traitement actuel: aspirine 100 mg/jour et périndopril 10 mg/jour. Il se présente au service urgence vers 23:00 du 03/06/2015 car il se plaint depuis 21:00 une douleur thoracique constrictive, constante, rétrosternale profonde, intense, à début brutal, prolongée, irradiant vers les épaules et la région cervicale antérieure, accompagnée de sueurs. Cette douleur est isolée, sans lipothymie, palpitation ni dyspnée associée. Au vu des données clniques, ECG, et biologique, quel est le risque de ce patient devant SCA sans sus décalage du ST?
Risque Bas .
Risque Inermédiaire .
Risque Elevé .
Risque Très élevé .
Pas de risque
Vous recevez au service d’accueil des urgences Monsieur D, patient de 52 ans.FdRCV: tabagique à 10 cigarettes par jour depuis l’âge de 25 ans non sevré, dyslipidémie, hypertendu. Il consomme 1 à 2 verres d’alcool par semaine. ATCD: appendicectomie en 1975 et d’endartérectomie carotidienne en 2004. Traitement actuel: aspirine 100 mg/jour et périndopril 10 mg/jour. Il se présente au service urgence vers 23:00 du 03/06/2015 car il se plaint depuis 21:00 une douleur thoracique constrictive, constante, rétrosternale profonde, intense, à début brutal, prolongée, irradiant vers les épaules et la région cervicale antérieure, accompagnée de sueurs. Cette douleur est isolée, sans lipothymie, palpitation ni dyspnée associée. Quel est votre stratégie thérapeutique pour ce patient?
Traitement médical .
Coronarographie programmée dans une semaine .
Coronarographie le plus vite possible ( < 24h) .
Epreuve d'effort .
Coronarographie en extrême urgence
Un homme de 41 ans, cultivateur se présente vers 7:00 du 07/06/2015 au service d'accueil des urgences dans la province de Rattanakiri pour une douleur thoracique aiguë, brutale, remontée depuis 4:00, de type contrictive, constante, prolongée avec sensation de mort imminente, accompangée par sueurs. FdRCV: tabagique 25 cigarettes par jour depuis l'âge de 20 ans. Il ne présente pas d'antécédents médico-chirurgicaux particuliers. L'ECG ci-dessous est enregistré dès son arrivée. Quel est votre diagnostic avec ce tableau électro-clinique ?
Péricardite aigue .
Dissection aortique .
Embolie pulmonaire .
SCA ST+ .
Angor instable
L’examen clinique est sans particularité, notamment sans souffle ni signe d’insuffisance cardiaque droite ni gauche. La FC est à 50/min, la pression artérielle à 100/70 mmHg, et la saturation en 02 en air ambiant à 96%. La douleur thoracique persiste avec une EVA à 7/10. Un homme de 41 ans, cultivateur se présente vers 7:00 du 07/06/2015 au service d'accueil des urgences dans la province de Rattanakiri pour une douleur thoracique aiguë, brutale, remontée depuis 4:00, de type contrictive, constante, prolongée avec sensation de mort imminente, accompangée par sueurs. FdRCV: tabagique 25 cigarettes par jour depuis l'âge de 20 ans. Il ne présente pas d'antécédents médico-chirurgicaux particuliers. Quel est votre prise en charge médical de base pour ce patient?
Double anti-agrégant plaquettaire avec dose de charge, et Héparine .
Adrénaline .
Dobutamine .
Anticoagulant par AVK .
Isuprel serigue électrique
Un homme de 41 ans, cultivateur se présente vers 7:00 du 07/06/2015 au service d'accueil des urgences dans la province de Rattanakiri pour une douleur thoracique aiguë, brutale, remontée depuis 4:00, de type contrictive, constante, prolongée avec sensation de mort imminente, accompangée par sueurs. FdRCV: tabagique 25 cigarettes par jour depuis l'âge de 20 ans. Il ne présente pas d'antécédents médico-chirurgicaux particuliers. Quelle est votre stratégie de reperfusion pour ce patient après le traitement médical de base donné?
Dérivés nitrés par voie sublinguale .
Perfusion continue de dérivés nitrés
Thrombolyse IV et garder le patient dans le service de l'Hôpital de Rattanakiri .
Thrombolyse IV avant de transférer le patient au centre de cardiologie de Phnom Penh .
Transfert immédiat du patient au centre de cardiologie de Phnom Penh pour coronarographie (sans thrombolyse IV)
Un homme de 41 ans, cultivateur se présente vers 7:00 du 07/06/2015 au service d'accueil des urgences dans la province de Rattanakiri pour une douleur thoracique aiguë, brutale, remontée depuis 4:00, de type contrictive, constante, prolongée avec sensation de mort imminente, accompangée par sueurs. FdRCV: tabagique 25 cigarettes par jour depuis l'âge de 20 ans. Il ne présente pas d'antécédents médico-chirurgicaux particuliers. Quelle est la 1ère cause de mortalité dans l'infarctus du myocarde?
Fibrillation auriculaire .
Extrasystole auriculaire .
Trouble du rythme ventriculaire à type de fibrillation ventriculaire .
Rythme idio-ventriculaire accéléré .
Extrasystole ventriculaire
Un homme de 41 ans, cultivateur se présente vers 7:00 du 07/06/2015 au service d'accueil des urgences dans la province de Rattanakiri pour une douleur thoracique aiguë, brutale, remontée depuis 4:00, de type contrictive, constante, prolongée avec sensation de mort imminente, accompangée par sueurs. FdRCV: tabagique 25 cigarettes par jour depuis l'âge de 20 ans. Il ne présente pas d'antécédents médico-chirurgicaux particuliers. Quelle classe pharmacoloqique doit figurer sur l'ordonnance de sortie?
Anti-agrégant plaquettaire .
Béta-bloquant .
IEC/ARA II .
Staine .
Toutes propositions ci-dessus
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