ECN_BASIC

A detailed illustration of a medical quiz session in a clinical setting, featuring a doctor examining a patient with various medical charts and equipment in the background, vibrant colors, engaging visuals.

Optical and General Medical Knowledge Quiz

Test your knowledge in ophthalmology and general medicine with our comprehensive quiz designed for medical students and healthcare professionals. This quiz covers a range of topics from visual acuity assessment to understanding various medical conditions.

  • Multiple choice questions
  • Focus on clinical scenarios
  • Assess your diagnostic skills
113 Questions28 MinutesCreated by DiagnosingDoctor37
Vous examinez un patient pour baisse d'acuité visuelle. L'examen de la cornée retrouve des ulcérations cornéennes dendritiques. Quel agent infectieux est le probablement responsable ?
Chlamydia trachomatis
Herpès
Streptocoque
Adénovirus
Gonocoques
Vous voyez en consultation un garçon de 3 ans amené par sa maman pour des céphalées et une vision trouble de près lors de la lecture ou d'un travail prolongé sur ordinateur. Vous désirez évaluer son acuité visuelle de près. Quelle échelle est la plus appropriée ?
Echelle de Rossano-Weiss
Echelle de Monoyer
Echelle ETDRS
Echelle de Parinaud
Echelle verbale
Vous recevez aux urgences un patient de 9 ans qui présente un saignement de nez. À l’interrogatoire, vous apprenez que cela se produit 2 à 3 fois par mois. Sa mère vous dit que c’est la première fois que la compression bidigitale des ailes du nez ne permet pas de stopper le saignement. Après évacuation des caillots par mouchage, vous réalisez une rhinoscopie mettant en évidence un saignement localisé à la tâche vasculaire du côté gauche. Quelle est l’origine la plus probable de ce saignement ?
Perforation septale
Télangiectasie hémorragique
Irritation de la tâche vasculaire
Fracture de l’éthmoïde
Fracture bas du crâin
Vous recevez aux urgences un patient de 25 ans pour épistaxis unilatérale gauche survenue spontanément alors qu’il était chez lui. Il ne consomme aucun toxique et vous ne relevez pas d’antécédent particulier à l’interrogatoire. Ses constantes sont les suivantes : FC 75 ; TA 130/80 mmHg. Quelle est l’étiologie d’épistaxis la plus probable pour ce patient ?
Fracture de l’ethmoïde
Fibrome naso-pharyngien
Granulomatose de Wegener
Grattage de la tâche vasculaire
Maladie de Rendu-Osler
5) Vous recevez en consultation une femme de 40 ans. Elle présente une obstruction nasale du côté droit et une rhinorrhée postérieure apparues il y a environ deux semaines. Elle se plaint également de céphalées et d'une douleur sous-orbitaire pulsatile à droite depuis quelques jours et augmentant la nuit. Le mouchage est purulent et elle a une fièvre à 38,5 ̊C. Ses constantes sont normales. La rhinoscopie retrouve du pus dans le méat moyen et l'état buccodentaire est mauvais. Elle vous explique avoir pris du paracétamol régulièrement cette semaine et se laver les fosses nasales au sérum physiologique plusieurs fois par jour sans que son état ne semble s'améliorer. Quel germe serait le plus en faveur d’une origine dentaire ?
Pneumocoque
Haemophilus influenzæ
Staphylocoque
Moraxella catarrhalis
Germes anaérobies
Vous recevez à votre consultation M. W., 39 ans, agent d’entretien. Il a des antécédents de luxations d’épaule multiples, systématiquement à droite. Il se plaint depuis quelques temps de difficultés à lever le bras droit, ce qui le gêne dans son travail, et de douleurs au niveau du moignon de l’épaule. Quelle est la localisation anatomique la plus probable de la lésion ?
Racine C4
Racine C5
Racine C6
Racine C7
Racine C8
Vous recevez à votre consultation M. T., 47 ans, chauffeur de poids-lourd. Il est porteur d’une valve mitrale suite à une endocardite il y a 8 ans. Il se plaint d’une douleur à la face antéro-externe de la cuisse droite et se prolongeant au bord antérieur de la jambe et au niveau de la malléole interne. Quelle est la localisation anatomique la plus probable de la lésion ?
Radiculalgie L3
Radiculalgie L4
Radiculalgie L5
Radiculalgie S1
Radiculalgie S2
Vous voyez en consultation de chirurgie, un homme de 50 ans adressé pour hernie inguinale. Il n’a pas d’antécédent particulier. A l’examen clinique, tension artérielle à 130/90 mmHg, fréquence cardiaque à 75/min. Sur ce schéma de la paroi abdominale (vue antérieure – d’après Netter), quelle entité anatomique est le lieu des hernies inguinales directes ?
 
 
Untit2led
Fascia transversalis
Arcade crurale
Gaine des vaisseaux épigastriques inférieurs
Canal péritonéo-vaginal
Cordon spermatique
Vous suivez une patiente de 55 ans pour une tumeur kystique bénigne hépatique. Son examen clinique à la consultation retrouve une tension à 135/80 mmHg, une fréquence cardiaque à 75/min. Quelle lésion est le plus à risque de se compliquer en carcinome hépatocellulaire?
Kyste biliaire
Ambiome biliaire
Hémangio-endothéliome-épithéloïde
Cystadénome
Angiosarcome
Vous prenez en charge une jeune femme de 25 ans pour douleur abdominale aiguë en fosse iliaque droite depuis moins de 24h. Elle est adressée par son médecin traitant pour suspicion d’appendicite aiguë. Quel paramètre clinique serait le plus en faveur d’une prise en charge chirurgicale immédiate?
Fièvre > 38,5 ̊C
Défense abdominale
Elévation de la CRP
Hyperleucocytose
Dyspnée
De garde en réanimation-chirurgicale, vous recevez en début d'après-midi un patient de 27 ans héliporté par le SMUR suite à un AVP en moto. Il a percuté une voiture de face en se déportant dans un virage. Il a un trauma au niveau du membre inférieur droit et l'équipe du SMUR l'a transporté avec une attelle de Donway. Les radios des membres montrent une fracture fémorale diaphysaire simple à droite, avec un trait de fracture situé dans les 2/4 moyens. Quel est le type de fracture est le plus probable chez ce patient ?
Trait de fracture transversal
Trait de fracture spiroïde
Fracture comminutive
Fracture à « double étage »
Fracture engrenée
Vous examinez un patient présentant une pan-uvéite de l'œil droit liée à une sarcoïdose. Le fond d'œil est mal visible en raison d'une hyalite cotée 3+. Au niveau physiopathologique, dans quelle région de l'œil se trouvent les cellules inflammatoires dans une hyalite ?
Vitré
Choroïde
Chambre antérieure
Chambre postérieure
Rétine
Vous examinez un patient de 75ans pour baisse d'acuité visuelle brutale. Vous concluez à une neuropathie optique ischémique antérieure aiguë. Quelle en est la cause la plus fréquente ?
Maladie de Horton
Herpès
Médicamenteuse
Sclérose en plaques
Artériosclérose
Vous voyez en consultation aux urgences ophtalmologiques Mr B., 74 ans, pour baisse de vision de l'œil gauche apparue de façon brutale il y a 2 jours. Il s'est fait opéré de la cataracte de l'œil droit il y a 7 mois et de l'œil gauche il y a 6 mois. Il décrit un épisode de phosphènes il y a 5 jours. L'acuité visuelle avec correction est à 9/10ème P2 à droite, 3/10ème P7 à gauche. Vous évoquez le diagnostic de décollement de rétine. Quel facteur de risque serait le plus en faveur de ce diagnostic ?
Myopie
Hypermétropie
Astigmatisme
Presbytie
Myopie+Hypermétrophie
Vous voyez en consultation aux urgences ophtalmologiques Mr B., 74 ans, pour baisse de vision de l'œil gauche apparue de façon brutale il y a 2 jours. Il s'est fait opéré de la cataracte de l'œil droit il y a 7 mois et de l'œil gauche il y a 6 mois. Il décrit un épisode de phosphènes il y a 5 jours. L'acuité visuelle avec correction est à 9/10ème P2 à droite, 3/10ème P7 à gauche. Vous évoquez le diagnostic de décollement de rétine. Quelle est la cause la plus probable des phosphènes chez ce patient ?
Néovaisseaux maculaires
Survenue de la déchirure rétinienne
Soulèvement de la rétine périphérique
Réaction inflammatoire vitréenne
Soulèvement de la macula
Un homme de 43 ans, ouvrier du bâtiment sans antécédents, est admis en urgence pour douleurs abdominales aiguës depuis 6 heures. A l’examen, il vous montre une douleur au pli de l’aine droit et vous suspectez une hernie crurale. Concernant l’anatomie de la hernie crurale, quelle est la proposition exacte ?
Se situe typiquement au dessous de la ligne de Malgaine et en dedans de la veine fémorale
Se situe typiquement au dessus de la ligne de Malgaine et en dedans de la veine fémorale
Se situe typiquement au dessous de la ligne de Malgaine et en dehors de la veine fémorale
Se situe typiquement au dessus de la ligne de Malgaine et en dehors de la veine fémorale
Se situe typiquement au dessus de la ligne de Malgaine et en dedans de l’artère fémorale
Vous accueillez aux urgences un patient de 66 ans, pour douleur abdominale de début progressif depuis 72h, avec arrêt des matières et des gaz depuis 24h. Il a des nausées mais n’a pas vomi. Cet examen confirme votre hypothèse diagnostique. Sur le schéma anatomique ci-joint, quelle est la légende correcte?
Untitled
Untitled
A = caecum ; B = côlon droit ; C = côlon transverse ; D = côlon gauche ; E = sigmoïde
A = sigmoïde ; B = caecum ; C = côlon droit ; D = côlon transverse ; E = côlon gauche
A = côlon gauche ; B = sigmoïde ; C = caecum ; D = côlon droit ; E = côlon transverse
A = côlon transverse ; B = côlon gauche ; C = sigmoïde ; D = côlon droit ; E = caecum
A = côlon droit ; B = côlon transverse ; C = côlon gauche ; D = sigmoïde ; E = caecum
Vous recevez aux urgences ophtalmologiques une patiente de 48ans pour une rougeur oculaire de l'œil droit associée à des douleurs oculaires profondes importantes, d'apparition brutale. L'acuité visuelle avec sa correction (OD: +2,50 add +1, OG: +2,25 add +1) est à 2/10 P6 à droite et 10/10 P2 à gauche. Elle signale également des nausées : vous posez le diagnostic de crise aiguë de glaucome par fermeture de l’angle. Quel signe clinique serait le plus en faveur de ce diagnostic ?
Pupilles isocores isoréactives
Myosis à droite, pupille normale à gauche
Semi-mydriase aréflectique à droite, pupille normale à gauche
Mydriase complète à droite, pupille normale à gauche
Pupilles en myosis serré
Vous examinez un patient qui présente une kératite ponctuée superficielle. Il y a une notion de contage. Quel agent infectieux est le probablement responsable ?
Herpès
Streptocoque
Adénovirus
Chlamydia trachomatis
Staphylocoque
Interne de garde aux urgences obstétricales, vous voyez Mme Sivantha, 28 ans, G3P2, pour une fièvre associée à des lombalgies et des contractions utérines ayant débuté quelques heures plus tôt. Sa tension artérielle est à 135/80 mmHg, sa fréquence cardiaque à 90/min et sa température à 38.8 ̊C. Vous suspectez une pyélonéphrite bactérienne. Quelle est la bactérie la plus probablement en cause ?
Neisseria gonorrhoeae
Listeria monocytogenes
Escherichia coli
Streptococcus du groupe B
Staphylococcus aureus
Vous voyez en consultation une patiente de 19 ans, elle vient pour le renouvellement de son traitement contraceptif. Son examen clinique est normal. Quel âge est le plus adapté pour débuter un dépistage du cancer du col ?
20 ans
25 ans
30 ans
35 ans
40 ans
Vous vous occupez en salle de naissance d'une patiente de 39 ans, G3P2. Le déroulement de la grossesse est marqué par un diabète gestationnel sous insuline bien équilibré. L'échographie du 3ème trimestre retrouve un fœtus > 95 ème percentile ainsi qu'un hydramnios. A l'arrivée aux urgences la hauteur utérine est à 37cm, la patiente contracte douloureusement toutes les 3 minutes. La dilatation cervicale est rapide après rupture spontanée des membranes. L'accouchement se déroule normalement en occipito-pubien donnant naissance à un enfant de sexe masculin pesant 4250 grammes. La délivrance dirigée a lieu dans les 10 minutes. Il existe un filet de sang persistant. Quel volume minimal de sang serait en faveur du diagnostic d’hémorragie du post partum sévère?
200 cc
500 cc
750 cc
1000 cc
1500 cc
Vous voyez aux urgences Mme B. 37 ans pour métrorragies intermittentes de faible abondance. C’est la première fois qu’elle présente ce symptome, et n’a aucun antécédent. L’examen clinique est sans autre particularités. TA 120/80, pouls 70/mn, temp 37,2. L’échographie retrouve un fibrome. Quelle est la localisation la plus probable de ce fibrome ?
Pariétal
Intracavitaire
Intramural
Sus muqueux
Sous séreux
Vous voyez aux urgences Mme B. 37 ans pour métrorragies intermittentes de faible abondance. C’est la première fois qu’elle présente ce symptome, et n’a aucun antécédent. L’examen clinique est sans autre particularités. TA 120/80, pouls 70/mn, temp 37,2. L’échographie retrouve un fibrome. Quelle est la physiopathologie la plus probable de ce saignement ?
Origine fonctionnelle
Origine obstétricale
Origine mécanique
Origine tumorale
Origine inflammatoire
Vous voyez une patiente de 37 ans enceinte à 13 SA. Elle est G6P2 : 3 fausses couches spontanées, 2 césariennes. Dans ses antécédents on note un lupus érythémateux disséminé ainsi qu'un syndrome de Gougerot-Sjögren. La biologie montre : AC anti-nucléaires +, Anticardiolipides +, Anti-SSA+, Anti-SSB +. Quelle atteinte d'organe secondaire au lupus recherchez-vous qui CONTRE-INDIQUERAIT la grossesse?
Dermatologiques
Osseuse
Hépatique
Rénale
Ophtalmique
Vous voyez une patiente de 37 ans enceinte à 13 SA. Elle est G6P2 : 3 fausses couches spontanées, 2 césariennes. Dans ses antécédents on note un lupus érythémateux disséminé ainsi qu'un syndrome de Gougerot-Sjögren. A 22 SA le fœtus est au 9 ème percentile. La vitalité fœtale est bonne, le doppler ombilical est normal, il existe des notchs au niveau des dopplers utérins. Quel est la cause la plus probable du retard de croissance intra utérin dans ce cas?
Vasculaire
Génétique
Infectieuse
Iatrogène
Endocrinien
Une patiente de 36 ans sans antécédents médico-chirurgicaux, ayant déjà eu 3 grossesses et 2 enfants, consulte pour des hémorragies génitales basses. Ses dernières règles remontent à 3 semaines, et elle n’est pas enceinte. A l’interrogatoire, vous précisez que ses menstruations sont de durées normales, mais plus abondantes que d’habitude. Il n’y a pas d’hémorragie en dehors des menstruations. Concernant la terminologie de ce symptôme, que est le terme exact ?
Hyperménorrhées
Métrorragies
Polyménorrhées
Ménométrorragies
Macroménorrhées
Une patiente de 35 ans se présente aux urgences à 38 Semaines d’Aménorrhée pour des céphalées. A l’examen vous trouvez une hypertension artérielle (HTA) gravidique et vous suspectez une pré-éclampsie. Quelle association de critères définit la pré-éclampsie severe (PAs = Pression Artérielle systolique ; PAd = PA diastolique ; BU = Bandelette Urunaire ; NF : numération Formule sanguine ; BH : bilan hépatique ; N = Normale)?
PAs≥ 160 mmHg PAd≥ 100 mmHg BU : Protéinurie ≥ 1 +
PAs≥ 160 mmHg PAd≥ 100 mmHg BU : Hématurie ≥ 1 +
PAs≥ 160 mmHg PAd≥ 100 mmHg NF : Plaquettes ≥ 200 G/L
PAs≥ 180 mmHg PAd≥ 90 mmHg BU : Hématurie ≥ 1 +
PAs≥ 180 mmHg PAd≥ 90 mmHg BH : transaminases ≥ 2N
Une patiente de 45 ans vient vous voir en consultation car elle présente des métrorragies depuis plusieurs mois. Votre examen clinique met en évidence une lésion bourgeonnante du col de l'utérus. Le reste de votre examen clinique est normal. Poids 50 kg, taille 1,60 m, PA 110/52 mmHg, FC 80/min, T ̊ 37,2 ̊C. Cet examen confirme votre hypothèse diagnostique de cancer du col. Quel est le diagnostic anatomopathologique le plus probable, par argument de fréquence?
Carcinome épidermoide
Adénocarcinome
Sarcome
Lymphome
Cystadénocarcinome
Une patiente de 45 ans vient vous voir en consultation car elle présente des métrorragies depuis plusieurs mois. Votre examen clinique met en évidence une lésion bourgeonnante du col de l'utérus. Le reste de votre examen clinique est normal. Poids 50 kg, taille 1,60 m, PA 110/52 mmHg, FC 80/min, T ̊ 37,2 ̊C. La patiente vous remercie pour votre prise en charge. Elle vous pose des questions sur l’étiologie de son cancer. Au Cambodge, par argument de fréquence, quel est le virus le plus probablement impliqué dans la physiopathologie de son cancer?
HPV (human papilloma virus)
VHB (virus de l’hépatite B)
VIH (virus de l’immunodéficience humaine)
CMV (cytomégalovirus)
EBV (Epstein-Barr Virus)
Vous recevez un patient de 35 ans présentant des lésions squameuses blanches, brillantes, épaisses, larges et adhérentes. Au grattage, les squames s'effritent progressivement en lamelles jusqu'à ce que le derme soit mis à nu et que le sang perle en surface. Quel type de lésions présente ce patient ?
Squames pityriasiformes
Squames scarlatiniformes
Squames ichtyosiformes
Squames psoriasiformes
Squames folliculaires
Vous voyez en consultation un jeune patient de 5 ans présentant des petites macules pâles, non prurigineuses, apparues initialement au niveau de la face et progressivement extensives au niveau du tronc, des membres et des fesses. Il a une fièvre modérée et quelques adénopathies cervicales. Le vaccin ROR n'étant pas obligatoire, ses parents ont préféré ne pas le vacciner. Vous évoquez une rubéole. Quel type de lésion serait le plus en faveur de ce diagnostic ?
Un exanthème morbilliforme
Un exanthème roséoliforme
Un exanthème scarlatiniforme
Un purpura nécrotique
Un purpura pétéchial
Vous recevez une patiente 45 ans et se plaint de douleurs insomniantes des deux mains, en particulier au niveau des 2ème et 3ème articulations métacarpo-phalangiennes, ainsi que des interphalangiennes proximales qui sont gonflées, donnant à ses doigts un aspect « en fuseau ». Ces douleurs persistent au repos. Vous évoquez un tableau de polyarthrite rhumatoide. Quelle atteinte cutanée serait la plus en faveur de ce diagnostic ?
Nodules sous-cutanés au niveau des crêtes ulnaires
Érythème polymorphe au niveau des mains
Vésicules de localisation métamérique au niveau du tronc
Papules jaunâtres au niveau du visage
Bulles hémorragiques au niveau de la muqueuse buccale
Vous recevez une patiente 45 ans, sans antécédent, se plaignant d'éruptions vésiculeuses étendues en bouquet de part et d'autre des commissures labiales. Quel agent pathogène est le plus probablement impliqué ?
Le virus varicelle-zona (VZV)
L'Herpes simplex virus de type 1 (HSV-1)
L'Herpes simplex virus de type 2 (HSV-2)
Le cytomégalovirus (CMV)
Le virus d'Epstein-Barr (EBV)
Vous recevez un jeune hommen âgé de 20 ans vient vous consulter pour une éruption vésiculeuse sur le pénis et autour de l'anus. Quel agent pathogène est le plus probablement impliqué ?
Le virus varicelle-zona (VZV)
L'Herpes simplex virus de type 1 (HSV-1)
L'Herpes simplex virus de type 2 (HSV-2)
Le cytomégalovirus (CMV)
Le virus d'Epstein-Barr (EBV)
Vous recevez à votre consultation de médecine générale Mme V., 52 ans, dont les antécédents comportent un diabète de type 2, une HTA, une dyslipidémie et un éthylisme chronique non sevré. Elle vous consulte pour un panaris de l’index gauche survenu après une manucure un peu trop intensive. Par argument de fréquence, quel est le germe probablement responsable de ce panaris ?
Staphylococcus aureus
Streptococcus pyogenes
Staphylococcus epidermidis
Trichophyton rubrum
Microsporum canis
Vous recevez à votre consultation une femme de 45 ans. Ses antécédents comportent notamment un lupus érythémateux disséminé à l’âge de 25 ans sans autre poussée depuis. Ses constantes sont les suivantes : FC 80 ; TA 130/70 mmHg. Elle vous décrit des douleurs bilatérales des mains et des pieds. Quel élément lors de votre interrogatoire peut vous orienter vers une douleur de rythme inflammatoire ?
Douleur maximale le soir
Douleur soulagée par le repos
Douleur augmentée à la palpation
Douleur réveillant la nuit
Douleur calmée par du paracétamol
Vous recevez en consultation M. Y., 48 ans, ingénieur en aéronautique. Il souffre d’une polyarthrite survenue brutalement il y a 6 mois et qui a débuté aux genoux, avec notamment un épisode de synovite qui a duré 7 semaines, pour toucher ensuite successivement les poignets et les articulations métacarpophalangiennes. Il se plaint également d’un enraidissement de plus en plus prononcé des épaules. M.Y. n’est que peu soulagé par les AINS et il vous explique qu’il se réveille la nuit à cause de la douleur et que ses articulations sont particulièrement raides le matin. Ses antécédents comportent un tabagisme à 42 paquets-année, une dyslipidémie et un angor d’effort. Votre examen clinique et les examens complémentaires vous font finalement poser le diagnostic de polyarthrite rhumatoïde. Lors des prochaines consultations, quel sera le score le plus adapté pour évaluer l’activité de cette polyarthrite rhumatoïde ?
BASDAI
BASFI
BASMI
DAS28
HAQ
Vous recevez à votre consultation Mme V., 51 ans, secrétaire de mairie. Elle ne fume pas et ses antécédents comportent une appendicectomie dans l’enfance, une hypothyroïdie, de l’arthrose lombaire et une fracture du col du fémur survenue lors d’un AVP il y a 15 ans. Elle est droitière et se plaint d’acroparesthésies douloureuses fréquentes de la main droite à type de fourmillements et d’engourdissement. Ces douleurs empirent la nuit et l’empêchent de dormir. Vous pensez à un syndrome du canal carpien. Quel test allez-vous utiliser au cours de votre examen clinique pour mettre en évidence une compression du nerf médian ?
Test de Gerber
Test de Jobe
Test de Patte
Test de Hawkins
Test de Phalen
Vous recevez aux urgences un jeune homme de 27 ans. Plus tôt dans la journée, il effectuait un déménagement jusqu'au moment où il ressentit une violente douleur au niveau de la fesse et de la cuisse. À l'interrogatoire, vous comprenez que la douleur de la fesse irradie jusqu'au bord externe du pied gauche le long de son 5ème orteil, en passant par la face postérieure de la cuisse et le creux poplité. Vous ressentez une contracture des muscles para-vertébraux au niveau du rachis. Il n'a pas d'antécédent particulier hormis une appendicectomie à l'âge de 16 ans. L'état général conservé. Sa température est de 37,5 ̊C, sa tension artérielle est de 126/84. Sa fréquence cardiaque est normale. Le reste de l'examen clinique est normal. Quel diagnostic est le plus approprié ?
Lombocruralgie commune L3
Lombosciatique commune L5
Lombocrulagie symptomatique L4
Lombosciatique commune S1
Une étiologie extra-rachidienne
Mme A., 80 ans, est admise au service d’accueil des urgences pour diarrhée abondante et vomissements. Comme antécédents on retrouve une suspicion de tumeur du foie avec scanner injecté il y a deux semaines. Elle est sous bisphosphonates et diurétique thiazidique pour une hypertension connue. À l’examen vous retrouvez : poids 35 kg, taille 1,60 m, TA 100/62 mmHg, FC 110 bpm, saturation en oxygène 87%. Il existe un pli cutané persistant. Quel élément serait le plus en faveur du diagnostic d’une insuffisance rénale aigue?
Une petite taille des reins
Une hypocalcémie
Une hyperphosphorémie
Une anémie arégénérative
Une créatininémie de base normale
Vous recevez un patient de 55 ans se plaignant de dysurie : après évaluation clinique, vous mettez en place de l'Alfuzosine (Xatral) 1 cp le soir après le repas. Que recherchez-vous en priorité avant de prescrire ce traitement ?
Syndrome dépressif
Antécédent d'hypotension orthostatique
Association avec un inhibiteur de l'alpha-réductase
Insuffisance rénale sévère
Insuffisance cardiaque chronique
Un patient de 45 ans avec des antécédents dépressifs est admis aux urgences pour obnubilation, céphalées importantes et vomissements. Tenant un discours inapproprié, l'interrogatoire est difficile. Il présente des troubles de comportement et ne sait ni la date, ni le lieu où il se trouve. Vous le voyez regarder autour de lui, perdu. Sa femme vous dit qu'il boit « beaucoup trop de bière et que ça ne l'étonne pas qu'il soit maintenant dans cet état ». Vous apprenez aussi qu'il présente depuis quelques jours une gastro-entérite qui lui donne d'importantes diarrhées liquidiennes. Il a perdu 5 kg en 3 jours et présente à l'entrée une fébricule à 37,9 ̊C. La tension artérielle est de 110/64 mmHg. À l'examen neurologique, on ne note pas de syndrome neuro-méningé, ni d'anomalie pupillaire. Vous ne retrouvez une réponse motrice qu'à la douleur. Quel est le score de Glasgow du patient ?
8
9
10
11
12
Mr F est un patient de 35 ans suivi pour une sarcoïdose. Il est admis à l'hôpital en raison d'une hypercalcémie à 3,50 mmol/l. L’examen clinique retrouve une tension artérielle à 120/80 mmHg, une fréquence cardiaque à 75/min et une température à 37.2 ̊C. Quel est le mécanisme le plus probablement responsable de l'hypercalcémie ici ?
Granulomes osseux responsables d'une hyperrésorption osseuse
Sécrétion de parathormone par les fibroblastes des granulomes
Diminution de l'excrétion tubulaire de calcium par néphropathie tubulaire
Synthèse de 1 alpha hydroxylase par les macrophages des granulomes
Hyperrésorption osseuse liée à la corticothérapie systémique
Une femme de 70 ans est hospitalisée pour altération de l'état général. Son examen clinique retrouve une température à 37 ̊C, une fréquence cardiaque à 65/min et une tension artérielle à 115/80 mmHg. Laquelle de ces manifestations cliniques est la plus évocatrice d'une hypercalcémie symptomatique ?
Polyarthrite distale
Constipation
Nystagmus
Toux sèche
Pyurie
"Dans votre service, vous prenez en charge en hospitalisation un homme de 35 ans. Il présente depuis 2 semaines environ, de la fièvre à 38.5 ̊C et des hémoptysies. A l’examen clinique sa tension artérielle est à 120/75 mmHg, sa fréquence cardiaque à 90/min. L’auscultation pulmonaire retrouve des roncchii à droite. L’examen bactériologique des crachats est positif sur les 3 prélèvements successifs avec l’identification de mycobacterium tuberculosis. L'antibiogramme est le suivant : Isoniazide: Résistant, Rifampicine: Résistant, Ethambutol: Résistant, Pyrazinamide: Sensible, Amikacine: Sensible, Levofloxacine: Sensible. Quelle est la forme de cette tuberculose ?"
Tuberculose multi-sensible
Tuberculose multi-résistante
Tuberculose présentant un profil de sensibilité habituel
Tuberculose extrêmement résistante
Tuberculose résistante à un seul antituberculeux de première génération
Un jeune homme de 30 ans consulte à votre cabinet pour dysurie associée à des brûlures mictionnelles intenses depuis 24 heures. Ses constantes sont: TA 120/70 mmHg; pouls 90/min; T ̊ 38,5 ̊C. L’examen cytobactériologique des urines que vous lui avez fait réaliser montre des bacilles gram négatif à l’examen direct. Quelle est la bactérie la plus probablement en cause dans ce contexte de prostatite aiguë?
Neisseria gonorrheae
Chlamydia trachomatis
Ureaplasma uralyticum
Escherichia coli
Enterococcus faecalis
En tant qu’expert du paludisme, vous êtes interrogé par le ministère de la santé afin de diminuer l’incidence de la maladie dans la population cambodgienne. Quelle mesure préventive est la plus efficace pour faire baisser durablement l'incidence du paludisme ?
Utilisation régulière individuelle de répulsifs antimoustiques
Traitement prophylactique individuel au long cours
Campagnes régulières de démoustiquation
Traitement précis des cas de paludisme
Utilisation systématique de moustiquaires la nuit
Interne de garde aux urgences de Battambang, vous recevez M. Sopheap, 72 ans, sans antécedent, déposé par sa famille car légèrement confus, marbré aux genoux, fébrile à 39,2 ̊. La tension artérielle est à 140/70 mmHg avec une fréquence cardiaque à 100/min. Les premiers résultats biologiques retrouvent des GB à 24000/mm^3 et une créatininémie à 322 μmol/l. Quelle est le diagnostic le plus approprié ?
Septicémie
Sepsis sévère
Choc septique
Sepsis
Syndrome de Réponse Inflammatoire Systémique
Vous voyez en consultation de pneumologie un patient de 50 ans pour dyspnée aiguë. A l’examen clinique, la tension est à 120/80 mmHg, sa fréquence cardiaque à 90/min et la saturation à 88% en air ambiant. A l’inspection, il présente un tirage respiratoire. Quel muscle respiratoire accessoire met-il en jeu ?
Diaphragme
Sterno-cléido-mastoïdiens
Deltoide
Dilatateurs du pharynx
Trapèzes
En consultation de suivi pneumologique, vous revoyez un patient de 65 ans suivi pour insuffisance respiratoire chronique. A l’interrogatoire, il vous dit devoir d’arrêter au bout d’une centaine de mètre de marche en raison de son essoufflement. A l’examen clinique, sa tension artérielle est à 115/75 mmHg, sa fréquence cardiaque à 75/min et sa saturation en air ambiant à 90%. Quelle est son stade de dyspnée selon l’échelle du MRC (Medical Research Council) ?
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Vous voyez en consultation d’allergologie, une patiente de 12 ans pour un bilan initial de rhinite allergique. Son examen clinique est normal avec une tension artérielle à 120/75 mmHg, une fréquence cardiaque à 65/min et une saturation en air à 99%. Vous expliquez à ses parents le mécanisme de la rhinite allergique. Selon la classification de Gell et Coombs, à quelle catégorie d'hypersensibilité appartient son allergie ?
Type 1
Type 2
Type 3
Type 4
Type5
Aux urgences, vous voyez un patient pour pneumothorax droit complet. Il n’a pas d’antécédent particulier. Il n’y a pas de facteur déclenchant évident à ce pneumothorax. Son examen retrouve une tension à 130/80 mmHg, une fréquence cardiaque à 80/min, une fréquence respiratoire à 25/min, une saturation à 96%. L’auscultation pulmonaire montre une abolition du murmure vésiculaire à droite. Quel est d’après vous la lésion la plus vraisemblablement responsable de ce pneumothorax spontané idiopathique ?
Blebs
Bulle d'emphysème
Kyste
Caverne
Bronchectasie
Vous voyez en consultation en urgence une patiente de 65 ans pour dyspnée aigue. Elle n’a pas d’antécédent particulier, elle est fumeuse à raison de 1 paquet par jour depuis 30 ans. A l’examen clinique vous retrouvez une tension à 140/80 mmHg, une fréquence cardiaque à 95/min et une saturation à 90%. L’auscultation pulmonaire retrouve une diminution du murmure vésiculaire de la base gauche. La radiographie pulmonaire confirme un épanchement pleural gauche. La ponction exploratrice retrouve des cellules tumorales de carcinome épidermoïde. Quel cancer primitif devez-vous rechercher en priorité ?
Broncho-pulmonaire
Mammaire
ORL
Colique
Ovarien
Vous examinez une patiente âgée de 70 ans amenée par son fils pour des propos délirants. Celui –ci vous dit que sa mère tient des propos délirants depuis plus de 24 heures. L’examen physique est sans particularité, les constantes sont les suivantes : PA 140/85, pouls 83/min, T ̊36,5 ̊C. Quel signe allez-vous recherchez à l’examen clinique qui serait le plus en faveur d’un syndrome confusionnel ?
Des hallucinations acoustiques
Des hallucinations cénesthésiques
Une adhésion totale au délire
Un retentissement anxieux
Une désorientation temporo-spatiale
Une femme âgée de 43 ans, sans antécédents, est amenée par son mari aux urgences de l’hôpital pour un état d’agitation intense. L’examen physique est sans particularité ; les constantes sont les suivantes : PAS : 135/70, pouls 100/min, T ̊ 36,8 ̊C. Quel signe recherchez-vous qui serait le plus évocateur d’un état délirant ?
Un sentiment de dépersonnalisation
Des tremblement diffus
Un sentiment de déréalisation
La peur de mourir
Des hallucinations auditives
Vous recevez aux urgences un patient de 80 ans pour céphalées. Il n’a pas d’antécédent particulier. A l’examen clinique, sa tension artérielle est à 145/80 mmHg avec une fréquence cardiaque à 80/min. Les céphalées sont modérées. Le score de Glasgow est à 15. L’examen neurologique ne retrouve pas de déficit. Le scanner cérébral réalisé en urgence retrouve un hématome intra-parenchymateux de 15 mm. Quelle cause d'hématome intraparenchymateux principale suspectez-vous chez ce patient ?
Angiopathie amyloïde
Iatrogénie
Hypertension artérielle
Malformation artério-veineuse
Rupture d'anévrysme
Vous suivez un patient de 40 ans pour des névralgies chroniques du nerf trijumeau. Son examen clinique est normal avec une tension artérielle à 120/75 mmHg, une fréquence cardiaque à 65/min. Quelle serait la zone douloureuse la plus en faveur d’une atteinte isolée de la branche V2 du nerf trijumeau?
Lèvre inférieure
Front
Menton
Arête nasale
Paupière inférieure
Mme E, 23 ans, vous consulte pour une asthénie évoluant depuis 2 mois. Elle n'a pas d'antécédent notable et ne prend aucun traitement. Elle explique avoir pris 5 kilogrammes en 2 mois et se plaint d'une constipation d'apparition récente. L'hémogramme que vous avez demandé est le suivant: Hb 10,5g/dL VGM 105fl Réticulocytes à 40 G/L Leucocytes : 5,6G/L sans anomalie à la formule. Plaquettes : 160G/L. Parmi les examens suivants, lequel sera le plus probablement anormal ?
Natrémie
TSH
Ferritinémie
CRP
Créatininémie
Mme C, 34 ans est adressée à votre consultation pour bilan d'une thrombopénie isolée à l'hémogramme. Elle n’a pas d’antécédent particulier. Ses constantes sont : TA 130/75 mmHg, FC 75/Min, température 37.3 ̊C. L’examen cutané retrouve des pétéchies. Vous suspectez un purpura thrombopénique idiopathique. Quel est le mécanisme physiopathologique est le plus probable ici?
Auto-immun
Viral
Médicamenteux
Toxique
Bactérien
Vous recevez en consultation un homme âgé de 55 ans dans le cadre du suivi de sa cardiopathie hypertensive. Vous réalisez une échographie cardiaque qui retrouve une fonction contractile normale. L’étudiant en médecine qui vous accompagne ne comprend pas comment un patient peut développer une insuffisance cardiaque sans modification de la fraction d’éjection. Quelle est le mécanisme le plus probablement impliqué ici ?
Diminution du retour veineux au cœur droit
Trouble du rythme ou de la conduction
Augmentation de la postcharge ventriculaire
Défaut de relaxation ventriculaire gauche
Augmentation de la pression capillaire pulmonaire
Un jeune patient de 25 ans, se présente aux urgences pour nausées, vomissements et douleurs abdominales évoluant depuis 24 heures. Votre examen clinique initial relève une PA à 150/80, une tachycardie à 100/min une T ̊ 38,5 et une oligurie. Le reste de l’examen est normal en dehors d’un pli cutané. Vous réalisez de principe un ECG. Quelle est la meilleure explication physiopathologique à ce tracé ?
Untitled
Untitled
Ischémique (infarctus du myocarde)
Dégénératif (trouble conductif)
Vagal (hypertonie vagale)
Métabolique (hyperkaliémie)
Infectieux (péricardite)
De garde à la maternité, vous êtes appelé pour examiner une patiente de 24 ans, G3P2, allongée depuis plusieurs jours pour une menace d’accouchement prématurée. Elle se plaint d’avoir des difficultés à respirer et d’une douleur thoracique. A l’examen clinique vous remarquez une polypnée superficielle. Ses constantes sont les suivantes : PA 100/60 mmHg, pouls 100/min, T ̊38 ̊C, FR 27/min. Quelle anomalie de l'électrocardiogramme allez-vous probablement retrouver par ordre de fréquence dans cette pathologie?
Rotation axiale droite (aspect S1 Q3)
Bloc de branche droit complet
Onde T négative de V1 à V3
Tachycardie sinusale
Fibrillation auriculaire rapide
Vous voyez en consultation un patient âgé de 59 ans dans le cadre de la découverte d’une hyperglycémie à jeun à 17 mmol/l lors d’un examen de dépistage. A l’interrogatoire, vous retrouvez des antécédents familiaux d’angor ainsi qu’une consommation d’alcool de riz quotidienne. A l’examen clinique, ce patient est en surpoids (IMC 29kg/m2), ses constantes sont les suivantes : PA : 145/90 mmHg, pouls 75/min, apyrexie. Quel est le facteur le plus susceptible de favoriser l'apparition d'un diabète de type 2?
Un terrain auto-immun
Un antécédent familial
Un syndrome métabolique
Un alcoolisme chronique
Une hemochromatose
Au laboratoire de physiologie, vous explorez un étudiant en médecine, volontaire sain pour plusieurs analyses biologiques. Notamment, vous explorez son cycle du cortisol. Quelle va être le profil de sécrétion de cortisol le plus porbable chez ce sujet ?
Un cortisol maximum le matin avec une décroissance nycthémérale
Un cortisol bas au réveil avec un pic de sécrétion en milieu de journée
Un cortisol qui double à 1 heure de l'injection de Synacthène
Un cortisol qui reste stable sur 24 heures, sans variation nycthémérale
Un cortisol qui s'élève toute la journée avec un maximum à minuit
Vous réalisez une gastroscopie chez un patient de 50 ans, fumeur, qui présente une douleur ulcéreuse typique depuis plusieurs semaines. Son examen physique et ses constantes sont sans particularité. Vous diagnostiquez une gastrite durant l’examen et expliquez au patient que les gastrites atrophiantes exposent au risque évolutif d’adénocarcinome, en l’absence de traitement et de suivi. Quelle est l’étiologie la plus fréquemment retrouvée dans ce type de gastrite?
Gastrite à helicobacter pylori
Gastrite auto-immune
Gastrite de Ménétrier
Gastrite lymphocytaire
Gastrite à éosinophile
Une patiente âgée de 40 ans consulte à votre cabinet pour des douleurs abdominales évoluant par crise depuis quelques jours. Elle n’a pas d’antécédents en dehors d’un surpoids important. Les paramètres vitaux sont normaux. Quelle est l’origine la plus probable devant une douleur épigastrique avec irradiation à la pointe de l’omoplate droite ?
Une origine hépatobiliaire
Une origine pancréatique
Une origine colique
Une origine urologique
Une origine cardiaque
Un patient consulte à votre cabinet pour des diarrhées glairo sanglantes évoluant depuis 24 heures. A l’interrogatoire, vous retrouvez l’ingestion de volaille il y a 48 heures. L’examen physique ne retrouve pas de signe de déshydratation. Les paramètres vitaux sont conservés. Lequel de ces micro-organismes est-il le plus probablement en cause ?
Salmonella enterica
Escherichia coli
Giardia intestinalis
Staphylococcus aureus
Vibrio Cholerae
Vous revoyez en consultation un patient de 70 ans pour sa 1ere cure de chimiothérapie par CARBOPLATINE et ETOPOSIDE pour un cancer du poumon métastatique au niveau hépatique. Le diagnostic a été fait par biopsie hépatique. Il est suivi pour une hypertension sous atenolol. A l’examen clinique, la tension artérielle est à 135/80 mmHg avec une fréquence cardiaque à 80/min. Quel facteur de risque expose le plus à un risque d’aplasie fébrile ?
L’hypertension
L’âge
L’atenolol
La chimiothérapie par CARBOPLATINE
La biopsie hépatique
Vous ramassez Jimmy, 17 ans, sur le bord de la route après un AVP Scooter contre Arbre. L'examen clinique retrouve une fracture des 3 cotes gauche, une rhinoliquorhée, une fracture de fémur droite non ouverte, il produit des sons à la demande, n'ouvre pas les yeux lors de la friction sternale, présente un mouvement de retrait du bras gauche à la douleur. Quel est le score de Glasgow initial?
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Vous prenez en charge en réanimation Monsieur P, 40 ans présentant une méningoencéphalite à pneumocoque avec Coma initial. L'examen neurologique le lendemain retrouve chez ce patient sédaté mais conscient une hémiplégie droite du membre supérieur, des reflexes du troncs cérébral normaux, des pupilles myotiques symétrique, un regard tourné à droite avec une déviation des yeux controlatéral à la lésion. Quelle structure est le plus probablement atteinte ?
Nerf VI droit
Tronc cérébral
Protubérance
Hypothalamus
Corps calleux
Vous prenez en charge une patiente retrouvée chez elle dans le coma, au sol, entourée de plusieurs comprimés et de seringues. Quel est le signe que vous recherchez qui serait le plus en faveur d’une intoxiation opiacée?
Mydriase
Diminution des bruits hydro-aériques
Ataxie
Tachycardie
Polypnée
De garde au SAMU, vous êtes envoyé par le médecin régulateur au domicile d'un patient à 3h du matin avec une équipe. Ce patient de 60 ans est dyslipidémique et hypertendu. Votre examen physique retrouve une fréquence cardiaque à 120 bpm, une fréquence respiratoire à 22 cycles/min, une saturation en air ambiant à 92% et une apyrexie. La PA est symétrique à 120/70 mmHg. L'ECG 18 dérivations réalisé au domicile du patient retrouve un sus-décalage du segment ST convexe en haut et englobant l'onde T dans les dérivations D2, D3 et aVF, ainsi que des images en miroir en V1-V4. Quelle est l’atteinte la plus probable de ce syndrome coronarien ?
Antéro-septo-apical
Latéral
Antérieur étendu
Inférieur
Postérieur
Vous suivez en hospitalisation un patient de 60 ans est dyslipidémique et hypertendu ayant présenté un SCA ST+ il y a 2 semaines. Au décours de l'hospitalisation, votre patient présente un syndrome de Dressler. Quelle est la physiopathologie de ce syndrome ?
Auto-immune
Mécanique
Médicamenteux
Infectieux
Cinétique
Vous recevez aux urgences un patient de 67 ans présentant une douleur rétro-sternale en barre irradiant dans la mâchoire depuis 45 min. Vous retrouvez les constantes suivantes : FC 80 bpm ; TA 120/75 mmHg aux deux bras ; FR 18 ; saturation 98 % en AA. L’ECG réalisé montre un sus-décalage du ST convexe vers le haut en D1-VL et dans toutes les dérivations précordiales. À quel territoire cardiaque correspondent ces dérivations ?
Antéro-septo-apical
Latéral
Antérieur étendu
Inférieur
Postérieur
Vous recevez aux urgences un patient de 72 ans présentant une douleur rétro-sternale en barre irradiant dans la mâchoire depuis 45 min. Ses antécédents comporte un tabagisme à 60 paquets- année, une BPCO, une rupture de la coiffe des rotateurs à gauche opérée il y a 3 ans, une dyslipidémie et un diabète de type 2. Vous retrouvez les constantes suivantes : FC 90 bpm ; TA 100/60 mmHg aux deux bras ; FR 20 ; saturation 92 % en AA. L’ECG réalisé montre un sus-décalage du ST convexe vers le haut en D2-D3-VF et un sous-décalage en V1-V4. Quel territoire intéresse cet infarctus du myocarde ?
Antéro-septo-apical
Latéral
Antérieur étendu
Inférieur
Postérieur
Vous recevez aux urgences un patient de 67 ans pour intoxication éthylique aiguë. Il présente un syndrome confusionnel. La TA est à 125/90. Il est apyrétique. L'alcoolémie est à 4 fois la normale. Vous vous demandez si ce patient boit régulièrement de l'alcool. Quel outil est le plus approprié pour estimer un mésusage de l'alcool ?
Le MMSe
Score de Cushman
Questionnaire DATE
Score de Fine
Test de Fagerström
Vous accueillez aux urgences un patient de 66 ans, pour douleur abdominale et arrêt des matières et des gaz depuis 48h. Il n'a aucun antécédent notable hormis une appendicetomie apr Mac burney dans l'enfance, mais se plaint de troubles du transit et à type de diarrhée/constipation depuis 3 mois. Vous suspectez un cancer colo-rectal compliqué d’occlusion. Quel est le siège le plus probable de la tumeur ?
Colon droit
Colon transverse
Colon gauche
Rectum
Canal anal
Vous prenez en charge aux urgences un patient de 60 ans pour d'abondants saignements rouges vifs s'extérioriant par l'anus. Ses antécédents notables sont une fibrillation auriculaire anticoagulée par Coumadine, un tabagisme non sevré, et des douleurs lombaires dues à l'arthrose pour lesquelles il a été mis sous antalgiques par son médecin traitant. Le patient vous signale par ailleurs des douleurs abdominales post-prandiale depuis 48h malgré ses antalgiques. Quel est la description qui convient le plus au motif de consultation de ce patient ?
Hématémèse
Hémoptysie
Rectorragie
Méléna
Rhinorragie
Vous prenez en charge aux urgences un patient de 60 ans pour d'abondants saignements rouges vifs s'extérioriant par l'anus. Ses antécédents notables sont une fibrillation auriculaire anticoagulée par Coumadine, un tabagisme non sevré, et des douleurs lombaires dues à l'arthrose pour lesquelles il a été mis sous antalgiques par son médecin traitant. L'examen clinique du patient est le suivant : TA=90/55 mmHg, Fc=110/min, SaO2 = 95%. L'examen clinique est sans particularité notable en dehors d'une paleur cutanéo-muqueuse. Dans le contexte, quelle cause vous semble être la plus probablement l'origine de l'hémorragie massive ?
Le tabagisme actif
La prise d'anti-inflammatoire non stéroidien
Une tumeur gastrique
Une cirrhose hépatique décompensée
La fibrillation auriculaire
Vous recevez aux urgences un patient de 62 ans, fumeur actif (24 paquets-année) et diabétique de type 2. Sa femme vous explique qu'il a présenté une douleur thoracique latérale à droite il y a environ douze heures, suivie d'une toux, de frissons, et d'une sensation d'essouflement au repos qui s'est progressivement aggravée. Ses constantes sont les suivantes : température 39,8 ̊C, PA 88/58 mmHg, FC 125 bpm, FR 38 cycles/min, saturation en oxygène percutanée 80%. À l'examen clinique, vous constatez une cyanose importante, une contraction des muscles abdominaux à l'expiration et un battement des ailes du nez. Le patient répond difficilement à vos questions et vous paraît de plus en plus confus et somnolent. L'auscultation pulmonaire retrouve des râles crépitants aux deux champs pulmonaires et un souffle tubaire à droite. Quelle est la description la plus appropriée des signes présentés par le patient?
Des signes de lutte uniquement
Des signes d'hypoxémie uniquement
Des signes d'hypercapnie uniquement
Des signes de lutte et d'hypoxémie uniquement
Des signes de lutte et d'hypercapnie uniquement
Un patient de 85ans vous consulte pour une éruption cutanée érythémateuse apparue sur tout le corps depuis ce matin avec apparition de pustules quelques heures après. Il présente une fièvre à 38,9 ̊C. Ses antécédents sont: hypertension artérielle, diabète de type 2, dyslipidémie. Il est sous metformine 850mg x2/j, atorvastatine 10mg/j, amlodipine 10mg/j. Son médecin lui a prescrit du gliclazide il y a 1 mois car son diabète était mal équilibré. Son traitement antihypertenseur a été majoré avec adjonction de périndopril il y a 10 jours et il est traité par pristinamycine pour une érysipèle depuis 2 jours. Quelle molécule est suspectée pour cet exanthème dans l'hypothèse d'une toxidermie ?
Metformine
Atorvastatine
Gliclazide
Perindopril
Pristinamycine
Vous recevez un patient présentant des lombalgies. Vous décidez de prescrire un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS). Quelle information l’interrogatoire recherchez-vous qui nécessite l’association d'un inhibiteur de la pompe à protons ?
Insuffisance rénale chronique
Prise d’antiagrégant plaquettaire
Hypertension artérielle non contrôlée
Traitement par IEC
Tabac
Un patient traité par AINS présente une insuffisance rénale aiguë avec un profil fonctionnel. Quel mécanisme physiopathologique est le plus probable ?
Vasoconstriction de l'artériole afférente
Vasodilatation de l'artériole afférente
Vasoconstriction de l'artériole efférente
Vasodilatation de l'artériole efférente
Vasodilatation de l’arote
Une patiente de 88ans a une hypertension artérielle récemment découverte et traitée par hydrochlorothiazide. A quelle association d'effets indésirables la patiente est le plus à risque ?
Hyperkaliémie, hyponatrémie, hyperuricémie
Hyperkaliémie, hypernatrémie, hyperuricémie
Hypokaliémie, hypernatrémie, hyperuricémie
Hypokaliémie, hyponatrémie, hyperuricémie
Hypokaliémie, hyponatrémie, hypouricémie
Vous décidez de traiter l'hypertension artérielle d'un patient de 67 ans par un antagoniste calcique. Quel est l'effet secondaire le plus probable chez ce patient ?
Hyperkaliémie
Asthme
Œdèmes
Toux
Hyperglycémie
Vous réalisez un bilan de coagulation pré-opératoire chez un patient traité par antivitamines K au long cours. Au niveau pharmacologique, quel facteur de coagulation sera probablement normal?
Facteur II
Facteur V
Facteur VI
Facteur IX
Facteur X
Une patiente de 43 ans consulte pour frissons et épistaxis. Elle est en cours de traitement par chimiothérapie d’un cancer du sein avec des métastases osseuses au rachis. A l’interrogatoire et à l’examen, vous ne retrouvez pas d’éléments d’orientation étiologique. Vous suspectez une agranulocytose fébrile et réalisez une numération formule sanguine en urgence. Quel résultat est un profil de pancytopénie ?
Hémoglobine 9 g/dL Globules Blancs 2 G/L Plaquettes 90 G/L
Hémoglobine 9 g/dL Globules Blancs 9 G/L Plaquettes 90 G/L
Hémoglobine 12 g/dL Globules Blancs 2 G/L Plaquettes 200 G/L
Hémoglobine 9 g/dL Globules Blancs 12 G/L Plaquettes 200 G/L
Hémoglobine 12 g/dL Globules Blancs 12 G/L Plaquettes 90 G/L
Un patient de 51 ans sans antécédents consulte pour des douleurs épigastriques. L’interrogatoire est en faveur d’une pathologie ulcéreuse. Une gastroscopie est réalisée qui retrouve un ulcère du bulbe. Le patient vous demande des explications : vous lui dessinez le schéma anatomique ci dessous. Indiquez la proposition exacte?
Untitled
Untitled
A = Cardia ; B = Fundus ; C = Corps ; D = Pylore ; E = Bulbe
A = Pylore ; B = Fundus ; C = Corps ; D = Cardia ; E = Bulbe
A = Pylore ; B = Corps ; C = Fundus ; D = Bulbe ; E = Cardia
A = Bulbe ; B = Pylore ; C = Fundus ; D = Antre ; E = Cardia
A = Cardia ; B = Bulbe ; C = Corps ; D = Fundus ; E = Pylore
Un homme de 53 ans sans antecedents personnels ni familiaux a une visite médicale avant de commencer un nouveau travail. L’examen physique est normal hormis un surpoids (BMI 32) PA 120/60 mmHg, FC 70/min, T 37 ̊C. La bandelette urinaire retrouve une glycosurie à 3+ (+++), cétone 0, protéine 0, sang 0, leucocytes 0, nitrites 0. UN diabète est suspecté et une glycémie capillaire post prandiale est réalisée (lecteur calibré, infirmière entrainée) : 205 mg/dl. Une semaine après, une glycémie plasmatique à jeûn est realisée (laboratoire de biochimie hospitalier, fiable) : 125 mg/dl. A quelle valeur de glycémie veineuse à jeun retenez vous le diagnostic de diabète (critère OMS) ?
> 75 mg/dl
> 100 mg/dl
> 125 mg/dl
> 150 mg/dl
> 200 mg/dl
Un homme de 63ans, vous consulte pour essoufflement à l’effort. Vous le connaissez bien car il est connu pour une BPCO de stade 1. Il vous explique qu’il se sent essoufflé lorsqu’il marche avec son groupe d’amis du même âge dans les allées du Marché Olympique de Phnom Penh. Il n’a par contre pas besoin de s’arrêter pour reprendre son souffle. De plus, il est essoufflé lorsqu’il marche rapidement ou lorsque qu’il monte au Wat Phnom. Selon l’échelle MRC, quel est le stade de cette dyspnée ?
Stade 0
Stade 1
Stade 2
Stade 3
Stade 4
Un homme de 34 ans est admis aux urgences pour des céphalées fébriles. PA 90/50 mmHg, FC 110/min, SpO2 94% en air, FR 28/min, Syndrome méningé typique. Vous suspectez un sepsis sévère compliquant une méningite communautaire et vous réalisez une ponction lombaire et des hémocultures. Le laboratoire téléphone 12 heures après : les hémocultures sont détectées positives à cocci-gram positifs. Quel est le diagnostic étiologique du sepsis le plus probable pour ce patient ?
Pneumocoque
Méningocoque
Staphylocoque
Entérocoque
Gonocoque
Une femme de 32 ans sans antécédents consulte pour des brûlures urinaires et hyperthermie avec frissons. L’examen clinique est en faveur d’une pyélonéphrite aiguë gauche non compliquée. Elle n’est pas enceinte. Vous réalisez un examen cytobactériologique des urines (ECBU), et débutez une antibiothérapie probabiliste. L’examen direct retrouve de nombreux bacilles gram négatifs. D’après l’ECBU et par argument de fréquence, quel germe est le plus probablement responsable de ce tableau ?
Escherichia Coli
Proteus Mirabilis
Klebsiellia Pneumoniae
Pseudomonas Aeroginosa
Staphylococcus Saprophyticus
Vous avez diagnostiqué une polyarthrite rhumatoïde chez une patiente de 55 ans et débutez un traitement de fond par méthotrexate 2,5 mg associé à laprednisone, 10 mg/j. En consultation de suivi au 12 ̊ mois, vous notez une prise de poids de 5 kg, BMI = 34. Quel type d’obésité est le plus probable dans ce cas de corticothérapie prolongée ?
Obésité facio-tronculaire
Obésité tronculaire
Obésité gynoïde
Obésité mixte
Obésité faciale
Une patiente de 40 ans est hospitalisée en urgence après la découverte d’une insuffisance rénale d’ancienneté inconnue. Elle a un antécédent de diabète de type 1 depuis 10 ans sous insuline mais n’est pas suivie régulièrement. PA 160/90 mmHg, FC 90/min, FR 26 min. Poids 60 kg, taille 160 cm. Le bilan biologique montre créat 100 micromol/l, urée 2 g/l, potassium 6 mmol/l, bicarbonates 15 mmol/l, sodium 135 mmol/l, glycémie 10 mmol/l. Calculez la clairance de la creatinine de cette patiente avec la formule de Cokroft?
42
62
82
102
122
Un patient de 54 ans aux antécédents d’hypertension artérielle et de diabète depuis 15 ans consulte pour des épistaxis récidivantes depuis 4 semaines, environ 2 fois par semaine, unilatérale à droite. Il est tabagique (environ 15 paquets-année) et alcoolique chronique (environ 6 bières/jour) non sevré. PA 190/90 mmHg, FC 90/min, T 37,2 ̊C. Quelle étiologie vous paraît la plus probable à ce stade ?
Tumeur du cavum
Abcès des fosses nasales
Polype hypertrophique
Hypertension artérielle
Cirrhose hépatique
Un patient de 53 ans est admis pour céphalées et acouphènes depuis 3 semaines. Il a des antécédents de diabète de type 2 depuis 15 ans, actuellement sous biguanides, et d’insuffisance rénale chronique (dernier bilan il y a 6 mois : clairance à 30 ml/min). Vous prenez sa tension artérielle. D’après la définition de l’OMS (WHO), quelle est la définition de l’hypertension artérielle ?
PAs ≥ 130 et PAd ≥ 80
PAs ≥ 130 et PAd ≥ 90
PAs ≥ 140 et PAd ≥ 80
PAs ≥ 140 et PAd ≥ 90
PAs ≥ 150 et PAd ≥ 90
Mme Y. âgée de 40 ans sans antécédents est hospitalisée pour une hémorragie digestive haute. A l’interrogatoire, vous apprenez qu’elle a pris des AINS depuis 5 jours pour des céphalées. Elle a bénéficié d'une endoscopie haute qui a montré un ulcère gastrique Forrest IIb. Dans la physiopathologie de cette hémorragie digestive par AINS, quelle est l’hormone de la défense de muqueuse gastrique qui est anormale ?
Prostaglandine
Gastrine
Histamine
Somatostatine
Sécrétine
Une femme de 56 ans, gauchère, tabagique, hypertendue et diabétique traitée depuis 10 ans consulte suite à un épisode de faiblesse de la main gauche ayant durée une heure. L’examen neurologique est maintenant normal. Láuscultation cardio-vasculaire est normale. PA 170/100 mm Hg, FC 90/min reguliere, T 37 *C. Vous faites l’hypothèse diagnostique d’Accident Ischémique Transitoire. A quelle artère correspond le territoire atteint ?
Artère cérébrale antérieure droite
Artère cérébrale antérieure gauche
Artère cérébrale moyenne droite
Artère cérébrale moyenne gauche
Artère cérébrale postérieure droite
Un homme de 32 ans chauffeur de moto est amené aux urgences après un accident de la voie publique avec traumatisme crânien. PA 120/70 mmHg, FC 100/min, T 36 ̊C. Vous évaluez son score de Glasgow : il ouvre les yeux à la douleur, sa réponse verbale est inappropriée, sa réponse motrice est orientée à la douleur. Quel est le score de Glasgow de ce patient ?
Glasgow 4 (Y1 V2 M2)
Glasgow 6 (Y1 V2 M3)
Glasgow 8 (Y2 V2M4)
Glasgow 10 (Y2 V3 M5)
Glasgow 12 (Y3 V4 M5)
Une patiente de 57 ans consulte aux urgences car elle dit « ne plus rien sentir du côté droit, surtout la main et la bouche » depuis 2h. Elle a pour antécédents un tabagisme à 10 paquets-années, une dyslipidémie et une HTA traitée. A l’examen : TA 180/80mmHg, FC 80/mn, T 38,1 ̊C, hypoesthésie de l’hémicorps droit et de l’hémiface droite sans trouble moteur ni trouble cognitif. Vous diagnostiquez un accident vasculaire cérébral. Quelle structure anatomique est la plus probablement atteinte?
Thalamus gauche
Lobe pariétal gauche
Capsule interne gauche
Lobe frontal gauche
Protubérance gauche
Mme A., 80 ans, est admise au service d’accueil des urgences pour oligurie depuis 24h (diurèse estimée à 300ml), suite à des diarrhées abondantes et vomissements après un banquet de mariage à Battambang. Antécédents: HTA depuis 5 ans, fracture du col du fémur il y a 5 ans. Traitement habituel: 1 diurétique thiazidique (hydrochlorothiazide, ESIDREX ̊). Elle a aussi eu une échographie abdominale et un scanner injecté il y a 2 semaines pour le bilan d’une hépatomégalie suspecte de cancer. Poids 35 kg, taille 1,60 m, PA 100/62 mmHg, FC 110/min, saturation en oxygène 97%. Vous demandez à l’étudiant en médecine du service de calculer la clairance de la créatinine pour apprécier le degré de l’insuffisance rénale. Il vous donne la formule de Cockcroft: quelle est la formule exacte pour cette patiente?
[(140 – âge) x poids / créatinine (en micromol/l)] x 1.04
[(140 – âge) x poids x créatinine (en micromol/l)] / 1.04
[(140 – poids) x âge / créatinine (en mmol/l)] x 1.23
[(140 – poids) x âge / créatinine (en micromol/l)] x 1.23
[(140 – âge) x poids / créatinine (en milimol/l)] x 1.04
Vous recevez dans votre cabinet de médecine générale un enfant de 2 ans présentant de multiples élevures saillantes, circonscrites et ombiliquées, mesurant de 1 à 5 mm et situées autour de la bouche et sur les joues. Elles ne contiennent pas de liquide. Quel type de lésion élémentaire présente ce patient ?
Vésicules
Pustules
Bulles
Papules
Nodules
Vous recevez dans votre cabinet de médecine générale un enfant de 6 ans présentant des placards rouges vifs confluents au niveau des plis de flexion, du thorax et de l'abdomen, sans intervalles de peau saine et accompagnés d'une sensation de cuisson. Les lésions disparaissent à la vitropression. Quel type de lésion présente ce patient ?
Un exanthème morbilliforme
Un exanthème roséoliforme
Un exanthème scarlatiniforme
Un angiome plan
Un purpura pétéchial
Vous recevez dans votre cabinet de médecine générale un enfant de 2 ans présentant des maculo-papules rouge-vif, non prurigineuses, avec des intervalles de peau saine. Les lésions sont situées au niveau du visage, derrière les oreilles, au niveau du tronc et disparaissent à la vitropression. Quel type de lésion présente ce patient ?
Un exanthème morbilliforme
Un exanthème roséoliforme
Un exanthème scarlatiniforme
Un angiome plan
Un purpura pétéchial
Un nourrisson de 6 mois est amené par ses parents pour une dyspnée sifflante apparue dans le 24 heures. L’enfant présente un freinage expiratoire avec une polypnée superficielle. Ses constantes sont les suivantes : PA 80/40, pouls 130/min, T ̊ 38,2 ̊C, Sp02 93%. Vous ne retrouvez pas de foyer à l’auscultation. Quel germe sera le plus probablement en cause dans ce cas ?
Streptococcus pneumoniae
Staphylococcus aureus
Virus influenzae type A
Virus respiratoire syncitial
Haemophilus influenza type B
Vous voyez en urgence accompagné de sa maman, un garçon de 2 ans pour un premier épisode de crise convulsive généralisée. A l’examen clinique ce jour, la température est à 40 ̊C, la tension artérielle à 130/80 mmHg, la fréquence cardiaque à 80/ min. Vous suspectez une convulsion hyperthermique. Quel critère de convulsion hyperthermique compliquée recherchez-vous ?
Antécédents familiaux
Durée supérieure à 5 minutes
Manifestation unilatérale
Révulsion oculaire
Récidive de la crise
Vous voyez en urgence accompagné de sa maman, un garçon de 2 ans pour un premier épisode de crise convulsive généralisée. A l’examen clinique ce jour, la température est à 40 ̊C, la tension artérielle à 130/80 mmHg, la fréquence cardiaque à 80/ min. Quel élément serait le plus en faveur du caractère complique de cette crise ?
Antécédents familiaux
Durée supérieure à 5 minutes
Manifestation unilatérale
Révulsion oculaire
Récidive de la crise
Vous examinez un jeune enfant de 8 ans aux urgences, amené par ses parents pour des douleurs abdominales croissantes depuis quelques heures. L’enfant est couché sur le côté, hypotonique. Ses constantes sont les suivantes : T ̊ 38,8, PA 75/40 mmHg, pouls 140/min. Quel signe clinique vous orienterait le plus vers une prise en charge chirurgicale en urgence, avant réalisation de tout examen complémentaire ?
Une fièvre supérieure à 40 ̊ avec frissons
Une contracture généralisée à tout l’abdomen
Une diminution des bruits hydro aériques
Une sensibilité à la palpation abdominale
Un tympanisme à la percussion abdominale
Un nourrisson de 2 mois est amené par ses parents aux urgences pour des vomissements post-prandiaux évoluant depuis quelques jours. L’enfant commence à montrer des signes de déshydratation avec une hypotonie et un pli cutané. Ses constantes sont les suivantes : Pouls 160/min, PA 75/35 mmHg, T ̊ 36,6 ̊. Quel élément de l’interrogatoire vous orienterait le plus vers une sténose du pylore ?
Une modification progressive de l’aspect des selles
Des vomissements d’aspect bilieux à distance des repas
Des pleurs et un refus au moment des biberons
La perte d’appétit progressive en quelques semaines
La notion d'intervalle libre sans vomissements depuis la naissance
Un nourrisson de 6 mois est amené par ses parents aux urgences car il a « présenté des mouvements désordonnés dans tous les sens puis il est devenu tout mou ». A l’examen, l’enfant présente une toux grasse et une rhinorrhée purulente. Ses paramètres vitaux sont les suivants : PA 85/50 mmHg, pouls 110/min, T ̊ 39,4 ̊. Parmi les critères suivants, lequel vous fera le plus suspecter une crise convulsive dite complexe de l'enfant ?
Absence de signe de focalisation
Crise partielle d’un hémicorps
Durée inférieure à cinq minutes
Absence de déficit post-critique
Age supérieur à un an
Vous travaillez comme épidémiologiste à l’Institut Pasteur. Un stagiaire vous interroge sur le virus de la dengue. Quelle est la meilleure description de ce virus et son mode de transmission ?
Un virus à ADN transmis par un moustique du genre Culex
Un virus à ADN transmis par un moustique du genre Aedes
Un virus à ARN transmis par un moustique du genre Anopheles
Un virus à ARN transmis par un moustique du genre Culex
Un virus à ARN transmis par un moustique du genre Aedes
Vous prenez en charge une fillette de 8 ans pour douleur abdominale en fosse iliaque droite depuis 24h. Il existe une défense en fosse iliaque droite, et la jeune fille se plaint de brûlures mictionnelles. L’échographie abdominale pose le diagnostic d’appendicite aiguë. Compte tenu de sa symptomatologie, quelle est la position la plus probable de l’appendice chez cette patiente ?
Appendice latéro-caecal interne
Appendice rétro-caecal
Appendice pelvien
Appendice sous-hépatique
Appendice méso-coeliaque
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