Anestésie-réanimation DCEM3B 2017
1. Le sepsis est :
A- la présence d’un agent infectieux invasif, bactérie, virus ou parasite chez l’hôte humain
B- la réponse inflammatoire non spécifique de l’hôte humain à la libération de médiateurs de l’inflammation
C- la réponse inflammatoire systémique de l'organisme à une infection définie
D- la septicémie associée à une baisse de la TA ou à un dysfonctionnement d’un organe
E- la septicémie associée associé à une hypotension artérielle persistante malgré des thérapeutiques adaptées
Le sepsis sévère est :
A- la présence d’un agent infectieux invasif, bactérie, virus ou parasite chez l’hôte humain
B- la réponse inflammatoire non spécifique de l’hôte humain à la libération de médiateurs de l’inflammation
C- la réponse inflammatoire systémique de l'organisme à une infection définie
D- le sepsis associé à une baisse de la TA ou à un dysfonctionnement d’un organe
E- le sepsis associé à une hypotension artérielle persistante malgré des thérapeutiques adaptées
Le choc septique est :
A- la présence d’un agent infectieux invasif, bactérie, virus ou parasite chez l’hôte humain
B- la réponse inflammatoire non spécifique de l’hôte humain à la libération de médiateurs de l’inflammation
C- la réponse inflammatoire systémique de l'organisme à une infection définie
D- le sepsis associé à une baisse de la TA ou à un dysfonctionnement d’un organe
E- le sepsis associé à une hypoTA persistante malgré des thérapeutiques adaptées
4. L’antibiothérapie probabiliste de méningites communautaires avec signes neurologiques de localisation :
A- Lévoflaxacine
B- C3G (Céfotaxime ou Ceftriaxone) + Vancomycine
C- Érythromycine
D- Pénicilline G
E- Céphalexine
5. L’antibiothérapie probabiliste de méningites post-traumatiques :
A- Vancomycine
B- Imipénème
C- Céftriaxone + vancomycine
D- Amoxicilline
E- Lévoflaxacine
6. L’antibiothérapie probabiliste de pneumopathies communautaires :
A- Augmentin ou Céfotaxime ou Ceftriaxone + Ofloxacine ou Lévofloxacine
B- Amikacine
C- Céphalexine + Gentamycine
D- Pénicilline G
E- Métronidazole
7. L’antibiothérapie probabiliste de pneumopathies nosocomiales :
A- Céphalexine
B- Céfamandole
C- Bêtalactamine antipseudomonas + Amikacine ou Ciprofloxacine
D- Pénicilline G
E- Ampicilline + Gentamycine
8. L’antibiothérapie probabiliste de péritonites communautaires :
A- Céphalexine
B- Ampicilline
C- Cefotaxime + Métronidazol
D- Vancomycine
E- Amoxicilline + acide clavulanique (Augmentin®)
9. Cas Clinique : Le patient 42 ans, masculin, est hospitalisé pour une douleur abdominale. Il n’a aucun antécédent médical ou chirurgical. Il a pris un médicament (Profénid®) depuis 15 pour des lombalgies. Les douleurs intenses ont commencé brutalement il y a 12h. À l’examen, l’abdomen est douloureux et une défense nette au niveau de l’épigastre. La pression artérielle est de 70/40 mmHg, pouls 120/min, la température 39 oC. L’examen de laboratoire montre un leucocyte 14000/mm3, Hb 10.5 g/dl, Ht 36%, plaquette 160 000/mm3, urée sanguine 0.48 g/l, créatininémie 98 µmol/l, transaminase ASAT 25 ui/l, ALAT 30 ui/l, bilirubinémie totale 10 µmol/l, amylasémie 40 ui/l. Quel est le diagnostic possible de ce patient ?
A- Gastrite aiguë avec un état septique
B- Pancréatite aiguë avec un sepsis
C- Cholecystite aiguë avec un sepsis grave
D- Péritonite aiguë par perforation gastro-duodénale avec un sepsis sévère
E- Péritonite biliaire avec un choc septique
10. Cas Clinique : Un patient 38 ans, masculin, est arrivé au service de réanimation pour une plaie infectée de la jambe droite avec un état de détresse respiratoire aigu. Le patient a eu un traumatisme de la jambe droite depuis une semaine par un accident de moto. Il n’a pas été allé à l’hôpital. Il a pris des médicaments lui-même à sa maison. Vers le 7è jour, le patient a présenté une douleur de la jambe droite très intense avec oedème gonflement ecchymotique et plaie nécrosée sur la face antérieure et externe de la jambe. À l’examen, le patient est en état dyspnéique important, la TA 80/40 mmHg, FC 130/min, la temperature 39.5 0C, la SaO2 87%. Après une heure de remplissage vasculaire avec un NSS 2000 ml, gélafundine 5oo ml et d’administration de Noradrénaline 40 ml/h (= 1.600 mg/h), la TA reste basse (85/38 mmHg). Quel est le diagnostic de ce patient ?
A- Traumatisme de la jambe droite avec un sepsis
B- Traumatisme de la jambe droite avec un sepsis sévère
C- Traumatisme de la jambe droite avec un état septique
D- Traumatisme de la jambe droite avec un choc septique
E- Traumatisme de la jambe droite sans un état septique
1. Étiologies de l’OAP cardiogénique ?
A. Les pneumopathies aiguës bactériennes, virales ou parasitaires
B. Le syndrome de Mendelson, noyade
C. Les polytraumatismes, contusion pulmonaire
D. Les cardiopathies ischémiques, troubles de la fonction systolique VG, valvulopathies cardiaques (RM), troubles du rythme cardiaque
E. La péritonite, pancréatite aiguë et infarctus mésentérique
2. Tableau clinique de l’OAP lésionnel ?
A. Une céphalée, vertige et vomissements
B. Une tachypnée intense avec tirage, FR > 30/min, cyanose, tachycardie > 120/min, expectoration hémorragique, râles crépitants des deux poumons
C. Une douleur précordiale, FC < 60 /min
D. Une douleur épigastrique, péri-ombilicale et un méléna
E. Une crampe musculaire, douleur articulaire
3. Le gaz du sang de l’OAP lésionnel montre :
A. Une hypoxémie minime
B. Une hypoxémie modérée
C. Une hypoxémie profonde (PaO2 < 50 mmHg) + hypocapnie, alcalose gazeuse
D. Une hypercapnie
E. Une normocapnie
4. Le gaz du sang de l’OAP cardiogénique montre :
A. Une hypoxémie minime
B. Une hypoxémie modérée
C. Une hypoxémie profonde
D. Une hypoxie, hypocapnie ou hypercapnie, acidose respiratoire
E. Une normocapnie
5. Le traitement symptomatique de l’OAP cardiogénique :
A. Une utilisation des anti-inflammatoires non-stéroïdes
B. Une utilisation des corticoïdes
C. Une oxygénothérapie nasale à forte débit (6 à 12 L/min), VNI ou ventilation assistée, vasodilatateurs veineux (dérivés nitrés), diurétiques de l'anse (IV), correction des troubles du rythme cardiaque
D. Une utilisation de ceftriaxone + vancomycine (IV)
E. Une prescription des antituberculeux
6. Le traitement symptomatique de l’OAP lésionnel :
A. Une utilisation des diurétiques de l'anse par voie IV
B. Une utilisation des dérivés nitrés
C. Une utilisation du cordarone ou de l’atropine
D. une oxygénothérapie nasale ou par masque facial à fort débit, ventilation mécanique avec PEP
E. Une utilisation d’un cardiotonique (dobutamine)
7. Un patient, 45 ans, masculin présente un état dyspnéique depuis 3 jours. Il a des antécédents d’une hypertension artérielle, un trouble du rythme cardiaque et une dyspnée d’effort. La radiographie pulmonaire montre une image suivante Quel est le diagnostic possible de ce patient ?
A. Une bronchopneumonie
B. Une pneumonie franche lobaire aiguë
C. un épanchement pleural
D. un œdème aigu du poumon cardiogénique
E. Un pneumothorax
8. Une femme de 84 ans est arrivée au service d’urgences pour un état dyspnéique il y a 2 jours. Elle avait des antécédents de cardiopathie et d’hypertension artérielle. À l’examen, la tension artérielle est à 190/110 mmHg, la fréquence cardiaque à 120/min, la SaO2 87%, le pouls irrégulier. Il existe des râles crépitants prédominants aux deux bases pulmonaires. La radiographie thoracique montre suivante : Quel est le diagnostic possible de ce patient ?
A. Une pleurésie avec hypertension artérielle
B. Une pneumonie aiguë
C. un œdème aigu du poumon lésionnel avec hypertension artérielle
D. un œdème aigu du poumon (OAP) cardiogénique avec hypertension artérielle
E. Un pneumothorax
1. Étiologies de l’insuffisance cardiaque par dysfonction diastolique :
A. La cardiomyopathie dilatée, hyperthyroïdie
B. La thyréotoxicose, cardiopathies rythmiques (FA, TSV, TV)
C. La cardiomyopathie hypertrophique obstructive
D. La cardiopathie diabétique, amylose cardiaque, hémochromatose
E. l’insuffisance mitrale aiguë, CIV congénitale ou acquis
2. Traitement non médicamenteux en cas de bloc de branche gauche :
A. Une surveillance régulière du poids
B. La pose d'un stimulateur cardiaque multi-site (Pace Maker)
C. L'exercice physique
D. Une restriction hydrique
E. l’utilisation des diurétiques
3. Les complications les plus fréquentes de l’insuffisance cardiaque sont :
A. Une infection
B. L'insuffisance respiratoire
C. L'insuffisance hépatique
D. Les troubles du rythme, accidents thrombo-emboliques, insuffisance rénale
E. Une hyperthyroïdie
4. Traitement médicamenteux de l'insuffisance cardiaque systolique :
A. Les anti-arythmiques de classes 1
B. Les corticoïdes
C. les IEC, ARAII, diurétiques, bêtabloquants, Digitaliques
D. La pose d'un stimulateur cardiaque multi-site (Pace Maker)
E. Les anti-inflammatoires non-stéroïdes (AINS)
5. Chez un malade en insuffisance cardiaque, l’utilisation des digitaliques est indiquée en cas de :
A. Bradycardie sinusale
B. Tachycardie ventriculaire
C. Tachycardie par fibrillation auriculaire
D. Blocs auriculo-ventriculaires des 2è et 3è degrés
E. Fibrillation ventriculaire
6. Parmi les médicaments suivants utilisés dans le traitement de l’insuffisance cardiaque, quel est celui qui est contre-indiqué en cas de tachycardie ventriculaire :
A. Inhibiteur de l’enzyme de conversion (IEC)
B. diurétique
C. bêta-bloquant
D. digitalique
E. dérivé nitré
7. Quels médicaments qui ne sont pas recommandés dans le traitement de l’insuffisance cardiaque systolique :
A. Les inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC)
B. Les antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II (ARA II)
C. Les diurétiques
D. Les bêta-bloquants
E. Les inhibiteurs calciques
1- le diagnostic positif de l’arrêt cardio-circulatoire nécessite :
A. Pâleur
B. Inconscience
C. Apnée
D. Absence de pouls artériel
E. B,C et D sont corrects
2- Les gestes que vous faites immédiatement, après vous venez de poser le diagnostic positif d’ACC
A. Prescrire de l’Adrénaline 1 mg / 3 minutes
B. Noter l’heure
C. Appeler à l’aide
D. Commencer la RCP
E. B,C et D sont corrects
• 3- Parmi les mécanismes générateurs d’ACC suivants, lesquels sont exacts ?
A. Ischémie myocardique
B. Insuffisance circulatoire
C. Trouble du rythme cardiaque
D. Incompétence myocardique
E. Tous sont corrects
4- Vous prenez en charge un malade en ACC extra-hospitalier. Avant de poser un scope, quelle est votre hypothèse pour son tracé ECG ?
A. Asystolie
B. Dissociation Electro-Mécanique
C. Fibrillation Ventriculaire
D. Tachycardie Ventriculaire
E. Tous sont corrects
5- Vous prenez en charge un malade en ACC intra-hospitalier. Que recherchez-vous en priorité ?
A. Infarctus du Myocarde
B. Hypoxie
C. Embolie pulmonaire
D. Hypovolémie
E. Tous sont correct
• 6- Vous réalisez une RCP de base chez un patient en ACC. Dans quel ordre réalisez-vous les gestes ? A = Airways ; B = Breathing = ventilation ; C = Circulation = MCE
A-B-C
B-C-A
B-A-C
C-A-B
C-B-A
7- Massage Cardiaque Extern( MCE) doit être:
A- 80 par min
B- 90 par min
C- 110 par min
D- 130 par min
E- Tous sont corrects
8- Vous réalisez une RCP de base chez un patient en ACC. Quelles sont les complications possibles du MCE ?
A. Rupture gastrique
B. Fracture du sternum et des côtes
C. Pneumothorax
D. Inhalation de liquide gastrique
E. Tous sont corrects
9- Concernant la RCP spécialisée, quelles sont les mesures exactes ?
A. Monitorage
B. Traitement pharmacologique
C. Expansion volémique
D. Pose d'un abord veineux
E. Toux sont corrects
10- Un patient est trouvé en état de mort apparente par l’infirmière. L’ECG enregistre une asystolie. Quelle injection ordonnez-vous en urgence ?
A. Adrénaline 3mg
B. Cordarone 300mg
C. Adrénaline 1mg
D. Atropine 0.5mg
E. Atropine 1mg
11- Face à un patient en ACC, dans quelle situation utiliserez-vous de l’atropine ?
A. Fibrillation ventriculaire
B. Asystolie
C. Bradycardie en dissociation éléctro-mécanique
D. Tachycardie ventriculaire
E. Torsade de pointe
Quelle sont les signes de choc hémorragique?
A. Altération de la conscience
B. Tachycardie
C. Dyspnée
D. Pâleur
E. Tous sont corrects
.13- Un adult patient traumatisé est tombé dans un état choc hémorragique.Quel est le probabilité quantité sanguine perdu que vous estimer?
A. <15% de volémie
B. <20% de volémie
C. <25% de volémie
D. >30% de volémie
E. Tous sont corrects
.14- Un patient traumatisé est tombé dans un état choc hémorragique. Vous trouvé un hématome de hypochondre gauche. Que faites vous en urgence?
A. Radiographie pulmonaire
B. Scanner cérébrale
C. Echographie abdominale(FAST)
D. ECG
E. Tous sont corrects
.15- Prise en charge immediate du patient hémorragique.
A. Compression directe la plaie.
B. Lever les membre blessé.
C. Placer la victime dans une position couchée.
D. Pancement compressif.
E. Tous sont corrects
1. Concernant l’intoxication par alcool méthylique (méthanol), tous les propositions sont vrais sauf une.
Le méthanol est directement toxique pour le nerf optique
Son métabolisme au niveau hépatique nécessite le même catalyseur que celui de l’éthanol.
L’élimination de l’acide formique est favorisée par l’administration de l’acide folique
Le méthanol est éliminé dans 10-20% par la voie respiratoire
2. Choix l’antidote de la benzodiazépine
Flumazénil
Naloxone
N-acétylcysteine
Protamine
Pralidoxim
Fomepyzole
3. Lequel est l’antidote de la morphine ?
Flumazénil
Naloxone
N-acétylcysteine
Protamine
Pralidoxim
Fomepyzole
4. Lequel est l’antidote de l’héparine,
Flumazénil
Naloxone
N-acétylcysteine
Protamine
Pralidoxim
Fomepyzole
5. Lequel est l’antidote du Méthanol
Flumazénil
Naloxone
N-acétylcysteine
Protamine
Pralidoxim
Fomepyzole
6. Lequel est l’antidote de l’organophosphorés
Flumazénil
Naloxone
N-acétylcysteine
Protamine
Pralidoxim
Fomepyzole
7. Lequel est l’antidote pour le surdosage de l’acétaminophène
Flumazénil
Naloxone
N-acétylcysteine
Protamine
Pralidoxim
Fomepyzole
8. 6h après une morsure du serpent, le malade présent une hypotonie de la nuque, une difficulté de parler et d’avaler. Quel est le serpent suspecté ?
ស់ហនុមាន Cryptelytrops albolabris
ស់វែកក្របី naja kaouthia
ស់ពព្លាក់ Malayan pit viper
ស់ស្រកាចាស់ Roussell viper
9. 3h après une morsure du serpent, le malade présent des taches ecchymotiques sur les deux jambes, les points de morsure sont très douloureux, rouge et œdémateux qui s’étendre. Quel est le serpent suspecté ?
ស់សមុទ្រ Enhydrina
ស់វែកក្របី naja kaouthia
ស់ពព្លាក់ Malayan pit viper
ស់ក្រាយ Malayan Krait
10. 1j après la morsure du serpent, le malade présent une élévation de la créatinine, de l’urée ; ecchymotiques sur les deux jambes, Il n’y a pas de grande hémorragie, l’hémodynamique est stable. Quel est le serpent suspecté ?
ស់សមុទ្រ Enhydrina
ស់វែកក្របី naja kaouthia
ស់ស្រកាចាស់ Roussell viper
ស់ខៀវ Cryptelytrop macrops
11. La prise en charge immédiate après la morsure du serpent. Une seule réponse.
Prendre la tête du serpent pour montrer au médecin
Faire l’incision 2-3cm au niveau de la morsure pour chasser le venin
Aspirer le point de morsure par la ventouse
Immobiliser le membre atteint, réduire la contraction musculaire
12. Le sérum antivenimeux polyvalent hématologique est indiqué pour la morsure suivante sauf une.
De Naja siememsis ពស់វែកដំបូក
De Roussel’s viper ពស់ស្រកាចាស
De Malayan pit viper ពស់ពព្លាក់
De cryptelytrope albolabris ពស់ហនុមាន
13. Concernant le sérum antivenimeux, les propositions suivants sont faux sauf une, laquelle?
Si le patient est un terrain allergique, il est contre indiqué
Utiliser le sérum polyvalent hématologique et neurologique (dans le même flacon) est plus économique et moins de risque allergique.
La réaction anaphylactique est négligeable.
Donner le plus tôt, il est plus efficace.
14. Les signes et symptômes suivants sauf un, indique l’administration de sérum antivenimeux.
Douleur au niveau de la morsure
Ptose palpébrale
Teste 20 minutes WBCT positif
Une insuffisance rénale aigue
15. Concernant l’accident vasculaire cérébrale, choix une proposition vraie
La pénombre ischémique dure moins de 24h
La fenêtre thérapeutique de la thrombolyse est de 4.5h
Le risque de transformation hémorragique chez les thrombolysés et non-thrombolysés est similaire
Tous les AVC hémorragiques nécessitent d’une angiographie cérébrale ou MRA.
16. Concernant l’AVC hémorragique, choix une proposition vraie :
Est toujours causé par l’hypertension artérielle chronique
L’anévrisme cérébral est la cause fréquente de l’hémorragie sous-arachnoïdienne
L’hématome sus-tentoriel de diamètre plus de 3 cm est toujours mortel
La classification de Hun & Hess est utilisé pour grader la gravité de l’hémorragie intracérébrale
17. Quelques minutes à quelques jours après l’installation de l’hémorragie sous arachnoïdes, il survient les phénomènes suivant ; choix une vraie
Une augmentation de la pression intra crânienne
Un arrêt transitoire du mécanisme d’autorégulation du débit sanguin cérébrale
Une ischémie cérébrale secondaire
Toutes les propositions aux dessus sont vraies
18. Quelques minutes à quelques heures après l’obstruction un des branches de l’artère cérébral moyen, il survient les phénomènes suivant ; choix une vraie
Une zone d’infarcis cérébrale irréversible
Une zone entourée de l’infarcis qui s’arrête à fonctionner mais pas encore mort
Un œdème cérébral
Toutes les propositions aux dessus sont vraies
19. Quelques minutes à quelques jours après l’installation de l’hémorragie intracérébrale, il survient les phénomènes suivant ; choix une vraie
Une augmentation de la pression intra crânienne
Un effet de masse dans le cerveau
Un œdème cérébral autour de l’hématome
Toutes les propositions aux dessus sont vraies
20. Concernant l’intoxication par alcool méthylique (méthanol) ; choix une réponse vraie
Acidose métabolique avec trou anionique
Trouble de la vision
Trouble de la conscience
Tous les réponses en haut sont vrais
21. Les signes cliniques suivants sauf un, sont en rapport avec l’hyperactivité cholinergique du récepteur muscarinique.
A. bradycardie
B. mydriase
C. hypersécrétion, salivaire, bronchique
D. NV/diarrhée
E. Incontinence urinaire/fécale
22. Les signes cliniques suivants sauf un, sont en faveur d’une morsure par le serpent du groupe Elapidé.
A. paresthésie
B. Disparition de la mimique
C. dysphonie
D. Urine noirâtre (hémolyse)
23. Les signes cliniques suivants sont en faveur d’une morsure par le serpent du groupe Elapidé, sauf un
A. fasciculation
B. Paralysie faciale
C. nécrose qui s’étendre en profondeur et en surface
D. Paralysie du muscle respiratoire
24. Concernant la décontamination digestive, elle est inefficace et même dangereuse dans les cas suivant, sauf un :
A. L’ingestion de kérogène
C. Surdosage de l’antidépresseur tricyclique
B. L’ingestion du méthanol
D. L’ingestion du liquide détergent
25. Concernant le produit insecticide, choix une réponse vraie
A. Le groupe de l’organochloré est le plus utilisé actuellement
B. Atropine seule est suffi pour le traitement de l’intoxication par le carbamate
C. Pralidoxime seul est suffi pour le traitement de l’intoxication par OP
D. Le traitement spécifique de l’intoxication par OP est l’Atropine avec ou sans pralidoxime.
Le débit sanguin cérébral est surtout augmenté par :
A. La vasoconstriction artérielle
B. L’hyperoxie
C. L’hypercapnie
D. L’hypocapnie
E. L’hypothermie
L’augmentation de la pression intracrânienne dépend des éléments ci-dessous, sauf un, lequel ?
A. Age du patient
B. Cinétique d’installation des lésions
C. Mécanisme de compensation
D. Poids du patient
E. Importance de volume des lésions
Quel est le seul signe clinique spécifique de l’hypertension intracrânienne ?
A. Céphalée
B. Déficit moteur
C. Mydriase
D. Nausées, vomissements
E. Œdème papillaire
Parmi les agressions cérébrales secondaires d’origine systémique ci-dessous, laquelle est plus grave?
A. Hypotension artérielle
B. Hypocapnie
C. Hyperglycémie
D. Hyperthermie
E. Acidose métabolique
Parmi les agressions cérébrales secondaires ci-dessous, laquelle est d’origine centrale?
A. Anémie
B. Epilepsie
C. Hypercapnie
D. Hypoxémie
E. Hyponatrémie
Les critères de réalisations d’une nouvelle TDM dans les 24 premières heures des traumatismes crâniens graves ci-dessous sont vrais, sauf un, lequel?
A. TDM initiale a été réalisée < 3h après traumatisme
B. Augmentation rapide de la pression intracrânienne
C. Apparition d’un déficit moteur
D. Trouble hémodynamique d’origine périphérique
E. Trouble de la coagulation
Choisissez la réponse la plus appropriée concernant l’optimisation respiratoire dans la prise en charge d’un traumatisme crânien grave.
SpO2 > 92%
PaO2 > 70 mmHg, PaCO2 : 35- 40 mmHg
PaO2 > 70 mmHg, PaCO2 : 25- 30 mmHg
SpO2 > 92% et PaO2 > 70 mmHg, PaCO2 : 35- 40 mmHg
SpO2 > 92% et PaO2 > 70 mmHg, PaCO2 : 25- 30 mmHg
Concernant la stratégie de prise en charge d’un traumatisé crânien grave, les optimisations hémodynamiques ci-dessous sont vraies, sauf une, laquelle ?
A. Pression artérielle systolique > 100 mmHg
B. Pression artérielle moyenne = 80 -100 mmHg
C. Pression de perfusion cérébrale = 60 -70 mmHg
D. Pression veineuse centrale =3 - 5 cmH20
E. Normovolémie
Quelle est la réponse la plus appropriée concernant le traitement de l’HTA en situation d’hypertension intracrânienne?
Ne traiter qu’au-delà de 145 mmHg de pression artérielle systolique
Ne traiter qu’au-delà de 160 mmHg de pression artérielle systolique
Traiter par des antihypertenseurs centraux ou des ß-bloquants.
Ne traiter qu’au-delà de 145 mmHg de pression artérielle systolique et Traiter par des antihypertenseurs centraux ou des ß-bloquants.
Ne traiter qu’au-delà de 160 mmHg de pression artérielle systolique et Traiter par des antihypertenseurs centraux ou des ß-bloquants.
Les indications neurochirurgicales formelles à la phase précoce du traumatisme crânien grave ci-dessous sont vraies, sauf une, laquelle ?
Hématome extradural symptomatique > 10 mm d’épaisseur
Hématome sous dural > 5 mm d’épaisseur avec déplacement de la ligne médiane > 5mm
C. Embarrures fermées compressive, épaisseur > 5mm, effet de masse avec déplacement de la ligne médiane > 5mm
Embarrures ouvertes
E. Hémorragie méningée
Au cours de traumatisme du thorax, les critères de réalisation de la tomodensitométrie ci-dessous sont vrais, sauf un, lequel ?
A. Les mécanismes violents à fort transfert d’énergie
B. Instabilité hémodynamique
C. Fractures des deux premières côtes à la radiographie
D. Toutes les anomalies du médiastin à la radiographie
E. Toutes les anomalies de la plèvre ou du parenchyme à la radiographie
Concernant la contusion pulmonaire, toutes les propositions ci-dessous sont vraies, sauf une, laquelle?
A. La contusion pulmonaire est un milieu propice à la surinfection
B. Le diagnostic est suspecté devant une hémoptysie avec hypoxie.
C. La contusion pulmonaire est visible en radiographie au bout de quelques heures
D. La TDM thoracique spiralée est le gold standard des examens d’imagerie
E. L’intubation avec ventilation mécanique est le premier objectif de traitement
Quelle est la conséquence de la contusion pulmonaire?
A. Une augmentation de débit cardiaque et index de travail du ventricule gauche
B. Une diminution du rapport ventilation/perfusion.
C. Une diminution du rapport perfusion/ventilation
D. Une augmentation de la compliance pulmonaire.
E. Une diminution des résistances des voies aériennes.
À propos du volet costal, quelle est la proposition fausse parmi les suivantes?
A. Il se définit comme un double trait de fracture sur au moins trois côtes adjacentes
B. Il est plus grave lorsqu’il est antérieur
C. Il est de topographie latérale le plus souvent
D. Il peut entrainer une insuffisance respiratoire aiguë par l’instabilité mécanique et la douleur.
E. Il est très mobile lorsqu’il est postérieur
Dans les traumatismes fermés du thorax, la présence d’images hydro-aériques dans l’hémithorax gauche est en faveur :
A. Une lésion de l’œsophage
B. Une rupture diaphragmatique
C. Une atélectasie du poumon
D. Une lésion péricardique
E. Une plaie des gros vaisseaux
Devant d’un traumatisme du thorax avec suspicion de pneumothorax compressif, que faites-vous avant tous?
A. Oxygénothérapie à haut débit
B. Sédation et calmer la douleur.
C. Intubation avec ventilation mécanique.
D. Drainage thoracique.
E. Exsufflation à l’aiguille puis drainage thoracique.
Parmi les critères de l’intubation lors de traumatisme thoracique ci-dessous, selon Baron, quelle est l’indication de l’intubation?
Fréquence respiratoire > 25c/min
B. Fréquence cardiaque > 100/min
C. Pression artérielle systolique < 100/mmHg
D. Détresse respiratoire: PaO2 < 60 mmHg, PaCO2 > 45 mmHg, pH < 7.2
E. Au moins présence de 3 critères ci-dessus
Un patient traumatisé thoracique et inconscient est intubé par le SAMU et placé sous ventilation mécanique. Après quelques minutes, la Sp02 qui était initialement à 100% diminue à 80% et la TA chute de 110/80mmHg à 70/40mmHg. Quelle lésion intra-thoracique faut-il évoquer?
A. Une rupture diaphragmatique
B. Une rupture splénique associée
C. Une rupture oesophagienne
D. Un hémopneumothorax ou un pneumothorax compressif
E. Une contusion pulmonaire étendue
Un patient traumatisé thoracique et inconscient est intubé par le SAMU et placé sous ventilation mécanique. Après quelques minutes, la Sp02 est stable à 100% mais la TA diminue progressivement de 110/80mmHg à 70/40mmHg et la fréquence cardiaque s’accélère à 130/min. Quelle lésion associée faut-il évoquer?
Rupture diaphragmatique
Rupture isthme aortique
Rupture oesophagienne
Pneumothorax compressif
Contusion pulmonaire hémorragique
Un patient présentant un hémothorax post traumatique doit bénéficier d’une thoracotomie en urgence en cas :
A. d’anémie inférieur à 10g/100ml
B. De volet thoracique associé
C. d’un débit sanguin dans le drain supérieur à 300 ml/h pendant deux heures
D. d’un hémothorax de volume supérieur à 1L lors de la pose du drain
E. d’association à un pneumothorax
1). Quelles sont les propositions exactes concernant les symptomatologies de la crise d'asthme?
Dyspnée.
Sifflement (râles sibilants).
Oppression thoracique.
Toux sèche.
Toux avec crachat mousseux
2). Quelles sont les propositions exactes concernant les mécanismes physiopathologies de la crise d'asthme?
Inflammations chroniques des voies aériennes et le plus souvent d'origine allergique avec l' Hyperactivité bronchique.
Bronchoconstriction.
Bronchodilatation (faute).
Oedème de la muqueuse bronchique.
Hypersécrétion glandulaire.
3. Concernan la noyade en eau douce, les propositions suivants sont exactes sauf UN.Laquelle?:
Hypervolémie.
Hémodilution.
Hypernatrémie
Hémolyse
Oedème aiguë du poumon (OAP).
4). Concernant la noyade en eau de mer, les propositions suivants sont exactes sauf UN.Laquelle?:
Hypovolémie.
Hémoconcentration.
Hyponatrémie
Hypernatrémie
Oedème aiguë du poumon (OAP).
En terme des principaux temps d'anesthésie , lequel est obligatoire pour une intervention programmée ?
Prescription d' examens complémentaires
Avis spécialisé
Consultation pré anesthésie
Visite pré anesthésie
Evaluation du risque
Quel caractéristique pour la consultation préanesthésie ?
Peut se substituer la visite pré anesthésie
Faite 2h avant l'acte prévu
Evalue l'état psychologique du patient
Evalue les risques périopératoires
Les effets recherchés d'une anesthésie générale (AG) sont :
Anxiolytique et amnésie
Narcose et dépression respiratoire
Neuroplégie et myorelaxant
Amnésie et dépression cardio - vasculaire
Analgésie et dépression neurologique centrale
Le risque fréquent lors d'une anesthésie générale (AG) est :
Exacerbation d'une maladie préexistante
Dommage des yeux
Maux de gorge
Décés suite à une anesthésie
Dépression respiratoire
Les obligations lors d'une anesthésie générale (AG) :
Prise d'un sédatif la veille
Demande l'avis du cardiologue
Préparation colique
Consultation et / ou visite pré anesthésie
Monitorage avec EEG
Concernant les avantages des anesthésies loco régionales (ALR) :
Maintien de la stabilité tensionnelle
Diminution de la douleur post opératoire (DPO)
Pas d'indication dans les urgences chirurgicales
Pas de préparation préopératoire
La consultation préanesthésie n'est pas nécessaire
Les complications graves et exceptionnelles des anesthésies loco - régionales (ALR) :
Arrêt cardiaque
Chute tensionnelle
Troubles du rythme cardiaque
Confusion
Coma
Principale contre indication des anesthésies périmédullaires :
Hypertension artérielle (HTA)
Troubles de la conscience
Trouble de l'hémostase
Trouble de la miction
Troubles hydro électrolytiques
La technique des blocs nerveux pérphériques (BNP) sous échoguidage est :
Douloureuse
Désagréable
Non modulable
Irréversible
Confortable
Le caractéristique de l'anesthésie locale par infiltration :
Solutions d'anesthésique local plus concentré
Solutions d'anesthésique local peu concentré
Solutions adrénalinées sont absolument contre indiquées
Facilement applicable dans la cystoscopie
Utilisée en 1ère intention pour le cathétérisme urètéral
Cas clinique : - Patient âgé de 45 ans, grand tabagique, asthmatique depuis 7 ans, 2 à 3 crises par mois le plus souvent nocturnes traitées symptomatique, par ventoline® au besoin, pas de traitement de fond. - Consulte aux Urgences à 20H pour une Dyspnée aiguë, toux sèche, oppression thoracique à la suite une fatigue importante, éternuements, le nez qui coule, et douleur de la gorge. - L’auscultation pulmonaire : Râles sibilants diffus aux deux champs pulmonaires, - L’auscultation cardiaque est normale, TA : 130 / 90 mmHg, Pouls : 130 /mn, Quel est votre diagnostic à l’admission aux urgences? :
Tuberculose pulmonaire
OAP hémodynamique
Crise d’asthme
Intoxication médicamenteux.
Cancer pulmonaire
Cas clinique : - Patient âgé de 45 ans, grand tabagique, asthmatique depuis 7 ans, 2 à 3 crises par mois le plus souvent nocturnes traitées symptomatique, par ventoline® au besoin, pas de traitement de fond. - Consulte aux Urgences à 20H pour une Dyspnée aiguë, toux sèche, oppression thoracique à la suite une fatigue importante, éternuements, le nez qui coule, et douleur de la gorge. - L’auscultation pulmonaire : Râles sibilants diffus aux deux champs pulmonaires, - L’auscultation cardiaque est normale, TA : 130 / 90 mmHg, Pouls : 130 /mn, Quels sont les signes qui peuvent annoncer la crise d’asthme (prodromes):
Une fatigue important.
Une fatigue important.
Le nez qui coule.
Douleur de la gorge.
Toutes ces propositions sont exactes
Cas clinique : - Patient âgé de 45 ans, grand tabagique, asthmatique depuis 7 ans, 2 à 3 crises par mois le plus souvent nocturnes traitées symptomatique, par ventoline® au besoin, pas de traitement de fond. - Consulte aux Urgences à 20H pour une Dyspnée aiguë, toux sèche, oppression thoracique à la suite une fatigue importante, éternuements, le nez qui coule, et douleur de la gorge. - L’auscultation pulmonaire : Râles sibilants diffus aux deux champs pulmonaires, - L’auscultation cardiaque est normale, TA : 130 / 90 mmHg, Pouls : 130 /mn, Les symptômes de la crise d’asthme ?:
Dyspnée avec agitation.
Dyspnée avec toux.
Dyspnée de type bradypnée expiratoire, toux sèche, oppression thoracique, râles sibilants à l’auscultation pulmonaire
Toux avec crachat mousseuse
Hémoptysie.
. Cas clinique : - Patient âgé de 45 ans, grand tabagique, asthmatique depuis 7 ans, 2 à 3 crises par mois le plus souvent nocturnes traitées symptomatique, par ventoline® au besoin, pas de traitement de fond. - Consulte aux Urgences à 20H pour une Dyspnée aiguë, toux sèche, oppression thoracique à la suite une fatigue importante, éternuements, le nez qui coule, et douleur de la gorge. - L’auscultation pulmonaire : Râles sibilants diffus aux deux champs pulmonaires, - L’auscultation cardiaque est normale, TA : 130 / 90 mmHg, Pouls : 130 /mn, Les objectifs thérapeutiques essentiels dans cette situation :
Lutte contre l’obstruction bronchique : bronchodilatateurs Béta-2 à l’action rapide par nébulisation.
Lutte contre l’hypoxémie : oxygénothérapie au masque
Lutte contre l’inflammation : Corticothérapie
Pas antibiothérapie systématique.
Touts ces propositions sont exactes
. Cas clinique : - Patient âgé de 45 ans, grand tabagique, asthmatique depuis 7 ans, 2 à 3 crises par mois le plus souvent nocturnes traitées symptomatique, par ventoline® au besoin, pas de traitement de fond. - Consulte aux Urgences à 20H pour une Dyspnée aiguë, toux sèche, oppression thoracique à la suite une fatigue importante, éternuements, le nez qui coule, et douleur de la gorge. - L’auscultation pulmonaire : Râles sibilants diffus aux deux champs pulmonaires, - L’auscultation cardiaque est normale, TA : 130 / 90 mmHg, Pouls : 130 /mn, Les autres mesures thérapeutiques qu’il est possible d’associer aux mesures thérapeutique précédentes :
Hydratation.
Anticholinergiques par voie inhalé (Atrovent®).
Sulfate de magnésium.
Touts ces propositions au dessus sont exactes
Aucune des ces proposition n’exact.
. Cas clinique : - Patient âgé de 45 ans, grand tabagique, asthmatique depuis 7 ans, 2 à 3 crises par mois le plus souvent nocturnes traitées symptomatique, par ventoline® au besoin, pas de traitement de fond. - Consulte aux Urgences à 20H pour une Dyspnée aiguë, toux sèche, oppression thoracique à la suite une fatigue importante, éternuements, le nez qui coule, et douleur de la gorge. - L’auscultation pulmonaire : Râles sibilants diffus aux deux champs pulmonaires, - L’auscultation cardiaque est normale, TA : 130 / 90 mmHg, Pouls : 130 /mn, Quel traitement proposez vous aux urgences ?:
Benzodiazépine (Valium®) : IV.
Méthylxanthine (Aminophilline): IV
Oxygénothérapie, Béta2 agonistes inhalés d’action rapide, Corticothérapie
Agents mucolytiques ou fluidifiants : IV
Inhalation d’anesthésie halogéné.
. Cas clinique : - Patient âgé de 45 ans, grand tabagique, asthmatique depuis 7 ans, 2 à 3 crises par mois le plus souvent nocturnes traitées symptomatique, par ventoline® au besoin, pas de traitement de fond. - Consulte aux Urgences à 20H pour une Dyspnée aiguë, toux sèche, oppression thoracique à la suite une fatigue importante, éternuements, le nez qui coule, et douleur de la gorge. - L’auscultation pulmonaire : Râles sibilants diffus aux deux champs pulmonaires, - L’auscultation cardiaque est normale, TA : 130 / 90 mmHg, Pouls : 130 /mn, Dans l’asthme, il se produit une obstruction :
Du pharynx.
De l’œsophage.
Des broches
Des voies urinaires excrétrices.
La perforation intestinale est une complication parfois liée à une crise d’asthme.
. Cas clinique : - Patient âgé de 45 ans, grand tabagique, asthmatique depuis 7 ans, 2 à 3 crises par mois le plus souvent nocturnes traitées symptomatique, par ventoline® au besoin, pas de traitement de fond. - Consulte aux Urgences à 20H pour une Dyspnée aiguë, toux sèche, oppression thoracique à la suite une fatigue importante, éternuements, le nez qui coule, et douleur de la gorge. - L’auscultation pulmonaire : Râles sibilants diffus aux deux champs pulmonaires, - L’auscultation cardiaque est normale, TA : 130 / 90 mmHg, Pouls : 130 /mn, Dans l’asthme de l’adulte on trouve de point de vue physiopathologie :
Inflammation chronique des voies aériennes impliquant de multiples cellules, notamment les mastocytes, les éosinophiles, les lymphocytes T.
Hyperréactivité bronchique en réponse à des stimuli variés.
Obstruction bronchique par différents mécanismes : l’œdème de la paroi bronchique, la contraction des muscles lisses bronchique, et une hypersécrétion bronchique.
Régulation neurologique du tonus bronchique.
Toutes ces propositions sont exactes
. Cas clinique : - Patient âgé de 45 ans, grand tabagique, asthmatique depuis 7 ans, 2 à 3 crises par mois le plus souvent nocturnes traitées symptomatique, par ventoline® au besoin, pas de traitement de fond. - Consulte aux Urgences à 20H pour une Dyspnée aiguë, toux sèche, oppression thoracique à la suite une fatigue importante, éternuements, le nez qui coule, et douleur de la gorge. - L’auscultation pulmonaire : Râles sibilants diffus aux deux champs pulmonaires, - L’auscultation cardiaque est normale, TA : 130 / 90 mmHg, Pouls : 130 /mn, Qu’est-ce que l’asthme ?:
L’asthme est une broncho-pneumopathie chronique obstructive.
L’asthme est un syndrome de détresse respiratoire aiguë.
L’asthme est une maladie inflammatoire chronique des bronches qui, dans la grande majorité des cas, c’est due à une allergie
L’asthme est une pneumonie bactérienne aiguë.
L’asthme est une tuberculose pulmonaire milliaire.
Les facteurs favorisent l’asthme:
Contact avec allergène (Ex : acariens, pollen, animaux,..).
Pollutions atmosphérique.
Changement de conditions météorologiques.
Prise de médicaments : Bétabloquants, Aspirine, AINS
Touts ces propositions sont exactes
Cas clinique : - Patient âgé de 45 ans, ayant antécédent asthmatique depuis 5ans. Consulte aux Urgences à 21H pour une Dyspnée aiguë, difficulté de parler et tousser, agitation et cyanose et sueurs. - A l’examen : Silence à l’auscultation pulmonaires, FR : 30/min, FC : 130/min - SpO2 : 90 %, DEP mesuré: 130 L / min (Normale : 500L / min). 1. Quel est la gravité de cet épisode d’asthme :
Une crise d’asthme légère.
Une crise d’asthme modérée.
Une crise d’asthme aiguë grave
Une crise d’asthme dramatique (très sévère).
Aucune des ces proposition.
Cas clinique : - Une patiente de 35 ans ayant antécédent asthmatique depuis 4ans a présenté ces derniers mois des symptômes diurnes quotidiens avec des symptômes nocturnes 2fois / semaines réponses, aux bronchodilatateurs Béta-2 à l’action rapide. L’activité physique et le sommeil sont perturbé.DEP = 70 % de la normale. 1. Quel est le degré de sévérité de son asthme ?:
Un asthme intermittent.
Un asthme persistant léger.
Un asthme persistant modéré
Un asthme persistant sévère.
Aucune de ces réponses n’exacte pas.
Les principales causes de noyade secondaire sont :
Hypoglycémie, syncope vagal, allergie au froid.
Crise convulsive.
Perte de connaissance suite à traumatisme crânien.
Syncope thermo-différentiel.
Toutes ces propositions sont exactes
Lors de la noyade en eau douce les conséquences sont principalement :
Hémodilution, Hypervolémie.
Œdème aiguë du poumon (OAP).
Hémolyse.
Hyponatrémie.
Toutes ces propositions sont exactes
Lors de la noyade en eau de mer les conséquences sont principalement :
Hémoconcentration, Hypovolémie
Œdème aiguë du poumon (OAP).
Hypernatrémie.
Hypoprotidémie.
Toutes ces propositions sont exactes
Cas Clinique : - Une femme de 35 ans est transportée par les pompiers au Service d’Accueil des Urgences de votre Hôpital, dans les suites d’une noyade en eau de mer. A son arrivée aux urgences, l’examen clinique : - fréquence respiratoire à 32 cycles / min avec discret tirage sus claviculaire, saturation pulsatile en O2 est à 90 % sous O2 6L/min, râles crépitants des 2 champs pulmonaires. - TA : 100 / mmHg, FC : 125 /min - Trouble de la conscience (GCS : 11 / 15), Pupille : normale, Pas de déficit moteur, Quel est le stade de gravité de son noyade ?:
Aquastress.
Petite noyade (Hypoxique).
Grande noyade (Grand hypoxique)
Anoxique.
Aucune de ces réponses n’exacte pas.
Cas Clinique : - Une femme de 35 ans est transportée par les pompiers au Service d’Accueil des Urgences de votre Hôpital, dans les suites d’une noyade en eau de mer. A son arrivée aux urgences, l’examen clinique : - fréquence respiratoire à 32 cycles / min avec discret tirage sus claviculaire, saturation pulsatile en O2 est à 90 % sous O2 6L/min, râles crépitants des 2 champs pulmonaires. - TA : 100 / mmHg, FC : 125 /min - Trouble de la conscience (GCS : 11 / 15), Pupille : normale, Pas de déficit moteur , Quels examen paracliniques réalisez-vous dans un premier temps, que recherchez-vous ?:
Gaz du sang artérielle (on recherche : hypoxémie-hypercapnie-acidose).
Ionogramme sanguin (on recherche : Hypernatrémie-hypokaliémie).
Glycémie.
Uée (ou créatinine) sanguine (on recherche une insuffisance rénale)
Toutes ces propositions sont exactes
Cas Clinique : - Une femme de 35 ans est transportée par les pompiers au Service d’Accueil des Urgences de votre Hôpital, dans les suites d’une noyade en eau de mer. A son arrivée aux urgences, l’examen clinique : - fréquence respiratoire à 32 cycles / min avec discret tirage sus claviculaire, saturation pulsatile en O2 est à 90 % sous O2 6L/min, râles crépitants des 2 champs pulmonaires. - TA : 100 / mmHg, FC : 125 /min - Trouble de la conscience (GCS : 11 / 15), Pupille : normale, Pas de déficit moteur , Les éléments de surveillances en cas de noyade :
Fréquence cardiaque, tension artérielle.
Saturation pulsatile en O2.
Conscience (ou Score de Glasgow).
Température, diurèse, gazométrie.
Toutes ces propositions sont exactes
Cas Clinique : - Une femme de 35 ans est transportée par les pompiers au Service d’Accueil des Urgences de votre Hôpital, dans les suites d’une noyade en eau de mer. A son arrivée aux urgences, l’examen clinique : - fréquence respiratoire à 32 cycles / min avec discret tirage sus claviculaire, saturation pulsatile en O2 est à 90 % sous O2 6L/min, râles crépitants des 2 champs pulmonaires. - TA : 100 / mmHg, FC : 125 /min - Trouble de la conscience (GCS : 11 / 15), Pupille : normale, Pas de déficit moteur , Les objectifs de la prise en charge d’un noyé :
Lutte contre l’hypoxie et la détresse respiratoire.
Lutte contre l’hypothermie.
Restaurer une stabilité cardio-vasculaire.
Toutes ces propositions au dessus sont exactes
Aucune des ces proposition exactes.
Cas Clinique : - Une femme de 35 ans est transportée par les pompiers au Service d’Accueil des Urgences de votre Hôpital, dans les suites d’une noyade en eau de mer. A son arrivée aux urgences, l’examen clinique : - fréquence respiratoire à 32 cycles / min avec discret tirage sus claviculaire, saturation pulsatile en O2 est à 90 % sous O2 6L/min, râles crépitants des 2 champs pulmonaires. - TA : 100 / mmHg, FC : 125 /min - Trouble de la conscience (GCS : 11 / 15), Pupille : normale, Pas de déficit moteur , Vous trouvez une personne est en train de se noyé. Les techniques de base pour porter secours à un noyé :
Sortir très vite de l’eau le noyé.
Position demi-assise (si la victime est consciente).
ôter les vêtements mouillés et réchauffé.
Assurer la patiente.
Toutes ces propositions sont exactes
Cas Clinique : - Une femme de 35 ans est transportée par les pompiers au Service d’Accueil des Urgences de votre Hôpital, dans les suites d’une noyade en eau de mer. A son arrivée aux urgences, l’examen clinique : - fréquence respiratoire à 32 cycles / min avec discret tirage sus claviculaire, saturation pulsatile en O2 est à 90 % sous O2 6L/min, râles crépitants des 2 champs pulmonaires. - TA : 100 / mmHg, FC : 125 /min - Trouble de la conscience (GCS : 11 / 15), Pupille : normale, Pas de déficit moteur , Si la victime est inconsciente et ne respire pas :
Prenez le pouls au niveau de la carotide.
Si vous êtres formé aux gestes qui sauvent, débutez immédiatement la bouche à bouche ou la bouche à nez.
Appelez le SAMU (119).
Poursuivez la réanimation jusqu’à la reprise de la respiration spontanée ou jusqu’à l’arrivée des secours.
Toutes ces propositions sont exactes
Cas Clinique : - Une femme de 35 ans est transportée par les pompiers au Service d’Accueil des Urgences de votre Hôpital, dans les suites d’une noyade en eau de mer. A son arrivée aux urgences, l’examen clinique : - fréquence respiratoire à 32 cycles / min avec discret tirage sus claviculaire, saturation pulsatile en O2 est à 90 % sous O2 6L/min, râles crépitants des 2 champs pulmonaires. - TA : 100 / mmHg, FC : 125 /min - Trouble de la conscience (GCS : 11 / 15), Pupille : normale, Pas de déficit moteur , Les facteurs influençant le pronostic d’un noyé :
Durée de la submersion.
Nature de l’eau.
Etat de conscience à l’arrivée des secours.
Lésions associés.
Toutes ces propositions sont exactes
Dans la pendaison on trouve de point de vue physiopathologique :
Lésions cartilagineuses au niveau du larynx et de la trachée.
Obstruction des voies aériennes supérieures.
Lésions nerveuses.
Occlusion des vaisseaux du cou.
Toutes ces propositions sont exactes
Le mécanisme de la mort par pendaison :
Asphyxie.
Ischémie cérébrale.
Compression jugulaire.
Lésions médullaires.
Toutes ces propositions sont exactes
Les facteurs de gravité d’un pendu :
Type de pendaison (complète ou incomplète).
Le lien.
Position du Nœud.
Hauteur de la chute et durée de la pendaison.
Toutes ces propositions sont exactes
Les objectifs de la réanimation du Pendaison :
Maintien une ventilation adéquat.
Correction de l’acidose métabolique.
Rétablissement de l’état hémodynamique.
Lutte contre l’œdème cérébral.
Toutes ces propositions sont exactes
Vous trouvez d’une femme Pendu dans le jardin. Les premières secours que vous faite :
Dépendre le plus rapidement possible.
Défaire le lien.
Coller cervicale et respect de l’axe Tête-Cou-Tronc.
Réanimation de l’ACR.
Toutes ces propositions sont exactes
3 . Dans le syndrome de réponse inflammatoire systémique :
A- la température 37°C
B- le pouls 80 battements/min
C- la fréquence respiratoire 18/min
D- les leucocytes > 12000/mm3 ou < 4000/mm3
E- la glycémie < 7,7 mmol/L (1.4 g/L)
5. Cas Clinique Le patient 74 ans, masculin, est entré au service de réanimation pour un état dyspnéique. Le patient est opéré il y a 3 jours pour une péritonite appendiculaire généralisée à la clinique privée. L’examen du patient montre une fièvre élevée (38.5°C), une dyspnée intense, une TA basse (80/40 mmHg), une FC 120/min, un RR 22/min. L’auscultation pulmonaire ne présente pas de râles audibles. Quel est l’antibiothérapie probabiliste de ce patient ?
Céphalexine
Ampicilline
Cefotaxime and metronidazole
Vancomycine
Amoxicilline and acide clavulanique
6. Cas Clinique Le patiente 38 ans, masculin, est arrivé au service d’urgence porte pour un état dyspnéique. Le patient avait une fièvre, une céphalée, une toux avec un état de dyspnée progressivement augmentée depuis 4 jours. Il n’y a pas d’antécédent de pneumopathie, cardiopathie, néphropathie, ni de diabète ou hypertension artérielle à noter. L’examen du patient trouve une dyspnée modérée, un râle crépitant du poumon gauche, une toux, une fièvre 39°C, une TA 110/60 mmHg, une FC 110/min et un RR 24/min. L’examen de laboratoire montre un leucocyte 13000/mm3, Hb 11 g/dl, Ht 37%, plaquette 190 000/mm3, urée sanguine 0.48 g/l, créatininémie 98 µmol/l, transaminase ASAT 12 ui/l, ALAT 18 ui/l, CRP 110 mg/l, procalcitonine 9 µmol/l. La radiographie du poumon présente une opacité alvéolaire au lobe moyen du poumon gauche. Quel est le diagnostic possible de ce patient ?
A- Pneumonie gauche avec un état septique
B- Pneumonie gauche avec un sepsis
C- Pneumonie gauche avec un sepsis sévère
D- Pneumonie gauche avec un choc septique
E- Pneumonie gauche sans un état septique
7. Cas Clinique La patiente 56 ans, féminine, est entrée au service d’urgence porte pour un gros abcès infecté de la fesse gauche. Cet abcès est survenu et fistulisé spontanément il y a 6 jours. L’examen de la patiente montre un état délirant, la température 38.5°C, la FC 126/min, la TA 80/40 mmHg, le RR 22/min, l’auscultation pulmonaire pas de râles audibles. Les résultats de laboratoire sont un leucocyte 16000/mm3, Hb 10 g/dl, Ht 36%, plaquette 180 000/mm3, urée sanguine 0.40 g/l, créatininémie 92 µmol/l, transaminase ASAT 18 ui/l, ALAT 20 ui/l, CRP 220 mg/l, procalcitonine 14 µmol/l. Après 2h de traitement par les anti-pyrétiques, les antibiotiques, les remplissages vasculaires et le parage chirurgical de la plaie, la TA est stable (110/65 mmHg). Quel est le diagnostic possible de ce patient ?
A- Abcès infécté de la fesse gauche avec un état septique
B- Abcès infécté de la fesse gauche avec un sepsis
C- Abcès infécté de la fesse gauche avec un sepsis sévère
D- Abcès infécté de la fesse gauche avec un choc septique
E- Abcès infécté de la fesse gauche sans un état septique
8. Cas Clinique : Le patient 42 ans, masculin, est hospitalisé pour une douleur abdominale. Il n’a aucun antécédent médical ou chirurgical. Il a pris des médicaments (Indométacine, Dexaméthasone, Diclofénac) depuis 15 pour des lombalgies. Les douleurs intenses ont commencé brutalement il y a 12h. À l’examen, l’abdomen est douloureux et une défense nette au niveau de l’épigastre. La pression artérielle est de 70/40 mmHg, pouls 120/min, la température 39 oC. L’examen de laboratoire montre un leucocyte 14000/mm3, Hb 10.5 g/dl, Ht 36%, plaquette 160 000/mm3, urée sanguine 0.48 g/l, créatininémie 98 µmol/l, transaminase ASAT 25 ui/l, ALAT 30 ui/l, bilirubinémie totale 10 µmol/l, amylasémie 40 ui/l, CRP 120 mg/l, procalcitonine 12 µmol/l. Quel est le diagnostic possible de ce patient ?
A- Gastrite aiguë avec un état septique
B- Pancréatite aiguë avec un sepsis
C- Cholecystite aiguë avec un sepsis grave
D- Péritonite aiguë par perforation gastro-duodénale avec un sepsis sévère
E- Péritonite biliaire avec un choc septique
9. Cas Clinique : Un patient 38 ans, masculin, est arrivé au service de réanimation pour une plaie infectée du pied gauche et de la jambe gauche avec un état de détresse respiratoire aigu. Le patient a eu un traumatisme du membre inférieur gauche depuis une semaine par un accident de moto. Il n’a pas été allé à l’hôpital. Il a pris des médicaments lui-même à sa maison. Vers le 7è jour, le patient a présenté une douleur du pied gauche et de la jambe gauche très intense avec un œdème et gonflement ecchymotique et une plaie nécrosée sur la face antérieure et externe du pied gauche et de la jambe gauche. À l’examen, le patient est en état dyspnéique important, la TA 80/40 mmHg, FC 130/min, la température 39.5 0C, la SaO2 87%. Après une heure de remplissage vasculaire avec un NSS 2000 ml, gélafundine 5oo ml et d’administration de Noradrénaline 40 ml/h (= 1.600 mg/h), la TA reste basse (85/38 mmHg). Quel est le diagnostic de ce patient ?
A- Traumatisme du pied gauche et de la jambe gauche avec un sepsis
B- Traumatisme du pied gauche et de la jambe gauche avec un sepsis sévère
C- Traumatisme du pied gauche et de la jambe gauche avec un état septique
D- Traumatisme du pied gauche et de la jambe gauche avec un choc septique
E- Traumatisme du pied gauche et de la jambe gauche sans un état septique
10. Cas Clinique : Un patient de 48 ans arrive au service d’accueil des urgences pour signes inflammatoires touchant la jambe droite. Il est fébrile. Il rapporte une asthénie et une soif depuis un mois. Il maigri de 6 kg. Son grand-père et sa mère présentaient un diabète de type 2. Il n’y a pas d’antécédent de traumatisme des jambes. L’examen clinique montre un placard érythémateux, douloureux, oedématié sur la face externe du 1/3 inférieur de la jambe droite. Le patient présente une conscience normale, un rythme cardiaque régulier, pas un état dyspnéique. Une auscultation pulmonaire ne prouve pas un râle audible. La mesure de la TA est de 100/70 mmHg, FC 92/min, FR 24/min, SaO2 95%. L’examen du sang montre un leucocyte 14 000/mm3, Hb 11g/dl, hématocrite 36%, plaquette 180 000/mm3,une glycémie 3.8 g/l, CRP 88 mg/l, procalcitonine 10 µmol/l. Quel est le diagnostic possible de ce patient ?
A- Une cellulite de la jambe droite avec un sepsis
B- Une cellulite de la jambe droite avec un sepsis sévère
C- Une cellulite de la jambe droite avec un choc septique et un diabète sucré de type 2
D- Une cellulite de la jambe droite avec un état non septique
E- Une cellulite de la jambe droite avec un sepsis et un diabète sucré de type 2
2. Signes fonctionnels de l’OAP cardiogénique ?
A. Une douleur abdominale, ventre ballonné
B. Une douleur de la gorge et du nez
C. Une dyspnée, gêne respiratoire angoissante, toux nocturne, expectoration (rosée, blanchâtre, mousseuse)
D. Une céphalée, vertige et vomissements
E. Une crampe musculaire, douleur articulaire
6. Cas clinique Une patiente âgée de 43 ans est admise en réanimation pour un état dyspnéique intense. L’examen de la patiente montre des râles crépitants des deux poumons, une TA 120/60 mmHg, la FC 120/min, la SaO2 90%. La patiente avait un antécédent de rétrécissement mitral serré il y a 16 ans. Quel est le moyen de traitement symptomatique de l’OAP cardiogénique de cette patiente ?
A. Une utilisation des anti-inflammatoires non-stéroïdes
B. Une utilisation des corticoïdes
C. Une oxygénothérapie à forte débit (6 à 12 L/min), VNI ou ventilation assistée, vasodilatateurs veineux (dérivés nitrés), diurétiques de l'anse (IV), correction des troubles du rythme cardiaque
D. Une utilisation de ceftriaxone + vancomycine
E. Une prescription des antituberculeux
7. Cas clinique Une femme âgée de 57 ans est admise au service d’urgences pour un état de détresse respiratoire aigu. L’examen de la patiente montre une perturbation de la conscience, un score de Glascow 8/15, des râles crépitants et sous crépitants des deux poumons, un œdème de la face, une plaie frontale et temporale droite, La TA 110/65 mmHg, la FC 90/min, la SaO2 92%. La patiente avait un antécédent de traumatisme crânien grave depuis 3 jours par un accident de circulation. Quel est le moyen de traitement symptomatique de l’OAP lésionnel de cette patiente ?
A. Donner le diurétique de l'anse par voie IV
B. Donner le dérivé nitré
C. Donner le cordarone ou l’atropine
D. Donner l’oxygène par masque facial à fort débit, ou par ventilation mécanique avec PEP
E. Donner le cardiotonique (Dobutamine)
8. Cas clinique Un homme 38 ans est entré au service d’urgences pour un état dyspnéique. Le patient a eu un polytraumatisme avec une contusion thoracique par accident de circulation depuis 4 jours. L’examen du patient trouve une dyspnée intense, des râles crépitants des deux poumons, une tachycardie sinusale, la FC 12o/min, la TA 100/60 mmHg, la SaO2 88%. La radiographie pulmonaire montre une opacité alvéolaire des deux poumons. Il n’y a pas d’antécédent de cardiopathie, de néphropathie, ni de diabète sucré ou de hypertension artérielle à noter. Quel est le diagnostic possible de ce patient ?
A- Un œdème aigu du poumon hémodynamique
B- Un œdème aigu du poumon cardiogénique avec un polytraumatisme
C- Un œdème aigu du poumon lésionnel
D- Un polytraumatisme
E- Un polytraumatisme avec une Contusion pulmonaire et un œdème aigu du poumon lésionnel
1. Cas clinique Une patiente 68 ans, de sexe féminin présente une dyspnée modérée, une palpitation, une toux avec un crachat hémoptoïque. Parmi les signes suivants, quels sont les signes fonctionnels de l’insuffisance cardiaque gauche ?
A. Une douleur hépatique (hépatalgie)
B. Une dyspnée, une toux, des signes périphériques de bas débit cardiaque, une hémoptysie
C. Une turgescence jugulaire
D. Une circulation collatérale abdominale
E. Une ascite
2. Cas clinique Une femme âgée de 74 ans présente une dyspnée minime, une palpitation, un ventre souple et un peu ballonné et un œdème des membres inférieurs débuté à plus de 2 semaines. Parmi les signes suivantes, quels sont les signes cliniques d’insuffisance ventriculaire droite ?
A. Une dyspnée, une toux avec un crachat mousseux et hémoptoïque
B. Des râles crépitants des deux poumons
C. Un souffle d’IM fonctionnelle
D. Une tachycardie, un souffle d’IT fonctionnelle, un éclat du B2, une hépatomégalie, une turgescence jugulaire, un œdème des membres inférieurs
E. Une douleur thoracique
Cas clinique Un patient âgé de 65 ans, pesant de 76 kg, de taille 1.74 m se présente chez un médecin généraliste avec une dyspnée modérée, une palpitation et une insomnie. Ces symptômes sont survenus il y a un mois. Parmi les signes cliniques suivants, quels sont les signes en faveur d’une insuffisance cardiaque gauche ?
A. Une turgescence jugulaire
B. Une tachycardie, un souffle d’IM fonctionnelle, des râles crépitants des deux poumons
C. Un souffle d’IT fonctionnelle, un éclat du B2, hépatomégalie
D. un œdème des membres inférieurs
E. Une ascite
4. Cas clinique Une femme âgée de 52 ans présente depuis trois semaines une asthénie, une palpitation, une insomnie, une douleur musculaire et articulaire. Elle a des antécédents de cardiopathie et de diabète sucré en cours de traitement. Parmi les signes suivants, quels sont les causes de l’insuffisance cardiaque par dysfonction diastolique ?
A. La cardiomyopathie dilatée, hyperthyroïdie
B. La thyréotoxicose, cardiopathies rythmiques (FA, TSV, TV)
C. La cardiomyopathie hypertrophique obstructive
D. La cardiopathie diabétique, une amylose cardiaque, une hémochromatose
E. l’insuffisance mitrale aiguë, CIV congénitale ou acquise
5. Cas clinique Une patiente âgée de 78 ans est admise en service de médecine générale pour une insuffisance cardiaque avec un œdème de la face et des membres inférieurs. Parmi les complications suivantes, les complications les plus fréquentes de l’insuffisance cardiaque sont :
A. Une infection
B. L'insuffisance respiratoire
C. L'insuffisance hépatique
D. Les troubles du rythme, les accidents thrombo-emboliques et l’insuffisance rénale
E. Une hyperthyroïdie
7. Dans l'insuffisance cardiaque, les médicaments à éviter sont les :
A. diurétiques
B. IEC (inhibiteurs de l’enzyme de conversion)
C. AINS, Corticoïdes, Glitazones, Anti-arythmiques classe I, Anti-dépresseurs tricycliques
D. Les bêta-bloquants
E. Les digitaliques
8. Chez un malade en insuffisance cardiaque, l’utilisation des digitaliques est indiquée en cas de :
A. Bradycardie sinusale
B. Tachycardie ventriculaire
C. Tachycardie par fibrillation auriculaire
D. Blocs auriculo-ventriculaires des 2è et 3è degrés
E. Fibrillation ventriculaire
Le signe le plus caractéristique d’un volet costal est:
A. L’emphysème sous cutané
B. La cyanose
C. La respiration paradoxale
D. La contusion des parties molles
E. La douleur à la pression des côtes
En cas de traumatisme fermé du thorax, la présence d’un images hydro-aérique dans l’hémithorax gauche est en faveur de:
A. Une rupture diaphragmatique
B. Une lésion de l’oesophage
C. Une lésion péricardique
D. Une atélectasie du poumon
E. Une plaie des gros vaisseaux
Quel est le gold standard de l’examen d’imagerie pour diagnostiquer la contusion pulmonaire?
La radiographie
B. La scanographie spiralée
C. L’IRM
D. La bronchoscopie
E. L’échographie
Devant un patient ayant un traumatisme thoracique, présente la détresse respiratoire avec suspicion de pneumothorax compressif, que faites-vous au premier temps?
A. Oxygène à haut debit
B. Intubation avec ventilation mécanique
C. Drainage thoracique
D. Exsufflation à l’aiguille
E. Thoracotomie de sauvetage
Une jeune patiente sans antécédent est victime d’un AVP à grande vitesse. Lors de la prise en charge par le service d’aide médicale urgente, elle présente une hypotension artérielle inexpliquée (TA=75/50mmHg), la saturation pulsée en oxygène en air ambiant est à 95%. Quel diagnostic évoquez-vous?
A. Pneumothorax
B. Lésions des gros vaisseaux
C. Contusion pulmonaire
D. Rupture diaphragmatique
E. Rupture bronchique
Un patient âgé de 26 ans traumatisé thoracique et inconscient est intubé par le SAMU et placé sous ventilation mécanique. Après quelques minutes, la SpO2 est stable à 100% mais la TA chute de 120/80 mmHg à 75/40 mmHg et la fréquence cardiaque s’accélère à 130/mn. Quelle lésion intra-thoracique faut-il évoquer?
A. Une rupture diaphragmatique
B. Une rupture de l’isthme aortique
C. Une rupture oesophagienne
D. Une contusion pulmonaire étendue
E. Un pneumothorax compressif
Un patient âgé de 32 sans antécédent présente un traumatisme thoracique isolé nécessitant une intubation. Dès la mise sous respirateur, les pressions d’insufflation sont de 55mmHg pour Pmax et de 40 mmHg pour Pmoy. Quel est le diagnostic immediate de ce patient?
A. Une rupture diaphragmatique
B. Un hématome pariétal
C. Un hémomédiastin
D. Une contusion pulmonaire
E. Un pneumothorax compressif
Un patient âgé de 28 ans traumatisé thoracique, sans antécédent particulier, présente une hémoptysie massive nécessitant une intubation. Après le début de la ventilation en pression positive la TA chute de 135/80 mmHg à 75/40 mmHg et la conscience est pertubée. Quel est le diagnostic immédiat?
A. Une rupture bronchique
B. Une embolie gazeuse systémique
C. Un hémothorax ou un pneumothorax compressif
D. Une contusion pulmonaire
E. Une rupture oesophagienne
Devant un patient ayant eu un traumatisme du crâne, comateux d’emblée, quel l’examen paraclinique demandez-vous en urgence?
A. Angiographie
B. Doppler tran-crânien
C. IRM
D. TDM sans injection
E. Radiographie
Parmi des lésions ci-dessous, laquelle est une urgence neuro-chirurgicale absolue?
A. L’hématome extra-dural d’épaisseur >10mm
B. L’hématome sous-dural avec déviation de la ligne médiane 5mm
C. Embarrure ouverte
D. Embarrure fermée avec déviation de la ligne médiane 5mm
E. Hydrocéphalie
Un homme âgé de 20ans traumatisé du crâne, arrive au service urgent. Il ouvre les yeux à l’appel de son nom, répond de manière inappropriée aux questions qu’on lui pose, mais est capable sur ordre de serrer et de lâcher la main. (TA: 130/70 mmHg; pouls: 80/mn; RR: 14/mn; T°: 37°C; SpO2: 95%) Quel est le niveau de score de Glasgow de ce patient?
6
8
10
12
14
Monsieur X âgé de 30ans arrive au service urgent pour le traumatisme du crâne avec coma d’emblée, sans signe de localisation, pupille aréactive mais symétrique. (TA: 160/90 mmHg; pouls: 50/mn; RR: 10/mn; T°: 37,2°C; SpO2: 91%) Quelles gestes faites-vous initialement?
A. Fond d’oeil, radio du crâne, réanimation médicale
B. Fond d’oeil, ponction lombaire et réanimation médicale
C. Fond d’oeil, IRM, réanimation médicale
D. Radio du rachis cervical, réanimation médicale et scanner
E. Ponction lombaire, radio du rachis cervical, réanimation médicale
Un homme âgé de 24ans, arrive au service urgent pour le polytraumatisme suite d’un accident de la voie publique avec coma (GCS: 8/15) et vomissement répété. (TA: 140/90 mmHg; pouls: 60/mn; RR: 12/mn; T°: 37,3°C; SpO2: 90%) Que faites-vous au premier temps?
A. Examen clinique de tout appareil
B. Examen neurologique
C. Intubation
D. Scanner cérébral
E. Echographie abdominale
Un homme âgé de 18 ans arrivé au service urgent pour le traumatisme crânien avec signes d’état de choc, mais sans des hémorragie extériorisées. (TA: 90/70 mmHg; pouls: 100/mn; RR: 20/mn; T°: 36,5°C; SpO2: 94%; GCS: 8/15) Dans ce cas-là, quel soluté de remplissage choisissez-vous initialement ?
A. Lactate Ringer
B. Sérum salé isotonique 0,9%
C. Sérum glucosé hypertonique
D. Dextran 40
E. Plasmion
Une femme âgée de 50ans, arrive au service de réanimation pour le traumatisme crânien avec signes d’hypertension intracrânienne et hypertension artérielle. La malade est intubée et ventilée mécanique. (SCS: 8/15; pouls: 58/mn; RR: 18/mn; T°: 37°C; SpO2: 96%) Alors à partir de quel valeur de pression artérielle systolique, commencerez-vous votre traitement et par quoi?
A. À partir de150mmHg, par antihypertenseur d’action vasodilatatrice directe.
B. À partir de150mmHg, par antihypertenseur d’action centrale ou ß-bloquant.
C. À partir de160mmHg, par antihypertenseur d’action vasodilatatrice directe.
D. À partir de160mmHg, par antihypertenseur d’action centrale ou ß-bloquant
E. À partir de160mmHg, par n’importe quel type d’antihypertenseur
Le diagnostic positif et bilans cliniques du coma :
Nécessitent une véritable enquête.
Le bilan circonstanciel n'est pas important.
Le bilan vital est au dernier plan.
Dagnostic plus facile pour coma non traumatique
Le bilan des fonctions rénales est au 1er plan
2. Concernant la surveillance d'un patient comateux, cochez la bonne réponse.
Examen clinique tous les 2 jours.
Constantes vitales répétées, originellement tous les 2h.
Recherche régulière de la protéinurie.
Surveillance des entrées et des sorties est inutile
Le bilan de la fonction hépatique est au 1er plan.
3. La priorité de l'examen paraclinique chez un patient comateux fébrile est :
Recherche de la protéinurie
Test de la glycémie
Recherche des toxiques dans les urines
Hémoculture
Dosage de l'alcoolémie
4. L'état de choc compensé est caractérisé par :
. Chute importante et brutale de la pression artérielle
PAM > 80 mmHg
Hypoperfusion tissulaire
Trouble de conscience
Bradycardie
5. Concernant les particularités communes des états de choc, le diagnostic rapide est basé sur :
Signes de vasoconstriction cutanée
Agitation
Anomalie de l'ECG
Trouble de l ' hémostase
Bradypnée
6. Pour la prise en charge immédiate des états de choc , est de :
Oxygénation par sonde à lunettes
Remplissage vasculaire
Injection de l'Atropine
Injection du Lasilix
Transfusion des culots plaquettaires
7. Concernant les médicaments aggravants le choc anaphylactique , choisisseez la bonne réponse .
Diurétiques
Inhibiteurs calciques
Inhibiteurs de l'enzyme de conversion
Antihistaminiques
Anti angineux
8. Pour le choc hémorragique, l'hypotension artérielle ne se manifeste que si la volémie diminue de :
5% à 10%
10% à 15 %
15 % à 20 %
20 % à 25 %
30 % à 40 %
9, Cochez la bonne réponse . Le traitement du choc septique, la priorité est :
Antibiothérapie par voie IM
Antibiothérapie après résultat de l'hémoculture
Antibiothérapie de probabiliste en urgence
Corticothérapie
Association de 2 antibiotiques est contre indiqué
10. Pour les critères cliniques de l'efficacité de la prise en charge des états de choc , quelle est la bonne réponse ?
Persistance permanente des marbrures
Diurèse < 1ml / Kg / H
PVC reste < 3 cm d'eau
Régression de la tachycardie
PAS toujours < 90 mmHg
11. Concernant les anesthésies loco-régionales , choisissez la proposition correcte .
L' utilisation d'un hypnotique est contre indiquée
Pas d ' indications en chirurgie ambulatoire.
Maintien du réflexe de protection des VAS
Contre indications pour les sujets âgés
Plus de risque vital en comparant avec une AG
12. Cochez la bonne réponse . Pour l'anesthésie générale ( AG ) :
Abolition de la conscience
Analgésie irréversible
Maintien du réflexe de protection des VAS
Consultation d'anesthésie n'est pas nécessaire
La narcose n' a pas de place
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