Théra-méd 2 (1/1)
Parmi les doses toxicologiques suivantes d’une intoxication aux benzodiazépines en moyenne chez l’adulte, laquelle est exacte ?
50mg à 70mg
70mg à 90mg
100mg à 500mg
1mg à 5mg
5mg à 10mg
Parmi les doses toxicologiques suivantes d’une intoxication aux benzodiazépines en moyenne chez l’adulte, laquelle est exacte ?
Une hypertension artérielle
Une mydriase unilatérale aréflexique
Un trouble visuel
Un insomnie
Une hypotension artérielle
Concernant l’intoxication par benzodiazépine, quelle est la réponse exacte ?
Une tachycardie ventriculaire est une complication fréquente
Un bloc sino-auriculaire de haut degré est une complication fréquente
Une arythmie complète par fibrillation auriculaire est une complication fréquente
Une Bradycardie sinusale(Rohypnol®)
Un bloc auriculoventriculaire de haut degré est une complication fréquente
Parmi les signes cliniques suivants d’une intoxication aux benzodiazépines, laquelle est exacte ?
Une dépression respiratoire
Un trouble visuel
Une mydriase unilatérale aréflexique
Un insomnie
Une hypertension artérielle
Parmi les signes suivants, laquelle peut typiquement appartenir au tableau d’intoxication aux benzodiazépines ?
Une somnolence
Une respiration de Cheyne-Stokes
Une mydriase unilatérale aréflexique
Une asymétrie de tonus
Un allongement du QT sur l’ECG
En cas d’intoxication médicamenteuse volontaire aux benzodiazépines, le traitement évacuateur, lequel est vrai ?
Une installation en position demi assise
Une pose d’une voie veineuse avec perfusion d’un soluté glucosé
Un lavage gastrique charbon active
Un antidote
Une pose d’une sonde urinaire
En cas d’intoxication médicamenteuse volontaire aux benzodiazépines, le traitement pré hospitalisé, laquelle est vraie ?
Une installation en position demi assise
Une oxygénothérapie : au masque 8l/mn
Une pose d’une sonde urinaire
Un antidote
Une antibiothérapie
En cas d’intoxication médicamenteuse volontaire aux benzodiazépines, le traitement pré hospitalisé, laquelle est vraie ?
Une installation en position latérale de sécurité (PLS)
Une pose d’une sonde urinaire
Une antitoxine
Un antidote
Une antibiothérapie
Quel est l’antidote d’une intoxication exclusive par benzodiazépines ?
Un flumazénil (Anexate)
Un N-acétylcystéine
Une naloxone
Une vitamine K
Une vitamine C
Parmi les doses toxicologiques suivantes d’une intoxication aux benzodiazépines en moyenne chez l’enfant, laquelle est exacte ?
50mg à 70mg
70mg à 90mg
100mg à 200mg
1mg à 5mg
5mg à 10mg
Parmi les signes cliniques suivants d’une intoxication aux antidépresseurs tricycliques, laquelle est exacte ?
Une bradycardie fréquente
Une mydriase unilatérale réflexique
Une mydriase unilatérale aréflexique
Une rétention d’urine
Une pollakiurie
Concernant l’intoxication par les antidépresseurs tricycliques, quelle est la réponse inexacte ?
Une hypertension artérielle
Une constipation
Une tachycardie
Une hypotension artérielle
Un état de mal convulsive
Parmi les signes cliniques suivants d’une intoxication aux antidépresseurs tricycliques, lequel est exact ?
Un syndrome anticholinergique
Une mydriase unilatérale réflexique
Une mydriase unilatérale aréflexique
Une bradycardie fréquente
Une pollakiurie
Concernant l’intoxication par les antidépresseurs tricycliques, quelle est la réponse exacte ?
Une manifestation allergique cutanéo-muqueuse
Un trouble urinaire
Une tachycardie sinusale
Un trouble génital
Une diarrhée
Concernant l’intoxication par les antidépresseurs tricycliques, quelle est la réponse inexacte ?
Un état de mal convulsive
Une constipation
Une tachycardie
Une mydriase unilatérale
Une hypotension artérielle
En cas d’une intoxication par les antidépresseurs tricycliques, le traitement des torsades de pointe, laquelle est vraie ?
Une perfusion de soluté glucosé à 10%
Un antalgique
Un antidote
Une pose d’une sonde urinaire
Une utilisation d’isoprotérénol-Isuprel®.
Parmi les traitements suivants d’une intoxication par les antidépresseurs tricycliques, laquelle est inexacte ?
Une lavage gastrique
Une ventilation mécanique
Une oxygenothérapie
Une utilisation du charbon activé
Une pose d’une sonde vésicale
En cas d’une intoxication par les antidépresseurs tricycliques, le traitement pré hospitalisé, laquelle est vraie ?
Une pose d’une voie veineuse
Un antalgique
Une antibiothérapie
Un antidote
Une pose d’une sonde urinaire
Parmi les traitements suivants d’une intoxication par les antidépresseurs tricycliques, laquelle est inexacte ?
Une perfusion de lactate de sodium molaire
Une ventilation mécanique
Une oxygenothérapie
Une hémodialyse
Une utilisation du charbon activé
Concernant l’intoxication par les antidépresseurs tricycliques, quelle est la réponse inexacte ?
Une tachycardie
Une constipation
Un état de mal convulsive
Une hypotension artérielle
Une hypersécrétion bronchique
Chez un adulte suspect de pneumonie aiguë communautaire (PAC). Parmi les propositions suivantes concernant les arguments cliniques de diagnostic de PAC, indiquez celle qui est vraie ?
Une température à 38,5° C (hyperthermie) permet d’affirmer le diagnostic
La présence de râles crépitants apparus récemment a une bonne valeur prédictive positive
Une température à 37° C(apyrexie) permet d’éliminer le diagnostic
L’absence de signe de gravités apparus récemment a une bonne valeur prédictive positive
Un taux normal de procalcitonine au 3ème jour a une bonne valeur prédictive positive
Parmi les circonstances suivantes, quelle est celle qui peut rendre le diagnostic de pneumonie aiguë communautaire le plus difficile ?
Cancer prostatique
Grossesse à terme
Fibrose hépatique
Patient âgé
Insuffisance rénale
Un malade chez lequel une pneumonie aiguë communautaire est diagnostiquée aux urgences doit être proposé au réanimateur pour transfert si le critère est suivant est présent :
Hb 10 g/dl
Epanchement minime
PH artériel < 7,42
σ PaO2/FiO2 <250
PAs < 170 mmHg
Vous voyez en consultation à l’hôpital un homme de 52 ans, chauffeur de Tuk Tuk vivant seul dans la banlieue de Phnom Penh. Il présente depuis 2 jours une toux et une sensation fébrile, non améliorés par l’achat d’un sachet de médicaments à la pharmacie du quartier. Il va de plus en plus mal, et n’a plus la force de travailler.
A l’examen, vous notez : fréquence respiratoire à 31/min; fréquence cardiaque à 128/mn, pression artérielle à 110/80 mm Hg. Température 37,7°C (sous sachets). Trouble de conscience; foyer de râles crépitants des lobes inférieurs droit et gauche.
Quel critère clinique de gravité vous manque-t’il pour calculer le score CURB-65 ?
A l’examen, vous notez : fréquence respiratoire à 31/min; fréquence cardiaque à 128/mn, pression artérielle à 110/80 mm Hg. Température 37,7°C (sous sachets). Trouble de conscience; foyer de râles crépitants des lobes inférieurs droit et gauche.
Quel critère clinique de gravité vous manque-t’il pour calculer le score CURB-65 ?
Le taux d’urée plasmatique
La socio-économie
La baisse de TA
L’existence d’un coma
L’âge du patient
Un sujet âgé de 36 ans consulte aux urgences pour une toux fébrile suspecte de pneumonie aiguë communautaire (PAC). Parmi les propositions suivantes concernant les examens paracliniques d’imagerie pour la stratégie diagnostique de PAC, indiquez celle qui est exacte ?
Une radiographie thoracique de face réalisée en 1ère
Une radiographie thoracique de face et de profil réalisée en 1ère intention
Une échographie pleuro-pulmonaire réalisée en 1ère
Une TDM thoracique avec IV de produits de contraste réalisée en 1ère
Une TDM thoracique sans IV de produit de contraste réalisée en 1ère
Vous voyez en consultation une patiente de 43 ans, obèse, institutrice en école primaire à Takéo. Depuis 4 jours, elle présente une rhinite, pharyngite, et une toux avec expectoration blanchâtre et mousseuse, associée à une douleur rétro-sternale à l’inspiration. Elle a présenté une température pendant 2 jours, au maximum à 38,2°C, puis est devenue apyrétique sans traitement. Mais elle consulte car la toux s’est majorée. A l’examen, T 37,2°C ; PA 120/70 mmHg ; FC 80/min ; FR 16/min ; SpO2 99% en air ambiant. L’auscultation pulmonaire retrouve quelques râles bronchiques, pas de crépitants. Vous évoquez une bronchite aigue en 1èrehypothèse diagnostique, en pensant à une pneumopathie débutante comme hypothèse de diagnostic différentiel.
Parmi les options de bilans paracliniques suivantes, laquelle choisissez-vous ?
Parmi les options de bilans paracliniques suivantes, laquelle choisissez-vous ?
Pas de prescription d’examens paracliniques
Prescription d’un bilan biologique : CRP et NFP
Prescription d’une radiographie thoracique de face
Prescription d’un bilan microbiologique : hémocultures et ECBC
Prescription d’un bilan virologique : écouvillon naso-pharyngé H5N1
vous recevez une femme XX âgée de 57 ans, pour une dyspnée fébrile. Elle est célibataire sans enfants et vit seule à Phnom Penh. Elle est dyspnéique, se plaint d’une toux non productive et de douleurs thoraciques bi basales apparues en même temps que la fièvre qui était d’emblée à 39,9°C depuis 24 heures. Elle n’a pas de maladies connues Les prélèvements du sang et le cliché du thorax fait. Son élève qui l’emmène à l’hôpital dit qu’elle a une diarrhée sanguinolente et un fébrile. Elle a prise le médicament anti diarrhéique, et il vous montre un sachet d’imodium. A l’examen : fréquence respiratoire à 32/min, TA à 90/50 mmHg, FC à 137 bpm, T à 39°C, SpO2à 87% en air ambiant. Le score de Glasgow est à 13, perte de conscience pendant le transport, râles crépitants bi basales. Dentition en mauvais état. Le reste de l’examen est sans particularité. ECG : rythme régulier et sinusal, tachycardie à 128.Biologie : créatininémie 80 μmol/L; Na 138 mEq/L; Cl 100 mEq/L; K 3.1 mEq/L; glucose 0,8g/L; CRP 125 mg/L; GB 12 800 103/ml; PNN : 9500 103/ml; D-Dimères 500 ng/ml.
Donnez la bonne réponse concernant les principaux critères pour proposer une hospitalisation à cette patiente selon le score Pneumonia Severity Index.
Donnez la bonne réponse concernant les principaux critères pour proposer une hospitalisation à cette patiente selon le score Pneumonia Severity Index.
Son âge
L’isolement social
Le score de Glasgow à 13
Le risque d’inobservance
Le sexe féminin
Une gazométrie artérielle est effectuée en air ambiant et retrouve : pH 7,47 ; Pa O2 60 mmHg ; PaCO2 32 mmHg ; HCO323 mmHg. Sur la base de ces gaz du sang vous concluez que la patiente est en :
Acidose respiratoire
Hypercapnique
Alcalose métabolique
Alcalose respiratoire
Acidose métabolique
Dans le contexte, devant ces gaz du sang, on peut penser que
L’hypoxémie lié à une hypoventilation
Le shunt lié à une pneumopathie
Le gaz du sang est de l’état de base
Le shunt lié à une embolie pulmonaire
L’hypercapnie liée à une hyperventilation
Vous demandez certains examens à visée bactériologique dans ce contexte. Indiquez la proposition exacte :
Ces examens ne doivent pas retarder l’antibiothérapie
Il faut attendre les résultats des examens pour débuter une antibiothérapie
Aucun examen bactériologique n’est réalisable car la toux de la patiente n’est pas productive
Aucun examen bactériologique n’est nécessaire si la patiente n’est pas hospitalisée en réanimation
L’antibiothérapie est débutée avant tout examen
Votre externe vous demande si il y a un intérêt à réaliser une antigénurie pneumocoque.
Quels arguments lui répondez-vous ?
Quels arguments lui répondez-vous ?
L’examen interprété sans difficile compte tenu de l’antécédent de sinusite
L’examen peut être réalisé après le début de l’antibiothérapie
L’examen doit être réalisé avant le début de l’antibiothérapie
L’examen n’a aucun intérêt les symptômes ayant débuté moins de 24h avant
L’examen a une sensibilité de 100%
Vous allez admette la patienta. Quel est le score CURB-65 pour cette patiente ?
Le score CURB-65 est de 0
Le score CURB-65 est de 3
Le score CURB-65 est de 4
Le score CURB-65 est de 2
Le score CURB-65 est de 1
Vous hospitalisez le patient. Quelle est le traitement antibiotique vous prescrivez ?
Cotrimoxazole 960 mg PO, 3 fois par jour en 10 jours
Amoxicilline 3g Injection repartir en 3 fois par jour puis relais PO en 10 jours
Lévofloxacine 750 mg PO, jour en 10 jours
Erythromycine 2g PO, 2 fois par jour en 10 jours
Ceftriaxone 2g une fois PO par jours en 10 jours
Elle quitte l’hôpital contre avis médical et revient 8 jours plus tard beaucoup plus calme, avec une douleur thoracique qui est réapparue, une dyspnée et une hyperthermie à 38°C. Le cliché de thorax et les planches de scanner les plus représentatives sont les suivantes.
Quelle est votre hypothèse diagnostique sur l’imagerie ?
Quelle est votre hypothèse diagnostique sur l’imagerie ?
Atélectasie pulmonaire
Infiltration nodulaire
Pleurésie cloisonnée
Opacité alvéolaire
Excavation pulmonaire
Quels sont les principes de prise en charge que vous allez proposer pour vous come le 1èreannée internat?
Diurétique de l’angle avec Lasilix 40 mg 2 ampoules/jour
Kinésie respiratoire de drainage bronchique
Ponction pleurale avec évacuation
Drainage pleural avec prélèvement bactériologique
Décision débuter anti tuberculeux
Un jeune home, auparavant sain, est admis aux urgences pour une intoxication aux barbituriques responsables d’une hypoventilation sévère. La respiration mélange à 50% d’O2n’a pas modifié sa PaCO2. Approximative, à quelle valeur la PaO2 peut être s’élever?
25
75
50
100
200
On constate chez un patient ayant une inégalité du rapport ventilation/perfusion sévère et qui reçoit un mélange à 80% d’O2 n’a atteint que 300 mmHg. Les facteurs susceptible d’expliquer un chiffre si bas sont existence d’unités pulmonaires à très bas VA /Q une atélectasie des unités à bas rapport VA/Q du a Les avantages des sondes nasales pour l’administration d’O2 sont :
Elles sont supportés confortablement sur le long période
Les concentration d’O2 inspire dépasse facilement 60%
La concentration d’O2 dans l’air inspirée est connue avec précision
La PCO2 inspirée ne s’élève pas
Les masques à oxygène avec effect Venturi sont utile parce que :
Ils délivrent une concentration d’O2 superieur 60%
La concentration d’O2 inspirée est bien controlée
La PaCO2 inspirée est base
FiO2 s’élève lorsque la ventilation augmente
L’oxygénothérapie intermittente peut être dangereuse dans le traitement de l’insuffisance respiratoire parce que:
L’élévation de la PaCO2 est rapide après arrêt de l’O2
La PaO2 s’effondre après arrêt de l’O2
L’élévation de la pression artérielle pulmonaire est importante
Une HTA est possible
Chez quel(s) patients la prescription d’O2 est-elle potentiellement iatrogène ?
Chez tous les BPCO
Chez tous les Insuffisants respiratoires chroniques obstructifs
Chez tous les insuffisants respiratoires chroniques restrictifs
Chez tous les patients hypoxiques chroniques
Chez tous les patients hyperocéaniqu
Concernant l’indication de la thrombolyse, Indiquez la proposition exacte
Embolie pulmonaire
Accident vasculaire cérébrale hémorragique
Péricardite
Ulcère gastrique
Dissection aortique
Concernant la contre-indication de la thrombolyse, Indiquez la proposition exacte
Accident vasculaire cérébrale hémorragique
Occlusion artérielle aiguë
Infarctus du myocarde
Embolie pulmonaire
Thrombose de prothèse valvulaire mécanique
Concernant l’indication de l’héparine, indiquez la proposition exacte
Syndrome coronarien aiguë
Accident vasculaire cérébrale hémorragique récent
Dissection aortique
Péricardite
Ulcère gastrique
Concernant l’effet secondaire indésirable de l’héparine, indiquez la proposition exacte
Hyperleucocytose
Augmentation de la créatininémie
Thrombopénie
Hyponatrémie
Hyperkaliémie
Concernant l’indication de l’anti vitamine K, indiquez la proposition exacte
Maladie thromboembolique veineuse
HTA non contrôlée
Accident vasculaire cérébrale récent
Déficit de coagulation
Insuffisance hépatocellulaire
Concernant la contre-indication de l’anti vitamine K, indiquez la proposition exacte
Insuffisance hépatocelluclaire
Fibrillation auriculaire
Infarctus du myocarde avec thrombus dans le ventricule gauche
Embolie pulmonaire
Maladie thromboembolique veineuse
Un homme de 67 ans, habite à PP, hospitalisé en urgence au Service Porte de l'hôpital Calmètte, le 05/07/14 à 23h30mn pour une dyspnée d'aggravation brutale depuis 1 jour, il vous explique qu'il est toujours essoufflé de base et plutôt limité dans ses activités quotidiennes mais qu'actuellement il ne peut plus faire un mouvement sans être très essoufflé. L'interrogatoire retrouve une notion d'infarctus 5 ans auparavant sans notion de stent ainsi qu'une consommation alcoolique 5 à 6 bouteilles de bières par jour, avec tabagisme actif à 24 PA. Il n'y a pas eu de douleur thoracique. Son poids: 95kg pour une taille de 165cm2; TA: 130/80; Fc: 108bpm; SaO2: 92%; T: 36,8. L'auscultation cardiaque retrouve un souffle holosystolique à 2/6 au 4ème EICG en jet de vapeur. On retrouve aussi des crépitant au 2 bases pulmonaires, des œdèmes des membres inférieures, une turgescence jugulaire et reflux hépatojugulaire; ECG et la radiographie pulmonaire sont les suivants:QCM 1: Le critère diagnostique IC est:
Les signes clinique insuffisance respiratiores,
Oedème MIs, turgescence jugulaire, hépatomégalie et hépatalgie.
Les signes fonctionnels et singes physiques insuffisance cardiaques avec les preuves de diminution FEVG en échocardiographie ou en IRM Cardiaque.
Les syndrome insuffisance hépotocellulaire.
Les preuve de diminution FEVG en échocardiographie ou en IRM
Un homme de 67 ans, habite à PP, hospitalisé en urgence au Service Porte de l'hôpital Calmètte, le 05/07/14 à 23h30mn pour une dyspnée d'aggravation brutale depuis 1 jour, il vous explique qu'il est toujours essoufflé de base et plutôt limité dans ses activités quotidiennes mais qu'actuellement il ne peut plus faire un mouvement sans être très essoufflé. L'interrogatoire retrouve une notion d'infarctus 5 ans auparavant sans notion de stent ainsi qu'une consommation alcoolique 5 à 6 bouteilles de bières par jour, avec tabagisme actif à 24 PA. Il n'y a pas eu de douleur thoracique. Son poids: 95kg pour une taille de 165cm2; TA: 130/80; Fc: 108bpm; SaO2: 92%; T: 36,8. L'auscultation cardiaque retrouve un souffle holosystolique à 2/6 au 4ème EICG en jet de vapeur. On retrouve aussi des crépitant au 2 bases pulmonaires, des œdèmes des membres inférieures, une turgescence jugulaire et reflux hépatojugulaire; ECG et la radiographie pulmonaire sont les suivants: QCU 2: Consernant la dyspnée de ce patient:
Il s'agit d'une dyspnée NYHA III
Il s'agit d'une dyspnée NYHA IV
Il s'agit d'une dyspnée NYHA IV sur un état de base stade III
Il s'agit d'une dyspnée NYHA IV sur un état de base stade II
Il s'agit d'une dyspnée NYHA II sur un état de base stade I.
Un homme de 67 ans, habite à PP, hospitalisé en urgence au Service Porte de l'hôpital Calmètte, le 05/07/14 à 23h30mn pour une dyspnée d'aggravation brutale depuis 1 jour, il vous explique qu'il est toujours essoufflé de base et plutôt limité dans ses activités quotidiennes mais qu'actuellement il ne peut plus faire un mouvement sans être très essoufflé. L'interrogatoire retrouve une notion d'infarctus 5 ans auparavant sans notion de stent ainsi qu'une consommation alcoolique 5 à 6 bouteilles de bières par jour, avec tabagisme actif à 24 PA. Il n'y a pas eu de douleur thoracique. Son poids: 95kg pour une taille de 165cm2; TA: 130/80; Fc: 108bpm; SaO2: 92%; T: 36,8. L'auscultation cardiaque retrouve un souffle holosystolique à 2/6 au 4ème EICG en jet de vapeur. On retrouve aussi des crépitant au 2 bases pulmonaires, des œdèmes des membres inférieures, une turgescence jugulaire et reflux hépatojugulaire; ECG et la radiographie pulmonaire sont les suivants: QCU 3: L'ECG met en évidence
Tachycardie sinusal avec fc à 108bpm, QRS fin; HVC et surcharge systolique.
Tachycardie sinusal avec HVG
BAV II Mobitz I
σ BAV I
Sus-décalage du segment ST en V6
Un homme de 67 ans, habite à PP, hospitalisé en urgence au Service Porte de l'hôpital Calmètte, le 05/07/14 à 23h30mn pour une dyspnée d'aggravation brutale depuis 1 jour, il vous explique qu'il est toujours essoufflé de base et plutôt limité dans ses activités quotidiennes mais qu'actuellement il ne peut plus faire un mouvement sans être très essoufflé. L'interrogatoire retrouve une notion d'infarctus 5 ans auparavant sans notion de stent ainsi qu'une consommation alcoolique 5 à 6 bouteilles de bières par jour, avec tabagisme actif à 24 PA. Il n'y a pas eu de douleur thoracique. Son poids: 95kg pour une taille de 165cm2; TA: 130/80; Fc: 108bpm; SaO2: 92%; T: 36,8. L'auscultation cardiaque retrouve un souffle holosystolique à 2/6 au 4ème EICG en jet de vapeur. On retrouve aussi des crépitant au 2 bases pulmonaires, des œdèmes des membres inférieures, une turgescence jugulaire et reflux hépatojugulaire; ECG et la radiographie pulmonaire sont les suivants: QCM 4: La radiographie thoracique:
Met en évidence un syndrome de condensation du lobe inférieure gauche
Met en évidence un syndrôme alvéolo-interstitiel bilatéral
N'était pas indiquée dans la prise en charge de ce patient
Met en évidence 2 opacités spiculées du lobe supérieur droit
Met en évidence un index cardio-thoracique supérieure à 0,5.
Un homme de 67 ans, habite à PP, hospitalisé en urgence au Service Porte de l'hôpital Calmètte, le 05/07/14 à 23h30mn pour une dyspnée d'aggravation brutale depuis 1 jour, il vous explique qu'il est toujours essoufflé de base et plutôt limité dans ses activités quotidiennes mais qu'actuellement il ne peut plus faire un mouvement sans être très essoufflé. L'interrogatoire retrouve une notion d'infarctus 5 ans auparavant sans notion de stent ainsi qu'une consommation alcoolique 5 à 6 bouteilles de bières par jour, avec tabagisme actif à 24 PA. Il n'y a pas eu de douleur thoracique. Son poids: 95kg pour une taille de 165cm2; TA: 130/80; Fc: 108bpm; SaO2: 92%; T: 36,8. L'auscultation cardiaque retrouve un souffle holosystolique à 2/6 au 4ème EICG en jet de vapeur. On retrouve aussi des crépitant au 2 bases pulmonaires, des œdèmes des membres inférieures, une turgescence jugulaire et reflux hépatojugulaire; ECG et la radiographie pulmonaire sont les suivants: QCU 5: L'épisode actuel pourrait correspondre à:
OAP cardiogénique secondaire à un rétrécissement aortique serré
SCA ST+
Pneumopathie franche lobaire aiguë du lobe inférieur gauche
Insuffisance cardiaque aiguë (OAP) sur insuffisance cardiaque globale chronique
Exacerbation aiguë de BPCO.
Un homme de 67 ans, habite à PP, hospitalisé en urgence au Service Porte de l'hôpital Calmètte, le 05/07/14 à 23h30mn pour une dyspnée d'aggravation brutale depuis 1 jour, il vous explique qu'il est toujours essoufflé de base et plutôt limité dans ses activités quotidiennes mais qu'actuellement il ne peut plus faire un mouvement sans être très essoufflé. L'interrogatoire retrouve une notion d'infarctus 5 ans auparavant sans notion de stent ainsi qu'une consommation alcoolique 5 à 6 bouteilles de bières par jour, avec tabagisme actif à 24 PA. Il n'y a pas eu de douleur thoracique. Son poids: 95kg pour une taille de 165cm2; TA: 130/80; Fc: 108bpm; SaO2: 92%; T: 36,8. L'auscultation cardiaque retrouve un souffle holosystolique à 2/6 au 4ème EICG en jet de vapeur. On retrouve aussi des crépitant au 2 bases pulmonaires, des œdèmes des membres inférieures, une turgescence jugulaire et reflux hépatojugulaire; ECG et la radiographie pulmonaire sont les suivants: QCU 6: Les étiologies suivantes pourraient être évoquées:
Non-observance médicamenteuse
Ecart au régime sans sel
Poussée hypertensive
Ischémie myocardique
Valvulopathie aiguë.
Un homme de 67 ans, habite à PP, hospitalisé en urgence au Service Porte de l'hôpital Calmètte, le 05/07/14 à 23h30mn pour une dyspnée d'aggravation brutale depuis 1 jour, il vous explique qu'il est toujours essoufflé de base et plutôt limité dans ses activités quotidiennes mais qu'actuellement il ne peut plus faire un mouvement sans être très essoufflé. L'interrogatoire retrouve une notion d'infarctus 5 ans auparavant sans notion de stent ainsi qu'une consommation alcoolique 5 à 6 bouteilles de bières par jour, avec tabagisme actif à 24 PA. Il n'y a pas eu de douleur thoracique. Son poids: 95kg pour une taille de 165cm2; TA: 130/80; Fc: 108bpm; SaO2: 92%; T: 36,8. L'auscultation cardiaque retrouve un souffle holosystolique à 2/6 au 4ème EICG en jet de vapeur. On retrouve aussi des crépitant au 2 bases pulmonaires, des œdèmes des membres inférieures, une turgescence jugulaire et reflux hépatojugulaire; ECG et la radiographie pulmonaire sont les suivants: QCM 7: L'échocardiographie retrouve un ventriculaire gauche dilaté (DTDVG:72mm) avec hypokinésie globale et FEVG = 30% ainsi qu'une insuffisance mitrale modérée sur Valves fine. Le principale étiologie à évoquer pour expliquer les anomalies du VG est:
Cardiopathie hypertensive.
Cardiomyopathie rythmique chronique
Cardiomyopathie ischémique
Cardiomyopathie des maladies de système
Cardiomyopathie alcoolique.
Un homme de 67 ans, habite à PP, hospitalisé en urgence au Service Porte de l'hôpital Calmètte, le 05/07/14 à 23h30mn pour une dyspnée d'aggravation brutale depuis 1 jour, il vous explique qu'il est toujours essoufflé de base et plutôt limité dans ses activités quotidiennes mais qu'actuellement il ne peut plus faire un mouvement sans être très essoufflé. L'interrogatoire retrouve une notion d'infarctus 5 ans auparavant sans notion de stent ainsi qu'une consommation alcoolique 5 à 6 bouteilles de bières par jour, avec tabagisme actif à 24 PA. Il n'y a pas eu de douleur thoracique. Son poids: 95kg pour une taille de 165cm2; TA: 130/80; Fc: 108bpm; SaO2: 92%; T: 36,8. L'auscultation cardiaque retrouve un souffle holosystolique à 2/6 au 4ème EICG en jet de vapeur. On retrouve aussi des crépitant au 2 bases pulmonaires, des œdèmes des membres inférieures, une turgescence jugulaire et reflux hépatojugulaire; ECG et la radiographie pulmonaire sont les suivants: QCM 8: Un examen complémentaire indispensable s'impose dès lors pour éclairer la Q7:
ECG
Echographie abdominale et des veines sus-hépatiques
Coronarographie
TDM cardiaque
Scintigraphie myocardique
Un homme de 67 ans, habite à PP, hospitalisé en urgence au Service Porte de l'hôpital Calmètte, le 05/07/14 à 23h30mn pour une dyspnée d'aggravation brutale depuis 1 jour, il vous explique qu'il est toujours essoufflé de base et plutôt limité dans ses activités quotidiennes mais qu'actuellement il ne peut plus faire un mouvement sans être très essoufflé. L'interrogatoire retrouve une notion d'infarctus 5 ans auparavant sans notion de stent ainsi qu'une consommation alcoolique 5 à 6 bouteilles de bières par jour, avec tabagisme actif à 24 PA. Il n'y a pas eu de douleur thoracique. Son poids: 95kg pour une taille de 165cm2; TA: 130/80; Fc: 108bpm; SaO2: 92%; T: 36,8. L'auscultation cardiaque retrouve un souffle holosystolique à 2/6 au 4ème EICG en jet de vapeur. On retrouve aussi des crépitant au 2 bases pulmonaires, des œdèmes des membres inférieures, une turgescence jugulaire et reflux hépatojugulaire; ECG et la radiographie pulmonaire sont les suivants: QCM 9: Le souffle évoqué dans l'énoncé est en rapport avec:
Rétrécissement aortique calcifié
Insuffisance mitrale fonctionnelle par dilatation du VG
Insuffisance aortique
Rétrécissement mitral congénital
Insuffisance mitrale sur dégénérescence fibro-élastique
Un homme de 67 ans, habite à PP, hospitalisé en urgence au Service Porte de l'hôpital Calmètte, le 05/07/14 à 23h30mn pour une dyspnée d'aggravation brutale depuis 1 jour, il vous explique qu'il est toujours essoufflé de base et plutôt limité dans ses activités quotidiennes mais qu'actuellement il ne peut plus faire un mouvement sans être très essoufflé. L'interrogatoire retrouve une notion d'infarctus 5 ans auparavant sans notion de stent ainsi qu'une consommation alcoolique 5 à 6 bouteilles de bières par jour, avec tabagisme actif à 24 PA. Il n'y a pas eu de douleur thoracique. Son poids: 95kg pour une taille de 165cm2; TA: 130/80; Fc: 108bpm; SaO2: 92%; T: 36,8. L'auscultation cardiaque retrouve un souffle holosystolique à 2/6 au 4ème EICG en jet de vapeur. On retrouve aussi des crépitant au 2 bases pulmonaires, des œdèmes des membres inférieures, une turgescence jugulaire et reflux hépatojugulaire; ECG et la radiographie pulmonaire sont les suivants: QCM 10: Les traitements suivants peuvent être indiqués dans le traitement de l'insuffiance Cardiaque systolique de stade III:
Durétique si signes congestifs, IEC + Bétabloquant de l'insuffisance cardiaque à dose minimale efficace,
Diurétique si signes congestifs
ARA II + anti-aldostérone
Réadaptation cardiaque
Stimulation biventriculaire si FE inférieure à 35% et QRS supérieur à 120ms
Chloroquine base 300mg ស្មើchloroquine phosphate:
500mg
450mg
350mg
400mg
250mg
Dose toxic Chloroquine.
3g+
2,5g
2g
1,5g
3g
Dose total de chloroquine phosphate for adult
1g
1,5g
3g
2,5g
2g
Duration de traitment de chloroquine
7Days
4Days
2Days
5Days
3Days
Dose Chloroquine by bodyweigh
5mg/kg
8mg/kg
9mg/kg
20mg/kg
25mg/kg
Dose toxique de paracetamol
2g
2,5g
3g
3,5g
4g+
Dose lethal de paracetamol
5g
5,5g
6g
7g
10g+
Antidote paracetamol
Atropine
Vitascorbol
Carbonesie or Charcoal
Hydrocortisone
Acetylcysteine
Dose toxic for children
100mg
150mg
200mg
250mg
300mg
្នាំប៉ារ៉ាសេតាម៉ុលលើសកម្រិតពុលដល់សរីរាង្គ៖
្លើម
្នែក
បេះដូង
្រពះ
្រចៀក
ើមេរោគគ្រុនចាញ់Plasmodiumមានប៉ុន្មានប្រភេទ៖
5
3
4
6
2
ACTs សម្រាប់ព្យារបាលជម្ងឺគ្រុនចាញ់
ធ្ងន់ធ្ងរ
ក្តៅខ្លាំង
២ សន្លប់
ស្រាល
ញាក់ខ្លាំង
រណីគ្រុនចាញ់ធ្ងន់ធ្ងរAdultតើត្រូវប្រើArtesunate IVឬIM:
1.5mg/kg
3.5mg/kg
3mg/kg
2.4mg/kg
4mg/kg
ACTsជាអក្សរពេញ៖
Active combination therapy
Artemsinine combination based therapy
Action combination therapy
Action control test
Action clearance time
រណីគ្រុនចាញ់ធ្ងន់ធ្ងរChildrenតើត្រូវប្រើArtesunate IVឬIM
1.5mg/kg
2.4mg/kg
3mg/kg
3.5mg/kg
4mg/kg
Primaquine ព្យារបាលជម្ងឺគ្រុនចាញ់ប្រភេទVivax រយះពេលៈ
7ថ្ងៃ
10ថ្ងៃ
8ថ្ងៃ
12ថ្ងៃ
14ថ្ងៃ
រណីPrimaquineមិនអាចប្រើលើប្រជាជនខ្មែរខ្លះក្នុងរយះពេល១៤ថ្ងៃជាប់គ្នាអាចមានជម្រើសប្រើរយះពេលវែងលេបម្តង១ពេល១សប្តាហ៍ដោយប្រើរយះពេល៖
3week
4week
5week
6week
8week
្នកជម្ងឺគ្រុនចាញ់មានDeficiency G6PD Primaquineអាចឲ្យ៖
ូចថ្លើម
៉ះពាល់បេះដូង
ូចប្រព័ន្ធរំលាយអាហារ
៉ះពាល់ភ្នែក
ោមឈាម
Dose primaquine
15mg/day
14mg/day
12mg/day
10mg/day
8mg/day
ីវិតសត្វមូសអាចរស់បានរយះពេល៖
20ថ្ងៃ
15ថ្ងៃ
25ថ្ងៃ
10ថ្ងៃ
30ថ្ងៃ
Les symptômes d'une hypoglycémie insulinique peuvent être masqués par la prise de :
Glucorticoïdes
Progestatifs macro-dosés
Diurétiques thiazidiques
Inhibiteurs de l'enzyme de conversion
Bêta-bloquants
Parmi les symptômes suivants, l’un n’est pas évocateur d’hypoglycémie aiguë. Lequel ?
Signe de Babinski
Transpirations profuses
Coma convulsif
Dyspnée de Kussmaul
Cétonurie faible (+)
Un coma acidocétosique chez un diabétique insulino-dépendant peut être déclenché par :
Un arrêt de l'insuline
Un exercice physique intense
À jeune prolongé
Un repas riche en glucide
Un surdosage en insuline
Dans le coma hyperosmolaire du diabétique
La natrémie est basse
La calcémie est base
La déshydratation est globale
Il y a toujours de cétose
Il existe une acidose métabolique décompensée
Concernant les comas métaboliques du diabète :
Le coma céto-acidosique s’installe généralement en quelques minutes
Dans le coma céto-acidosique, la kaliémie a tendance à augmenter sous l’influence de l’insulinothérapie
Dans le coma hyperosmolaire la déshydratation est à prédominance extra-cellulaire
Dans le coma céto-acidosique, la décroissance de la fréquence respiratoire est grossièrement corrélée à celle de l’acidose
Dans le coma hyperosmolaire, le pH sanguin est toujours normal
Quelle est la valeur de la clairance de la créatinine en dessous de laquelle on parle d’insuffisance rénale chronique terminale ?
220
40ml/mn
30ml/mn
20ml/mn
10ml/mn
5ml/mn
Qu’est ce qu’une fistule artério-veineuse ?
Anastomose artério-veineuse
Anastomose veino- veineuse
Anastomose veino lymphatique
Pontage aorto-fémorale
anastomoses porto-cave
Parmi les propositions suivantes concernant le bain de dialyse, Choisissez une fausse reponse :
Liquide stérile
Contient du sodium, du potassium et du calcium
Contient du glucose, de l’actate et de l’eau
Dépourvu des solutés dont l’élimination est désirée
Composition proche du plasma
Où se situe l’extrémité interne du cathéter de dialyse péritonénale ?
Dans l’intestin grêle
Dans le colon
Dans le cul de sac de Douglas
Dans la cavité pleurale
Dans la vessie
Quelle est l’endroit anatomique classique d’une fistule artério-veineuse ?
Face antérieur de l’avant bras
Face postérieur de l’avant bras
Face antérieur de la cuisse
Face postérieur de la cuisse
Face interne de la cuisse
Quel est le temps moyen pour obtenir une fistule artério-veineuse fonctionnelle ( cicatrisation, veine artérialisée)?
2 semaines
3 semaines
Entre 4 à 5 semaines
Entre 5 à 6 semaines
A partir de 6ème semaine
Expliquer ce qu’est le phénomène de diffusion au cours de l’hémodialyse :
Transfert d’eau à la faveur d’un gradient de pression (de la plus forte vers la plus faible).
Transfert des petites molécules à travers des PORES de la membranes semi-perméable. Ce transfert se fait en fonction de la taille des molécules et du gradient de concentration de part et d’autre de la membrane (de la plus forte concentration vers la plus faible).
Transfert des grandes molécules à travers des pores de la membranes semi-perméable.
Transfert des petites molécules à travers des PORES de la membranes semi-perméable. Ce transfert se fait en fonction de la taille des molécules et du gradient de concentration de part et d’autre de la membrane (de la plus faible concentration vers la plus forte).
Transfert d’eau à la faveur d’un gradient de pression (de la plus faible vers la plus forte).
Parmis les complications d’une séance d’hémodialyse suivantes, Choisissez une fausse réponse :
Crampes
Hyperthermie
Hypotension artérielle
Sd pseudobulbaire
Embolie gazeuse
Quel est le nombre moyen hebdomadaire de séance(s) d’hémodialyse ?
1
2
3
4
7 (1/j)
Quelle est la durée moyenne d’une séance d’hémodialyse ?
3 à 4h
4 à 5h
4 à 6h
6 à 8h
4 à 8h
Les indications de l’hémodialyse en urgence, sauf :
Hyperkaliémie sévère chez IRCT
OAP chez IRC
Hyperphosphatémie chez IRCT
Sd urémique chez IRCT
Acidose sévère chez IRCT
Néphropathie Glomérulaire :Quel est l’examen préférentiel parmi les suivants, qui permet d’analyser la glomérulopathie ?
Scanographie rénale
Urographie intraveineuse
Ponction biopsie rénale
IRM rénale
Electrophorèse des protéines urinaires
Parmis les signes de syndrome néphrotique suivants, Choisissez une fausse réponse:
Hypoalbuminémie
Hypoprotidémie
Albuminurie >3g/j
HTA
Oedème généralisé
Parmis les propositions de syndrome néphrotique pur, Choisissez une fausse réponse :
Hypoalbuminémie
Hypocalcémie
Anomalie de la coagulation
Hématurie macroscopique
Baisse des gammaglobulines
Quelle est la classe thérapeutique d’antihypertenseurs qui a démontré ses effets positifs sur la réduction de la protéinurie chez un patient ayant un syndrome néphrotique (même en l’absence d’HTA associée)?
Diurétique de l’anse
Thiazidique
Inhibiteurs calciques
Inhibiteurs de l’enzyme de conversion
Antagonistes de l’angiotensine II
Les signes de glomérulonéphrite, Sauf :
Hématurie (macroscopique ou microscopique)
HTA
Ictère franche
Protéinurie
Oedème et Insuffisance rénale
En cas de Syndrome néphrotique avec oedèmes importants, quel conseil donner sur les apports hydriques et en chlorure de sodium (NaCL)?
Apport hydrique est strictement interdit, Apports en NaCL: entre 2 à4g/j
Apport hydrique : restreints (limités à la soif), Apports en NaCL: entre 2 à4g/j
Apport hydrique : restreints (limités à la soif), Apports en NaCL: entre 5 à6g/j
Apport hydrique est strictement interdit, Apports en NaCL: entre 1 à3g/j
Apport hydrique : restreints (limités à la soif), Apports en NaCL: entre 6 à10g/j
Je suis utile en cas de poussée oedèmateuse chez un patient ayant un syndrome néphrotique avec insuffisance rénale aigue. J’ai une action pharmacologique intense mais brève. Je suis entre autre un antihypertenseur. QUI SUIS JE ?
Diurétique proximale
Diurétique thiazidique
Diurétique de l’anse
Diurétique du tube collecteur cortical
Substance osmotique
Quel est le temps moyen d’apparition de la glomérulonéphrite aigue post streptococcique après l’infection (angine à streptocoque non traitée)?
244
Immédiat
2 jours
Entre 2 et 5 jours
Entre 4 et 15 jours
Entre 4 et 21 jours
Je suis responsable de la glomérulonéphrite aigue post streptococcique. Je suis une bactérie, mais quell est mon nom ?
Streptocoque A
Streptococcus pneumoniae
streptocoque de groupe B
Streptocoque B
Streptocoque D
Quelle est la tranche d’âge préférentielle touchée par la maladie de Berger?
5-15ans
10-20ans
15-35ans
25-45ans
55-65ans
Principes de traitement de glomérulonéphrite aigue post streptococcique, Chosissez une fausse réponse :
Repos au lit
Mise sous corticoide
Restriction sodée
Apport hydrique se fera en fonction de la diurèse
Restriction protéique si la créatinine et l’urée sont élevées.
Trouble de l’érection : Le centre réflexe de l’érection est situé au niveau de :
L’hypothalamus
Le lobe temporal
La moelle thoracique
La moelle lombaire
La moelle sacrée
Les signes cliniques qui permettent d’évoquer une impuissance sexuelle d’origine vasculaire chez un homme jeune comportent :
Anéjaculation
Instabilité de l’érection et Abolition des pouls fémoraux
Ejaculation précoce et Asthénie intense
Disparition de la libido et perte d’appetit
Abolition des pouls radiaux
Les examens complémentaires dans le bilan de trouble de l’érection, sauf un(e), la ou lequel?
PSA
Bilan hormonal
Echodeppler pénien
Scanner abdomino-pelvien
Rigidimétrie
Les étiologies de dysfonctions érectiles, sauf un(e), la/lequel?
Neurologique
Vaculaire
Endocriniennes
Psychogènes
Cardiaque
Définition de PRIAPISME :
Erection prolongé >3h et en dehors de stimulation sexuelle
Erection prolongé >5h et hors de stimulation sexuelle
Erection prolongé >3h et hors de stimulation sexuelle
Erection prolongé >10h et en dehors de stimulation sexuelle
Erection prolongé >1h et en dehors de stimulation sexuelle
La contre indication de SILDENAFIL :
Hypertention artérielle pulmonaire
Hypotention au repos
Insuffisance Rénale
Insuffisance hépatique
Insuffisance veineuse
La toux sèche sont origines suivant, soif un lequel ?
257
Toux d’origine de crise d’asthme
Toux d’origine d’exacerbation de BPCO
Toux d’origine cardiaque
Toux d’origine nerveuse
Toux d’origine métabolique
Parmi les médicaments suivant utilisent pour la toux expectoration, soif un lequel ?
Acetylcystéine
Bromhexine
Dextrométhorphane
Ambroxol
Erdostéine
Les antitussifs centraux ne sont pas utilisés dans les cas suivant :
Sujet âgé ou Détresse respiratoire sévère
Sujet âgé ou Atteint neurologique
Détresse respiratoire sévère Sujet ou Atteint neurologique
Asthme ou BPCO sévère
Patient intubé
Toutes les recherches étiologiques sont restées négatives. Bien que le patient soit ambulatoire et qu'il ne présente pas de phlébite clinique, vous cherchez à éliminer une éventuelle embolie pulmonaire. Quel(s) examen(s) peut (peuvent) vous aider ?
Une scintigraphie pulmonaire
Une angiopneumographie
Une pléthysmographie des membres inférieurs
Une phlébographie des membres inférieurs
Une artériographie bronchique
Les hémoptysies ont repris, devenant alarmantes, avec risque asphyxique et anémique. Dans ce cas, il est logique de prescrire de toute urgence :
Une bronchoscopie en urgence
Des substances vasopressives
Un sonde nasogastrique
Une tentative d'obturation bronchique provisoire avec une sonde de Fogarty sous fibroscopie D
Une perfusion de corticoïdes
La cause fréquente d’hémoptysie minime chez patient séquelle tuberculeuse
Aspergillome
Dilatation des bronches
Pneumopathie
Abcès du poumon
Travail forcé
Traitement médicale d’hémoptysie est le moyen simple et efficace, parmi les propositions suivant sont correct soif une, la quelle ?
Mesures thérapeutiques médical générale
Traitement vasoconstricteur: terlipressine (Glypressine*) par voie systémique
Diminution la fréquence cardiaque et baissé la tension artérielle
Traitement endoscopique: Sérum physiologique ou Sérum physiologique + adrénaline, ( ou glypressine) Tamponnement par un cathéter à ballonnet
Activé de facteur VII coagulation
Parmi les localisations des causes de la dyschésie ci-dessous, une est correcte:
Le système nerveux central
L’intestin grêle
Le côlon droit
Le côlon transverse
La région pelvienne
Une fausse diarrhée est caractérisée par de selles :
Quotidienne liquides s’accompagnant de coliques.
quotidiennes liquides s’accompagnant de glaires
avec bouchon au début suivi de selles liquides après une période d’absence de quelques jours.
liquides s’accompagnant de glaires et de sang.
dures après une période d’absence de quelques jours.
A propos de la physiopathologie d’une constipation idiopathique ou fonctionnelle. Elle a pour origine une diminution de l’activité motrice du côlon.
Oui
Non
A propos de la physiopathologie d’une constipation idiopathique ou fonctionnelle. Elle a pour origine une hyperactivité motrice du côlon sigmoïde.
Oui
Non
A propos de la physiopathologie d’une constipation idiopathique ou fonctionnelle. Elle a pour origine une diminution l’activité de l’intestin grêle.
Oui
Non
Dans la constipation idiopathique, parmi les facteurs extra digestifs influençant négativement la progression des selles, un est faux:
Manque activité physique
Déficit alimentaire en fibres
Ration hydrique insuffisante
Facteurs psychologiques.
Une insuffisance cardio-respiratoire
Des muscles abdominaux forts ont un rôle favorisant dans la défécation :
Oui
Non
Un blocage de l’expiration forcée a un rôle favorisant dans la défécation:
Oui
Non
Quand une défécation n’est pas souhaitée, il y a une contraction volontaire du sphincter anal interne.
Oui
Non
Le sphincter anal interne est :
Un muscle strié
Un muscle lisse
Parmi les signes cliniques suivants de la dyschésie, un est faux.
Des efforts de poussée,
La vertige
Une sensation de gêne au passage selles,
Une sensation d’évacuation incomplète,
Une exonération prolongée,
Parmi les complications de la constipation négligée ci-dessous, une est fausse:
Apparition des hémorroïdes
Fissure anale
Impaction fécale
Cancer rectal
Mégarectum
Parmi les actions suivantes des laxatifs stimulants, une action est correcte:
Stimuler la motricité colique
Osmotique du contenu intestinal
Lubrification des selles
Formation des ballasts par retenu de l’eau dans le grêle et le côlon
Stimuler le relâchement des sphincters anaux .
Indiquez une proposition vraie. A l’examen physique d’une diarrhée aiguë, on peut trouver:
Une réaction péritonéale à la palpation
Une sonorité diffuse à la percussion.
Un point douloureux exquis à la palpation profonde.
Des mouvements intestinaux visibles à l’inspection
La majorité des cas le ventre est normal.
A l’examen physique chez les diarrhées aiguës, la présence des signes suivants indique la gravité, Une proposition est fausse:
277
Une fièvre de plus de 39oC.
Une hypothermie.
Des vomissements répétés empêchant une alimentation orale.
Une perte 10% du poids .
Un choc hypovolémique.
Une diarrhée hémorragique.
La presence abondante de glaire dans les selles
En pratique clinique, les caractéristiques des selles suivantes indiquent une diarrhée aiguë. Une proposition est correcte:
Selles très molles ou liquidiennes au moins 3 fois par jour.
Selles dures morcelées plus de 3 fois par jour.
Selles de consistance molle normale plus de 3 fois par jour.
Selles avec de glaires et de sang plus de 3 fois par jour.
Selles de consistance molle normale enrobées de sang 3 fois par jour.
Le traitement probabiliste d’emblée avec antibiotiques est indiqué dans les cas de diarrhée aiguë suivants. Indiquez une proposition fausse.
Une diarrhée hémorragique.
Des gens atteints de valvulopathie.
grand vieillard avec comorbidités majeures.
syndrome septicémique.
déshydratation majeure.
Une fébricule de 38oC.
Malgré un traitement correct, la diarrhée persiste plus de 3 jours, quelle est votre conduite à tenir. Une proposition est fausse
Proposer une coproculture,
un examen de selles,
un hémogramme.
La protéine C réactive.
Une radiographie de l’abdomen sans préparation
Parmi les propositions suivantes une est fausse dans le diagnostic d’un syndrome dysentérique.
Des émissions de selles de consistance normale plusieurs fois par jour avec des épreintes dans la fosse iliaque gauche.
Des émissions de selles de consistance normale plusieurs fois par jour avec des ténesmes, sans glaires ni sang.
Des émissions de selles de consistance normale 1 fois par jour alternées des émissions de glaire et de sang.
Des émissions de selles liquides plusieurs fois par jour sans ténesme ni épreintes.
Dans le tableau clinique d’une diarrhée aiguë banale, une proposition est correcte :
Commence par un début soudain.
S’accompagne toujours de coliques abdominales.
Est toujours grave nécessitant une hospitalisation.
S’accompagne toujours de vomissements.
La présence d’une fièvre indique l’origine bactérienne.
Les signes cliniques suivants signent la déshydratation extracellulaire. Une est fausse :
soif,
oligurie,
hypotension orthostatique
tachycardie,
pli cutané,
cernes périorbitaires,
hypotonie globes oculaires
Trouble de la vigilance
Au cours de la diarrhée aiguë, une association avec des douleurs abdominales et d’une fébricule est toujours d’origine bactérienne
Oui
Non
Un des agents pathogènes fréquemment responsables d’un syndrome dysentérique aiguë est :
Giardia intestinalis
Clostridiume difficile
Entameba histolytica
Eschericia coli.
Entameba coli
A propos des facteurs de risque de la diarrhée nosocomiale, un est faux.
Une large utilisation des antibiotiques dans l’environnement hospitalier.
L’âge avancé du patient.
La présence d’un voisin diarrhéique dans la chambre
Un longue séjour d’hospitalisation
Un environnement souillé
Survient dès le premier jour d’hospitalisation
Incontinence fécale est une forme clinique de la diarrhée chronique.
Oui
Non
L’émission des selles des malades atteints de l’incontinence fécale est accompagnée toujours d’une sensation de besoin:
Oui
Non
Les mécanismes physio-pathologiques suivants sont responsables de la diarrhée chronique. Une affirmation est fausse.
Une augmentation de la pression osmotique du contenu intestinal.
Une augmentation de la sécrétion intestinale.
Une inflammation
Une malabsorption
Une allergie alimentaire
Les médicaments suivants peuvent provoquer une diarrhée type osmotique. Une affirmation est fausse:
Le sulfate de magnésium
Le sorbitol
Le mannitol
Les topiques antiacides.
Le lopéramide
Les maladies suivantes sont considérées comme une diarrhée chronique type exsudative. Une proposition est fausse:
Une tuberculose intestinale
Une entérite régionale (localisation intestinale de la maladie de Crohn)
Une colite inflammatoire.
Un cancer du colon
Un déficit de lactase
Les situations pathologiques suivantes peuvent provoquer une díarrhée chronique type malabsorption. Une situation est fausse:
Une résection chirurgicale de l’estomac
Une résection chirurgicale de l’intestin grêle
Une résection chirurgicale du côlon.
Une vagotomie
Une tuberculose intestinale
Parmi les maladies endocriniennes suivantes, une fait partie dans l’exploration initiale de la diarrhée chronique
Le diabète sucré.
La pancréatite chronique.
L’insuffisance surrénale
l’hypothyroïdie
L’hyperthyroidie
La calcitonine chez l’homme:
Provoque une hypercalcémie
Provoque une hyperphosphorémie
Agit essentiellement la formation de la vitamine D
Bloque la résorption osseuse ostéoclastique
Constitue un traitement efficace des hypocalcémies
Un syndrome d'hypercalcémie peut s'accompagner d'un des plusieurs signes suivants:
Polydypsie
Prurit
Diarrhée
Polyphagie
Trouble mentruel
Laquelle est la cause d’une hypercalcémie à PTH augmenté:
Intoxication par la vitamine D
Une hyperthyroïdie
Hémopathies malignes
Un adénome parathyroïdien
Syndrome des buveurs de lait
Parmi les causes suivantes d'hypercalcémie, quelle est celle comportant une hyperabsorption digestive du calcium?
Maladies inflammatoires
Cancer osseux métastatique
Hypervitaminose D
Immobilisation prolongée
Maladie de Basedow
Parmi les propositions suivantes, lequel est trouvé dans l’hypercalcémie?
Signe de Trousseau
Allongement de l’espace QT
Hyperreflexie
Nausée
Insomnie
La calciurie est abaissée par:
L'hypercalcémie
L'acidose métabolique
Le traitement par le furosémide
L’hyperhydratation salée
Le traitement par les diurétiques thiazidiques
Parmi les circonstances suivantes, laquelle peut révéler une hyper-parathyroidie primitive ?
Insuffisance rénale chronique
Hypercalcémie de découverte fortuite
Fracture osseuse
Hypertension artérielle
Polyarthrite rhumatoïde
Au cours d'une hypercalcémie maligne sans insuffisance rénale, laquelle est la premiàre mesure thérapeutique à mettre en place en urgence?
Diurétiques de l'anse (furosémide)
Réhydratation salée parentérale
Prednisone
Digitaline
Diphosphonates
Pour traiter une hypercalcémie, vous pouvez envisager:
Diurétique du groupe thiazide
Diurétique de l'anse (furosémide)
Anti-inflammatoires non stéroïde
Anti-thyroïdiens de synthèse
Les vitamines D3 actives
Au cours d'une hypercalcémie, les traitements suivants peuvent être employés sauf un, lequel?
Diurétiques de l'anse (furosémide)
Réhydratation
Prednisone
Biphosphonate
Indométhacine
Regarding acute pulmonary edema and cardiogenic shock, which of the following statement is the most appropriate?
Acute pulmonary edema and cardiogenic shock are a medical emergency
Acute pulmonary edema and cardiogenic shock are treated at home
Acute pulmonary edema and cardiogenic shock are not life-threatening condition
The most common etiology for both is pericarditis
The both are diagnosed by ECG
Which of the following physical examination findings suggests acute pulmonary edema?
Lung crackles + S3 gallop
Pedal edema
Diminished heart sound
Slitting B2
Pericardial friction
3. Mrs. X-67 years old with a long history of HTN and diabetes mellitus admits to emergency department with dyspnea at rest preceded by chest pain. Her BP is 70/40mmHg with pulse of 110bpm and SaO2: 88% in room air. Physical examination finds crackles in both lungs with cold skin.ECG shows Q wave with T negative in leads DII, III and avF. Chest X-ray finds alveolar edema with left pleural effusion.Which of the following is the most likely diagnosis?
293
Cardiogenic shock caused by myocardial infarction
Hemorrhagic shock
Bronchopneumonia
Septic shock
Pleural effusion
The acute pulmonary edema is suspected, which of the following test is the most appropriate in diagnosis?
ECG and thoracic TDM
BNP, chest X-ray and echocardiography
CRP and abdominal echography
Cerebral TDM
Hemogram and CRP
What is the urgent treatment in acute pulmonary edema with systolic BP > 140mmHg?
Beta blocker
Diuretic and nitrate derivatives
Antibiotic
Inotropic agents
Angiotensin converting enzyme inhibitor
Parmi les signes suivants, laquelle peut typiquement appartenir au tableau d’intoxication aux benzodiazépines Une somnolence
Une somnolence
Une mydriase unilatérale aréflexique
Une respiration de Cheyne-Stokes
Une asymétrie de tonus
Un allongement du QT sur l’ECG
Parmi les signes cliniques suivants d’une intoxication aux benzodiazépines, laquelle est exacte ?
Une dépression respiratoire
Une mydriase unilatérale aréflexique
Un trouble visuel
Un insomnie
Une hypertension artérielle
Parmi les signes cliniques suivants d’une intoxication aux benzodiazépines, laquelle est exacte ?
Une hypertension artérielle
Un trouble visuel
Une mydriase unilatérale aréflexique
Un insomnie
Une hypotension artérielle
Concernant l’intoxication par benzodiazépine, quelle est la réponse exacte ?
Une tachycardie ventriculaire est une complication fréquente
Une arythmie complète par fibrillation auriculaire est une complication fréquente
Un bloc sino-auriculaire de haut degré est une complication fréquente
Une Bradycardie sinusale(Rohypnol®)
Un bloc auriculoventriculaire de haut degré est une complication fréquente
Parmi les doses toxicologiques suivantes d’une intoxication aux benzodiazépines en moyenne chez l’adulte, laquelle est exacte ?
50mg à 70mg
100mg à 500mg
70mg à 90mg
1mg à 5mg
5mg à 10mg
Parmi les doses toxicologiques suivantes d’une intoxication aux benzodiazépines en moyenne chez l’enfant, laquelle est exacte ?
50mg à 70mg
100mg à 200mg
70mg à 90mg
1mg à 5mg
5mg à 10mg
Quel est l’antidote d’une intoxication exclusive par benzodiazépines ?
Un flumazénil (Anexate)
Une naloxone
Un N-acétylcystéine
Une vitamine K
Une vitamine C
En cas d’intoxication médicamenteuse volontaire aux benzodiazépines, le traitement pré hospitalisé, laquelle est vraie ?
Une installation en position latérale de sécurité (PLS)
Une pose d’une sonde urinaire
Une antitoxine
Un antidote
Une antibiothérapie
. En cas d’intoxication médicamenteuse volontaire aux benzodiazépines, le traitement pré hospitalisé, laquelle est vraie ?
Une installation en position demi assise
Une pose d’une sonde urinaire
Une oxygénothérapie : au masque 8l/mn
Un antidote
Une antibiothérapie
En cas d’intoxication médicamenteuse volontaire aux benzodiazépines, le traitement évacuateur, lequel est vrai ?
Une installation en position demi assise
Une pose d’une voie veineuse avec perfusion d’un soluté glucosé
Un lavage gastrique charbon activé
Un antidote
Une pose d’une sonde urinaire
Concernant l’intoxication par les antidépresseurs tricycliques, quelle est la réponse inexacte ?
Un état de mal convulsive
Une tachycardie
Une constipation
Une mydriase unilatérale
Une hypotension artérielle
Concernant l’intoxication par les antidépresseurs tricycliques, quelle est la réponse exacte ?
Une manifestation allergique cutanéo-muqueuse
Une tachycardie sinusale
Un trouble urinaire
Un trouble génital
Une diarrhée
Parmi les signes cliniques suivants d’une intoxication aux antidépresseurs tricycliques, lequel est exact ?
Un syndrome anticholinergique
Une mydriase unilatérale aréflexique
Une mydriase unilatérale réflexique
Une bradycardie fréquente
Une pollakiurie
Concernant l’intoxication par les antidépresseurs tricycliques, quelle est la réponse inexacte ?
Une hypertension artérielle
Une tachycardie
Une constipation
Un état de mal convulsive
Une hypotension artérielle
Parmi les signes cliniques suivants d’une intoxication aux antidépresseurs tricycliques, laquelle est exacte ?
Une bradycardie fréquente
Une mydriase unilatérale aréflexique
Une mydriase unilatérale réflexique
Une rétention d’urine
Une pollakiurie
Concernant l’intoxication par les antidépresseurs tricycliques, quelle est la réponse inexacte ?
Une tachycardie
Une hypersécrétion bronchique
Une hypotension artérielle
Un état de mal convulsive
Une constipation
Parmi les traitements suivants d’une intoxication par les antidépresseurs tricycliques, laquelle est inexacte ?
Une perfusion de lactate de sodium molaire
Une ventilation mécanique
Une oxygenothérapie
Une hémodialyse
Une utilisation du charbon activé
En cas d’une intoxication par les antidépresseurs tricycliques, le traitement pré hospitalisé, laquelle est vraie ?
Une pose d’une voie veineuse
Une pose d’une sonde urinaire
Un antalgique
Une antibiothérapie
Un antidote
. Parmi les traitements suivants d’une intoxication par les antidépresseurs tricycliques, laquelle est inexacte ?
Une lavage gastrique
Une pose d’une sonde vésicale
Une oxygenothérapie
Une ventilation mécanique
Une utilisation du charbon activé
. En cas d’une intoxication par les antidépresseurs tricycliques, le traitement des torsades de pointe, laquelle est vraie ?
Une perfusion de soluté glucosé à 10%
Un antidote
Un antalgique
Une pose d’une sonde urinaire
Une utilisation d’isoprotérénol-Isuprel®
The most frequent cause of UGI bleeding is:
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Esophageal varices
Peptic ulcer disease
Angiomata
Mallory Weiss tear
Gastritis
After initial stabilization and resuscitation of the patient, each of the following options should be considered in the management of UGI bleeding except:
Determine the source of bleeding
Stop acute bleeding
Treat the underlying abnormality
Prevent rebleeding
Emergency surgery.
Endotracheal intubation for airway protection in the management of UGI bleeding should be considered:
In all cirrhotic patients
in all patients with UGI bleeding
in patients with altered mental status and ongoing hematemesis
in patients with stable COPD
unless it delays urgent endoscopy
A 73 year old man presents with several episodes of hematemesis. Examination shows signs of orthostatic hypotension and melen What is the first priority in caring for this patient?
Nasogastric tube placement and gastric lavag
Resuscitation with adequate IV access and appropriate fluid and blood product fusion.
Intravenous infusion of H2-receptor antagonists to stop the bleeding.
Urgent upper panendoscopy.
Urgent surgical consultation.
An important risk factor for peptic ulcer hemorrhage includes:
Gastric acid hypersecretion
Corticosteroid use
Cigarette smoking
Non-sterioidal anti-inflammatory drug use
Ethanol consumption
Which of the following combinations of stigmata of ulcer hemorrhage should be treated with endoscopic hemostasis?
Non-bleeding visible vessel and black slough
Pulsatile bleeding and white based ulcer
Oozing from an ulcer and a flat red spot
Non-bleeding visible vessel and pulsatile bleeding
Black slough and white based ulcer
For the patient who is now stable after a severe UGI bleed associated with NSAID ingestion, and who is found to be H.pylori positive, what is the most effective management strategy?
Stop NSAIDS, eradicate H.pylori, PPI therapy IV
Stop NSAIDs, full dose H2RA or daily PPI maintenance therapy
Stop NSAIDs
Eradicate H.pylori, full dose H2RA or daily PPI maintenance therapy
Full dose H2-receptor antagonist or daily PPI maintenance therapy
For the patient with an UGI bleed and endoscopic finding shown gastric ulcer Forrest IIa, the most appropriate management includes:
Endoscopic hemostasis with multipolar or heater probe or injection treatment
Urgent surgery
Medical therapy bt PPI IV done in a monitored setting
Medical therapy with early refeeding
Early feeding, same day discharge
For the patient with an UGI bleed and the endoscopic finding of a clean ulcer, the most appropriate management includes:
Endoscopic hemostasis with multipolar or heater probe or injection treatment
Endoscopic hemostasis with combination therapy
Emergent surgery
Medical therapy, early refeeding, same day discharge if stable(medically) and reliable
Medical therapy alone in a monitored setting for three days
A sixty-six-year old man presents to the emergency department with a history of one episode of melen Past history includes coronary artery disease, hypertension . He is on one baby aspirin daily. An urgent upper endoscopy is negativ What is the most appropriate next step?
UGI series with small bowel follow-through
Colonoscopy
Angiography
Red blood cell tagged technetium scan
Abdominal CT scan with contrast
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