DES.Q. M'edical. Part 1
` Parmi les éléments suivants ,lequel fait qu’une infection urinaire dite “compliquée”?
A- Fièvre
B- Femme enceinte
C- Uro-sepsis
D- Pas d’anomalie de la jonction pyélo-urétrale
E- Aucun
Quels sont les germes fréquemment retrouvés lors d’une infection urinaire?
A- Anaerobies
B- Yersinia
C- Staphylocoques
D- Salmonelles
E- Aérobies
Devant une cystite aiguë non compliquée de la femme, quelles sont les affirmations vraies?
A- La bandelette urinaire est indispensable
B- L’évolution spontanée( avec cure d’hyperdiurèse seule) est la guérison
C- L’échographie vésicale permettre de conforter notre diagnostic
D- L’hématurie est un facteur de gravité
E- Aucun
Quels sont parmi les bactéries responsables d’infection urinaire suivant, celui ou ceux qui ne sont pas détectés par la bandelette urinaire?
A- Escherichia Coli
B- Staphylocoques auréus
C- Pseudomonas aeruginosa
D- Protéus mirabilis
E- Streptocoques
Concernant les cystites récidivantes:
A- Il faut documenter chaque épisode par ECBU
B- Elles sont une contre-indication au traitement monodose
C- Elles peuvent être postcoïtales
D- Elles sont souvent révélatrices de malformations urologiques
E- Elles justifient un traitement prolongés plus de 21jours
Parmi les 5 propositions suivantes, choisissez la seule proposition vraie?
A- La pyélonéphrite aiguë est un syndrome propre au sexe masculine
C- La prostatite est une affection de l ‘homme âgé
B- La cystite aiguë s’accompagne habituellement de fièvre
D- La présence d’urines trouble est indispensable au diagnostic d’infection urinaire
E- Une infection urinaire peut ne s’accompagnée d’aucune symptôme clinique
Concernant l’antibiothérapie dans l’infections urinaires:
A- La résistance d’E-Coli à l’amoxicilline est inférieure à 10%
B- L’amoxicilline peut être utilisé en traitement probabiliste d’une prostatite aiguë
C- Il faut adapter le traitement à l’antibiogramme
D- Elles justifient une hospitalisation systématique
E- Elles justifient une antibiothérapie parentérale
Dans l’infection urinaire, ECBU doit être pratiqué avant l’antibiothérapie . Quelle méthode de prélèvement d’urine afin d’éviter les contaminations de la flore cutanée ou urétrale?
A- Urine matin au réveil du premier jet
B- Donner à boire pendant les 4h précédant le prélèvement
C- Echantillons sont mis en air ambient pendant 24h
D- Urine du matin et du deuxième jet
E- Urine du midi et du deuxième jet
Une prostatite aiguë peut reconnaître comme étiologie?
A- Une salpingite
B- Une épididymite
C- Une orchite
D- Une manoeuvre instrumentale endo urétrale
E- Un foyer d’infection ORL
Homme de 30ans, pesant 70kgs, diabète insulin-dépendant,a un syndrome oedèmateux et une insuffisance rénale chronique (Ccr=18ml/mn).
A- Apport plus de 4g de NaCl/j
B- Apport protidique 10g/j
C- Apport de 2g de NaCl/j
D- Apport plus de 45Kcal/j
E- Apport les fruits secs
Chez une insuffisance rénale chronique, les troubles métaboliques sont présentes:
A- Une hyposécrétion de PTH
B- Une carence de vitamine D active
C- Une hypophosphorémie
D- Une alcalose
E- Une une hypercalcémie
Le diagnostic d’une insuffisance rénale chronique est confirmé. Quelle est la complication qui met en jeu le prognostic vital?
A- Hypotension artérielle
B- Hyperkaliémie
C- Anémie
D- Hypocalcémie
E- Hyperphosphorémie
L’insuffisance rénale chronique du aux néphropathie glomérulaires. Quel est le signe pathognomonique échographique des reins?
A- Reins de tailles normales avec differentiation cortico-médullaires
C- Reins hypertrophies avec gros kystes
B- Reins hypotrophies avec differentiation cortico-médullaires
D- Reins atrophies avec de differentiation cortico-médullaires
E- Reins de tailles normales avec dedifferentiation cortico-médullaires
Le caractère confirmatif de l’insuffisance rénale aiguë:
A- Anamnèse
B- Hypocalcémie
Quel est le premier examen à réaliser devant une insuffisance rénale aiguë?
A- Radiographie de l’abdomen sans preparation(ASP)
B- Echographie réno-vésico-prostatique
C- Urographie intrveineuse(UIV)
D- MRI
E- Uro scanner
Critères biologiques d’une insuffisance rénale aiguë fonctionnelle:
A- Fraction d’excrétion Na>1%
B- Rapport NaU/ K U>1
C- UréeU/P<10
D- UréeU/P>10
E- Créatinine U/P<30
L’insuffisance rénale aiguë organique,parmis les propositions suivantes, laquelle est vraie?
A- Fraction d’excrétion de Na<1%
B- Osmolarité U/P<2
C- Urée U/P>10
D- Créatinine U/P>10
E- Rapport Na/K U<1
Le traitement de suppléance de l’IRC:
A- Equilibrer tensionnelle
B- Corriger l’anémie
C- Epuration extrarénale
D- Equilibrer trouble phospho-calcique
E- Régime hyposodé
Le traitement conservateur de l’IRC:
A- Hémodialyse
B- Dialyse péritonéale
C- Stabiliser tensionnelle
D- Transplantation rénale
E- Epuration extrarénale
Chez un adolescent présentant un syndrome néphrotique de forme pur mais cortico-résistant,la lesion histologique rénale la plus vraisemblable est:
A- Glomérulonéphrite proliferative extracapillaire
B- Maladie de BERGER
C- Hyalinose segmentaire et focale des glomérules
D- Glomérulonéphrite proliferative endocapillaire
E- Glomérulonéphrite membranoproliférative
Une glomérulonéphrite à dépôt mésangiaux d’IgA:
A- Hématurie microscopique
B- Hématurie macroscopique
C- Hématurie micro et macroscopique
D- Dépôts glomérulaires extramembraneuse d’IgG
E- Associés à un cancer bronchique
Glomérulonéphrite extramembraneuse(GEM):
A- Seconde cause de syndrome néphrotique chez l’adulte
B- Souvent forme pur
C- Causes Auto-immunes
D- Souvent forme impur
E- Dépôts glomérulaires d’IgM
Glomérulonéphrite à lesions glomérulaires minimes (LGM) ou néphrose lipoïdique:
A- Plus fréquente chez l’adulte
B- Syndrome néprotique impur
C- Souvent précédée d’un syndrome infectieux
D- Souvent idiopathique chez l’enfant
E- Causes Auto-immunes
Quelle est la définition biologique d’un syndrome néphrotique?
A- Protéinurie <3g/24h chez l’adulte et <50mg/kg/24hchez l’enfant
B- Albuminémie>40g/L
C- Protéinurie >3g/24h
D- Hyperprotidémie >60g/L
E- Hypolipidémie
Quand parle-t-on de syndrome néphrotique impur?
A- Non précédé d’un syndrome infectieux
B- Protéinurie >3g/24h
C- Hématurie microscopique
D- ASLO: positif
E- Anémie
La maladie de BERGER. Dans quelle condition, la ponction biopsie rénale est réalisée?
A- Hypertension artérielle maligne
B- Reins sont de tailles normales
C- Hématurie microscopique
D- Hémorragie rétinienne au FO
E- Néphroangiosclérose maligne
La maladie de BERGER, les signes biocliniques suivantes, laquelle?
A- Douleurs lombaires unilatérales
B- Hématurie macroscopique qui précède d’un exercice musculaire intense
C- Insuffisance rénale irréversible
D- Signes d’un syndrome néphrotique pur
E- Hématurie microscopique récidivante
Quelles sont les signes biocliniques en faveur d’une néphropathie due à une cryoglobulinémie?
A- HypocomplémentémieC3 et C4 sont inconstantes
B- Purpura thrombopénique
C- Arthrose
D- Purpura non thrombopénique
E- Elévation importante de transaminases
La néphropathie diabétique. Dans quelles conditions, la ponction biopsie rénale est indiquée?
A- Probabilité de trouver la lesion différente de la glomérulosclérose est extrèmmement faible
B- Hématurie microscopique abondante
C- Rétinopathie diabétique ou hypertension artérielle maligne
D- Description des lesions ne modifie pas la decision thérapeutique
E- Hématurie macroscopique
La pathologie de la néphropathie diabétique au stade prélésionnel:
A- DFG comprise entre90-140ml/mn
C- DFG comprise entre 140-180ml/mn
B- DFG comprise entre60-90ml/mn
D- DFG comprise entre 45-60ml/mn
E- DFG comprise entre 30-45ml/mn
Quelles sont les causes de la néphropathie due à une cryoglobulinémie?
A- Virus de l’hépatite B
B- Tumeurs malignes
C- Maladies auto-immunes
D- Virus de l’hépatite C
E- Cirrhose biliaire primitive
La glomérulopathie lupique est caractérisée par:
A- Dépôt continu sur la MBG d’IgG
B- Dépôt granuleux discontinu sur MBG d’IgG
C- Dépôt granuleux discontinu sur MBG d’IgM
D- Dépôt granuleux continu sur MBG d’IgM
E- Dépôt granuleux continu sur cellules mésangiales
Dans la glomérulosclérose diabétique:
A- Rétinopathie est inconstante
B- Cardiopathie congestive
C- Neuropathie autonome
D- Gangrène des membres inférieurs
E- Névralgie scapulo-humérale
Quelle glomérulopathie,chez l’homme de plus de 40ans, doit faire rechercher un cancer associé?
A- Une GNA
B- Une GNMP type 1
C- Une maladie de Berger
D- Une GNMP
E- Une GEM
Les glomérulonéphrites chroniques dites secondaires, laquelle?
A- Maladie de Berger
B- Glomérulosclérose
C- GEM
D- GNMP
E- GNRP
Les glomérulonéphrites chroniques, dites primitives,laquelle?
A- Glomérulosclérose
B- Glomérulonéphrite à dépôt mésangiaux d’IgA
C- Glomérulonéphrite cryoglobulinémique
D- Amylose rénale
E- Néphroangiosclérose maligne
Vous voyez Madame N, 65 ans, en consultation externe pour une altération de l’état général (asthénie et amaigrissement de 4 kg en 3 mois). Elle a un antécédent de cancer du sein traité par chirurgie et chimiothérapie il y a 5 ans et d’ostéoporose compliquée d’une fracture du col du fémur droit il y a 3 ans. Un bilan biologique a été réalisé qui montre : - Na = 142 mmo/l ; K = 4,2 mmol/l ; Créat = 90 µmol/l - Ca = 2,8 mmol/L (112 mg/L) Pour compléter ce résultat biologique, quel dosage vous semble le plus approprié en 1° intention ?
Dosage de la phosphorémie
Dosage de l’albuminémie
Dosage de la TSH
Dosage de la vitamine D
Dosage de la PTH
Madame M de 56 ans, hypertendue sous diurétique thiazidique, se présente à la consultation pour œdème des membres inférieurs. Elle apporte un résultat biologique qui montre : - Na = 140 mmo/l ; K = 4 mmol/l ; Créat = 100 µmol/l - Ca = 80 mg/L ; albuminémie = 25 g/L. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Hypercalcémie
Vraie normocalcémie
Fausse normocalcémie
Vraie hypocalcémie
Fausse hypocalcémie
Concernant la physiopathologie de la calcémie, quelle est la molécule de vitamine D qui participe directement à la régulation de la calcémie ?
Ergocalciférol
Cholécalciférol
Calcidiol
Calcitriol
Alfacalcidol
Vous voyez en consultation un homme de 64 ans suivi pour une insuffisance rénale chronique compliquant un diabète de type 2. Le dernier bilan biologique a montré : - Na = 140 mmo/l ; K = 4 mmol/l ; Créat = 600 mcmol/l - Ca = 1.9 mmol/L (76 mg/L) ; albuminémie 40 g/L. Parmi les traitements ci-dessous, lequel est le plus approprié dans ce contexte en 1° intention ?
Ergocalciférol
Cholécalciférol
Alfacalcidol
Calcium et vitamine D
Carbonate de calcium
Vous avez reçu un patient avec un tableau d’insuffisance rénale chronique terminale, mais la calcémie est à 112 mg/L. Parmi les étiologies suivantes, laquelle est la plus probable?
Néphropathie diabétique
Myélome multiple
Néphroangiosclérose
Néphropathie lupique
Syndrome néphrotique
Monsieur D, 65 ans, sans antécédents connus, est adressé aux urgences pour somnolence d’apparition progressive depuis 48 h. Les examens sanguins montrent : Na⁺ = 130mmol/L, K⁺ = 7.6mmol/L, Cl = 110mmol/L, Bicarbonates = 18mmol/L, urée = 1.45g/L, créatinine = 1425µmol/L, Hb= 75g/L, GB = 9.2giga/L, plaquettes = 280giga/L, CRP = 45mg/L. Parmi les anomalies métaboliques suivantes, laquelle nécessite le traitement immédiat ?
Hyponatrémie
Hyperkaliémie
Acidose métabolique
Insuffisance rénale
Anémie
Monsieur D, 53 ans, aux antécédents d’HTA et goutte, vient à la consultation pour faiblesse musculaire. Il apporte le résultat d’un ionogramme réalisé il y a 2 jours, qui montre une kaliémie à 2.5 mmol/L. Vous pensez que cette hypokaliémie est iatrogène et analysez son ordonnance. Parmi les molécules suivantes, laquelle est la plus probablement en cause ?
Amlodipine
Perindopril
Furosémide
Allopurinol
Rosuvastatine
Monsieur K, 65 ans, vient vous voir à la consultation pour œdème des membres inférieurs apparus progressivement depuis 3 semaines. Il a des antécédents de diabète de type 2 et d’HTA compliqués d’insuffisance rénale chronique, sous IEC et insuline. A l’examen : TAS = 12. Les résultats sanguins du même jour montrent : urée = 0.95g/L et créatinine = 260µmol/L, Na⁺ = 137mmol/L et K⁺ = 4,5mmol/L. Il y a 6 mois, la créatininémie était à 250µmol/L. Vous décidez de prescrire un diurétique en plus du traitement habituel. Parmi les diurétiques suivants, lequel le plus approprié ?
Acétazolamide
Furosémide
Bumétamide
Hydrochlorothiazide
Spironolactone
Vous voyez Monsieur B, 47 ans en consultation externe pour notions d’œdème des paupières. Il a apporté des résultats réalisés en ville qui montrent : urée = 0,65 g/L, créatinine = 170 µmol/L, bandelette urinaire : protéine +++, hématurie ++. Quel est l’examen complémentaire en première intention pour orientation étiologique ?
Protéinurie des 24 heures
Echographie cardiaque
Echographie réno-vésico-prostatique
Hémoculture
Uroculture (ECBU)
Un homme de 55 ans aux antécédents de diabète de type 2 et HTA sous biguanides et IEC est admis en urgence pour détresse respiratoire aiguë. Constantes : PA = 170/100mmHg, FC = 98/min, T = 37°C, FR = 30/min et SpO2 = 90% en air ambiant. Le bilan biologique montre une insuffisance rénale aiguë : urée = 1.5 g/L, Créatinine = 780 µmol/L, Ca = 80 mg/L (2 mmol/L), HCO3 = 18 mmol/L, K = 7.5 mmol/L, diurèse = 400 ml/24h. Parmi les complications cliniques et biologiques ci-dessus, laquelle nécessite l’indication d’épuration extra-rénale en urgence ?
Hypertension artérielle
Hypocalcémie
Acidose métabolique
Hyperkaliémie
Oligo-anurie
Vous voyez en consultation Monsieur M, 55 ans, qui apporte avec lui quelques résultats paracliniques et biologiques réalisés en ville : urée = 1,05 g/L, créatinine = 534 µmol/L (435 µmol/L il y a 9 mois) et échographie rénale montrant les reins de taille et structure normales. Parmi les étiologies d’insuffisance rénale chronique suivantes, laquelle est la plus probable ?
Néphropathie lupique
Néphropathie diabétique
Syndrome néphrotique pur
Syndrome néphrotique impur
Néphroangiosclérose
Monsieur M, 75 ans, sans notion de bilan de santé auparavant, apyrétique, vient vous voir à la consultation avec un bilan qui montre une élévation de la créatinine à 350µmol/L. Parmi les examens complémentaires suivants à orientation étiologique, lequel devez-vous réaliser en première intention ?
Echographie réno-vésico-prostatique
Ionogramme sanguin et urinaire
Electrophorèse des protéines urinaires
Electrophorèse des protéines sériques
Uroculture (ECBU)
Mademoiselle D, 18 ans, sans ATCD connu, est amenée aux urgences pour état confus. L’examen clinique retrouve : PA = 115/85 mmHg, T= 38,9°C, fréquence cardiaque à 110/min et fréquence respiratoire à 25/min. Pas de signe de localisation en examen neurologique. L’auscultation cardio-respiratoire est sans particularité. Le gaz du sang montre : Na = 132 mmol/L, K = 5,5 mmol/L, chlore = 102 mmol/L, Bicarbonates = 8 mmol/L, pH artériel = 7, pCO2 = 18 mmHg, pO2 = 110 mmol/L et Hb = 125 g/L. Quel est le trouble acido-basique présenté par cette patiente ?
Equilibre acido- basique normal
Acidose métabolique
Acidose respiratoire
Alcalose métabolique
Alcalose respiratoire
Mademoiselle D, 18 ans, sans ATCD connu, est amenée aux urgences pour état confus. L’examen clinique retrouve : PA = 115/85 mmHg, T= 38,9°C, fréquence cardiaque à 110/min et fréquence respiratoire à 25/min. Pas de signe de localisation en examen neurologique. L’auscultation cardio-respiratoire est sans particularité. Le gaz du sang montre : Na = 132 mmol/L, K = 5,5 mmol/L, chlore = 102 mmol/L, Bicarbonates = 8 mmol/L, pH artériel = 7, pCO2 = 18 mmHg, pO2 = 110 mmol/L et Hb = 125 g/L. La bandelette urinaire montre : sang (-), protéines traces, leucocytes +++, nitrites +, cétones +++, glucose +++. Quel est l’ensemble des examens paracliniques en urgence pour expliquer le tableau clinico-biologique ci-dessus ?
Echographie réno-vésicale, ECBU et hémoculture
ECBU, hémoculture et radio du thorax
Hémoculture, radio du thorax et scanner cérébral
Radio du thorax, scanner cérébral et échographie réno-vésicale
Scanner cérébral, échographie réno-vésicale et ECBU
Mademoiselle D, 18 ans, sans ATCD connu, est amenée aux urgences pour état confus. L’examen clinique retrouve : PA = 115/85 mmHg, T= 38,9°C, fréquence cardiaque à 110/min et fréquence respiratoire à 25/min. Pas de signe de localisation en examen neurologique. L’auscultation cardio-respiratoire est sans particularité. Le gaz du sang montre : Na = 132 mmol/L, K = 5,5 mmol/L, chlore = 102 mmol/L, Bicarbonates = 8 mmol/L, pH artériel = 7, pCO2 = 18 mmHg, pO2 = 110 mmol/L et Hb = 125 g/L. La bandelette urinaire montre : sang (-), protéines traces, leucocytes +++, nitrites +, cétones +++, glucose +++. La glycémie capillaire : Hi Quel est l’ensemble des actes thérapeutiques en urgence pour sauver cette malade ?
Insuline rapide IV continue, restriction hydrique et ATB contre bacilles gram (-)
Insuline rapide IV continue, réhydratation et ATB contre bacilles gram (-)
Insuline rapide IV continue, restriction hydrique et ATB contre bacilles gram (+)
Insuline rapide IV continue, réhydratation et ATB contre bacilles gram (+)
Insuline rapide IV continue, réhydration et ATB contre bacilles gram (-) et (+)
Monsieur M, 60 ans, est adressé aux urgences pour altération de l’état général. Il est hypertendu, suivi régulièrement par son médecin traitant. Il présente depuis trois jours des diarrhées liquides. A l’examen clinique, la pression artérielle est à 90/60 mmHg, la fréquence cardiaque à 130/min. Le patient a perdu 3 kg depuis le début des diarrhées. L’auscultation cardiaque et pulmonaire est sans particularité. L’examen abdominal révèle une sensibilité diffuse, sans défense ni contracture. Il présente de légères marbrures, un pli cutané persistant et réclame toutes les 15 minutes un verre d’eau. Il est apyrétique. Le bilan biologique montre : urée = 1.65mg/L, créatinine = 210µmol/L, Bicarbonate = 17 mmol/L, Na⁺ = 152mmol/L, K⁺ = 7.2 mmol/L, calcémie = 86 g/L, phosphore = 35 mg/L, albuminémie = 50g/L. La numération globulaire est sans particularité. Le bilan biologique réalisé il y a trois mois était sans particularité. Sa diurèse des 12 dernières heures est évaluée à 200ml.Quel est l’état d’hydratation du patient ?
Hyperhydratation intracellulaire + déshydratation intracellulaire
Déshydratation intracellulaire + hyperhydratation extracellulaire
Hyperhydratation extracellulaire + déshydratation extracellulaire
Déshydratation extracellulaire + déshydratation intracellulaire
Hyperhydratation intracellulaire et hyperhydratation extracellulaire
Monsieur M, 60 ans, est adressé aux urgences pour altération de l’état général. Il est hypertendu, suivi régulièrement par son médecin traitant. Il présente depuis trois jours des diarrhées liquides. A l’examen clinique, la pression artérielle est à 90/60 mmHg, la fréquence cardiaque à 130/min. Le patient a perdu 3 kg depuis le début des diarrhées. L’auscultation cardiaque et pulmonaire est sans particularité. L’examen abdominal révèle une sensibilité diffuse, sans défense ni contracture. Il présente de légères marbrures, un pli cutané persistant et réclame toutes les 15 minutes un verre d’eau. Il est apyrétique. Le bilan biologique montre : urée = 1.65mg/L, créatinine = 210µmol/L, Bicarbonate = 17 mmol/L, Na⁺ = 152mmol/L, K⁺ = 7.2 mmol/L, calcémie = 86 g/L, phosphore = 35 mg/L, albuminémie = 50g/L. La numération globulaire est sans particularité. Le bilan biologique réalisé il y a trois mois était sans particularité. Sa diurèse des 12 dernières heures est évaluée à 200ml. Quel examen devez-vous réaliser en premier ?
ECG
Echographie réno-vésicale
Scanner abdomino-pelvien sans injection
Scanner abdomino-pelvien avec injection
Ionogramme urinaire
Monsieur M, 60 ans, est adressé aux urgences pour altération de l’état général. Il est hypertendu, suivi régulièrement par son médecin traitant. Il présente depuis trois jours des diarrhées liquides. A l’examen clinique, la pression artérielle est à 90/60 mmHg, la fréquence cardiaque à 130/min. Le patient a perdu 3 kg depuis le début des diarrhées. L’auscultation cardiaque et pulmonaire est sans particularité. L’examen abdominal révèle une sensibilité diffuse, sans défense ni contracture. Il présente de légères marbrures, un pli cutané persistant et réclame toutes les 15 minutes un verre d’eau. Il est apyrétique. Le bilan biologique montre : urée = 1.65mg/L, créatinine = 210µmol/L, Bicarbonate = 17 mmol/L, Na⁺ = 152mmol/L, K⁺ = 7.2 mmol/L, calcémie = 86 g/L, phosphore = 35 mg/L, albuminémie = 50g/L. La numération globulaire est sans particularité. Le bilan biologique réalisé il y a trois mois était sans particularité. Sa diurèse des 12 dernières heures est évaluée à 200ml. Quel examen à vise étiologique devez-vous réaliser ?
ECG
Echographie réno-vésicale
Scanner abdomino-pelvien sans injection
Scanner abdomino-pelvien avec injection
Ionogramme urinaire
Monsieur M, 60 ans, est adressé aux urgences pour altération de l’état général. Il est hypertendu, suivi régulièrement par son médecin traitant. Il présente depuis trois jours des diarrhées liquides. A l’examen clinique, la pression artérielle est à 90/60 mmHg, la fréquence cardiaque à 130/min. Le patient a perdu 3 kg depuis le début des diarrhées. L’auscultation cardiaque et pulmonaire est sans particularité. L’examen abdominal révèle une sensibilité diffuse, sans défense ni contracture. Il présente de légères marbrures, un pli cutané persistant et réclame toutes les 15 minutes un verre d’eau. Il est apyrétique. Le bilan biologique montre : urée = 1.65mg/L, créatinine = 210µmol/L, Bicarbonate = 17 mmol/L, Na⁺ = 152mmol/L, K⁺ = 7.2 mmol/L, calcémie = 86 g/L, phosphore = 35 mg/L, albuminémie = 50g/L. La numération globulaire est sans particularité. Le bilan biologique réalisé il y a trois mois était sans particularité. Sa diurèse des 12 dernières heures est évaluée à 200ml. Quel sera votre traitement en urgence ?
Bicarbonate de sodium
Kayexalate
Bétabloquant
Antibiothérapie
Furosemide
Monsieur M, 60 ans, est adressé aux urgences pour altération de l’état général. Il est hypertendu, suivi régulièrement par son médecin traitant. Il présente depuis trois jours des diarrhées liquides. A l’examen clinique, la pression artérielle est à 90/60 mmHg, la fréquence cardiaque à 130/min. Le patient a perdu 3 kg depuis le début des diarrhées. L’auscultation cardiaque et pulmonaire est sans particularité. L’examen abdominal révèle une sensibilité diffuse, sans défense ni contracture. Il présente de légères marbrures, un pli cutané persistant et réclame toutes les 15 minutes un verre d’eau. Il est apyrétique. Le bilan biologique montre : urée = 1.65mg/L, créatinine = 210µmol/L, Bicarbonate = 17 mmol/L, Na⁺ = 152mmol/L, K⁺ = 7.2 mmol/L, calcémie = 86 g/L, phosphore = 35 mg/L, albuminémie = 50g/L. La numération globulaire est sans particularité. Le bilan biologique réalisé il y a trois mois était sans particularité. Sa diurèse des 12 dernières heures est évaluée à 200ml. Quelle est l’indication à l’hémodialyse en urgence ?
Elévation de l’urée
Elévation de la créatinine
Acidose métabolique
Hyperkaliémie menaçante
Oligo-anurie
Monsieur M, 60 ans, est adressé aux urgences pour son médecin traitement pour hypercalcémie à 120mg/L. Quels sont les signes cliniques d’hypercalcémie ?
Syndrome polyuro-polydipsique, fébricule, asthénie
Fébricule, nausées, faiblesse musculaire
Nausées, syndrome polyuro-polydipsique, fébricule
Asthénie, syndrome polyuro-polydipsique, nausées
Faiblesse musculaire, asthénie, fébricule
Monsieur M, 60 ans, est adressé aux urgences pour son médecin traitement pour hypercalcémie à 120mg/L. Quelle atteinte met en jeu le pronostic vital ?
Hépatique
Cérébrale
Cardiaque
Rénale
Pulmonaire
Monsieur M, 60 ans, est adressé aux urgences pour son médecin traitement pour hypercalcémie à 120mg/L. Quel est le profil biologique retrouvé dans une hyperthyroïdie primitive ?
Hypercalcémie, hyperphosphorémie, PTH basse
Hypercalcémie, hypophosphorémie, PTH basse
Hypocalcémie, hyperphosphorémie, PTH basse
Hypercalcémie, hypophosphorémie, PTH élevée
Hypercalcémie, hyperphosphorémie, PTH élevée
Monsieur M, 60 ans, est adressé aux urgences pour son médecin traitement pour hypercalcémie à 120mg/L. : Quelles les causes d’hypercalcémie ?
Iatrogène, néoplasie, myélome
Infection, iatrogène, maladie de système
Néoplasie, infection, maldie de système
Myélome, iatrogène, infection
Maladie de système, néoplasie, myélome
Monsieur M, 60 ans, est adressé aux urgences pour son médecin traitement pour hypercalcémie à 120mg/L. Quel est le traitement d’une hypercalcémie sévère ?
Hydratation PO
Hydratation IV
Kayexalate
Calcitriol
Furosémide
1. L’évolution la plus habituelle de la glomérulonéphrite aiguë, dans au moins 80% des cas chez l’enfant, se fait vers :
A. La guérison simple sans séquelle Clinique à deux ans
B. La persistance d’une protéinurie rénale définitive
C. L’évolution vers l’insuffisance rénale chronique
D. L’insuffisance rénale rapidement progressive
E. Le développement d’une hypertension artérielle permanente
2. Le syndrome glomérulaire aigu comporte, sauf :
A. Hypertension artérielle
B. Oligurie
C. Hématurie
D. Oedème de la face
E. Etat fébrile persistant
3. Parmi les modifications biologiques ou résultats bactériologiques suivants, lequel est observé de façon spécifique et a une bonne valeur diagnostique dans la glomérulonéphrite aiguë post infectieuse à la deuxième semaine d’évolution?
A. Elévation du titre des antistreptolysine O
B. Prélèvement de gorge positif pour le streptocoque B hémolytique
C. Hyperleucocytose à polynucléaires
D. Accélération de la vitesse de sédimentation
E. Diminution du complément
4. La découverte chez un adulte de 50ans d’une glomérulopathie extra-membraneuse doit faire rechercher toutes les causes possibles, sauf une. Le ou laquelle?
A. Un cancer profond caché
B. Une hépatite virale B
C. Une infection par le HIV
D. Une parasitose chronique
E. Un effet médicamenteux indésirable
5. La glomérulonéphrite aiguë post streptococcique :
A. Se manifeste le plus souvent par un syndrome néphritique aigu
B. Est associée à une baisse du CH50
C. Nécessite la prescription d’une AINS
D. Est diagnostiquée sur le résultat de la biopsie rénale
E. Rend nécessaire un traitement anti infectieux au long cours
6. Un élément habituel du traitement d’une glomérulonéphrite aiguë post streptococcique comporte :
A. Corticothérapie
B. Augmentation des boissons adaptée à la diurèse
C. Restriction sodée stricte
D. Traitement antibiotique par Aminosides
E. Prophylaxie ultérieure des infections streptococciques par extencilline pendent 5 ans
7. Les anticorps anti membrane basale glomérulaire jouent un rôle pathogène dans:
A. Glomérulonéphrite extra membraneuse
B. Glomérulonéphrite membrano-proliférative
C. Maladie de Berger
D. Syndrome de Goodpasture
E. Rein myélomateux
8. Sans ATCD Clinique évocateur, quel signe évoque plutôt une glomérulonéphrite chronique devant un tableau de protéinurie isolée ?
A. Présance en abondance de bêta 2 microglobuline
B. Tous les paramètres d’exploration fonctionnelle rénale sont normaux sauf l’épreuve d’acidification
C. La protéinurie est toujours > 2,5g/j
D. À l’urographie intra veineuse, il existe des signes focaux de rétraction et de nécrose papillaire
E. La patiente a fait pendant la période d’observation une hématurie terminale
9. Un jeune homme de 18 ans présente en même temps qu’une douleur pharyngée et une température à 38°C , une hématurie macroscopique sans autre manifestation. Il s’agit d’un deuxième épisode. Le diagnostic le plus probable est :
A. Infection Urinaire
B. Lithiase vésicale
C. Reflux vésico-urétérale
D. Glomérulonéphrite aiguë post streptococcique
E. Glomérulonéphrite mésangiale à dépôts d’IgA
10. Un sujet de 25 ans a été opéré dans l’enfance d’un reflux vésico-urétéral bilatéral laissant des séquelles d’hypoplasie visible à l’échographie rénale. Alors que la protéinurie n’était jamais supérieure à 0,20g/l, elle atteint brusquement 2g puis 3g/24h. Cette protéinurie traduit :
A. Une aggravation des lésions inflammatoires de néphrite interstitielle
B. La constitution d’une sclérose du tissu interstitiel
C. Une dégénérescence tubulaire
D. Une intolérence aux anti infectieux urinaires
E. Une atteinte glomérulaire de type hyalinose passive
11. Parmi les signes suivants, quel est celui qui caractérise précocement l’atteinte glomérulaire chez un diabétique insulino-dépendant ?
A. L’augmentation des leucocytes/minute
B. Une hypertension artérielle permanente
C. L’hématurie microscopique
D. Une augmentation de l’élimination urinaire d’albumine ( > ou = 30mg/24h )
E. Une diminution de la clairance de la créatinine
12. Parmi les items ci-dessous, quel est celui qui, après 15 jours d’évolution a une valeur pour le diagnostic de glomérulo-néphrite aiguē post infectieuse ?
A. Elévation du titre des antistreptolysine O
B. Prélèvement de gorge positif pour le streptocoque B hémolytique
C. Hyperleucocytose à polynucléaires
D. Accélération de la vitesse de sédimentation
E. Diminution du complément
13. Un garçon de 5 ans présente à 3 reprises des hématuries macroscopiques. Les examens ont montré que 70% des hématies sont de morphologie déchiquetée à l’examen microscopique des urines. La protéinurie est de 1,5g/l. Il est pertinent de demander les examens au dessous, sauf :
A. Une urographie avec lavage au Lasilix
B. Une cystographie
C. Une créatininémie
D. Une électrophorèse des protides plasmatiques
E. Un dosage de la fraction C3 du complément
14. Quelle est la valeur de la clairance de la créatinine en dessous de laquelle on parle d’insuffisance rénale chronique au stade pré terminale ?
A. 40ml/mn
B. 30ml/mn
C. 20ml/mn
D. 10ml/mn
E. 5ml/mn
Qu’est ce qu’une fistule artério-veineuse ?
A. Anastomose artério-veineuse
B. Anastomose veino- veineuse
C. Anastomose veino lymphatique
D. Pontage aorto-fémorale
E. Anastomoses porto-cave
16. Parmi les propositions suivantes concernant le bain de dialyse, Choisissez une fausse reponse :
A. Liquide stérile
B. Contient du sodium, du potassium et du calcium
C. Contient du glucose, de l’actate et de l’eau
D. Dépourvu des solutés dont l’élimination est désirée
E. Composition proche du plasma
17. Où se situe l’extrémité interne du cathéter de dialyse péritonénale ?
A. Dans l’intestin grêle
B. Dans le colon
C. Dans le cul de sac de Douglas
D. Dans la cavité pleurale
E. Dans la vessie
18. Quelle est l’endroit anatomique classique d’une fistule artério-veineuse ?
A. Face antérieur de l’avant bras
B. Face postérieur de l’avant bras
C. Face antérieur de la cuisse
D. Face postérieur de la cuisse
E. Face interne de la cuisse
19. Quel est le temps moyen pour obtenir une fistule artério-veineuse fonctionnelle ( Bien cicatrisé, veine artérialisée)?
A. 2 semaines
B. 3 semaines
C. Entre 5 à 6 semaines
D. A partir de 6ème semaine
E. Entre 4 à 5 semaines
20. Le phénomène de diffusion au cours de l’hémodialyse :
A. Transfert d’eau à la faveur d’un gradient de pression (de la plus forte vers la plus faible).
B. Transfert des grandes molécules à travers des pores de la membranes semi-perméable.
C. Transfert des petites molécules à travers des PORES de la membranes semi-perméable. Ce transfert se fait en fonction de la taille des molécules et du gradient de concentration de part et d’autre de la membrane (de la plus faible concentration vers la plus forte).
D. Transfert d’eau à la faveur d’un gradient de pression (de la plus faible vers la plus forte).
E. Transfert des petites molécules à travers des PORES de la membranes semi-perméable. Ce transfert se fait en fonction de la taille des molécules et du gradient de concentration de part et d’autre de la membrane (de la plus forte concentration vers la plus faible).
21. Parmis les complications d’une séance d’hémodialyse suivantes, Choisissez une fausse réponse :
A. Crampes
B. Perte d’appetit
C. Hyperthermie
D. Hypotension artérielle
E. Embolie gazeuse
Quel est le nombre de séance(s) d’hémodialyse par semaine ?
1
2
4
7
3
23. La durée moyenne d’une séance d’hémodialyse ?
A. 3 à 4h
B. 4 à 8h
C. 4 à 5h
D. 4 à 6h
E. 6 à 8h
24. Les indications de l’hémodialyse en urgence, sauf :
A. Hyperkaliémie sévère chez IRCT
B. OAP chez IRC
C. Douleur musculaire chez IRCT
D. Sd urémique chez IRCT
E. Acidose sévère chez IRCT
25. Les facteurs de bon pronostic de la disfonction érectile, sauf un/une, le/laquelle?
A. Capacité érectile résiduelle
B. Possibilité d’érections provoquées
C. Persistance des érections nocturnes
D. Apparition progressive des troubles
E. Conservation de la libido
26. Les arguments en faveur d’une origine organique de la disfonction érectile, sauf un/une, la/lequel ?
A. Début progressif
B. L’absence de facteur déclenchant
C. L’éjaculation verge molle
D. Pas d’érections matinales
E. La diminution secondaire de la libido
27. L’examen complémentaire de première intention chez l’homme de plus de 50 ans se plaignant d’une dysfonction érectile associée à une diminution de la libido ?
A. PSA total
B. Prolactinémie
C. Glycémie à jeun
D. ACTH
E. LH
28. Quel est le contre-indication à la prescription d’IPDE5 ?
A. L’association avec le nicorandil
B. Un accident vasculaire cérébral 3 ans auparavant.
C. L’association avec un bêtabloquant
D. Un diabète
E. Un infarctus du myocarde recent
29. Les affirmations justes concernant le priapisme à bas débit, sauf un/une, le ou laquelle?
A. Douleur +++
B. Urgence thérapeutique
C. Le plus souvent post-traumatique
D. Nécessite une gazométrie caverneuse
E. Le plus fréquent
30. Les 3 étapes physiologiques correspondent de mécanisme de l’érection :
A. La relaxation musculaire striée, la vasodilatation et le blocage du retour veineux
B. La relaxation musculaire lisse, la vasoconstriction et le blocage du retour veineux
C. La relaxation musculaire striée, la vasoconstriction et le blocage du retour veineux
D. La relaxation musculaire lisse, la vasodilatation et le blocage du retour veineux
E. La relaxation musculaire lisse, la vasodilatation et le blocage du retour artériel
31. Les diagnostics différentiels de trouble de l’érection, sauf un/une, la ou lequel?
A. Des troubles du désir, libido ;
B. Des troubles de l’éjaculation ;
C. Des troubles de l’orgasme ;
D. Des douleurs lors des rapports.
E. Des troubles du transit
Les médicaments qui causent le trouble de l’érection, sauf une/un, le ou laquelle?
A. Beta bloquants
B. Anti androgènes
C. Paracétamol
D. Digitalique
E. Thiazidique
33. Les arguments en faveur d’une origine psychogène de la disfonction érectile, sauf ?
A. Début brutal
B. Evolution par accès
C. Erection nocturne
D. Masturbation impossible
E. Erection matinale présante
34. Les effects secondaires de l’injection intracaverneuse, sauf un/une,la ou lequel ?
A. Douleur
B. Hématome
C. Erection prolongée
D. Fibrose
E. Sensation de Brulûre
35. Quel est le premier palier thérapeutique de la Disfonction érectile ?
A. Inhibiteurs de la phosphodiestérase 5
B. Injections intracaverneuses de prostaglandine
C. Inhibiteur de l’alpha glucosidase
D. Rêgle hygiéno-diététique
E. Inhibiteur de l’engyme de conversion
36. Qu’est ce que le Vacuum?
A. Pompe électrique permettant d’obtenir une rigidité de la verge par dépression de l’air environnant la verge flaccide
B. Pompe manuelle permettant d’obtenir une rigidité de la verge par dépression de l’air environnant la verge flaccide
C. Pompe manuelle ou électrique permettant d’obtenir une rigidité de la verge par dépression de l’air environnant la verge flaccide
D. Pompe manuelle ou électrique permettant d’obtenir une élasticité de la verge par dépression de l’air environnant la verge flaccide
E. Pompe électrique permettant d’obtenir une élasticié de la verge par dépression de l’air environnant la verge flaccide
37. Les causes hématologiques de la priapisme à bas débit, sauf un/une, le ou laquelle?
A. Drépanocytose
B. Thalassémie (hémoglobinopathie),
C. Trouble de la coagulation
D. Leucémie myéloïde chronique
E. Aplasie médullaire
39. Les causes de la priapisme à bas débit, sauf un/une, le ou laquelle?
A. L’envahissement néoplastique
B. Le traumatismes médullaires
C. Cause hématologique
D. Cause iatrogène
E. Insuffisance cardiaque
40. Des apports protéiques des patients hémodialysés :
A. 1,2 g/kg/jour
B. 1,1 g/kg/jour
C. 1,3 g/kg/jour
D. 1 g/kg/jour
E. Entre 0,8 à 1,4 g/kg/jour
41. Les maladies ci dessous regroupent dans la forme chronique de la néphropathie vasculaire, sauf un/une, la ou lequel?
A. Sténose de l’artère rénale
B. Néphroangiosclérose bénigne
C. Syndrome des anti phospholipide
D. Néphronoptise
E. Néphropathie d’allogreffe rénale
42. Le syndrome de néphrite interstitielle aiguë comporte habituellement,(1 réponse fausse), le ou laquelle?
A. Elévation rapide de la créatinine
B. Protéinurie < 1 g/j
C. Douleurs lombaires bilatérales
D. Anurie
E. Reins de taille conservée ou augmentée
43. Le syndrome de néphrite interstitielle chronique comporte habituellement (1 réponse fausse), le ou laquelle?
A. Protéinurie < 1 g/24h
B. Leucocyturie stérile
C. HTA sévère
D. Reins de petite taille
E. Insuffisance rénale lentement progressive
44. Les arguments pour une HTA rénale (c'est-à-dire secondaire à une pathologie rénale), sauf un/une, la ou lequel?
A. Néphropathie connue
B. Antécédents urologiques
C. Anomalies de la bandelette (Protéinurie, hématuries)
D. Insuffisance rénale
E. Maladie embolique
45. la Néphroangiosclérose maligne est caractérisée par :
A. Lésions des petites artères, des artérioles et des glomérules
B. Lésion de l’aorte (gros calibre)
C. Lésions des artères rénales de moyen calibre
D. Lésion des artères interlobaire (moyen calibre)
E. Lésions des parenchymes rénales irreversible
46. L’objectif du traitement de l’HTA maligne :
A. Baisse de la PA de 20 % les premières heures sans chercher à normaliser la PA
B. Baisse de la PA de 25 % les premières heures sans chercher à normaliser la PA
C. Baisse de la PA de 30 % les premières heures sans chercher à normaliser la PA
D. Baisse de la PA de 50 % les premières heures sans chercher à normaliser la PA
E. Baisse de la PA de 75 % les premières heures sans chercher à normaliser la PA
47. Le mécanisme de La maladie des emboles de cristaux de cholestérol :
A. Rupture de plaques athéromateuses avec migration de cristaux de cholestérol dans tous les organes, notamment les reins et les membres inférieurs.
B. Rupture de plaques athéromateuses avec migration de cristaux de cholestérol dans tous les organes, notamment les membres inférieurs.
C. Rupture de plaques athéromateuses avec migration de cristaux de cholestérol dans tous les organes, notamment le foie et les membres inférieurs.
D. Rupture de plaques athéromateuses avec migration de cristaux de cholestérol dans tous les organes, notamment les reins et les membres supérieurs.
E. Rupture de plaques athéromateuses avec migration de cristaux de cholestérol dans tous les organes, notamment les poumons.
. Les arguments cliniques qui peuvent évoquer à un infarctus rénal, sauf :
A. Douleur lombaire intense
B. Hématurie macroscopique
C. Poussée hypertensive
D. Anurie
E. Trouble du transit intestinal
49. Qu’est ce que la sclérodermie ?
A. Maladie autoimune qui altère principalement la peau et les artères de petits calibres
B. Maladie systémique qui altère principalement la peau et les artères de petits calibres
C. Maladie autoimune qui altère principalement la peau et les artères de moyen calibres
D. Maladie systémique qui altère principalement la peau et les artères de moyen calibres
E. Maladie systémique qui altère principalement la peau et les artères de gros calibres
50. Le traitement médicamenteux par anticholinergiques peut s’accompagner des effets secondaires suivants, sauf :
A. Nausées, vomissements
B. Asthénie
C. Constipation
D. Rétention aiguë d’urine
E. Sensation de bouche sèche
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