Notion de Pharmacie galénique Dr. NAY Kuyhuong 51-100

51. L’antagonisme : le médicament A associé à un autre produit B peut

A. Augmenter l’action de A ou B

B. Diminuer l’action de A ou B

C. Agir aucune action de A ou B

D. Augmenter l’action de A mais pas B

52. La détermination de la posologie est réalisée en se basant sur les essais

A. pharmacocinétiques effectués sur animal

B. Pharmacodynamiques effectués sur animal

C. biopharmaceutiques

D. Pharmacodynamiques effectués sur l'homme

53. La dose thérapeutique ou dose usuelle est :

A. La quantité de médicament nécessaire pour obtenir l’effet thérapeutique

B. La quantité de médicament qui déclenche les effets toxiques

C. La dose maximum dans l'intervalle thérapeutique

D. La dose minimum dans l'intervalle thérapeutique

54. La dose par prise est :

A. La dose maximum dans l'intervalle thérapeutique

B. La quantité de médicament qui déclenche les effets toxiques

C. La quantité totale de médicament administrée en une seule fois

D. La dose minimum dans l'intervalle thérapeutique

55. La dose par 24 h est :

A. La quantité de médicament qui est nécessaire pour obtenir l’effet thérapeutique

B. La quantité de médicament qui déclenche les effets toxiques

C. La quantité totale de médicament administrée en une seule fois

D. La quantité totale de médicament prise en un jour soit en dose unique, soit en dose fractionnée.

56. La dose par traitement est :

A. La quantité de médicament qui déclenche les effets toxiques

B. La quantité totale de médicament administrée en une seule fois

C. La quantité totale de médicament prise en un jour soit en dose unique, soit en dose fractionnée

D. La multiplication de la dose par 24h en fonction du nombre de jour de traitement

57. L’allopathie : un remède doit manifester des effets

A. Semblables aux symptômes de la maladie

B. Similitudes aux symptômes de la maladie

C. Analogues aux symptômes de la maladie

D. Contraires aux symptômes de la maladie

58. L’homéopathie est fondée sur la loi

A. De similitude ou loi de semblable ou loi d’analogue

B. Des contraires ou loi de semblable ou loi d’analogue

C. De similitude ou loi de contraire ou loi d’analogue

D. De similitude ou loi de semblable ou loi de contraire

59. L’homéopathie utilise les substances médicamenteuses

A. à dose à l'ordre de milligramme

B. à dose à l'ordre de centigramme

C. à dose à l'ordre de gramme

D. à dose infinitésimale

60. Les études de la littérature scientifique mondiale permet d’étudier les travaux réalisés sur

A. Une molécule active

B. l'activité d'une molécule

C. Une classe thérapeutique ou en fonction de leur activité et leur lieu d’action d'une molécule

D. Sur une classe thérapeutique d'un médicament de référence

61. La recherche bibliographique, lors de développement d'un médicament, permet d’étudier

A. Les toxicités d'un médicament

B. Les effets thérapeutiques d'un médicament

C. Les relations doses activités de chaque type de médicaments

D. Les relations structures activités de chaque type de médicaments

62. Le principe actif obtenu doit être étudié ensuite sur l’animal pour

A. déterminer ou vérifier son activité pharmacologique

B. Rechercher les stabilités

C. déterminer la pharmacocinétique

D. déterminer la pharmacodynamique

63. Les travaux de formulation sont effectués dans les services de recherche et développement galéniques en étroite relation avec

A. Les pharmaciens industriels

B. Les services de production

C. Les services clientèles

D. Les laboratoires de contrôle

64. La muqueuse perlinguale est située dans :

E. La bouche, dans une cavité placée sous la langue

F. Dans la cavité buccal sur la langue.

G. l’abdominal

H. l’œil

65. Les formes galéniques destinées à être administrées sur les muqueuses bucco pharyngées sont :

A. gargarismes

B. Bains de bouche

C. Collutoires

D. A+B+C

66. Les collutoires sont :

A. Des préparations liquides destinées à être appliquées sur les muqueuses de la cavité buccale et de l’arrière-gorge, action locale.

B. Des préparations liquides destinées au lavage de la gorge, action locale.

C. Des préparations liquides destinées au lavage de la bouche, action locale.

D. Des préparations solides présentées en unité de prise dont l’excipient principale est une gomme, destinées à être mâchées.

67. Les gargarismes sont :

A. Des préparations liquides destinées au lavage de la bouche, action locale

B. Des préparations liquides destinées au lavage de la gorge, action générale

C. Des préparations liquides destinées au lavage de la gorge, action locale

D. Des préparations solides présentées en unité de prise dont l’excipient principale est une gomme, destinées à être mâchées sans être avalées

68. Les bains de bouche sont :

A. Des préparations liquides destinées à être appliquées sur les muqueuses de la cavité buccale et de l’arrière-gorge, action locale.

B. Des préparations liquides destinées au lavage de la gorge, action locale.

C. Des préparations liquides destinées au lavage de la bouche, action générale.

D. Des préparations liquides destinées au lavage de la bouche, action locale.

69. Les formes galéniques destinées à la voie oculaire sont :

A. Des préparations stériles, liquides ou semi-liquides ou solides destiné à être instillées ou appliquées sur le globe oculaire et les conjonctives ou à être introduites dans le sac conjonctival, action locale

B. Des préparations liquides destinées à être appliquées sur les muqueuses de la cavité buccale et de l’arrière-gorge, action locale.

C. Des préparations liquides destinées au lavage de la gorge, action locale.

D. Des préparations liquides destinées au lavage de la bouche, action locale.

70. Les collyres sont :

A. Des préparations solides présentées en unité de prise dont l’excipient principale est une gomme, destinées à être mâchées sans être avalées

B. Des solutions ou suspension non stériles, aqueuses ou huileuses destinés l’instillation oculaire

C. Des préparations semi-solides destinées à l’application oculaire.

D. Des solutions ou suspensions stériles, aqueuses ou huileuses destinés l’instillation oculaire

71. Parmi les propositions suivantes concernant des modes d’action de collyre, une seule d’entre elle est inexacte :

A. Anti-infectieux

B. Mydriatiques

C. Anti-tussive

D. Anti-inflammatoire

72. Les poudres pour collyre et poudres pour solution pour lavage ophtalmique sont :

A. Des préparations sèches non stériles à dissoudre ou disperser dans un liquide approprié au moment de l’administration

B. Des préparations sèches et stériles à dissoudre ou disperser dans un liquide approprié au moment de l’administration

C. Des préparations sèches et stériles destinées à l’application directement dans l’œil

D. Des solutions aqueuses stériles, destinées à être instillées ou appliquées au niveau de l’œil

73. Les préparations ophtalmiques semi-solides sont :

A. Des pommades, crèmes ou gels non stériles destinés à être appliqués sur les conjonctives

B. Des pommades, crèmes ou gels stériles destinés à être appliqués sur les conjonctives

C. Des pommades, crèmes ou gels stériles destinés à être appliqués sur les oreilles

D. Des préparations solides ou semi-solides stériles, destinées à être insérées dans le cul-de-sac conjonctival en vue d’une action sur l’œil

74. Les inserts ophtalmiques sont :

A. Des petits réservoirs destinés à être placés dans le cul-de-sac conjonctival et qui libèrent le PA contenu durant plusieurs jours

B. Des solutions aqueuses généralement stériles destinées à l’entretien ou à l’application des lentilles de contact

C. Des pommades, crèmes ou gels stériles destinés à être appliqués sur les conjonctivesC. Des pommades, crèmes ou gels stériles destinés à être appliqués sur les conjonctives

D. Des préparations solides ou semi-solides stériles, destinées à être insérées dans le cul-de-sac conjonctival en vue d’une action sur l’œil

75. Les dispositifs oculaires ou ocuserts sont :

A. Des solutions aqueuses généralement stériles destinées à l’entretien ou à l’application des lentilles de contact

B. Des préparations solides ou semi-solides stériles, destinées à être insérées dans le cul-de-sac conjonctival en vue d’une action sur l’œil

C. Des petits réservoirs destinés à être placés dans le cul-de-sac conjonctival et qui libèrent le PA contenu durant plusieurs jours

D. Des préparations sèches et stériles à dissoudre ou disperser dans un liquide approprié au moment de l’administration

76. Les préparations pour lentilles de contact sont :

A. Des solutions aqueuses stériles, destinées à être instillées ou appliquées au niveau de l’œil

B. Des solutions aqueuses généralement stériles destinées à l’entretien ou à l’application des lentilles de contact

C. Des petits réservoirs destinés à être placés dans le cul-de-sac conjonctival et qui libèrent le PA contenu durant plusieurs jours

D. Des préparations solides ou semi-solides stériles, destinées à être insérées dans le cul-de-sac conjonctival en vue d’une action sur l’œil

77. Les solutions pour lavage nasale sont :

A. Des solutions aqueuses destinées au nettoyage des fosses nasales qui sont isotoniques et qui doivent être stériles en cas d’application sur une partie lésée ou après intervention chirurgicale

B. Des préparations destinées à être instillées ou pulvérisées dans les cavités nasales

C. Des poudres destinées à être insufflées dans la cavité nasale à l’aide d’un dispositif approprié

D. Des préparations de consistance semi-solides destinées à être appliquées dans la nasale.

78. Les formes galéniques destinées à être l’administration par voie pulmonaire sont :

E. Les inhalations

F. Les pommades

G. Les collutoires

H. Les comprimés

79. Concernant des formes galéniques destinées à la voie pulmonaire, les fumigations sont constituées par :79. Concernant des formes galéniques destinées à la voie pulmonaire, les fumigations sont constituées par :

A. Sont constituées par des gaz ou des vapeurs répandus dans l’atmosphère ou dirigées vers une partie malade du corps.

B. Sont constituées par des gaz ou des vapeurs répandus dans la cavité nasale.

C. Sont constituées par des gaz ou des émulsions répandus dans l’atmosphère ou dirigées vers une partie malade du corps.

D. Sont constituées par des gaz ou des poudres répandus dans l’atmosphère ou dirigées vers une partie malade du corps.

80. Le suppositoire est administré par :

E. Voie orale

F. Voie rectale

G. Voie nasale

H. voie IV

81. Les suppositoires sont :

A. Des préparations de consistance solide, contenant chacun une unité de prise d’un ou de plusieurs P.A, adaptés à l’administration par la voie rectale et à s’y liquéfier à la température du corps

B. Des préparations uni-dose solides se présentent comme les capsules à enveloppe molle mais pouvant être recouvertes d’un enrobage lubrifiant

C. Des préparations uni dose liquides destinées à l’administration rectale

D. Des préparations destinées à être appliquées sur la muqueuse rectale en vue d’une action locale

82. Les micro-lavements sont :

A. Des préparations de consistance solide, contenant chacun une unité de prise d’un ou de plusieurs PA.

B. Des préparations de consistance liquide ou semi-liquide contenant des substances émollientes et des P.A purgatifs dissous ou dispersés dans l’eau.

C. Des crèmes, gels ou pommades, destinées à être appliquées sur la muqueuse rectale en vue d’une action plus longue que les suppositoires.C. Des crèmes, gels ou pommades, destinées à être appliquées sur la muqueuse rectale en vue d’une action plus longue que les suppositoires.

D. Des préparations uni doses solides destinées à être introduites dans la partie inférieure du rectum pour une durée limitée.

83. Le volume de solution et dispersion liquide pour usage rectale est compris :

A. entre 5 et 50 ml

B. entre 15 et 250 ml

C. entre 5 et 250 ml

D. entre 10 et 200 ml

84. Les capsules rectales sont :

A. Des préparations uni dose solides se présentent comme les capsules à enveloppe molle mais pouvant être recouvertes d’un enrobage lubrifiant.

B. Des préparations uni-dose liquides destinées à l’administration par voie rectale.

C. Des préparations destinées à être appliquées sur la muqueuse rectale en vue d’une action locale.

D. Des préparations uni doses qui sont dissoutes ou dispersées dans l’eau au moment de l’administration rectale.

85. Le volume et la consistance des ovules sont adaptés à l’administration par voie :

A. orale

B. rectale

C. vaginale

D. nasale

86. Laquelle est la couche plus superficielle de la peau :

A. Derme

B. Epiderme

C. Hypoderme

D. A+B

87. Les formes galéniques destinées à l’application cutanée sont :

A. Des préparations destinées à être appliquées sur la peau, soit pour soigner les blessures, soit pour embellir la peau avec les fards, les onguents et les poudres de beauté.

B. Des solutions présentées soit en ampoules, soit en gouttes, à placer sur un sucre ou encore, de petits comprimés destinés à se dissoudre sous la langue, appelés aussi glossettes.

C. Des préparations liquides, semi-solides ou solides destinées à l’administration dans les cavités nasales en vue d’une action locale ou systémique.

D. Des préparations destinées à être administrées dans les poumons sous forme de vapeurs ou d’aérosols.

88. Concernant de formes galéniques destinées à l’application cutanée, les pommades sont :

A. Des préparations semi-solides de phase unique destinées à être appliquées sur la peau

B. Des préparations multiphase composée d’une phase lipophile et d’une phase aqueuse

C. Des préparations constituées par des liquides gélifiés á l’aide d’agents gélifiants appropriés

D. Des préparations semi-solides contenant de fortes proportions de poudre finement dispersées dans l’excipient.

89. Les pommades lipophiles sont :

A. Des préparations qui ne peuvent absorber que de petites quantités d’eau.

B. Des préparations dont les excipients sont miscibles à l’eau.

C. Des préparations qui peuvent absorber des quantités plus importantes d’eau.

D. Des préparations multiphases composées d’une phase lipophile et d’une phase aqueuse.

90. Les pommades hydrophiles sont :

A. Des préparations qui ne peuvent absorber que de petites quantités d’eau.

B. Des préparations dont les excipients sont miscibles à l’eau.

C. Des préparations qui peuvent absorber des quantités plus importantes d’eau.

D. Des préparations multiphases composées d’une phase lipophile et d’une phase aqueuse.

91. Parmi les propositions suivantes concernant des substances les plus employées pour la formulation de pommade lipophile. Une seule est inexacte :

A. Vaseline

B. Paraffine liquide

C. Glycérides synthétiques

D. Polyéthylène glycol

92. Les crèmes dermiques sont des préparations :

A. Multi phases composées d’une phase lipophile et d’une phase aqueuse.

B. Multi phases composées d’une phase aqueuse et d’une phase gazeuse.

C. monophasé dans lequel peuvent être dispersées des substances huileux.

D. monophasé dans lequel peuvent être dispersées des substances liquides ou solides.

93. Les crèmes hydrophobes sont des préparations dont :

A. La phase externe est la phase lipophile que contiennent des agents émulsions eau-dans-huile

B. La phase externe est la phase aqueuse que contiennent des agents émulsions eau-dans-huile.

C. La phase externe est la phase lipophile que contiennent des agents émulsions huile-dans-eau

D. La phase externe est la phase aqueuse que contiennent des agents émulsions huile-dans-eau

94. Les crèmes hydrophiles sont des préparations dont :

A. La phase externe est la phase lipophile que contiennent des agents émulsions eau-dans-huile

B. La phase externe est la phase aqueuse que contiennent des agents émulsions eau-dans-huile.

C. La phase externe est la phase lipophile que contiennent des agents émulsions huile-dans-eau

D. La phase externe est la phase aqueuse que contiennent des agents émulsions huile-dans-eau

95. Les pâtes dermiques sont :

A. Des préparations semi-solides contenant de fortes proportions de poudres finement dispersées dans l’excipient.

B. Des préparations semi-solides contenant de faibles proportions de poudres finement dispersées dans l’excipient.B. Des préparations semi-solides contenant de faibles proportions de poudres finement dispersées dans l’excipient.

C. Des préparations semi-solides contenant de fortes proportions de sucres finement dispersées dans l’excipient.

D. Des préparations semi-solides contenant de fortes proportions d’huiles végétales dispersées dans l’excipient.

96. Les liniments sont :

A. Des préparations liquides destinées à être appliquée sur la peau lésée, en onctions ou en frictions, afin d’exercer une action locale.

B. Des préparations liquides destinées à être appliquée sur la peau non lésée, en onctions ou en frictions, afin d’exercer une action locale.

C. Des préparations liquides destinées à être appliquée sur la peau non lésée, sans frictions, afin d’exercer une action locale.

D. Des préparations liquides destinées à être appliquée sur la peau saine, sans frictions, afin d’exercer une action locale.

97. Les sparadraps sont :

A. Des articles non médicamenteux destinés à être utilisés pour fixer le matériel de pansement sur la peau.

B. Des articles médicamenteux destinés à être utilisés pour fixer le matériel de pansement sur la peau.

C. destinés à isoler ou à protéger la peau saine ou lésée du milieu externe.

D. destinés à être appliqués sur la peau en vue d’un traitement local.

98. Les emplâtres sont :

A. Des articles non médicamenteux destinés à être utilisés pour fixer le matériel de pansement sur la peau.

B. Des articles médicamenteux destinés à être utilisés pour fixer le matériel de pansement sur la peau.

C. destinés à isoler ou à protéger la peau saine ou lésée du milieu externe.

D. destinés à être appliqués sur la peau en vue d’un traitement local.

28. Les timbres sont :

A. destinés à être appliqués sur la peau afin de mettre en évidence la sensibilité d’un organisme à une substance réactogène.

B. destinés à isoler ou à protéger la peau saine ou lésée du milieu externe.

C. destinés à être appliqués sur de petites lésions cutanées.

D. destinés à isoler ou à protéger la peau saine ou lésée du milieu externe.

99. Les dispositifs transdermiques sont :

A. Des formes pharmaceutiques souples, de dimensions variables, qui servent de support à un ou plusieurs PA pour appliquer sur la peau non lésée, afin d’exercer une action locale.

B. Des formes pharmaceutiques souples, de dimensions variables, qui servent de support à un ou plusieurs PA pour appliquer sur la peau non lésée, afin d’exercer une action générale.

C. Des formes pharmaceutiques souples, de dimensions variables, qui servent de support à un ou plusieurs PA pour appliquer sur la peau lésée, afin d’exercer une action locale.

D. Des formes pharmaceutiques souples, de dimensions variables, qui servent de support à un ou plusieurs PA pour appliquer sur la peau lésée, afin d’exercer une action générale.

100. Les cataplasmes :

A. Se composent d’un excipient hydrophile, rétenteur de chaleur, dans lesquels sont dispersées des substances actives solides ou liquides.

B. Se composent d’un excipient lipophile, rétenteur de chaleur, dans lesquels sont dispersées des substances actives solides ou liquides.

C. Sont des préparations révulsives dont le constituant principal est la poudre de graine de moutarde déshuilée.

D. Sont des préparations révulsives dont le constituant principal est la poudre de graine de moutarde huilée.D. Sont des préparations révulsives dont le constituant principal est la poudre de graine de moutarde huilée.

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