Semio kru saveoun
Cardiology and Diagnosis Quiz
Test your knowledge in cardiology with our comprehensive quiz designed to evaluate your understanding of common cardiac diseases and diagnostic techniques.
This quiz includes:
- Multiple choice questions
- Insights on cardiac conditions
- Challenging scenarios based on real-life clinical cases
Quel est l'élément sémiologique qui permet d'affirmer l'origine cardiaque d'une hépatomégalie ?
Oedème des membres inférieurs
Ascite
Reflux hépatojugulaire
Caractère douloureux
Quelle est la complication évolutive la plus fréquente d'un anévrysme de l'aorte abdominale sous rénale ?
Compression urétérale
Thrombose de l'aorte
Rupture
Fistulisation dans la veine cave inférieure
Parmi les éléments suivants de la sémiologie clinique du rétrécissement mitral, quel est celui qui disparait lorsqu'apparait une arythmie complète par fibrillation auriculaire ?
Eclat du premier bruit
Claquement d'ouverture mitrale
Renforcement présystolique du roulement diastolique
Roulement diastolique
Parmi les propositions suivantes relatives à une insuffisance mitrale importante, une seule est exacte, laquelle ?
Le souffle est à prédominance méso-systolique
Il existe un B3 de remplissage rapide
La pression artérielle diastolique est basse avec pression différentielle élargie
Le VG peut demeurer normal radiologiquement par hypertrophie concentrique
L'une de ces complications ne fait pas partie du tableau de dissection aiguë de l'aorte. Laquelle ?
Hémopéricarde
Insuffisance mitrale aiguë
Hémothorax
Accident vasculaire cérébral
Parmi les examens ci-dessous, lequel n'entre pas dans le bilan de retentissement d'une HTA ?
Fond d'œil
échographie cardiaque
électrocardiogramme
Ionogramme urinaire
Les caractères du frottement péricardique sont les suivants, sauf un. Lequel ?
Superficiel mésocardiaque
Protosystolique et télédiastolique
Doux froissement de la soie
Persiste en apnée
Concernant la douleur de péricardite aiguë, toutes les propositions suivantes sont justes, sauf une. Laquelle ?
La douleur s'accentue volontiers lors des mouvements respiratoires
La douleur peut s'accompagner de troubles du rythme supra-ventriculaires
L'ECG peut montrer des troubles diffus de la repolarisation
La douleur peut s'accompagner d'un frottement péricardique disparaissant en apnée
Parmi les propositions concernant l'infarctus du myocarde chez la personne âgée, laquelle est fausse ?
La défaillance cardiaque est une complication fréquente
La douleur thoracique est la manifestation la plus fréquente
Des nausées et vomissements peuvent être l'expression d'un infarctus du myocarde
Une syncope peut révéler un infarctus du myocarde
Quelle est la proposition ne concerne pas le souffle d’insuffisance mitrale ?
Siège à la pointe et irradie habituellement vers l’aisselle
Peut irradier préférentiellement vers le bord gauche du sternum et vers le haut
Débute habituellement dès le 1er bruit
Est proportionnel à l’intensité de la régurgitation
Au cours de l’insuffisance ventriculaire gauche (quelques soit la cause), l’auscultation cardiaque permet de retrouvée :
Une tachycardie avec souffle systolique de pointe
Un bruit intense diastolique
Un souffle diastolique de pointe
Un souffle diastolique d’insuffisance aortique fonctionnelle
Le facteur de risque cardio-vasculaire, accessibles à une prévention primaire, comporte:
L'hérédité
Le génétique
L'hypercholestérolémie
Le sex et l’âge
L’orthopnée : Survient à l'orthostatisme
Survient à l'effort
Survient en décubitus
Est un signe d'insuffisance cardiaque droite
Peut s'accompagner une hyperthermie majeure
Une signe ne caractère pas les symptômes de l’œdème aigu pulmonaire, laquelle ?
La dyspnée avec bradypnée expiratoire
L'orthopnée
E grésillement laryngé et la toux
L'expectoration mousseuse rosée saumonée
Devant la découverte d'une masse abdominale sus-ombilicale, l'existence d'un anévrisme de l'aorte sera suspectée devant:
Le caractère douloureux de cette masse
Le caractère battant et/ou expansif de cette masse
Le caractère palpable et impossible de compression
La perception d'un "thrill"
L'hépatomégalie de l'insuffisance cardiaque :
Est dure avec une surface irrégulière
Est lisse et douloureuse à la palpation
Est totalement indolore à la palpation
Est généralement associée à une vésicule palpable
Monsieur X, 70 ans, consulte pour gêne douloureuse à la marche. Depuis 3 mois, il s'arrête au bout de 300 m à cause de sa jambe droite, il se repose quelques minutes et repart sans problème. Dans ses antécédents, on note tabagisme à 50 paquets-années, hypercholestérolémie non traitée, hypertension artérielle traitée. Cliniquement : poids: 90 kilos pour 1 m71, tension artérielle = 140/80 mmHg, pouls = 87/minute. Souffle systolique fémoral droit, abolition des pouls pédieux droit, tibiaux postérieurs. Le reste de l'examen, en particulier neurologique et abdominal est normal.Quel est le diagnostic clinique de ce patient?
Claudications médullaires
Claudications vasculaires
Arthrite de la jambe droite
Sciatique de jambe droite
Monsieur X., 65 ans, consulte pour asthénie avec dyspnée d'effort. Antécédents: Soins dentaires il y a sept mois. Souffle holosystolique intense, apexoaxillaire 3/6°, en jet de vapeur, avec perception d'un B3 (protodiastolique) endapexien. La tension artérielle est à 110/80 mmHg. Le reste de l'examen est normal.Quel diagnostic clinique évoquez-vous de ce patient?
Insuffisance mitrale
Rétrécissement mitrale
Insuffisance aortique
Rétrécissement aortique
Une femme de 42 ans est hospitalisée pour dyspnée d'effort et dyspnée paroxystique nocturne. Cette dyspnée s'est installée insidieusement sur deux ans, mais s'est rapidement aggravée la semaine passée, avec épisodes d'orthopnée nocturne. Cette femme n'a pas d'antécédents pathologiques. Auscultation : souffle diastolique en écharpe 4/6°, souffle systolique endapexien éjectionnel 2/6°, troisième bruit à l'endapex. Hyperpulsatilité artérielle périphérique, tension artérielle = 130/60 mmHg, pouls = 88/mn, apyrexie.Quel diagnostic clinique évoquez-vous ?
Insuffisance mitrale
Rétrécissement mitrale
Insuffisance aortique
Rétrécissement aortique
Monsieur V., 72 ans, consulte en cardiologie pour chute dûe à une perte de connaissance à l'effort. Quel diagnostic clinique évoquez-vous ?
Insuffisance mitrale
Rétrécissement mitrale
Insuffisance aortique
Rétrécissement aortique
Un patient de 75 ans est admis aux urgences médicales pour une douleur thoracique brutale constrictive avec sensation de déchirure irradiant dans le dos survenue 3 heures auparavant. Ces antécédents sont marqués par : Un tabagisme chiffré à 24 paquets/année, Un diabète non insulino-dépendant traité par metformine. Une hypertension artérielle traitée par une quadrithérapie associant : diurétique de l’anse, anticalcique, inhibiteur de l’enzyme de conversion et bétabloquant, Une fracture du col fémoral ayant nécessité une ostéosynthèse "clou-plaque" en 1995. La taille est de 189 cm pour 95 kg. La tension artérielle est de 210 /125 mmHg et la fréquence cardiaque est chiffrée à 78/min. L’auscultation cardio-pulmonaire est normale. Les pouls périphériques sont absents en fémoral.Quel diagnostic clinique évoquez-vous ?
Dissection aortique
Infarctus du myocarde (IDM)
Embolie pulmonaire
Péricardite
Mr R, 66 ans, est une patiente diabétique non insulino-dépendante et hypertendue. Dans ses antécédents, on retient une néphropathie diabétique et un infarctus du myocarde vu tardivement il y a 4 ans. Elle signale depuis quelques mois des douleurs thoraciques antérieures constrictives sur quelques minutes et irradiation au mâchoire et bras gauche.Quelle hypothèse diagnostique pouvez-vous formuler devant ce tableau clinique ?
Douleurs d'origine cardiaque : Angor
Douleurs d'origine digestive : spasme œsophagien reflux gastro-œsophagien
Douleurs pariétales
Douleur d’origine pulmonaire
Mme G est âgé de 56 ans. Elle pèse 85 kg pour 165 et observe des œdèmes des membres inférieurs de plus en plus importants en fin de journée alors que selon elle ses jambes dégonflent franchement le matin. On lui connaît un artériopathie des membres inférieurs non évolutive actuellement avec un périmètre de marche à 150 mètres. L’examen neurologique des membres inférieurs objective une aréflexie aux membres inférieurs, des troubles de la sensibilité et sans atteinte motrice nette. Brutalement elle se plaint d’une douleur aiguë du pied gauche. Celui-ci apparaît blanc et froid. La patiente est non fébrile.Quel est votre diagnostic ?
Ischémie aigue de jambe
Sténose athéromateuse complétée
Sténose athéromateuse non complète
Thrombophlébite
Le quadrant supérieur droit de l’abdomen est :
Flanc droit
L’hypochondre droit
La fosse iliaque droite
L’hypogastre
La région épigastrique est:
Située dans la partie centrale haute de l’abdomen
Située dans la partie centrale base de l’abdomen
La région où sont localisés les reins
Une séparation entre les 2 fosses iliaques : la droite et la gauche
La douleur pancréatique :
Est localisée dans la région hypogastrique
Est épigastrique projette dans l’organe génital externe
Est initialement épigastrique, transfixiante et projette dans le dos
Peut irradier vers l’épaule droite
La dysphagie du cancer de l’œsophage :
Est brutale et concerne d’abord les aliments solides puis les liquides
Est progressive et concerne d’abord les aliments solides puis les liquides
Est douloureuse et concerne les aliments solides
Est douloureuse et concerne les aliments liquides chauds
La dysphagie de l’œsophagite :
Constante
Ne s’associe pas à un pyrosis
Est intermittente
Est progressive
Le pyrosis :
Est une brûlure épigastrique, déclenchée par les changements de position
Est une douleur qui irradie vers la région hypogastrique
Les changements de position n’est pas déclenché la douleur.
Peut se manifester par des douleurs abdominales
La douleur gastrique ou duodénale :
Siège dans l’hypocondre gauche
Siège épigastrique transfixiante et projette dans le dos
Est habituellement sans irradiation et calmée par le bol alimentaire
Est soulagée par l’antéflexion du buste
Quelle est la proposition qui ne concerne pas la douleur de colique hépatique ?
Est à type de décharge électrique
Siège dans l’hypochondre droit dans 1/3 des cas
Irradie vers l’épaule droite
Irradie en hémi-ceinture vers le flanc droit
L’ictère à bilirubine conjuguée se caractérise par:
S’associe à des urines claires, des selles très colorées
S’associe à des urines foncées, des selles décolorées et peut-être lié à un obstacle hépatique
S’associe à des urines claires et hémolyse
S’associe à des selles décolorées et non prurit
Quelle est la proposition qui ne concerne pas l’obstruction des voies biliaires extra-hépatiques ?
Se manifeste par un prurit
Ne s’associe pas à un ictère
Peut s’accompagner de fièvre
S’associe parfois à une hépatomégalie importante
Quelle est la proposition qui ne concerne pas l’hypertension portale ?
Peut se manifester par une circulation veineuse collatérale abdominale
Peut s’associer à une splénomégalie
Peut traitée par des médicaments anti-hypertenseurs
Peut s’accompagner de varices œsophagiennes
L’ascite :
Est un épanchement liquidien extra-péritonéal
Est due à une insuffisance cardiaque gauche
Entraine l’apparition d’une matité abdominale déclive
Peut-être à l’origine d’un signe du glaçon négatif
Au cours de l’encéphalopathie hépatique :
On peut constater une flexion-extension des poignets et des articulations métacarpo-phalangiennes
L n’y a jamais d’asterixis
Coma avec signes de localisation
Il n’existe pas une hypertonie extra-pyramidale
La diarrhée:
Est définie par l’augmentation du nombre de selles par jour
Est définie par l’augmentation du poids des selles journalier
La selle doit être liquide
Est aiguë si elle dure moins de trois jours
Lors de l’occlusion de l’intestin grêle :
Les douleurs abdominales sont rapidement progressives
L’arrêt des matières et des gaz est toujours précoce
Le tympanisme est latéral
Le ventre est distendu
Quelles sont les affirmations exactes concernant la douleur colique ?
Elle est de siège ombilical
Elle est soulagée par l’émission de selles et/ou de gaz
Elle est déclenchée par l’émission de gaz
Elle peut être soulagée par le repas
Les bruits hydro-aériques :
Reflètent le péristaltisme abdominal
Sont détectés par la percussion
Peuvent être nombreux en cas d’ischémie mésentérique
Sont peu nombreux en cas de diarrhée motrice
Quel est le signe clinique qui n’existe pas dans le syndrome de reflux gastro-œsophagien?
Pyrosis
Signe du lacet (postural)
Toux nocturne de décubitus
Défense épigastrique
Chez l'adulte jeune la cause la plus fréquente de syndrome clinique de sténose du pylore est:
Le cancer gastrique
L'ulcère duodénal
L'hypertrophie du pylore
L'ulcère gastrique
Parmi les propositions suivantes, citer celle qui évoque la douleur d'un ulcère duodénal:
Epigastrique, à type de crampe, calmée par l'alimentation
Epigastrique, à type de brûlure
Déclenchée par l'alimentation
Post-prandiale précoce
Quelle est la proposition ne concerne pas la douleur d'un syndrome ulcéreux:
Siège épigastrique
Type de crampe
Survient à distance des repas
Aggravée par l'alimentation
Quelle est la complication possible de l'ulcère bulbaire?
Hémorragie digestive haute
Ictère obstructif
Occlusion intestinale
Pancréatite
L’étiologie de vomissement chronique est :
Insuffisance rénale aiguë
Réflexes (occlusion, péritonite, pancréatite, …)
Psychogène, sténose digestive non dérivée
Reflux gastro-oesophagiene
Parmi les propositions suivantes, laquelle ne s’applique pas au syndrome dysentérique ?
Selles: glaires, sang, pus
Incubation: quelques heures
Douleurs: intense
Mécanisme: invasif
Madame C., 29 ans, sans antécédents connus, consulte à midi aux urgences en raison de douleurs épigastriques survenues depuis ce matin à six heures. Ces douleurs sont continuées, sans paroxysme, accompagnées de vomissements alimentaires peu abondants.Quelle est votre hypothèse diagnostique ?
Ulcère gastro-duodénal
Cholécystite aiguë
Occlusion aiguë haute du grêle
Infarctus mésentérique
Monsieur H. T., 60 ans, éthylique notoire et grand tabagique (50 paquets/année), consulte en raison d'un amaigrissement majeur (-12 kg en 3 mois) et d'une difficulté à avaler les aliments. Ce qui était une simple gêne au début, il y a 4 mois, s'est progressivement aggravé, actuellement seuls les aliments liquides passent. Le reste de l'examen clinique est normal.Quelle est votre principale hypothèse diagnostique ?
Cancer de l'œsophage
L’œsophagite
Tumeur du larynx
Sténose de l’oesophage
Monsieur T., 45 ans, sans antécédents connus, consulte en raison d'une diarrhée apparue il y a 4 mois et qui s'est progressivement aggravée. Elle est actuellement post-prandiale très précoce, faite de selles impérieuses, fécales et homogènes. Le patient a quelquefois constaté des débris alimentaires. II n'a pas maigri. Le poids quotidien des selles est de 350 g.Quel est votre diagnostic?
Diarrhée chronique de type motrice
Diarrhée chronique de type malabsorptive
Diarrhée chronique de type osmotique
Diarrhée chronique de type sécrétoire
Madame A., 75 ans, est hospitalisée en raison d'un tableau douloureux abdominal aigu. Ses antécédents sont marqués par une colopathie fonctionnelle chronique, qui s'est récemment aggravée. L'interrogatoire retrouve une perte pondérale de 6 kg au cours de ces derniers mois. Lors de l'admission la veille, la patiente présentait des douleurs abdominales diffuses et un volumineux météorisme en cadre, animé de mouvements péristaltiques. La patiente n'a pas vomi, mais présente un arrêt total des gaz depuis 24 heures. Les orifices herniaires sont libres et le toucher rectal est normal.Quelle est votre hypothèse diagnostique principale ?
Occlusion du grêle par strangulation
Occlusion du grêle par obstruction
Occlusion du côlon par obstruction (cancer du côlon)
Occlusion du colon par volvulus
Cet homme de 50 ans consulte pour une diarrhée chronique, installée depuis 4 mois.Comment affirmez-vous le diagnostic de diarrhée chronique ?
Diarrhée poids de selles > 300 grammes / jour et chronicité > 3 semaines
Diarrhée poids de selles > 300 grammes / jour et chronicité > 3 jours
Diarrhée poids de selles > 300 milligrammes / jour et chronicité > 3 semaines
Diarrhée poids de selles > 300 grammes / jour et chronicité < 3 semaines
Mme. R., 52 ans, consulte pour augmentation de volume de l'abdomen, installée sur 2 mois, d'apparition progressive. L'examen clinique vous confirme par :Inspection : augmentation de volume de l'abdomen, Palpation : signe du flot et signe du glaçon, Percussion : matité déclive.Sur le plan sémiologique cité au-dessus, quelle est votre hypothèse diagnostique principale ?
Obésité abdominale
Tumeur abdominale
Ascite
Myome utérin
A quelle étiologie penserez-vous en premier chez un fumeur qui tousse de façon chronique depuis plusieurs mois et qui vient de présenter des crachats hémoptoïques ?
Tuberculose pulmonaire
Aspergillome
Embolie pulmonaire
Cancer broncho-pulmonaire
La vomique :
Est l'évacuation dans les bronches d'une collection purulente et fétide
Est le plus souvent fractionnée et odeur normal
Se voit dans les dilatations des bronches non compliquées
Est le signe fonctionnel majeur de cancer pulmonaire
Quelle est la proposition ne caractère pas d'une expectoration de maladie bronchectasiante:
Aspect muco-purulent persistant
Expectoration quotidienne dans 60 ml/jour ou plus
Expectoration observée depuis plusieurs années
Expectoration récent avec épisodes hémoptoïques
L'auscultation pulmonaire révèle chez un sujet âgé de 50 ans dont la plainte fonctionnelle essentielle est la dyspnée, des râles crépitants. Ceci peut évoquer :
Un œdème aigu du poumon
Un asthme allergique
Un emphysème primitif
Un pneumothorax
Une jeune femme sans antécédents a des crises d'essoufflement en dehors de l'effort avec des difficultés pour inspirer à fond et une perception de sifflements respiratoires aux 2 temps. Ces crises régressent spontanément en quelques heures. Hypothèses ?
Vous éliminez d'emblée un asthme à cause du caractère inspiratoire de la dyspnée
Il peut s'agir d'une dyspnée laryngée
Un œdème aigu du poumon
Il peut s'agir d'un pneumothorax compressif
Parmi les affections cardio-respiratoires suivantes, laquelle peut provoquer une dyspnée avec des râles sibilants audibles à l'auscultation ?
Asthme
Insuffisance ventriculaire droite
Bronchopneumonie
Fibrose interstitielle chronique
Devant une hémoptysie isolée de faible abondance, un seul des examens suivants doit faire partie du bilan réalisé en première intention. Lequel?
Artériographie bronchique
Exploration fonctionnelle respiratoire
Fibroscopie bronchique
Bronchographie
Les hémoptysies graves peuvent avoir pour origine:
Une bronchite aiguë virale
Un rétrécissement mitral minime
Un cancer bronchique avec envahissement vasculaire
Une tuberculose pulmonaire
Concernant la cyanose, il est exact que:
Elle apparaît une hémoglobine réduite supérieure à 5 g/100 ml dans le sang capillaire
Elle est majorée par une alcalose
Elle est majorée par une anémie
La cyanose créée par un shunt droit-gauche peut être corrigée par l'oxygénothérapie
Un pneumothorax est mal supporté si:
Il survient chez un adulte jeune
Il est « à soupape »
Il existe unilatérale et de petite abondante
Il s'agit d'une récidive
Toutes les signes cliniques suivantes concernant le pneumothorax bénin spontané, sauf une, laquelle ?
Toux
Expectoration
Dyspnée
Douleur
Vous évoquez cliniquement une pleurésie sur :
Augmentation des vibrations vocales
Pincement des espaces intercostaux
Matité
Augmentation du murmure vésiculaire
Vous suspectez une pleurésie abondante devant :
Matité hémithoracique
Abolition des vibrations vocales
Frottements pleuraux
Souffle pleurétique
Lors d'une pleurésie séro-fibrineuse de la grande cavité, on ne retrouve pas à l'examen clinique :
Une abolition du murmure vésiculaire
Un souffle amphorique
Une abolition des vibrations vocales
Une immobilité de l'hémi-thorax
Le liquide d'une pleurésie liée à une insuffisance ventriculaire gauche, contient :
De nombreux polynucléaires neutrophiles altérés
Un taux élevé d'acide hyaluronique
Un taux élevé d'amylase
Un taux de protéines inférieur à 30 g/litre
Chez un malade sans domicile fixe, âgé de 27 ans, alcoolo-tabagique, ayant fait une tuberculose deux ans auparavant, dont il garde des séquelles radiologiques, la survenue d'une hémoptysie de sang rouge doit faire rechercher :
Un cancer broncho-pulmonaire
Une fibrose interstitielle
Un aspergillome
Un rétrécissement mitral
En faveur d'une pleurésie d'origine tuberculeuse, on ne retient pas:
Fièvre à 38 degrés depuis plusieurs jours
Liquide séro-fibrineux pauvre en albumine
Présence de 80% de lymphocytes dans le liquide pleural
Notion d'un virage récent des réactions cutanées à la tuberculine
Une pleurésie séro-fibrineuse avec un taux de protides supérieur à 30 g/l peut résulter:
D’un syndrome néphrotique
D’une pancréatite
D'une cirrhose avec ascite
D'une tuberculose pleurale
Un taux très élevé d'acide hyaluronique dans le liquide pleural fait suspecter:
Une maladie de Hodgkin
Un mésothéliome pleural malin
Une pleurésie secondaire à une embolie pulmonaire
Une métastase pleurale d'un cancer gastrique
Quelles sont les affections sous diaphragmatiques n’occasionne pas la pleurésie ?
Cirrhose du foie en décompensation
Abcès sous phrénique
Tumeur bénigne de l'ovaire
Ulcère duodénal non compliqué
Un homme de 55 ans est admis pour des crachats hémoptoïques. Le patient souffre d’une douleur localisée de la base droite du poumon et d’une dyspnée d’effort de stade III. La douleur est majorée par l’inspiration profonde. L’examen clinique retrouve une TA à 120/80, un pouls à 118/mn, une fréquence respiratoire à 24/mn, une température à 38,2°C. Le poids est de 105 kg pour une taille de 1,62 m. Une diminution du murmure vésiculaire à l’auscultation de la base droite. Il n’existe pas de râles crépitant ou sibilants. L’auscultation cardiaque ne retrouve pas de bruit anormal.Quel est votre diagnostic le plus probable devant ce patient ?
Tuberculose pulmonaire
Embolie pulmonaire
Pneumonie de la base droite du poumon
Maladies mitrales
Une patiente de 68 ans est admise pour détresse respiratoire. L’histoire de la maladie a débuté il y a 2 jours par un tableau pseudo-grippal associant asthénie et myalgies et la température à 37,8°C. L’examen clinique note des crépitant à la base droite. Elle ne prend pas de traitement, hormis le paracétamol actuellement.Quel diagnostic clinique le plus probable évoquez-vous ?
Embolie pulmonaire
Bronchopneumonie
Pneumonie
Œdème aiguë du poumon
Un homme de 45 ans est amené par sa femme pour une fièvre et une toux persistante. Il est fumeur (25 paquets année) et gros buveur. Il a été splénectomisé il y a 3 ans suite à un accident de la voie publique. Les premiers symptômes auraient débuté il y a 72 heures avec l’apparition brutale d’une douleur basi-thoracique gauche. Le patient est par ailleurs asthénique depuis plusieurs semaines. A l’examen, le patient est pâle, couvert de sueurs et présente une toux grasse avec expectoration blanchâtre. La fréquence cardiaque est à 115/min, la pression artérielle à 100/ 65 mmHg, la fréquence respiratoire à 26/min et la température à 39,5 °C. L’examen pulmonaire révèle une matité de la base gauche et à l’auscultation des crépitant et un souffle tubaire de la partie inférieure du champ pulmonaire gauche. Le murmure vésiculaire est diminué dans cette zone. Les autres appareils sont normaux.Quel diagnostic clinique le plus probable évoquez-vous ?
Embolie pulmonaire
Bronchopneumonie
Pneumonie
Pleurésie du poumon gauche
Un homme de 65 ans, alcoolo-tabagique (consommation de tabac évaluée à 40 paquets années), admis en raison de la survenue d’hémoptysies à répétition et d’une altération de l’état général. Il est apyrétique et non dyspnéique.Quel diagnostic clinique le plus probable évoquez-vous ?
Tuberculose pulmonaire
Dilatation des bronches
Cancer bronchique
Rétrécissement mitrale
Mme G., 27 ans, consulte pour douleurs basithoraciques gauches augmentant à l'inspiration profonde, accompagnées d'une toux sèche survenant principalement aux changements de position (qui déclenchent par ailleurs la douleur). Cette symptomatologie est apparue depuis trois jours. L'examen clinique retrouve un syndrome d'épanchement liquidien de la plèvre remontant à mi-hauteur du champ pulmonaire gauche.Quels sont les éléments de l'examen physique d'un syndrome d'épanchement liquidien de la plèvre ?
Augmentation des vibrations vocals
Matité déclive mobile avec les changements de position du malade
Augmentation du murmure vésiculaire
Frottement pleural (va et vient) apparaissant en apnée
M. H., 42 ans, consulte pour toux, dysphonie et altération de l'état général. De ses antécédents, on retient un tabagisme à 30 paquets-années non arrêté. Il y a deux mois, l'apparition d'une asthénie invalidante, et d'un amaigrissement de quatre kilos (actuellement 51 kilos pour 1 m 67). Ensuite s'est installée une toux sèche de plus en plus fréquente, et enfin depuis une semaine environ une voix bitonale. L'examen clinique trouve une adénopathie sus claviculaire gauche dure indolore fixée de 2 cm de diamètre. La palpation cervicale est normale.Quel est le diagnostic le plus probable?
Tuberculose pulmonaire
Carcinome broncho-pulmonaire
Dilatation des bronches
Bronchite chronique
M. D., 51 ans, non-fumeur, consulte aux urgences pour ce tableau installé depuis ce matin avec toux grasse, expectoration purulente, douleurs thoraciques et fièvre à 39°C. II n'a aucun antécédent particulier. L'examen pulmonaire retrouve un foyer pulmonaire gauche avec une matité localisée, des râles crépitants, une abolition du murmure vésiculaire et une augmentation des vibrations vocales.Quel est votre diagnostic?
Pneumonie
Pneumothorax
Pleurésie
Bronchite aiguë
Mme R., 23 ans, consulte pour expectoration chronique. Celle-ci existe depuis l'enfance, est surtout matinale, mucopurulente, d'abondance variable, et a longtemps été négligée par la patiente et son entourage. II existe également une toux grasse chronique prédominant le matin. A noter une dyspnée aux efforts inhabituels (tennis, course à pied), ne la gênant pas dans la vie quotidienne.L'auscultation retrouve des râles bronchiques aux deux bases pulmonaires. Le reste de l'examen clinique est normal en dehors d'un hippocratisme digital. La température est normale.Dans ses antécédents, on note de nombreuses bronchites trainantes hivernales dans les suites d'infections rhinopharyngées, un tabagisme à 4 paquets années.Quel est votre diagnostic?
Asthme
Bronchite chronique
Dilatation des bronches (DDB)
Cancer broncho-pulmonaire
Mr. T, 61 ans, consulte aux urgences pour une douleur thoracique aiguë apparue depuis 2 heures. II ne fume pas, ne boit pas d'alcool et est retraité. La douleur est latérothoracique gauche, prédomine à la base, n'irradie pas, et augmente avec l'inspiration profonde, les mouvements et la toux. La fréquence respiratoire est à 24/mn. II n'y a pas de cyanose, ni d'expectoration. II n'existe pas d'autre signe fonctionnel. A l'examen clinique, la tension artérielle est à 100/60 mmHg, le pouls à 115/mn, la température à 37,6° C. Le reste de l'examen est normal, mais il est très angoissé.Quel est votre diagnostic?
Péricardite aiguë
Embolie pulmonaire
Dissection aortique
Pneumothorax
M. G., 54 ans, est hospitalisé en urologie pour prostatectomie radicale en raison d'un adénocarcinome prostatique non métastasé. II n'a aucun antécédent médicochirurgical particulier. L'intervention se déroule sans difficultés, et est entourée d'une prophylaxie par héparine de bas poids moléculaire (Enoxaparine/Lovenox (0,4 ml/jour en sous cutané).Au 4ème jour, alors qu'il est toujours alité, il se plaint brutalement d'une douleur basithoracique bilatérale, à type de coup de poignard avec polypnée superficielle à 21/mn. L'examen clinique est normal en dehors d'une tachycardie à 125/mn, d'une turgescente jugulaire (TJ) et d'une hépatomégalie régulière douloureuse donnant un reflux hépato-jugulaire (RHJ). La tension artérielle est à 100/60 mmHg (150/80 mmHg en préopératoire), la température à 37,4C.Quel est le principal diagnostic à évoquer?
Embolie pulmonaire grave
Insuffisance cardiaque chronique
Pneumonie post-opératoire
Pneumothorax
M. N., 65 ans, retraité, consulte pour fièvre à 39° C depuis 2 jours avec toux sèche, céphalées, diarrhée et douleurs abdominales diffuses. On note dans ses antécédents un tabagisme à 30 paquets-années compliqué de bronchite chronique simple.A l'examen : asthénie, température à 38°9 C, pouls à 80/mn, tension à 140/80 mmHg. Auscultation pulmonaire : râles bronchiques diffus avec quelques crépitants à la base droite. Abdomen souple, indolore à la palpation.Quel diagnostic évoquez-vous?
Diarrhée aiguë infectieuse
Syndrome grippale
Bronchite aiguë
Pneumonie
M. R., 51 ans, consulte pour douleurs thoraciques chroniques. Les douleurs sont apparues depuis deux mois, sans facteur déclenchant particulier, elles augmentent aux changements de position, à l'inspiration profonde ainsi qu'à la toux. Elles sont plutôt localisées à l'hémithorax droit, sont devenues progressivement insensibles au paracétamol. Les changements de position entrainent une toux sèche. II n'y a pas de fièvre, de tachycardie. L'examen clinique met en évidence une matité de la base pulmonaire droite concave en haut et en dedans avec abolition des vibrations vocales et du murmure vésiculaire. La matité est mobile avec les changements de position du malade. Le reste de l'examen clinique est normal.Quel est votre diagnostic?
Syndrome d’épanchement pleural droit
Pleurésie droite
Pneumothorax droite
Pneumonie droite
M. G., 31 ans, consulte pour altération de l'état général avec asthénie, anorexie, amaigrissement (perte de 5 kilos en trois mois), et dyspnée d'effort depuis trois mois. II présente par ailleurs des sueurs nocturnes. II n'a pas d'antécédent connu. Dans son entourage, il n'a pas remarqué de personne malade. A l'examen, la température est à 38,2° C, le pouls à 80/mn, la tension artérielle à 130/75 mmHg. On palpe une adénopathie cervicale basse droite indolore, mobile, de 2 cm de diamètre. L'auscultation pulmonaire présente le râle crépitant du sommet droit.Quel diagnostic principal pouvez-vous évoquer?
Maladie de Hodgkin
Tuberculose pulmonaire
Cancer broncho-pulmonaire
Adénite cervicale
Mme C, 32 ans, consulte pour fièvre à 39°C depuis 3 jours, anorexie et grande asthénie. La fréquence respiratoire est à 22/min, la tension artérielle à 110/850 mmHg et le pouls à 96/min. Elle tousse mais ne crache pas. L’auscultation pulmonaire met en évidence un foyer de râles crépitants de la base droite. L’examen neurologique est normal. La radiographie pulmonaire montre une opacité systématisée du lobe inférieur droit avec un bronchogramme aérien.Quel est votre diagnostic ?
Pneumonie tuberculose
Pneumonie bactérienne
Pneumonie virale
Bronchopneumonie
Les propositions suivants concernant les lombalgies sont justes, sauf une, laquelle?
Douleurs à type de pesanteur, continues ou intermittentes et siégeant au niveau des fosses lombaires
Souvent elles irradient vers la vessie et les organes génitaux externes.
Les changements de position et les efforts soulagent la douleur
Le réveil ou l’exacerbation de la douleur par la palpation de la fosse lombaire
Les douleurs périnéales sont situées en arrière des bourses, et sont en rapport avec les propositions suivants sauf une laquelle?
La prostatite aiguë
La prostatite chronique
Le cancer de la prostate
Une pathologie uretère
Les douleurs de type brûlures mictionnelles sont justes, sauf une, laquelle?
Sensation de cuisson au niveau de l’urètre lors de l’écoulement des urines
Elles peuvent être per ou post mictionnelles,
Elle témoigne d’une inflammation du bas appareil (vessie, urètre)
Elle témoigne d’une inflammation de toutes les voies urinaires
Des œdèmes des paupières le matin et des membres inférieurs le soir :
Orientent vers une thrombose cave inférieure
Evoque un syndrome néphrotique
Evoque un lymphœdème
Evoque insuffisance cardiaque
Quel examen radiologique demander pour affirmer le diagnostic de colique néphrétique et sa cause au moment de la crise ?
Echographie rénale
Urographie intraveineuse
Urétéropyélographie rétrograde
Scintigraphie rénale
La bandelette urinaire permet de dépister :
Un syndrome néphrotique
Une protéinurie de Bence Jones
Une urétrite
Un cancer de la vessie
Une hématurie peut être d'origine glomérulaire :
Si on retrouve des cylindres hématiques
Si on retrouve des cristaux urates
Si les hématies sont les formes normales
Si on retrouve des caillots dans les urines
Un syndrome néphrotique pur retrouve :
Une protéinurie à « +++ » à la bandelette urinaire (BU)
Une hématurie
Des cylindres hématiques
Une HTA
Un homme de 45 ans ayant des douleurs violentes du flanc droit sans dysurie ni hématurie présente lors d'un examen d'urines 5 à 10 globules rouges par champ. L'examen diagnostic le plus approprié est :
Une échographie
Une urétéropyélographie rétrograde
Une urographie intraveineuse
Une échotomographie
Parmi les propositions concernant le diagnostic et le traitement d'une anurie post-rénale, une est incorrecte laquelle ?
La douleur lombaire devient constante
La néphrostomie peut être nécessaire
Si aucun calcul n'est mis en évidence à la radio, le rein controlatéral doit être exploré
Le drain de néphrostomie doit-être gardé si l'insuffisance rénale persiste
Une femme de 60 ans est admise pour une hématurie sans douleur. Pour confirmer ou infirmer le diagnostic de cancer de vessie, quel est l'examen le plus indiqué ?
Une cystoscopie
Une échographie abdominale et pelvienne
Une urographie intraveineuse
Une pyélographie rétrograde
Un sujet de 17 ans, sujet aux amygdalites, se présente à la consultation avec un visage bouffi et un léger œdème malléolaire. L'examen clinique montre en outre une pression artérielle à 155/105 mm de mercure. Dans le sang, les antistreptolysines sont à 600 unités, la créatinine à 220 micromol/l. A la cytologie urinaire une hématurie abondante d'origine glomérulaire avec de nombreux cylindres. La protéinurie est à 2 g/24 h. Il s'agit de :
Syndrome néphrotique pur
Insuffisance rénale chronique
Glomérulonéphrite post-streptococcique
Une tumeur du rein
Un sujet de 43 ans à présenter à trois reprises une hématurie macroscopique importante. La dernière a duré trois jours avec des douleurs modérées lombaires gauches. Il n'y a pas de protéinurie. Une urographie intraveineuse, faite il y a deux ans, est normale. L'échographie montre un gros pôle inférieur du rein gauche sans cône d'ombre. Vous évoquez prioritairement :
Glomérulonéphrite subaiguë
Néphrite tubulaire toxique
Cancer du rein
Lithiase pyélique
A plusieurs reprises, l'hématurie macroscopique a revêtu un caractère terminal. Ce caractère évoque surtout :
Une origine rénale haute
Une glomérulonéphrite hématurique
Une tumeur du rein
Une cause vésicale
Une femme de 30 ans, sans antécédents, présente une douleur brutale de la fosse iliaque droite et du flanc droit, avec nausées, une fébricule à 38°C, sans trouble mictionnel. Vous l'examinez. Bien que n'ayant pas de valeur spécifique, quel signe évoque une colique néphrétique ?
Douleur au toucher pelvien
Douleur au point urétéral moyen droit
Ebranlement non douloureux lombaire droit
Défense abdominale droite
Un homme de 58 ans commerçant, présente une hématurie microscopique et macroscopique à trois reprises. La créatininémie est à 198 micromoles/l. La pression artérielle est élevée, il y a des œdèmes et une protéinurie à ++++. Il y a un an, bilan de santé normal. Vous évoquez prioritairement :
Glomérulonéphrite
Thrombose veineuse rénale
Cancer du rein
Tuberculose vésicale
Mlle S., 28 ans, consulte aux urgences pour hyperthermie. Elle évolue depuis 24 heures environ, et s’accompagne de frissons. Vous retrouvez une douleur de l’angle costo-vertébral droit et des brûlures mictionnelles. La température est à 38,6°C. Le reste de l’examen clinique est sans particularité. Notamment, l’état circulatoire est normal.Quel diagnostic clinique évoquez-vous ?
Pyélonéphrite aiguë droite
Appendicite aiguë
Cholécystite
Abcès psoas
Madame T, 24 ans, consulte en raison de brûlures mictionnelles et de pollakiurie depuis 2 jours. Elle est apyrétique, l'abdomen et les fosses lombaires sont souples et indolores. L'examen gynécologique ne retrouve aucune anomalie, comme le reste de l'examen clinique.Quel est votre diagnostic clinique le plus probable?
Pyélonéphrite aiguë
Cystite aiguë
Urétrite aiguë
Prostatite aiguë
Mlle O., 24 ans, consulte aux urgences pour lombalgies droites apparues depuis 12 heures.L'examen clinique retrouve des lombalgies droites, sans contact lombaire, ni souffle. L'examen gynécologique est normal. Elle n'est pas nauséeuse. Son transit abdominal est normal. Elle ne se plaint ni de pollakiurie ni de brulures mictionnelles ni de dysurie. La température est à 39,9° C, la TA à 120/70 mmHg, le pouls à 115/mn.Quel est votre diagnostic?
Abcès péri-néphrétique
Abcès psoas
Pyélonéphrite
Colique néphrétique droite
Madame A., 32 ans, sans antécédents pathologiques, consulte en raison d'une asthénie importante installée en une dizaine de jours, associée à des œdèmes des membres inférieurs bilatéraux, symétriques, blancs, mous et prenant le godet, avec une prise de poids de 4 kg. La température est de 37,8° C, la tension artérielle de 170/95 mmHg (elle est habituellement de 120/70 mmHg). Les urines sont peu abondantes (400 à 500 cc/j depuis quelques jours), foncées. Les examens biologiques retrouventProtidémie : 68 g/L; protéinurie: 2,5 g/24 h; hématurie : 100000/mn; leucocyturie : 1000/mn. Le culot urinaire retrouve des cylindres hématiques.Quel est votre diagnostic?
Syndrome néphritique aiguë
Syndrome néphrotique pur
Syndrome néphrotique impur
Glomérulonéphrite aiguë
Madame D. C., 45 ans, sans antécédents pathologiques, consulte en raison de l'apparition depuis une dizaine de jours d'œdèmes des membres inférieurs, bilatéraux, symétriques, mous et prenant le godet associés à une prise de poids de 5 kg. Elle est apyrétique, sa tension artérielle est de 140/80 mmHg. Les examens biologiques pratiqués montrent : Protidémie : 53 g/L; albuminémie : 23 g/L; protéinurie des 24 heures : 5 g; hématurie: 87000/mn.Quel est votre diagnostic?
Syndrome néphrétique
Syndrome néphrotique pur
Syndrome néphrotique impur
Glomérulonéphrite aiguë
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