All -Onco-Hemato-MCQ (1 - 50) Part 1 NR
1. Quel est l’étiologie de Leucémie aiguë?
A. Chimiothérapie
B. Thalasémie
C. Amiante
D. Tabac
E. Alcool
2. Quelle est la présentation clinique plus fréquence de leucémie aiguë?
A. syndrome Infectieux
B. Splénomégalie importance
C. Hépatomégalie précose
D. Envahissemant méningé
E. Atteinte osseuse
3. Dans numération formule sanguin, quel élément orientent vers Leucémie aigue?
A. Blast> 10%
B. Myélémie
C. Hyperleucocytose
D. Thrombopénie
E. bicytopénie
4. Définition des leucémie aigue selon OMS?
A. Blast médullaire > =20%
B. Blast périphérique > = 20%
C. Hyperleucocytose > 20K
D. hyperneutrophilie > 20k
E. hyperlymphocytaire > 20k
5. Syndrome infectieux dans leucémie aigue est causé par:
A. Neutropénie < 500/ml
B. Thrombopénie < 10 000/ml
C. Anémie, Hb < 5
D. hyperleucocytose
E. Blast péripérique
6. Quel est le principe de traitement des Leucémies aigue?
B. Chimiothérapie+ transpantation médullaire
A. Radiothérapie + chimiothérapie
C. Pas de taitement spécifique
D. Que transfusion
E. Medicament traditinnelle
7. En cas urgence, dans syndrome de lyse post chimiothérapie, il faut:
A. Hyperhydratation + médicament hypohérécimiante
B. corticoïde à forte dose + antibiothérapie
C. Hydratation + corticoïde à forte dose
D. Les hépatoprotecteurs + corticoïde
E. Pas de traitement spécifique
8. Quel est le pronostic post traitement de leucémie aigue lymphoblastique?
A. 80% de guérison chez l’enfant, 40% chez aldult
B. 20% de guérison chez l’enfant, 20% chez aldult
C. 100% sont décés, jamais guérir
D. 80% suivie à 2ans puis décé
E. 100% de guérison si transpantation médullaire
9. Quel est l’indication de la corticothérapie dans les leucémes aiguë?
A. Essentielle dans le traitement des LAL
B. Essentielle dans le traitement des LAM1
C. Essentielle dans le traitement des LAM3
D. Essentielle dans le traitement des LA secondaire
E. Il n’y a pas indication dan le tratement des LA
10. Neutropénie fébrile post chimiothérapie,dans leucémie aiguë, il faut:
A. Commencer les antibiotique à large spect
B. Pas d’antibiotique avant le résultat hémoculture
C. Trasfèrer au service de réamination
D. Transfusion de sang total
E. Facteur de croissance à fort dose
11. Le dépistage du cancer du côlon est particulièrement justifié dans toutes les situations suivantes sauf une. Laquelle?
C) Utilisation prolongée de Laxatif
A) Antécédent de polypose familiale
B) Antécédent personnel de polype colique solitaire
D) Antécédents personnels de rectocolite hémorragique
E) Antécédents familiaux de cancers rectocoliques
12. La courbe de croissance des cellules tumorales est :
C) Gompertzienne
A) Linéaire
B) Exponentielle
D) Gaussienne
E) Aléatoire
13. La tumeur primitive maligne la plus fréquemment observée au niveau du rectum est :
C) Un adénocarcinome
A) Un carcinome épidermoïde
B) Un carcinoide
D) Un Lymphome malin
E) Un leiomyosarcome
14. Une femme de 40 ans, qui a eu ses premières règles à 11 ans et a eu un enfant qu’elle n’a pas allaité à l’âge de 29 ans, est particulièrement exposée à présenter un des cancers suivants. Lequel ?
D) Adénocarcinome du sein
A) Carcinome épidermoïde du col utérin
B) Adénocarcinome du corps de l’utérus
C) Sarcome du sein
E) Sarcome de l’utérus
15. En France, le cancer le plus fréquent chez la femme est :
C) Le cancer du sein
A) Le cancer du col utérin
B) Le cancer du corps utérin
D) Le cancer du poumon
E) Le cancer du colon
16. Parmi les cinq cancers suivants, quel est celui qui tire un bénéfice statistiquement démontré d’une chimiothérapie adjuvante ?
C) Sein
A) Pancréas
B) Prostate
D) Thyroïde
E) Rein
17. Le symptôme révélateur le plus fréquent d’un cancer du rein de l’adulte est :
B) Une hématurie totale
A) La découverte d’une masse abdominale
C) Fièvre inexpliquée
D) Anémie
E) Douleur pelvienne
18. Par convention, la « Chirurgie de principe » répond en cancérologie à l’une des définitions suivantes :
C) Chirurgie enlevant une région anatomique apparemment saine
A) Chirurgie d’urgence
B) Chirurgie de propreté
D) Chirurgie palliative pour le confort du malade
E) Chirurgie à visée fonctionnelle
19. Dans un cancer du sein, la présence de récepteurs hormonaux :
A) A une signification pronostique favorable
B) Permet de prévoir une bonne chimiosensibilité
C) Permet de prévoir une bonne radiosensibilité
D) Constitue une contre-indication chirurgicale
E) Indique que la malade est encore réglée
Dans les tableaux métastatiques suivants, quel est celui qui répond à une dissémination hématogène de type porte ?
C) Métastase hépatique d’un carcinoïde du grêle
A) Adénopathie sus-claviculaire gauche d’un adénocarcinome gastrique
B) Métastase pulmonaire d’un carcinome testiculaire
D) Carcinose péritonéale d’un adénocarcinome de l’ovaire
E) Métastases hépatiques d’un carcinome épidermoïde bronchique
Parmi les tumeurs osseuses malignes primitives suivantes, quelle est celle qui est d’origine hématopoïétique ?
C) Lymphome
A) Ostéosarcome
B) Chondrosarcome
D) Angiosarcome
E) Chondrome
Lors d’une irradiation transcutanée pour épithélioma du col utérin, des complications précoces liées à cette irradiation sont à craindre surtout au niveau de :
A) Rectum et vessie
B) Vagin
C) Corps de l’utérus
D) Uretère pelvien
E) Anus
Les œstrogènes tiennent une place importante dans le traitement des cancers de la prostate. Mais leur utilisation peut être déconseillée chez les patients présentant l’une des altérations suivantes. Laquelle ?
B) Cardio-vasculaire
A) Rénale
C) Pulmonaire
D) Digestive
E) Hépatique
Parmi les modifications suivantes, quelle est la plus évocatrice de métastases de la moelle osseuse chez un cancéreux connu ?
B) Une myélémie
A) Une anémie
C) Une douleur osseuse
D) Une hypercalcémie
E) Une thrombopénie
Dans ce groupe, la tumeur considérée comme la plus radiosensible est :
A) L’épithélioma bronchique anaplasique à petites cellules
B) Le cancer épidermoïde
C) Le mélanome malin
D) L’adénocarcinome
E) Le gliome malin
Quel est le site métastatique le plus fréquent dans les ostéosarcomes ?
B) Poumon
A) Foie
C) Os
D) Cerveau
E) Moelle hématopoïétique
Patient 66A, tabagisme actif 20PA, alcoolisme (1 bouteille de VR/j) sans d’autres comorbidités particulières, hospitalisé pour une dysphagie haute d’apparition progressive et perte du poids (10kg en un mois). Il ne présente aucun antécédent. A l’examen clinique, nous ne trouvons que des adénopathies jugulo-carotidiennes gauches supérieures et moyennes, la plus grande mesurée 3cm. Quel examen d’imagerie le plus important pour faire le bilan loco-régional et d’extension ?
D) Scanner cervico-facial et thoracique
A) Echographie cervicale
B) IRM cervico-faciale et thoracique
C) Panendoscopie
28. Actuellement, la thérapeutique généralement conseillée en France dans un cancer du sein survenant chez une femme de 45 ans, porteuse d’un cancer inférieur à 1 cm du quadrant supéro-externe sans ganglion axillaire palpable:
E) Tumorectomie, vérification axillaire et radiothérapie loco-régionale
A) Mastectomie radicale et irradiation post-opératoire
B) Mastectomie simple seule
C) Mastectomie radicale seule
D) Tumorectomie seule
Chez une femme de 35 ans présentant une tumeur du sein de 3 cm de diamètre, le seul examen permettant d’affirmer avec certitude le diagnostic de cancer est :
E) Prélèvement pour examen anatomo-pathologique
A) La mammographie
B) L’échographie
C) La cytologie
D) L’examen clinique
30. Parmi les propositions suivantes, une seule est exacte. Laquelle ? Une chimiothérapie adjuvante désigne :
D) Une chimiothérapie après traitement radical chez un malade qui présente un risque élevé de récidive ou de métastase
A) Une chimiothérapie associée à une radiothérapie et/ou une hormonothérapie
B) Une chimiothérapie suivant un traitement ayant entrainé une rémission incomplète
C) Une chimiothérapie pratiquée avant la résection chirurgicale pour réduire le volume tumoral et faciliter l’exérèse
E) Une deuxième chimiothérapie après l’échec d’une première
31. Un jeune garçon de 13ans, sans antécédent personnel et familial particulier, est adressé à l’hôpital pédiatrique de Phnom Penh pour des douleurs osseuses diffuses et une fièvre persistante. Il est à 2 mois de son traitement de tuberculose ganglionnaire diagnostiqué à Siem Reap devant une fièvre chronique et une adénopathie médiastinale sur le scanner thoracique. L’examen clinique retrouve une pâleur cutanéomuqueuse, purpuras pétéchiales au niveau du tronc et membres, des polyadénopathies cervicales millimétriques, une hépatomégalie de 3cm sous rebord costale droit et une splénomégalie de 2cm sous rebord costale gauche. Les testicules sont normaux. L’examen neurologique est sans particularité. La TA est à 110/70mmHg, la fréquence cardiaque à 100/mn, la température est à 38.7C, le poids à 37kg, la taille à 140cm. Quel est le diagnostic le plus probable devant ce tableau ?
A- Leucémie aigue
B- Tuberculose ganglionnaire
C- Purpura Thrombopénique idiopathique
D- Thalassémie
E- Drépanocytose
32. Un jeune garçon de 13ans, sans antécédent personnel et familial particulier, est adressé à l’hôpital pédiatrique de Phnom Penh pour des douleurs osseuses diffuses et une fièvre persistante. Il est à 2 mois de son traitement de tuberculose ganglionnaire diagnostiqué à Siem Reap devant une fièvre chronique et une adénopathie médiastinale sur le scanner thoracique. L’examen clinique retrouve une pâleur cutanéomuqueuse, purpuras pétéchiales au niveau du tronc et membres, des polyadénopathies cervicales millimétriques, une hépatomégalie de 3cm sous rebord costale droit et une splénomégalie de 2cm sous rebord costale gauche. Les testicules sont normaux. L’examen neurologique est sans particularité. La TA est à 110/70mmHg, la fréquence cardiaque à 100/mn, la température est à 38.7C, le poids à 37kg, la taille à 140cm. Vous demandez un hémogramme qui montre une Hb à 79g/l, VGM 82fl, CCMH 33g/dl, Réticulocyte 70G/l, Plaquette 30G/L, GB 113G/L dont 40 % de PNN, 55% de lymphocyte. Quelle interprétation faites-vous de cet hémogramme ?
C- Anémie normochrome normocytaire non régénérative, thrombopénie, Hyperleucocytose à prédominant lymphocytaire
A- Anémie hypochrome microcytaire non régénérative avec hyperleucocytose et thrombocytose
B- Hémogramme normale
D- Anémie macrocytaire d’origine périphérique avec thrombopénie et hyperleurcocytose
E- Anémie normochome normocytaire avec neutropénie et thrombopénie
33. Un jeune garçon de 13ans, sans antécédent personnel et familial particulier, est adressé à l’hôpital pédiatrique de Phnom Penh pour des douleurs osseuses diffuses et une fièvre persistante. Il est à 2 mois de son traitement de tuberculose ganglionnaire diagnostiqué à Siem Reap devant une fièvre chronique et une adénopathie médiastinale sur le scanner thoracique. L’examen clinique retrouve une pâleur cutanéomuqueuse, purpuras pétéchiales au niveau du tronc et membres, des polyadénopathies cervicales millimétriques, une hépatomégalie de 3cm sous rebord costale droit et une splénomégalie de 2cm sous rebord costale gauche. Les testicules sont normaux. L’examen neurologique est sans particularité. La TA est à 110/70mmHg, la fréquence cardiaque à 100/mn, la température est à 38.7C, le poids à 37kg, la taille à 140cm. L’examen biochimique montre un Na à 138 mmol/l, K 6 mmol/l, Ca 65mg/l, Ph 1.8mmol/l, Acide urique 120mg/l , LDH 850UI/l , créatininémie à 120mg/l. Quelle est la cause de cette anomalie ?
E- Syndrome de lyse
A- Infection chronique
B- Inflammation chronique
C- Déshydratation
D- Malnutrition
34. Un jeune garçon de 13ans, sans antécédent personnel et familial particulier, est adressé à l’hôpital pédiatrique de Phnom Penh pour des douleurs osseuses diffuses et une fièvre persistante. Il est à 2 mois de son traitement de tuberculose ganglionnaire diagnostiqué à Siem Reap devant une fièvre chronique et une adénopathie médiastinale sur le scanner thoracique. L’examen clinique retrouve une pâleur cutanéomuqueuse, purpuras pétéchiales au niveau du tronc et membres, des polyadénopathies cervicales millimétriques, une hépatomégalie de 3cm sous rebord costale droit et une splénomégalie de 2cm sous rebord costale gauche. Les testicules sont normaux. L’examen neurologique est sans particularité. La TA est à 110/70mmHg, la fréquence cardiaque à 100/mn, la température est à 38.7C, le poids à 37kg, la taille à 140cm. Deux heures plus tard, il se plainte de céphalée intense avec hypotonie de membre supérieur gauche. En plus, il devient dyspnéique avec SaO2 à 90%. Cette situation urgente est causée par quel mécanisme ?
B- Syndrome de leucostase
A- Trouble ionique
C- Embolie pulmonaire
D- Anémie
E- Pneumonie grave
35. Un jeune garçon de 13ans, sans antécédent personnel et familial particulier, est adressé à l’hôpital pédiatrique de Phnom Penh pour des douleurs osseuses diffuses et une fièvre persistante. Il est à 2 mois de son traitement de tuberculose ganglionnaire diagnostiqué à Siem Reap devant une fièvre chronique et une adénopathie médiastinale sur le scanner thoracique. L’examen clinique retrouve une pâleur cutanéomuqueuse, purpuras pétéchiales au niveau du tronc et membres, des polyadénopathies cervicales millimétriques, une hépatomégalie de 3cm sous rebord costale droit et une splénomégalie de 2cm sous rebord costale gauche. Les testicules sont normaux. L’examen neurologique est sans particularité. La TA est à 110/70mmHg, la fréquence cardiaque à 100/mn, la température est à 38.7C, le poids à 37kg, la taille à 140cm. Votre sénior explique aux parents les principes de traitement qui reposent sur la corticothérapie et la chimiothérapie avec la possibilité d’allogreffe en cas de réponse insuffisant aux chimiothérapies. Ils pleurent parce qu’ils croient que son fils va mourir comme sa voisine de 65ans qui a la même maladie. Que dites-vous pour les rassurer ?
B- Le pronostic est différent que ce de sujet âgé même si la pathologie est pareil
A- Il va mourir de cette maladie dans un peu de temps
C- Le traitement peut prolonger sa vie un peu plus
D- Il va guérit 100%
E- Guérison possible avec handicap majeur
Quelle est la proposition exacte concernant la particularité épidémiologique des cancers de l’enfant ?
D. L’incidence de cancer de l’enfant < 15ans est environ 130 nouveaux cas par million par an
L’enfant n’est jamais atteint de cancer
B. Il n’existe pas de cancer chez l’enfant au Cambodge
C. Il ne faut jamais penser au cancer devant une masse abdominale de nouveau-née
E. La leucémie aigue est une maladie de l’adolescence
37. Lequel entre les cancers si dessous est un cancer chez l’enfant ?
E. néphroblastome
A. Carcinome hépatocellulaire
B. cholangiocarcinome
C. carcinome à petite cellule du poumon
D. carcinome épidermoide de l’œsophage
Concernant la particularité des cancers de l’enfant :
A. Grande chimio sensibilité
B. Multiplication lente
C. Cellules cancéreuses sont souvent matures
D. Radiorésistance
E. Chimiorésistance
39. La prise en charge de cancer de l’enfant est faite par :
Équipe pluridisciplinaire
Pédiatre
Oncologue
Radiothérapeute
Chirurgien
40. Le pronostic de cancers de l’enfant :
B. Taux de guérison 75-80%
A. Maladies non curables
C. Pronostique péjoratif
D. Même pronostic que les cancers de l’adulte
E. Evolution lente
41. Un donneur du groupe B+ peut donner son sang à :
Un receveur du groupe B+
. Un receveur du groupe B-
Un receveur du groupe AB-
Un receveur du groupe A+
Un receveur du groupe A-
42. Un patient ayant un groupe sanguin O est porteur :
D’anticorps anti-B
D’antigène A
D’aucun anticorps
D’antigène A et antigènes B
D’antigènes B
43. Mme X, est de groupe O rhésus positif phénotype C+, E-, c+, e+, K- et doit etre transfusée en concentrés de globules rouges phénotypés. Quel est celui que l’on peut lui transfuser ?
O positif C+, E-, c+ e+, K-
O positif C+, E+, c+, e+, K-
O positif C+, E-, c-, e+, K+
O positif C+, E+, c-, e-, K-
44. Le contrôle ultime pré-transfusionnel:
A. Permet de prévenir les accidents par l’incompatibilité ABO lors de transfusions globulaires rouges
B. Dans la salle de soins, sur le plan de travail, uniquement sur la 1ère poche
C. Conservation de la carte de contrôle ultime pré-transfusionnel jusqu’à 48h après la transfusion puis la jette
D. Réaliser uniquement le test de compatibilité si le test de concordance a été réalisé par une autre personne.
45. Chez un receveur adulte de groupe sanguin O, les anticorps anti A, anti B
Peuvent entrainer une hémolyse des hématies de groupes A, B, AB dès la première transfusion
Ne sont présente qu’à la suite d’une transfusion ABO incompatible
N’entrainent la destruction des hématies de groupe A, B, AB qu’après plusieurs immunisation par plusieurs transfusions incompatibles
Sont mis en evidence lors d’une recherche d’agglutinines irrégulières.
46. En cas de suspicion d’effet indésirable receveur, on doit :
Arrêter tout de suite la transfusion et appeler le médecin
Retirer la voie veineuse et
Poursuivre la surveillance
Enlever le sac sanguin et l’emporter à la banque de sang
Corticothérapie et antihistaminique
47. Au cours d’une intervention pour traitement d’un anévrisme aortique abdominale, une femme de 61 ans a reçu un culot globulaire de groupe A rhésus négatif. Son groupe sanguin est O rhésus positif. Cinq minutes après le début de la transfusion, sa température monte à 39oC et sa pression artérielle chute de 100/60 mmHg a 60/20 mmHg. Quelle est l’explication la plus probable de ces phénomènes?
Incompatibilité rhésus
Destruction des globules rouges médiée par le complément
. Interaction entre leucocytes du donneur et antigène du receveur
Formation de microthrombi et agrégation plaquettaire
Anticorps du donneur contre antigène O du receveur
48. Lors de la transfusion de plaquettes :
Règle de compatibilité : Rhésus est souhaitable (immunoglobuline anti-D), anticorps anti-HLA, plaquettes HLA compatibles.
Durée de la transfusion est entre 1h-2h
Règle de compatibilité : ABO souhaitable et obligatoire
Pour but de restaurer l’hémostase primaire et secondaire
Risque important et fréquent sont l’immunisation antileucocytaire anti-HLA et l’infection.
49. L’ordonnance d’une transfusion plaquettaire doit préciser :
La numération plaquettaire pré-transfusionnelle et le poids
L’Hb et hématocrite du patient avant la transfusion
L’âge du patient et le poids du patient
2 déterminations de groupe ABO
50. Au moment de la transfusion de plasma frais congelé déleucocyte :
Règles de compatibilité ABO est adaptées aux plasmas.
Délivrance suit la décongélation < 2h a la capacité de préserver les facteurs de la coagulation
L’indication est dans les conditions où l’hémorragie est gravissime.
. Les éléments importants à préciser dans l’ordonnance de demande de plasma sont : le poids du patient, NFS.
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