Théra-Méd Part 1

A medical professional examining a patient in a clinical setting, with charts and respiratory equipment in the background.

Asthma and Respiratory Health Quiz

Test your knowledge on asthma and respiratory health with our comprehensive quiz designed for medical professionals and students alike. Challenge yourself with 214 thoughtfully crafted questions covering various aspects of asthma management, respiratory disorders, and related clinical practices.

Key Features:

  • In-depth questions on respiratory evaluation and treatment.
  • Suitable for students, teachers, and healthcare professionals.
  • Enhance your understanding of respiratory conditions.
214 Questions54 MinutesCreated by LearningLung123

   Mademoiselle TEANG Bopha , âge de 25 ans , vient consulter pour le suivi de sa maladie asthmatique.

Son asthme est connu dès l’enfance à l’âge de 9 ans , découvert par une symptomatologie de toux nocturne , des crises dyspnéiques typiques lors de week-end à la campagne , ou à l’effort.

Le bilan initial mettait en évidence un terrain atopique , une allergie aux pollens et aux phanères de chat . Il n’y a pas d’arguments cliniques pour un reflux gastro-oesophagien.
Quel est le facteur déclenchant de son asthme bronchique ?
Atmosphère chaud
Facteur psychologique
Infection respiratoire
Pollens végétaux
Reflux gastro-oesophagien
Mademoiselle TEANG Bopha , âge de 25 ans , vient consulter pour le suivi de sa maladie asthmatique. Son asthme est connu dès l’enfance à l’âge de 9 ans , découvert par une symptomatologie de toux nocturne , des crises dyspnéiques typiques lors de week-end à la campagne , ou à l’effort. Le bilan initial mettait en évidence un terrain atopique , une allergie aux pollens et aux phanères de chat . Il n’y a pas d’arguments cliniques pour un reflux gastro-oesophagien .
Un argument clinique typique de la crise d’asthme de Mlle TEANG Bopha est :
Dyspnée diurne
Dyspnée nocturne
Fièvres et frissons
Hémoptysies répétées
Secousses de toux sèches
Mademoiselle TEANG Bopha , âge de 25 ans , vient consulter pour le suivi de sa maladie asthmatique. Son asthme est connu dès l’enfance à l’âge de 9 ans , découvert par une symptomatologie de toux nocturne , des crises dyspnéiques typiques lors de week-end à la campagne , ou à l’effort. Le bilan initial mettait en évidence un terrain atopique , une allergie aux pollens et aux phanères de chat . Il n’y a pas d’arguments cliniques pour un reflux gastro-oesophagien .
Quel test doit être fait pour affirmer un terrain atopique spécifique aux pollens pour cet asthme bronchique ?
Hémogramme-VS
Sérologie dans le sang
Transaminases dans le sang
Test épicutané anti-pollens
Test IDR
Mademoiselle TEANG Bopha , âge de 25 ans , vient consulter pour le suivi de sa maladie asthmatique. Son asthme est connu dès l’enfance à l’âge de 9 ans , découvert par une symptomatologie de toux nocturne , des crises dyspnéiques typiques lors de week-end à la campagne , ou à l’effort. Le bilan initial mettait en évidence un terrain atopique , une allergie aux pollens et aux phanères de chat . Il n’y a pas d’arguments cliniques pour un reflux gastro-oesophagien .
Un signe clinique marquant une urgence thérapeutique de la crise d’asthme est :
Bradypnée
Cyanose
Polypnée
Tirage
Sueurs
Mademoiselle TEANG Bopha , âge de 25 ans , vient consulter pour le suivi de sa maladie asthmatique. Son asthme est connu dès l’enfance à l’âge de 9 ans , découvert par une symptomatologie de toux nocturne , des crises dyspnéiques typiques lors de week-end à la campagne , ou à l’effort. Le bilan initial mettait en évidence un terrain atopique , une allergie aux pollens et aux phanères de chat . Il n’y a pas d’arguments cliniques pour un reflux gastro-oesophagien .
    Le traitement de la crise d’asthme simple fait habituellement appel aux :
Antidégranulants ( Lomudal )
Bêta 2-mimétiques en spray
Corticoïdes inhalés ( Bécotide 250 )
Corticoïdes retards par IM
Corticoïdes par voie parentérale
L’asthme aigu grave se définit par :
Dyspnée avec anémie sévère
Dyspnée avec asphyxie
Dyspnée avec toux
Dyspnée avec sibilance
Dyspnée avec hémoptysies
Au cours d’asthme aigu grave , un seul des signes suivants n’est pas observé ?
Diminution de murmure vésiculaire
Expectoration abondante
Polypnée importante
Signes de cœur pulmonaire aigu
Troubles de conscience
Devant une suspicion de crise d’asthme aux urgences , quel examen paraclinique demandez-vous en urgence ?
Épreuves fonctionnels respiratoires
Gaz du sang artériel
Mesure des Ig E toaux
Numération de formule sanguine
Test allergique percutané
Un asthme est souvent aggravé par l’administration de :
Atropine
Bêta-bloquant
Cycline
Paracétamol
Pénicilline
Quelle stratégie thérapeutique doit-on traiter immédiatement de l’asthme aigu grave ?
Antibiotique par voie parentérale
Bronchodilatateurs par nébulisation
Corticoïdes par voie intra-veineuse
Radiographie pulmonaire
Tonicardiaque par voie parentérale
Un homme de 65 ans est atteint d’une insuffisance respiratoire chronique. Depuis l’âge de 21 ans , il fume 2 paquets de cigarettes par jour. Depuis 25 ans , il tousse et crache fréquemment en accompagnant d’une dyspnée d’effort progressivement augmentée. Actuellement il ne peut monter qu’une dizaine de marches environ. Les épreuves fonctionnelles respiratoires effectuées montrent : VEMS : 1 200ml (val. Théorique : 2 500ml), CV : 2 400ml ( val. Théo. :3 200ml) , CPT : 6 000ml (val.Théo. :5 000ml) . Les gaz du sang artériels sont : PaO2 : 54 mmHg , PaCO2 : 45 mmHg , pH : 7,41 , SaO2 : 90% , bicarbonates : 32 mmol/l .
Une cause de l’insuffisance respiratoire chronique est fréquemment rencontrée au Cambodge :
Diabète sucré de type II avec obésité
Insuffisance cardiaque d’origine valvulaire
Insuffisance rénale d’origine infectieuse
Insuffisance respiratoire obstructive par tabac
Œdème du poumon hémodynamique
Un homme de 65 ans est atteint d’une insuffisance respiratoire chronique. Depuis l’âge de 21 ans , il fume 2 paquets de cigarettes par jour. Depuis 25 ans , il tousse et crache fréquemment en accompagnant d’une dyspnée d’effort progressivement augmentée. Actuellement il ne peut monter qu’une dizaine de marches environ. Les épreuves fonctionnelles respiratoires effectuées montrent : VEMS : 1 200ml (val. Théorique : 2 500ml), CV : 2 400ml ( val. Théo. :3 200ml) , CPT : 6 000ml (val.Théo. :5 000ml) . Les gaz du sang artériels sont : PaO2 : 54 mmHg , PaCO2 : 45 mmHg , pH : 7,41 , SaO2 : 90% , bicarbonates : 32 mmol/l .
Une insuffisance respiratoire chronique a un tableau clinique caractéristique comme       ci-dessous :
Toux-expectorations avec cyanose
Toux-expectorations avec fièvre prolongée
Toux-expectoration avec dyspnée progressive
Toux avec expectorations muco-sanglantes
Toux sèches avec douleur thoracique
Un homme de 65 ans est atteint d’une insuffisance respiratoire chronique. Depuis l’âge de 21 ans , il fume 2 paquets de cigarettes par jour. Depuis 25 ans , il tousse et crache fréquemment en accompagnant d’une dyspnée d’effort progressivement augmentée. Actuellement il ne peut monter qu’une dizaine de marches environ. Les épreuves fonctionnelles respiratoires effectuées montrent : VEMS : 1 200ml (val. Théorique : 2 500ml), CV : 2 400ml ( val. Théo. :3 200ml) , CPT : 6 000ml (val.Théo. :5 000ml) . Les gaz du sang artériels sont : PaO2 : 54 mmHg , PaCO2 : 45 mmHg , pH : 7,41 , SaO2 : 90% , bicarbonates : 32 mmol/l .
Parmi les propositions ci-dessous , laquelle est associée à l’hypoxémie chronique ?
Accident vasculaire cérébrale
Hypertension artérielle systémique
Œdème pulmonaire hémodynamique
Polyglobulie post-tabagique
Troubles des équilibres hydro-électrolytiques
Un homme de 65 ans est atteint d’une insuffisance respiratoire chronique. Depuis l’âge de 21 ans , il fume 2 paquets de cigarettes par jour. Depuis 25 ans , il tousse et crache fréquemment en accompagnant d’une dyspnée d’effort progressivement augmentée. Actuellement il ne peut monter qu’une dizaine de marches environ. Les épreuves fonctionnelles respiratoires effectuées montrent : VEMS : 1 200ml (val. Théorique : 2 500ml), CV : 2 400ml ( val. Théo. :3 200ml) , CPT : 6 000ml (val.Théo. :5 000ml) . Les gaz du sang artériels sont : PaO2 : 54 mmHg , PaCO2 : 45 mmHg , pH : 7,41 , SaO2 : 90% , bicarbonates : 32 mmol/l .
Quelle est le contexte de gravité de l’insuffisance respiratoire ? 
 
Dyspnée + Hypoxémie avec hypercapnie
Dyspnée + Hypoxémie avec normocapnie
Dyspnée + Hypoxémie avec hypocapnie
Dyspnée + Normoxémie avec hypercapnie
Dyspnée + Normoxémie avec hypocapnie
Un homme de 65 ans est atteint d’une insuffisance respiratoire chronique. Depuis l’âge de 21 ans , il fume 2 paquets de cigarettes par jour. Depuis 25 ans , il tousse et crache fréquemment en accompagnant d’une dyspnée d’effort progressivement augmentée. Actuellement il ne peut monter qu’une dizaine de marches environ. Les épreuves fonctionnelles respiratoires effectuées montrent : VEMS : 1 200ml (val. Théorique : 2 500ml), CV : 2 400ml ( val. Théo. :3 200ml) , CPT : 6 000ml (val.Théo. :5 000ml) . Les gaz du sang artériels sont : PaO2 : 54 mmHg , PaCO2 : 45 mmHg , pH : 7,41 , SaO2 : 90% , bicarbonates : 32 mmol/l .
Quels est la durée quotidienne de l’oxygénothérapie à domicile  d’une insuffisance respiratoire chronique ?
4 à 6 heures
6 à 8 heures
8 à 10 heures
10 à 12 heures
> 12 heures
L’insuffisance respiratoire aiguë est définie par :
Une polypnée respiratoire brutale
Une hypotension artérielle
Une caverne sur la radiographie pulmonaire
Une hypoxémie �  PaO2 < 60 mmHg
Une hyperleucocytose sur l’hémogramme
Quel est le signe clinique montrant une insuffisance respiratoire aiguë ?
Bradypnée
Fièvres
Frissons
Polypnée
Cyanose
Quel est l’examen complémentaire à demander pour affirmer une insuffisance respiratoire aiguë ?
Cholestérolémie
Gaz du sang artériel
Hémoculture
Numération de formule sanguine
Vitesse de sédimentation sanguine
Quel est le contexte clinique de gravité de l’insuffisance respiratoire ?
Cyanose + Polypnée
Cyanose + Hyperleucocytose
Cyanose + PaO2 < 65 mmHg
Cyanose + pH < 7,30
Cyanose + Hypoglycémie
Quel mode d’inhalation vous semble le mieux adapté dans l’oxygénothérapie d’une insuffisance respiratoire aiguë ?
Cathéter transtrachéal
Lunette nasale
Masque naso-baccale
Sonde nasopharyngée
Trachéotomie
Mme KOLAP , âgée de 45 ans , domiciliée à Saang de la province de Kandal , est adressée aux urgence pour troubles de conscience récente avec une fièvre majeure . L’examen initial montre : température à 40oC , TA :80/35 mmHg , FC : 135/mn ,FR : 28/mn SpO2 : 91% , glycémie capillaire : 16 mmol/l (N : 3,9 -5,6) . La patiente est ininterrogeable , ses propos sont confus .A la stimulation douloureuse , la patiente réagit de manière adaptée . Il n’existe pas de signe de localisation , ni de raideur méningée . On note une cyanose des extrémités et des marbrures des genoux .L’auscultation cardiaque et pulmonaire est normale .L’abdomen est un peu distendu , douloureux . Il n’y a pas d’éruption , ni de lésion cutanée . La bandelette urinaire montre : glycosurie ( + ), présence de leucocytes et de nitrites
Quelle est la principale porte d’entrée de cette septicémie probablement à pneumocoque ?
Porte d’entrée cutanée
Porte d’entrée digestive
Porte d’entrée pulmonaire
Porte d’entrée urinaire
Porte d’entrée sexuelle
Mme KOLAP , âgée de 45 ans , domiciliée à Saang de la province de Kandal , est adressée aux urgence pour troubles de conscience récente avec une fièvre majeure . L’examen initial montre : température à 40oC , TA :80/35 mmHg , FC : 135/mn ,FR : 28/mn SpO2 : 91% , glycémie capillaire : 16 mmol/l (N : 3,9 -5,6) . La patiente est ininterrogeable , ses propos sont confus .A la stimulation douloureuse , la patiente réagit de manière adaptée . Il n’existe pas de signe de localisation , ni de raideur méningée . On note une cyanose des extrémités et des marbrures des genoux .L’auscultation cardiaque et pulmonaire est normale .L’abdomen est un peu distendu , douloureux . Il n’y a pas d’éruption , ni de lésion cutanée . La bandelette urinaire montre : glycosurie ( + ), présence de leucocytes et de nitrites
Le diagnostic de sepsis sévère repose sur des syndromes et des signes suivants mais cochez-vous  ceux qui n’existent pas dans ce cas ?
Cyanose des extrémités , marbrures des genoux
Fièvre majeure à 40oC , frissons
Hypotension artétrielle, tachycardie
Râles crépitants , sous crépitants et arythmie à l’auscultation
Somnolence , polypnée à FR : 28/mn
Mme KOLAP , âgée de 45 ans , domiciliée à Saang de la province de Kandal , est adressée aux urgence pour troubles de conscience récente avec une fièvre majeure . L’examen initial montre : température à 40oC , TA :80/35 mmHg , FC : 135/mn ,FR : 28/mn SpO2 : 91% , glycémie capillaire : 16 mmol/l (N : 3,9 -5,6) . La patiente est ininterrogeable , ses propos sont confus .A la stimulation douloureuse , la patiente réagit de manière adaptée . Il n’existe pas de signe de localisation , ni de raideur méningée . On note une cyanose des extrémités et des marbrures des genoux .L’auscultation cardiaque et pulmonaire est normale .L’abdomen est un peu distendu , douloureux . Il n’y a pas d’éruption , ni de lésion cutanée . La bandelette urinaire montre : glycosurie ( + ), présence de leucocytes et de nitrites
Quel examen complémentaire indispensable pour affirmer les germes en cause   demandez-vous devant la septicémie ?
Coproculture et API
ECG en cas de tachycardie
Hémocultures , ECBU
Hémogramme et Gaz du sang
Scanner cérébral en cas de confusion
Mme KOLAP , âgée de 45 ans , domiciliée à Saang de la province de Kandal , est adressée aux urgence pour troubles de conscience récente avec une fièvre majeure . L’examen initial montre : température à 40oC , TA :80/35 mmHg , FC : 135/mn ,FR : 28/mn SpO2 : 91% , glycémie capillaire : 16 mmol/l (N : 3,9 -5,6) . La patiente est ininterrogeable , ses propos sont confus .A la stimulation douloureuse , la patiente réagit de manière adaptée . Il n’existe pas de signe de localisation , ni de raideur méningée . On note une cyanose des extrémités et des marbrures des genoux .L’auscultation cardiaque et pulmonaire est normale .L’abdomen est un peu distendu , douloureux . Il n’y a pas d’éruption , ni de lésion cutanée . La bandelette urinaire montre : glycosurie ( + ), présence de leucocytes et de nitrites
Quel est le signe caractéristique indiquant la gravité de la septicémie ?
Fièvre majeure avec frissons
Hypotension avec confusion
Oligurie avec douleur abdominale
Polypnée avec rythme normal
Tachycardie avec rythme régulier
Mme KOLAP , âgée de 45 ans , domiciliée à Saang de la province de Kandal , est adressée aux urgence pour troubles de conscience récente avec une fièvre majeure . L’examen initial montre : température à 40oC , TA :80/35 mmHg , FC : 135/mn ,FR : 28/mn SpO2 : 91% , glycémie capillaire : 16 mmol/l (N : 3,9 -5,6) . La patiente est ininterrogeable , ses propos sont confus .A la stimulation douloureuse , la patiente réagit de manière adaptée . Il n’existe pas de signe de localisation , ni de raideur méningée . On note une cyanose des extrémités et des marbrures des genoux .L’auscultation cardiaque et pulmonaire est normale .L’abdomen est un peu distendu , douloureux . Il n’y a pas d’éruption , ni de lésion cutanée . La bandelette urinaire montre : glycosurie ( + ), présence de leucocytes et de nitrites
Le critère du traitement préventif individuel pour éviter la septicémie est :
Antibiothérapie prolongée
Hospitalisation au service spécialisé
Mesures strictes d’asepsie
Répétition des hémocultures de contrôle
Répétition de radio-pulmonaire de contrôle
Parmi les propositions suivantes , lesquelles sont exactes ?
En cas de sepsis sévère , une antibiothérapie doit être mise en place après l’identification du micro-organisme sur les prélèvements réalisés.
Le choc septique est défini , au cours d’un sepsis sévère , par une hypotension artérielle ne répondant pas au remplissage vasculaire .
L’existance d’une oligo-anurie , des troubles de conscience ou d’une polypnée sont , chez un patient en état de choc , spécifiques d’origine infectieuse
Un choc septique avec douleur lombaire évoque une pyélonéphrite avec tension artérielle normale .
Un choc septique associé à un purpura extensif et nécrotique évoque en premier lieu une endocardite infectieuse .
Quel est le signe clinique typique du choc septique ?
Cyanose des extrémités
Dyspnée respiratoire
Fièvre majeure
Hypotension artérielle
Tachycardie sinusale
Quel est l’examen complémentaire indispensable et urgent dans le choc septique ?
Hémogramme
Hémoculture
Ionogramme
Rx thorax
Scanner
Quel est le signe clinique que l’on doit utiliser tout de suite des antibiotiques sans attendre les résultats paracliniques devant un état septicémique ?
Anurie avec douleur abdominale
État de confusion mentale
Fièvre majeure �  To > 40oC
Polypnée �  FR > 30/mn
Tachycardie �  FC > 120/mn
L’antibiothérapie dans le traitement d’un état septique sévère , indiquez la proposition fausse ?
Double ou triple
Par voie parentérale
Synergique et bactéricide
En attendant les résultats de l’antibiogramme
Donnée tout de suite sur les germes suspectés
Définir la septicémie ?
A- Céphalées + Convulsion
B- Frissons + Tachycardie
C- Fièvre + Hyperleucocytose
D- Hypotension + Polypnée
E- Cyanose + Sueurs
Qu’est-ce que c’est le choc septique ?
Hypotension artérielle + état comateux
Hypotension artérielle + Fièvre avec frissons
Hypotension artérielle + Hyperleucocytose
Sepsis sévère + Hypotension malgré remplissage vasculaire
Hypotension artérielle + Polypnée avec cyanose .
Quelle est l’affirmation exacte concernant les sepsis bactériémiques à bacille à Gram négatif ?
Ne sont jamais d’origine hospitalière
La porte d’entrée est souvent cutanée
La plus redoutable de leurs complications est le choc septique
L’ictère est un symptôme constant
L’hyperleucocytose est toujours constant .
Le diagnostic de certitude d’une septicémie repose sur :
Les signes fonctionnels
Les signes physiques
La numération de formule sanguine
Le bilan sérologique
Les hémocultures .
Quelle est la principale porte d’entrée des septicémies à bacille Gram négatif ?
Porte d’entrée cutanée
Porte d’entrée digestive
Porte d’entrée urinaire
Porte d’entrée sexuelle
Toutes les portes d’entrée .
Quelle est la principale porte d’entrée des septicémies à cryptococcose ?
Porte d’entrée cutanée
Porte d’entrée digestive
Porte d’entrée urinaire
Porte d’entrée pulmonaire
Porte d’entrée sexuelle .
L’endotoxine bactérienne :
Est une substance thermolabile
Est un constituant présent chez toutes les bactéries
Provoque la formation d’anticorps protecteurs
Est libérée seulement par la lyse bactérienne
Est responsable de diarrhées toxiniques .
Lors d’une infection invasive bactérienne à pyogène, quelle est l’anomalie biologique sanguine observée ?
Anémie hémolytique
Anémie macrocytaire
Polynucléose neutrophile
Éosinophilie
Lymphocytose .
9- La prévention individuelle , le plus mieux chez le sujet âgé , pour éviter la septicémie est :
Hospitalisation au service spécialisé
Antiseptiques préventifs
Antibioprophylaxie
Examen biologique de surveillance
Application de la vaccination .
En présence d’orientation étiologique , quelle est l’antibiothérapie non recommandée en cas d’état septique ?
En contexte communautaire : C3G + Aminoside
En contexte nosocomial : Bêta-lactamine large spectre Aminoside
Une seule antibiothérapie mais à forte dose
En cas de suspicion d’anaérobies : + Métronidazole
En cas de suspicion de staphylocoque doré : + Glycopeptide
La fréquence respiratoire normale chez sujet sain est comprise entre :
8 à 12 mouvements / minute
12 à 16 mouvements / minute
16 à 20 mouvements / minute
20 à 25 mouvements / minute
25 à 30 mouvements / minute
Le syndrome de détresse respiratoire aigu est basé sur :
Polypnée
Bradypnée
Hypotension artérielle
PaO2 < 60 mmHg
Hyperleucocytose .
Quelle est le signe associé à l’hypoxémie chronique ?
Hypertension artérielle
Dyspnée
Palpitation
Hyperleucocytose
Polyglobulie .
Les signes cliniques graves de l’insuffisance aiguë est :
Dyspnée + FC > 120 /mn
Palpitation + FR > 30 /mn
Cyanose + Sueurs
Fièvre à 40oC + Frissons
Tachycardie + tirage .
Au cours d’une BPCO évoluée, quel est le critère le plus fiable pour indiquer une oxygénothérapie à domicile à faible débit de 15 h / jour ?
Dyspnée d’effort invalidante
Cyanose permanente des extrémités
Un VEMS/CV inférieur à 30%
Un VEMS inférieur à 1000ml
Une PaO2 à l’état stable inférieur à 55 mmHg .
Lors d’une embolie pulmonaire de moyenne gravité , l’examen du gaz du sang montre :
Une hypoxémie avec hypercapnie
Une hypoxémie avec normocapnie
Une hypoxémie avec hypocapnie
Une normoxémie avec hypercapnie
Aucune de ces perturbations .
La prise en charge thérapeutique d’une détresse respiratoire aiguë est :
Hospitalisation au service spécialisé
Antibiothérapie à large spectre
Tonicardiaque injectable
Corticoïde injectable
Oxygénothérapie à haute concentration .
Quel mode d’inhalation vous semble le mieux adapté dans l’oxygénothérapie d’une insuffisance respiratoire chronique ?
Masque bucco-nasal
Sonde naso-pharyngée
Lunettes nasales
Cathéter transtrachéal
Autres réponses .
Quel débit de l’oxygénothérapie utilisez-vous dans l’insuffisance respiratoire chronique ?
0,5 à 1 litre/mn
1 à 2 litre/mn
2 à 4 litre/mn
4 à 8 litre/mn
8 à 12 litre/mn
Quel débit de l’oxygénothérapie utilisez-vous dans l’insuffisance respiratoire aiguë ?
0,5 à 1 litre/mn
1 à 2 litre/mn
2 à 4 litre/mn
4 à 6 litre/mn
6 à 12 litre/mn
Quel est le signe clinique caractéristique de l’asthme ?
La fièvre prolongée
La dyspnée respiratoire
Des sibilants à l’auscultation
Des crépitants à l’auscultation
Des hémoptysies répétées
Un seul signe physique caractéristique montre la gravité de l’asthme :
Des râles crépitants et sous crépitants
Des râles sibilants et ronflants
La silence à l’auscultation
La polypnée respiratoire
Des toux avec expectorations
Devant un asthme aigu grave , quel l’examen paraclinique demandez-vous en urgence ?
La radiographie pulmonaire
La mesure du débit de pointe
Les épreuves fonctionnelles respiratoires
La mesure des IgE totaux
La mesure de gaz du sang artériel .
La confirmation du diagnostic d’un asthme repose sur des critères suivants :
Fonctionnels
Cliniques
Radiologiques
Biologiques
Fonctionnels et radiologiques
En cas de crise d’asthme , quelle est la thérapeutique la plus rapide efficace ?
Injection IV d’hémisuccinate d’hydrocortisone
Injection IV de théophylline
Une bouffée de bêta 2-mimétique en spray
Une bouffée de chromoglycate de sodium
Quel est le médicament de base utilisé dans le traitement de fond de l’asthme ?
Oxitropium bromure
Bricanyl inhaler
Ventoline spray
Corticoïdes inhalées
Théophylline en comprimé
Quel est le médicament de base utilisé dans le traitement de la crise d’asthme ?
Antibiotiques
Antiallergiques
Corticoïdes
Bronchodilatateurs
Analgésiques .
La posologie moyenne utilisée chez l’adulte non tabagique pour obtenir une théophyllinémie dans la zône d’efficacité préventive est d’environ :
3 à 6 mg/kg/j.
6 à 10 mg/kg/j
10 à 15 mg/kg/j
15 à 25 mg/kg/j
25 à 30 mg/kg/j
Parmi les propositions suivantes , laquelle est une contre-indication à la théophylline ?
Enfant d’âge inférieur à 30 mois
Insuffisance cardiaque
Insuffisance rénale
Myasthénie
Antécédents comitiaux .
Le traitement d’une crise d’asthme simple fait habituellement appel aux :
Corticoïdes inhalées (Bécotide 250)
Corticoïdes retards par IM
Bêta2-mimétiques en spray
Antidégranulants (Lomudal)
Corticoïdes par voie parentérale
On définit une vascularite comme :
Une atteinte de la paroi artérielle avec inflammation périartérielle
Une inflammation des vaisseaux lymphatique
Une inflammation de la paroi des vaisseaux avec leur calibre dilaté
Une inflammation des vaisseaux sans altération de la paroi vasculaire
Une inflammation des parois du vaisseau sans dilatation de la paroi vasculaire
Parmi les maladies suivant laquelle est classifiée dans le groupe de vascularite des artères de petit calibre
Henoch-schönlein pupura
Polyarteritis nodosa
Cutaneous polyarteritis
Takayasu’s arteritis
Giant cell arteritis
Les propositions suivant sont concernant l’étiologie de vascularite, laquelle est correct ?
Infection gonococcique ne provoque pas une vascularite
Endocardite bactérienne ne provoque pas une vascularite
Infection à candida albicans ne provoque pas une vascularite
Cancer ne provoque pas une vascularite
Infection viral (hépatite B ou C) provoque une vascularite
La pathogénie des vascularites est complexe, quelle proposition est correcte ???
Déposition des complexes immuns
IgA ne joue aucun un rôle de la maladie
IgE joue un rôle important de la maladie
Médicament ne joue aucun rôle de la maladie
Infection ne joue aucun rôle de la maladie
Quelle proposition est correcte à propose de symptômes de vascularite :
Il n’existe pas de douleur abdominale
Il n’existe pas de fièvre
Il n’existe pas de problème visuel
Il n’existe pas de trouble neurologique
Il provoque une toux chronique
Quelle proposition est correcte à propose de manifestation cutanée de vascularite :
Des plaques erythemato-squameuses
Des macules hypopigmentées
Des vésicules en groupe
Des pustules sur les pommes des mains et les plante des pieds
Des purpuras palpables
Pour confirmer diagnostic une vascularite cutanée on a besoins quelque fois une biopsie, quelle proposition est correct :
Biopsie au niveau une lésion chronique
Biopsie au centre une lésion nécrotique
Biopsie en peau saine
Biopsie au niveau du bord une lésion fraiche
Biopsie au niveau de la muqueuse
Un garçon de 12 ans est consulté pour douleur abdominal, arthralgie et des taches purpuriques sur les deux jambes. Du fait une suspicion de Henoch-Schönlein purpura son médecin a demandé des examens complémentaires suivant, lequel est le plus correct :
IgE total
IgE spécifique
Prick test
Patch test
Test des fonctions rénales
Une dame de 70 ans est consultée pour céphalée depuis une semaine. Elle se plaint aussi de double vision et des périodes de claudication des membres inférieurs. Elle a perdu 15 kg de poids en 2 mois. Quelle est la meilleure prise en charge ?
Consultez avec ophtalmologue ou neurologue
Préparer une biopsie de l’artère temporale
Donnez antibiotique à forte dose
Faites échographie doppler, puis faire biopsie de l’artère temporale
Administration Prednisolone 1mg /kg poids, avant de biopsie de l’artère temporale
En cas de Henoch-Schönlein Purpura vous devriez donner corticostéroïde orale, mais pour quelle raison ?
Pour diminuer l’œdème rénal
Pour prévenir la récurrent de la maladie
Pour raccourcir la maladie
Pour aider des douleurs articulaire et douleurs abdominales
Pour traiter les lésions cutanées
Which organ that is not affected in polyarteritisnodos?
Lung
Bones
Brain
Kidneys
GIT
Which one of the following is typically elevated in the serum of Wegener’s granulomatosis patient?
C-ANCA
p-ANCA
ESR
Rheumatoid factor
ASLO serology
Which one of the following antibody is elevated in Henochschonleinpurpurapatient?
IgM
IgA
IgE
IgG
IgD
Which diseases can producegranulomatous inflammation in the blood vessel?
Cutaneous lukocytoclastic
Giant cell arteritis
polyarteritisnodosa
Wegener’s granulomatosis
Henoch-Schonlein Purpura
Les propositions suivant sont concernant lupus érythémateux, laquelle est correct ?
Est une maladie inflammatoire chronique auto-immune
Est une infestation parasitaire chronique
Est une infection bactérienne cutanée chronique
Est une infection virale chronique
Est une infection mycosique profonde
En cas de lupus érythémateux, le système immunitaire joue un rôle important, quelle proposition est correcte ?
Le système immunitaire est inactif dans le lupus érythémateux discoïde
Le système immunitaire est inactif dans toutes les formes
Le système immunitaire est sous actif dans toutes les formes
Le système immunitaire réagit au démarrage et d’arrêt
Le système immunitaire est hyperactif dans toutes les formes
Le lupus subaiguë se manifeste par :
Des plaques érythémateuses annulaires
Des plaques érythémato-squameuses
Des tâches hyperpigmentées
Des papules inflammatoires confluence en plaques prurigineuse
Des plaques annulaires, lichenifiées, excoriées
Quelle est le symptôme de lupus érythémateux, quelle proposition est correcte ?
Douleur articulaire surtout au niveau des premières phalanges
Plaques érythémato-squameuses qui sont disparues après expositions au soleil
Des pustules palmo-plantaire
Des plaques avec des bords nettes, élevés et peau saine au centre
Des plaques érythèmato-squameuses sur la région décolleté
Une forte concentration d'anticorps antinucléaires dans le sérum d’un patient:
Permet d'affirmer le diagnostic de certitude de lupus érythémateux disséminé
s'observe au cours de psoriasis rhumatoïde
S'observe au cours de la périartérite noueuse
Observer au cours de nombreuses connectivites
S'observe au cours de Henoch-Schönlein purpura
Quelle est anomalie hématologique dans les critères d’ACR du lupus érythémateux systémique :
Leucocytose
Positive de sérologie de l’hépatite
Elévation de taux d’IgE total
Fausse sérologie syphilitique
Lymphocytose
Quel examen complémentaire répétez-vous pour surveiller l'évolution d'une patiente avec lupus érythémateux disséminé ?
Hémogramme et VS
Transaminase et sérologie de l’hépatite
Taux d’acide urique
Taux lipidémie (Cholestérol et triglycéride)
Taux hormonaux (LH, FSH)
Un diagnostic de lupus est évoqué chez une malade. Elle est traitée dont par Hydroxychloroquine (Plaquenil©). Quelle recommandation proposez- vous dans 3 -6 mois pour suivre le traitement ?
Une consultation avec gynécologue
Une consultation avec pneumologue
Une consultation avec cardiologue
Une consultation avec urologue
Une consultation avec ophtalmologue
Le traitement de fond à tous les lupiques est :
Le méthotrexate
Hydroxychloroquine
Dapsone
Mycophénolate mofétil
Cyclophosphamide
Le traitement en première intention pour une patiente lupique avec des atteintes neurologiques repose essentiellement sur :
Antibiothérapies à forte dose
Des rétinoïdes systémiques
Dapsone à forte dose
Corticothérapies à forte dose
Mycophénolate mofétil à forte dose
Sclérodermie est caractérisé par
Dépôt excessif de l’adipocytes
Dépôt excessif de mélanocytes
Dépôt excessif de kértinocytes
Dépôt excessif de sébum
dépôt excessif de tissue collagèneuses
La sclérodermie est définit comme :
Une maladie contagieuse
Une maladie touchée surtout les femmes jeunes
Une maladie avec peau grasse
Une maladie avec peau élastique
La maladie provoque une transpiration forcément
Le syndrome CREST tire son acronyme des différents signes cliniques :
Calcification osseuse, phénomène de Raynaud, trouble de la motilité oesophagienne, Sueur profuse, et Tremblement
Calcification osseuse, phénomène de Raynaud, trouble de la motilité oesophagienne, Sclérodactylie, et Tremblement
Claudication, phénomène de Raynaud, trouble de la motilité oesophagienne, Sclérodactylie, et Tremblement
Calcinose, phénomène de Raynaud, trouble de la motilité oesophagienne, Sclérodactylie, et Télangiectasie
Claudication, phénomène de Raynaud, trouble de la motilité oesophagienne, Sclérodactylie, et Télangiectasie
une femme 30 ans est consultée pour dyspnée, cyanose des doigts avec sclérodactylie. La recherche des anticorps antinucléaires était positive. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Lupus érythémateuse disséminé
Malade mixte du tissu conjonctif
Psoriasis rhumatoïde
Dermatomyosite
Sclérodermie systémique
Une jeune fille de 18 ans s’est présentée pour pâleur des extrémités quand elle expose au froid avec douleur et cyanose. La jeune fille peut atteint par une maladie dans son avenir, laquelle?
Polyarthrite rhumatoïde
Lupus érythémateux discoïde
Sclérodermie systémique
Vascularite
Dermatomyosite
Maladie de Raynaud est caractérisé par propositions suivant. Laquelle est correcte ?
La plupart des patients sont les hommes
Le pronostic est sombre
Les symptômes régressent à l’exposition des extrémités au froid
Le test d’anticorps antinucleaires positif dans la maladie
C’est une cause commune de phénomène de Raynaud
Quel examen paraclinique vous devrez faire en première ligne devant une patiente avec sclérodermie systémique ?
Hémogramme, VS et Culot urinaire
Sérologie de l’hépatite, Transaminase, ECG
Sérodiagnostic de Widal, ECG et CT-Scan
Ionogramme, ECG et Radio du thorax
Cholestérole total, Triglycéride et Sérodiagnostic de Widal
Le CREST Syndrome est une forme particulière de sclérodermie. La présence des anticorps suivant peut compléter le tableau. Quelle proposition est correcte ?
Anticorps anti-phospholipase A2
Anticorps de l’hépatite B
Anticorps de l’hépatite C
Anticorps anti-thyroperoxydase
Anticorps anti-centromères
La sclérodermie peut se développer au long cours des complications suivant, laquelle est correcte ?
Varice œsophagienne
Polype intestinal
Hernie hiatal
Colite ulcéreuse
Sténose de l’œsophage
Dans le traitement de sclérodermie systémique on peut donner des médicaments suivant, le quel peut déclencher le phénomène de Raynaud ?
Ibuprofène
Méthotrexate
Cyclosporine
Propranolole
Nifédipine
Quelle préparation parmi les suivantes est une forme peu grasse (huile dans l’eau ?
Les Poudres
Les Pommades
Les Gels
Les Solutions
Les Laits
Parmi les produits suivant lequel est un agent kératolytique ?
Crème de métronidazole
Crème d’érythromycine
Pommade de clobéthasole
Crème de l’urée
Pommade de vaseline
Une fille de 18 ans se présent des plaques erythèmato-squameuses sur le corps, les plie du coudre et sur les genoux. Vous faites diagnostic de psoriasis vulgaris. Quelle préparation magistrale vous donnerez à la patiente ?
Les Poudres
Les Pommades
Les Gels
Les Solutions
Les Pâtes
Un garçon de 8 ans se présent des plaques multiple, excoriées et suintant sur les deux pieds. A l’examen vous trouvez adénopathie dans les deux creux inguinaux. Vous avez diagnostiquez un eczéma infecté. Quelle préparation magistrale vous donnerez au patient ?
Les Poudres
Les Pommades
Les Gels
Les laits
Les Pâtes
Les produits suivants sont dermocorticoïdes. Lequel est classé comme dermocorticoïde classe 3 (classification international)?
Clobetasol
Betamethasone
Hydrocortisone
Triamcinolone
Désonid
Les crèmes suivantes sont utilisées pour le traitement de l’acné. Laquelle est la crème rétinoïde ?
Brévoxyl©
Skinoren©
Rozex ©
Eryderm©
Retin-A©
Parmi les conditions suivantes, laquelle nous pourrons prescrire un traitement topique seule ?
Urticaire
Pemphigus vulgaire
Erytheme polymorphe fixe
Psoriasis rheumatoides
Lupus érythèmateuse disséminée
The following factors are affecting the absorption of topical medicine, tick wrong answer:
Time of application
Age of patient
Site of application
Concentration of drug
Type of Vehicle
Which of the following procedures is considered to be topical treatment?
Chemical cautery
Chemical Peeling
Cryosurgery
Curettage
Local injection of triamcinolone
Toxicity of topical drug are following, tick the wrong answer:
Stinging
Irritation
Allergic contact dermatitis
Systemic absorption
Liver toxic
The following topical medicines are anti-inflammatory, tick the wrong answer
Dithranol
Corticosteroid
Vitamin D-derivative
Tacrolimus
Urea
Topical steroid has the following mechanism of actions, tick the wrong answer
Anti-inflammatory
Anti-proliferative
Anti-bacterial
Immunosuppressive
Vasoconstriction
12- A young man work at the construction comes to you for sever pruritus. Up on examination you found erythematous, excoriated papules and vesicle confluence to plaques on the back, chest, both arms and also on the feet. You made a diagnosis of allergic contact dermatitis, probably contacted to cement. What will be you appropriate treatment?
Hydrocortisone cream twice daily
Antibiotic cream twice daily
Urea cream twice daily
Oral Prednisolone, 1mg/Kg BW
Oral acyclovir 400mg, 5 times daily
The following medicine are immunosuppressive agents. Which one is not belong to the group?
Methotrexate
Micophenolate mofetil
Cyclosporine
Cephalosporine
Cyclophosphamide
14- A prolong use of topical potency steroid could cause the following side effects. Which one is one you never have seen?
Skin bleaching
Skin atrophy
Telangiectasia
Keloid
Striae distansae cutis
15- The following topical medications are antibacterial. Please tick the wrong one,
Cyclosporine lotion
Erythromycine gel
Clindamycine gel
Tetracycline gel
Fusidic acide cream
The following topical medications are antifungal agents. Please tick the wrong one,
Ketoconazole cream
Terbinafine cream
Metronidazole gel
Miconazole gel
Fluconazole gel
M. S DR âgé de 75 ans, vient vous voir en consultation pour la douleur lombaire très intense avec un déficit sensitive et motrice des 2 membres inférieurs, une constipation depuis 7 jours. Il est en cours d’un traitement hormonal pour son cancer de la prostate découverte depuis 7 mois. Quel est votre diagnostic ?
Syndrome de compression médullaire
Calcul rénal.
Effets indésirables de traitement hormonal.
Ostéophyte.
Pyélonéphrite Aiguë.
En cas d’un syndrome de compression médullaire par une métastase osseuse suit à un IRM rachidienne, En cas de la présence d’un signe de l’épidurite, voulez-vous ajouter quel médicament de plus ?
Paracétamol.
Aspirine.
Corticoïdes.
Ibuprofène.
Diazépam.
Dans quel cas la radiothérapie de la colonne rachidienne est indiquée dans le syndrome de compression médullaire compliqué par un cancer de la prostate ?
Le traitement chirurgical est possible.
Après l’intervention chirurgicale.
L’apparition du déficit neurologique dans les 48 premières heures.
L’apparition du déficit neurologique dans les 24 premières heures.
L’apparition du déficit neurologique dans les 72 premières heures.
Dans certain cancer, un syndrome de lyse tumorale apparait
2 semaines après le traitement par la chimiothérapie.
Quelque mois plus tard après avoir finis le traitement.
Le plus souvent pendant la chimiothérapie ou dans les jours qui suivent (entre 1 et 5 jours).
Lorsqu’il y a des sites métastatiques multiples.
3 semaines après le traitement par la chimiothérapie.
Qu’est-ce qu’on voit à la radiographie thoracique dans un syndrome cave supérieur compliqué par une tumeur?
Opacité micronodulaire.
Encombrement des sinus costo diaphragmatique.
Elargissement du médiastin.
Epaississement bronchique.
Opacité retrouvé surtout dans l’apex du poumon droite.
Comment traiter une thrombose diagnostiquée chez un patient cancéreux ?
Commencer tout d’abord pas Aspirine.
Héparine Bas Poids Moléculaire 200 UI/kg/j (en 1 ou 2 injections SC).Puis Anticoagulant orale SINTROM avec INR > 2,0 et < 3,0.
Anticoagulant orale SINTROM avec INR > 2,0 et < 3,0 puis Héparine Bas Poids Moléculaire 200 UI/kg/j (en 1 ou 2 injections SC).
Héparine Bas Poids Moléculaire 200 UI/kg/j jusqu’à une amélioration.
Héparine Bas Poids Moléculaire 400 UI/kg/j jusqu’à une amélioration.
Concernant le critère de la gravité de la neutropénie fébrile, le taux des Polynucléaires neutrophiles (≤ 500 - < 1000/mm3) est classé dans quel grade de l’OMS ?
Normal
Grade 1
Grade 2
Grade 3
Grade 4
Quel est la première question urgente pourra être posé au patient dans le cas d’une suspicion de la neutropénie fébrile suite à une chimiothérapie d’un cancer?
En cas de neutropénie grade 3 ou 4 : Le malade est-il fébrile ?
En cas de fièvre : Le malade est-il neutropénique ?
Vous avez quoi comme le type de cancer ?
Quelle est le protocole de la chimiothérapie que vous avez reçu ?
Quand est-ce que vous avez reçu le traitement ?
Est-ce que c’est la première cure de traitement ?
Quel est le risque principal causer le décès dans la neutropénie fébrile suite à une chimiothérapie d’un cancer?
La déshydratation causée par la fièvre.
Choc cardiogénique.
Choc septique.
Choc hypovolémique.
Choc anaphylactique.
Le recours au Facteurs de croissance hématopoïétiques de manière préventive, prophylaxie secondaire, est indiqué dans quel cas ?
Dès la première cure da la chimiothérapie.
Suite à un épisode de neutropénie fébrile post chimiothérapie.
Avant commencer la chimiothérapie.
S’il y a une demande d’un patient.
Patient à haut risque d’une infection grave.
Quelle est la proposition exacte concernant l’épidémiologie de cancer chez l’enfant ?
L’enfant n’est jamais atteint de cancer
Il n’existe pas de cancer chez l’enfant au Cambodge
Il ne faut jamais penser au cancer devant une masse abdominale de nouveau-née
L’incidence de cancer de l’enfant < 15ans est environ 130 nouveaux cas par million par an
La leucémie aigue est une maladie de l’adolescence
Lequel entre les cancers si dessous est un cancer chez l’enfant ?
Le carcinome hépatocellulaire
Le cholangiocarcinome
Le carcinome à petite cellule du poumon
Le carcinome épidermoide de l’œsophage
Le néphroblastome
Quelle est la localisation tumorale de neuroblastome ?
Le rein
La glande surrénale et le system nerveux sympatique
Le ganglion lymphatique
La moelle osseuse
La rétine
La différence entre le cancer chez l’enfant et chez l’adulte :
Pas de différence
Le développement de cancer chez l’adulte est plus vite
Les enfants répondent mieux au traitement
Les cellules cancéreuses chez l’adulte sont plus tôt immatures
Les localisations et les types histologiques sont très semblables
La conduit à tenir de cancer chez l’enfant:
Evoquer le diagnostique, préserver la fonction vitale, traitement de la douleur, organiser la prise en charge par un équipe spécialisé
Le traitement est dans le bute palliatif
La chimiothérapie doit être commencée immédiatement
La radiothérapie ne doit pas pratiquer chez l’enfant
La chirurgie doit être faite avant la chimiothérapie
Évaluation pré-thérapeutique essentielle ( Pre-therapeutic assessment )concernant l’infection à virus C traitée par DAA ( Direct Acting Antiviral) + Ribavirin quelle est la proposition qui n’est pas importante ?
Génotypage du virus
Evaluation du stade de la fibrose
Dosage de la charge virale ARN VHC ( RNA HCV )
Dosage IL 28 B Génotype
L’utilisation du contraceptif efficace
 Parmi les propositions suivantes concernant la surveillance du malade de l’hépatite C après l’arrêt du traitement , laquelle est exacte pour confirmer la guérison ?
Dosage de la charge virale PCR au 2ème mois après l’arrêt du traitement
Dosage de la charge virale PCR au 3ème mois après l’arrêt du traitement
Dosage de la charge virale PCR au 6 ème et 12ème mois après l’arrêt du traitement
Dosage de la charge virale PCR au 7ème mois après l’arrêt du traitement
Dosage de la charge virale PCR au 16 ème mois après l’arrêt du traitement
Donner la réponse exacte concernant l’utilisation de SOFOSBUVIR + LEDIPASVIR. Parmi Les effets secondaires souvent rencontrés :
Anurie
Anémie
Amaigrissement
Impuissance sexuelle
Céphalée et Fatigue
Donner la réponse exacte concernant l’utilisation de SOFOSBUVIR + LEDIPASVIR. Ces médicaments sont efficaces :
Pour tout les genotypes 1 2 3 4 5 6
Pour le genotype 2- 3 seulement
Pour le genotype 1-2- 3 seulement
Pour le genotype 1 – 4- 5- 6 seulement
Pour le genotype 3- 4 seulement
Parmi les propositions suivantes concernant le traitement du malade de l’hépatite C , laquelle est fausse ? Eradication du virus peut :
Réduire voire regresser le stade de fibrose,
Réduire le risque vers le Cancer
Eviter l’évolution vers le cancer
Réduire les besoins de transplantation hépatique
Reduire le risque de décompensation
Parmi les propositions suivantes concernant la surveillance et le résultat à la fin de traitement du malade de l’hépatite C , laquelle est fausse ?
Le Dosage de la charge virale s’effectue au 3ème - 6ème et 12 ème mois après l’arrêt du traitement
Le contrôle de la charge virale est nécessaire à chaque année
Si la charge virale s’avère négative au 12 ème mois on peut considerer comme guérit
Le contrôle de la charge virale n’est pas nécessaire si elle est negative au 12 ème mois après l’arrêt du traitement
L’eradication du virus peut réduire voire regresser le stade de fibrose,
Quel est le médicament en Cardiologie qu’il faut éviter d’utiliser en association avec SOFOSBUVIR + LEDIPASVIR :
Propranolol
Atenolol
Amiodarone
Nifédipine
Enalapril
Parmi les medicaments hypolipidémiants cités ci dessous, Quel est le médicament qui est sans interaction avec SOFOSBUVIR + LEDIPASVIR :
Atorvastatin
Lovastatin
Gemfibrozil
Fenofibrate
Simvastatin
Traitement de l’hépatite virale B : parmis les médicaments cités en bas lequel est préférable et nouveau dans l’année 2017 ?
Lamivudine
Adéfovir
Telbivudine
Ténofovir disoproxyl fumarate
Ténofovir Alafénamide
Traitement de l’hépatite virale B par Ténofovir disoproxyl fumarate doit être en precaution chez les malades avec :
Insuffisance rénale
Insuffisance hépatique
Diabète
HTA
Anémie Hb <7g
Traitement de l’hépatite virale B : En cas de résistance avec Tenofovir disoproxyl fumarate faut il choisir quel medicament :
Lamivudine
Adéfovir
Telbivudine
Entécavir
Ténofovir Alafénamide
Traitement de l’hépatite virale B : En cas de résistance avec l’Entécavir faut il choisir quel médicament:
Lamivudine
Adéfovir
Telbivudine
Ténofovir disoproxyl fumarate
Ténofovir Alafénamide
La prevention de la contamination périnatale de la mère porteuse de l’Ag HBs se fait par :
Vaccination
Vaccination et serum HBIG dans 24 h après accouchement
Vaccination et serum HBIG dans 12 h après accouchement
serum HBIG dans 24 h après accouchement
serum HBIG dans 12 h après accouchement
Une femme enceinte de 5 mois avec Ag HBs + et ADN HBV 150.000.000 copies/ml
Prescrire Telbivudine
Prescrire Ténofovir au 6 ou 7 ème mois de gestation et arrêter au semaine 24 après l’accouchement
Prescrire Ténofovir au 6 ou 7 ème mois de gestation et arrêter au semaine 12 après l’accouchement
Vaccination et serum HBIG de la mère au 6 ème mois
Prescrire Ténofovir au 6 ou 7 ème mois de gestation et arrêter au semaine 12 après l’accouchement + Vaccination et serum HBIG dans 12 h après l’accouchement
Une femme HBV enceinte de 4 mois sous traitement avec Lamivudine :
Continuer le traitement
Arrêter le traitement
Changer à l’entécavir
Associer avec Ténofovir
Changer au Ténofovir
Une femme porteuse de l’Ag HBs en accouchement :
Vaccination et serum HBIG pour la mère
Vaccination et serum HBIG pour le nouveau né dans 24 h après l’accouchement
Prescrire Ténofovir pour la mère
Vaccination et serum HBIG pour le nouveau né dans 12 h après l’accouchement
Vaccination et serum HBIG pour le nouveau né dans 12 h après l’accouchement et Prescrire Ténofovir pour la mère
La calcitonine chez l’homme:
Provoque une hypercalcémie
Provoque une hyperphosphorémie
Agit essentiellement la formation de la vitamine D
Bloque la résorption osseuse ostéoclastique
Constitue un traitement efficace des hypocalcémies
Un syndrome d'hypercalcémie peut s'accompagner d'un des plusieurs signes suivants:
Polydypsie
Prurit
Diarrhée
Polyphagie
Trouble mentruel
Laquelle est la cause d’une hypercalcémie à PTH augmenté:
Intoxication par la vitamine D
Une hyperthyroïdie
Hémopathies malignes
Un adénome parathyroïdien
Syndrome des buveurs de lait
Parmi les causes d'hypercalcémie suivantes, quelle est celle comportant une hyperabsorption digestive du calcium?
Maladies inflammatoires
Cancer osseux métastatique
Hypervitaminose D
Immobilisation prolongée
Maladie de Basedow
Parmi les propositions suivantes, lequel est trouvé dans l’hypercalcémie?
Signe de Trousseau
Allongement de l’espace QT
Hyperreflexie
Constipation
Insomnie
La calciurie est abaissée par:
L'hypercalcémie
L'acidose métabolique
Le traitement par le furosémide
L’hyperhydratation salée
Les diurétiques thiazidiques
Parmi les circonstances suivantes, laquelle peut révéler une hyper-parathyroidie primitive ?
Insuffisance rénale chronique
Hypercalcémie de découverte fortuite
Fracture osseuse
Hypertension artérielle
Polyarthrite rhumatoïde
Au cours d'une hypercalcémie maligne sans insuffisance rénale, laquelle est la premiàre mesure thérapeutique à mettre en place en urgence?
Diurétiques de l'anse (furosémide)
Réhydratation salée isotonique IV
Prednisone
Digitaline
Diphosphonates
Pour traiter une hypercalcémie, vous pouvez prescrire un des médicaments suivants:
Diurétique du groupe thiazide
Diurétique de l'anse (furosémide)
Anti-inflammatoires non stéroïde
Anti-thyroïdiens de synthèse
Les vitamines D3 actives
Au cours d'une hypercalcémie, les traitements suivants peuvent être employés sauf un, lequel?
Diurétiques de l'anse (furosémide)
Réhydratation
Prednisone
Biphosphonate
Indométhacine
Vous préconisez à traiter de l’hypercalcémie par la glucocorticoïde car:
Elle inhibe l’action de l’enzyme au niveau hépatique
Elle inhibe l’action de l’enzyme au niveau rénale
Elle entraine une hypersécrétion de PTH 1,84
Elle provoque une diurèse rénale abondante
Elle inhibe l’absorption intestinale du calcium
Parmi les proposition suivantes, lequel est trouvé dans l’hypercalcémie aiguë majeure?
Une fièvre élevée
Un calcule renal
Un signe de trousseau
Une hyperphosphatémie
Une diarrhée profuse
Les signes biologiques de l’hypercalcémie sont les suivants, sauf:
Hypercalcémie
Hypercalciurie
Hypocalciurie
PTH 1,84 élevée
Hypophosphatémie
Laquelle est la cause d’une hypercalcémie à PTH diminuée:
Intoxication par la vitamine D
Une hyperparathyroïdie primaire
Une hyperparathyroïdie secondaire
Une hyperparathyroïdie tertiaire
Une hyperplasie parathyroïdienne
Hyperparathyroïdie secondaire peut être causée par une des propositions suivantes, sauf:
Insuffisance rénale chronique
Insuffisance en vitamine D
Dialyse péritonéale répétée
Transfusion sanguine répétée
Insuffisance hépatocellulaire
Hypercalcémie par excès un vitamine D est traitée par les moyens suivants, sauf:
Arrêt le supplement en vitamin D
Réduction de l’apport de calcium
Arrêt la prise des thiazidiques
Réhydratation suffisante
Prescrire les glucocorticoïdes
Parmi les doses toxicologiques suivantes d’une intoxication aux benzodiazépines en moyenne chez l’adulte, laquelle est exacte ?
50mg à 70mg
100mg à 500mg
70mg à 90mg
1mg à 5mg
5mg à 10mg
Parmi les signes cliniques suivants d’une intoxication aux benzodiazépines, laquelle est exacte ?
Une hypertension artérielle
Un trouble visuel
Une mydriase unilatérale aréflexique
Un insomnie
Une hypotension artérielle
Concernant l’intoxication par benzodiazépine, quelle est la réponse exacte ?
Une tachycardie ventriculaire est une complication fréquente
Une arythmie complète par fibrillation auriculaire est une complication fréquente
Un bloc sino-auriculaire de haut degré est une complication fréquente
Une Bradycardie sinusale(Rohypnol®)
Un bloc auriculoventriculaire de haut degré est une complication fréquente
Parmi les signes cliniques suivants d’une intoxication aux benzodiazépines, laquelle est exacte ?
Une dépression respiratoire
Une mydriase unilatérale aréflexique
Un trouble visuel
Un insomnie
Une hypertension artérielle
Parmi les signes suivants, laquelle peut typiquement appartenir au tableau d’intoxication aux benzodiazépines ?
Une somnolence
Une mydriase unilatérale aréflexique
Une respiration de Cheyne-Stokes
Une asymétrie de tonus
Un allongement du QT sur l’ECG
En cas d’intoxication médicamenteuse volontaire aux benzodiazépines, le traitement évacuateur, lequel est vrai ?
Une installation en position demi assise
Une pose d’une voie veineuse avec perfusion d’un soluté glucosé
Un lavage gastrique charbon active
Un antidote
Une pose d’une sonde urinaire
En cas d’intoxication médicamenteuse volontaire aux benzodiazépines, le traitement pré hospitalisé, laquelle est vraie ?
Une installation en position demi assise
Une pose d’une sonde urinaire
Une oxygénothérapie : au masque 8l/mn
Un antidote
Une antibiothérapie
En cas d’intoxication médicamenteuse volontaire aux benzodiazépines, le traitement pré hospitalisé, laquelle est vraie ?
Une installation en position latérale de sécurité (PLS)
Une pose d’une sonde urinaire
Une antitoxine
Un antidote
Une antibiothérapie
Quel est l’antidote d’une intoxication exclusive par benzodiazépines ?
Un flumazénil (Anexate)
Une naloxone
Un N-acétylcystéine
Une vitamine K
Une vitamine C
Parmi les doses toxicologiques suivantes d’une intoxication aux benzodiazépines en moyenne chez l’enfant, laquelle est exacte ?
50mg à 70mg
100mg à 200mg
70mg à 90mg
1mg à 5mg
5mg à 10mg
Parmi les signes cliniques suivants d’une intoxication aux antidépresseurs tricycliques, laquelle est exacte ?
Une bradycardie fréquente
Une mydriase unilatérale aréflexique
Une mydriase unilatérale réflexique
Une rétention d’urine
Une pollakiurie
Concernant l’intoxication par les antidépresseurs tricycliques, quelle est la réponse inexacte
Une hypertension artérielle
Une tachycardie
Une constipation
Un état de mal convulsive
Une hypotension artérielle
Parmi les signes cliniques suivants d’une intoxication aux antidépresseurs tricycliques, lequel est exact ?
Un syndrome anticholinergique
Une mydriase unilatérale aréflexique
Une mydriase unilatérale réflexique
Une bradycardie fréquente
Une pollakiurie
Concernant l’intoxication par les antidépresseurs tricycliques, quelle est la réponse exacte ?
Une manifestation allergique cutanéo-muqueuse
Une tachycardie sinusale
Un trouble urinaire
Un trouble génital
Une diarrhée
Concernant l’intoxication par les antidépresseurs tricycliques, quelle est la réponse inexacte ?
Un état de mal convulsive
Une tachycardie
Une constipation
Une mydriase unilatérale
Une hypotension artérielle
En cas d’une intoxication par les antidépresseurs tricycliques, le traitement des torsades de pointe, laquelle est vraie ?
Une perfusion de soluté glucosé à 10%
Un antidote
Un antalgique
Une pose d’une sonde urinaire
Une utilisation d’isoprotérénol-Isuprel®.
Parmi les traitements suivants d’une intoxication par les antidépresseurs tricycliques, laquelle est inexacte ?
Une lavage gastrique
Une pose d’une sonde vésicale
Une oxygenothérapie
Une ventilation mécanique
Une utilisation du charbon activé
En cas d’une intoxication par les antidépresseurs tricycliques, le traitement pré hospitalisé, laquelle est vraie ?
Une pose d’une voie veineuse
Une pose d’une sonde urinaire
Un antalgique
Une antibiothérapie
Un antidote
Parmi les traitements suivants d’une intoxication par les antidépresseurs tricycliques, laquelle est inexacte ?
Une perfusion de lactate de sodium molaire
Une ventilation mécanique
Une oxygenothérapie
Une hémodialyse
Une utilisation du charbon activé
Concernant l’intoxication par les antidépresseurs tricycliques, quelle est la réponse inexacte ?
Une tachycardie
Une hypersécrétion bronchique
Une hypotension artérielle
Un état de mal convulsive
Une constipation
Chez un adulte suspect de pneumonie aiguë communautaire (PAC). Parmi les propositions suivantes concernant les arguments cliniques de diagnostic de PAC, indiquez celle qui est vraie ?
Une température à 38,5° C (hyperthermie) permet d’affirmer le diagnostic
Une température à 37° C(apyrexie) permet d’éliminer le diagnostic
La présence de râles crépitants apparus récemment a une bonne valeur prédictive positive
L’absence de signe de gravités apparus récemment a une bonne valeur prédictive positive
Un taux normal de procalcitonine au 3ème jour a une bonne valeur prédictive positive
Parmi les circonstances suivantes, quelle est celle qui peut rendre le diagnostic de pneumonie aiguë communautaire le plus difficile ?
Cancer prostatique
Grossesse à terme
Fibrose hépatique
Insuffisance rénale
Patient âgé
Un malade chez lequel une pneumonie aiguë communautaire est diagnostiquée aux urgences doit être proposé au réanimateur pour transfert si le critère est suivant est présent :
PAs < 170 mmHg
PaO2/FiO2 <250
pH artériel < 7,42
Hb 10 g/dl
Epanchement minime
Vous voyez en consultation à l’hôpital un homme de 52 ans, chauffeur de Tuk Tuk vivant seul dans la banlieue de Phnom Penh. Il présente depuis 2 jours une toux et une sensation fébrile, non améliorés par l’achat d’un sachet de médicaments à la pharmacie du quartier. Il va de plus en plus mal, et n’a plus la force de travailler.
A l’examen, vous notez : fréquence respiratoire à 31/min; fréquence cardiaque à 128/mn, pression artérielle à 110/80 mm Hg. Température 37,7°C (sous sachets). Trouble de conscience; foyer de râles crépitants des lobes inférieurs droit et gauche.
Quel critère clinique de gravité vous manque-t’il pour calculer le score CURB-65 ?
L’âge du patient
L’existence d’un coma
La socio-économie
La baisse de TA
Le taux d’urée plasmatique
Un sujet âgé de 36 ans consulte aux urgences pour une toux fébrile suspecte de pneumonie aiguë communautaire (PAC). Parmi les propositions suivantes concernant les examens paracliniques d’imagerie pour la stratégie diagnostique de PAC, indiquez celle qui est exacte ?
Une radiographie thoracique de face réalisée en 1ère
Une radiographie thoracique de face et de profil réalisée en 1ère intention
Une échographie pleuro-pulmonaire réalisée en 1ère
Une TDM thoracique avec IV de produits de contraste réalisée en 1ère
Une TDM thoracique sans IV de produit de contraste réalisée en 1ère
Vous voyez en consultation une patiente de 43 ans, obèse, institutrice en école primaire à Takéo. Depuis 4 jours, elle présente une rhinite, pharyngite, et une toux avec expectoration blanchâtre et mousseuse, associée à une douleur rétro-sternale à l’inspiration. Elle a présenté une température pendant 2 jours, au maximum à 38,2<sup>°<sup>C, puis est devenue apyrétique sans traitement. Mais elle consulte car la toux s’est majorée. A l’examen, T 37,2<sup>°<sup>C ; PA 120/70 mmHg ; FC 80/min ; FR 16/min ; SpO<sub>2<sub> 99% en air ambiant. L’auscultation pulmonaire retrouve quelques râles bronchiques, pas de crépitants. Vous évoquez une bronchite aigue en 1<sup>ère<sup>hypothèse diagnostique, en pensant à une pneumopathie débutante comme hypothèse de diagnostic différentiel. <br>Parmi les options de bilans paracliniques suivantes, laquelle choisissez-vous ? 
Pas de prescription d’examens paracliniques
Prescription d’une radiographie thoracique de face
Prescription d’un bilan biologique : CRP et NFP
Prescription d’un bilan microbiologique : hémocultures et ECBC
Prescription d’un bilan virologique : écouvillon naso-pharyngé H<sub>5<sub>N<sub>1<sub>
<CAS CLINIQE XX : > vous recevez une femme XX âgée de 57 ans, pour une dyspnée fébrile. Elle est célibataire sans enfants et vit seule à Phnom Penh. Elle est dyspnéique, se plaint d’une toux non productive et de douleurs thoraciques bi basales apparues en même temps que la fièvre qui était d’emblée à 39,9<sup>°<sup>C depuis 24 heures. Elle n’a pas de maladies connues Les prélèvements du sang et le cliché du thorax fait. Son élève qui l’emmène à l’hôpital dit qu’elle a une diarrhée sanguinolente et un fébrile. Elle a prise le médicament anti diarrhéique, et il vous montre un sachet d’imodium. A l’examen : fréquence respiratoire à 32/min, TA à 90/50 mmHg, FC à 137 bpm, T à 39<sup>°<sup>C, SpO<sub>2<sub>à 87% en air ambiant. Le score de Glasgow est à 13, perte de conscience pendant le transport, râles crépitants bi basales. Dentition en mauvais état. Le reste de l’examen est sans particularité. ECG : rythme régulier et sinusal, tachycardie à 128.Biologie : créatininémie 80 μmol/L; Na 138 mEq/L; Cl 100 mEq/L; K 3.1 mEq/L; glucose 0,8g/L; CRP 125 mg/L; GB 12 800 10<sup>3<sup>/ml; PNN : 9500 10<sup>3<sup>/ml; D-Dimères 500 ng/ml.<br> Donnez la bonne réponse concernant les principaux critères pour proposer une hospitalisation à cette patiente selon le score Pneumonia Severity Index.<br>

Son âge
Le score de Glasgow à 13
L’isolement social
Le risque d’inobservance
Le sexe féminin
<CAS CLINIQE XX : > vous recevez une femme XX âgée de 57 ans, pour une dyspnée fébrile. Elle est célibataire sans enfants et vit seule à Phnom Penh. Elle est dyspnéique, se plaint d’une toux non productive et de douleurs thoraciques bi basales apparues en même temps que la fièvre qui était d’emblée à 39,9<sup>°<sup>C depuis 24 heures. Elle n’a pas de maladies connues Les prélèvements du sang et le cliché du thorax fait. Son élève qui l’emmène à l’hôpital dit qu’elle a une diarrhée sanguinolente et un fébrile. Elle a prise le médicament anti diarrhéique, et il vous montre un sachet d’imodium. A l’examen : fréquence respiratoire à 32/min, TA à 90/50 mmHg, FC à 137 bpm, T à 39<sup>°<sup>C, SpO<sub>2<sub>à 87% en air ambiant. Le score de Glasgow est à 13, perte de conscience pendant le transport, râles crépitants bi basales. Dentition en mauvais état. Le reste de l’examen est sans particularité. ECG : rythme régulier et sinusal, tachycardie à 128.Biologie : créatininémie 80 μmol/L; Na 138 mEq/L; Cl 100 mEq/L; K 3.1 mEq/L; glucose 0,8g/L; CRP 125 mg/L; GB 12 800 10<sup>3<sup>/ml; PNN : 9500 10<sup>3<sup>/ml; D-Dimères 500 ng/ml.<br> Donnez la bonne réponse concernant les principaux critères pour proposer une hospitalisation à cette patiente selon le score Pneumonia Severity Index.<br>
 Une gazométrie artérielle est effectuée en air ambiant et retrouve : pH 7,47 ; Pa O<sub>2<sub> 60 mmHg ; PaCO<sub>2<sub> 32 mmHg ; HCO<sub>3<sub>23 mmHg. Sur la base de ces gaz du sang vous concluez que la patiente est en :
Acidose respiratoire
Alcalose respiratoire
Acidose métabolique
Alcalose métabolique
Hypercapnique
 <CAS CLINIQE XX : > vous recevez une femme XX âgée de 57 ans, pour une dyspnée fébrile. Elle est célibataire sans enfants et vit seule à Phnom Penh. Elle est dyspnéique, se plaint d’une toux non productive et de douleurs thoraciques bi basales apparues en même temps que la fièvre qui était d’emblée à 39,9<sup>°<sup>C depuis 24 heures. Elle n’a pas de maladies connues Les prélèvements du sang et le cliché du thorax fait. Son élève qui l’emmène à l’hôpital dit qu’elle a une diarrhée sanguinolente et un fébrile. Elle a prise le médicament anti diarrhéique, et il vous montre un sachet d’imodium. A l’examen : fréquence respiratoire à 32/min, TA à 90/50 mmHg, FC à 137 bpm, T à 39<sup>°<sup>C, SpO<sub>2<sub>à 87% en air ambiant. Le score de Glasgow est à 13, perte de conscience pendant le transport, râles crépitants bi basales. Dentition en mauvais état. Le reste de l’examen est sans particularité. ECG : rythme régulier et sinusal, tachycardie à 128.Biologie : créatininémie 80 μmol/L; Na 138 mEq/L; Cl 100 mEq/L; K 3.1 mEq/L; glucose 0,8g/L; CRP 125 mg/L; GB 12 800 10<sup>3<sup>/ml; PNN : 9500 10<sup>3<sup>/ml; D-Dimères 500 ng/ml.<br> Donnez la bonne réponse concernant les principaux critères pour proposer une hospitalisation à cette patiente selon le score Pneumonia Severity Index.<br>Dans le contexte, devant ces gaz du sang, on peut penser que
l’hypoxémie lié à une hypoventilation
l’hypercapnie liée à une hyperventilation
le shunt lié à une embolie pulmonaire
le shunt lié à une pneumopathie
le gaz du sang est de l’état de base
 <CAS CLINIQE XX : > vous recevez une femme XX âgée de 57 ans, pour une dyspnée fébrile. Elle est célibataire sans enfants et vit seule à Phnom Penh. Elle est dyspnéique, se plaint d’une toux non productive et de douleurs thoraciques bi basales apparues en même temps que la fièvre qui était d’emblée à 39,9<sup>°<sup>C depuis 24 heures. Elle n’a pas de maladies connues Les prélèvements du sang et le cliché du thorax fait. Son élève qui l’emmène à l’hôpital dit qu’elle a une diarrhée sanguinolente et un fébrile. Elle a prise le médicament anti diarrhéique, et il vous montre un sachet d’imodium. A l’examen : fréquence respiratoire à 32/min, TA à 90/50 mmHg, FC à 137 bpm, T à 39<sup>°<sup>C, SpO<sub>2<sub>à 87% en air ambiant. Le score de Glasgow est à 13, perte de conscience pendant le transport, râles crépitants bi basales. Dentition en mauvais état. Le reste de l’examen est sans particularité. ECG : rythme régulier et sinusal, tachycardie à 128.Biologie : créatininémie 80 μmol/L; Na 138 mEq/L; Cl 100 mEq/L; K 3.1 mEq/L; glucose 0,8g/L; CRP 125 mg/L; GB 12 800 10<sup>3<sup>/ml; PNN : 9500 10<sup>3<sup>/ml; D-Dimères 500 ng/ml.<br> Donnez la bonne réponse concernant les principaux critères pour proposer une hospitalisation à cette patiente selon le score Pneumonia Severity Index.Vous demandez certains examens à visée bactériologique dans ce contexte. Indiquez la proposition exacte :
Ces examens ne doivent pas retarder l’antibiothérapie
L’antibiothérapie est débutée avant tout examen
Il faut attendre les résultats des examens pour débuter une antibiothérapie
Aucun examen bactériologique n’est réalisable car la toux de la patiente n’est pas productive
<CAS CLINIQE XX : > vous recevez une femme XX âgée de 57 ans, pour une dyspnée fébrile. Elle est célibataire sans enfants et vit seule à Phnom Penh. Elle est dyspnéique, se plaint d’une toux non productive et de douleurs thoraciques bi basales apparues en même temps que la fièvre qui était d’emblée à 39,9<sup>°<sup>C depuis 24 heures. Elle n’a pas de maladies connues Les prélèvements du sang et le cliché du thorax fait. Son élève qui l’emmène à l’hôpital dit qu’elle a une diarrhée sanguinolente et un fébrile. Elle a prise le médicament anti diarrhéique, et il vous montre un sachet d’imodium. A l’examen : fréquence respiratoire à 32/min, TA à 90/50 mmHg, FC à 137 bpm, T à 39<sup>°<sup>C, SpO<sub>2<sub>à 87% en air ambiant. Le score de Glasgow est à 13, perte de conscience pendant le transport, râles crépitants bi basales. Dentition en mauvais état. Le reste de l’examen est sans particularité. ECG : rythme régulier et sinusal, tachycardie à 128.Biologie : créatininémie 80 μmol/L; Na 138 mEq/L; Cl 100 mEq/L; K 3.1 mEq/L; glucose 0,8g/L; CRP 125 mg/L; GB 12 800 10<sup>3<sup>/ml; PNN : 9500 10<sup>3<sup>/ml; D-Dimères 500 ng/ml.<br> Donnez la bonne réponse concernant les principaux critères pour proposer une hospitalisation à cette patiente selon le score Pneumonia Severity Index.Votre externe vous demande si il y a un intérêt à réaliser une antigénurie pneumocoque.
Quels arguments lui répondez-vous ?
L’examen interprété sans difficile compte tenu de l’antécédent de sinusite
L’examen n’a aucun intérêt les symptômes ayant débuté moins de 24h avant
L’examen doit être réalisé avant le début de l’antibiothérapie
L’examen peut être réalisé après le début de l’antibiothérapie
L’examen a une sensibilité de 100%
<CAS CLINIQE XX : > vous recevez une femme XX âgée de 57 ans, pour une dyspnée fébrile. Elle est célibataire sans enfants et vit seule à Phnom Penh. Elle est dyspnéique, se plaint d’une toux non productive et de douleurs thoraciques bi basales apparues en même temps que la fièvre qui était d’emblée à 39,9<sup>°<sup>C depuis 24 heures. Elle n’a pas de maladies connues Les prélèvements du sang et le cliché du thorax fait. Son élève qui l’emmène à l’hôpital dit qu’elle a une diarrhée sanguinolente et un fébrile. Elle a prise le médicament anti diarrhéique, et il vous montre un sachet d’imodium. A l’examen : fréquence respiratoire à 32/min, TA à 90/50 mmHg, FC à 137 bpm, T à 39<sup>°<sup>C, SpO<sub>2<sub>à 87% en air ambiant. Le score de Glasgow est à 13, perte de conscience pendant le transport, râles crépitants bi basales. Dentition en mauvais état. Le reste de l’examen est sans particularité. ECG : rythme régulier et sinusal, tachycardie à 128.Biologie : créatininémie 80 μmol/L; Na 138 mEq/L; Cl 100 mEq/L; K 3.1 mEq/L; glucose 0,8g/L; CRP 125 mg/L; GB 12 800 10<sup>3<sup>/ml; PNN : 9500 10<sup>3<sup>/ml; D-Dimères 500 ng/ml.<br> Donnez la bonne réponse concernant les principaux critères pour proposer une hospitalisation à cette patiente selon le score Pneumonia Severity Index. Vous allez admette la patienta. Quel est le score CURB-65 pour cette patiente ?
le score CURB-65 est de 0
le score CURB-65 est de 1
le score CURB-65 est de 2
le score CURB-65 est de 3
le score CURB-65 est de 4
<CAS CLINIQE XX : > vous recevez une femme XX âgée de 57 ans, pour une dyspnée fébrile. Elle est célibataire sans enfants et vit seule à Phnom Penh. Elle est dyspnéique, se plaint d’une toux non productive et de douleurs thoraciques bi basales apparues en même temps que la fièvre qui était d’emblée à 39,9<sup>°<sup>C depuis 24 heures. Elle n’a pas de maladies connues Les prélèvements du sang et le cliché du thorax fait. Son élève qui l’emmène à l’hôpital dit qu’elle a une diarrhée sanguinolente et un fébrile. Elle a prise le médicament anti diarrhéique, et il vous montre un sachet d’imodium. A l’examen : fréquence respiratoire à 32/min, TA à 90/50 mmHg, FC à 137 bpm, T à 39<sup>°<sup>C, SpO<sub>2<sub>à 87% en air ambiant. Le score de Glasgow est à 13, perte de conscience pendant le transport, râles crépitants bi basales. Dentition en mauvais état. Le reste de l’examen est sans particularité. ECG : rythme régulier et sinusal, tachycardie à 128.Biologie : créatininémie 80 μmol/L; Na 138 mEq/L; Cl 100 mEq/L; K 3.1 mEq/L; glucose 0,8g/L; CRP 125 mg/L; GB 12 800 10<sup>3<sup>/ml; PNN : 9500 10<sup>3<sup>/ml; D-Dimères 500 ng/ml.<br> Donnez la bonne réponse concernant les principaux critères pour proposer une hospitalisation à cette patiente selon le score Pneumonia Severity Index. Vous hospitalisez le patient. Quelle est le traitement antibiotique vous prescrivez ?
Cotrimoxazole 960 mg PO, 3 fois par jour en 10 jours
Erythromycine 2g PO, 2 fois par jour en 10 jours
Amoxicilline 3g Injection repartir en 3 fois par jour puis relais PO en 10 jours
Ceftriaxone 2g une fois PO par jours en 10 jours
Lévofloxacine 750 mg PO, jour en 10 jours
<CAS CLINIQE XX : > vous recevez une femme XX âgée de 57 ans, pour une dyspnée fébrile. Elle est célibataire sans enfants et vit seule à Phnom Penh. Elle est dyspnéique, se plaint d’une toux non productive et de douleurs thoraciques bi basales apparues en même temps que la fièvre qui était d’emblée à 39,9<sup>°<sup>C depuis 24 heures. Elle n’a pas de maladies connues Les prélèvements du sang et le cliché du thorax fait. Son élève qui l’emmène à l’hôpital dit qu’elle a une diarrhée sanguinolente et un fébrile. Elle a prise le médicament anti diarrhéique, et il vous montre un sachet d’imodium. A l’examen : fréquence respiratoire à 32/min, TA à 90/50 mmHg, FC à 137 bpm, T à 39<sup>°<sup>C, SpO<sub>2<sub>à 87% en air ambiant. Le score de Glasgow est à 13, perte de conscience pendant le transport, râles crépitants bi basales. Dentition en mauvais état. Le reste de l’examen est sans particularité. ECG : rythme régulier et sinusal, tachycardie à 128.Biologie : créatininémie 80 μmol/L; Na 138 mEq/L; Cl 100 mEq/L; K 3.1 mEq/L; glucose 0,8g/L; CRP 125 mg/L; GB 12 800 10<sup>3<sup>/ml; PNN : 9500 10<sup>3<sup>/ml; D-Dimères 500 ng/ml.<br> Donnez la bonne réponse concernant les principaux critères pour proposer une hospitalisation à cette patiente selon le score Pneumonia Severity Index. Elle quitte l’hôpital contre avis médical et revient 8 jours plus tard beaucoup plus calme, avec une douleur thoracique qui est réapparue, une dyspnée et une hyperthermie à 38<sup>°<sup>C. Le cliché de thorax et les planches de scanner les plus représentatives sont les suivantes.<br>Quelle est votre hypothèse diagnostique sur l’imagerie ?
Atélectasie pulmonaire
Excavation pulmonaire
Infiltration nodulaire
Opacité alvéolaire
Pleurésie cloisonnée
<CAS CLINIQE XX : > vous recevez une femme XX âgée de 57 ans, pour une dyspnée fébrile. Elle est célibataire sans enfants et vit seule à Phnom Penh. Elle est dyspnéique, se plaint d’une toux non productive et de douleurs thoraciques bi basales apparues en même temps que la fièvre qui était d’emblée à 39,9<sup>°<sup>C depuis 24 heures. Elle n’a pas de maladies connues Les prélèvements du sang et le cliché du thorax fait. Son élève qui l’emmène à l’hôpital dit qu’elle a une diarrhée sanguinolente et un fébrile. Elle a prise le médicament anti diarrhéique, et il vous montre un sachet d’imodium. A l’examen : fréquence respiratoire à 32/min, TA à 90/50 mmHg, FC à 137 bpm, T à 39<sup>°<sup>C, SpO<sub>2<sub>à 87% en air ambiant. Le score de Glasgow est à 13, perte de conscience pendant le transport, râles crépitants bi basales. Dentition en mauvais état. Le reste de l’examen est sans particularité. ECG : rythme régulier et sinusal, tachycardie à 128.Biologie : créatininémie 80 μmol/L; Na 138 mEq/L; Cl 100 mEq/L; K 3.1 mEq/L; glucose 0,8g/L; CRP 125 mg/L; GB 12 800 10<sup>3<sup>/ml; PNN : 9500 10<sup>3<sup>/ml; D-Dimères 500 ng/ml.<br> Donnez la bonne réponse concernant les principaux critères pour proposer une hospitalisation à cette patiente selon le score Pneumonia Severity Index.  Quels sont les principes de prise en charge que vous allez proposer pour vous come le 1<sup>ère<sup>année internat?
Diurétique de l’angle avec Lasilix 40 mg 2 ampoules/jour
Drainage pleural avec prélèvement bactériologique
Kinésie respiratoire de drainage bronchique
Ponction pleurale avec évacuation
Décision débuter anti tuberculeux
 Un jeune home, auparavant sain, est admis aux urgences pour une intoxication aux barbituriques responsables d’une hypoventilation sévère. La respiration mélange à 50% d’O2n’a pas modifié sa PaCO2. Approximative, à quelle valeur la PaO2 peut être s’élever?
25
50
75
100
200
On constate chez un patient ayant une inégalité du rapport ventilation/perfusion sévère et qui reçoit un mélange à 80% d’O<sub>2<sub> n’a atteint que 300 mmHg. Les facteurs susceptible d’expliquer un chiffre si bas sont existence d’unités pulmonaires à très bas VA /Q une atélectasie des unités à bas rapport VA/Q du a Les avantages des sondes nasales pour l’administration d’O<sub>2<sub> sont :
elles sont supportés confortablement sur le long période
les concentration d’O<sub>2<sub> inspire dépasse facilement 60%
la concentration d’O<sub>2<sub> dans l’air inspirée est connue avec précision
la PCO<sub>2<sub> inspirée ne s’élève pas
Les masques à oxygène avec effect Venturi sont utile parce que :
ils délivrent une concentration d’O<sub>2<sub> superieur 60%
la concentration d’O<sub>2<sub> inspirée est bien controlée
la PaCO<sub>2<sub> inspirée est base
FiO<sub>2<sub> s’élève lorsque la ventilation augmente
L’oxygénothérapie intermittente peut être dangereuse dans le traitement de l’insuffisance respiratoire parce que:
l’élévation de la PaCO<sub>2<sub> est rapide après arrêt de l’O<sub>2<sub>
la PaO<sub>2<sub> s’effondre après arrêt de l’O<sub>2<sub>
L’élévation de la pression artérielle pulmonaire est importante
une HTA est possible
Chez quel(s) patients la prescription d’O2 est-elle potentiellement iatrogène ?
Chez tous les BPCO
Chez tous les Insuffisants respiratoires chroniques obstructifs
Chez tous les insuffisants respiratoires chroniques restrictifs
Chez tous les patients hypoxiques chroniques
Chez tous les patients hyperocéanique
Concernant l’indication de la thrombolyse, Indiquez la proposition exacte
Embolie pulmonaire
Dissection aortique
Péricardite
Ulcère gastrique
Accident vasculaire cérébrale hémorragique
Concernant la contre-indication de la thrombolyse, Indiquez la proposition exacte
Accident vasculaire cérébrale hémorragique
Infarctus du myocarde
Embolie pulmonaire
Thrombose de prothèse valvulaire mécanique
Occlusion artérielle aiguë
Concernant l’indication de l’héparine, indiquez la proposition exacte
Syndrome coronarien aiguë
Dissection aortique
Péricardite
Ulcère gastrique
Accident vasculaire cérébrale hémorragique récent
Concernant l’effet secondaire indésirable de l’héparine, indiquez la proposition exacte
Hyperleucocytose
Hyperkaliémie
Thrombopénie
Hyponatrémie
Augmentation de la créatininémie
Concernant l’indication de l’anti vitamine K, indiquez la proposition exacte
Maladie thromboembolique veineuse
Déficit de coagulation
HTA non contrôlée
Insuffisance hépatocellulaire
Accident vasculaire cérébrale récent
Concernant la contre-indication de l’anti vitamine K, indiquez la proposition exacte
Insuffisance hépatocelluclaire
Maladie thromboembolique veineuse
Embolie pulmonaire
Fibrillation auriculaire
Infarctus du myocarde avec thrombus dans le ventricule gauche
Un homme de 67 ans, habite à PP, hospitalisé en urgence au Service Porte de l'hôpital Calmètte, le 05/07/14 à 23h30mn pour une dyspnée d'aggravation brutale depuis 1 jour, il vous explique qu'il est toujours essoufflé de base et plutôt limité dans ses activités quotidiennes mais qu'actuellement il ne peut plus faire un mouvement sans être très essoufflé. L'interrogatoire retrouve une notion d'infarctus 5 ans auparavant sans notion de stent ainsi qu'une consommation alcoolique 5 à 6 bouteilles de bières par jour, avec tabagisme actif à 24 PA. Il n'y a pas eu de douleur thoracique. Son poids: 95kg pour une taille de 165cm2; TA: 130/80; Fc: 108bpm; SaO2: 92%; T: 36,8. L'auscultation cardiaque retrouve un souffle holosystolique à 2/6 au 4ème EICG en jet de vapeur. On retrouve aussi des crépitant au 2 bases pulmonaires, des œdèmes des membres inférieures, une turgescence jugulaire et reflux hépatojugulaire; ECG et la radiographie pulmonaire sont les suivants:QCM 1: Le critère diagnostique IC est:
Les signes clinique insuffisance respiratiores,
Les signes fonctionnels et singes physiques insuffisance cardiaques avec les preuves de diminution FEVG en échocardiographie ou en IRM Cardiaque.
Oedème MIs, turgescence jugulaire, hépatomégalie et hépatalgie.
Les syndrome insuffisance hépotocellulaire.
Les preuve de diminution FEVG en échocardiographie ou en IRM
Un homme de 67 ans, habite à PP, hospitalisé en urgence au Service Porte de l'hôpital Calmètte, le 05/07/14 à 23h30mn pour une dyspnée d'aggravation brutale depuis 1 jour, il vous explique qu'il est toujours essoufflé de base et plutôt limité dans ses activités quotidiennes mais qu'actuellement il ne peut plus faire un mouvement sans être très essoufflé. L'interrogatoire retrouve une notion d'infarctus 5 ans auparavant sans notion de stent ainsi qu'une consommation alcoolique 5 à 6 bouteilles de bières par jour, avec tabagisme actif à 24 PA. Il n'y a pas eu de douleur thoracique. Son poids: 95kg pour une taille de 165cm2; TA: 130/80; Fc: 108bpm; SaO2: 92%; T: 36,8. L'auscultation cardiaque retrouve un souffle holosystolique à 2/6 au 4ème EICG en jet de vapeur. On retrouve aussi des crépitant au 2 bases pulmonaires, des œdèmes des membres inférieures, une turgescence jugulaire et reflux hépatojugulaire; ECG et la radiographie pulmonaire sont les suivants: QCU 2: Consernant la dyspnée de ce patient:
Il s'agit d'une dyspnée NYHA III
Il s'agit d'une dyspnée NYHA IV
Il s'agit d'une dyspnée NYHA IV sur un état de base stade III
Il s'agit d'une dyspnée NYHA IV sur un état de base stade II
Il s'agit d'une dyspnée NYHA II sur un état de base stade I.
Un homme de 67 ans, habite à PP, hospitalisé en urgence au Service Porte de l'hôpital Calmètte, le 05/07/14 à 23h30mn pour une dyspnée d'aggravation brutale depuis 1 jour, il vous explique qu'il est toujours essoufflé de base et plutôt limité dans ses activités quotidiennes mais qu'actuellement il ne peut plus faire un mouvement sans être très essoufflé. L'interrogatoire retrouve une notion d'infarctus 5 ans auparavant sans notion de stent ainsi qu'une consommation alcoolique 5 à 6 bouteilles de bières par jour, avec tabagisme actif à 24 PA. Il n'y a pas eu de douleur thoracique. Son poids: 95kg pour une taille de 165cm2; TA: 130/80; Fc: 108bpm; SaO2: 92%; T: 36,8. L'auscultation cardiaque retrouve un souffle holosystolique à 2/6 au 4ème EICG en jet de vapeur. On retrouve aussi des crépitant au 2 bases pulmonaires, des œdèmes des membres inférieures, une turgescence jugulaire et reflux hépatojugulaire; ECG et la radiographie pulmonaire sont les suivants: QCU 3: L'ECG met en évidence
Tachycardie sinusal avec fc à 108bpm, QRS fin; HVC et surcharge systolique.
Tachycardie sinusal avec HVG.
BAV II Mobitz I
BAV I
Sus-décalage du segment ST en V6
Un homme de 67 ans, habite à PP, hospitalisé en urgence au Service Porte de l'hôpital Calmètte, le 05/07/14 à 23h30mn pour une dyspnée d'aggravation brutale depuis 1 jour, il vous explique qu'il est toujours essoufflé de base et plutôt limité dans ses activités quotidiennes mais qu'actuellement il ne peut plus faire un mouvement sans être très essoufflé. L'interrogatoire retrouve une notion d'infarctus 5 ans auparavant sans notion de stent ainsi qu'une consommation alcoolique 5 à 6 bouteilles de bières par jour, avec tabagisme actif à 24 PA. Il n'y a pas eu de douleur thoracique. Son poids: 95kg pour une taille de 165cm2; TA: 130/80; Fc: 108bpm; SaO2: 92%; T: 36,8. L'auscultation cardiaque retrouve un souffle holosystolique à 2/6 au 4ème EICG en jet de vapeur. On retrouve aussi des crépitant au 2 bases pulmonaires, des œdèmes des membres inférieures, une turgescence jugulaire et reflux hépatojugulaire; ECG et la radiographie pulmonaire sont les suivants: QCM 4: La radiographie thoracique:
Met en évidence un syndrome de condensation du lobe inférieure gauche
Met en évidence un syndrôme alvéolo-interstitiel bilatéral
N'était pas indiquée dans la prise en charge de ce patient
Met en évidence 2 opacités spiculées du lobe supérieur droit
Met en évidence un index cardio-thoracique supérieure à 0,5.
n homme de 67 ans, habite à PP, hospitalisé en urgence au Service Porte de l'hôpital Calmètte, le 05/07/14 à 23h30mn pour une dyspnée d'aggravation brutale depuis 1 jour, il vous explique qu'il est toujours essoufflé de base et plutôt limité dans ses activités quotidiennes mais qu'actuellement il ne peut plus faire un mouvement sans être très essoufflé. L'interrogatoire retrouve une notion d'infarctus 5 ans auparavant sans notion de stent ainsi qu'une consommation alcoolique 5 à 6 bouteilles de bières par jour, avec tabagisme actif à 24 PA. Il n'y a pas eu de douleur thoracique. Son poids: 95kg pour une taille de 165cm2; TA: 130/80; Fc: 108bpm; SaO2: 92%; T: 36,8. L'auscultation cardiaque retrouve un souffle holosystolique à 2/6 au 4ème EICG en jet de vapeur. On retrouve aussi des crépitant au 2 bases pulmonaires, des œdèmes des membres inférieures, une turgescence jugulaire et reflux hépatojugulaire; ECG et la radiographie pulmonaire sont les suivants: QCU 5: L'épisode actuel pourrait correspondre à:
OAP cardiogénique secondaire à un rétrécissement aortique serré
SCA ST+
Pneumopathie franche lobaire aiguë du lobe inférieur gauche
Insuffisance cardiaque aiguë (OAP) sur insuffisance cardiaque globale chronique
Exacerbation aiguë de BPCO.
Un homme de 67 ans, habite à PP, hospitalisé en urgence au Service Porte de l'hôpital Calmètte, le 05/07/14 à 23h30mn pour une dyspnée d'aggravation brutale depuis 1 jour, il vous explique qu'il est toujours essoufflé de base et plutôt limité dans ses activités quotidiennes mais qu'actuellement il ne peut plus faire un mouvement sans être très essoufflé. L'interrogatoire retrouve une notion d'infarctus 5 ans auparavant sans notion de stent ainsi qu'une consommation alcoolique 5 à 6 bouteilles de bières par jour, avec tabagisme actif à 24 PA. Il n'y a pas eu de douleur thoracique. Son poids: 95kg pour une taille de 165cm2; TA: 130/80; Fc: 108bpm; SaO2: 92%; T: 36,8. L'auscultation cardiaque retrouve un souffle holosystolique à 2/6 au 4ème EICG en jet de vapeur. On retrouve aussi des crépitant au 2 bases pulmonaires, des œdèmes des membres inférieures, une turgescence jugulaire et reflux hépatojugulaire; ECG et la radiographie pulmonaire sont les suivants: QCU 6: Les étiologies suivantes pourraient être évoquées:
Non-observance médicamenteuse
Ecart au régime sans sel
Poussée hypertensive
Ischémie myocardique
Valvulopathie aiguë.
Un homme de 67 ans, habite à PP, hospitalisé en urgence au Service Porte de l'hôpital Calmètte, le 05/07/14 à 23h30mn pour une dyspnée d'aggravation brutale depuis 1 jour, il vous explique qu'il est toujours essoufflé de base et plutôt limité dans ses activités quotidiennes mais qu'actuellement il ne peut plus faire un mouvement sans être très essoufflé. L'interrogatoire retrouve une notion d'infarctus 5 ans auparavant sans notion de stent ainsi qu'une consommation alcoolique 5 à 6 bouteilles de bières par jour, avec tabagisme actif à 24 PA. Il n'y a pas eu de douleur thoracique. Son poids: 95kg pour une taille de 165cm2; TA: 130/80; Fc: 108bpm; SaO2: 92%; T: 36,8. L'auscultation cardiaque retrouve un souffle holosystolique à 2/6 au 4ème EICG en jet de vapeur. On retrouve aussi des crépitant au 2 bases pulmonaires, des œdèmes des membres inférieures, une turgescence jugulaire et reflux hépatojugulaire; ECG et la radiographie pulmonaire sont les suivants: QCM 7: L'échocardiographie retrouve un ventriculaire gauche dilaté (DTDVG:72mm) avec hypokinésie globale et FEVG = 30% ainsi qu'une insuffisance mitrale modérée sur Valves fine. Le principale étiologie à évoquer pour expliquer les anomalies du VG est:
Cardiopathie hypertensive.
Cardiomyopathie ischémique
Cardiomyopathie rythmique chronique
Cardiomyopathie des maladies de système
Cardiomyopathie alcoolique.
Un homme de 67 ans, habite à PP, hospitalisé en urgence au Service Porte de l'hôpital Calmètte, le 05/07/14 à 23h30mn pour une dyspnée d'aggravation brutale depuis 1 jour, il vous explique qu'il est toujours essoufflé de base et plutôt limité dans ses activités quotidiennes mais qu'actuellement il ne peut plus faire un mouvement sans être très essoufflé. L'interrogatoire retrouve une notion d'infarctus 5 ans auparavant sans notion de stent ainsi qu'une consommation alcoolique 5 à 6 bouteilles de bières par jour, avec tabagisme actif à 24 PA. Il n'y a pas eu de douleur thoracique. Son poids: 95kg pour une taille de 165cm2; TA: 130/80; Fc: 108bpm; SaO2: 92%; T: 36,8. L'auscultation cardiaque retrouve un souffle holosystolique à 2/6 au 4ème EICG en jet de vapeur. On retrouve aussi des crépitant au 2 bases pulmonaires, des œdèmes des membres inférieures, une turgescence jugulaire et reflux hépatojugulaire; ECG et la radiographie pulmonaire sont les suivants: QCM 8: Un examen complémentaire indispensable s'impose dès lors pour éclairer la Q7:
ECG
Coronarographie
Echographie abdominale et des veines sus-hépatiques
TDM cardiaque
Scintigraphie myocardique
Un homme de 67 ans, habite à PP, hospitalisé en urgence au Service Porte de l'hôpital Calmètte, le 05/07/14 à 23h30mn pour une dyspnée d'aggravation brutale depuis 1 jour, il vous explique qu'il est toujours essoufflé de base et plutôt limité dans ses activités quotidiennes mais qu'actuellement il ne peut plus faire un mouvement sans être très essoufflé. L'interrogatoire retrouve une notion d'infarctus 5 ans auparavant sans notion de stent ainsi qu'une consommation alcoolique 5 à 6 bouteilles de bières par jour, avec tabagisme actif à 24 PA. Il n'y a pas eu de douleur thoracique. Son poids: 95kg pour une taille de 165cm2; TA: 130/80; Fc: 108bpm; SaO2: 92%; T: 36,8. L'auscultation cardiaque retrouve un souffle holosystolique à 2/6 au 4ème EICG en jet de vapeur. On retrouve aussi des crépitant au 2 bases pulmonaires, des œdèmes des membres inférieures, une turgescence jugulaire et reflux hépatojugulaire; ECG et la radiographie pulmonaire sont les suivants: QCM 9: Le souffle évoqué dans l'énoncé est en rapport avec:
Rétrécissement aortique calcifié
Insuffisance aortique
Insuffisance mitrale fonctionnelle par dilatation du VG
Rétrécissement mitral congénital
Insuffisance mitrale sur dégénérescence fibro-élastique
Un homme de 67 ans, habite à PP, hospitalisé en urgence au Service Porte de l'hôpital Calmètte, le 05/07/14 à 23h30mn pour une dyspnée d'aggravation brutale depuis 1 jour, il vous explique qu'il est toujours essoufflé de base et plutôt limité dans ses activités quotidiennes mais qu'actuellement il ne peut plus faire un mouvement sans être très essoufflé. L'interrogatoire retrouve une notion d'infarctus 5 ans auparavant sans notion de stent ainsi qu'une consommation alcoolique 5 à 6 bouteilles de bières par jour, avec tabagisme actif à 24 PA. Il n'y a pas eu de douleur thoracique. Son poids: 95kg pour une taille de 165cm2; TA: 130/80; Fc: 108bpm; SaO2: 92%; T: 36,8. L'auscultation cardiaque retrouve un souffle holosystolique à 2/6 au 4ème EICG en jet de vapeur. On retrouve aussi des crépitant au 2 bases pulmonaires, des œdèmes des membres inférieures, une turgescence jugulaire et reflux hépatojugulaire; ECG et la radiographie pulmonaire sont les suivants: QCM 10: Les traitements suivants peuvent être indiqués dans le traitement de l'insuffiance Cardiaque systolique de stade III:
Durétique si signes congestifs, IEC + Bétabloquant de l'insuffisance cardiaque à dose minimale efficace,
Diurétique si signes congestifs,
ARA II + anti-aldostérone
Réadaptation cardiaque
Stimulation biventriculaire si FE inférieure à 35% et QRS supérieur à 120ms.
{"name":"Théra-Méd Part 1", "url":"https://www.quiz-maker.com/QPREVIEW","txt":"Test your knowledge on asthma and respiratory health with our comprehensive quiz designed for medical professionals and students alike. Challenge yourself with 214 thoughtfully crafted questions covering various aspects of asthma management, respiratory disorders, and related clinical practices.Key Features:In-depth questions on respiratory evaluation and treatment.Suitable for students, teachers, and healthcare professionals.Enhance your understanding of respiratory conditions.","img":"https:/images/course8.png"}
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