QCM ECN part 2

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QCM ECN Part 2: Medical Quiz

Testez vos connaissances médicales avec notre quiz QCM ECN Part 2. Conçu pour les étudiants en médecine, ce quiz propose 299 questions variées couvrant des thèmes cruciaux comme la pharmacologie, l'oncologie, et les soins obstétriques.

Participer à ce quiz vous permettra de :
- Évaluer vos connaissances cliniques
- Identifier les domaines à approfondir
- Se préparer efficacement pour vos examens

299 Questions75 MinutesCreated by HealingMind245
Vous prescrivez du paracétamol à un enfant de 3 ans pour de la fièvre. Quelle est la prescription la plus appropriée ?
15mg/kg/6h en sirop
100mg/kg/6h en sirop
60mg/kg/6h en sirop
7,5mg/kg/6h en sirop
100mg/kg/6h en comprimé
60mg/kg/6h en comprimé
7,5mg/kg/6h en comprimé
Vous hospitalisez un enfant de 6 mois pour une gastro-entérite avec vomissements abondants et déshydratation. Quelle est la prescription de paracétamol par voie intraveineuse la plus appropriée ?
60mg/kg/6h
30mg/kg/6h
100mg/kg/6h
7,5mg/kg/6h
15mg/kg/6h
50mg/kg/6h
Un enfant de 4 ans est amené aux urgences par ses parents pour une intoxication au paracétamol. L'enfant a échappé à la surveillance et a bu la fin d'un flacon de paracétamol qui était resté sur une table. Quelle est la prescription la plus appropriée comme antidote ?
Flumazénil
PPSB
Sulfate de protamine
Oxygénothérapie hyperbarre
N-acétyl-cystéine
Naloxone
Hydroxocobalamine
Vous décidez de prescrire du tramadol chez un patient de 36ans présentant des douleurs post-opératoires non soulagées par du paracétamol. Quelle est la prescription la plus appropriée ?
5mg toutes les 6h
50mg toutes les 6h
200mg toutes les 6h
500mg toutes les 6h
Vous décidez de faire un relais intraveineux pour une prescription de morphine chez un patient traité pour des douleurs chroniques résistantes aux autres classes d'antalgiques, qui était équilibré avec 60mg/j de morphine par voie orale. Il ne peut plus prendre ses médicaments per os en raison de vomissements. Quelle est la prescription la plus appropriée pour la dose totale quotidienne de morphine par voie intraveineuse ?
10mg/j
5mg/j
20mg/j
30mg/j
60mg/j 120mg/j
120mg/j
Vous prenez en charge dans votre service d'oncologie un patient de 71 ans atteint d'un cancer de la prostate métastatique au niveau osseux. Il signale des douleurs lombaires évaluées à EN = 3/10 malgré la prise de paracétamol. Vous décidez de la prescription de tramadol LP par voie orale. Quelle posologie est la plus adaptée en première intention ?
1g toutes les 12h
15mg toutes les 6h
100 mg toutes les 12h
1g toutes les 6h
5 mg toutes les 4h
0,1 mg/kg toutes les 12h 100 mg toutes les 4h
15 mg toutes les 12h
Vous prenez en charge dans votre service d'oncologie un patient de 71 ans atteint d'un cancer de la prostate métastatique au niveau osseux. Il signale des douleurs lombaires évaluées à EN = 3/10 malgré la prise de paracétamol. Vous décidez de la prescription de tramadol LP par voie orale. A quel risque est le plus probablement exposé ce patient en raison de ce traitement?
Diarrhée
Vertiges
Rétention aiguë d'urine
Cytolyse hépatique
Tachycardie
Vous prenez en charge dans votre service d'oncologie un patient de 71 ans atteint d'un cancer de la prostate métastatique au niveau osseux, avec une fracture vertébrale de T10 à l'origine de douleurs importantes non soulagées par les antalgiques usuels. Vous décidez d'initier un traitement par morphine par voie intraveineuse. Quelle posologie est la plus adaptée en première intention ?
Sulfate de morphine 0,01 mg/kg
Sulfate de morphine 0,1 mg/kg
Sulfate de morphine 1 mg/kg
Sulfate de morphine 10 mg/kg
Chlorhydrate de morphine 0,01 mg/kg
Chlorhydrate de morphine 0,1 mg/kg
Chlorhydrate de morphine 1mg/kg
Chlorhydrate de morphine 10 mg/kg
Vous prenez en charge dans votre service d'oncologie un patient de 71 ans atteint d'un cancer de la prostate métastatique au niveau osseux, avec une fracture vertébrale de T10 à l'origine de douleurs importantes non soulagées par les antalgiques usuels. Vous décidez d'initier un traitement par morphine par voie intraveineuse. Quelle posologie des bolus est la plus appropriée lors de la titration ?
0,05 mg toutes les 5 minutes
0,2 mg toutes les 5 minutes
0,5 mg toutes les 5 minutes
2 mg toutes les 5 minutes
0,05 mg toutes les heures
0,2 mg toutes les heures
2 mg toutes les heures
0,5 mg toutes les heures
Vous vous occupez en salle de naissance d'une patiente de 39 ans, G3P2. Le déroulement de la grossesse est marqué par un diabète gestationnel sous insuline bien équilibré. L'échographie du 3ème trimestre retrouve un fœtus > 95 ème percentile ainsi qu'un hydramnios. A l'arrivée aux urgences la hauteur utérine est �  37cm, la patiente contracte douloureusement toutes les 3 minutes. La dilatation cervicale est rapide après rupture spontanée des membranes. L'accouchement se déroule normalement en occipito-pubien donnant naissance �  un enfant de sexe masculin pesant 4250 grammes. La délivrance dirigée a lieu dans les 10 minutes. Il existe un filet de sang persistant. Quel volume minimal de sang serait en faveur du diagnostic d’hémorragie du post partum sévère?
500 cc
750 cc
1000 cc
1500 cc
Vous vous occupez en salle de naissance d'une patiente de 39 ans, G3P2. Le déroulement de la grossesse est marqué par un diabète gestationnel sous insuline bien équilibré. L'échographie du 3ème trimestre retrouve un fœtus > 95 ème percentile ainsi qu'un hydramnios. A l'arrivée aux urgences la hauteur utérine est �  37cm, la patiente contracte douloureusement toutes les 3 minutes. La dilatation cervicale est rapide après rupture spontanée des membranes. L'accouchement se déroule normalement en occipito-pubien donnant naissance �  un enfant de sexe masculin pesant 4250 grammes. La délivrance dirigée a lieu dans les 10 minutes. Il existe un filet de sang persistant. L'équipe de garde est appelée, les anesthésistes commencent la réanimation. Vous posez une sonde urinaire �  demeure. Quel est son objectif principal?
Evaluer la diurèse
Voir si les urines deviennent hématiques
Permettre une meilleure rétraction utérine
Eviter le caillotage
Prévenir une obstruction
Vous vous occupez en salle de naissance d'une patiente de 39 ans, G3P2. Le déroulement de la grossesse est marqué par un diabète gestationnel sous insuline bien équilibré. L'échographie du 3ème trimestre retrouve un fœtus > 95 ème percentile ainsi qu'un hydramnios. A l'arrivée aux urgences la hauteur utérine est �  37cm, la patiente contracte douloureusement toutes les 3 minutes. La dilatation cervicale est rapide après rupture spontanée des membranes. L'accouchement se déroule normalement en occipito-pubien donnant naissance �  un enfant de sexe masculin pesant 4250 grammes. La délivrance dirigée a lieu dans les 10 minutes. Il existe un filet de sang persistant. Dans ce contexte, quelle est la cause la plus probable de l'hémorragie?
Plaie de la filière génitale
Travail rapide
Rétention placentair
Atonie utérine
Vous vous occupez en salle de naissance d'une patiente de 39 ans, G3P2. Le déroulement de la de l’accouchement est sans complication, la délivrance dirigée a lieu dans les 10 minutes. Il existe cepedant un filet de sang persistant, vous faisant poser le diagnostic d’hémorragie du post partum. Un traitement par ocytocine est mis en place avec massage utérin. 15 minutes plus tard, le saignement persiste. Quel traitement est le plus approprié ?
Sulprostone
Carbétocine
Acide traxénamique
Atosiban
Methylergométrine
Vous voyez lors de votre visite en suite de couches une femme de 29 ans qui a accouché à terme d'un garçon de 3500 grammes. A J3 post-partum, votre patiente est fébrile à 38°5 et présente une mastodynie. Quel diagnostic est le plus probable ?
Lymphangite
Abcès mammaire
Engorgement mammaire
Montée laiteuse
Galactophorite
Vous voyez lors de votre visite en suite de couches une femme de 29 ans qui a accouché à terme d'un garçon de 3500 grammes. Votre patiente a accouché par forceps. A J2, son bilan montre une hémoglobine à 8,6 g/dL, GB = 12 200/mm3 et la patiente se plaint d'une douleur côtée à 9/10 au niveau de la cicatrice d'épisiotomie. Quel diagnostic est le plus probable?
Infection au niveau de la suture de l'épisiotomie
Endométrite
Lésion nerveuse du périnée
Thrombus vaginal
Phlébite pelvienne
Vous voyez lors de votre visite en suite de couches une femme de 29 ans qui a accouché à terme d'un garçon de 3500 grammes. A J5, elle présente une mastodynie droite, un placard inflammatoire avec 39° de fièvre, signe de Budin négatif. Quel est le diagnostic le plus probable?
Engorgement mammaire
Mastite
Galactophorite
Lymphangite
Abcès du sein
Vous voyez lors de votre visite en suite de couches une femme de 29 ans qui a accouché à terme d'un garçon de 3500 grammes. A J5, elle présente une mastodynie droite, un placard inflammatoire avec 39° de fièvre. Quelle est la prochaine étape la plus utile pour votre diagnostic ?
Palpation mammaire
Traitement antibiotique probabiliste
Test par AINS
Recherche de pus dans le lait
Vous voyez lors de votre visite en suite de couches une femme de 29 ans qui a accouché à terme d'un garçon de 3500 grammes. A J3 vous retrouvez votre patiente en train de pleurer, anxieuse, elle a peur de ne pas savoir s'occuper de son enfant. Vous la trouvez extrêmement irritable. Quel diagnostic est le plus probable?
Post-partum blues
Dépression du post-partum
Episode dépressif majeur
Trouble bipolaire débutant
Vous voyez aux urgences Mme B. 37 ans pour métrorragies intermittentes de faible abondance. C’est la première fois qu’elle présente ce symptome, et n’a aucun antécédent. L’examen clinique est sans autre particularités. TA 120/80, pouls 70/mn, temp 37,2. L’échographie retrouve un fibrome. Quelle est la localisation la plus probable de ce fibrome ?
Intracavitaire
Intramural
Sus muqueux
Sous séreux
Vous voyez aux urgences Mme B. 37 ans pour métrorragies intermittentes de faible abondance. C’est la première fois qu’elle présente ce symptome, et n’a aucun antécédent. L’examen clinique est sans autre particularités. TA 120/80, pouls 70/mn, temp 37,2. L’échographie retrouve un fibrome. Quelle est la physiopathologie la plus probable de ce saignement ?
Origine fonctionnelle
Origine obstétricale
Origine mécanique
Origine tumorale
Vous voyez aux urgences Mme B. 37 ans pour métrorragies intermittentes de faible abondance. C’est la première fois qu’elle présente ce symptome, et n’a aucun antécédent. L’examen clinique est sans autre particularités. TA 120/80, pouls 70/mn, temp 37,2. L’échographie retrouve un endomètre à 25 mm sans fibrome, les BHCG sont négatifs. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Hypertrophie endométriale
Hyperplasie endométriale
Cancer de l'endomètre
Adénomyose
Vous voyez aux urgences Mme B. 37 ans pour métrorragies intermittentes de faible abondance. C’est la première fois qu’elle présente ce symptome, et n’a aucun antécédent. L’examen clinique est sans autre particularités. TA 120/80, pouls 70/mn, temp 37,2. L’échographie retrouve des Fibromes. Quel traitement chirurgical est le plus adapté dans ce cas ?
Polymyomectomie par laparotomie
Polymyomectomie par coelioscopie
Hystéroscopie diagnostique
Résection de myome par hystéroscopie
Vous recevez une patiente de 55 ans, ménopausée depuis 4 ans, que vous suivez régulièrement pour des fibromes responsables par le passé de metrorragies. Votre prise en charge chirugicale il y a 6 ans avait définitivement stoppé le metrorragies. Elle consulte car elle présente de nouveau un épisode de métrorragies. Quel examen est le plus approprié en première intention ?
Hystéroscopie diagnostique
Biopsie d'endomètre
Frottis cervico-utérin
Hystéroscopie opératoire
Vous voyez une patiente de 37 ans enceinte à 13 SA. Elle est G6P2 : 3 fausses couches spontanées, 2 césariennes. Dans ses antécédents on note un lupus érythémateux disséminé ainsi qu'un syndrome de Gougerot-Sjögren. La biologie montre : AC anti-nucléaires +, Anticardiolipides +, Anti-SSA+, Anti-SSB + Quelle atteinte d'organe secondaire au lupus recherchez-vous qui CONTRE-INDIQUERAIT la grossesse?
Dermatologiques
Osseuse
Ophtalmique
Hépatique
Rénale
Vous voyez une patiente de 37 ans enceinte à 13 SA. Elle est G6P2 : 3 fausses couches spontanées, 2 césariennes. Dans ses antécédents on note un lupus érythémateux disséminé ainsi qu'un syndrome de Gougerot-Sjögren. La biologie montre : AC anti-nucléaires +, Anticardiolipides +, Anti-SSA+, Anti-SSB + Quel suivi effectuez vous en priorité dans ce cas?
Dépistage du diabète gestationnel
Surveillance ophtalmologique chez la mère
Echographie cardiaque fœtale
Surveillance dermatologique
Surveillance à chaque consultation de la pression artérielle
Vous voyez une patiente de 37 ans enceinte à 13 SA. Elle est G6P2 : 3 fausses couches spontanées, 2 césariennes. Dans ses antécédents on note un lupus érythémateux disséminé ainsi qu'un syndrome de Gougerot-Sjögren. A 22 SA le fœtus est au 9 ème percentile. La vitalité fœtale est bonne, le doppler ombilical est normal, il existe des notchs au niveau des dopplers utérins. Quel est la cause la plus probable du retard de croissance intra utérin dans ce cas?
Vasculaire
Génétique
Infectieuse
Endocrinien
Iatrogène
Vous recevez en consultation aux urgences ophtalmologiques un patient de 78ans pour baisse d'acuité visuelle brutale de l'œil gauche. Il a pour antécédents une hypertension artérielle, un diabète de type 2 (dernière HbA1c 6,8%) et une hypercholestérolémie. L'examen du segment antérieur est normal, en dehors de la présence d'une cataracte cotico-nucléaire débutante. Le fond d'œil retrouve une tortuosité veineuse rétinienne associée à des hémorragies en flammèche et des nodules cotonneux dans les 4 quadrants. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Uvéite postérieure
Occlusion de l'artère centrale de la rétine
Névrite optique rétrobulbaire
Occlusion de la veine centrale de la rétine
Neuropathie optique ischémique antérieure aiguë
Rétinopathie diabétique
Vous examinez un patient présentant une pan-uvéite de l'œil droit liée à une sarcoïdose. Le fond d'œil est mal visible en raison d'une hyalite cotée 3+. Au niveau physiopathologique, dans quelle région de l'œil se trouvent les cellules inflammatoires dans une hyalite ?
Vitré
Choroïde
Chambre postérieure
Chambre antérieure
Rétine
Vous examinez un patient de 75ans pour baisse d'acuité visuelle brutale. Vous concluez à une neuropathie optique ischémique antérieure aiguë. Quelle en est la cause la plus fréquente ?
Maladie de Horton
Médicamenteuse
Herpès
Sclérose en plaques
Artériosclérose
Vous recevez en consultation d'urgence une femme de 34ans pour baisse d'acuité visuelle rapidement progressive. Vous concluez à une névrite optique. Quelle diagnostic étiologique est le plus probable?
Alcool
Sclérose en plaques
Médicamenteuse
Sarcoïdose
Spondylarthrite ankylosante
Maladie de Crohn
Vous voyez en consultation aux urgences ophtalmologiques Mr B., 74 ans, pour baisse de vision de l'œil gauche apparue de façon brutale il y a 2 jours. Il s'est fait opéré de la cataracte de l'œil droit il y a 7 mois et de l'œil gauche il y a 6 mois. Il décrit un épisode de phosphènes il y a 5 jours. L'acuité visuelle avec correction est à 9/10ème P2 à droite, 3/10ème P7 à gauche. Quelle est le diagnostic le plus probable ?
DMLA atrophique
Uvéite intermédiaire
Glaucome aigu par fermeture de l'angle
Cataracte secondaire
Décollement de rétine
Vous voyez en consultation aux urgences ophtalmologiques Mr B., 74 ans, pour baisse de vision de l'œil gauche apparue de façon brutale il y a 2 jours. Il s'est fait opéré de la cataracte de l'œil droit il y a 7 mois et de l'œil gauche il y a 6 mois. Il décrit un épisode de phosphènes il y a 5 jours. L'acuité visuelle avec correction est à 9/10ème P2 à droite, 3/10ème P7 à gauche. Vous évoquez le diagnostic de décollement de rétine. Quel facteur de risque serait le plus en faveur de ce diagnostic ?
Myopie
Hypermétropie
Astigmatisme
Presbytie
Vous voyez en consultation aux urgences ophtalmologiques Mr B., 74 ans, pour baisse de vision de l'œil gauche apparue de façon brutale il y a 2 jours. Il s'est fait opéré de la cataracte de l'œil droit il y a 7 mois et de l'œil gauche il y a 6 mois. Il décrit un épisode de phosphènes il y a 5 jours. L'acuité visuelle avec correction est à 9/10ème P2 à droite, 3/10ème P7 à gauche. Vous évoquez le diagnostic de décollement de rétine. Quel examen est le plus approprié dans la suite de la prise en charge?
Angiographie rétinienne à la fluorescéine
OCT (Tomographie en Cohérence Optique)
Fond d'œil au verre à 3 miroirs
Ponction de chambre antérieure
Angiographie rétinienne à la fluorescéine
Prise de la pression intraoculaire
Aucun examen n'est nécessaire avant le traitement
Vous voyez en consultation aux urgences ophtalmologiques Mr B., 74 ans, pour baisse de vision de l'œil gauche apparue de façon brutale il y a 2 jours. Il s'est fait opéré de la cataracte de l'œil droit il y a 7 mois et de l'œil gauche il y a 6 mois. Il décrit un épisode de phosphènes il y a 5 jours. L'acuité visuelle avec correction est à 9/10ème P2 à droite, 3/10ème P7 à gauche. Vous évoquez le diagnostic de décollement de rétine. Quel thérapie est la plus adaptée ?
Prise en charge chirurgicale
Injection intravitréenne d'anti-VEGF
Traitement par laser YAG
Corticothérapie locale
Collyre hypotonisant
Vous voyez en consultation aux urgences ophtalmologiques Mr B., 74 ans, pour baisse de vision de l'œil gauche apparue de façon brutale il y a 2 jours. Il s'est fait opéré de la cataracte de l'œil droit il y a 7 mois et de l'œil gauche il y a 6 mois. Il décrit un épisode de phosphènes il y a 5 jours. L'acuité visuelle avec correction est à 9/10ème P2 à droite, 3/10ème P7 à gauche. Vous évoquez le diagnostic de décollement de rétine. Quelle est la cause la plus probable des phosphènes chez ce patient ?
Néovaisseaux maculaires
Survenue de la déchirure rétinienne
Soulèvement de la rétine périphérique
Réaction inflammatoire vitréenne
Soulèvement de la macula
Hypertonie oculaire
Vous recevez aux urgences ophtalmologiques une patiente de 48ans pour une rougeur oculaire de l'œil droit associée à des douleurs oculaires profondes importantes, d'apparition brutale. Elle a pour antécédents une thyroïdite de Hashimoto substituée par L-thyroxine depuis 6 mois, un syndrome dépressif majeur traité depuis 15 jours par clomipramine et une intolérance au glucose. L'acuité visuelle avec sa correction (OD: +2,50 add +1, OG: +2,25 add +1) est à 2/10 P6 à droite et 10/10 P2 à gauche. Elle signale également des nausées. L'examen à la lampe à fente retrouve un oedème cornéen, une chambre antérieure étroite ainsi qu'une rougeur conjonctivale diffuse. Quelle hypothèse diagnostique est la plus probable ?
Kératite herpétique
Uvéite antérieure aiguë
Glaucome néovasculaire
Abcès de cornée bactérien
Sclérite
Crise aiguë de fermeture de l'angle
Conjonctivite allergique
Kératoconjonctivite à adénovirus
Vous recevez aux urgences ophtalmologiques une patiente de 48ans pour une rougeur oculaire de l'œil droit associée à des douleurs oculaires profondes importantes, d'apparition brutale. L'acuité visuelle avec sa correction (OD: +2,50 add +1, OG: +2,25 add +1) est à 2/10 P6 à droite et 10/10 P2 à gauche. Elle signale également des nausées : vous posez le diagnostic de crise aigue de glaucome par fermeture de l’angle. Quel signe clinique serait le plus en faveur de ce diagnostic ?
Pupilles isocores isoréactives
Myosis à droite, pupille normale à gauche
Semi-mydriase aréflectique à droite, pupille normale à gauche
Mydriase complète à droite, pupille normale à gauche
Pupilles en myosis serré
Pupilles en mydriase complète
Pupille droite en myosis, pupille gauche en semi-mydriase aréflectique
Pupillie droite en semi-mydriase aréflectique, pupille gauche en myosis serré aréflectique
Vous recevez aux urgences ophtalmologiques une patiente de 48ans pour une rougeur oculaire de l'œil droit associée à des douleurs oculaires profondes importantes, d'apparition brutale. L'acuité visuelle avec sa correction (OD: +2,50 add +1, OG: +2,25 add +1) est à 2/10 P6 à droite et 10/10 P2 à gauche. Elle signale également des nausées : vous posez le diagnostic de crise aigue de glaucome par fermeture de l’angle. Quelle est la prise en charge la plus appropriée ?
Corticothérapie locale en collyr (dexaméthasone) + atropine
Collyres hypotonisants + inhibiteur de l'anhydrase carbonique par voie intraveineuse
Injections intravitréennes d'antibiotiques et collyres antibiotiques fortifiés
Collyres hypotonisants seuls
Corticothérapie par voie intraveineuse en bolus et locale
Aciclovir par voie orale et locale
Collyre antiseptique
Collyre antihistaminique et antidégranulant mastocytaire
Vous recevez aux urgences ophtalmologiques une patiente de 48ans pour une rougeur oculaire de l'œil droit associée à des douleurs oculaires profondes importantes, d'apparition brutale. L'acuité visuelle avec sa correction (OD: +2,50 add +1, OG: +2,25 add +1) est à 2/10 P6 à droite et 10/10 P2 à gauche. Elle signale également des nausées : vous posez le diagnostic de crise aigue de glaucome par fermeture de l’angle, et votre prise en charge initiale est efficace. Quelle prise en charge est la plus appropriée sur l’œil controlatéral (= «œil adelphe ») ?
Collyre myotique + iridotomie périphérique au laser YAG
Corticothérapie locale
Collyre antiseptique
Collyre mydriatique + iridotomie périphérique au laser YAG
Collyre antibiotique à large spectre
Iridotomie périphérique au laser YAG seule
Corticothérapie locale + collyre mydriatique
Corticothérapie locale + collyre myotique
Vous examinez un patient aux urgences ophtalmologiques qui présente on une rougeur conjonctivale en secteur associée à des douleurs oculaires sans baisse d'acuité visuelle. Quelle hypothèse diagnostique est la plus probable ?
Uvéite antérieure aiguë
Episclérite
Conjonctivite
Kératite
Crise aiguë de fermeture de l'angle
Vous examinez un patient qui présente une kératite ponctuée superficielle. Il y a une notion de contage. Quel agent infectieux est le probablement responsable ?
Herpès
Streptocoque
Adénovirus
Chlamydia trachomatis
Staphylocoque
Vous recevez une patiente pour œil rouge et douloureux. Dans quelle situation est-il recommandé de rechercher une maladie de système dès le 1er épisode ?
Crise aiguë de fermeture de l'angle
Conjonctivite papillaire
Episclérite
Conjonctivite folliculaire
Kératite
Sclérite
Vous examinez un patient pour baisse d'acuité visuelle. L'examen de la cornée retrouve des ulcérations cornéennes dendritiques. Quel agent infectieux est le probablement responsable ?
Chlamydia trachomatis
Herpès
Adénovirus
Streptocoque
Vous recevez un patient de 76ans qui présente un œil rouge et douloureux en post-opératoire d'une chirurgie de la cataracte survenue il y a 4 jours. Quel est le diagnostic est à évoquer en priorité ?
Conjonctivite bactérienne
Kératite bactérienne
Endophtalmie
Kératite amibienne
Sclérite
Vous voyez une patiente de 74ans qui présente une baisse d'acuité visuelle progressive bilatérale. Vous avez noté que la patiente, qui était emmétrope dans sa jeunesse, présente une myopie qui augmente progressivement. Elle est actuellement à -3,25 et -3,50. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Cataracte sous-capsulaire postérieure
Œdème papillaire lié à une hypertension intracrânienne
Cataracte nucléaire
Glaucome chronique
Rétinopathie diabétique
Vous examinez un patient qui présente une amétropie avec la réfraction suivante: -6,25D et -7,00D. Quelle amétropie le sujet présente-il ?
Myopie
Hypermétropie
Astigmatisme
Presbytie
Vous examinez un patient qui présente une amétropie avec la réfraction suivante: 0,00 (-1,50 à 90°) œil droit et 0,00 (-1,00 à 90°). Quelle amétropie le sujet présente-il ?
Myopie
Hypermétropie
Astigmatisme
Presbytie
Myopie + astigmatisme
Hypermétropie + astigmatisme
Vous suivez un patient de 9ans pour une altération progressive de la vision centrale. Vous suspectez une dystrophie maculaire héréditaire. Quel diagnostic est le plus probable ?
Maladie de Stargardt
Rétinopathie pigmentaire
Glaucome chronique
Adénome hypophysaire
Rétinopathie diabétique
Vous suivez un patient de 15ans qui présente une héméralopie, un rétrécissement progressif du champ visuel. Le fond d'œil retrouve des migrations de pigments sous-rétiniens donnant des images en ostéoblastes. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Maladie de Stargardt
Glaucome chronique
Maculopathie diabétique
Rétinopathie pigmentaire
Vous suivez un patient de 15ans qui présente une héméralopie, un rétrécissement progressif du champ visuel. Le fond d'œil retrouve des migrations de pigments sous-rétiniens donnant des images en ostéoblastes. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Maladie de Stargardt
Glaucome chronique
Maculopathie diabétique
Rétinopathie pigmentaire
Occlusion de branche de l'artère centrale de la rétine
Vous voyez en consultation un garçon de 7 ans amené par sa maman pour des céphalées et une vision trouble de près lors de la lecture ou d'un travail prolongé sur ordinateur. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Myopie
Hypermétropie
Astigmatisme
Presbytie
Vous voyez en consultation un garçon de 7 ans amené par sa maman pour des céphalées et une vision trouble de près lors de la lecture ou d'un travail prolongé sur ordinateur. La réfraction sous cycloplégique confirme votre hypothèse. Quelle prise en charge est la plus appropriée ?
Verres cylindriques concaves
Verres cylindriques convexes
Verres sphériques concaves
Verres sphériques convexes
Vous voyez en consultation un garçon de 3 ans amené par sa maman pour des céphalées et une vision trouble de près lors de la lecture ou d'un travail prolongé sur ordinateur. Vous désirez évaluer son acuité visuelle de près. Quelle échelle est la plus appropriée ?
Echelle de Rossano-Weiss
Echelle de Monoyer
Echelle de Parinaud
Echelle ETDRS
Vous recevez aux urgences un patient de 9 ans qui présente un saignement de nez. À l’interrogatoire, vous apprenez que cela se produit 2 à 3 fois par mois. Sa mère vous dit que c’est la première fois que la compression bidigitale des ailes du nez ne permet pas de stopper le saignement. Après évacuation des caillots par mouchage, vous réalisez une rhinoscopie mettant en évidence un saignement localisé à la tâche vasculaire du côté gauche. Quelle est l’origine la plus probable de ce saignement ?
Perforation septale
Télangiectasie hémorragique
Irritation de la tâche vasculaire
Fracture de l’éthmoïde
Vous recevez aux urgences un patient de 9 ans qui présente un saignement de nez. Vous finissez par apprendre qu’il se plaignait de maux de tête dans la matinée et que sa mère lui a administré 3 comprimés effervescents d’aspirine 500 mg espacés de 2 heures car elle a l’habitude d’utiliser de l’aspirine pour soulager ses propres maux de tête. Le patient continue à perdre du sang et vous le trouvez de plus en plus pâle, avec une fréquence cardiaque qui est à présent à 135 bpm. Quel examen complémentaire est le plus approprié en première intention ?
Fibroscopie nasale
Radiographie du crâne face et profil
Scanner du massif facial
NFS-plaquettes, TP-TCA et groupe
Vous recevez aux urgences un patient de 9 ans qui présente un saignement de nez. Vous finissez par apprendre qu’il se plaignait de maux de tête dans la matinée et que sa mère lui a administré 3 comprimés effervescents d’aspirine 500 mg espacés de 2 heures car elle a l’habitude d’utiliser de l’aspirine pour soulager ses propres maux de tête. Le patient continue à perdre du sang et vous le trouvez de plus en plus pâle, avec une fréquence cardiaque qui est à présent à 135 bpm. La compression bidigitale après mouchage a échoué. Quelle prise en charge est la plus adaptée ?
Tamponnement antérieur avec des mèches non résorbables
Cautérisation de l’artère sphéno-palatine par voie endonasale
Embolisation des artères sphéno-palatines seules
Embolisation de l’artère ethmoïdale seule
Embolisation des artères sphéno-palatines et de l’artère ethmoïdale
Ligature des artères ethmoïdales
Vous recevez aux urgences un patient de 25 ans pour épistaxis unilatérale gauche survenue spontanément alors qu’il était chez lui. Il ne consomme aucun toxique et vous ne relevez pas d’antécédent particulier à l’interrogatoire. Ses constantes sont les suivantes : FC 75 ; TA 130/80 mmHg. Quelle est l’étiologie d’épistaxis la plus probable pour ce patient ?
Fracture de l’ethmoïde
Fibrome naso-pharyngien
Grattage de la tâche vasculaire
Granulomatose de Wegener
Maladie de Rendu-Osler
Vous recevez aux urgences un patient de 22 ans pour épistaxis bilatérale. Ce n’est pas la première fois que cela lui arrive et vous apprenez à l’interrogatoire que son père est également fréquemment sujet aux épistaxis. Vous remarquez à l’examen clinique qu’il présente de multiples télangiectasies au niveau des lèvres et quelques-unes au niveau des pommettes. Ses constantes sont les suivantes : FC 75 ; TA 130/80 mmHg. Quelle pathologie devez-vous évoquez devant ce tableau ?
Syndrome CREST
Syndrome de Kasabach-Merritt
Syndrome de Sturge-Weber-Krabbe
Granulomatose de Wegener
Maladie de Rendu-Osler
Vous recevez aux urgences un patient de 32 ans pour épistaxis unilatérale droite abondante. Il présente un antécédent de lupus érythémateux disséminé avec syndrome des anti-phospholipides. Son traitement comporte de l’hydroxychloroquine et une anticoagulation par AVK au long cours. Il est pâle et le temps de recoloration cutanée est inférieur à 3 secondes. Ses constantes sont les suivantes : FC 105 ; TA 110/70 mmHg. Quels examens complémentaires demandez-vous dans l’immédiat pour évaluation du retentissement ?
NFS-Plaquettes, TP-TCA
NFS-Plaquettes, TP-TCA et INR
NFS-Plaquettes, TP-TCA et Groupe-Rh-RAI
NFS-Plaquettes, TP-TCA, Groupe-Rh-RAI et INR
NFS-Plaquettes, TP-TCA, fibroscopie nasale
NFS-Plaquettes, TP-TCA, INR, fibroscopie nasale
NFS-Plaquettes, TP-TCA, INR, Groupe-Rh-RAI, fibroscopie nasale
Vous recevez aux urgences un patient de 47 ans pour épistaxis unilatérale gauche. Il est tabagique à 25 paquets-année et ne présente pas d’antécédents particuliers hormis une appendicectomie dans sa jeunesse. Il ne prend aucun traitement et ne présente pas de signes cliniques de gravité. Ses constantes sont les suivantes : FC 88 ; TA 120/75 mmHg. Après mouchage efficace, compression bi-digitale et méchage antérieur, l’épistaxis ne s’interrompt pas. Que proposez-vous ?
Tamponnement antéro-postérieur
Cautérisation de la tâche vasculaire
Embolisation de l’artère ethmoïdale
Ligature de l’artère ethmoïdale
Embolisation de l’artère sphéno-palatine
Vous recevez aux urgences un patient de 28 ans pour épistaxis unilatérale droite après un choc lors d’un match de rugby. Il n’a pas d’antécédents particuliers. Il ne prend aucun traitement et ne présente pas de signes cliniques de gravité. Ses constantes sont les suivantes : FC 75 ; TA 125/80 mmHg. Vous constatez à l’examen que l’épistaxis, initialement rouge vif, s’éclaircit de plus en plus. À quoi pensez-vous ?
Une épistaxis sur sinusite
Une otoliquorrhée
Une perforation septale
Une fracture des os propres du nez
Une brèche méningée
Vous recevez aux urgences pédiatriques un jeune garçon de 4 ans présentant une fièvre à 39,1 °C, une rhinorrhée purulente gauche et une exophtalmie importante associée à une mydriase du même côté. Ses parents vous informent qu’il a présenté une rhinopharyngite il y a 2 semaines. À l’examen clinique, l’exophtalmie est irréductible et vous retrouvez un écoulement purulent au méat moyen gauche. Quel est votre diagnostic ?
Probable hyperthyroïdie associée à une ethmoïdite antérieure
Probable hyperthyroïdie associée à une ethmoïdite postérieure
Glaucome associé à une ethmoïdite antérieure
Glaucome associé à une ethmoïdite postérieure
Phlegmon orbitaire compliquant une ethmoïdite antérieure
Phlegmon orbitaire compliquant une ethmoïdite postérieure
Vous recevez à votre consultation M. S., 37 ans, menuisier. Il présente depuis 4 mois des céphalées, une cacosmie gauche et une rhinorrhée purulente gauche. À l’examen clinique, vous retrouvez un écoulement de pus au méat moyen avec un œdème du cornet moyen faisant suspecter une sinusite sous-jacente. Quel examen complémentaire demandez-vous pour confirmer votre diagnostic ?
Un panoramique dentaire
Un dosage des anticorps c-ANCA
Une IRM des sinus
Un TDM des sinus
Un examen bactériologique des sécrétions
Vous recevez en consultation Mme C., 35 ans, secrétaire de direction. Elle se plaint d’une obstruction nasale et d’une rhinorrhée depuis 3 jours. Elle présente par ailleurs un écoulement dans l’arrière-gorge, l’obligeant à cracher quotidiennement. Sa température est de 38°C et elle ne présente comme antécédent qu’un syndrome du canal carpien gauche. Votre examen clinique retrouve une irritation rhinopharyngée. Mme C. Travaille dans une grande administration et vous dit qu’au travail tout le monde est « malade ». Quel est votre diagnostic ?
Rhinosinusite aiguë bactérienne
Rhinosinusite aiguë virale
Rhinopharyngite
Angine
Grippe
Vous recevez à votre consultation M. L., 48 ans, pompier. Il présente depuis 3 mois des céphalées, une cacosmie droite et une rhinorrhée purulente droite. Il vous explique que ses problèmes sont apparus suite à des soins dentaires. L’imagerie met en évidence une sinusite maxillaire droite mycotique avec surinfection bactérienne. Quelles sont les modalités de votre prise en charge ?
Traitement médical antibiotique seul
Traitement médical antimycotique seul
Traitement médical antibiotique + antimycotique
Traitement chirurgical + traitement antibiotique
Traitement chirurgical + traitement antimycotique
Traitement chirurgical + traitements antibiotique et antimycotique
Vous recevez à votre consultation Mme V., 53 ans, professeur de français. Elle est tabagique à 25 paquets-année et est atteinte d’endométriose. Elle se plaint de céphalées rétro-orbitaires persistantes et irradiant au vertex depuis plusieurs jours. Vous pensez à un diagnostic de sinusite sphénoïdale mais vous ne retrouvez pas d’écoulement purulent à la rhinoscopie. Quel est le diagnostic différentiel à évoquer devant ce tableau clinique ?
Hématome sous-dural aiguë
Accident ischémique transitoire
Hypertension intracrânienne
Névralgie du trijumeau
Hyperthyroïdie
Vous recevez en consultation une femme de 40 ans. Elle présente une obstruction nasale du côté droit et une rhinorrhée postérieure apparues il y a environ deux semaines. Elle se plaint également de céphalées et d'une douleur sous-orbitaire pulsatile à droite depuis quelques jours et augmentant la nuit. Le mouchage est purulent et elle a une fièvre à 38,5°C. Ses constantes sont normales. La rhinoscopie retrouve du pus dans le méat moyen et l'état buccodentaire est excellent. Elle vous explique avoir pris du paracétamol régulièrement cette semaine et se laver les fosses nasales au sérum physiologique plusieurs fois par jour sans que son état ne semble s'améliorer. Quel diagnostic est le plus probable ?
Sinusite ethmoïdale aiguë droite
Sinusite ethmoïdale chronique droite
Sinusite frontale aiguë droite
Sinusite frontale chronique droite
Sinusite maxillaire aiguë droite
Sinusite maxillaire chronique droite
Sinusite mycotique aspergillaire droite
Vous recevez en consultation une femme de 40 ans. Elle présente une obstruction nasale du côté droit et une rhinorrhée postérieure apparues il y a environ deux semaines. Elle se plaint également de céphalées et d'une douleur sous-orbitaire pulsatile à droite depuis quelques jours et augmentant la nuit. Le mouchage est purulent et elle a une fièvre à 38,5°C. Ses constantes sont normales. La rhinoscopie retrouve du pus dans le méat moyen et l'état buccodentaire est mauvais. Elle vous explique avoir pris du paracétamol régulièrement cette semaine et se laver les fosses nasales au sérum physiologique plusieurs fois par jour sans que son état ne semble s'améliorer. Quel germe serait le plus en faveur d’une origine dentaire ?
Pneumocoque
Haemophilus influenzæ
Staphylocoque
Moraxella catarrhalis
Germes anaérobies 
Vous recevez en consultation une femme de 40 ans. Elle présente une obstruction nasale du côté droit et une rhinorrhée postérieure apparues il y a environ deux semaines. Elle se plaint également de céphalées et d'une douleur sous-orbitaire pulsatile à droite depuis quelques jours et augmentant la nuit. Le mouchage est purulent et elle a une fièvre à 38,5°C. Elle vous signale avoir fait une importante réaction allergique à l'Augmentin dans l'enfance. Ses constantes sont normales. La rhinoscopie retrouve du pus dans le méat moyen et l'état buccodentaire est excellent. Vous posez le diagnostic de sinusite aigue maxillaire droite. Quel traitement est le plus adapté ?
Amoxicilline
Amoxicilline + acide clavulanique
Pristinamycine
Lévofloxacine
Macrolide
Vous recevez en consultation une femme de 40 ans. Elle présente une obstruction nasale du côté droit et une rhinorrhée postérieure apparues il y a environ 2 mois, récidiantes. Elle se plaint également de céphalées et d'une douleur sous-orbitaire pulsatile à droite depuis quelques jours et augmentant la nuit. Le mouchage est purulent et elle a une fièvre à 38,5°C. Ses constantes sont normales. La rhinoscopie retrouve du pus dans le méat moyen. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Sinusite ethmoïdale aiguë droite
Sinusite ethmoïdale chronique droite
Sinusite frontale aiguë droite
Sinusite frontale chronique droite
Sinusite maxillaire aiguë droite
Sinusite maxillaire chronique droite
Sinusite mycotique aspergillaire droite
Rhinite allergique chronique
Vous recevez dans votre cabinet de médecine générale un enfant de 2 ans présentant de multiples élevures saillantes, circonscrites et ombiliquées, mesurant de 1 à 5 mm et situées autour de la bouche et sur les joues. Elles ne contiennent pas de liquide. Quel type de lésion élémentaire présente ce patient ?
Vésicules
Pustules
Bulles
Végétations
Nodules
Papules
Nouures
Nævi
Vous recevez dans votre cabinet de médecine générale un enfant de 6 ans présentant des placards rouges vifs confluents au niveau des plis de flexion, du thorax et de l'abdomen, sans intervalles de peau saine et accompagnés d'une sensation de cuisson. Les lésions disparaissent à la vitropression. Quel type de lésion présente ce patient ?
Un exanthème morbilliforme
Un exanthème roséoliforme
Un exanthème scarlatiniforme
Un angiome plan
Un purpura pétéchial
Un purpura ecchymotique
Vous recevez dans votre cabinet de médecine générale un enfant de 2 ans présentant des maculo-papules rouge-vif, non prurigineuses, avec des intervalles de peau saine. Les lésions sont situées au niveau du visage, derrière les oreilles, au niveau du tronc et disparaissent à la vitropression. Quel type de lésion présente ce patient ?
Un exanthème morbilliforme
Un exanthème roséoliforme
Un exanthème scarlatiniforme
Un angiome plan
Un purpura pétéchial
Un purpura ecchymotique
Des vibices
Vous recevez un patient de 35 ans présentant des lésions squameuses blanches, brillantes, épaisses, larges et adhérentes. Au grattage, les squames s'effritent progressivement en lamelles jusqu'à ce que le derme soit mis à nu et que le sang perle en surface. Quel type de lésions présente ce patient ?
Squames pityriasiformes
Squames scarlatiniformes
Squames ichtyosiformes
Squames psoriasiformes
Squames folliculaires
Vous voyez en consultation un jeune patient de 5 ans présentant des petites macules pâles, non prurigineuses, apparues initialement au niveau de la face et progressivement extensives au niveau du tronc, des membres et des fesses. Il a une fièvre modérée et quelques adénopathies cervicales. Le vaccin ROR n'étant pas obligatoire, ses parents ont préféré ne pas le vacciner. Vous évoquez une rubéole. Quel type de lésion serait le plus en faveur de ce diagnostic ?
Un exanthème morbilliforme
Un exanthème roséoliforme
Un exanthème scarlatiniforme
Un purpura nécrotique
Un purpura pétéchial
Un purpura ecchymotique
Vous recevez une patiente 45 ans et se plaint de douleurs insomniantes des deux mains, en particulier au niveau des 2ème et 3ème articulations métacarpo-phalangiennes, ainsi que des interphalangiennes proximales qui sont gonflées, donnant à ses doigts un aspect « en fuseau ». Ces douleurs persistent au repos. Vous évoquez un tableau de polyarthrite rhumatoide. Quelle atteinte cutanée serait la plus en faveur de ce diagnostic ?
Nodules sous-cutanés au niveau des crêtes ulnaires
Érythème polymorphe au niveau des mains
Vésicules de localisation métamérique au niveau du tronc
Papules jaunâtres au niveau du visage
Bulles hémorragiques au niveau de la muqueuse buccale
Éruption rosacéiforme au niveau des ailes du nez
Vous recevez une patiente 45 ans, sans antécédent, se plaignant d'éruptions vésiculeuses étendues en bouquet de part et d'autre des commissures labiales. Quel agent pathogène est le plus probablement impliqué ?
Le virus varicelle-zona (VZV)
L'Herpes simplex virus de type 1 (HSV-1)
L'Herpes simplex virus de type 2 (HSV-2)
Le cytomégalovirus (CMV)
Le virus d'Epstein-Barr (EBV)
L'adénovirus
Le virus de l'immunodéficience humaine (VIH)
Vous recevez un jeune hommen âgé de 20 ans vient vous consulter pour une éruption vésiculeuse sur le pénis et autour de l'anus. Quel agent pathogène est le plus probablement impliqué ?
Le virus varicelle-zona (VZV)
L'Herpes simplex virus de type 1 (HSV-1)
Le cytomégalovirus (CMV)
L'Herpes simplex virus de type 2 (HSV-2)
Le virus d'Epstein-Barr (EBV)
L'adénovirus
Le virus de l'immunodéficience humaine (VIH)
Vous recevez un patient de 25 ans, séropositif au VIH, non observant concernant sa trithérapie. Il présente une altération de l'état général importante. Vous remarquez notamment des plaques violacées légèrement surélevées sur son tronc et ses bras. Quel diagnostic est le plus probable ?
Une neurofibromatose de type 1
Une sclérose tubéreuse de Bourneville
Une maladie de Kaposi
Un purpura fulminans
Des hémangiomes cutanés
Une sarcoïdose
Vous recevez à votre cabinet de médecine générale Mme X., 85 ans, dont les antécédents comportent une HTA, une dyslipidémie et un rétrécissement aortique calcifié. Elle se plaint de l’apparition de « grosses bulles qui grattent » sur le tronc et les membres de manière symétrique. Vous constatez à l’examen que ces bulles sont tendues et surviennent sur des zones de peau érythémateuse. Le signe de Nikolski est négatif. Quel est le diagnostic le plus probable devant ce tableau ?
Pemphigus superficiel
Syndrome de Stevens-Johnson
Syndrome de Lyell
Nécrose épidermique staphylococcique
Pemphigoïde bulleuse @ Pemphigoïde bulleuse
Vous recevez à votre consultation de médecine générale Mme V., 52 ans, dont les antécédents comportent un diabète de type 2, une HTA, une dyslipidémie et un éthylisme chronique non sevré. Elle vous consulte pour un panaris de l’index gauche survenu après une manucure un peu trop intensive. Par argument de fréquence, quel est le germe probablement responsable de ce panaris ?
Staphylococcus aureus
Streptococcus pyogenes
Staphylococcus epidermidis
Trichophyton rubrum
Microsporum canis
Vous recevez à votre consultation un patient de 35 ans, paysagiste, que vous suivez régulièrement pour un diabète de type 1. Il vous avait consulté pour un panaris au niveau de l’auriculaire droit il y a deux semaines, mais il vous avoue n’avoir pas été très observant concernant les bains antiseptiques que vous lui aviez prescrits. Vous constatez à l’examen clinique une attitude en crochet de l'auriculaire, avec des signes inflammatoires au bord ulnaire. Quel est votre diagnostic topographique le plus probable ?
Phlegmon de la gaine digito-carpienne radiale
Phlegmon d'une gaine d'un doigt médian
Phlegmon à bascule
Phlegmon de la gaine digito-carpienne ulnaire
Phlegmon avec nécrose du tendon
Vous recevez à votre consultation une jeune femme de 27 ans. Elle est esthéticienne et n’a pas d’antécédents particuliers. Elle se plaint d’une douleur et d’une rougeur de l’annulaire gauche depuis quelques jours. Vous constatez à l’examen clinique une collection périunguéale avec des signes locaux d'inflammation, de la fièvre, une adénopathie épitrochléenne et un écoulement de pus en surface. Quel est le diagnostic le plus probable devant ce tableau ?
Panaris périunguéal au stade inflammatoire
Panaris périunguéal au stade collecté
Panaris périunguéal collecté compliqué d'une fistulisation
Panaris périunguéal collecté compliqué d'une ostéite
Panaris périunguéal collecté compliqué d'une arthrite
Phlegmon
Vous recevez en consultation un cuisinier en milieu scolaire de 45 ans sans antécédent particulier et présentant un phlegmon des gaines suite, apparemment, à un panaris négligé. Un traitement chirurgical avec mise à plat de la gaine est réalisé en urgence. En plus de la kinésithérapie et de l’éducation du patient, quelle prise en charge est la plus appropriée ?
Traitement par AINS, vaccination antitétanique d’emblée et arrêt travail
Traitement par AINS, vaccination antitétanique d’emblée et poursuite du travail
Traitement par AINS, vaccination antitétanique selon statut vaccinal et poursuite du travail
Éviter traitement par AINS, vaccination antitétanique d’emblée et arrêt travail
Éviter traitement par AINS, vaccination antitétanique selon statut vaccinal et poursuite du travail
Éviter traitement par AINS, vaccination antitétanique selon statut vaccinal et arrêt de travail
Vous recevez aux urgences une patiente de 48 ans sans antécédent particulier retrouvé à l’interrogatoire. Elle vous explique s’être fait mordre au niveau de la main droite par l’un de ses chats il y a plusieurs jours et qu’elle n’arrive désormais plus à bouger le pouce droit car le moindre mouvement est extrêmement douloureux. Vous constatez qu’elle présente un phlegmon de la gaine digito-carpienne radiale invalidant. Quel type d’antibiotique serait le plus approprié chez cette patiente ?
Cycline
Amoxicilline
Fluoroquinolone
Céphalosporine de 3ème génération
Co-trimoxazole
Vous recevez en consultation une jeune fille de 22 ans pour un renouvellement de contraception et elle vous signale qu'un de ses doigts la fait souffrir depuis quelques jours. Elle présente en effet des signes locaux d'inflammation en périphérie de l'ongle de son index gauche, avec une douleur modérée au cours de la journée. Vous remarquez que c'est une adepte de la manucure. Elle n'a pas de fièvre. Quel diagnostic est le plus probable ?
Arthrite septique
Arthrite microcristalline
Ostéite
Panaris périunguéal au stade collecté
Panaris périunguéal au stade inflammatoire
Phlegmon de la gaine des fléchisseurs au stade collecté
Phlegmon de la gaine des fléchisseurs au stade inflammatoire
Vous recevez en consultation une jeune fille de 22 ans pour un renouvellement de contraception et elle vous signale qu'un de ses doigts la fait souffrir depuis quelques jours. Elle présente en effet des signes locaux d'inflammation en périphérie de l'ongle de son index gauche, avec une douleur modérée au cours de la journée : vous posez le diagnostic de panaris périungéal au stade inflammatoire. Quelle prise en charge est la plus appropriée ?
Traitement chirurgical seul
Traitement chirurgical associé à une antibiothérapie
Pansements et bains antiseptiques pluriquotidiens associés à des antalgiques et des antipyrétiques
Pansements et bains antiseptiques pluriquotidiens associés à des antalgiques
Antibiothérapie par cyclines PO pendant 10 jours associée à des antalgiques
Vous revoyez à 48h une patiente traitée pour panaris périungéal. La situation de son doigt a empiré. Elle vous explique que malgré le traitement que vous lui avez prescrit, elle a progressivement eu de plus en plus de mal à étendre son doigt car cela lui provoquait une douleur importante et qu'il est à présent complètement bloqué. Vous constatez à l'examen que son index est très œdématié et forme un crochet irréductible. La paume de sa main présente également des signes locaux d'inflammation et vous retrouvez quelques adénopathies satellites. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Arthrite septique
Ostéite
Panaris périungéal au stade collecté
Panaris périunguéal au stade inflammatoire
Phlegmon de la gaine des fléchisseurs au stade collecté
Phlegmon de la gaine des fléchisseurs au stade inflammatoire
Fasciite nécrosante
Rutpure tendineuse
Vous recevez à votre consultation une femme de 45 ans. Ses antécédents comportent notamment un lupus érythémateux disséminé à l’âge de 25 ans sans autre poussée depuis. Ses constantes sont les suivantes : FC 80 ; TA 130/70 mmHg. Elle vous décrit des douleurs bilatérales des mains et des pieds. Quel élément lors de votre interrogatoire peut vous orienter vers une douleur de rythme inflammatoire ?
Douleur maximale le soir
Douleur soulagée par le repos
Douleur augmentée à la palpation
Douleur réveillant la nuit
Douleur calmée par du paracétamol
Une patiente de 51 ans consulte pour des douleurs articulaires des poignets et des chevilles évoluant depuis 8 semaines. Elle a un antécédent d’hypothyroïdie. À l’interrogatoire et à l’examen physique, vous suspectez une polyarthrite rhumatoïde. Vous décidez de prescrire un bilan d’auto-immunité. Lequel de ces anticorps recherchez-vous chez cette patient qui serait le plus en faveur du diagnostic de polyarthrite rhumatoïde ?
Anti-SSA
Anti-Centromère
Anti-Actine
Anti-CCP
Anti-DNA natif
Vous recevez en consultation M. Y., 48 ans, ingénieur en aéronautique. Il souffre d’une polyarthrite survenue brutalement il y a 6 mois et qui a débuté aux genoux, avec notamment un épisode de synovite qui a duré 7 semaines, pour toucher ensuite successivement les poignets et les articulations métacarpophalangiennes. Il se plaint également d’un enraidissement de plus en plus prononcé des épaules. M.Y. n’est que peu soulagé par les AINS et il vous explique qu’il se réveille la nuit à cause de la douleur et que ses articulations sont particulièrement raides le matin. Ses antécédents comportent un tabagisme à 42 paquets-année, une dyslipidémie et un angor d’effort. Votre examen clinique et les examens complémentaires vous font finalement poser le diagnostic de polyarthrite rhumatoïde. Lors des prochaines consultations, quel sera le score le plus adapté pour évaluer l’activité de cette polyarthrite rhumatoïde ?
BASDAI
BASFI
DAS28
BASMI
HAQ
Vous recevez en consultation Mme O., 53 ans, magistrate. Elle souffre d’une polyarthrite survenue brutalement il y a 5 mois et qui a débuté au niveau des 2ème et 3ème articulations métacarpophalangiennes de manière bilatérale, avec une raideur et un dérouillage matinal supérieur à 30 min. Elle se plaint également d’une déformation de ses doigts de plus en plus prononcée. Ses antécédents comportent une hypothyroïdie, une hystérectomie pour fibrome utérin il y a 3 ans, un asthme allergique depuis l’enfance et une hypertension artérielle traitée depuis cinq ans par irbésartan et hydrochlorothiazide. Elle ne fume pas et n’est pas ménopausée. Vous suspectez une polyarthrite rhumatoïde. Quel autre signe recherchez-vous qui serait le plus en faveur de ce diagnostic ?
Lombalgies inflammatoires
Nodules sous-cutanés
Aphtes buccaux
Rash maculo-papuleux
Spondylolisthésis
Alopécie
Vous recevez en consultation M. L., 55 ans, avocat. Il souffre d’une polyarthrite survenue brutalement il y a 5 mois et qui a débuté au niveau des 2èmes et 3èmes articulations métacarpophalangiennes de manière bilatérale, avec une raideur et un dérouillage matinal supérieur à 30 min. Il se plaint également de douleurs au niveau des chevilles. Ses antécédents comportent un vitiligo, une hypertension artérielle traitée depuis quatre ans par irbésartan et hydrochlorothiazide et un tabagisme à 40 paquets-année. Vous suspectez une polyarthrite rhumatoïde et demandez des clichés radiologique Main et poignet de face. Quelles autres incidences radiologiques sont les plus appropriés pour confirmer votre diagnostic
Pieds face + ¾ ; genoux de face + profil
Pieds face + profil ; rachis cervical face + profil + bouche ouverte
Pieds face + ¾ ; rachis cervical face + profil
Pieds face + profil ; rachis cervical face + profil
Pieds face + profil ; genoux face + profil
Pieds face + ¾ ; rachis cervical face + profil + bouche ouverte
Vous recevez à votre consultation Mme V., 51 ans, secrétaire de mairie. Elle ne fume pas et ses antécédents comportent une appendicectomie dans l’enfance, une hypothyroïdie, de l’arthrose lombaire et une fracture du col du fémur survenue lors d’un AVP il y a 15 ans. Elle est droitière et se plaint d’acroparesthésies douloureuses fréquentes de la main droite à type de fourmillements et d’engourdissement. Ces douleurs empirent la nuit et l’empêchent de dormir. Vous pensez à un syndrome du canal carpien. Quel test allez-vous utiliser au cours de votre examen clinique pour mettre en évidence une compression du nerf médian ?
Test de Gerber
Test de Jobe
Test de Hawkins
Test de Patte
Test de Phalen
Vous recevez à votre consultation M. F., 29 ans, guide de haute montagne. Il ne fume pas, a des antécédents de fractures du calcaneum et du scaphoïde suite à des chutes, et pratique l’escalade à un haut niveau. Il vous décrit une douleur de la cuisse et de la jambe droites, irradiant jusqu’ à la plante du pied, et qui se déclenche dès qu’il part marcher sur des chemins un peu difficiles. À l’examen clinique, le Lasègue est positif, la marche sur les talons est possible mais vous constatez qu’il est incapable de tenir sur la pointe des pieds. Le réflexe achilléen est aboli à droite. Quelle est la localisation anatomique la plus probable de la lésion ?
Racine L2
Racine L3
Racine L4
Racine L5
Racine S1
Vous recevez à votre consultation M. W., 39 ans, agent d’entretien. Il a des antécédents de luxations d’épaule multiples, systématiquement à droite. Il se plaint depuis quelques temps de difficultés à lever le bras droit, ce qui le gêne dans son travail, et de douleurs au niveau du moignon de l’épaule. Quelle est la localisation anatomique la plus probable de la lésion ?
Racine C4
Racine C5
Racine C6
Racine C8
Racine C7
Vous recevez à votre consultation M. T., 47 ans, chauffeur de poids-lourd. Il est porteur d’une valve mitrale suite à une endocardite il y a 8 ans. Il se plaint d’une douleur à la face antéro-externe de la cuisse droite et se prolongeant au bord antérieur de la jambe et au niveau de la malléole interne. Quelle est la localisation anatomique la plus probable de la lésion ?
Radiculalgie L3
Radiculalgie L4
Radiculalgie S1
Radiculalgie L5
Vous recevez à votre consultation M. R., 29 ans, déménageur, pour une lombalgie aiguë survenue après le port d’une charge lourde. À l’examen, vous retrouvez une douleur lors de l’extension passive de la jambe vers l’avant (signe de Lasègue positif), et lors de l’extension passive vers l’arrière (signe de Léri). Quel autre signe clinique recherchez-vous qui serait le plus en faveur du diagnostic de hernie discale ?
Signe de Lhermitte
Signe de Phalen
Signe de la sonnette
Signe de Tinel
Signe du Tabouret
Vous recevez aux urgences un jeune homme de 27 ans. Plus tôt dans la journée, il effectuait un déménagement jusqu'au moment où il ressentit une violente douleur au niveau de la fesse et de la cuisse. À l'interrogatoire, vous comprenez que la douleur de la fesse irradie jusqu'au bord externe du pied gauche le long de son 5ème orteil, en passant par la face postérieure de la cuisse et le creux poplité. Vous ressentez une contracture des muscles para-vertébraux au niveau du rachis. Il n'a pas d'antécédent particulier hormis une appendicectomie à l'âge de 16 ans. L'état général conservé. Sa température est de 37,5 °C, sa tension artérielle est de 126/84. Sa fréquence cardiaque est normale. Le reste de l'examen clinique est normal. Quel diagnostic est le plus approprié ?
Lombocruralgie commune L3
Lombosciatique commune L5
Lombocrulagie symptomatique L4
Lombosciatique commune S1
Une étiologie extra-rachidienne
Lombocrulagie commune L4
Lombosciatique symptomatique L5
Lombosciatique symptomatique S1
Mme A., 80 ans, est admise au service d’accueil des urgences pour diarrhée abondante et vomissements. Comme antécédents on retrouve une suspicion de tumeur du foie avec scanner injecté il y a deux semaines. Elle est sous bisphosphonates et diurétique thiazidique pour une hypertension connue. À l’examen vous retrouvez : poids 35 kg, taille 1,60 m, TA 100/62 mmHg, FC 110 bpm, saturation en oxygène 87%. Il existe un pli cutané persistant. La créatininémie sur un bilan prescrit par son nouveau médecin traitant était à 70 µmol/L il y a un mois. Le résultat du bilan biologique que vous demandez est le suivant : Na+ 145 mmol/L, K+ 2,4 mmol/L, créatinine 310 µmol/L, urée 28 mmol/L. Vous faites réaliser une échographie rénale de principe qui montre des cavités pyélocalicielles fines et sans dilatation. Quel type d'insuffisance rénale est le plus probable devant ce tableau ?
Insuffisance rénale aiguë et fonctionnelle
Insuffisance rénale aiguë et nécrose tubulaire aiguë due à la déshydratation
Insuffisance rénale par obstacle lithiasique sur une éventuelle hypercalcémie d'origine thiazidique
Néphropathie interstitielle due à la pénicilline
Néphropathie vasculaire sur un terrain d'HTA
Mme A., 80 ans, est admise au service d’accueil des urgences pour diarrhée abondante et vomissements. Comme antécédents on retrouve une suspicion de tumeur du foie avec scanner injecté il y a deux semaines. Elle est sous bisphosphonates et diurétique thiazidique pour une hypertension connue. À l’examen vous retrouvez : poids 35 kg, taille 1,60 m, TA 100/62 mmHg, FC 110 bpm, saturation en oxygène 87%. Il existe un pli cutané persistant. Quel élément serait le plus en faveur du diagnostic d’une insuffisance rénale aigue?
Une petite taille des reins
Une hypocalcémie
Une hyperphosphorémie
Une anémie arégénérative
Une hyperuricémie
Une créatininémie de base normale
Une HTA
Une acidose métabolique
Vous recevez en consultation un homme de 55 ans qui se plaint de difficultés à la miction. À l'interrogatoire, il vous explique que depuis quelque temps il a la sensation de devoir « pousser » pour uriner et il se plaint d'aller aux toilettes plus de 5 fois par jour. Il était au cinéma avec sa femme quand il a eu une envie soudaine et pressante d'aller uriner (« Seulement quelques gouttes sont sortie. »). Voici ce que vous notez dans un premier temps : température 37,8°C, TA 132/85 mmHg, 1,85 m pour 75 kg, antécédent de torsion testiculaire en 1980. Quel est la prochaine étape diagnostique la plus appropriée ?
Bandelette urinaire
Toucher rectal
Recherche d'une douleur lombaire
Dosage du PSA
Échographie réno-vesico-prostatique
Vous recevez un patient de 55 ans se plaignant de dysurie. La BU ne retrouve pas d'hématurie, de glycosurie, ni de signes d'infection urinaire. Le PSA est légèrement augmenté, la créatinémie est à 95 µmol/L. Vous lui faites une échographie réno-vésico-prostatique et vous retrouvez un résidu post mictionnel de 80 ml, ainsi qu'une légère dilatation des cavités pyélocalicielles non significative. La prostate est évaluée à 30g. Le patient est géné de manière modérée dans sa qualité de vie (IPSS = 15/35). Quelle prise en charge est la plus appropriée en première intention ?
Abstention thérapeutique
Monothérapie par un inhibiteur de la 5-alpha réductase
Monothérapie par un alpha bloquant
Bithérapie comprenant un alpha bloquant et un inhibiteur de la 5-alpha réductase
Monothérapie par un anti-cholinergique
Résection transurétrale de prostate
Incision cervico-prostatique
Vous recevez un patient de 55 ans se plaignant de dysurie : après évaluation clinique, vous mettez en place de l'Alfuzosine (Xatral) 1 cp le soir après le repas. Que recherchez vous en priorité avant de prescrire ce traitement ?
Syndrome dépressif
Antécédent d'hypotension orthostatique
Association avec un inhibiteur de l'alpha-réductase
Insuffisance rénale sévère
Insuffisance cardiaque chronique
Vous suivez un patient de 55 ans porteur d’hypertrophie bénigne de la prostate. Après un évolution défavorable, vous avez réalisé une prise en charge chirurgicale : l’intervention s’est déroulée sans complication, et vous laissez sortir le patient. A quel risque est le plus exposé ce patient à long terme ?
TURP syndrome
Prostatite
Dysfonction érectile
Incontinence urinaire
Sténose du col vésical
Éjaculation rétrograde
Un patient de 45 ans avec des antécédents dépressifs est admis aux urgences pour obnubilation, céphalées importantes et vomissements. Tenant un discours inapproprié, l'interrogatoire est difficile. Il présente des troubles de comportement et ne sait ni la date, ni le lieu où il se trouve. Vous le voyez regarder autour de lui, perdu. Sa femme vous dit qu'il boit « beaucoup trop de bière et que ça ne l'étonne pas qu'il soit maintenant dans cet état ». Vous apprenez aussi qu'il présente depuis quelques jours une gastro-entérite qui lui donne d'importantes diarrhées liquidiennes. Il a perdu 5 kg en 3 jours et présente à l'entrée une fébricule à 37,9°C. La tension artérielle est de 110/64 mmHg. À l'examen neurologique, on ne note pas de syndrome neuro-méningé, ni d'anomalie pupillaire. Vous ne retrouvez une réponse motrice qu'à la douleur. Quel est le diagnostic le plus probable?
Hématome sous-dural aigu
Hyperhydratation intracellulaire
Delirium tremens
Déshydratation extracellulaire
Encéphalopathie hépatique due à l'importante consommation d'alcool
Hypoglycémie par inhibition de la néoglucogenèse hépatique Syndrome de sevrage
Un patient de 45 ans avec des antécédents dépressifs est admis aux urgences pour obnubilation, céphalées importantes et vomissements. Tenant un discours inapproprié, l'interrogatoire est difficile. Il présente des troubles de comportement et ne sait ni la date, ni le lieu où il se trouve. Vous le voyez regarder autour de lui, perdu. Sa femme vous dit qu'il boit « beaucoup trop de bière et que ça ne l'étonne pas qu'il soit maintenant dans cet état ». Vous apprenez aussi qu'il présente depuis quelques jours une gastro-entérite qui lui donne d'importantes diarrhées liquidiennes. Il a perdu 5 kg en 3 jours et présente à l'entrée une fébricule à 37,9°C. La tension artérielle est de 110/64 mmHg. À l'examen neurologique, on ne note pas de syndrome neuro-méningé, ni d'anomalie pupillaire. Vous ne retrouvez une réponse motrice qu'à la douleur. Quel est le score de Glasgow du patient ?
8
9
10
11
12
Mr F est un patient de 35 ans suivi pour une sarcoïdose. Il est admis à l'hôpital en raison d'une hypercalcémie à 3,50 mmol/l. L’examen clinique retrouve une tension artérielle à 120/80 mmHg, une fréquence cardiaque à 75/min et une température à 37.2°C. Quel est le mécanisme le plus probablement responsable de l'hypercalcémie ici ?
Granulomes osseux responsables d'une hyperrésorption osseuse
Sécrétion de parathormone par les fibroblastes des granulomes
Diminution de l'excrétion tubulaire de calcium par néphropathie tubulaire
Synthèse de 1 alpha hydroxylase par les macrophages des granulomes
Hyperrésorption osseuse liée à la corticothérapie systémique
Une femme de 70 ans est hospitalisée pour altération de l'état général. Son examen clinique retrouve une température à 37°C, une fréquence cardiaque à 65/min et une tension artérielle à 115/80 mmHg. Laquelle de ces manifestations cliniques est la plus évocatrice d'une hypercalcémie symptomatique ?
Polyarthrite distale
constipation
Nystagmus
Toux sèche
pyurie
Mr X, 55 ans, est admis aux urgences pour un myélome multiple avec hypercalcémie. Son examen clinique retrouve une tension artérielle à 125/80 mmHg, une fréquence cardiaque à 85/min. Le patient est apyrétique. Un électrocardiogramme est réalisé. Parmi les manifestations électrocardiographiques suivantes, laquelle serait la plus évocatrice d'une hypercalcémie avec signes de gravité ?
Allongement de l’espace QT
Sous-décalage de l'espace PQ
Ondes T amples et pointues
Ondes de Pardee (sus-décalage de l'espace ST)
Raccourcissement de l'espace QT
Un homme de 68 ans se présente aux urgences pour une hypercalcémie à 2.6 mmol/L. Il est dénutri, il pèse 48 kg. Sa tension artérielle est à100/75 mmHg, sa fréquence cardiaque à 75/min et sa température à 37.3°C. Le bilan biologique retrouve également une hypoalbuminémie à 22 g/L. Quelle est la valeur de la calcémie corrigée ?
2.75 mmol/L
2.95 mmol/L
2.85 mmol/L
3.05 mmol/L
3.15 mmol/L
Mme V, 38 ans est hypertendue et traitée pour un VIH. Elle se présente à sa consultation de suivi, sa tension artérielle est à 140/85 mmHg, avec une fréquence cardiaque à 75/min et une température à 37.1°C. Son bilan sanguin retrouve une hypophosphorémie chronique. Dans l'hypothèse d'une cause iatrogène, vous inspectez son ordonnance. Parmi ses médicaments habituels, lequel est le plus susceptible de provoquer cette anomalie ?
Ténofovir
Furosemide
Indapamide
teriparatide
Cholécalciférol
Un homme de 25 ans consulte aux urgences de votre hôpital pour des céphalées progressivement croissantes depuis 2 jours, associées depuis quelques heures à une photophobie. Ses constantes sont: PA 110/55 mmHg; pouls 110 /min; T° à 38,2°C. Quel serait le résultat de la ponction lombaire le plus probable en cas de méningite tuberculeuse (glycémie à 5,2 mmol/L) ?
Eléments nucléés: 122/mm3 (90% de lymphocytes), glycorrachie: 3,1 mmol/L, protéinorachie: 0,4 g/L
Eléments nucléés: 122/mm3 (90% de lymphocytes), glycorrachie: 1,8 mmol/L, protéinorachie: 1,7 g/L
Eléments nucléés: 122/mm3 (90% de lymphocytes), glycorrachie: 3,1 mmol/L, protéinorachie: 1,7 g/L
Eléments nucléés: 122/mm3 (50% de lymphocytes), glycorrachie: 3,1 mmol/L, protéinorachie: 1,7 g/L
Eléments nucléés: 122/mm3 (50% de lymphocytes), glycorrachie: 1,8 mmol/L, protéinorachie: 1,7 g/L
Une jeune femme de 30 ans est amenée par son mari à votre cabinet car elle présente des céphalées très intenses depuis le début de la matinée. A l’examen clinique vous notez quelques éléments purpuriques des membres inférieurs et ses constantes sont les suivantes : TA 90/50 mmHg; pouls 120 /min; T° 39°C. Quel est le meilleur traitement à administrer dans ce cas?
Ceftriaxone 50 mg/kg puis dexamethasone 20 mg
Dexaméthasone 10 mg puis ceftriaxone 25 mg/kg
Dexaméthasone 20 mg puis ceftriaxone 50 mg/kg
Dexaméthasone 10 mg puis ceftriaxone 50 mg/kg
Ceftriaxone 25 mg/kg puis gentamycine 5mg/kg
Un petit garçon de deux ans est amené aux urgences de l’hôpital car celui-ci a présenté un épisode de convulsions spontanément résolutives dans un contexte fébrile. A l’examen clinique, l’enfant est hypotonique, ses constantes sont les suivantes : TA 70/40 mmHg; pouls 140 /min; T° 38,9°. Quel est le meilleur traitement chez cet enfant de 2 ans ?
Aciclovir 20 mg/kg/8 heures pendant 21 jours
Aciclovir 15 mg/kg/8 heures pendant 14 jours
Aciclovir 10 mg/kg/8 heures pendant 14 jours
Aciclovir 10 mg/kg/8 heures pendant 21 jours
Aciclovir 15 mg/kg/8 heures pendant 21 jours
Dans votre service, vous prenez en charge en hospitalisation un homme de 35 ans. Il présente depuis 2 semaines environ, de la fièvre à 38.5°C et des hémoptysies. A l’examen clinique sa tension artérielle est à 120/75 mmHg, sa fréquence cardiaque à 90/min. L’auscultation pulmonaire retrouve des roncchii à droite. L’examen bactériologique des crachats est positif sur les 3 prélèvements successifs avec l’identification de mycobacterium tuberculosis. L'antibiogramme est le suivant :Isoniazide: Résistant Rifampicine: Résistant Ethambutol: Résistant Pyrazinamide: Sensible Amikacine: Sensible Levofloxacine: Sensible Quelle est la forme de cette tuberculose ?"
tuberculose multi-sensible
Tuberculose multi-résistante
Tuberculose présentant un profil de sensibilité habituel
Tuberculose extrêmement résistante
Tuberculose résistante à un seul antituberculeux de première génération
Une patiente de 45 ans est hospitalisée dans votre service pour une tuberculose pulmonaire. Son examen clinique retrouve une tension artérielle à 136/77 mmHg, une fréquence cardiaque à 85/min et une température à 38°C. Dans le cadre du bilan de cette tuberculose, une co-infection virale doit être systématiquement recherchée. Quelle sérologie complémentaire devez-vous demander pour votre patiente ?
VIH
HHV6
CMV
VHB
Parvovirus B19
"Dans votre service de pneumologie, un patient de 38 ans est hospitalisé pour tuberculose pulmonaire. Il n’a pas d’antécédent particulier, et n’a jamais été traité pour la tuberculose. Son examen clinique retrouve une température à 38.2°C, une tension artérielle à 140/80 mmHg et une fréquence cardiaque à 95/min. Quel est le meilleur traitement pour cette.tuberculose pulmonaire ? H = isoniazid, R = rifampicin, Z = pyrazinamide, E = ethambutol, S = streptomycin"
HRZE pendant 2 mois puis HR pendant 4 mois
HRZE pendant 2 mois, puis HE pendant 6 mois
HRE pendant 3 mois, puis HR pendant 6 mois
RZE pendant 6 mois
HRZE pendant 4 mois, puis HR pendant 2 mois
Vous voyez en consultation de suivi un patient traité pour une tuberculose pulmonaire certaine par le traitement standard. A la visite, sa tension artérielle est à 135/75 mmHg, sa fréquence cardiaque à 75/min et sa température à 37.3°C. Combien de temps après l’initiation du traitement sera-t-il nécessaire de contrôler les crachats pour la première fois ?
A 15 jours
A 2 mois
A 9 mois
A 12 mois
Un patient de 38 ans actuellement traité pour une tuberculose contagieuse, vous amène son fils de 4 ans en consultation. L’enfant a une tension artérielle à 120/70 mmHg, une fréquence cardiaque à 70/min et sa température est à 37°C. Il vous pose la question de la nécessité d’un dépistage pour son fils. Que devez-vous faire dans ce cas ?
Un examen clinique puis une radiographie thoracique puis un test sanguin à l'interféron gamma
Un examen clinique puis une radiographie thoracique puis une IDR à la tuberculine
Un examen clinique puis une IDR à la tuberculine puis une radiographie thoracique
Un examen clinique puis un test sanguin à l'interféron gamma puis une radiographie thoracique
Aucun dépistage car l’enfant a de moins de 5 ans
Une femme âgée de 65 ans hospitalisée en service de gynécologie après hystérectomie présente une fièvre modérée associée à une pesanteur pelvienne. Ses constantes sont: TA 115/80 mmHg; pouls 80/min. Quelle proposition est le plus en faveur d'une infection urinaire sur sonde urinaire ? (ECBU signifie examen cytobactériologique des urines)
Patiente fébrile et ECBU retrouvant une leucocyturie à 106/mL et bactériurie à 106 ufc/mL
Patiente apyrétique et ECBU retrouvant une leucocyturie à 106/mL et bactériurie à 106 ufc/mL
Patiente fébrile et bandelette urinaire retrouvant une leucocyturie à 106/ml sans bactériurie
Patiente apyrétique et ECBU sans leucocyturie et bactériurie à 106 ufc/mL
Patiente fébrile et ECBU retrouvant une leucocyturie à 106/mL et bactériurie à 104 ufc/mL
Un homme de 73 ans consulte aux urgences de votre hôpital pour fièvre associée à une dysurie intense. Ses constantes sont: TA 95/30 mmHg; pouls 110 /min; Temp à 38,8°C. Quel est le meilleur traitement probabiliste à administrer en urgence chez un patient sans antécédent présentant une prostatite aiguë avec signes de sepsis sévère ?
Amoxicilline-acide clavulanique et gentamicine
Ceftriaxone et gentamicine
Ciprofloxacine et gentamicine
Trimethoprime sulfamethoxazole et gentamicine
Imipenem et gentamicine
Une jeune femme de 23 ans sans antécédents particuliers consulte à votre cabinet pour fièvre associée à des brûlures urinaires et des douleurs lombaires depuis le début 48 heures. Ses constantes sont: TA 125/60mmHg; pouls 70/min; Temp à 38,5°C. Quel est la meilleure prise en charge dans les suites d'une pyélonéphrite aiguë simple ? (ECBU signifie examen cytobactériologique des urines)
La réalisation d’un ECBU 48 heures après l'arrêt des antibiotiques
La réalisation d’un ECBU 48 heures et 6 semaines après l'arrêt des antibiotiques
La réalisation d’un uroscanner 4 semaines après la fin du traitement antibiotique
L’abstention de tout examen devant un premier épisode en l’absence d’antécédent
La réalisation d’une échographie rénale 4 semaines après l'arrêt des antibiotiques
Un bébé de 18 mois est amené par sa grand-mère à votre cabinet pour une fièvre inexpliquée. A l’examen clinique, l’enfant est rouge, il pleure quand vous palpez ses fosses lombaires. Ses constantes sont: TA 80/40 mmHg; pouls 120 /min; T° à 39°C. Quel est le meilleur traitement probabiliste d'une pyélonéphrite aiguë chez ce jeune enfant?
Amoxicilline-acide clavulanique
Ciprofloxacine
Ceftriaxone
Cefalexine
Trimethoprime sulfamethoxazole
Un jeune homme de 30 ans consulte à votre cabinet pour dysurie associée à des brûlures mictionnelles intenses depuis 24 heures. Ses constantes sont: TA 120/70 mmHg; pouls 90/min; T° 38,5°C. L’examen cytobactériologique des urines que vous lui avez fait réaliser montre des bacilles gram négatif à l’examen direct. Quelle est la bactérie la plus probablement en cause dans ce contexte de prostatite aiguë?
Neisseria gonorrheae
Chlamydia trachomatis
Ureaplasma uralyticum
Escherichia coli
Enterococcus faecalis
Un diagnostic de tuberculose ganglionnaire et pulmonaire surinfectant un VIH est posé chez un patient de 32 ans. Ses lymphocytes T CD4 sont à 34/mm3. Une quadrithérapie antituberculeuse est initiée, suivi deux semaines plus tard par un traitement antirétroviral. Trois semaines plus tard, le patient est fébrile et les ganglions cervicaux présents au moment du diagnostic grossissent brutalement. Leur ponction ne retrouve que des BAAR à l'examen direct. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Lymphome cervical associé à la tuberculose
Echec du traitement antituberculeux
Infection à mycobactérie atypique associée
Syndrome de restauration immunitaire
Effets secondaires des antirétroviraux
Vous suivez depuis peu dans une ONG un patient de 36 ans, séropositif pour le VIH et le VHB. Quelle est la meilleure proposition thérapeutique chez ce patient asymptomatique ayant 457 CD4/mm3 sans autre antécédent ?
Pas de traitement antirétroviral car CD4 > 350 /mm3
Zidovudine + lamivudine + efavirenz
Ténofovir + emtricitabine + efavirenz
Ténofovir + emtricitabine + atazanavir/ritonavir
Ténofovir + emtricitabine + névirapine
Vous voyez pour la première fois en consultation une jeune femme de 25 ans, adressée par son médecin traitant dans le cadre de la découverte d’une séropositivité pour le VIH. Ses constantes sont les suivantes PA 120/70, pouls 65/min, T° 37°C. Quelle complication classe recherchez-vous en faveur d’un stade 4 OMS ?
Tuberculose pulmonaire dans l'année
Leucoplasie chevelue de la langue
Candidose vulvovaginale persistante
Tuberculose ganglionnaire
Pneumopathie bactérienne sévère
Un homme de 35 ans très inquiet vient consulter à votre cabinet afin de réaliser un test de dépistage du VIH après un rapport sexuel à risque. Ses constantes sont les suivantes PA 120/70, pouls 65/min, T° 37°C. Le test est positif, quelle est la prise en charge la plus appropriée ?
Mise en place d’un traitement antirétroviral
Confirmation par un test ELISA
Réalisation d’un deuxième test rapide
Mesure d’une charge viral e VIH
Vous recevez en consultation à votre cabinet un homme âgé de 50 ans se plaignant de fièvre et céphalées depuis 48 heures. Ses constantes sont les suivantes : PA 110/55, pouls 100/min, T° 38,6°C. Chez ce patient, quel signe serait le plus évocateur d’un diagnostic de paludisme ?
Polyadénopathie
Eruption maculaire
Diarrhée sanglante
Photophobie
Algie diffuse
De garde aux urgences, vous examinez une femme de 45 ans, qui consulte pour fièvre depuis 24 heures. Les constantes sont les suivantes : PA 105/55, pouls 110/min, T° 39, 1°C. Vous diagnostiquez un accès palustre. Quel examen complémentaire est le plus approprié avant l'administration d'une dose de charge de quinine intraveineuse afin d'éliminer une éventuelle contre-indication ?
Numération de formule sanguine
Glycémie à jeun
Créatinine plasmatique
Electrocardiogramme
Radiographie pulmonaire
Un jeune homme de 32 ans consulte à votre cabinet pour une fièvre depuis deux jours associée à un syndrome pseudogrippal. Ses constantes sont les suivantes : PA 120/65, pouls 95/min, T° 38,7°C. Le frottis goutte épaisse est positif. Il n’existe pas de signe clinique de gravité. Bandelette urinaire négative. Au niveau biologique : Hb 12g/dl, Plaquettes 70 G/L, Glycémie 6,7mmol/l, ionogramme et fonction rénale normale.
Arthémeter-luméfantrine
Quinine
Mefloquine
Atovaquone-proguanil
Quinine -clindamycine
Un homme de 40 ans est hospitalisé en soins intensifs dans le cadre d’une fièvre avec confusion. Ses constantes sont les suivantes : PA 80/45 mmHg, pouls 120/min, T°39,2°C. Le bilan biologique est le suivant : Hb 5,2g/dl, Plaquette 40G/L, Glycémie 2,2mmol/L, Frottis Goutte épaisse positif. Quelle espèce est la plus proablement en cause dans ce cas ?
Plasmodium knowlesi
Plasmodium falciparum
Plasmodium malariae
Plasmodium ovale
Plasmodium vivax
En tant qu’expert du paludisme, vous êtes interrogé par le ministère de la santé afin de diminuer l’incidence de la maladie dans la population cambodgienne. Quelle mesure préventive est la plus efficace pour faire baisser durablement l'incidence du paludisme ?
Utilisation régulière individuelle de répulsifs antimoustiques
Traitement prophylactique individuel au long cours
Campagnes régulières de démoustiquation
Traitement précis des cas de paludisme
Utilisation systématique de moustiquaires la nuit
Un patient âgé de 65 ans, sans antécédents, consulte à votre cabinet pour une toux avec des expectorations mucopurulentes depuis 24 heures. Il n’a pas d’antécédents particulier. Ses constantes sont les suivantes : PA 120/80, pouls 85/min, T° 38,2°. Quel signe recherchez-vous en faveur du diagnostic de pneumonie aïgue ?
Toux productive
Expectorations verdâtres
Fièvre en plateau
Ronchis diffus
Crépitants en foyer
Un homme de 35 ans, fumeur, se présente à votre consultation pour fièvre et toux depuis environ 1 semaine. Vous faites réaliser cette radiographie pulmonaire. Quel est le diagnostic le plus probable ?@icono@      
 
2
2
Bronchopneumopathie obstructive
Bronchite aiguë communautaire
Tuberculose pulmonaire latente
Abcès pulmonaire excavé
Pneumonie aiguë communautaire
Vous examinez une femme de 40 ans à votre cabinet pour une dyspnée dans un contexte fébrile depuis 48 heures. Elle présente un toux productive. Les constantes sont les suivantes : PA 110/60, pouls 100/min, t° 38,5°C, Sp02 94%. A l’examen vous retrouvez des crépitants en foyer. Quel score, facilement calculable en médecine ambulatoire, est le meilleur indicateur de gravité dans ce cas ?
Score CRB65
Score de Bold
Score de Genève
Score de Glasgow
Score de Borg
Un nourrisson de 6 mois est amené par ses parents pour une dyspnée sifflante apparue dans le 24 heures. L’enfant présente un freinage expiratoire avec une polypnée superficielle. Ses constantes sont les suivantes : PA 80/40, pouls 130/min, T° 38,2°C, Sp02 93%. Vous ne retrouvez pas de foyer à l’auscultation. Quel germe sera le plus probablement en cause dans ce cas ?
Streptococcus pneumoniae
Staphylococcus aureus
Virus influenzae type A
Virus respiratoire syncitial
Haemophilus influenza type B
Un jeune homme de 18 ans sans comorbidités consulte à votre cabinet pour une dyspnée fébrile depuis 48 heures. A l’auscultation vous retrouvez un foyer de crépitants en base gauche. Ses constantes sont les suivantes : PA 15/60, pouls 105/mn, T° 38,4°C, SP02 97%. Quel serait le meilleur traitement probabiliste ici ?
Amoxicilline
Penicilline G
Ceftriaxone
Ofloxacine
Piperacilline
M. Oum, 53 ans, se présente aux urgences de votre clinique pour fièvre associée à des frissons. Il n’a aucun antécédent particulier. A l’examen clinique, la tension artérielles est à 140/80 mmHg, la fréquence cardiaque à 95/min, et la température à 39°C. Vous remarquez un érysipèle du membre supérieur probablement secondaire à une lésion cutanée du poignet droit. Vous faites prélever des hémocultures, le laboratoire vous appelle le lendemain pour vous signaler quelles sont positives à streptocoque. Quelle antibiothérapie vous semble la plus adaptée dans l’attente de l’antibiogramme ?
Amoxicilline 1 gr 3 fois par + gentamycine 3 mg/kg
Vancomycine 15 mg/kg/j + ofloxacine 200mg 2 fois par jour
Ceftriaxone 2 gr par jour + amikacine 20 mg/kg/j
Streptomycine 1 gr par jour
Ciprofloxacine 500 mg 2 fois par jour
Interne de garde aux urgences obstétricales, vous voyez Mme Sivantha, 28 ans, G3P2, pour une fièvre associée à des lombalgies et des contractions utérines ayant débuté quelques heures plus tôt. Sa tension artérielle est à 135/80 mmHg, sa fréquence cardiaque à 90/min et sa température à 38.8°C. Vous suspectez une pyélonéphrite bactérienne. Quelle est la bactérie la plus probablement en cause ?
Neisseria gonorrhoeae
Listeria monocytogenes
Streptococcus du groupe B
Staphylococcus aureus
Escherichia coli
Vous traitez actuellement M. Saram, 48 ans pour une fièvre en plateau. A l’examen clinique, vous retrouvez un ulcère de jambe chronique. La température est à 38.5°C, la tension artérielle à 125/75 mmHg, la fréquence cardiaque à 80 /min. Vous récupérez les examen biologique suivants : ECBU négatif, ECBC négatif, 3 hémocultures à 1 h d’intervalle positives à Staphylocoque Aureus. Quel est l’examen le plus approprié dans la suite de la prise en charge ?
Un scanner thoracique
Une échographie des tissus mous de la porte d'entrée
Un scanner des sinus
Une échocardiographie transthoracique
un panoramique dentaire
M. Satya , 68 ans, présentant comme antécédent principal un diabète non insulino dépendant, est hospitalisé pour fièvre avec altération de l'état général depuis plusieurs semaines. Son poids est à 50 kg, sa tension artérielle à 100/65 mmHg, sa fréquence cardiaque à 90/min et sa température à 39°C. Le bilan initial montre un syndrome inflammatoire biologique. Le bilan à la recherche de tuberculose est négatif. Devant l'absence de diagnostic vous faîtes réaliser un scanner thoracique et abdominal. Celui-ci montre une petite lésion excavée apicale droite ainsi que de multiples abcès hépatiques et spléniques. Les hémocultures montrent un petit bacille gram négatif. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Endocardite infectieuse à staphylocoque
Pneumopathie à Pseudomonas aeruginosa
Mélioïdose
Tuberculose avec atteinte hépato splénique
Amibiase hépatosplénique
Interne de garde à l'Hôpital National Pédiatrique, vous accueillez le petit Chanty, 18 mois, amené par sa mère pour une fièvre importante associée à des frissons et une altération de l'état général. A l’examen clinique, la température est à 39.2°C, la tension artérielle à 90/60 mmHg, la fréquence cardiaque à 95/min. L’auscultation cardiopulmonaire est normale, l’examen cutané retrouve des éléments purpuriques. Quel traitement administrez-vous en urgence avant tout prélèvement ?
Peni G 100 000 unités/kg
érythromycine 10 mg/kg
Vancomycine 15mg/kg
Ceftriaxone 50 mg/kg
Aciclovir 20 mg/kg
Chirurgien orthopédiste, vous revoyez en consultation de contrôle M. Sophorn, 53 ans, conducteur de motodop, 30 jours après son intervention chirurgicale (fixateur externe pour fracture complexe de la jambe droite). L'examen clinique retrouve : des orifices de fixateur propres, peu inflammatoires, un état cutané satisfaisant et une consolidation osseuse sur la radiographie de contrôle. Vous notez par ailleurs une douleur légère de toute la jambe à la palpation et un œdème modéré par comparaison à l'autre jambe. Les paramètres vitaux sont : PA 125/65 mHg, FC 90 min, FR 23/min et T° 38,2. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Infection du site opératoire
Erysipèle
Allergie au matériel de fixation
Pneumopathie secondaire à l'alitement
Phlébite
Interne de garde aux urgences de Battambang, vous recevez M. Sopheap, 72 ans, sans antécedent, déposé par sa famille car légèrement confus, marbré aux genoux, fébrile à 39,2°. La tension artérielle est à 140/70 mmHg avec une fréquence cardiaque à 100/min. Les premiers résultats biologiques retrouvent des GB à 24000/mm^3 et une créatininémie à 322 µmol/l. Quelle est le diagnostic le plus approprié ?
Sepsis sévère
Septicémie
Choc septique
Sepsis
Syndrome de Réponse Inflammatoire Systémique
De garde en pédiatrie, vous examinez le jeune Kolbot, 6 ans, prostré, avec une fièvre en plateau à 40° depuis le matin. Il geint quand on allume la lumière. A l’examen clinique, la tension artérielle est à 110/70 mmHg, la fréquence cardiaque à 85/min. Vous retrouvez une raideur de nuque. Vous réalisez une ponction lombaire. L'examen direct en urgence retrouve un diplocoque gram négatif. De quel germe s'agit-il le plus probablement?
Streptococcus pneumonia
Neisseria meningitidis
Virus du groupe herpes
Haemophilus influenzae
Mycobacterium tuberculosis
De garde en réanimation, vous recevez Melle Chovyvann, 27 ans, amenée par sa famille pour hyperthermie à 39,4° et altération de l'état général depuis 48 heures. A l'examen physique, la patiente est pâle, marbrée aux genoux, son Glasgow est à 14. Vous notez : fréquence respiratoire à 34/min, SpO2 88%, fréquence cardiaque 126/min, pression artérielle 70/50 mmHg, oligurie. Quel est le traitement à débuter en urgence ?
Diurétiques de l'anse type furosémide
Hydratation par Glucosé 5% 500 ml/24H Paracétamol 1 gramme intraveineux
Antibiothérapie large spectre type pipéracilline-tazobactam
Transfusion en urgence par 2 concentrés globulaires
Vous êtes le chirurgien qui opère Mme Tola, 27 ans, sans antécédents, d'une péritonite appendiculaire. Son examen clinique est normal avec un poids à 45 kg, une tension artérielle 120/80 mmHg et une fréquence cardiaque à 65/min. Quelle antibiothérapie est la plus appropriée en post opératoire ?
Amoxicilline 1 gr 3 fois par jour pendant 10 jours
Piperacilline 4 gr 3 fois par jour pendant 7 jours
Amoxicilline + acide clavulanique 1 gr 3 fois par jour pendant 48h
Gentamicine 3 mg/kg + ciprofloxacine 500 mg 2 fois par jour pendant 10 jours
Ceftriaxone 1 gr par jour + Metronidazole 500 mg 3 fois par jour pendant 7 jours
Un homme de 40 ans consulte à votre cabinet pour des douleurs de la face associées à des céphalées dans un contexte fébrile. Ses constantes sont les suivantes : PA 125/75, pouls 80/min, T° 38,3°C. Vous diagnostiquez une sinusite maxillaire et prescrivez de l’erythromycine. De quel effet secondaire le plus fréquent informez-vous le patient ?
Troubles digestifs @
Insuffisance rénale
Photosensibilisation
Cytolyse hépatique
Réactions allergiques
Vous suivez en consultation un patient âgé de 62 ans traité par quadrithérapie antituberculeuse. A un mois du début du traitement, il se plaint de paresthésies des membres inférieurs. Vous constatez une abolition des réflexes ostéotendineux. Quelle est la molécule la plus probablement en cause ?
La rifampicine
L'isoniazide
Le pyrazinamide
L'ethambutol
L’amikacine
Une agricultrice de 54 ans est hospitalisée dans votre service pour une hématémèse. L’examen clinique retrouve des signes cliniques d’hypertension portale. L’hémodynamique est conservée, la numération de formule sanguine met en évidence une hyperéosinophilie. L’échographie abdominale retrouve des nodules hépatique et splénique avec hypertension portable sévère. La sérologie revient positive en IgM pour Schistosoma mekongi. Quel est le traitement le plus approprié ?
Ivermectine
Albendazole
Praziquentel
Diéthylcarbamazine
Metronidazole
Vous traitez une femme de 45 ans pour des infections urinaires à répétition. Devant l’inefficacité du traitement mis en place chez cette patiente sans facteur de risque urologique, vous décidez de demander un antibiogramme en complément de l’examen cytobactériologique des urines. Quel est le type de résistance antibiotique le plus probable ?? Escherichia coli Amoxicilline : Résistant Amoxicilline-acide clavulanique : Intermédiaire Ticarcilline : Résistant Pipéracilline-tazobactam : Intermédiaire Cefalotine : Résistant Cefuroxime : Résistant Cefoxitine : Sensible Ceftriaxone : Résistant Imipenem : Sensible
Pénicillinase de bas niveau
Imperméabilité membranaire
Modification de l'ADN gyrase
Bétalactamase à spectre élargi
Mécanisme actif d'efflux
Vous voyez en consultation de pneumologie un patient de 50 ans pour dyspnée aiguë. A l’examen clinique, la tension est à 120/80 mmHg, sa fréquence cardiaque à 90/min et la saturation à 88% en air ambiant. A l’inspection, il présente un tirage respiratoire. Quel muscle respiratoire accessoire met-il en jeu ? ?
Diaphragme
Sterno-cléido-mastoïdiens
Deltoide
Dilatateurs du pharynx
Trapèzes
En consultation de suivi pneumologique, vous revoyez un patient de 65 ans suivi pour insuffisance respiratoire chronique. A l’interrogatoire, il vous dit devoir d’arrêter au bout d’une centaine de mètre de marche en raison de son essoufflement. A l’examen clinique, sa tension artérielle est à 115/75 mmHg, sa fréquence cardiaque à 75/min et sa saturation en air ambiant à 90%. Quelle est son stade de dyspnée selon l’échelle du MRC (Medical Research Council) ?
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Un de vos patients, connu pour une BPCO de stade 2 stable, consulte aux urgences pour une dyspnée aiguë survenue brutalement il y a 2 heures. Sa saturation en air ambiant est à 84%, sa fréquence respiratoire est à 38/min, il est fébrile à 38.2°C. La tension artérielle est à 130/80 mmHg, avec une fréquence cardiaque à 85/min. L’auscultation retrouve des ronchii du champ pulmonaire droit. Les gaz du sang en urgence montre un pH à 7.38, une pO2 à 50 mmHg et une pC02 à 43 mmHg. Quel est le traitement à débuter en première intention et en urgence à ce patient ?
Ventilation non-invasive
Diurétique intraveineux
Oxygène
Salbutamol intraveineux
Ventilation invasive
En consultation de pneumologie, vous faite le bilan d’une BPCO de découverte récente chez un patient de 55 ans. A l’examen clinique, la saturation en air est à 91%, la tension artérielle à 125/65 mmHg et la fréquence cardiaque à 75/min. Quel est l'examen le plus facilement réalisable en consultation, qui vous permettra de déterminer la tolérance à l'exercice de votre patient ?
VO2 Max
Scintigraphie pulmonaire d'effort
Test de marche des 6 minutes
Mesure du débit expiratoire de pointe (Peak-flow)
Vous diagnostiquez une BPCO stade 2 à un fumeur non sevré de 46 ans. Il n'y a pas encore de complication. Son examen clinique est normal avec une tension artérielle à 130/80 mmHg, une fréquence cardiaque à 70/min, sa saturation en air est à 95%. Quelle est la principale modalité thérapeutique à mettre en œuvre pour prendre en charge cette BPCO ?
Vaccination antigrippale annuelle
Oxygénothérapie
Kinésithérapie respiratoire
Bronchodilatateur de courte durée d'action
Sevrage tabagique
Vous voyez en consultation d’allergologie, une patiente de 12 ans pour un bilan initial de rhinite allergique. Son examen clinique est normal avec une tension artérielle à 120/75 mmHg, une fréquence cardiaque à 65/min et une saturation en air à 99%. Vous expliquez à ses parents le mécanisme de la rhinite allergique. Selon la classification de Gell et Coombs, à quelle catégorie d'hypersensibilité appartient son allergie ?
Type 1
Type 2
type 3
type 4
Un homme de 43 ans consulte en pneumologie pour une rhinite allergique. Il présente des symptômes d'éternuement, de rhinorrhée et de prurit tous les ans depuis 3-4 ans. Ces symptômes durent habituellement 4 à 5 mois consécutifs dans l'année. Ces symptômes le gênent fortement dans son métier de cultivateur de riz; l'empêchant notamment d'être dans la rizière certains jours. Quel est le stade de cette rhinite selon la classification ARIA (Allergic Rhinitis and Its Impact on Asthma) ?
Intermittente légère
Intermittente sévère
Persistante légère
persistante sévère
Persistante modérée
Vous suivez depuis 4 ans un jeune garçon âgé de 8 ans, pour un asthme saisonnier. Son examen clinique ce jour est normal avec une tension à 125/80 mmHg, une fréquence cardiaque à 70/min, et une saturation à 99%. Vous suspectez une origine allergique à cet asthme.. Vous souhaitez l’évaluer car vous envisagez une désensibilisation. Quel est le meilleur examen complémentaire pour étudier la sensibilisation IgE-dépendante ?
Dosage sérique des IgE totales
Dosage des éosinophiles sanguins
Dosage sérique de la tryptase
Tests cutanés (prick tests)
Tests de provocation bronchique
Vous voyez en consultation un jeune homme de 21 ans pour un asthme. A l’interrogatoire, il rapporte des crises persistantes d’intensité modérée, à raison de 2 par semaine en moyenne. Il est apyrétique. L’examen clinique retrouve quelques sibilants en fin d’expiration, la tension artérielle est à 130/80 mmHg, sa fréquence cardiaque à 70/min et sa saturation en air à 100%. Son Peak-Flow est à 600 l/min comme habituellement. Son traitement de fond comporte un corticostéroïde inhalé à faible dose et du salbutamol à la demande. A votre avis, quelle est l’adaptation thérapeutique la plus appropriée ?
Ajout d’un corticostéroïde inhalé forte dose
Ajout d’un bronchodilatateur de longue durée
Ajout d’une corticothérapie systémique
Ajout d’omalizumab
Ajout de théophylline
Vous suivez un patient de 23 ans pour un asthme allergique. Il vous consulte aujourd'hui car ses crises sont de plus en plus fréquentes à raison de 3 à 4 par semaine, avec des crises nocturnes. La prise de bronchodilatateur de courte durée d’action environ 5 fois par semaine le soulage bien. Votre examen retrouve une auscultation pulmonaire normale. UneFfréquence respiratoire à 21/minute; un pouls à 68 bpm; une tension artérielleà 126/78mmHg et une SpO2 à 100%. Son peak-flow (DEP) est à 650 L/min comme à son habitude à l'état stable. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Asthme bien contrôlé
Asthme partiellement contrôlé
Asthme non contrôlé
Exacerbation asthme en crise modérée
Asthme aigu grave
Vous voyez aux urgences un patient pour douleur thoracique aigue. Il n’a pas d’antécédent particulier. Son examen clinique est normal avec une tension à 135/80 mmHg, une fréquence cardiaque à 85/min, une fréquence respiratoire à 22/min, une saturation à 99%. L’auscultation pulmonaire est normale. Vous faite une radiographie pulmonaire (cliché ci-joint). Quel est le diagnostic le plus probable ?
 
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Un pneumothorax complet droit
Une pleurésie de moyenne abondance gauche
Un pneumothorax partiel basal droit
Un pneumothorax partiel apical gauche
Une pleurésie cloisonnée droite
Aux urgences, vous voyez un patient pour pneumothorax droit complet. Il n’a pas d’antécédent particulier. Il n’y a pas de facteur déclenchant évident à ce pneumothorax. Son examen retrouve une tension à 130/80 mmHg, une fréquence cardiaque à 80/min, une fréquence respiratoire à 25/min, une saturation à 96%. L’auscultation pulmonaire montre une abolition du murmure vésiculaire à droite. Quel est d’après vous la lésion la plus vraisemblablement responsable de ce pneumothorax spontané idiopathique ?
Bulle d'emphysème
Blebs
bronchectasie
caverne
Kyste
Vous voyez en consultation de suivi un patient de 22 ans, pour la surveillance de son 1er épisode de pneumothorax spontanée idiopathique. Il n’a pas d’antécédent particulier. Son examen clinique est normal avec une tension à 125/80 mmHg, une fréquence cardiaque à 65/min, une fréquence respiratoire à 18/min, une saturation à 100%. L’auscultation pulmonaire est normale. Quelle contre-indication principale devez-vous lui recommander ?
Définitive à la plongée sous-marine
Temporaire (12 mois) aux voyages aériens pressurisés
Temporaire (3 mois) à l'effort physique intense
Définitive aux séjours en altitude > 2500m
Définitive au parachutisme
Vous voyez en consultation en urgences un patient de 25 ans pour récidive d’un pneumothorax. Il a déjà présenté il y a 2 ans un pneumothorax droit complet. Il n’a pas de comorbidités. A l’examen clinique sa tension est à 140/80 mmHg, la fréquence cardiaque à 90/min, la fréquence respiratoire à 30/min, et la saturation en air à 93%. L’auscultation pulmonaire retrouve une abolition du murmure vésiculaire à droite. La radiographie pulmonaire confirme le pneumothorax droit complet non compressif. Quelle stratégie thérapeutique proposez-vous pour cette récidivede pneumothorax ?
Drainage thoracique exclusif à droite
Pleurodèse à droite
Exsufflation à l’aiguille à droite
Thoracostomie droite
Pleurodèse à gauche
Vous voyez aux urgences une patiente pour douleur thoracique aigue. Elle est suivie pour une cardiopathie ischémique sous traitement par aspirine 75 mg. Son examen clinique retrouve une tension artérielle à 140/85 mmHg, une fréquence cardiaque à 85/min, une fréquence respiratoire à 28/min, une saturation à 94%. L’auscultation pulmonaire retrouve une abolition du murmure vésiculaire à gauche. Quel examen paraclinique devez-vous faire en priorité ?
Radiographie thoracique
Scanner thoracique
Scintigraphie cardiaque
Electrocardiogramme
échographie cardiaque
Vous faites une ponction pleurale droite à un homme de 73 ans présentant un épanchement pleural modéré bilatéral. A l’examen clinique vous retrouvez une tension à 130/80 mmHg, une fréquence cardiaque à 75/min et une saturation à 92%. L’auscultation pulmonaire retrouve une diminution du murmure vésiculaire à mi- champ à droite. Le résultat cytobiochimique de la ponction est le suivant : taux de protéine = 19 g/L; éléments nucléés: 300 leucocytes /mm3. Il n’y a pas d'éléments nucléés atypiques et le liquide est stérile. Quel est le diagnostic le plus probable ?
insuffisance cardiaque gauche
Mésothéliome
épanchement parapneumonique
Asbestose
Pleurésie purulente
Vous voyez en consultation en urgence un patient de 65 ans pour dyspnée aigue. A l’examen clinique vous retrouvez une tension à 135/80 mmHg, une fréquence cardiaque à 95/min et une saturation à 91%. L’auscultation pulmonaire retrouve une diminution du murmure vésiculaire à gauche et une matité complète à gauche. Vous faites une radiographie pulmonaire en urgence dont voici le cliché. Quel est le diagnostic le plus probable ? .
 
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Pneumothorax gauche complet
Atéléctasie du poumon gauche
Pleurésie gauche compressive
Pneumothorax droit complet
Pneumomédiastin
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Vous voyez en consultation en urgence une patiente de 35 ans, pour douleur thoracique. Elle est suivie habituellement pour un cancer du sein. A l’examen clinique vous retrouvez une tension à 125/70 mmHg, une fréquence cardiaque à 65/min et une saturation à 96%. L’auscultation pulmonaire retrouve une diminution du murmure vésiculaire de la base gauche. Vous faite une ponction pleurale exploratrice. Le cliché pulmonaire de contrôle est le suivant Quelle est votre prise en charge en urgence ?
 
 
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Oxygénothérapie
Exsufflation à l’aiguille
Drainage thoracique
Surveillance simple
Ventilation non invasive
Vous revoyez en consultation un patient de 35 ans qui habite Kratie et qui vous consulte une 3e fois en 2 mois pour une pleurésie droite récidivante. Il n’a pas d’antécédent particulier. A l’examen clinique vous retrouvez une température à 38°C, une tension à 130/75 mmHg, une fréquence cardiaque à 90/min, une fréquence respiratoire à 22/min et une saturation en air à 95%. L’auscultation pulmonaire retrouve une diminution du murmure vésiculaire à mi- champ à droite. Les différentes ponctions pleurales réalisées retrouvent toujours une pleurésie lymphocytaire. Il n’y a pas d’autre documentation bactériologique, ni de cellules tumorales. Quel traitement est le plus approprié en première intention ?
Anti tuberculeux
Mammaire
ORL
ovarien
Colique
De garde aux urgences, un homme de 50 ans vous est amené par ses voisins car il hurle des paroles incohérentes, il est impossible de le calmer ou de discuter avec lui, il est très agité. Il ne semble pas avoir consommé de l’alcool. Ses constantes sont normales : PA 135/80, pouls 90/min, T°37,4°C. Devant un état délirant aigu, quel traitement médicamenteux est le plus adapté pour améliorer son agitation ?
Amitriptyline
Valproate
Halopéridol
Fluoxetine
Lithium
Vous revoyez en consultation de suivi un jeune patient de 23 ans, un mois après la mise en place d’un traitement neuroleptique dans le cadre d’une psychose débutante. Devant son traitement, qu’allez-vous rechercher an priorité chez ce patient à l’examen clinique ?
Une crise tonico-clonique
Une dyskinésie aiguë
Un syndrome malin
Une constipation opiniâtre
Une hypotension orthostatique
Une patiente de 32 ans est hospitalisée dans votre service dans le cadre d’une psychose débutante. Vous décidez d’initier un traitement par neuroleptique. Quelle anomalie la plus dangereuse recherchez-vous systématiquement à l'électrocardiogramme avant de mettre en place la prescription ?
Un allongement du segment QT
Un microvoltage diffus
Un sous décalage du segment ST
Un raccourcissement du PR
Une inversion de l’onde T
Vous examinez une patiente âgée de 70 ans amenée par son fils pour des propos délirants. Celui –ci vous dit que sa mère tient des propos délirants depuis plus de 24 heures. L’examen physique est sans particularité, les constantes sont les suivantes : PA 140/85, pouls 83/min, T°36,5°C. Quel signe allez-vous recherchez à l’examen clinique qui serait le plus en faveur d’un syndrome confusionnel ?
Des hallucinations acoustiques
Des hallucinations cénesthésiques
Une adhésion totale au délire
Un retentissement anxieux
Une désorientation temporo-spatiale
Une femme âgée de 43 ans, sans antécédents, est amenée par son mari aux urgences de l’hôpital pour un état d’agitation intense. L’examen physique est sans particularité ; les constantes sont les suivantes : PAS : 135/70, pouls 100/min, T° 36,8°C. Quel signe recherchez-vous qui serait le plus évocateur d’un état délirant ?
Un sentiment de dépersonnalisation
Des tremblement diffus
Un sentiment de déréalisation
La peur de mourir
Des hallucinations auditives
Vous examinez une patiente de 18 ans sans antécédents aux urgences, amenée par sa sœur car elle la trouve très agitée. La crise est arrivée très vite, la patiente se plaint d’étouffement, de sueurs et de tremblements. Sur le plan physique, l’examen et les constantes sont normaux. Quel est le meilleur examen à réaliser afin d’éliminer une étiologie organique ?
Un ionogramme sanguin
Une glycémie capillaire
Une calcémie ionisée
Un dosage de TSH
Un dosage de troponine
Vous examinez une patiente de 40 ans qui se présente seule aux urgences pour une attaque de panique. Celle-ci se connait bien car elle a déjà présenté des épisodes similaires dans les mois précédents. Quel élément de gravité allez-vous rechercher en priorité lors de l'entretien ?
Une addiction à l'alcool
Une addiction aux benzodiazépines
Un risque suicidaire
Un trouble obsessionnel compulsif
Un syndrome dépressif
Vous revoyez en consultation une femme âgée de 44 ans, pour une répétition d’attaque de panique durant les quelques mois précédents. Quel est le meilleur traitement de fond à mettre en place dans le cadre de ce trouble panique ?
Antidépresseur
Anxiolytique
Hypnotique
Bétabloquant
Neuroleptique
Un jeune homme de 17 ans sans antécédents est amené aux urgences par des amis car il est très agité et se plaint d’une multitude de symptômes : tremblements, nausées, douleurs abdominales, sensation de dépersonnalisation. L’examen physique ne retrouve pas de signe clinique objectif, en particulier ses constantes sont normales (PA 130/80, pouls, 95/min, T° 37°C). Quel élément déclencheur allez-vous rechercher en priorité à l'interrogatoire ?
Un événement de vie
Une prise de cannabis
Une intoxication au CO
Une phobie animale
Une dysthyroïdie
Vous recevez aux urgences un patient de 60 ans, sans antécédent particulier. Il vient de présenter de manière brutale un déficit hémi corporel droit, apparu il y a 1 heure. Son examen clinique retrouve une tension à 140/80 mmHg, une fréquence cardiaque à 80/min. Le score de Glasgow est à 15. Le scanner cérébral réalisé en urgence est normal. Vous suspectez un AVC d’origine ischémique, et vous voulez adresser votre patient en centre spécialisé pour une indication de thrombolyse intraveineuse. Dans quel délai maximal disposez-vous pour adresser le patient depuis le début de son symptome? (@NO-RANDOM@)
2h20
3h30
6h30
4h30
5h30
Vous recevez aux urgences un patient de 55 ans présentant un tableau brutal d'hypoesthésie de l’hémicorps droit et de l’hémiface droite. Il n’a pas d’antécédent particulier. A l’examen clinique sa tension artérielle est à 150/85 mmHg, avec une fréquence à 110/min. L’examen neurologique ne retrouve pas de déficit moteur ni de trouble cognitif. Le score de Glasgow est à 15. L’auscultation cardiaque est irrégulière avec une fibrillation auriculaire à l’électrocardiogramme. Vous suspectez un AVC ischémique. Quel territoire cérébral est le plus probablement atteint ?
Pariétal gauche
Capsule interne gauche
Frontal gauche
Protubérantiel gauche
Thalamique gauche
Un éthylisme chronique. A l’examen clinique, sa tension artérielle est à 155/80 mmHg avec une fréquence cardiaque à 80/min. Les céphalées sont modérées, le patient est nauséeux mais n’a pas vomit. Il est obnubilé avec un score de Glasgow à 14. L’examen neurologique ne retrouve pas de déficit. Le scanner cérébral réalisé en urgence montre un hématome intra-parenchymateux de 2 cm. Vous le gardez en hospitalisation pour surveillance. Le patient présente une élévation de tension artérielle. Quelle valeur de pression artérielle systolique maximale est la plus appropriée dans ce cas ? (@NO-RANDOM@)
180 mm Hg
160 mm Hg
200 mm Hg
240 mm Hg
220 mm Hg
Vous recevez aux urgences un patient de 80 ans pour céphalées. Il n’a pas d’antécédent particulier. A l’examen clinique, sa tension artérielle est à 145/80 mmHg avec une fréquence cardiaque à 80/min. Les céphalées sont modérées. Le score de Glasgow est à 15. L’examen neurologique ne retrouve pas de déficit. Le scanner cérébral réalisé en urgence retrouve un hématome intra-parenchymateux de 15 mm. Quelle cause d'hématome intraparenchymateux principale suspectez-vous chez ce patient ?
Angiopathie amyloïde
Iatrogénie
Hypertension artérielle
Malformation artério-veineuse
Rupture d'anévrysme
Vous recevez aux urgences un patient de 45 ans pour céphalées. Il n’a pas d’antécédent particulier. Les céphalées sont apparues depuis 1 semaine, d’intensité croissante, actuellement permanente. Il a vomit ce matin, raison pour laquelle il consulte ce jour. A l’examen clinique, il est apyrétique, sa tension artérielle est à 135/80 mmHg avec une fréquence cardiaque à 60/min. L’examen neurologique ne retrouve pas de déficit, pas de raideur de nuque, le score de Glasgow est à 15. Vous demandez un scanner cérébral avec injection en urgence. Quel signe radiologique serait le plus en faveur d’une thrombophlébite cérébrale ?
Signe du delta
Signe du gamma
Signe du thêta
Signe de l'omega
Signe de l'alpha
Vous suivez un patient de 40 ans pour des névralgies chroniques du nerf trijumeau. Son examen clinique est normal avec une tension artérielle à 120/75 mmHg, une fréquence cardiaque à 65/min. Quelle serait la zone douloureuse la plus en faveur d’une atteinte isolée de la branche V2 du nerf trijumeau?
lèvre inférieure
menton
front
paupière inférieure
Arête nasale
Vous recevez aux urgences une patiente de 40 ans pour céphalées brutale associée initialement à un malaise syncopal. Il n’a pas d’antécédent particulier. Elle présente des nausées avec vomissement depuis son admission. Les céphalées sont intenses, de siège occipital. L’examen clinique retrouve une température à 38°C, une tension artérielle à 160/90 mmHg avec une fréquence cardiaque à 70/min. L’examen neurologique retrouve une raideur de nuque, ainsi qu’une diplopie. La patiente est obnubilée avec un score de Glasgow est à 14. Quel est le premier diagnostic à rechercher en urgence ?
Accident vasculaire ischémique
Dissection carotidienne
Thrombose veineuse profonde cérébrale
Méningite purulente
Hémorragie méningée
Vous voyez en consultation de médecine, une patiente de 16 ans obèse présentant des céphalées de décubitus, associées à une baisse de l'acuité visuelle bilatérale matinale s'améliorant en orthostatisme. A l’examen clinique, la température est à 37.2°C, la tension artérielle à 135/80 mmHg et la fréquence cardiaque à 70/ min. Son imagerie cérébrale est normale Quelle étiologie suspectez-vous devant ce tableau clinique ?
Céphalées d'Arnold
Hypotension du liquide céphalo-rachidien
Hypertension intracrânienne idiopathique
Syndrome d'apnée obstructive du sommeil
Dysautonomie
Vous recevez en urgences un patient de 40 ans pour douleur aigue de la face. Il s’agit d’une douleur intense péri orbitaire droite à type de brulure, accompagné de larmoiement et de rhinoré unilatérale. Il présente ces crises douloureuses depuis 3 jours. Il avait déjà présenté un épisode de ce type il y a 10 mois. A l’examen clinique, la tension artérielle est à 170/95 mmHg, avec une fréquence cardiaque à 95 /min. Il est apyrétique, le Glasgow est à 15 et l’examen neurologique ne retrouve pas de signes déficitaires. Quel traitement est le plus approprié en première intention ?
Paracétamol
Morphine
Carbamazépine
Oxygénothérapie
Corticoïde
Vous suivez une patiente de 40 ans pour céphalées. Elle n’a pas d’autre antécédent. Son examen clinique ce jour retrouve une tension artérielle à 125/70 mmHg, une fréquence cardiaque à 60/min, son examen neurologique est normal. Elle vous fait remarquer qu’elle n’a jamais bénéficié d’imagerie cérébrale. Quel signe serait le plus en faveur de la réalisation d’une imagerie cérébrale ?
Photophobie
atteinte unilatérale
caractère pulsatile
Ccotome scintillant
Nausées et vomissements
Vous suivez en consultation un patient de 35 ans pour épilepsie. Il vous consulte pour rééquilibrer son traitement car a présenté la semaine dernière 3 épisodes de crises convulsives. A l’examen clinique, sa tension artérielle est à 135/70 mmHg, sa fréquence cardiaque à 70/min. Le score de Glasgow est à 15. L’examen neurologique est normal. Il est traité depuis 2 ans par CARBAMAZEPINE (Tegretol) et LEVETIRACETAM (Keppra), qu’il prend régulièrement. Quel est est l’expression qualifiant le mieux l’épilespie du patient ?
Epilepsie partielle pharmaco dépendante
Epilepsie généralisée pharmaco dépendante
Epilepsie partielle pharmaco résistante
Epilepsie généralisée pharmaco résistante
Vous recevez en soins continu une patiente de 33 ans en état de mal épileptique convulsif depuis plus de 30 min. Son examen clinique retrouve une tension artérielle à 135/80 mmHg, avec une fréquence cardiaque à 80/min. A l’examen clinique, elle présente une crise tonico-clonique généralisée, sans signe déficitaire. Son score de Glasgow est à 10. Vous débuter un traitement intraveineux par benzodiazépine et phénytoïne. Qu’allez-vous surveiller en priorité pendant la perfusion ?
Diurèse
Saturation pulsée en oxygène
éléctrocardiogramme
Tension artérielle
éléctroencéphalogramme
Vous suivez un patient de 22 ans pour épilepsie. Il n’a pas d’autres antécédents. Vous le revoyez pour mettre en place un traitement par Carbamazépine. Son examen clinique ce jour retrouve une tension à 125/75 mmHg, une fréquence cardiaque à 60/min. Le score de Glasgow est à 15 et l’examen neurologique normal. Vous lui expliquez les effets secondaires du traitement. De quel effet secondaire est le plus à risque ce patient ?
Hypernatrémie
Insuffisance rénale aigue
Réaction cutanée sévère
Diabète
Hyperthyroïdie
Vous voyez en urgence accompagné de sa maman, un garçon de 2 ans pour un premier épisode de crise convulsive généralisée. A l’examen clinique ce jour, la température est à 40°C, la tension artérielle à 130/80 mmHg, la fréquence cardiaque à 80/ min. Vous suspectez une convulsion hyperthermique. Quel critère de convulsion hyperthermique compliquée recherchez-vous ?
Antécédents familiaux
Durée supérieure à 5 minutes
Manifestation unilatérale
Révulsion oculaire
Récidive de la crise
Vous voyez en urgence accompagné de sa maman, un garçon de 2 ans pour un premier épisode de crise convulsive généralisée. A l’examen clinique ce jour, la température est à 40°C, la tension artérielle à 130/80 mmHg, la fréquence cardiaque à 80/ min.. Quel élément serait le plus en faveur du caractère complique de cette crise ?
Antécédents familiaux
Durée supérieure à 5 minutes
Manifestation unilatérale
Révulsion oculaire
Récidive de la crise
Vous suivez en hospitalisation en service de neurologie une enfant de 6 ans pour bilan d’épilepsie. Elle présente des crises d’épilepsie où ses parents n’arrivent plus à communiquer avec elle : elle a les yeux perdus dans le vague, et ne réagit pas au stimuli pendant plusieurs secondes. Son examen clinique retrouve une tension à 125/80 mmHg, une fréquence cardiaque à 75/min, un score de Glasgow à 15. Vous réalisez un l’éléctroencéphalogramme : quel est l’aspect le plus probable dans ce cas clinique ?
Pointes ondes lentes unilatérales
Pointes-ondes généralisées de 3 Hz
Pointes ondes généralisées non rythmiques
Pointes-ondes lentes en bouffées bisynchrones symétriques
Pointes-ondes en bouffées unilatérales
Mme E, 23 ans, vous consulte pour une asthénie évoluant depuis 2 mois. Elle n'a pas d'antécédent notable et ne prend aucun traitement. Elle explique avoir pris 5 kilogrammes en 2 mois et se plaint d'une constipation d'apparition récente. L'hémogramme que vous avez demandé est le suivant: Hb 10,5g/dL VGM 105fl Réticulocytes à 40 G/L Leucocytes : 5,6G/L sans anomalie à la formule. Plaquettes : 160G/L. Parmi les examens suivants, lequel sera le plus probablement anormal ?
TSH
Natrémie
CRP
Créatininémie
Ferritinémie
Vous revoyez en consultation Mr M, 35 ans pour bilan d’une anémie de découverte récente. L’examen clinique retrouve une tension artérielle à 105/75 mmHg, une fréquence cardiaque à 90/min. Le bilan biologique complémentaire retrouve : Hb: 11,2g/dL, VGM: 70fl, Réticulocytes: 70G/L Leucocytes: 5,7G/L sans anomalies à la formule, plaquettes: 234G/L, Ferritinémie: 60 (Normale : 50-200), CRP: 3. Compte tenu de ces résultats, quel examen à visée étiologique vous semble le plus approprié ?
Myélogramme
Electrophorèse de l'hémoglobine
Dosage vitamines B9 et B12
TSH
créatininémie
Monsieur H, 75 ans est adressé aux urgences de votre hôpital suite à un accident de voiture à haute cinétique (90 km/h) compliqué d'une probable fracture splénique. Ses principaux antécédents sont une hypertension artérielle,une hypercholestérolémie, un éthylo-tabagisme non sevré. L’examen clinique retrouve une tension artérielle à 70/40 mmHg, une fréquence cardiaque à 120/min et une température à 36°C. L'hémogramme à l'admission retrouve: Hémoglobine: 6g/dL, VGM 80fL, Leucocytes : 7,4G/L sans anomalies à la formule. Plaquettes: 360G/L. Quelle complication secondaire à l'anémie devez-vous craindre en priorité chez ce patient ?
Coma
Détresse respiratoire aigue
Ischémie aigue des membres inferieurs
Syndrome coronarien aigu
Insuffisance rénale aigue
Mme D, 55 ans est adressé à la demande de son médecin traitant suite à la mise en évidence d'une anémie lors d'un bilan d'asthénie. Elle n'a aucun antécédent et ne prend pas de traitement. Elle décrit une asthénie d'apparition progressive. A l'examen vous retrouvez une pâleur cutanéo-muqueuse, un subictère conjonctival, une tachycardie à 120 battements/minutes et une splénomégalie à 4 cm sous le rebord costal. Le reste de l'examen est sans particularité. Le bilan biologique retrouve : Hémoglobine: 9g/dL, VGM: 102fl, Leucocytes: 6G/L formule normale, plaquettes: 175G/L. Réticulocytes: 350G/L, Haptoglobine indosable. Test de coombs positif à IgG. Schizocytes négatifs. Quelle prise en charge vous semble la plus adaptée?
Transfusion de 2 concentrés érythrocytaires
Splénectomie
Supplémentation acide folique
Corticothérapie
Supplémentation B12
Madame G, 65 ans consulte pour une asthénie évoluant depuis plusieurs mois. Mme G a comme principal antécédent un adénocarcinome du sein droit traité il y a 5 ans par chirurgie et chimiothérapie adjuvante. Le dernier contrôle par son oncologue effectué il y a 3 mois était en faveur d'une rémission complète. Mme G prend comme unique traitement du paracétamol pour des douleurs rhumatismales. La patiente décrit une dyspnée d'effort apparaissant pour des efforts de moins en moins importants. L'état général est par ailleurs conservé et l'examen clinique strictement normal. L'hémogramme que vous avez demandé en première intention retrouve : Hémoglobine: 9,5g/dL , VGM: 98fl , Leucocytes: 2,9 G/L dont polynucléaires neutrophiles: 1,2G/L et lymphocytes: 1,1G/L, plaquettes: 98G/L. Quelles est l'hypothèse diagnostique la plus probable pour expliquer cette anémie?
Polyarthrite rhumatoïde
Myélodysplasie
Hypothyroïdie
Aplasie médullaire idiopathique
Leucémie aigue myéloblastique
Vous voyez en consultation pré opératoire un patient de 30 ans sans antécédent particulier. A l’examen clinique la tension artérielle est à 125/80 mmHg avec une fréquence cardiaque à 65/min. Son bilan de coagulation retrouve un allongement du temps de céphaline avec activateur (TCA) avec taux de prothrombine (TP) normal. Quel dosage complémentaire allez-vous réaliser en priorité pour compléter le bilan ?
protéine C
Facteur X
facteur XIII
Facteur VI
Facteur VIII
Vous voyez en consultation un garçon de 12 ans pour bilan de trouble de la coagulation. Il n’a pas d’antécédents médicaux personnel, mais des antécédents familiaux de maladie hémorragique. Son examen clinique retrouve : TA 135/80 mmHg, FC : 75/min, température 36.8°C. Le bilan étiologique retrouve un déficit en facteur VIII. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Hémophilie A
Hémophilie B
Maladie von Willebrand de type 1
Maladie von Willebrand de type 2
Maladie von Willebrand de type 3
Vous voyez en consultation un patient suivi pour un déficit sévère en facteur XIII. Son examen clinique retrouve : TA 130/80 mmHg, FC à 75/mi, température 37.2°C. Sur un bilan de coagulation, quel élément serait le plus en faveur de ce diagnostic ?
Un taux de prothrombine abaissé
Un temps de céphaline avec activateur allongé
Un taux de prothrombine normal
Un temps de saignement allongé
Un temps de thrombine allongé
Vous recevez aux urgences un garçon de 12 ans pour chute avec plaie superficielle au membre inférieur droit. La plaie saignement abondamment, et la maman vous informe que l’enfant est porteur d’une hémophilie A mineure. A l’examen clinique, la tension artérielle est à 140/80 mmHg, la fréquence cardiaque à 90/min et la température à 37.3°C. Le bilan biologique en urgence retrouve une hémoglobine à 135 g/L. Quel est le traitement est le plus approprié ?
Concentrés de facteur IX
Concentrés de facteur Willebrand
Desmopressine
Héparine
vitamine K
Mr J, 51 ans est adressé par son médecin pour l'exploration d'anomalies biologiques découvertes de façon fortuite. Il n'a pas d'antécédent notable.Il est agriculteur, fumeur à 15 paquets-année non sevré. L’examen clinique retrouve : TA 115/80 mmHg, FC 80/min, température 37.1°C. Le bilan biologique retrouve : Hb 11g/dL, VGM: 90fl, Leucocytes: 4,5G/L dont polynucléaires neutrophiles: 3,4G/L, plaquettes: 55G/L. Quel examen complémentaire faites-vous en priorité?
Myélogramme
Dosage des vitamines B9 et B12
Biopsie ostéo-médullaire
Ferritinémie
Test de Coombs
Mme C, 34 ans est adressée à votre consultation pour bilan d'une thrombopénie isolée à l'hémogramme. Elle n’a pas d’antécédent particulier. Ses constantes sont : TA 130/75 mmHg, FC 75/Min, température 37.3°C. L’examen cutané retrouve des pétéchies. Vous suspectez un purpura thrombopénique idiopathique. Quel est le mécanisme physiopathologique est le plus probable ici?
Auto-immun
Viral
bactérien
médicamenteux
Toxique
Mr F, 17 ans consulte pour une asthénie évoluant depuis 8 jours avec une hyperthermie à 38,5°C sans frissons pour laquelle vous avez prescrit un traitement par amoxicilline débuté il y a 5 jours. Cliniquement, vous retrouvez quelques adénopathies cervicales centimétriques sensibles sans autre anomalie notable. Le bilan biologique est le suivant: Hémoglobine: 13,5 g/dL VGM 89fl, leucocytes: 8,9G/L dont polynucléaires neutrophiles 2,3G/L et lymphocytes 5,2G/L, plaquettes: 120G/L. Frottis: présence de lymphocytes hyperbasophiles. Parmi les hypothèses diagnostiques suivantes, laquelle vous semble la plus probable pour expliquer la thrombopénie?
Médicamenteuse à amoxicilline
Infection bactérienne à streptocoque
Primo-infection à Epstein Barr Virus
Purpura Thrombopénique Idiopathique
Leucémie aigue lymphoblastique
Vous suivez Mr D depuis de nombreuses années pour un purpura thrombopénique idiopathique. Il a bénéficié d’une splénectomie il y a 10 jours. Mr D vous appelle car il vient de recevoir les résultats de son bilan sanguin retrouvant une numération plaquettaire à 700G/L. Quelle est la prise en charge la plus adaptée?
Surveillance
Antiagrégant plaquettaire
Saignée
Cyto-reducteur type hydroxyurée
Anticoagulant
Monsieur S, 82 ans est admis aux urgences pour l'apparition de multiples ecchymoses. Monsieur S présente comme principaux antécédents une hypertension artérielle sous amlodipine et une arythmie cardiaque par fibrillation auriculaire traité par warfarine sodique. Cliniquement vous retrouvé un patient apyrétique, stable sur le plan hémodynamique présentant de multiples ecchymoses sur l'ensemble du corps. Le bilan biologique demandé en urgence retrouve : Hb: 9,8g/dL, VGM: 103fl, leucocytes: 5,5G/L sans anomalie à la formule, plaquettes: 33G/L. INR: 6,3. Vous lui faites arrêter immédiatement la Warfarine. Quelle est l’attitude thérapeutique la plus appropriée ?
Transfusion de plaquette et surveillance clinique simple
Transfusion de plaquettes et corticothérapie
Corticothérapie et surveillance simple
Administration de vitamine K et corticothérapie
Administration de vitamine K et transfusion de plaquettes
Vous voyez en consultation un homme de 60 ans pour céphalées. Son seul traitement est l’atorvastatine pour une hypercholestérolémie. L’examen clinique retrouve une tension artérielle à 195/120 mmHg, une fréquence cardiaque à 70/min. Il est apyrétique. Quelle information serait la plus appropriée pour évaluer le risque cardiovasculaire du patient ?
Exposition professionnelle
Asthme
Hyperthyroidie
Antécédents familiaux d’hypertension artérielle
Tabagisme
Vous voyez aux urgences un patient de 55 ans pour céphalées avec paresthésie du membre supérieur droit apparu depuis le matin. Il n’a pas d’antécédent particulier ni de traitement. Il est fumeur non sevré à 40 paquets-année. A l’examen clinique vous retrouvez une tension artérielle à 200/115 mmHg, une fréquence cardiaque à 90/min. Le Glasgow est à 15. L’examen clinique retrouve un déficit à 4/5 du membre supérieur droit sans autre anomalie. Quelle est la première chose à faire dans votre prise en charge en urgence ?
Echographie cardiaque
Antiagrégant plaquettaire
Anti hypertenseur intraveineux
Scanner cérébral
Héparinothérapie curative
Vous voyez en consultation une femme de 55 ans à qui vous venez de découvrir une hypertension artérielle. Elle n’a pas d’autres comorbidités, aucun traitement en cours. SA tension artérielle est à 170/100 mmHg, avec une fréquence cardiaque à 85/min. En plus des règles hygiénodiététique, quelle est la prise en charge la plus appropriée en première intention ?
Surveillance simple
Monothérapie anti hypertensive
Bithérapie anti hypertensive
Dosage de l'activité rénine plasmatique
Vous diagnostiquez une HTA modérée chez un homme de 55 ans. Son examen clinique retrouve une tension artérielle à 165/90 mmHg sans autre anomalie. Quel examen complémentaire est le plus approprié en première intention pour évaluer les conséquences de cette pathologie chez ce patient ?
Echocardiographie
ECG
Fond d'œil
Radio de thorax
Echographie abdominale
Vous voyez, le jour de sa sortie de l’hôpital, une patiente âgée de 73 ans hospitalisée dans votre service pour un syndrome coronarien aigu responsable d’une nécrose myocardique étendue. Il persiste une insuffisance ventriculaire gauche séquellaire avec une fraction d’éjection estimée à 40%. Quel est le meilleur signe à surveiller chez elle à la recherche d’une décompensation ventriculaire gauche ?
Palpitations
Dyspnée
Malaises hypotensifs
Oedèmes des membres inférieurs
Douleur angineuse
Vous recevez à votre cabinet une femme âgée de 65 ans, diabétique non insulinodépendante depuis 15 ans, pour l’apparition d’une dyspnée. Celle-ci est apparue tout d’abord pour des efforts importants puis maintenant au moindre geste. A l’examen physique vous retrouvez : PA 100/60 mmHg, pouls 75/min, T° 37,3°C, Sp02 94%. Quel est le meilleur examen complémentaire à réaliser pour confirmer une insuffisance cardiaque gauche et orienter vers une étiologie ?
Echographique cardiaque
Radiographie thoracique
Epreuve d’effort
Dosage biologique du BNP
Scintigraphie myocardique
Vous recevez en consultation un homme âgé de 55 ans dans le cadre du suivi de sa cardiopathie hypertensive. Vous réalisez une échographie cardiaque qui retrouve une fonction contractile normale. L’étudiant en médecine qui vous accompagne ne comprend pas comment un patient peut développer une insuffisance cardiaque sans modification de la fraction d’éjection. Quelle est le mécanisme le plus probablement impliqué ici ?
Diminution du retour veineux au cœur droit
Trouble du rythme ou de la conduction
Augmentation de la postcharge ventriculaire
Défaut de relaxation ventriculaire gauche
Augmentation de la pression capillaire pulmonaire
Un homme âgé de 82 ans consulte aux urgences pour une aggravation très récente d’une dyspnée d’effort. A l’examen, le patient présente une dyspnée avec des crépitants jusqu’à mi champ pulmonaire, il est pâle et des genoux sont marbrés. Ses constantes sont les suivantes : PA 95/50mmHg, pouls 90/min, T°37°C, Sp02 91%. Vous réalisez un électrocardiogramme. Quelle étiologie grave est la plus probable concernant l’aggravation de l'insuffisance cardiaque de votre patient?  
 
7
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Un événement ischémique
Un trouble du rythme
Une atteinte valvulaire
Une cardiopathie dilatée
Une cardiopathie hypertrophique
Vous donnez ce jour son ordonnance de sortie à une patiente âgée de 68 ans, hospitalisée dans votre service pour une poussée d’insuffisance cardiaque gauche. Ses constantes sont les suivantes : PA 120/65 mmHg, pouls 65/min, T° 37°C. Vous expliquez à l’étudiante qui vous suit le principe du traitement. Quelle est la meilleure classe de médicament à mettre en place pour diminuer la mortalité de la patiente?
Les dérivés nitrés
Les diurétiques
Les digitaliques
Les béta bloquants
La noradrénaline
Vous recevez en consultation un homme de 53 ans qui présente depuis 3 jours une asthénie importante. Il a pour principaux antécédents un diabète de type II sous metformine et une hypertension artérielle sous celiprolol 200 mg. Son examen clinique est normal en dehors d'une prise de PA à 150/95 mm Hg. Un ECG est réalisé que vous interprétez. Quelle prescription thérapeutique est la plus appropriée ?
 
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Anticogulation curative par Héparine et relais AVK
Traitement anti arythmique par Amiodarone
Ajout d’un traitement anti hypertenseur par amlodipine
Mise sous double antiagrégation plaquettaire
Arrêt du traitement beta bloquant et mise au repos
Vous recevez en consultation un homme de 63 ans pour réalisation d'un bilan préopératoire. Il n'a pas d'antécédent particulier en dehors d'une notion de ''mort subite'' dans la famille sans autre précision. Son examen clinique est normal en dehors d'une pression artérielle élevée à 150/100 mm Hg, pouls 60/min. Il ne prend pas de traitement médicamenteux. Vous lui réalisez un électrocardiogramme que vous interprétez. Quelle l’étiologie la plus probable ?
 
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Myocardiopathie dilatée
Myocardiopathie valvulaire
Myocardiopathie hypertrophique
Myocardiopathie rythmique
Myocardiopathie ischémique
  1. Un jeune patient de 25 ans, se présente aux urgences pour nausées, vomissements et douleurs abdominales évoluant depuis 24 heures. Votre examen clinique initial relève une PA à 150/80, une tachycardie à 100/min une T° 38,5 et une oligurie. Le reste de l’examen est normal en dehors d’un pli cutané. Vous réalisez de principe un ECG. Quelle est la meilleure explication physiopathologique à ce tracé ?
9
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Ischémique (infarctus du myocarde)
Dégénératif (trouble conductif)
Vagal (hypertonie vagale)
Métabolique (hyperkaliémie)
Infectieux (péricardite)
Une femme de 69 ans est admise aux urgences pour dyspnée aiguë. Elle est atteinte d'un adénocarcinome gastrique métastatique avec compression médiastinale. Vous notez une PA à 105/60 même Hg, une SaO2 à 92% sous 6L. Elle n'a pas de signe de choc périphérique. Elle présente également un mollet droit rouge et douloureux. Vous suspectez une embolie pulmonaire sub-massive. Quel critère électrocardiographique est le plus spécifique de ce diagnostic ?
 
1
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Tachycardie sinusale régulière
Bloc de branche droite incomplet
Sous décalage du segment ST en latéral
Onde S en DI et Q en DIII
Ondes T négatives de V1 à V3
Vous prenez en charge une femme de 35 ans présentant une douleur rétrosternale évoluant depuis 24 heures. Elle n'a pas d'antécédent particulier en dehors d'un tabagisme occasionnel. Votre examen clinique est normal, ses constantes sont les suivantes : PA 120/60 mmHg, pouls 85 /min, T° 38,1°C.Vous disposez rapidement d'un tracé ECG. Quel diagnostic est le plus probable ?
2
2
Péricardite aigue post virale
SCA ST+ en cours de constitution
Embolie pulmonaire sans critère de gravité
Syndrome de repolarisation précoce
Séquelle d'infarctus du myocarde inférieur
Lors de la visite médicale dans le service d’orthopédie, vous êtes frappé par une patiente de 70 ans, légèrement dyspnéique à J5 d’un enclouage pertrochantérien. Vous demandez ses constantes qui sont les suivantes : PA 95/50 mmHg, pouls 115/min, T° 38,1. Le mollet homolatéral à la fracture est chaud et œdématié. Quel est le meilleur signe clinique surveillez-vous qui vous orienterait vers une embolie pulmonaire grave ?
Une hypoxie avec désaturation < 92%
Une tachycardie > 110 / minute
Une Une tachycardie > 110 / minute
Une hypotension avec PAS < 90 mmHg
Une embolie pulmonaire récidivante
Vous êtes appelé au domicile d’un homme âgé de 78 ans, alité depuis plusieurs jours en raison d’une lombalgie invalidante. A l’examen clinique, le patient est polypnéique, il se plaint d’une douleur basi thoracique droite. Les constantes sont le suivantes : PA 100/50 mmHg, pouls 100/min, T° 37,8°C, FR 28/min. Quel est le meilleur examen à réaliser en première intention pour confirmer le diagnostic le plus probable ?
Angio-scanner thoracique spiralé
Angiographie pulmonaire
Scintigraphie pulmonaire de ventilation/perfusion
Echographie-doppler des membres inférieurs
Echographie cardiaque trans thoracique
De garde à la maternité, vous êtes appelé pour examiner une patiente de 24 ans, G3P2, allongée depuis plusieurs jours pour une menace d’accouchement prématurée. Elle se plaint d’avoir des difficultés à respirer et d’une douleur thoracique. A l’examen clinique vous remarquez une polypnée superficielle. Ses constantes sont les suivantes : PA 100/60 mmHg, pouls 100/min, T°38°C, FR 27/min. Quelle anomalie de l'électrocardiogramme allez-vous probablement retrouver par ordre de fréquence dans cette pathologie?
Rotation axiale droite (aspect S1 Q3)
Bloc de branche droit complet
Onde T négative de V1 à V3
Tachycardie sinusale
Fibrillation auriculaire rapide
Madame E., 75 ans est hospitalisée dans votre service pour une pneumopathie. Vous découvrez sur le scanner thoracique réalisé au décours de l’hospitalisation un caillot dans l’artère pulmonaire droite. Ses constantes sont les suivantes : T° 37,6, PA 125/65mHg, pouls 85/min. Quel est le meilleur traitement curatif à court et moyen terme?
Héparinothérapie intra veineuse par héparine non fractionnée (HNF) puis relais par Anti-vitamine K
Anti-vitamines K par voie orale en première intention compte tenu de l’absence de signes de gravité
Héparinothérapie par Héparine de bas poids moléculaire (HBPM) sous cutanée au long cours
Héparinothérapie par Héparine de bas poids moléculaire (HBPM) avec relais précoce par Anti-vitamine K
Fibrinolyse en urgence puis héparinothérapie par voie intra-veineuse par héparine non fractionnée (HNF)
De garde aux urgences, vous examinez une patiente âgée de 78 ans, amenée par son fils pour une dyspnée évoluant depuis 24 heures. Elle a comme antécédent un cancer du sein avec des métastases osseuses. Son état général s’est beaucoup dégradé ses dernières semaines et elle vit principalement alitée. Quel est le score est le plus approprié pour estimer la probabilité d’embolie pulmonaire ?
Score de Glasgow Liège adapté
Score de Gold révisé
Score CRB65 actualisé
Score de Fine revisité
Score de Genève modifié
Une patiente âgée de 64 ans, sans antécedent, consulte à votre cabinet car elle se plaint de vertiges et céphalées en fin de matinée, parfois de bourdonnement d’oreille. Elle a même fait un malaise la semaine précédente. A l’examen clinique, vous ne notez rien de remarquable. Ses constantes sont les suivantes : PA 145/95, pouls 70/min, apyrexie. Quel seuil supérieur de glycémie serait le plus adapté pour diagnostiquer une hypoglycémie chez cette patiente? (@NO-RANDOM@)
Glycémie < 0,7 g/L
Glycémie < 0,6 g/L
Glycémie < 0,8 L
Glycémie < 0,5 g/L
Glycémie < 0,4 g/L
Un patient âgé de 57 ans, opéré d'une gastrectomie pour adénocarcinome il y a 6 mois, présente depuis quelques semaines des tremblements et des sueurs accompagnés d’une sensation de malaise, cédant au resucrage, survenant toujours dans les 2 heures suivant ses repas et sans signes de neuroglucopénie. Quelle démarche vous paraît la plus appropriée à la situation ?
Rassurer le patient, il s’agit d'hypoglycémies fonctionnelles
Rechercher une néoplasie endocrinienne multiple par un bilan hypophysaire
Doser l'insulinémie à 8H le matin pour écarter toute organicité
Pratiquer une imagerie abdominale pour écarter une lésion organique
Réaliser une épreuve de jeûne pour rechercher un hyperinsulinisme
Aux urgences, vous examinez un patient de 55 ans, éthylique chronique, présentant des troubles de la vigilance dans un contexte évident d’intoxication éthylique aiguë. Devant ces troubles de la vigilance sans agitation, vous effectuez de principe une mesure de la glycémie capillaire. Celle-ci est à 0,39 g/L. Quel est le meilleur traitement à mettre administrer en urgence chez ce patient?
Ampoule de Glucagon puis ampoule de vitamine B1
Ampoule de G30 (30g/l) puis serum physiologique
Ampoule de G30 (30g/l) puis une ampoule de vitamine B1
Serum glucosé type G10% (10g/l) puis serum physiologique
Ampoule de G30 (30g/l) puis d’une ampoule de vitamine C
Serum glucosé type G10% (10g/l) puis vitamine B1
Vous revoyez en consultation une patiente âgée de 61 ans, un mois après une chirurgie de gastrectomie totale. La patiente a pu reprendre une alimentation qui semble satisfaisante en terme de quantité ; cependant elle se plaint de vertiges et d’une sensation de malaise après les repas. A l’examen la cicatrice est propre. Les paramètres vitaux sont normaux, le poids est stable depuis l’intervention. Quelle est la prise en charge thérapeutique à proposer dans ce cas?
Deux repas par jour au maximum en favorisant les sucres d’absorption rapide
Traitement médicamenteux par antiacide associé à un inhibiteur de la pompe à protons
Resucrage régulier par voie orale si nécessaire + surveillance de la glycémie capillaire
Glucagon par voie intramusculaire dès l’apparition des symptômes d’hypoglycémie
Fractionnement des repas avec diminution des produits sucrés d'absorption rapide
Vous voyez en consultation un patient âgé de 59 ans dans le cadre de la découverte d’une hyperglycémie à jeun à 17 mmol/l lors d’un examen de dépistage. A l’interrogatoire, vous retrouvez des antécédents familiaux d’angor ainsi qu’une consommation d’alcool de riz quotidienne. A l’examen clinique, ce patient est en surpoids (IMC 29kg/m2), ses constantes sont les suivantes : PA : 145/90 mmHg, pouls 75/min, apyrexie. Quel est le facteur le plus susceptible de favoriser l'apparition d'un diabète de type 2?
Un terrain auto-immun
Un antécédent familial
Un syndrome métabolique
Un alcoolisme chronique
Une hemochromatose
Vous suivez en consultation semestrielle un patient âgé de 65 ans, diabétique de type 2 sous traitement antidiabétique oral depuis 12 ans. L’examen clinique est normal, le patient semble bien suivre son régime et son traitement. Il s’inquiète cependant de savoir si vous comptez lui prescrire de l’insuline. Quel signe recherchez vous le plus en faveur d’une évolution vers l'insulinorequérance?
L’apparition d’une neuropathie des membres inférieurs en chaussette
Une hémoglobine glyquée > 8,5% associée �  une prise pondérale
L’apparition d’une neuropathie végétative avec une gastroparésie
L’apparition d’un mal perforant plantaire avec surinfection locale
Un syndrome polyuro-polydipsique avec perte de poids et cétonurie
Une patiente âgée de 73 ans consulte à votre cabinet dans le cadre du suivi annuel de son diabète. Celui-ci est bien équilibré sous régime associé à de la metformine, avec une Hb glyquée à 6,5%. Quels examens complémentaires systématiques (une fois par an au moins) sont les plus appropriés pour le dépistage de la microangiopathie?
Fond d'œil, échographie rénale et échographie cardiaque de repos
Electrocardiogramme de repos, échographie cardiaque et épreuve d'effort
Electrocardiogramme de repos, microalbuminurie des 24H et électroneuromyogramme
Electrocardiogramme de repos et doppler artériel fémoral, carotidiens
Fond d'œil, microalbuminurie des 24 H et clairance de la créatinine
Fond d'œil, échographie cardiaque et épreuve d'effort
Vous voyez aujourd’hui à votre cabinet un patient âgé de 67 ans dans le cadre du suivi annuel de son diabète sous antidiabétiques oraux. Celui-ci n’a pas de plainte particulière. L’examen physique est sans particularité, ses constantes sont les suivantes : PA 130/80, pouls 72/min, apyrexie. L’examen de la bandelette urinaire met en évidence une protéinurie à 2 croix. Quel est le meilleur traitement à mettre en place chez ce patient ?
Un inhibiteur de l'enzyme de conversion
Une insulinothérapie de type semi lente
Un beta-bloquant de type cardiosélectif
Un diurétique épargneur de potassium
Un anti aggrégant plaquettaire classique
Une patiente âgée de 83 ans, diabétique depuis de nombreuses années, est amenée par sa fille car elle n’arrive plus à marcher depuis plusieurs jours car son pied droit lui fait mal. Pour faire l’examen clinique, vous devez défaire un gros pansement tâché pour voir le pied. Devant cette situation évoquant un mal perforant plantaire, quel signe clinique qui doit vous orienter le plus vers une hospitalisation en urgence ?
Une abolition du pouls pédieux homolatéral
Un érysipèle homolatéral avec fièvre associée
Un contact osseux au niveau d’une plaie creusante
Une plaie ne cicatrisant pas depuis plus de 3 mois
Une douleur neuropathique rebelle au traitement
Au laboratoire de physiologie, vous explorez un étudiant en médecine, volontaire sain pour plusieurs analyses biologiques. Notamment, vous explorez son cycle du cortisol. Quelle va être le profil de sécrétion de cortisol le plus porbable chez ce sujet ?
Un cortisol maximum le matin avec une décroissance nycthémérale
Un cortisol bas au réveil avec un pic de sécrétion en milieu de journée
Un cortisol qui double à 1 heure de l'injection de Synacthène
Un cortisol qui reste stable sur 24 heures, sans variation nycthémérale
Un cortisol qui s'élève toute la journée avec un maximum à minuit
Vous voyez en consultation une femme âgée de 54 ans, dans le cadre de la découverte fortuite d’un adénome hypophysaire sur un scanner cérébral. Vous l’examinez à la recherche d’une atteinte des axes thyréotrope, gonadotrope et corticotrope. Quel signe sera le plus en faveur de l'origine centrale d’une insuffisance surrénalienne?
Une asthénie, anorexie et amaigrissement
Une mélanodermie prédominante aux plis
Une hypotension artérielle orthostatique
Une douleur abdominale pseudochirurgicale
Une dépigmentation généralisée
Vous suivez une jeune patiente âgée de 30 ans en consultation, dans le cadre de la découverte d'une insuffisance surrénalienne lente sur un bilan d'asthénie. En dehors de l’asthénie celle-ci n’a pas de plainte. Ses constantes sont les suivantes : PA 92/50, pouls 50/min, T°36,1. Quel examen complémentaire vous permet le mieux d'orienter le bilan étiologique?
Test au synacthène
IRM hypophysaire
Scanner surrénalien
Anticorps anti 21 hydroxylase
Dosage de l'ACTH
Aux urgences, vous examinez une patiente de 64 ans, amenée par son mari pour des douleurs abdominales aiguës depuis le matin. A l’interrogatoire, celle-ci rapporte qu’elle prend de l’hydrocortisone au long cours, arrêté depuis un mois car elle ne le trouve plus en pharmacie. Les constantes sont les suivantes : PA 80/50 mmHg, pouls 120/min, T°37,4. Quelle réhydratation hydro-électrolytique vous semble la plus adaptée devant ce tableau?
Ringer lactate 1000 ml + serum glucosé 5% 1000 ml + 4 gr potassium
Sérum glucosé 5% 2000 ml seul + 4 gr sodium + 4 gr potassium
Sérum glucosé 1000 ml + serum physiologique 1000 ml
Sérum physiologique 2000 ml seul dans un premier temps
Sérum salé 2000 ml + 4 gr Potassium + 4 gr Calcium
Aux urgences, un patient de 45 ans consulte pour une asthénie intense associée à des douleurs abdominales depuis plusieurs jours. Il a un antécédent de tuberculose ganglionnaire. Le scanner abdominal ne retrouve aucune étiologie digestive à cette douleur ; le patient semble très déshydraté avec une langue rôtie. Dans ce contexte, vous suspectez une insuffisance surrénalienne aiguë. Quel est le meilleur examen permettant de déterminer la gravité de la situation?
Ionogramme (Na, K, urée, créatinine)
Cortisolémie à 8 heures à jeun
Numération formule sanguine
Enzymes musculaires (CPK, LDH)
Test au Synactène à midi
Vous réalisez une gastroscopie chez un patient de 50 ans, fumeur, qui présente une douleur ulcéreuse typique depuis plusieurs semaines. Son examen physique et ses constantes sont sans particularité. Vous diagnostiquez une gastrite durant l’examen et expliquez au patient que les gastrites atrophiantes exposent au risque évolutif d’adénocarcinome, en l’absence de traitement et de suivi. Quelle est l’étiologie la plus fréquemment retrouvée dans ce type de gastrite?
Gastrite à helicobacter pylori
Gastrite auto-immune
Gastrite de Ménétrier
Gastrite lymphocytaire
Gastrite à éosinophile
Un homme de 43 ans vient consulter à votre cabinet pour des douleurs abdominales évoluant depuis plusieurs semaines. Il n’a pas d’antécédent particulier en dehors d’un tabagisme actif. Ses constantes sont les suivantes : PA 125/65 mmHg, pouls 75/min, T° 36,4°. A l’interrogatoire, quelle description de la douleur est-elle la plus typique du diagnostic d’ulcère gastroduodénal ?
Douleur épigastrique en barre, avec irradiation dorsale, calmée par l’ante-flexion
Douleur épigastrique, sans irradiation, calmée par la prise alimentaire
Douleur hypogastrique, avec nausée, calmée par l’émission de gaz
Douleur hypogastrique, avec vomissement, calmée par la prise d’antiacide
Douleur abdominale, intense, non rythmée par les repas
Un homme de 55 ans consulte aux urgences pour hématémèse ayant débuté il y a quelques heures. A l’interrogatoire, il a vomi trois verres de sang. A l’examen physique, le patient est pâle et asthénique. Ses constantes sont les suivantes : PA 80/50 mmHg, pouls 125/min, T° 36,7, SPO2 97%. Quel signe clinique est le plus spécifique d’un état de choc ?
La pâleur conjonctivale
Les marbrures
La confusion
Les sueurs
La tachycardie
Un homme de 48 ans consulte aux urgences pour des vomissements de sang rouge de faible abondance depuis 2 jours. A l’examen physique, vous retrouvez un abdomen ballonné, une circulation veineuse collatérale et une gynécomastie. Ses constantes sont les suivantes : PA 105/60 mmHg, pouls 70/min, T° 36,9°. Vous décidez de réaliser une endoscopie. Quel situation CONTRE INDIQUERAIT le plus la réalisation de cet exame ?
Une perforation gastrique
Une instabilité hémodynamique
Un trouble de l’hémostase
Une altération de la conscience
Une dysphagie haute
Vous revoyez en consultation une patiente âgée de 43 ans, une semaine après la réalisation d’une fibroscopie gastrique. A cette occasion vous aviez diagnostiqué un ulcère du bulbe. Les biopsies sont positives pour l’infection à helicobacter pylori. Quel est le meilleur traitement à mettre en place pour l’éradication de cette bactérie en première ligne thérapeutique ?
Amoxicilline, clarithromycine, métronidazole, antiH2
Doxycycline, azythromycine, sel de Bismuth, oméprazole
Amoxicilline, levofloxacine, azythromycine, antiH2
Sels de Bismuth, doxycycline, métronidazole, oméprazole
Amoxicilline, clarithromycine, métronidazole, oméprazole
Une patiente âgée de 40 ans consulte à votre cabinet pour des douleurs abdominales évoluant par crise depuis quelques jours. Elle n’a pas d’antécédents en dehors d’un surpoids important. Les paramètres vitaux sont normaux. Quelle est l’origine la plus probable devant une douleur épigastrique avec irradiation à la pointe de l’omoplate droite ?
Une origine hépatobiliaire
Une origine pancréatique
Une origine colique
Une origine urologique
Une origine cardiaque
Un patient âgé de 32 ans consulte aux urgences de l’hôpital pour des douleurs abdominales violentes depuis quelques heures. Il n’a pas d’antécédents particuliers. A l’examen, il semble prostré par la douleur. Son abdomen est très tendu avec une défense généralisée. Ses constantes sont les suivantes : PA 100/85, pouls 130/min, T° 38,8. Devant une douleur abdominale avec syndrome péritonéal quel est le meilleur examen à faire réaliser ?
Une échographie abdominale
Un abdomen sans préparation
Un scanner abdominal
Une coelioscopie exploratrice
Une coloscopie courte
Vous accueillez aux urgences un patient âgé de 22 ans. Celui-ci se plaint de douleurs abdominales aiguës depuis 3 heures. Il n’a pas d’antécédents particuliers. A l’examen physique, il existe une défense en fosse iliaque gauche. Ses constantes sont les suivantes PA 140/80, FC 125 min T° 38°. Vous lui administrez du tramadol par voie intraveineuse mais celui-ci ne fonctionne pas. Quel est le meilleur traitement à administrer devant cette douleur persistante?
De la morphine
De la codéine
Du paracétamol
Du kétoprofène
De l’hydrocortisone
Aux urgences, vous examinez une patiente âgée de 38 ans qui consulte pour douleur abdominale intense. A l’examen physique, vous constatez une contracture abdominale. Ses constantes sont les suivantes : pouls 130/min, PA 80/45 mmHg, T° 37,6°. Quelle est la meilleure attitude thérapeutique à adopter en urgence chez cette patiente ?
Une intervention chirurgicale
Un traitement antibiotique à large spectre
Une sonde nasogastrique en aspiration
Une fibroscopie oesogastro-duodénale
Un traitement antalgique de palier 3
Vous prenez en charge un patient âgé de 65 ans pour des vomissements, avec une douleur abdominale intense, diffuse. L'abdomen est souple à la palpation. La biologie retrouve nottament : Na+= 131mmo/l, K+ = 6,2 mmol/l, HCO3- = 23mmol/l, CL- = 110mmol/l. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Une hyperparathyroïdie
Une insuffisance surrénale aiguë
Une gastro-entérite
Une acidocétose diabétique
Une pancréatite aiguë
Aux urgences, vous examinez un patient âgé de 75 ans, présentant une diarrhée aqueuse très abondante depuis 48 heures. L’examen des selles ne révèle pas de trace glairo sanglante. A l’examen physique, vous remarquez un pli cutané, la langue est rôtie. Les constantes sont les suivantes : PA 80/40 mmHg, pouls 125/min, T° 38,2°. Quel est le meilleur traitement antibiotique à mettre en place ?
Doxycycline 200 mg x 1 / jour
Metronidazole 500 mg x 3 / jour
Amoxicilline 1 g x 3 / jour
Ciprofloxacine 400 mg x 2 / jour
Ceftriaxone 1 g x 1 / jour
Aux urgences, vous examinez une femme âgée de 41 ans. Celle-ci est victime d’une diarrhée aiguë depuis 72 heures. Elle présente des signes de déshydratation sévère avec un pli cutané, des yeux enfoncés dans les orbites. Ses constantes sont les suivantes : PA 85/50 mmHg, pouls 115/min, T° 37,8°. Quelle est la prise en charge la plus adaptée dans les premières heures ?
2 à 4 l de soluté de réhydratation par voie orale
100 ml/kg de glucosé 5% (G5%) intra-veineux
2 à 4 l d'eau associés à des oligoéléments par voie orale
2 litres de G5% associés à de la vitamine B1 intraveineuse
100 ml/kg de serum salé isotonique intra veineu
2 litres de G10% associés à de la vitamine B1 intraveineuse
Aux urgences, vous examinez un enfant de 4 ans, amené par ses parents car il présente des diarrhées abondantes depuis 48 heures. Ses constantes sont les suivantes : PA 70/40 mmHg, pouls 115/min, T° 37,8°. A l'examen clinique, quel est le meilleur signe d’une extrême gravité de la déshydratation ?
Les yeux creux
La soif
La confusion
L’irritabilité
Le pli cutané
Un patient consulte à votre cabinet pour des diarrhées glairo sanglantes évoluant depuis 24 heures. A l’interrogatoire, vous retrouvez l’ingestion de volaille il y a 48 heures. L’examen physique ne retrouve pas de signe de déshydratation. Les paramètres vitaux sont conservés. Lequel de ces micro-organismes est-il le plus probablement en cause ?
Salmonella enterica
Giardia intestinalis
Escherichia coli
Staphylococcus aureus
Vibrio Cholerae
Aux urgences, vous examinez un jeune patient de 22 ans, se plaignant d’une diarrhée à 5 selles aqueuses par jour depuis 48 heures. L’examen physique ne retrouve pas de signe de déshydratation sévère. Les constantes sont les suivantes : PA 125/65 mmHg, pouls 85/min, T° 38,2°. Quel meilleur examen mettra en évidence le pathogène du choléra ?
Une sérologie
Une hémoculture
Une coproculture
Un examen parasitologique des selles
Une antigénurie
Vous voyez en consultation de chirurgie, un homme de 50 ans adressé pour hernie inguinale. Il n’a pas d’antécédent particulier. A l’examen clinique, tension artérielle à 130/90 mmHg, fréquence cardiaque à 75/min. Sur ce schéma de la paroi abdominale (vue antérieure – d’après Netter), quelle entité anatomique est le lieu des hernies inguinales directes ?
r
r
Fascia transversalis
Arcade crurale
Gaine des vaisseaux épigastriques inférieurs
canal péritonéo-vaginal
Cordon spermatique
Vous voyez en consultation de chirurgie, un homme de 55 ans adressé pour hernie inguinale. Il n’a pas d’antécédent particulier. A l’examen clinique, sa tension artérielle est à 120/90 mmHg, fréquence cardiaque à 65/min. Pour palper la hernie, dans quelle position devez-vous idéalement examiner le patient ?
Genu-pectorale
debout
assis
décubitus dorsal
Décubitus latéral
Vous voyez aux urgences chirurgicales, un homme de 52 ans adressé pour hernie ombilicale. Il est suivi pour un artériopathie sous Kardegic 75 mg/jour. A l’examen clinique, tension artérielle à 140/90 mmHg, fréquence cardiaque à 85/min. A la palpation, la hernie est douloureuse, tendue et irréductible. Quelle est la prise en charge la plus approprié?
Intervention chirurgicale d’emblée
Confirmation diagnostique par imagerie
Lavement baryté
Hospitalisation et surveillance rapprochée
Port d'une ceinture de contention abdominale
Vous voyez en consultation de chirurgie, un patient de 70 ans adressé pour hernie crurale droite. Il est suivi pour un diabète non insulino dépendant. A l’examen clinique, la tension artérielle est à 130/90 mmHg, et la fréquence cardiaque à 75/min. A la palpation, la hernie est indolore, souple et réductible. Quelle est la prochaine étape de votre prise en charge?
Scanner abdomino-pelvien
Echographie des orifices herniaires
Surveillance clinique simple
Coloscopie
Radiographie standard de l’abdomen sans préparation
Vous revoyez en consultation de suivi post opératoire, un patient de 65 ans opéré il y a 4 mois d’une hernie inguinale gauche. A l’examen clinique, tension artérielle à 125/80 mmHg, , fréquence cardiaque à 60/Min. Quelle complication post opératoire tardive est la plus probable par argument de fréquence ?
Douleur résiduelle
Hydrocèle
Infection chronique
Hématome
Atrophie testiculaire
Vous examinez un jeune enfant de 8 ans aux urgences, amené par ses parents pour des douleurs abdominales croissantes depuis quelques heures. L’enfant est couché sur le côté, hypotonique. Ses constantes sont les suivantes : T° 38,8, PA 75/40 mmHg, pouls 140/min. Quel signe clinique vous orienterait le plus vers une prise en charge chirurgicale en urgence, avant réalisation de tout examen complémentaire ?
Une fièvre supérieure à 40° avec frissons
Une contracture généralisée à tout l’abdomen
Une diminution des bruits hydro aériques
Une sensibilité à la palpation abdominale
Un tympanisme à la percussion abdominale
Vous examinez un enfant de 5 ans, présentant un tableau d'invagination intestinale aigu récidivante, dans un contexte d'altération de l'état général majeur. A l’examen, l’enfant est très asthénique. Ses paramètres vitaux son normaux pour l’âge. L'échographie abdominale montre la présence d'une masse ganglionnaire importante autour du boudin d'invagination. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Adénolymphite mésentérique
Diverticulite de Meckel
Amibiase intestinale
Leucémie lymphoïde chronique
Lymphome de Burkitt
Vous suivez un enfant de 2 ans présentant des douleurs abdominales récentes (< 48 heures), avec fièvre, sans anomalie �  la palpation (hormis une sensibilité diffuse) pour lesquelles une échographie abdominale a déj�  été effectuée, normale. Quel examen complémentaire est le plus approprié pour avancer dans le diagnostic étiologique ?
Radiographie thoracique
Lipasémie
Scanner abdominal
Abdomen sans préparation
Bandelette urinaire
Vous venez de diagnostiquer une appendicite aiguë chez un enfant de 5 ans. L’examen clinique est normal en dehors d’une sensibilité en fosse iliaque droite. Les constantes sont sans particularité en dehors d’une fièvre à 38,5°. Quelle est la prise en charge la plus appropriée ?
Antibiothérapie associée à la mise en place d’une sonde naso gastrique en aspiration
Intervention chirurgicale associée à une antibiothérapie selon les constations per opératoires
Intervention chirurgicale suivie d’une reprise chirurgicale impérative dans les 5 jours
Surveillance armée pendant 48 heures et réalisation d’un scanner si aggravation
Antibiothérapie associée à une analgésie par anti inflammatoires non stéroidiens
Vous examinez aux urgences une patiente de 15 ans, qui consulte pour douleur abdominale aiguë. Celle-ci est une diabétique connue, sous insulinothérapie. A l’examen, son abdomen est sensible ; ses constantes sont les suivantes : PA 90/50, pouls 130/min, T° 36,8. La bandelette urinaire retrouve une glycosurie à 4 croix et une cétonurie à 4 croix. En dehors de la gazométrie, quel est l’examen le plus approprié pour évaluer la gravité biologique de la situation ?
Ionogramme sanguin
Enzymes musculaires
Numération de formule
Facteurs de coagulation
Enzymes hépatiques
Un nourrisson de 2 mois est amené par ses parents aux urgences pour des vomissements post-prandiaux évoluant depuis quelques jours. L’enfant commence à montrer des signes de déshydratation avec une hypotonie et un pli cutané. Ses constantes sont les suivantes : Pouls 160/min, PA 75/35 mmHg, T° 36,6°. Quel élément de l’interrogatoire vous orienterait le plus vers une sténose du pylore ?
Une modification progressive de l’aspect des selles
Des vomissements d’aspect bilieux à distance des repas
Des pleurs et un refus au moment des biberons
La perte d’appétit progressive en quelques semaines
La notion d'intervalle libre sans vomissements depuis la naissance
Des parents se présentent à votre consultation pour examiner leur enfant de 6 ans, qui présente des vomissements aigus depuis quelques heures. A l’examen, l’enfant est couché sur le côté, jambes repliées, et refuse qu’on lui touche le ventre. Ses constantes sont les suivantes : T° 38,6°, pouls 125/min, PA 90/40 mmHg. A l’interrogatoire, quels signes vous orienteraient le plus vers un syndrome occlusif ?
Vomissements bilieux et arrêt des matières et des gaz
Douleur abdominale paroxystique et rectorragies
Diarrhée et constipation en alternance fréquente
Vomissements alimentaires et diarrhée abondante
Douleur péri-ombilicale et constipation opiniâtre
Aux urgences, vous examinez une jeune fille de 14 ans se plaignant de douleurs abdominales continues avec vomissements depuis 3 jours. Cette jeune patiente, myopathe, a subi la pose d’une gastrostomie il y a 7 jours en raison de fausses routes répétées. La palpation abdominale retrouve une défense généralisée. Vous faites réaliser un cliché radiologique, ci-joint. Quel est le diagnostic le plus probable ?
t
t
Un syndrome alvéolaire à droite
Une péritonite généralisée
Un pneumopéritoine bilatéral
Un syndrome bronchique à gauche
Un syndrome occlusif grêlique
Dans le cadre de vomissements très importants, secondaires à une intoxication alimentaire chez un garçon de 8 ans, vous faites réaliser un ionogramme sanguin retrouvant : Na+ 140 mmol/L ; K+ 2 mmol/L ; HCO3- 15 mmol/L ; protidémie 85 g/L ; créatinine 60 µmol/L ; urée 8 mmol/L. Quel signe de gravité le plus probable recherchez-vous sur l'électrocardiogramme (ECG) que vous réalisez en urgence ?
Raccourcissement du segment QT
Aplatissement des ondes T
Bloc de branche droit
Torsade de pointe
Sus-décalage du segment ST
Vous examinez à votre cabinet un enfant de 3 ans, amené par ses parents car présentant des vomissements et une diarrhée aqueuse depuis 48 heures. A l’examen, l’enfant n’est pas asthénique et ne présente pas de signe de déshydratation majeure. Ses constantes sont les suivantes : PA 85/40mmHg, pouls 100/min, T°37,1°. Quelle prise en charge est la plus adaptée?
Réhydratation par soluté de réhydratation orale (SRO) en quantité illimitée en ambulatoire
Hospitalisation en urgence pour réhydratation parentérale par serum glucosé 5%
Hospitalisation en urgence pour réhydratation et réalisation d’une échographie abdominale
Réhydratation par boisson sucrée et mise sous amoxicilline-acide clavulanique en ambulatoire
Hospitalisation en urgence pour réhydratation parentérale+ antibiothérapie par ceftriaxone
Un nourrisson de 6 mois est amené par ses parents aux urgences car il a « présenté des mouvements désordonnés dans tous les sens puis il est devenu tout mou ». A l’examen, l’enfant présente une toux grasse et une rhinorrhée purulente. Ses paramètres vitaux sont les suivants : PA 85/50 mmHg, pouls 110/min, T° 39,4°. Parmi les critères suivants, lequel vous fera le plus suspecter une crise convulsive dite complexe de l'enfant ?
Absence de signe de focalisation
Crise partielle d’un hémicorps
Durée inférieure à cinq minutes
Absence de déficit post-critique
Age supérieur à un an
Une jeune patiente de 16 ans, diabétique sous insulinothérapie, est amenée par sa sœur aux urgences car elle a présenté une première crise convulsive généralisée. A l’examen clinique, elle semble avoir complètement récupéré, est légèrement somnolente, sans déficit focal associé. Ses constantes sont normales. Quel examen vous parait le plus urgent ?
Une bandelette urinaire
Un scanner cérébral
Une glycémie capillaire
Une ponction lombaire
Un électroencéphalogramme
Vous recevez aux urgences une patiente de 28 ans, fumeuse sous contraception oestro-progestative, qui vient de présenter une crise convulsive partielle. Elle rapporte des céphalées d'intensité croissante depuis 7 jours. L'examen neurologique est négatif, le scanner cérébral non injecté est normal. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Première poussée de sclérose en plaques
Thrombophlébite cérébrale
Syndrome de Guillain-Barré
Accident vasculaire cérébral ischémique
Premier épisode d’épilepsie
Vous faites réaliser un scanner cérébral non injecté, ci-joint, à un enfant de 6 ans suivi pour une aplasie médullaire idiopathique profonde évoluant depuis 3 mois (GB < 0,5 G/L, plaquettes < 20 G/L) et qui vient tout juste d'être admis en réanimation pédiatrique pour état de mal épileptique. Quel est le diagnostic le plus probable ?
d
d
Un accident vasculaire cérébral
Une hémorragie intracérébrale
Une tumeur intracranienne
Un abcès intracranien
Une méningoencéphalite
Vous prenez en charge aux urgences pédiatriques un garçon de 4 ans présentant une crise convulsive généralisée. Vous administrez du diazepam (0,5 mg/kg), puis une deuxième injection devant l’absence de réponse au traitement. Vous injectez ensuite du Clonazepam (0,02 mg/kg) car l’enfant convulse toujours. Malheureusement, ce traitement est inefficace. Quelle est la meilleure prise en charge médicamenteuse de cet état de mal épileptique ?
De la phénytoïne à 15 mg/kg
Du phénobarbital à 200 mg/kg
Du thiopental à 5 mg/kg
De la phénytoïne à 150 mg/kg
Du propofol à 3 mg/kg
Un patient âgé de 39 ans consulte à votre cabinet pour une fièvre élevée à 39°C associée à un syndrome pseudogrippal depuis 48 heures. Le frottis sanguin est négatif. Ses constantes sont relativement conservées : PA 105/65 mmHg, pouls 100/min, T° 38,9°. Quel signe clinique est le meilleur signe d’alerte d’une dengue hémorragique et d'un syndrome de choc lié à la dengue ?
Splénomégalie
Hépatomégalie
Epistaxis
Céphalée rétro-orbitaire
Diarrhée
Vous travaillez comme épidémiologiste à l’Institut Pasteur. Un stagiaire vous interroge sur le virus de la dengue. Quelle est la meilleure description de ce virus et son mode de transmission ? (@NO-RANDOM@)
Un virus à ADN transmis par un moustique du genre Culex
Un virus à ADN transmis par un moustique du genre Aedes
Un virus à ARN transmis par un moustique du genre Anopheles
Un virus à ARN transmis par un moustique du genre Culex
Un virus à ARN transmis par un moustique du genre Aedes
Vous venez de diagnostiquer une dengue chez un patient de 20 ans. Il ne présente pas de vomissement. Ses constantes sont les suivantes: PA 120/80mmHg, pouls 90/min, T° 38,6°. Son bilan biologique retrouve : hémoglobine 12 g/dL, plaquettes 31 000 /mm3, créatinine 122 μmol/L. Quelle est la meilleure prise en charge de la dengue dans ce cas précis ?
Réhydratation orale seule et surveillance
Réhydratation parentérale seule et surveillance
Réhydratation parentérale et transfusion plaquettaire
Réhydratation parentérale et ribavirine per os
Réhydratation orale et ribavirine per os
Vous recevez un patient de 34 ans, sans antécédent, présentant une dengue avec des épistaxis et gingivorragies spontanés, une tension artérielle à 80/60, une fréquence cardiaque à 120/min, un score de Glasgow à 15, une augmentation de son hématocrite de 24% par rapport aux chiffres habituels et une thrombopénie à 34 000/mm3. Quel est le diagnostic le plus probable ? (@NO-RANDOM@)
Dengue simple
Dengue hémorragique grade 1
Dengue hémorragique grade 2
Dengue hémorragique grade 3
Dengue hémorragique grade 4
Vous prenez en charge un patient de 61 ans présentant une dengue hémorragique avec epistaxis. Ses constantes sont les suivantes : PA 110/60 mmHg, pouls 95/min, T° 38,6° Sp02 91 %. Il existe une thrombopénie modérée à 87 000/mm3 sur la formule sanguine. Vous demandez une radiographie pulmonaire devant la légère désaturation associé à une polypnée à 28/min. Quel est le diagnostic le plus probable ?
k
k
Oedème lésionnel
Pneumopathie bactérienne
Hémorragie intra alvéolaire
Oedème cardiogénique
Epanchement pleural
Vous revoyez en consultation d’oncologie un patient de 60 ans avec les résultats de ses examens complémentaires. Il n’a pas de comorbidités. A l’examen clinique, son état général est bon avec un score OMS à 1. Son poids est à 60 kg stable. Sa tension artérielle est à 135/85 mmHg et sa fréquence cardiaque à 80/min. Vous lui annoncez que la biopsie a confirmé le diagnostic de cholangiocarcinome et qu’au scanner on retrouve une métastase hépatique unique et des adénopathies secondaires du hile hépatique. Quelle proposition thérapeutique lui faites-vous ?
Résection chirurgicale
Chimiothérapie
Greffe hépatique
Radiothérapie
Cryothérapie
Vous prenez en charge aux urgences une patiente de 65 ans pour ictère et hyperthermie à 38.5°C. La patiente est suivie dans votre hôpital en oncologie pour un cholangiocarcinome métastatique hépatique et ganglionnaire (hile hépatique). A l’examen clinique, on retrouve un ictère cutanéo-muqueux. La tension artérielle est à 100/70 mmHg, avec une fréquence cardiaque à 95/min. Le bilan biologique fait en urgence retrouve en particulier : leucocytes à 12 G/L, bilirubine totale à 70 µmol/L. L’échographie abdominale confirme la dilatation des voies biliaires intra-hépatiques droites. Quel traitement est le plus approprié ?
Antibiothérapie probabiliste et prothèse biliaire par voie endoscopique
Antibiothérapie probabiliste sans prothèse biliaire
Antibiothérapie probabiliste et drainage des voies biliaires par voie percutanée
Antibiothérapie probabiliste et cholécystectomie à distance
Antibiothérapie probabiliste et cholécystectomie en semi-urgence
Vous voyez en consultation d’oncologie un patient de 65 ans avec les résultats de la biopsie d’une lésion hépatique unique. Il s’agit d’un patient aux antécédents de cirrhose. A l’examen clinique tension artérielle à 115/75 mmHg, une fréquence cardiaque à 80 /min, hépatomégalie à 2 travers de doigts. La biopsie est en faveur d’un adénocarcinome. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Cholangiocarcinome
Carcinome Hepatocellulaire
Adénome Hépatocellulaire
Kyste hydatique
Hémangiome
Vous suivez une patiente de 55 ans pour une tumeur kystique bénigne hépatique. Son examen clinique à la consultation retrouve une tension à 135/80 mmHg, une fréquence cardiaque à 75/min. Quelle lésion est le plus à risque de se compliquer en carcinome hépatocellulaire ?
Kyste biliaire
ambiome biliaire
Hémangio-endothéliome-épithéloïde
Cystadénome
Angiosarcome
Vous voyez en consultation d’oncologie un patient de 70 ans pour le bilan étiologique d’une lésion hépatique unique. Il s’agit d’un patient aux antécédents de cirrhose. A l’examen clinique tension artérielle à 110/75 mmHg, fréquence cardiaque à 65 /min. A la palpation abdominale, vous retrouvez une hépatomégalie à 3 travers de doigts. Vous réalisez un dosage de marqueurs tumoraux complémentaires. Quel marqueur tumoral sera le plus probablement augmenté ?
CA 15-3
AFP
PSA
Béta HCG
NSE
Vous voyez en consultation de dépistage du cancer du col de l’utérus une patiente de 38 ans. Elle a déjà eu 2 grossesses avec un garçon âgé de 8 ans et une fille âgée de 5 ans. Elle n’a pas de symptomatologie clinique particulière. A l’examen clinique le toucher vaginal est normal. Parmi les propositions suivantes, quel résultat du frottis cervical vous semble le plus probable ?
Lésion de type carcinome épithélial
Lésion de type adénocarcinome
Lésion de type neuroendocrine
Infection à gonocoque
Infection à VIH
Infection à HPV
Vous voyez aux urgences, une patiente de 45 ans, pour métrorragies importantes. L’examen clinique retrouve une tension à 120/80 mmHg et une fréquence à 80/min. Le toucher vaginal est anormal avec un col macroscopiquement anormal. Vous suspectez un cancer du col de l’utérus, quel examen serait le plus approprié pour faire le diagnostic histologique de cette lesion ?
Frottis cervico vaginal
Conisation
Biopsie à la pipelle de cornier
Endoscopie
Colposcopie
Vous voyez en consultation une patiente de 19 ans, elle vient pour le renouvellement de son traitement contraceptif. Son examen clinique est normal. Quel âge est le plus adapté pour débuter un dépistage du cancer du col ? @NO RANDOM@
25 ans
20 ans
30 ans
40 ans
35 ans
Vous revoyez en consultation une patiente de 50 ans, en cours de bilan pour un cancer du col de l’utérus avec l’ensemble des résultats des examens complémentaires. A L’examen clinique, l’état général est bon avec un score OMS à 1, le toucher vaginal est anormal avec un col macroscopiquement anormal. Le scanner retrouve une lésion l de plus de 4 cm envahissant le 1/3 inférieur du vagin sans atteinte des parois pelviennes. Selon la classification FIGO (Fédération Internationale de Gynécologie et d’Obstétrique), quel est le stade de ce cancer du col ?
Stade IIA2
Stade IIB
Stade IIIA
Stade IIIB
Stade IVA
Vous revoyez en consultation une patiente de 56 ans, pour le traitement de son cancer du col de l’utérus. A l’examen clinique, l’état général est bon avec un score OMS à 1. La tension artérielle est à 125/80 mmHg avec une fréquence cardiaque à 80/min. Le toucher vaginal est anormal avec un col macroscopiquement anormal. Il s’agit d’un stade IB2 selon la classification de FIGO. Quel traitement est le plus adapté ?
Une colpo-hystérectomie totale non conservatrice
Une conisation
Une curiethérapie exclusive
Une radiochimiothérapie pelvienne à base de sel de platine
Une colpo-hysterectomie totale suivie d'une radio-chimiothérapie
Vous revoyez en urgences un patient de 70 ans en neutropénie fébrile après son 2e cycle de chimiothérapie pour un cancer du poumon. Il consulte pour hyperthermie à 39.5°C, isolée sans autre point appel clinique. A l’examen clinique, la tension artérielle est à 85/60 mmHg avec une fréquence cardiaque à 90/min. Le reste de l’examen clinique retrouve des marbrures sans autre anomalie. Le patient n’est pas porteur de voie centrale. Sa radiographie pulmonaire retrouve la lésion pulmonaire tumorale lobaire supérieure droite inchangée sans autre signe. Le bilan biologique retrouve des leucocytes à 0.3 G/L, des plaquettes à 50 G/l, une hémoglobine à 78 g/L et une créatinine à 70 µmol/L. Quelle antibiothérapie probabiliste est la plus appropriée ?
Une β-lactamine active contre le pseudomonas aeruginosa type Piperacilline Tazobactam
Une pénicilline M active contre le staphylocoque type Oxacilline
Une quinolone active contre le pneumocoque type Levofloxacine
Un aminoside actif contre Escherichia coli type Gentamicine
Un glycopeptide actif contre le SARM type Vancomycine
Un patient de 65 ans est hospitalisé dans votre service pour neutropénie fébrile après son 2e cycle de chimiothérapie pour un cancer du poumon. A l’examen clinique, la température est à 38°C, la tension artérielle est à 115/70 mmHg avec une fréquence cardiaque à 80/min. Le laboratoire vous appelle pour vous informer que les hémocultures périphériques sont positives en 12 H avec des Cocci gram positifs en amas. Quel germe suspectez-vous en priorité
Pneumocoque
Staphylocoque
Méningocoque
Entérocoque
Gonocoque
Vous revoyez en consultation un patient de 70 ans pour sa 1ere cure de chimiothérapie par CARBOPLATINE et ETOPOSIDE pour un cancer du poumon métastatique au niveau hépatique. Le diagnostic a été fait par biopsie hépatique. Il est suivi pour une hypertension sous atenolol. A l’examen clinique, la tension artérielle est à 135/80 mmHg avec une fréquence cardiaque à 80/min. Quel facteur de risque expose le plus à un risque d’aplasie fébrile ?
L’hypertension
L’âge
L’atenolol
La chimiothérapie par CARBOPLATINE
La biopsie hépatique
Vous recevez aux urgences une patiente de 49 ans, suivie pour un cancer du sein. Elle a bénéficié il y a 8 jours de sa 2e cure de chimiothérapie adjuvante par DOCETAXEL. Elle se présente pour une hyperthermie à 39.5°C avec des diarrhées à raison de 5 par jour, associé à des nausées. Elle n’a pas d’autre antécédent. A l’examen clinique, la tension artérielle à 90/50 mmHg, sa fréquence cardiaque à 100/min, sa fréquence respiratoire à 22/min et la saturation à 90% en air ambiant. Elle n’a pas de marbrures. Ella a soif et présente un pli cutané. Le laboratoire vient de vous appeler pour vous prévenir que les leucocytes sont à 0.4 G/L, les plaquettes à 45 G/L et l’hémoglobine à 75 g/L. Quel est le traitement que vous mettez en place en priorité ?
Transfusion de culots globulaire
Antibiothérapie
Oxygénothérapie
Facteurs de croissance hématopoïétique ( G-CSF)
Perfusion de Glucosé 5%
Une patiente de 68 ans sans antécédent particulier commence une chimiothérapie à base de sel de platine pour un cancer du sein triple négatif avec envahissement ganglionnaire et osseux diffus. En post cure, vous avez prescrit du G-CSF, comme indiqué dans le protocole. Quinze jours après la première cure de chimiothérapie, elle présente une neutropénie fébrile à 450/mm3 sans aucun signe de gravité résolutive en moins de 48 heures. Quelle prise en charge est la plus appropriée pour les prochaine cures ?
Diminution des doses de chimiothérapie et poursuite des G-CSF
Poursuite de la chimiothérapie et des G-CSF selon les même modalités
Augmentation de la durée de prescription des G-CSF jours en post-cure
Contre indication définitive à ce type de chimiothérapie
Mise en place d'une antibioprophylaxie par quinolone à la prochaine cure
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