DES.Q.ECN. Part 2
Vous recevez les résultats d’un patient traité par héparine non fractionnée (TCA cible = de 1,5N à 2,5N) : TCA > 4N. Quel est le traitement le plus approprié ?
Transfusion de plaquettes
Injection de sulfate de protamine
Transfusion de plasma
Injection de vitamine K
Vous réalisez un bilan de coagulation pré-opératoire chez un patient traité par antivitamines K au long cours. Au niveau pharmacologique, quel facteur de coagulation sera probablement normal?
Facteur II
Facteur V
Facteur VI
Facteur IX
Facteur X
Une patiente de 64 ans est admise aux urgences pour une douleur du mollet gauche d'apparition aiguë. Vous retrouvez à l'examen un oedème du mollet gauche prenant le godet et une douleur à la palpation. Elle a pour antécédents une hypertension artérielle bien équilibrée sous IEC + inhibiteur calcique. Elle porte une attelle depuis 8 jours pour une entorse de la cheville gauche. TA 120/80, pouls 110/mn, temp 38,2. Quelle est la probabilité clinique de thrombose veineuse profonde ?
Nulle
Très faible
Faible
Intermédiaire
Forte
Une patiente de 64 ans est admise aux urgences pour une douleur du mollet gauche d'apparition aiguë. Vous retrouvez à l'examen un oedème du mollet gauche prenant le godet et une douleur à la palpation. Elle a pour antécédents une hypertension artérielle bien équilibrée sous IEC + inhibiteur calcique. Elle porte une attelle depuis 8 jours pour une entorse de la cheville gauche. TA 120/80, pouls 110/mn, temp 38,2. L’échographie-doppler met en évidence une thrombose veineuse profonde distale. Quelle durée de traitement anticoagulant est la plus adaptée chez cette patiente?
3 semaines
6 semaines
3 mois
6 mois
2 ans
A vie
Vous avez reçu en traité en hospitalisation une patiente pour phélbite du membre inférieur droit : vous avez effectué un relais HBPM - AVK. La patiente vous appelle après avoir reçu le résultat de son INR qui est à 5,3. Elle est asymptomatique. Quelle prise en charge est la plus appropriée chez cette patiente ?
Saut d'une prise d'AVK et contrôle de l'INR à +24h
Arrêt des AVK, apport de 5mg de vitamine K par voie orale et contrôle de l'INR à +24h
Poursuite du même traitement et contrôle de l'INR à +24h
Arrêt des AVK, apport de 10mg de vitamine K par voie orale, administration de concentré de
Complexes prothrombiniques et contrôle de l'INR 30 minutes après
Arrêt des AVK, apport de 1 à 2mg de vitamine K par voie orale et contrôle de l'INR à +24h
Vous avez reçu en traité en hospitalisation une patiente pour phlébite du membre inférieur droit : vous avez effectué un relais HBPM - AVK. Une semaine plus tard, la patiente présente une épistaxis de la narine droite ayant duré 20 minutes, s'étant tarie spontanément après compression locale. Son INR est à 6,7. Quelle prise en charge est la plus appropriée chez cette patiente ?
Saut d'une prise d'AVK et contrôle de l'INR à +24h
Arrêt des AVK, apport de 5mg de vitamine K par voie orale et contrôle de l'INR à +24h
Poursuite du même traitement et contrôle de l'INR à +24h
Arrêt des AVK, hospitalisation, apport de 10mg de vitamine K par voie orale, administration de
Concentré de complexes prothrombiniques et contrôle de l'INR 30 minutes après
Arrêt des AVK, apport de 1 à 2mg de vitamine K par voie orale et contrôle de l'INR à +24h
Vous prescrivez du paracétamol à un enfant de 3 ans pour de la fièvre. Quelle est la prescription la plus appropriée ?
15mg/kg/6h en sirop
100mg/kg/6h en sirop
60mg/kg/6h en sirop
7,5mg/kg/6h en sirop
15mg/kg/6h en comprimé
100mg/kg/6h en comprimé
60mg/kg/6h en comprimé
7,5mg/kg/6h en comprimé
Vous hospitalisez un enfant de 6 mois pour une gastro-entérite avec vomissements abondants et déshydratation. Quelle est la prescription de paracétamol par voie intraveineuse la plus appropriée ?
60mg/kg/6h
30mg/kg/6h
100mg/kg/6h
7,5mg/kg/6h
50mg/kg/6h
15mg/kg/6h
Un enfant de 4 ans est amené aux urgences par ses parents pour une intoxication au paracétamol. L'enfant a échappé à la surveillance et a bu la fin d'un flacon de paracétamol qui était resté sur une table. Quelle est la prescription la plus appropriée comme antidote ?
PPSB
Flumazénil
Sulfate de protamine
Oxygénothérapie hyperbarre
Naloxone
N-acétyl-cystéine
Hydroxocobalamine
Vous décidez de prescrire du tramadol chez un patient de 36ans présentant des douleurs post-opératoires non soulagées par du paracétamol. Quelle est la prescription la plus appropriée ?
5mg toutes les 6h
50mg toutes les 6h
200mg toutes les 6h
500mg toutes les 6h
Vous décidez de faire un relais intraveineux pour une prescription de morphine chez un patient traité pour des douleurs chroniques résistantes aux autres classes d'antalgiques, qui était équilibré avec 60mg/j de morphine par voie orale. Il ne peut plus prendre ses médicaments per os en raison de vomissements. Quelle est la prescription la plus appropriée pour la dose totale quotidienne de morphine par voie intraveineuse ?
5mg/j
10mg/j
20mg/j
30mg/j
60mg/j
120mg/j
Vous prenez en charge dans votre service d'oncologie un patient de 71 ans atteint d'un cancer de la prostate métastatique au niveau osseux. Il signale des douleurs lombaires évaluées à EN = 3/10 malgré la prise de paracétamol. Vous décidez de la prescription de tramadol LP par voie orale. Quelle posologie est la plus adaptée en première intention ?
1g toutes les 12h
15mg toutes les 6h
100 mg toutes les 12h
1g toutes les 6h
5 mg toutes les 4h
0,1 mg/kg toutes les 12h 100 mg toutes les 4h
15 mg toutes les 12h
Vous prenez en charge dans votre service d'oncologie un patient de 71 ans atteint d'un cancer de la prostate métastatique au niveau osseux. Il signale des douleurs lombaires évaluées à EN = 3/10 malgré la prise de paracétamol. Vous décidez de la prescription de tramadol LP par voie orale. A quel risque est le plus probablement exposé ce patient en raison de ce traitement?
Diarrhée
Vertiges
Rétention aiguë d'urine
Cytolyse hépatique
Tachycardie
Vous prenez en charge dans votre service d'oncologie un patient de 71 ans atteint d'un cancer de la prostate métastatique au niveau osseux, avec une fracture vertébrale de T10 à l'origine de douleurs importantes non soulagées par les antalgiques usuels. Vous décidez d'initier un traitement par morphine par voie intraveineuse. Quelle posologie est la plus adaptée en première intention ?
Sulfate de morphine 0,01 mg/kg
Sulfate de morphine 0,1 mg/kg
Sulfate de morphine 1 mg/kg
Sulfate de morphine 10 mg/kg
Chlorhydrate de morphine 0,01 mg/kg
Chlorhydrate de morphine 0,1 mg/kg
Chlorhydrate de morphine 1mg/kg
Vous prenez en charge dans votre service d'oncologie un patient de 71 ans atteint d'un cancer de la prostate métastatique au niveau osseux, avec une fracture vertébrale de T10 à l'origine de douleurs importantes non soulagées par les antalgiques usuels. Vous décidez d'initier un traitement par morphine par voie intraveineuse. Quelle posologie des bolus est la plus appropriée lors de la titration ?
0,05 mg toutes les 5 minutes
0,2 mg toutes les 5 minutes
0,5 mg toutes les 5 minutes
2 mg toutes les 5 minutes
0,05 mg toutes les heures
0,2 mg toutes les heures 0,5 mg toutes les heures
2 mg toutes les heures
Vous vous occupez en salle de naissance d'une patiente de 39 ans, G3P2. Le déroulement de la grossesse est marqué par un diabète gestationnel sous insuline bien équilibré. L'échographie du 3ème trimestre retrouve un fœtus > 95 ème percentile ainsi qu'un hydramnios. A l'arrivée aux urgences la hauteur utérine est à 37cm, la patiente contracte douloureusement toutes les 3 minutes. La dilatation cervicale est rapide après rupture spontanée des membranes. L'accouchement se déroule normalement en occipito-pubien donnant naissance à un enfant de sexe masculin pesant 4250 grammes. La délivrance dirigée a lieu dans les 10 minutes. Il existe un filet de sang persistant. Quel volume minimal de sang serait en faveur du diagnostic d’hémorragie du post partum sévère?
500 cc
750 cc
1000 cc
1500 cc
Vous vous occupez en salle de naissance d'une patiente de 39 ans, G3P2. Le déroulement de la grossesse est marqué par un diabète gestationnel sous insuline bien équilibré. L'échographie du 3ème trimestre retrouve un fœtus > 95 ème percentile ainsi qu'un hydramnios. A l'arrivée aux urgences la hauteur utérine est à 37cm, la patiente contracte douloureusement toutes les 3 minutes. La dilatation cervicale est rapide après rupture spontanée des membranes. L'accouchement se déroule normalement en occipito-pubien donnant naissance à un enfant de sexe masculin pesant 4250 grammes. La délivrance dirigée a lieu dans les 10 minutes. Il existe un filet de sang persistant. L'équipe de garde est appelée, les anesthésistes commencent la réanimation. Vous posez une sonde urinaire à demeure. Quel est son objectif principal?
Evaluer la diurèse
Voir si les urines deviennent hématiques
Permettre une meilleure rétraction utérine
Eviter le caillotage
Prévenir une obstruction
Vous vous occupez en salle de naissance d'une patiente de 39 ans, G3P2. Le déroulement de la grossesse est marqué par un diabète gestationnel sous insuline bien équilibré. L'échographie du 3ème trimestre retrouve un fœtus > 95 ème percentile ainsi qu'un hydramnios. A l'arrivée aux urgences la hauteur utérine est à 37cm, la patiente contracte douloureusement toutes les 3 minutes. La dilatation cervicale est rapide après rupture spontanée des membranes. L'accouchement se déroule normalement en occipito-pubien donnant naissance à un enfant de sexe masculin pesant 4250 grammes. La délivrance dirigée a lieu dans les 10 minutes. Il existe un filet de sang persistant. Dans ce contexte, quelle est la cause la plus probable de l'hémorragie?
Plaie de la filière génitale
Travail rapide
Atonie utérine
Rétention placentaire
Vous vous occupez en salle de naissance d'une patiente de 39 ans, G3P2. Le déroulement de la de l’accouchement est sans complication, la délivrance dirigée a lieu dans les 10 minutes. Il existe cepedant un filet de sang persistant, vous faisant poser le diagnostic d’hémorragie du post partum. Un traitement par ocytocine est mis en place avec massage utérin. 15 minutes plus tard, le saignement persiste. Quel traitement est le plus approprié ?
Carbétocine
Sulprostone
Acide traxénamique
Methylergométrine
Atosiban
Vous voyez lors de votre visite en suite de couches une femme de 29 ans qui a accouché à terme d'un garçon de 3500 grammes. A J3 post-partum, votre patiente est fébrile à 38°5 et présente une mastodynie. Quel diagnostic est le plus probable ?
Lymphangite
Abcès mammaire
Engorgement mammaire
Montée laiteuse
Galactophorite
Vous voyez lors de votre visite en suite de couches une femme de 29 ans qui a accouché à terme d'un garçon de 3500 grammes. Votre patiente a accouché par forceps. A J2, son bilan montre une hémoglobine à 8,6 g/dL, GB = 12 200/mm3 et la patiente se plaint d'une douleur côtée à 9/10 au niveau de la cicatrice d'épisiotomie. Quel diagnostic est le plus probable?
Infection au niveau de la suture de l'épisiotomie
Endométrite
Lésion nerveuse du périnée
Thrombus vaginal
Phlébite pelvienne
Vous voyez lors de votre visite en suite de couches une femme de 29 ans qui a accouché à terme d'un garçon de 3500 grammes. A J5, elle présente une mastodynie droite, un placard inflammatoire avec 39° de fièvre, signe de Budin négatif. Quel est le diagnostic le plus probable?
Engorgement mammaire
Mastite
Galactophorite
Lymphangite
Abcès du sein
Vous voyez lors de votre visite en suite de couches une femme de 29 ans qui a accouché à terme d'un garçon de 3500 grammes. A J5, elle présente une mastodynie droite, un placard inflammatoire avec 39° de fièvre. Quelle est la prochaine étape la plus utile pour votre diagnostic ?
Palpation mammaire
Traitement antibiotique probabiliste
Test par AINS
Recherche de pus dans le lait
Vous voyez lors de votre visite en suite de couches une femme de 29 ans qui a accouché à terme d'un garçon de 3500 grammes. A J3 vous retrouvez votre patiente en train de pleurer, anxieuse, elle a peur de ne pas savoir s'occuper de son enfant. Vous la trouvez extrêmement irritable. Quel diagnostic est le plus probable?
Post-partum blues
Dépression du post-partum
Episode dépressif majeur
Trouble bipolaire débutant
Vous voyez aux urgences Mme B. 37 ans pour métrorragies intermittentes de faible abondance. C’est la première fois qu’elle présente ce symptome, et n’a aucun antécédent. L’examen clinique est sans autre particularités. TA 120/80, pouls 70/mn, temp 37,2. Quel examen est le plus approprié en première intention ?
Hémocue
NFS
Bilan d'hémostase
BHCG
Echographie pelvienne
Vous voyez aux urgences Mme B. 37 ans pour métrorragies intermittentes de faible abondance. C’est la première fois qu’elle présente ce symptome, et n’a aucun antécédent. L’examen clinique est sans autre particularités. TA 120/80, pouls 70/mn, temp 37,2. L’échographie retrouve un fibrome. Quelle est la localisation la plus probable de ce fibrome ?
Intracavitaire
Intramural
Sus muqueux
Sous séreux
Vous voyez aux urgences Mme B. 37 ans pour métrorragies intermittentes de faible abondance. C’est la première fois qu’elle présente ce symptome, et n’a aucun antécédent. L’examen clinique est sans autre particularités. TA 120/80, pouls 70/mn, temp 37,2. L’échographie retrouve un fibrome. Quelle est la physiopathologie la plus probable de ce saignement ?
Origine fonctionnelle
Origine obstétricale
Origine mécanique
Origine tumorale
Vous voyez aux urgences Mme B. 37 ans pour métrorragies intermittentes de faible abondance. C’est la première fois qu’elle présente ce symptome, et n’a aucun antécédent. L’examen clinique est sans autre particularités. TA 120/80, pouls 70/mn, temp 37,2. L’échographie retrouve un endomètre à 25 mm sans fibrome, les BHCG sont négatifs. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Hyperplasie endométriale
Hypertrophie endométriale
Cancer de l'endomètre
Adénomyose
Vous voyez aux urgences Mme B. 37 ans pour métrorragies intermittentes de faible abondance. C’est la première fois qu’elle présente ce symptome, et n’a aucun antécédent. L’examen clinique est sans autre particularités. TA 120/80, pouls 70/mn, temp 37,2. L’échographie retrouve des Fibromes. Quel traitement chirurgical est le plus adapté dans ce cas ?
Polymyomectomie par laparotomie
Polymyomectomie par coelioscopie
Hystéroscopie diagnostique
Résection de myome par hystéroscopie
Vous recevez une patiente de 55 ans, ménopausée depuis 4 ans, que vous suivez régulièrement pour des fibromes responsables par le passé de metrorragies. Votre prise en charge chirugicale il y a 6 ans avait définitivement stoppé le metrorragies. Elle consulte car elle présente de nouveau un épisode de métrorragies. Quel examen est le plus approprié en première intention ?
Hystéroscopie diagnostique
Biopsie d'endomètre
Frottis cervico-utérin
Hystéroscopie opératoire
Vous voyez une patiente de 37 ans enceinte à 13 SA. Elle est G6P2 : 3 fausses couches spontanées, 2 césariennes. Dans ses antécédents on note un lupus érythémateux disséminé ainsi qu'un syndrome de Gougerot-Sjögren. La biologie montre : AC anti-nucléaires +, Anticardiolipides +, Anti-SSA+, Anti-SSB + Quelle atteinte d'organe secondaire au lupus recherchez-vous qui CONTRE-INDIQUERAIT la grossesse?
Dermatologiques
Osseuse
Hépatique
Rénale
Ophtalmique
Vous voyez une patiente de 37 ans enceinte à 13 SA. Elle est G6P2 : 3 fausses couches spontanées, 2 césariennes. Dans ses antécédents on note un lupus érythémateux disséminé ainsi qu'un syndrome de Gougerot-Sjögren. La biologie montre : AC anti-nucléaires +, Anticardiolipides +, Anti-SSA+, Anti-SSB + Quel suivi effectuez vous en priorité dans ce cas?
Dépistage du diabète gestationnel
Surveillance ophtalmologique chez la mère
Echographie cardiaque fœtale
Surveillance dermatologique
Surveillance à chaque consultation de la pression artérielle
Vous voyez une patiente de 37 ans enceinte à 13 SA. Elle est G6P2 : 3 fausses couches spontanées, 2 césariennes. Dans ses antécédents on note un lupus érythémateux disséminé ainsi qu'un syndrome de Gougerot-Sjögren. A 22 SA le fœtus est au 9 ème percentile. La vitalité fœtale est bonne, le doppler ombilical est normal, il existe des notchs au niveau des dopplers utérins. Quel est la cause la plus probable du retard de croissance intra utérin dans ce cas?
Vasculaire
Génétique
Infectieuse
Iatrogène
Endocrinien
Vous recevez en consultation aux urgences ophtalmologiques un patient de 78ans pour baisse d'acuité visuelle brutale de l'œil gauche. Il a pour antécédents une hypertension artérielle, un diabète de type 2 (dernière HbA1c 6,8%) et une hypercholestérolémie. L'examen du segment antérieur est normal, en dehors de la présence d'une cataracte cotico-nucléaire débutante. Le fond d'œil retrouve une tortuosité veineuse rétinienne associée à des hémorragies en flammèche et des nodules cotonneux dans les 4 quadrants. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Uvéite postérieure
Occlusion de l'artère centrale de la rétine
Névrite optique rétrobulbaire
Occlusion de la veine centrale de la rétine
Neuropathie optique ischémique antérieure aiguë
Rétinopathie diabétique
Vous examinez un patient présentant une pan-uvéite de l'œil droit liée à une sarcoïdose. Le fond d'œil est mal visible en raison d'une hyalite cotée 3+. Au niveau physiopathologique, dans quelle région de l'œil se trouvent les cellules inflammatoires dans une hyalite ?
Vitré
Choroïde
Chambre antérieure
Chambre postérieure
Rétine
Vous examinez un patient de 75ans pour baisse d'acuité visuelle brutale. Vous concluez à une neuropathie optique ischémique antérieure aiguë. Quelle en est la cause la plus fréquente ?
Maladie de Horton
Herpès
Médicamenteuse
Sclérose en plaques
Artériosclérose
Vous recevez en consultation d'urgence une femme de 34ans pour baisse d'acuité visuelle rapidement progressive. Vous concluez à une névrite optique. Quelle diagnostic étiologique est le plus probable?
Alcool
Sclérose en plaques
Sarcoïdose
Médicamenteuse
Spondylarthrite ankylosante
Maladie de Crohn
Vous voyez en consultation aux urgences ophtalmologiques Mr B., 74 ans, pour baisse de vision de l'œil gauche apparue de façon brutale il y a 2 jours. Il s'est fait opéré de la cataracte de l'œil droit il y a 7 mois et de l'œil gauche il y a 6 mois. Il décrit un épisode de phosphènes il y a 5 jours. L'acuité visuelle avec correction est à 9/10ème P2 à droite, 3/10ème P7 à gauche. Quelle est le diagnostic le plus probable ?
DMLA atrophique
Uvéite intermédiaire
Glaucome aigu par fermeture de l'angle
Cataracte secondaire
Décollement de rétine
Vous voyez en consultation aux urgences ophtalmologiques Mr B., 74 ans, pour baisse de vision de l'œil gauche apparue de façon brutale il y a 2 jours. Il s'est fait opéré de la cataracte de l'œil droit il y a 7 mois et de l'œil gauche il y a 6 mois. Il décrit un épisode de phosphènes il y a 5 jours. L'acuité visuelle avec correction est à 9/10ème P2 à droite, 3/10ème P7 à gauche. Vous évoquez le diagnostic de décollement de rétine. Quel facteur de risque serait le plus en faveur de ce diagnostic ?
Myopie
Hypermétropie
Astigmatisme
Presbytie
Vous voyez en consultation aux urgences ophtalmologiques Mr B., 74 ans, pour baisse de vision de l'œil gauche apparue de façon brutale il y a 2 jours. Il s'est fait opéré de la cataracte de l'œil droit il y a 7 mois et de l'œil gauche il y a 6 mois. Il décrit un épisode de phosphènes il y a 5 jours. L'acuité visuelle avec correction est à 9/10ème P2 à droite, 3/10ème P7 à gauche. Vous évoquez le diagnostic de décollement de rétine. Quel examen est le plus approprié dans la suite de la prise en charge?
OCT (Tomographie en Cohérence Optique)
Angiographie rétinienne à la fluorescéine
Fond d'œil au verre à 3 miroirs
Ponction de chambre antérieure
Angiographie rétinienne à la fluorescéine
Prise de la pression intraoculaire
Aucun examen n'est nécessaire avant le traitement
Vous voyez en consultation aux urgences ophtalmologiques Mr B., 74 ans, pour baisse de vision de l'œil gauche apparue de façon brutale il y a 2 jours. Il s'est fait opéré de la cataracte de l'œil droit il y a 7 mois et de l'œil gauche il y a 6 mois. Il décrit un épisode de phosphènes il y a 5 jours. L'acuité visuelle avec correction est à 9/10ème P2 à droite, 3/10ème P7 à gauche. Vous évoquez le diagnostic de décollement de rétine. Quel thérapie est la plus adaptée ?
Prise en charge chirurgicale
Injection intravitréenne d'anti-VEGF
Traitement par laser YAG
Collyre hypotonisant
Corticothérapie locale
Vous voyez en consultation aux urgences ophtalmologiques Mr B., 74 ans, pour baisse de vision de l'œil gauche apparue de façon brutale il y a 2 jours. Il s'est fait opéré de la cataracte de l'œil droit il y a 7 mois et de l'œil gauche il y a 6 mois. Il décrit un épisode de phosphènes il y a 5 jours. L'acuité visuelle avec correction est à 9/10ème P2 à droite, 3/10ème P7 à gauche. Vous évoquez le diagnostic de décollement de rétine. Quelle est la cause la plus probable des phosphènes chez ce patient ?
Néovaisseaux maculaires
Survenue de la déchirure rétinienne
Soulèvement de la rétine périphérique
Réaction inflammatoire vitréenne
Soulèvement de la macula
Hypertonie oculaire
Vous recevez aux urgences ophtalmologiques une patiente de 48ans pour une rougeur oculaire de l'œil droit associée à des douleurs oculaires profondes importantes, d'apparition brutale. Elle a pour antécédents une thyroïdite de Hashimoto substituée par L-thyroxine depuis 6 mois, un syndrome dépressif majeur traité depuis 15 jours par clomipramine et une intolérance au glucose. L'acuité visuelle avec sa correction (OD: +2,50 add +1, OG: +2,25 add +1) est à 2/10 P6 à droite et 10/10 P2 à gauche. Elle signale également des nausées. L'examen à la lampe à fente retrouve un oedème cornéen, une chambre antérieure étroite ainsi qu'une rougeur conjonctivale diffuse. Quelle hypothèse diagnostique est la plus probable ?
Kératite herpétique
Uvéite antérieure aiguë
Glaucome néovasculaire
Abcès de cornée bactérien
Sclérite
Crise aiguë de fermeture de l'angle
Conjonctivite allergique
Kératoconjonctivite à adénovirus
Vous recevez aux urgences ophtalmologiques une patiente de 48ans pour une rougeur oculaire de l'œil droit associée à des douleurs oculaires profondes importantes, d'apparition brutale. L'acuité visuelle avec sa correction (OD: +2,50 add +1, OG: +2,25 add +1) est à 2/10 P6 à droite et 10/10 P2 à gauche. Elle signale également des nausées : vous posez le diagnostic de crise aigue de glaucome par fermeture de l’angle. Quel signe clinique serait le plus en faveur de ce diagnostic ?
Pupilles isocores isoréactives
Myosis à droite, pupille normale à gauche
Semi-mydriase aréflectique à droite, pupille normale à gauche
Mydriase complète à droite, pupille normale à gauche
Pupilles en myosis serré
Pupilles en mydriase complète
Pupille droite en myosis, pupille gauche en semi-mydriase aréflectique
Pupillie droite en semi-mydriase aréflectique, pupille gauche en myosis serré aréflectique
Vous recevez aux urgences ophtalmologiques une patiente de 48ans pour une rougeur oculaire de l'œil droit associée à des douleurs oculaires profondes importantes, d'apparition brutale. L'acuité visuelle avec sa correction (OD: +2,50 add +1, OG: +2,25 add +1) est à 2/10 P6 à droite et 10/10 P2 à gauche. Elle signale également des nausées : vous posez le diagnostic de crise aigue de glaucome par fermeture de l’angle. Quelle est la prise en charge la plus appropriée ?
Corticothérapie locale en collyr (dexaméthasone) + atropine
Collyres hypotonisants + inhibiteur de l'anhydrase carbonique par voie intraveineuse
Injections intravitréennes d'antibiotiques et collyres antibiotiques fortifiés
Collyres hypotonisants seuls
Corticothérapie par voie intraveineuse en bolus et locale
Collyre antiseptique
Aciclovir par voie orale et locale
Collyre antihistaminique et antidégranulant mastocytaire
Vous recevez aux urgences ophtalmologiques une patiente de 48ans pour une rougeur oculaire de l'œil droit associée à des douleurs oculaires profondes importantes, d'apparition brutale. L'acuité visuelle avec sa correction (OD: +2,50 add +1, OG: +2,25 add +1) est à 2/10 P6 à droite et 10/10 P2 à gauche. Elle signale également des nausées : vous posez le diagnostic de crise aigue de glaucome par fermeture de l’angle, et votre prise en charge initiale est efficace. Quelle prise en charge est la plus appropriée sur l’œil controlatéral (= «œil adelphe ») ?
Collyre myotique + iridotomie périphérique au laser YAG
Corticothérapie locale
Collyre antiseptique
Collyre mydriatique + iridotomie périphérique au laser YAG
Collyre antibiotique à large spectre
Iridotomie périphérique au laser YAG seule
Corticothérapie locale + collyre mydriatique
Corticothérapie locale + collyre myotique
Vous examinez un patient aux urgences ophtalmologiques qui présente on une rougeur conjonctivale en secteur associée à des douleurs oculaires sans baisse d'acuité visuelle. Quelle hypothèse diagnostique est la plus probable ?
Uvéite antérieure aiguë
Episclérite
Conjonctivite
Kératite
Crise aiguë de fermeture de l'angle
Vous examinez un patient qui présente une kératite ponctuée superficielle. Il y a une notion de contage. Quel agent infectieux est le probablement responsable ?
Herpès
Streptocoque
Adénovirus
Chlamydia trachomatis
Staphylocoque
Vous recevez une patiente pour œil rouge et douloureux. Dans quelle situation est-il recommandé de rechercher une maladie de système dès le 1er épisode ?
Crise aiguë de fermeture de l'angle
Episclérite
Conjonctivite papillaire
Kératite
Conjonctivite folliculaire
Sclérite
Vous examinez un patient pour baisse d'acuité visuelle. L'examen de la cornée retrouve des ulcérations cornéennes dendritiques. Quel agent infectieux est le probablement responsable ?
Chlamydia trachomatis
Herpès
Streptocoque
Adénovirus
Vous recevez un patient de 76ans qui présente un œil rouge et douloureux en post-opératoire d'une chirurgie de la cataracte survenue il y a 4 jours. Quel est le diagnostic est à évoquer en priorité ?
Conjonctivite bactérienne
Kératite bactérienne
Endophtalmie
Kératite amibienne
Sclérite
Vous voyez une patiente de 74ans qui présente une baisse d'acuité visuelle progressive bilatérale. Vous avez noté que la patiente, qui était emmétrope dans sa jeunesse, présente une myopie qui augmente progressivement. Elle est actuellement à -3,25 et -3,50. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Cataracte sous-capsulaire postérieure
Œdème papillaire lié à une hypertension intracrânienne
Rétinopathie diabétique
Glaucome chronique
Cataracte nucléaire
Vous examinez un patient qui présente une amétropie avec la réfraction suivante: -6,25D et -7,00D. Quelle amétropie le sujet présente-il ?
Myopie
Hypermétropie
Astigmatisme
Presbytie
Vous examinez un patient qui présente une amétropie avec la réfraction suivante: 0,00 (-1,50 à 90°) œil droit et 0,00 (-1,00 à 90°). Quelle amétropie le sujet présente-il ?
Myopie
Hypermétropie
Astigmatisme
Presbytie
Myopie + astigmatisme
Hypermétropie + astigmatisme
Vous suivez un patient de 9ans pour une altération progressive de la vision centrale. Vous suspectez une dystrophie maculaire héréditaire. Quel diagnostic est le plus probable ?
Maladie de Stargardt
Rétinopathie pigmentaire
Glaucome chronique
Adénome hypophysaire
Rétinopathie diabétique
Vous suivez un patient de 15ans qui présente une héméralopie, un rétrécissement progressif du champ visuel. Le fond d'œil retrouve des migrations de pigments sous-rétiniens donnant des images en ostéoblastes. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Maladie de Stargardt
Glaucome chronique
Rétinopathie pigmentaire
Maculopathie diabétique
Vous voyez en consultation un garçon de 7 ans amené par sa maman pour des céphalées et une vision trouble de près lors de la lecture ou d'un travail prolongé sur ordinateur. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Myopie
Hypermétropie
Astigmatisme
Presbytie
Vous voyez en consultation un garçon de 7 ans amené par sa maman pour des céphalées et une vision trouble de près lors de la lecture ou d'un travail prolongé sur ordinateur. La réfraction sous cycloplégique confirme votre hypothèse. Quelle prise en charge est la plus appropriée ?
Verres cylindriques concaves
Verres cylindriques convexes
Verres sphériques concaves
Verres sphériques convexes
Vous voyez en consultation un garçon de 3 ans amené par sa maman pour des céphalées et une vision trouble de près lors de la lecture ou d'un travail prolongé sur ordinateur. Vous désirez évaluer son acuité visuelle de près. Quelle échelle est la plus appropriée ?
Echelle de Rossano-Weiss
Echelle de Monoyer
Echelle ETDRS
Echelle de Parinaud
Vous recevez aux urgences un patient de 9 ans qui présente un saignement de nez. À l’interrogatoire, vous apprenez que cela se produit 2 à 3 fois par mois. Sa mère vous dit que c’est la première fois que la compression bidigitale des ailes du nez ne permet pas de stopper le saignement. Après évacuation des caillots par mouchage, vous réalisez une rhinoscopie mettant en évidence un saignement localisé à la tâche vasculaire du côté gauche. Quelle est l’origine la plus probable de ce saignement ?
Perforation septale
Télangiectasie hémorragique
Irritation de la tâche vasculaire
Fracture de l’éthmoïde
Vous recevez aux urgences un patient de 9 ans qui présente un saignement de nez. Vous finissez par apprendre qu’il se plaignait de maux de tête dans la matinée et que sa mère lui a administré 3 comprimés effervescents d’aspirine 500 mg espacés de 2 heures car elle a l’habitude d’utiliser de l’aspirine pour soulager ses propres maux de tête. Le patient continue à perdre du sang et vous le trouvez de plus en plus pâle, avec une fréquence cardiaque qui est à présent à 135 bpm. Quel examen complémentaire est le plus approprié en première intention ?
Fibroscopie nasale
Scanner du massif facial
Radiographie du crâne face et profil
NFS-plaquettes, TP-TCA et groupe
Vous recevez aux urgences un patient de 9 ans qui présente un saignement de nez. Vous finissez par apprendre qu’il se plaignait de maux de tête dans la matinée et que sa mère lui a administré 3 comprimés effervescents d’aspirine 500 mg espacés de 2 heures car elle a l’habitude d’utiliser de l’aspirine pour soulager ses propres maux de tête. Le patient continue à perdre du sang et vous le trouvez de plus en plus pâle, avec une fréquence cardiaque qui est à présent à 135 bpm. La compression bidigitale après mouchage a échoué. Quelle prise en charge est la plus adaptée ?
Tamponnement antérieur avec des mèches non résorbables
Cautérisation de l’artère sphéno-palatine par voie endonasale
Embolisation des artères sphéno-palatines seules
Embolisation de l’artère ethmoïdale seule
Embolisation des artères sphéno-palatines et de l’artère ethmoïdale
Ligature des artères ethmoïdales
Vous recevez aux urgences un patient de 25 ans pour épistaxis unilatérale gauche survenue spontanément alors qu’il était chez lui. Il ne consomme aucun toxique et vous ne relevez pas d’antécédent particulier à l’interrogatoire. Ses constantes sont les suivantes : FC 75 ; TA 130/80 mmHg. Quelle est l’étiologie d’épistaxis la plus probable pour ce patient ?
Fracture de l’ethmoïde
Fibrome naso-pharyngien
Granulomatose de Wegener
Grattage de la tâche vasculaire
Maladie de Rendu-Osler
Vous recevez aux urgences un patient de 22 ans pour épistaxis bilatérale. Ce n’est pas la première fois que cela lui arrive et vous apprenez à l’interrogatoire que son père est également fréquemment sujet aux épistaxis. Vous remarquez à l’examen clinique qu’il présente de multiples télangiectasies au niveau des lèvres et quelques-unes au niveau des pommettes. Ses constantes sont les suivantes : FC 75 ; TA 130/80 mmHg. Quelle pathologie devez-vous évoquez devant ce tableau ?
Syndrome CREST
Syndrome de Kasabach-Merritt
Syndrome de Sturge-Weber-Krabbe
Granulomatose de Wegener
Maladie de Rendu-Osler
Vous recevez aux urgences un patient de 32 ans pour épistaxis unilatérale droite abondante. Il présente un antécédent de lupus érythémateux disséminé avec syndrome des anti-phospholipides. Son traitement comporte de l’hydroxychloroquine et une anticoagulation par AVK au long cours. Il est pâle et le temps de recoloration cutanée est inférieur à 3 secondes. Ses constantes sont les suivantes : FC 105 ; TA 110/70 mmHg. Quels examens complémentaires demandez-vous dans l’immédiat pour évaluation du retentissement ?
NFS-Plaquettes, TP-TCA
NFS-Plaquettes, TP-TCA et INR
NFS-Plaquettes, TP-TCA et Groupe-Rh-RAI
NFS-Plaquettes, TP-TCA, Groupe-Rh-RAI et INR
NFS-Plaquettes, TP-TCA, fibroscopie nasale
NFS-Plaquettes, TP-TCA, INR, fibroscopie nasale
NFS-Plaquettes, TP-TCA, INR, Groupe-Rh-RAI, fibroscopie nasale
Vous recevez aux urgences un patient de 47 ans pour épistaxis unilatérale gauche. Il est tabagique à 25 paquets-année et ne présente pas d’antécédents particuliers hormis une appendicectomie dans sa jeunesse. Il ne prend aucun traitement et ne présente pas de signes cliniques de gravité. Ses constantes sont les suivantes : FC 88 ; TA 120/75 mmHg. Après mouchage efficace, compression bi-digitale et méchage antérieur, l’épistaxis ne s’interrompt pas. Que proposez-vous ?
Tamponnement antéro-postérieur
Cautérisation de la tâche vasculaire
Embolisation de l’artère ethmoïdale
Embolisation de l’artère sphéno-palatine
Ligature de l’artère ethmoïdale
Vous recevez aux urgences un patient de 28 ans pour épistaxis unilatérale droite après un choc lors d’un match de rugby. Il n’a pas d’antécédents particuliers. Il ne prend aucun traitement et ne présente pas de signes cliniques de gravité. Ses constantes sont les suivantes : FC 75 ; TA 125/80 mmHg. Vous constatez à l’examen que l’épistaxis, initialement rouge vif, s’éclaircit de plus en plus. À quoi pensez-vous ?
Une épistaxis sur sinusite
Une perforation septale
Une otoliquorrhée
Une fracture des os propres du nez
Une brèche méningée
Vous recevez aux urgences pédiatriques un jeune garçon de 4 ans présentant une fièvre à 39,1 °C, une rhinorrhée purulente gauche et une exophtalmie importante associée à une mydriase du même côté. Ses parents vous informent qu’il a présenté une rhinopharyngite il y a 2 semaines. À l’examen clinique, l’exophtalmie est irréductible et vous retrouvez un écoulement purulent au méat moyen gauche. Quel est votre diagnostic ?
Probable hyperthyroïdie associée à une ethmoïdite antérieure
Probable hyperthyroïdie associée à une ethmoïdite postérieure
Glaucome associé à une ethmoïdite antérieure
Glaucome associé à une ethmoïdite postérieure
Phlegmon orbitaire compliquant une ethmoïdite antérieure
Phlegmon orbitaire compliquant une ethmoïdite postérieure
Vous recevez à votre consultation M. S., 37 ans, menuisier. Il présente depuis 4 mois des céphalées, une cacosmie gauche et une rhinorrhée purulente gauche. À l’examen clinique, vous retrouvez un écoulement de pus au méat moyen avec un œdème du cornet moyen faisant suspecter une sinusite sous-jacente. Quel examen complémentaire demandez-vous pour confirmer votre diagnostic ?
Un panoramique dentaire
Un dosage des anticorps c-ANCA
Une IRM des sinus
Un TDM des sinus
Un examen bactériologique des sécrétions
Vous recevez en consultation Mme C., 35 ans, secrétaire de direction. Elle se plaint d’une obstruction nasale et d’une rhinorrhée depuis 3 jours. Elle présente par ailleurs un écoulement dans l’arrière-gorge, l’obligeant à cracher quotidiennement. Sa température est de 38°C et elle ne présente comme antécédent qu’un syndrome du canal carpien gauche. Votre examen clinique retrouve une irritation rhinopharyngée. Mme C. Travaille dans une grande administration et vous dit qu’au travail tout le monde est « malade ». Quel est votre diagnostic ?
Rhinosinusite aiguë bactérienne
Rhinosinusite aiguë virale
Rhinopharyngite
Angine
Grippe
Vous recevez à votre consultation M. L., 48 ans, pompier. Il présente depuis 3 mois des céphalées, une cacosmie droite et une rhinorrhée purulente droite. Il vous explique que ses problèmes sont apparus suite à des soins dentaires. L’imagerie met en évidence une sinusite maxillaire droite mycotique avec surinfection bactérienne. Quelles sont les modalités de votre prise en charge ?
Traitement médical antibiotique seul
Traitement médical antimycotique seul
Traitement médical antibiotique + antimycotique
Traitement chirurgical + traitement antibiotique
Traitement chirurgical + traitement antimycotique
Traitement chirurgical + traitements antibiotique et antimycotique
Vous recevez à votre consultation Mme V., 53 ans, professeur de français. Elle est tabagique à 25 paquets-année et est atteinte d’endométriose. Elle se plaint de céphalées rétro-orbitaires persistantes et irradiant au vertex depuis plusieurs jours. Vous pensez à un diagnostic de sinusite sphénoïdale mais vous ne retrouvez pas d’écoulement purulent à la rhinoscopie. Quel est le diagnostic différentiel à évoquer devant ce tableau clinique ?
Hématome sous-dural aiguë
Accident ischémique transitoire
Hypertension intracrânienne
Névralgie du trijumeau
Hyperthyroïdie
Vous recevez en consultation une femme de 40 ans. Elle présente une obstruction nasale du côté droit et une rhinorrhée postérieure apparues il y a environ deux semaines. Elle se plaint également de céphalées et d'une douleur sous-orbitaire pulsatile à droite depuis quelques jours et augmentant la nuit. Le mouchage est purulent et elle a une fièvre à 38,5°C. Ses constantes sont normales. La rhinoscopie retrouve du pus dans le méat moyen et l'état buccodentaire est excellent. Elle vous explique avoir pris du paracétamol régulièrement cette semaine et se laver les fosses nasales au sérum physiologique plusieurs fois par jour sans que son état ne semble s'améliorer. Quel diagnostic est le plus probable ?
Sinusite ethmoïdale aiguë droite
Sinusite ethmoïdale chronique droite
Sinusite frontale aiguë droite
Sinusite frontale chronique droite
Sinusite maxillaire aiguë droite
Sinusite maxillaire chronique droite
Sinusite mycotique aspergillaire droite
Vous recevez en consultation une femme de 40 ans. Elle présente une obstruction nasale du côté droit et une rhinorrhée postérieure apparues il y a environ deux semaines. Elle se plaint également de céphalées et d'une douleur sous-orbitaire pulsatile à droite depuis quelques jours et augmentant la nuit. Le mouchage est purulent et elle a une fièvre à 38,5°C. Ses constantes sont normales. La rhinoscopie retrouve du pus dans le méat moyen et l'état buccodentaire est mauvais. Elle vous explique avoir pris du paracétamol régulièrement cette semaine et se laver les fosses nasales au sérum physiologique plusieurs fois par jour sans que son état ne semble s'améliorer. Quel germe serait le plus en faveur d’une origine dentaire ?
Pneumocoque
Haemophilus influenzæ
Staphylocoque
Moraxella catarrhalis
Germes anaérobies
Vous recevez en consultation une femme de 40 ans. Elle présente une obstruction nasale du côté droit et une rhinorrhée postérieure apparues il y a environ deux semaines. Elle se plaint également de céphalées et d'une douleur sous-orbitaire pulsatile à droite depuis quelques jours et augmentant la nuit. Le mouchage est purulent et elle a une fièvre à 38,5°C. Elle vous signale avoir fait une importante réaction allergique à l'Augmentin dans l'enfance. Ses constantes sont normales. La rhinoscopie retrouve du pus dans le méat moyen et l'état buccodentaire est excellent. Vous posez le diagnostic de sinusite aigue maxillaire droite. Quel traitement est le plus adapté ?
Amoxicilline
Amoxicilline + acide clavulanique
Pristinamycine
Lévofloxacine
Macrolide
Vous recevez en consultation une femme de 40 ans. Elle présente une obstruction nasale du côté droit et une rhinorrhée postérieure apparues il y a environ 2 mois, récidiantes. Elle se plaint également de céphalées et d'une douleur sous-orbitaire pulsatile à droite depuis quelques jours et augmentant la nuit. Le mouchage est purulent et elle a une fièvre à 38,5°C. Ses constantes sont normales. La rhinoscopie retrouve du pus dans le méat moyen. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Sinusite ethmoïdale aiguë droite
Sinusite ethmoïdale chronique droite
Sinusite frontale aiguë droite
Sinusite frontale chronique droite
Sinusite maxillaire aiguë droite
Sinusite maxillaire chronique droite
Sinusite mycotique aspergillaire droite
Rhinite allergique chronique
Vous recevez dans votre cabinet de médecine générale un enfant de 2 ans présentant de multiples élevures saillantes, circonscrites et ombiliquées, mesurant de 1 à 5 mm et situées autour de la bouche et sur les joues. Elles ne contiennent pas de liquide. Quel type de lésion élémentaire présente ce patient ?
Vésicules
Pustules
Bulles
Papules
Nodules
Végétations
Nouures
Nævi
Vous recevez dans votre cabinet de médecine générale un enfant de 6 ans présentant des placards rouges vifs confluents au niveau des plis de flexion, du thorax et de l'abdomen, sans intervalles de peau saine et accompagnés d'une sensation de cuisson. Les lésions disparaissent à la vitropression. Quel type de lésion présente ce patient ?
Un exanthème morbilliforme
Un exanthème roséoliforme
Un exanthème scarlatiniforme
Un angiome plan
Un purpura pétéchial
Un purpura ecchymotique
Vous recevez dans votre cabinet de médecine générale un enfant de 2 ans présentant des maculo-papules rouge-vif, non prurigineuses, avec des intervalles de peau saine. Les lésions sont situées au niveau du visage, derrière les oreilles, au niveau du tronc et disparaissent à la vitropression. Quel type de lésion présente ce patient ?
Un exanthème morbilliforme
Un exanthème roséoliforme
Un exanthème scarlatiniforme
Un angiome plan
Un purpura pétéchial
Un purpura ecchymotique
Des vibices
Vous recevez un patient de 35 ans présentant des lésions squameuses blanches, brillantes, épaisses, larges et adhérentes. Au grattage, les squames s'effritent progressivement en lamelles jusqu'à ce que le derme soit mis à nu et que le sang perle en surface. Quel type de lésions présente ce patient ?
Squames pityriasiformes
Squames scarlatiniformes
Squames ichtyosiformes
Squames psoriasiformes
Squames folliculaires
Vous voyez en consultation un jeune patient de 5 ans présentant des petites macules pâles, non prurigineuses, apparues initialement au niveau de la face et progressivement extensives au niveau du tronc, des membres et des fesses. Il a une fièvre modérée et quelques adénopathies cervicales. Le vaccin ROR n'étant pas obligatoire, ses parents ont préféré ne pas le vacciner. Vous évoquez une rubéole. Quel type de lésion serait le plus en faveur de ce diagnostic ?
Un exanthème morbilliforme
Un exanthème roséoliforme
Un exanthème scarlatiniforme
Un purpura nécrotique
Un purpura pétéchial
Un purpura ecchymotique
Vous recevez une patiente 45 ans et se plaint de douleurs insomniantes des deux mains, en particulier au niveau des 2ème et 3ème articulations métacarpo-phalangiennes, ainsi que des interphalangiennes proximales qui sont gonflées, donnant à ses doigts un aspect « en fuseau ». Ces douleurs persistent au repos. Vous évoquez un tableau de polyarthrite rhumatoide. Quelle atteinte cutanée serait la plus en faveur de ce diagnostic ?
Érythème polymorphe au niveau des mains
Nodules sous-cutanés au niveau des crêtes ulnaires
Vésicules de localisation métamérique au niveau du tronc
Papules jaunâtres au niveau du visage
Bulles hémorragiques au niveau de la muqueuse buccale
Éruption rosacéiforme au niveau des ailes du nez
Vous recevez une patiente 45 ans, sans antécédent, se plaignant d'éruptions vésiculeuses étendues en bouquet de part et d'autre des commissures labiales. Quel agent pathogène est le plus probablement impliqué ?
Le virus varicelle-zona (VZV)
L'Herpes simplex virus de type 1 (HSV-1)
L'Herpes simplex virus de type 2 (HSV-2)
Le cytomégalovirus (CMV)
Le virus d'Epstein-Barr (EBV)
L'adénovirus
Le virus de l'immunodéficience humaine (VIH)
Vous recevez un jeune hommen âgé de 20 ans vient vous consulter pour une éruption vésiculeuse sur le pénis et autour de l'anus. Quel agent pathogène est le plus probablement impliqué ?
Le virus varicelle-zona (VZV
L'Herpes simplex virus de type 1 (HSV-1)
L'Herpes simplex virus de type 2 (HSV-2
Le cytomégalovirus (CMV)
Le virus d'Epstein-Barr (EBV)
L'adénovirus
Le virus de l'immunodéficience humaine (VIH)
Vous recevez un patient de 25 ans, séropositif au VIH, non observant concernant sa trithérapie. Il présente une altération de l'état général importante. Vous remarquez notamment des plaques violacées légèrement surélevées sur son tronc et ses bras. Quel diagnostic est le plus probable ?
Une neurofibromatose de type 1
Une sclérose tubéreuse de Bourneville
Un purpura fulminans
Une maladie de Kaposi
Des hémangiomes cutanés
Une sarcoïdose
Vous recevez à votre cabinet de médecine générale Mme X., 85 ans, dont les antécédents comportent une HTA, une dyslipidémie et un rétrécissement aortique calcifié. Elle se plaint de l’apparition de « grosses bulles qui grattent » sur le tronc et les membres de manière symétrique. Vous constatez à l’examen que ces bulles sont tendues et surviennent sur des zones de peau érythémateuse. Le signe de Nikolski est négatif. Quel est le diagnostic le plus probable devant ce tableau ?
Pemphigus superficiel
Syndrome de Stevens-Johnson
Syndrome de Lyell
Nécrose épidermique staphylococcique
Pemphigoïde bulleuse
Vous recevez à votre consultation de médecine générale Mme V., 52 ans, dont les antécédents comportent un diabète de type 2, une HTA, une dyslipidémie et un éthylisme chronique non sevré. Elle vous consulte pour un panaris de l’index gauche survenu après une manucure un peu trop intensive. Par argument de fréquence, quel est le germe probablement responsable de ce panaris ?
Staphylococcus aureus
Streptococcus pyogenes
Staphylococcus epidermidis
Trichophyton rubrum
Microsporum canis
Vous recevez à votre consultation un patient de 35 ans, paysagiste, que vous suivez régulièrement pour un diabète de type 1. Il vous avait consulté pour un panaris au niveau de l’auriculaire droit il y a deux semaines, mais il vous avoue n’avoir pas été très observant concernant les bains antiseptiques que vous lui aviez prescrits. Vous constatez à l’examen clinique une attitude en crochet de l'auriculaire, avec des signes inflammatoires au bord ulnaire. Quel est votre diagnostic topographique le plus probable ?
Phlegmon de la gaine digito-carpienne radiale
Phlegmon d'une gaine d'un doigt médian
Phlegmon de la gaine digito-carpienne ulnaire
Phlegmon à bascule
Phlegmon avec nécrose du tendon
Vous recevez à votre consultation une jeune femme de 27 ans. Elle est esthéticienne et n’a pas d’antécédents particuliers. Elle se plaint d’une douleur et d’une rougeur de l’annulaire gauche depuis quelques jours. Vous constatez à l’examen clinique une collection périunguéale avec des signes locaux d'inflammation, de la fièvre, une adénopathie épitrochléenne et un écoulement de pus en surface. Quel est le diagnostic le plus probable devant ce tableau ?
Panaris périunguéal au stade inflammatoire
Panaris périunguéal au stade collecté
Panaris périunguéal collecté compliqué d'une fistulisation
Panaris périunguéal collecté compliqué d'une ostéite
Panaris périunguéal collecté compliqué d'une arthrite
Phlegmon
Vous recevez en consultation un cuisinier en milieu scolaire de 45 ans sans antécédent particulier et présentant un phlegmon des gaines suite, apparemment, à un panaris négligé. Un traitement chirurgical avec mise à plat de la gaine est réalisé en urgence. En plus de la kinésithérapie et de l’éducation du patient, quelle prise en charge est la plus appropriée ?
Traitement par AINS, vaccination antitétanique d’emblée et arrêt travail
Traitement par AINS, vaccination antitétanique d’emblée et poursuite du travail
Traitement par AINS, vaccination antitétanique selon statut vaccinal et poursuite du travail
Éviter traitement par AINS, vaccination antitétanique d’emblée et arrêt travail
Éviter traitement par AINS, vaccination antitétanique selon statut vaccinal et poursuite du travail
Éviter traitement par AINS, vaccination antitétanique selon statut vaccinal et arrêt de travail
Vous recevez aux urgences une patiente de 48 ans sans antécédent particulier retrouvé à l’interrogatoire. Elle vous explique s’être fait mordre au niveau de la main droite par l’un de ses chats il y a plusieurs jours et qu’elle n’arrive désormais plus à bouger le pouce droit car le moindre mouvement est extrêmement douloureux. Vous constatez qu’elle présente un phlegmon de la gaine digito-carpienne radiale invalidant. Quel type d’antibiotique serait le plus approprié chez cette patiente ?
Amoxicilline
Cycline
Fluoroquinolone
Céphalosporine de 3ème génération
Co-trimoxazole
Vous recevez en consultation une jeune fille de 22 ans pour un renouvellement de contraception et elle vous signale qu'un de ses doigts la fait souffrir depuis quelques jours. Elle présente en effet des signes locaux d'inflammation en périphérie de l'ongle de son index gauche, avec une douleur modérée au cours de la journée. Vous remarquez que c'est une adepte de la manucure. Elle n'a pas de fièvre. Quel diagnostic est le plus probable ?
Arthrite septique
Arthrite microcristalline
Ostéite
Panaris périunguéal au stade collecté
Panaris périunguéal au stade inflammatoire
Phlegmon de la gaine des fléchisseurs au stade collecté
Phlegmon de la gaine des fléchisseurs au stade inflammatoire
Vous recevez en consultation une jeune fille de 22 ans pour un renouvellement de contraception et elle vous signale qu'un de ses doigts la fait souffrir depuis quelques jours. Elle présente en effet des signes locaux d'inflammation en périphérie de l'ongle de son index gauche, avec une douleur modérée au cours de la journée : vous posez le diagnostic de panaris périungéal au stade inflammatoire. Quelle prise en charge est la plus appropriée ?
Traitement chirurgical seul
Traitement chirurgical associé à une antibiothérapie
Pansements et bains antiseptiques pluriquotidiens associés à des antalgiques et des antipyrétiques
Pansements et bains antiseptiques pluriquotidiens associés à des antalgiques
Antibiothérapie par cyclines PO pendant 10 jours associée à des antalgiques
Vous revoyez à 48h une patiente traitée pour panaris périungéal. La situation de son doigt a empiré. Elle vous explique que malgré le traitement que vous lui avez prescrit, elle a progressivement eu de plus en plus de mal à étendre son doigt car cela lui provoquait une douleur importante et qu'il est à présent complètement bloqué. Vous constatez à l'examen que son index est très œdématié et forme un crochet irréductible. La paume de sa main présente également des signes locaux d'inflammation et vous retrouvez quelques adénopathies satellites. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Arthrite septique
Ostéite
Panaris périungéal au stade collecté
Panaris périunguéal au stade inflammatoire
Phlegmon de la gaine des fléchisseurs au stade collecté
Phlegmon de la gaine des fléchisseurs au stade inflammatoire
Rutpure tendineuse
Fasciite nécrosante
Vous recevez à votre consultation une femme de 45 ans. Ses antécédents comportent notamment un lupus érythémateux disséminé à l’âge de 25 ans sans autre poussée depuis. Ses constantes sont les suivantes : FC 80 ; TA 130/70 mmHg. Elle vous décrit des douleurs bilatérales des mains et des pieds. Quel élément lors de votre interrogatoire peut vous orienter vers une douleur de rythme inflammatoire ?
Douleur maximale le soir
Douleur soulagée par le repos
Douleur augmentée à la palpation
Douleur réveillant la nuit
Douleur calmée par du paracétamol
Une patiente de 51 ans consulte pour des douleurs articulaires des poignets et des chevilles évoluant depuis 8 semaines. Elle a un antécédent d’hypothyroïdie. À l’interrogatoire et à l’examen physique, vous suspectez une polyarthrite rhumatoïde. Vous décidez de prescrire un bilan d’auto-immunité. Lequel de ces anticorps recherchez-vous chez cette patient qui serait le plus en faveur du diagnostic de polyarthrite rhumatoïde ?
Anti-SSA
Anti-Centromère
Anti-DNA natif
Anti-CCP
Anti-Actine
Vous recevez en consultation M. Y., 48 ans, ingénieur en aéronautique. Il souffre d’une polyarthrite survenue brutalement il y a 6 mois et qui a débuté aux genoux, avec notamment un épisode de synovite qui a duré 7 semaines, pour toucher ensuite successivement les poignets et les articulations métacarpophalangiennes. Il se plaint également d’un enraidissement de plus en plus prononcé des épaules. M.Y. n’est que peu soulagé par les AINS et il vous explique qu’il se réveille la nuit à cause de la douleur et que ses articulations sont particulièrement raides le matin. Ses antécédents comportent un tabagisme à 42 paquets-année, une dyslipidémie et un angor d’effort. Votre examen clinique et les examens complémentaires vous font finalement poser le diagnostic de polyarthrite rhumatoïde. Lors des prochaines consultations, quel sera le score le plus adapté pour évaluer l’activité de cette polyarthrite rhumatoïde ?
BASDAI
BASFI
BASMI
DAS28
HAQ
Vous recevez en consultation Mme O., 53 ans, magistrate. Elle souffre d’une polyarthrite survenue brutalement il y a 5 mois et qui a débuté au niveau des 2ème et 3ème articulations métacarpophalangiennes de manière bilatérale, avec une raideur et un dérouillage matinal supérieur à 30 min. Elle se plaint également d’une déformation de ses doigts de plus en plus prononcée. Ses antécédents comportent une hypothyroïdie, une hystérectomie pour fibrome utérin il y a 3 ans, un asthme allergique depuis l’enfance et une hypertension artérielle traitée depuis cinq ans par irbésartan et hydrochlorothiazide. Elle ne fume pas et n’est pas ménopausée. Vous suspectez une polyarthrite rhumatoïde. Quel autre signe recherchez-vous qui serait le plus en faveur de ce diagnostic ?
Lombalgies inflammatoires
Nodules sous-cutanés
Aphtes buccaux
Rash maculo-papuleux
Spondylolisthésis
Alopécie
Vous recevez en consultation M. L., 55 ans, avocat. Il souffre d’une polyarthrite survenue brutalement il y a 5 mois et qui a débuté au niveau des 2èmes et 3èmes articulations métacarpophalangiennes de manière bilatérale, avec une raideur et un dérouillage matinal supérieur à 30 min. Il se plaint également de douleurs au niveau des chevilles. Ses antécédents comportent un vitiligo, une hypertension artérielle traitée depuis quatre ans par irbésartan et hydrochlorothiazide et un tabagisme à 40 paquets-année. Vous suspectez une polyarthrite rhumatoïde et demandez des clichés radiologique Main et poignet de face. Quelles autres incidences radiologiques sont les plus appropriés pour confirmer votre diagnostic ?
Pieds face + ¾ ; genoux de face + profil
Pieds face + profil ; rachis cervical face + profil + bouche ouverte
Pieds face + ¾ ; rachis cervical face + profil
Pieds face + profil ; rachis cervical face + profilPieds face + profil ; rachis cervical face + profil
Pieds face + ¾ ; rachis cervical face + profil + bouche ouverte
Pieds face + profil ; genoux face + profil
Vous recevez à votre consultation Mme V., 51 ans, secrétaire de mairie. Elle ne fume pas et ses antécédents comportent une appendicectomie dans l’enfance, une hypothyroïdie, de l’arthrose lombaire et une fracture du col du fémur survenue lors d’un AVP il y a 15 ans. Elle est droitière et se plaint d’acroparesthésies douloureuses fréquentes de la main droite à type de fourmillements et d’engourdissement. Ces douleurs empirent la nuit et l’empêchent de dormir. Vous pensez à un syndrome du canal carpien. Quel test allez-vous utiliser au cours de votre examen clinique pour mettre en évidence une compression du nerf médian ?
Test de Gerber
Test de Jobe
Test de Patte
Test de Hawkins
Test de Phalen
Vous recevez à votre consultation M. F., 29 ans, guide de haute montagne. Il ne fume pas, a des antécédents de fractures du calcaneum et du scaphoïde suite à des chutes, et pratique l’escalade à un haut niveau. Il vous décrit une douleur de la cuisse et de la jambe droites, irradiant jusqu’ à la plante du pied, et qui se déclenche dès qu’il part marcher sur des chemins un peu difficiles. À l’examen clinique, le Lasègue est positif, la marche sur les talons est possible mais vous constatez qu’il est incapable de tenir sur la pointe des pieds. Le réflexe achilléen est aboli à droite. Quelle est la localisation anatomique la plus probable de la lésion ?
Racine L2
Racine L3
Racine L4
Racine L5
Racine S1
Vous recevez à votre consultation M. W., 39 ans, agent d’entretien. Il a des antécédents de luxations d’épaule multiples, systématiquement à droite. Il se plaint depuis quelques temps de difficultés à lever le bras droit, ce qui le gêne dans son travail, et de douleurs au niveau du moignon de l’épaule. Quelle est la localisation anatomique la plus probable de la lésion ?
Racine C4
Racine C6
Racine C5
Racine C7
Racine C8
Vous recevez à votre consultation M. T., 47 ans, chauffeur de poids-lourd. Il est porteur d’une valve mitrale suite à une endocardite il y a 8 ans. Il se plaint d’une douleur à la face antéro-externe de la cuisse droite et se prolongeant au bord antérieur de la jambe et au niveau de la malléole interne. Quelle est la localisation anatomique la plus probable de la lésion ?
Radiculalgie L3
Radiculalgie L4
Radiculalgie L5
Radiculalgie S1
Vous recevez à votre consultation M. R., 29 ans, déménageur, pour une lombalgie aiguë survenue après le port d’une charge lourde. À l’examen, vous retrouvez une douleur lors de l’extension passive de la jambe vers l’avant (signe de Lasègue positif), et lors de l’extension passive vers l’arrière (signe de Léri). Quel autre signe clinique recherchez-vous qui serait le plus en faveur du diagnostic de hernie discale ?
Signe de Lhermitte
Signe de Phalen
Signe de la sonnette
Signe de Tinel
Signe du Tabouret
Vous recevez aux urgences un jeune homme de 27 ans. Plus tôt dans la journée, il effectuait un déménagement jusqu'au moment où il ressentit une violente douleur au niveau de la fesse et de la cuisse. À l'interrogatoire, vous comprenez que la douleur de la fesse irradie jusqu'au bord externe du pied gauche le long de son 5ème orteil, en passant par la face postérieure de la cuisse et le creux poplité. Vous ressentez une contracture des muscles para-vertébraux au niveau du rachis. Il n'a pas d'antécédent particulier hormis une appendicectomie à l'âge de 16 ans. L'état général conservé. Sa température est de 37,5 °C, sa tension artérielle est de 126/84. Sa fréquence cardiaque est normale. Le reste de l'examen clinique est normal. Quel diagnostic est le plus approprié ?
Lombocruralgie commune L3
Lombosciatique commune L5
Lombocrulagie symptomatique L4
Lombosciatique commune S1
Une étiologie extra-rachidienne
Lombocrulagie commune L4
Lombosciatique symptomatique L5
Lombosciatique symptomatique S1
Mme A., 80 ans, est admise au service d’accueil des urgences pour diarrhée abondante et vomissements. Comme antécédents on retrouve une suspicion de tumeur du foie avec scanner injecté il y a deux semaines. Elle est sous bisphosphonates et diurétique thiazidique pour une hypertension connue. À l’examen vous retrouvez : poids 35 kg, taille 1,60 m, TA 100/62 mmHg, FC 110 bpm, saturation en oxygène 87%. Il existe un pli cutané persistant. La créatininémie sur un bilan prescrit par son nouveau médecin traitant était à 70 µmol/L il y a un mois. Le résultat du bilan biologique que vous demandez est le suivant : Na+ 145 mmol/L, K+ 2,4 mmol/L, créatinine 310 µmol/L, urée 28 mmol/L. Vous faites réaliser une échographie rénale de principe qui montre des cavités pyélocalicielles fines et sans dilatation. Quel type d'insuffisance rénale est le plus probable devant ce tableau ?
Insuffisance rénale aiguë et fonctionnelle
Insuffisance rénale aiguë et nécrose tubulaire aiguë due à la déshydratation
Insuffisance rénale par obstacle lithiasique sur une éventuelle hypercalcémie d'origine thiazidique
Néphropathie interstitielle due à la pénicilline
Néphropathie vasculaire sur un terrain d'HTA
Mme A., 80 ans, est admise au service d’accueil des urgences pour diarrhée abondante et vomissements. Comme antécédents on retrouve une suspicion de tumeur du foie avec scanner injecté il y a deux semaines. Elle est sous bisphosphonates et diurétique thiazidique pour une hypertension connue. À l’examen vous retrouvez : poids 35 kg, taille 1,60 m, TA 100/62 mmHg, FC 110 bpm, saturation en oxygène 87%. Il existe un pli cutané persistant. Quel élément serait le plus en faveur du diagnostic d’une insuffisance rénale aigue?
Une petite taille des reins
Une hypocalcémie
Une hyperphosphorémie
Une anémie arégénérative
Une créatininémie de base normale
Une hyperuricémie
Une HTA
Une acidose métabolique
Vous recevez en consultation un homme de 55 ans qui se plaint de difficultés à la miction. À l'interrogatoire, il vous explique que depuis quelque temps il a la sensation de devoir « pousser » pour uriner et il se plaint d'aller aux toilettes plus de 5 fois par jour. Il était au cinéma avec sa femme quand il a eu une envie soudaine et pressante d'aller uriner (« Seulement quelques gouttes sont sortie. »). Voici ce que vous notez dans un premier temps : température 37,8°C, TA 132/85 mmHg, 1,85 m pour 75 kg, antécédent de torsion testiculaire en 1980. Quel est la prochaine étape diagnostique la plus appropriée ?
Bandelette urinaire
Toucher rectal
Recherche d'une douleur lombaire
Dosage du PSA
Échographie réno-vesico-prostatique
Vous recevez un patient de 55 ans se plaignant de dysurie. La BU ne retrouve pas d'hématurie, de glycosurie, ni de signes d'infection urinaire. Le PSA est légèrement augmenté, la créatinémie est à 95 µmol/L. Vous lui faites une échographie réno-vésico-prostatique et vous retrouvez un résidu post mictionnel de 80 ml, ainsi qu'une légère dilatation des cavités pyélocalicielles non significative. La prostate est évaluée à 30g. Le patient est géné de manière modérée dans sa qualité de vie (IPSS = 15/35). Quelle prise en charge est la plus appropriée en première intention ?
Abstention thérapeutique
Monothérapie par un inhibiteur de la 5-alpha réductase
Monothérapie par un alpha bloquant
Bithérapie comprenant un alpha bloquant et un inhibiteur de la 5-alpha réductase
Monothérapie par un anti-cholinergique
Résection transurétrale de prostate
Incision cervico-prostatique
Vous recevez un patient de 55 ans se plaignant de dysurie : après évaluation clinique, vous mettez en place de l'Alfuzosine (Xatral) 1 cp le soir après le repas. Que recherchez vous en priorité avant de prescrire ce traitement ?
Syndrome dépressif
Antécédent d'hypotension orthostatique
Association avec un inhibiteur de l'alpha-réductase
Insuffisance rénale sévère
Insuffisance cardiaque chronique
Vous suivez un patient de 55 ans porteur d’hypertrophie bénigne de la prostate. Après un évolution défavorable, vous avez réalisé une prise en charge chirurgicale : l’intervention s’est déroulée sans complication, et vous laissez sortir le patient. A quel risque est le plus exposé ce patient à long terme ?
TURP syndrome
Prostatite
Dysfonction érectile
Incontinence urinaire
Sténose du col vésical
Éjaculation rétrograde
Un patient de 45 ans avec des antécédents dépressifs est admis aux urgences pour obnubilation, céphalées importantes et vomissements. Tenant un discours inapproprié, l'interrogatoire est difficile. Il présente des troubles de comportement et ne sait ni la date, ni le lieu où il se trouve. Vous le voyez regarder autour de lui, perdu. Sa femme vous dit qu'il boit « beaucoup trop de bière et que ça ne l'étonne pas qu'il soit maintenant dans cet état ». Vous apprenez aussi qu'il présente depuis quelques jours une gastro-entérite qui lui donne d'importantes diarrhées liquidiennes. Il a perdu 5 kg en 3 jours et présente à l'entrée une fébricule à 37,9°C. La tension artérielle est de 110/64 mmHg. À l'examen neurologique, on ne note pas de syndrome neuro-méningé, ni d'anomalie pupillaire. Vous ne retrouvez une réponse motrice qu'à la douleur. Quel est le diagnostic le plus probable?
Hématome sous-dural aigu
Hyperhydratation intracellulaire
Delirium tremens
Déshydratation extracellulaire
Encéphalopathie hépatique due à l'importante consommation d'alcool
Hypoglycémie par inhibition de la néoglucogenèse hépatique Syndrome de sevrage
Un patient de 45 ans avec des antécédents dépressifs est admis aux urgences pour obnubilation, céphalées importantes et vomissements. Tenant un discours inapproprié, l'interrogatoire est difficile. Il présente des troubles de comportement et ne sait ni la date, ni le lieu où il se trouve. Vous le voyez regarder autour de lui, perdu. Sa femme vous dit qu'il boit « beaucoup trop de bière et que ça ne l'étonne pas qu'il soit maintenant dans cet état ». Vous apprenez aussi qu'il présente depuis quelques jours une gastro-entérite qui lui donne d'importantes diarrhées liquidiennes. Il a perdu 5 kg en 3 jours et présente à l'entrée une fébricule à 37,9°C. La tension artérielle est de 110/64 mmHg. À l'examen neurologique, on ne note pas de syndrome neuro-méningé, ni d'anomalie pupillaire. Vous ne retrouvez une réponse motrice qu'à la douleur. Quel est le score de Glasgow du patient ?
8
9
10
11
12
Mr F est un patient de 35 ans suivi pour une sarcoïdose. Il est admis à l'hôpital en raison d'une hypercalcémie à 3,50 mmol/l. L’examen clinique retrouve une tension artérielle à 120/80 mmHg, une fréquence cardiaque à 75/min et une température à 37.2°C. Quel est le mécanisme le plus probablement responsable de l'hypercalcémie ici ?
Granulomes osseux responsables d'une hyperrésorption osseuse
Sécrétion de parathormone par les fibroblastes des granulomes
Diminution de l'excrétion tubulaire de calcium par néphropathie tubulaire
Synthèse de 1 alpha hydroxylase par les macrophages des granulomes
Hyperrésorption osseuse liée à la corticothérapie systémique
Une femme de 70 ans est hospitalisée pour altération de l'état général. Son examen clinique retrouve une température à 37°C, une fréquence cardiaque à 65/min et une tension artérielle à 115/80 mmHg. Laquelle de ces manifestations cliniques est la plus évocatrice d'une hypercalcémie symptomatique ?
Polyarthrite distale
Constipation
Nystagmus
Toux sèche
Pyurie
Un électrocardiogramme est réalisé. Parmi les manifestations électrocardiographiques suivantes, laquelle serait la plus évocatrice d'une hypercalcémie avec signes de gravité ?
Allongement de l’espace QT
Sous-décalage de l'espace PQ
Ondes T amples et pointues
Ondes de Pardee (sus-décalage de l'espace ST)
Raccourcissement de l'espace QT
Un homme de 68 ans se présente aux urgences pour une hypercalcémie à 2.6 mmol/L. Il est dénutri, il pèse 48 kg. Sa tension artérielle est à 100/75 mmHg, sa fréquence cardiaque à 75/min et sa température à 37.3°C. Le bilan biologique retrouve également une hypoalbuminémie à 22 g/L. Quelle est la valeur de la calcémie corrigée ?
2.75 mmol/L
2.85 mmol/L
2.95 mmol/L
3.05 mmol/L
3.15 mmol/L
Mme V, 38 ans est hypertendue et traitée pour un VIH. Elle se présente à sa consultation de suivi, sa tension artérielle est à 140/85 mmHg, avec une fréquence cardiaque à 75/min et une température à 37.1°C. Son bilan sanguin retrouve une hypophosphorémie chronique. Dans l'hypothèse d'une cause iatrogène, vous inspectez son ordonnance. Parmi ses médicaments habituels, lequel est le plus susceptible de provoquer cette anomalie ?
Ténofovir
Furosemide
Indapamide
Teriparatide
Cholécalciférol
Un homme de 25 ans consulte aux urgences de votre hôpital pour des céphalées progressivement croissantes depuis 2 jours, associées depuis quelques heures à une photophobie. Ses constantes sont: PA 110/55 mmHg; pouls 110 /min; T° à 38,2°C. Quel serait le résultat de la ponction lombaire le plus probable en cas de méningite tuberculeuse (glycémie à 5,2 mmol/L) ?
Eléments nucléés: 122/mm3 (90% de lymphocytes), glycorrachie: 3,1 mmol/L, protéinorachie: 0,4 g/L
Eléments nucléés: 122/mm3 (90% de lymphocytes), glycorrachie: 1,8 mmol/L, protéinorachie: 1,7 g/L
Eléments nucléés: 122/mm3 (90% de lymphocytes), glycorrachie: 3,1 mmol/L, protéinorachie: 1,7 g/L
Eléments nucléés: 122/mm3 (50% de lymphocytes), glycorrachie: 3,1 mmol/L, protéinorachie: 1,7 g/L
Eléments nucléés: 122/mm3 (50% de lymphocytes), glycorrachie: 1,8 mmol/L, protéinorachie: 1,7 g/L
Une jeune femme de 30 ans est amenée par son mari à votre cabinet car elle présente des céphalées très intenses depuis le début de la matinée. A l’examen clinique vous notez quelques éléments purpuriques des membres inférieurs et ses constantes sont les suivantes : TA 90/50 mmHg; pouls 120 /min; T° 39°C. Quel est le meilleur traitement à administrer dans ce cas?
Ceftriaxone 50 mg/kg puis dexamethasone 20 mg
Dexaméthasone 10 mg puis ceftriaxone 25 mg/kg
Dexaméthasone 20 mg puis ceftriaxone 50 mg/kg
Dexaméthasone 10 mg puis ceftriaxone 50 mg/kg
Ceftriaxone 25 mg/kg puis gentamycine 5mg/kg
Un petit garçon de deux ans est amené aux urgences de l’hôpital car celui-ci a présenté un épisode de convulsions spontanément résolutives dans un contexte fébrile. A l’examen clinique, l’enfant est hypotonique, ses constantes sont les suivantes : TA 70/40 mmHg; pouls 140 /min; T° 38,9°. Quel est le meilleur traitement chez cet enfant de 2 ans ?
Aciclovir 15 mg/kg/8 heures pendant 21 jours
Aciclovir 10 mg/kg/8 heures pendant 21 jours
Aciclovir 10 mg/kg/8 heures pendant 14 jours
Aciclovir 15 mg/kg/8 heures pendant 14 jours
Aciclovir 20 mg/kg/8 heures pendant 21 jours
"Dans votre service, vous prenez en charge en hospitalisation un homme de 35 ans. Il présente depuis 2 semaines environ, de la fièvre à 38.5°C et des hémoptysies. A l’examen clinique sa tension artérielle est à 120/75 mmHg, sa fréquence cardiaque à 90/min. L’auscultation pulmonaire retrouve des roncchii à droite. L’examen bactériologique des crachats est positif sur les 3 prélèvements successifs avec l’identification de mycobacterium tuberculosis. L'antibiogramme est le suivant : Isoniazide: Résistant Rifampicine: Résistant Ethambutol: Résistant Pyrazinamide: Sensible Amikacine: Sensible Levofloxacine: Sensible Quelle est la forme de cette tuberculose ?"
Tuberculose multi-sensible
Tuberculose multi-résistante
Tuberculose présentant un profil de sensibilité habituel
Tuberculose extrêmement résistante
Tuberculose résistante à un seul antituberculeux de première génération
Une patiente de 45 ans est hospitalisée dans votre service pour une tuberculose pulmonaire. Son examen clinique retrouve une tension artérielle à 136/77 mmHg, une fréquence cardiaque à 85/min et une température à 38°C. Dans le cadre du bilan de cette tuberculose, une co-infection virale doit être systématiquement recherchée. Quelle sérologie complémentaire devez-vous demander pour votre patiente ?
VIH
VHB
CMV
HHV6
Parvovirus B19
"Dans votre service de pneumologie, un patient de 38 ans est hospitalisé pour tuberculose pulmonaire. Il n’a pas d’antécédent particulier, et n’a jamais été traité pour la tuberculose. Son examen clinique retrouve une température à 38.2°C, une tension artérielle à 140/80 mmHg et une fréquence cardiaque à 95/min. Quel est le meilleur traitement pour cette.tuberculose pulmonaire ? H = isoniazid, R = rifampicin, Z = pyrazinamide, E = ethambutol, S = streptomycin"
HRZE pendant 2 mois puis HR pendant 4 mois
HRZE pendant 2 mois, puis HE pendant 6 mois
HRE pendant 3 mois, puis HR pendant 6 mois
RZE pendant 6 mois
HRZE pendant 4 mois, puis HR pendant 2 mois
Vous voyez en consultation de suivi un patient traité pour une tuberculose pulmonaire certaine par le traitement standard. A la visite, sa tension artérielle est à 135/75 mmHg, sa fréquence cardiaque à 75/min et sa température à 37.3°C. Combien de temps après l’initiation du traitement sera-t-il nécessaire de contrôler les crachats pour la première fois ?
Jamais
A 15 jours
A 2 mois
A 9 mois
A 12 mois
Un patient de 38 ans actuellement traité pour une tuberculose contagieuse, vous amène son fils de 4 ans en consultation. L’enfant a une tension artérielle à 120/70 mmHg, une fréquence cardiaque à 70/min et sa température est à 37°C. Il vous pose la question de la nécessité d’un dépistage pour son fils. Que devez-vous faire dans ce cas ?
Un examen clinique puis une radiographie thoracique puis un test sanguin à l'interféron gamma
Un examen clinique puis une radiographie thoracique puis une IDR Ã la tuberculine
Un examen clinique puis une IDR Ã la tuberculine puis une radiographie thoracique
Un examen clinique puis un test sanguin à l'interféron gamma puis une radiographie thoracique
Aucun dépistage car l’enfant a de moins de 5 ans
Une femme âgée de 65 ans hospitalisée en service de gynécologie après hystérectomie présente une fièvre modérée associée à une pesanteur pelvienne. Ses constantes sont: TA 115/80 mmHg; pouls 80/min. Quelle proposition est le plus en faveur d'une infection urinaire sur sonde urinaire ? (ECBU signifie examen cytobactériologique des urines)
Patiente fébrile et ECBU retrouvant une leucocyturie à 106/mL et bactériurie à 106 ufc/
Patiente apyrétique et ECBU retrouvant une leucocyturie à 106/mL et bactériurie à 106 ufc/mL
Patiente fébrile et bandelette urinaire retrouvant une leucocyturie à 106/ml sans bactériurie
Patiente apyrétique et ECBU sans leucocyturie et bactériurie à 106 ufc/mL
Patiente fébrile et ECBU retrouvant une leucocyturie à 106/mL et bactériurie à 104 ufc/mL
Un homme de 73 ans consulte aux urgences de votre hôpital pour fièvre associée à une dysurie intense. Ses constantes sont: TA 95/30 mmHg; pouls 110 /min; Temp à 38,8°C. Quel est le meilleur traitement probabiliste à administrer en urgence chez un patient sans antécédent présentant une prostatite aiguë avec signes de sepsis sévère ?
Amoxicilline-acide clavulanique et gentamicine
Ceftriaxone et gentamicine
Ciprofloxacine et gentamicine
Trimethoprime sulfamethoxazole et gentamicine
Imipenem et gentamicine
Une jeune femme de 23 ans sans antécédents particuliers consulte à votre cabinet pour fièvre associée à des brûlures urinaires et des douleurs lombaires depuis le début 48 heures. Ses constantes sont: TA 125/60mmHg; pouls 70/min; Temp à 38,5°C. Quel est la meilleure prise en charge dans les suites d'une pyélonéphrite aiguë simple ? (ECBU signifie examen cytobactériologique des urines)
La réalisation d’un ECBU 48 heures après l'arrêt des antibiotiques
La réalisation d’un ECBU 48 heures et 6 semaines après l'arrêt des antibiotiques
La réalisation d’un uroscanner 4 semaines après la fin du traitement antibiotique
L’abstention de tout examen devant un premier épisode en l’absence d’antécédent
La réalisation d’une échographie rénale 4 semaines après l'arrêt des antibiotiques
Un bébé de 18 mois est amené par sa grand-mère à votre cabinet pour une fièvre inexpliquée. A l’examen clinique, l’enfant est rouge, il pleure quand vous palpez ses fosses lombaires. Ses constantes sont: TA 80/40 mmHg; pouls 120 /min; T° à 39°C. Quel est le meilleur traitement probabiliste d'une pyélonéphrite aiguë chez ce jeune enfant?
Amoxicilline-acide clavulanique
Ciprofloxacine
Ceftriaxone
Cefalexine
Trimethoprime sulfamethoxazole
Un jeune homme de 30 ans consulte à votre cabinet pour dysurie associée à des brûlures mictionnelles intenses depuis 24 heures. Ses constantes sont: TA 120/70 mmHg; pouls 90/min; T° 38,5°C. L’examen cytobactériologique des urines que vous lui avez fait réaliser montre des bacilles gram négatif à l’examen direct. Quelle est la bactérie la plus probablement en cause dans ce contexte de prostatite aiguë?
Neisseria gonorrheae
Chlamydia trachomatis
Ureaplasma uralyticum
Escherichia coli
Enterococcus faecalis
Un diagnostic de tuberculose ganglionnaire et pulmonaire surinfectant un VIH est posé chez un patient de 32 ans. Ses lymphocytes T CD4 sont à 34/mm3. Une quadrithérapie antituberculeuse est initiée, suivi deux semaines plus tard par un traitement antirétroviral. Trois semaines plus tard, le patient est fébrile et les ganglions cervicaux présents au moment du diagnostic grossissent brutalement. Leur ponction ne retrouve que des BAAR à l'examen direct. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Lymphome cervical associé à la tuberculose
Echec du traitement antituberculeux
Infection à mycobactérie atypique associée
Syndrome de restauration immunitaire
Effets secondaires des antirétroviraux
Vous suivez depuis peu dans une ONG un patient de 36 ans, séropositif pour le VIH et le VHB. Quelle est la meilleure proposition thérapeutique chez ce patient asymptomatique ayant 457 CD4/mm3 sans autre antécédent ?
Pas de traitement antirétroviral car CD4 > 350 /mm3
Zidovudine + lamivudine + efavirenz
Ténofovir + emtricitabine + efavirenz
Ténofovir + emtricitabine + atazanavir/ritonavir
Ténofovir + emtricitabine + névirapine
Vous voyez pour la première fois en consultation une jeune femme de 25 ans, adressée par son médecin traitant dans le cadre de la découverte d’une séropositivité pour le VIH. Ses constantes sont les suivantes PA 120/70, pouls 65/min, T° 37°C. Quelle complication classe recherchez-vous en faveur d’un stade 4 OMS ?
Tuberculose pulmonaire dans l'année
Leucoplasie chevelue de la langue
Candidose vulvovaginale persistante
Tuberculose ganglionnaire
Pneumopathie bactérienne sévère
Un homme de 35 ans très inquiet vient consulter à votre cabinet afin de réaliser un test de dépistage du VIH après un rapport sexuel à risque. Ses constantes sont les suivantes PA 120/70, pouls 65/min, T° 37°C. Le test est positif, quelle est la prise en charge la plus appropriée ?
Mise en place d’un traitement antirétroviral
Réalisation d’un deuxième test rapide
Confirmation par un test ELISA
Mesure d’une charge viral e VIH
Vous recevez en consultation à votre cabinet un homme âgé de 50 ans se plaignant de fièvre et céphalées depuis 48 heures. Ses constantes sont les suivantes : PA 110/55, pouls 100/min, T° 38,6°C. Chez ce patient, quel signe serait le plus évocateur d’un diagnostic de paludisme ?
Polyadénopathie
Eruption maculaire
Diarrhée sanglante
Photophobie
Algie diffuse
De garde aux urgences, vous examinez une femme de 45 ans, qui consulte pour fièvre depuis 24 heures. Les constantes sont les suivantes : PA 105/55, pouls 110/min, T° 39, 1°C. Vous diagnostiquez un accès palustre. Quel examen complémentaire est le plus approprié avant l'administration d'une dose de charge de quinine intraveineuse afin d'éliminer une éventuelle contre-indication ?
Numération de formule sanguine
Glycémie à jeun
Créatinine plasmatique
Electrocardiogramme
Radiographie pulmonaire
Un jeune homme de 32 ans consulte à votre cabinet pour une fièvre depuis deux jours associée à un syndrome pseudogrippal. Ses constantes sont les suivantes : PA 120/65, pouls 95/min, T° 38,7°C. Le frottis goutte épaisse est positif. Il n’existe pas de signe clinique de gravité. Bandelette urinaire négative. Au niveau biologique : Hb 12g/dl, Plaquettes 70 G/L, Glycémie 6,7mmol/l, ionogramme et fonction rénale normale.
Arthémeter-luméfantrine
Quinine
Mefloquine
Atovaquone-proguanil
Quinine -clindamycine
Un homme de 40 ans est hospitalisé en soins intensifs dans le cadre d’une fièvre avec confusion. Ses constantes sont les suivantes : PA 80/45 mmHg, pouls 120/min, T°39,2°C. Le bilan biologique est le suivant : Hb 5,2g/dl, Plaquette 40G/L, Glycémie 2,2mmol/L, Frottis Goutte épaisse positif. Quelle espèce est la plus proablement en cause dans ce cas ?
Plasmodium knowlesi
Plasmodium falciparum
Plasmodium malariae
Plasmodium ovale
Plasmodium vivax
En tant qu’expert du paludisme, vous êtes interrogé par le ministère de la santé afin de diminuer l’incidence de la maladie dans la population cambodgienne. Quelle mesure préventive est la plus efficace pour faire baisser durablement l'incidence du paludisme ?
Utilisation régulière individuelle de répulsifs antimoustiques
Traitement prophylactique individuel au long cours
Campagnes régulières de démoustiquation
Traitement précis des cas de paludisme
Utilisation systématique de moustiquaires la nuit
Un patient âgé de 65 ans, sans antécédents, consulte à votre cabinet pour une toux avec des expectorations mucopurulentes depuis 24 heures. Il n’a pas d’antécédents particulier. Ses constantes sont les suivantes : PA 120/80, pouls 85/min, T° 38,2°. Quel signe recherchez-vous en faveur du diagnostic de pneumonie aïgue ?
Toux productive
Expectorations verdâtres
Fièvre en plateau
Ronchis diffus
Crépitants en foyer
Un homme de 35 ans, fumeur, se présente à votre consultation pour fièvre et toux depuis environ 1 semaine. Vous faites réaliser cette radiographie pulmonaire. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Icono
Bronchopneumopathie obstructive
Bronchite aiguë communautaire
Tuberculose pulmonaire latente
Pneumonie aiguë communautaire
Abcès pulmonaire excavé
Vous examinez une femme de 40 ans à votre cabinet pour une dyspnée dans un contexte fébrile depuis 48 heures. Elle présente un toux productive. Les constantes sont les suivantes : PA 110/60, pouls 100/min, t° 38,5°C, Sp02 94%. A l’examen vous retrouvez des crépitants en foyer. Quel score, facilement calculable en médecine ambulatoire, est le meilleur indicateur de gravité dans ce cas ?
Score CRB65
Score de Genève
Score de Bold
Score de Glasgow
Score de Borg
Un nourrisson de 6 mois est amené par ses parents pour une dyspnée sifflante apparue dans le 24 heures. L’enfant présente un freinage expiratoire avec une polypnée superficielle. Ses constantes sont les suivantes : PA 80/40, pouls 130/min, T° 38,2°C, Sp02 93%. Vous ne retrouvez pas de foyer à l’auscultation. Quel germe sera le plus probablement en cause dans ce cas
Streptococcus pneumoniae
Staphylococcus aureus
Virus influenzae type A
Virus respiratoire syncitial
Haemophilus influenza type B
Un jeune homme de 18 ans sans comorbidités consulte à votre cabinet pour une dyspnée fébrile depuis 48 heures. A l’auscultation vous retrouvez un foyer de crépitants en base gauche. Ses constantes sont les suivantes : PA 15/60, pouls 105/mn, T° 38,4°C, SP02 97%. Quel serait le meilleur traitement probabiliste ici ?
Amoxicilline
Penicilline G
Ceftriaxone
Ofloxacine
Piperacilline
M. Oum, 53 ans, se présente aux urgences de votre clinique pour fièvre associée à des frissons. Il n’a aucun antécédent particulier. A l’examen clinique, la tension artérielles est à 140/80 mmHg, la fréquence cardiaque à 95/min, et la température à 39°C. Vous remarquez un érysipèle du membre supérieur probablement secondaire à une lésion cutanée du poignet droit. Vous faites prélever des hémocultures, le laboratoire vous appelle le lendemain pour vous signaler quelles sont positives à streptocoque. Quelle antibiothérapie vous semble la plus adaptée dans l’attente de l’antibiogramme ?
Vancomycine 15 mg/kg/j + ofloxacine 200mg 2 fois par jour
Ceftriaxone 2 gr par jour + amikacine 20 mg/kg/j
Streptomycine 1 gr par jour
Ciprofloxacine 500 mg 2 fois par jour
Amoxicilline 1 gr 3 fois par + gentamycine 3 mg/kg
Interne de garde aux urgences obstétricales, vous voyez Mme Sivantha, 28 ans, G3P2, pour une fièvre associée à des lombalgies et des contractions utérines ayant débuté quelques heures plus tôt. Sa tension artérielle est à 135/80 mmHg, sa fréquence cardiaque à 90/min et sa température à 38.8°C. Vous suspectez une pyélonéphrite bactérienne. Quelle est la bactérie la plus probablement en cause ?
Neisseria gonorrhoeae
Listeria monocytogenes
Streptococcus du groupe B
Staphylococcus aureus
Escherichia coli
Vous traitez actuellement M. Saram, 48 ans pour une fièvre en plateau. A l’examen clinique, vous retrouvez un ulcère de jambe chronique. La température est à 38.5°C, la tension artérielle à 125/75 mmHg, la fréquence cardiaque à 80 /min. Vous récupérez les examen biologique suivants : ECBU négatif, ECBC négatif, 3 hémocultures à 1 h d’intervalle positives à Staphylocoque Aureus. Quel est l’examen le plus approprié dans la suite de la prise en charge ?
Un scanner thoracique
Une échographie des tissus mous de la porte d'entrée
Un scanner des sinus
Une échocardiographie transthoracique
Un panoramique dentaire
M. Satya , 68 ans, présentant comme antécédent principal un diabète non insulino dépendant, est hospitalisé pour fièvre avec altération de l'état général depuis plusieurs semaines. Son poids est à 50 kg, sa tension artérielle à 100/65 mmHg, sa fréquence cardiaque à 90/min et sa température à 39°C. Le bilan initial montre un syndrome inflammatoire biologique. Le bilan à la recherche de tuberculose est négatif. Devant l'absence de diagnostic vous faîtes réaliser un scanner thoracique et abdominal. Celui-ci montre une petite lésion excavée apicale droite ainsi que de multiples abcès hépatiques et spléniques. Les hémocultures montrent un petit bacille gram négatif. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Endocardite infectieuse à staphylocoque
Pneumopathie à Pseudomonas aeruginosa
Mélioïdose
Tuberculose avec atteinte hépato splénique
Amibiase hépatosplénique
Interne de garde à l'Hôpital National Pédiatrique, vous accueillez le petit Chanty, 18 mois, amené par sa mère pour une fièvre importante associée à des frissons et une altération de l'état général. A l’examen clinique, la température est à 39.2°C, la tension artérielle à 90/60 mmHg, la fréquence cardiaque à 95/min. L’auscultation cardiopulmonaire est normale, l’examen cutané retrouve des éléments purpuriques. Quel traitement administrez-vous en urgence avant tout prélèvement ?
Peni G 100 000 unités/kg
érythromycine 10 mg/kg
Vancomycine 15mg/kg
Ceftriaxone 50 mg/kg
Aciclovir 20 mg/kg
Chirurgien orthopédiste, vous revoyez en consultation de contrôle M. Sophorn, 53 ans, conducteur de motodop, 30 jours après son intervention chirurgicale (fixateur externe pour fracture complexe de la jambe droite). L'examen clinique retrouve : des orifices de fixateur propres, peu inflammatoires, un état cutané satisfaisant et une consolidation osseuse sur la radiographie de contrôle. Vous notez par ailleurs une douleur légère de toute la jambe à la palpation et un œdème modéré par comparaison à l'autre jambe. Les paramètres vitaux sont : PA 125/65 mHg, FC 90 min, FR 23/min et T° 38,2. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Infection du site opératoire
Erysipèle
Allergie au matériel de fixation
Pneumopathie secondaire à l'alitement
Phlébite
Interne de garde aux urgences de Battambang, vous recevez M. Sopheap, 72 ans, sans antécedent, déposé par sa famille car légèrement confus, marbré aux genoux, fébrile à 39,2°. La tension artérielle est à 140/70 mmHg avec une fréquence cardiaque à 100/min. Les premiers résultats biologiques retrouvent des GB à 24000/mm^3 et une créatininémie à 322 µmol/l. Quelle est le diagnostic le plus approprié ?
Septicémie
Sepsis sévère
Choc septique
Sepsis
Syndrome de Réponse Inflammatoire Systémique
De garde en pédiatrie, vous examinez le jeune Kolbot, 6 ans, prostré, avec une fièvre en plateau à 40° depuis le matin. Il geint quand on allume la lumière. A l’examen clinique, la tension artérielle est à 110/70 mmHg, la fréquence cardiaque à 85/min. Vous retrouvez une raideur de nuque. Vous réalisez une ponction lombaire. L'examen direct en urgence retrouve un diplocoque gram négatif. De quel germe s'agit-il le plus probablement?
Streptococcus pneumonia
Neisseria meningitidis
Virus du groupe herpes
Haemophilus influenzae
Mycobacterium tuberculosis
De garde en réanimation, vous recevez Melle Chovyvann, 27 ans, amenée par sa famille pour hyperthermie à 39,4° et altération de l'état général depuis 48 heures. A l'examen physique, la patiente est pâle, marbrée aux genoux, son Glasgow est à 14. Vous notez : fréquence respiratoire à 34/min, SpO2 88%, fréquence cardiaque 126/min, pression artérielle 70/50 mmHg, oligurie. Quel est le traitement à débuter en urgence ?
De garde en réanimation, vous recevez Melle Chovyvann, 27 ans, amenée par sa famille pour hyperthermie à 39,4° et altération de l'état général depuis 48 heures. A l'examen physique, la patiente est pâle, marbrée aux genoux, son Glasgow est à 14. Vous notez : fréquence respiratoire à 34/min, SpO2 88%, fréquence cardiaque 126/min, pression artérielle 70/50 mmHg, oligurie. Quel est le traitement à débuter en urgence ?
Hydratation par Glucosé 5% 500 ml/24H Paracétamol 1 gramme intraveineux
Antibiothérapie large spectre type pipéracilline-tazobactam
Transfusion en urgence par 2 concentrés globulaires
Vous êtes le chirurgien qui opère Mme Tola, 27 ans, sans antécédents, d'une péritonite appendiculaire. Son examen clinique est normal avec un poids à 45 kg, une tension artérielle 120/80 mmHg et une fréquence cardiaque à 65/min. Quelle antibiothérapie est la plus appropriée en post opératoire ?
Amoxicilline 1 gr 3 fois par jour pendant 10 jours
Piperacilline 4 gr 3 fois par jour pendant 7 jours
Amoxicilline + acide clavulanique 1 gr 3 fois par jour pendant 48h
Gentamicine 3 mg/kg + ciprofloxacine 500 mg 2 fois par jour pendant 10 jours
Ceftriaxone 1 gr par jour + Metronidazole 500 mg 3 fois par jour pendant 7 jours
Un homme de 40 ans consulte à votre cabinet pour des douleurs de la face associées à des céphalées dans un contexte fébrile. Ses constantes sont les suivantes : PA 125/75, pouls 80/min, T° 38,3°C. Vous diagnostiquez une sinusite maxillaire et prescrivez de l’erythromycine. De quel effet secondaire le plus fréquent informez-vous le patient ?
Troubles digestifs
Insuffisance rénale
Photosensibilisation
Cytolyse hépatique
Réactions allergiques
Vous suivez en consultation un patient âgé de 62 ans traité par quadrithérapie antituberculeuse. A un mois du début du traitement, il se plaint de paresthésies des membres inférieurs. Vous constatez une abolition des réflexes ostéotendineux. Quelle est la molécule la plus probablement en cause ?
La rifampicine
L'isoniazide
L’amikacine
L'ethambutol
Le pyrazinamide
Une agricultrice de 54 ans est hospitalisée dans votre service pour une hématémèse. L’examen clinique retrouve des signes cliniques d’hypertension portale. L’hémodynamique est conservée, la numération de formule sanguine met en évidence une hyperéosinophilie. L’échographie abdominale retrouve des nodules hépatique et splénique avec hypertension portable sévère. La sérologie revient positive en IgM pour Schistosoma mekongi. Quel est le traitement le plus approprié ?
Ivermectine
Albendazole
Praziquentel
Diéthylcarbamazine
Metronidazole
Vous traitez une femme de 45 ans pour des infections urinaires à répétition. Devant l’inefficacité du traitement mis en place chez cette patiente sans facteur de risque urologique, vous décidez de demander un antibiogramme en complément de l’examen cytobactériologique des urines. Quel est le type de résistance antibiotique le plus probable ?? Escherichia coli Amoxicilline : Résistant Amoxicilline-acide clavulanique : Intermédiaire Ticarcilline : Résistant Pipéracilline-tazobactam : Intermédiaire Cefalotine : Résistant Cefuroxime : Résistant Cefoxitine : Sensible Ceftriaxone : Résistant Imipenem : Sensible
Pénicillinase de bas niveau
Imperméabilité membranaire
Modification de l'ADN gyrase
Bétalactamase à spectre élargi
Mécanisme actif d'efflux
Vous voyez en consultation de pneumologie un patient de 50 ans pour dyspnée aiguë. A l’examen clinique, la tension est à 120/80 mmHg, sa fréquence cardiaque à 90/min et la saturation à 88% en air ambiant. A l’inspection, il présente un tirage respiratoire. Quel muscle respiratoire accessoire met-il en jeu ? ?
Diaphragme
Sterno-cléido-mastoïdiens
Deltoide
Dilatateurs du pharynx
Trapèzes
En consultation de suivi pneumologique, vous revoyez un patient de 65 ans suivi pour insuffisance respiratoire chronique. A l’interrogatoire, il vous dit devoir d’arrêter au bout d’une centaine de mètre de marche en raison de son essoufflement. A l’examen clinique, sa tension artérielle est à 115/75 mmHg, sa fréquence cardiaque à 75/min et sa saturation en air ambiant à 90%. Quelle est son stade de dyspnée selon l’échelle du MRC (Medical Research Council) ?
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Un de vos patients, connu pour une BPCO de stade 2 stable, consulte aux urgences pour une dyspnée aiguë survenue brutalement il y a 2 heures. Sa saturation en air ambiant est à 84%, sa fréquence respiratoire est à 38/min, il est fébrile à 38.2°C. La tension artérielle est à 130/80 mmHg, avec une fréquence cardiaque à 85/min. L’auscultation retrouve des ronchii du champ pulmonaire droit. Les gaz du sang en urgence montre un pH à 7.38, une pO2 à 50 mmHg et une pC02 à 43 mmHg. Quel est le traitement à débuter en première intention et en urgence à ce patient ?
Ventilation non-invasive
Diurétique intraveineux
Oxygène
Salbutamol intraveineux
Ventilation invasive
En consultation de pneumologie, vous faite le bilan d’une BPCO de découverte récente chez un patient de 55 ans. A l’examen clinique, la saturation en air est à 91%, la tension artérielle à 125/65 mmHg et la fréquence cardiaque à 75/min. Quel est l'examen le plus facilement réalisable en consultation, qui vous permettra de déterminer la tolérance à l'exercice de votre patient ?
VO2 Max
Scintigraphie pulmonaire d'effort
Scanner thoracique
Test de marche des 6 minutes
Mesure du débit expiratoire de pointe (Peak-flow)
Vous diagnostiquez une BPCO stade 2 à un fumeur non sevré de 46 ans. Il n'y a pas encore de complication. Son examen clinique est normal avec une tension artérielle à 130/80 mmHg, une fréquence cardiaque à 70/min, sa saturation en air est à 95%. Quelle est la principale modalité thérapeutique à mettre en œuvre pour prendre en charge cette BPCO ?
Vaccination antigrippale annuelle
Oxygénothérapie
Kinésithérapie respiratoire
Bronchodilatateur de courte durée d'action
Sevrage tabagique
Vous voyez en consultation d’allergologie, une patiente de 12 ans pour un bilan initial de rhinite allergique. Son examen clinique est normal avec une tension artérielle à 120/75 mmHg, une fréquence cardiaque à 65/min et une saturation en air à 99%. Vous expliquez à ses parents le mécanisme de la rhinite allergique. Selon la classification de Gell et Coombs, à quelle catégorie d'hypersensibilité appartient son allergie ?
Type 1
Type 2
Type 3
Type 4
Un homme de 43 ans consulte en pneumologie pour une rhinite allergique. Il présente des symptômes d'éternuement, de rhinorrhée et de prurit tous les ans depuis 3-4 ans. Ces symptômes durent habituellement 4 à 5 mois consécutifs dans l'année. Ces symptômes le gênent fortement dans son métier de cultivateur de riz; l'empêchant notamment d'être dans la rizière certains jours. Quel est le stade de cette rhinite selon la classification ARIA (Allergic Rhinitis and Its Impact on Asthma) ?
Intermittente légère
Intermittente sévère
Persistante légère
Persistante modérée
Persistante sévère
Vous suivez depuis 4 ans un jeune garçon âgé de 8 ans, pour un asthme saisonnier. Son examen clinique ce jour est normal avec une tension à 125/80 mmHg, une fréquence cardiaque à 70/min, et une saturation à 99%. Vous suspectez une origine allergique à cet asthme.. Vous souhaitez l’évaluer car vous envisagez une désensibilisation. Quel est le meilleur examen complémentaire pour étudier la sensibilisation IgE-dépendante ?
Dosage sérique des IgE totales
Dosage des éosinophiles sanguins
dosage sérique de la tryptase
Tests cutanés (prick tests)
Tests de provocation bronchique
Vous voyez en consultation un jeune homme de 21 ans pour un asthme. A l’interrogatoire, il rapporte des crises persistantes d’intensité modérée, à raison de 2 par semaine en moyenne. Il est apyrétique. L’examen clinique retrouve quelques sibilants en fin d’expiration, la tension artérielle est à 130/80 mmHg, sa fréquence cardiaque à 70/min et sa saturation en air à 100%. Son Peak-Flow est à 600 l/min comme habituellement. Son traitement de fond comporte un corticostéroïde inhalé à faible dose et du salbutamol à la demande. A votre avis, quelle est l’adaptation thérapeutique la plus appropriée ?
Ajout d’un corticostéroïde inhalé forte dose
Ajout d’un bronchodilatateur de longue durée
Ajout d’une corticothérapie systémique
Ajout d’omalizumab
Ajout de théophylline
Vous suivez un patient de 23 ans pour un asthme allergique. Il vous consulte aujourd'hui car ses crises sont de plus en plus fréquentes à raison de 3 à 4 par semaine, avec des crises nocturnes. La prise de bronchodilatateur de courte durée d’action environ 5 fois par semaine le soulage bien. Votre examen retrouve une auscultation pulmonaire normale. UneFfréquence respiratoire à 21/minute; un pouls à 68 bpm; une tension artérielleà 126/78mmHg et une SpO2 à 100%. Son peak-flow (DEP) est à 650 L/min comme à son habitude à l'état stable. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Asthme bien contrôlé
Asthme partiellement contrôlé
Asthme non contrôlé
Exacerbation asthme en crise modérée
Asthme aigu grave
Vous voyez aux urgences un patient pour douleur thoracique aigue. Il n’a pas d’antécédent particulier. Son examen clinique est normal avec une tension à 135/80 mmHg, une fréquence cardiaque à 85/min, une fréquence respiratoire à 22/min, une saturation à 99%. L’auscultation pulmonaire est normale. Vous faite une radiographie pulmonaire (cliché ci-joint). Quel est le diagnostic le plus probable ?
Un pneumothorax complet droit
Une pleurésie de moyenne abondance gauche
Un pneumothorax partiel basal droit
Un pneumothorax partiel apical gauche
Une pleurésie cloisonnée droite
Aux urgences, vous voyez un patient pour pneumothorax droit complet. Il n’a pas d’antécédent particulier. Il n’y a pas de facteur déclenchant évident à ce pneumothorax. Son examen retrouve une tension à 130/80 mmHg, une fréquence cardiaque à 80/min, une fréquence respiratoire à 25/min, une saturation à 96%. L’auscultation pulmonaire montre une abolition du murmure vésiculaire à droite. Quel est d’après vous la lésion la plus vraisemblablement responsable de ce pneumothorax spontané idiopathique ?
Blebs
Bulle d'emphysème
Kyste
Caverne
Bronchectasie
Vous voyez en consultation de suivi un patient de 22 ans, pour la surveillance de son 1er épisode de pneumothorax spontanée idiopathique. Il n’a pas d’antécédent particulier. Son examen clinique est normal avec une tension à 125/80 mmHg, une fréquence cardiaque à 65/min, une fréquence respiratoire à 18/min, une saturation à 100%. L’auscultation pulmonaire est normale. Quelle contre-indication principale devez-vous lui recommander ?
Définitive à la plongée sous-marine
Temporaire (12 mois) aux voyages aériens pressurisés
Temporaire (3 mois) Ã l'effort physique intense
Définitive aux séjours en altitude > 2500m
Définitive au parachutisme
Vous voyez en consultation en urgences un patient de 25 ans pour récidive d’un pneumothorax. Il a déjà présenté il y a 2 ans un pneumothorax droit complet. Il n’a pas de comorbidités. A l’examen clinique sa tension est à 140/80 mmHg, la fréquence cardiaque à 90/min, la fréquence respiratoire à 30/min, et la saturation en air à 93%. L’auscultation pulmonaire retrouve une abolition du murmure vésiculaire à droite. La radiographie pulmonaire confirme le pneumothorax droit complet non compressif. Quelle stratégie thérapeutique proposez-vous pour cette récidivede pneumothorax
Drainage thoracique exclusif à droite
Pleurodèse à droite
Exsufflation à l’aiguille à droite
Thoracostomie droite
Pleurodèse à gauche
Vous voyez aux urgences une patiente pour douleur thoracique aigue. Elle est suivie pour une cardiopathie ischémique sous traitement par aspirine 75 mg. Son examen clinique retrouve une tension artérielle à 140/85 mmHg, une fréquence cardiaque à 85/min, une fréquence respiratoire à 28/min, une saturation à 94%. L’auscultation pulmonaire retrouve une abolition du murmure vésiculaire à gauche. Quel examen paraclinique devez-vous faire en priorité ?
Radiographie thoracique
Scanner thoracique
Scintigraphie cardiaque
Electrocardiogramme
échographie cardiaque
Vous faites une ponction pleurale droite à un homme de 73 ans présentant un épanchement pleural modéré bilatéral. A l’examen clinique vous retrouvez une tension à 130/80 mmHg, une fréquence cardiaque à 75/min et une saturation à 92%. L’auscultation pulmonaire retrouve une diminution du murmure vésiculaire à mi- champ à droite. Le résultat cytobiochimique de la ponction est le suivant : taux de protéine = 19 g/L; éléments nucléés: 300 leucocytes /mm3. Il n’y a pas d'éléments nucléés atypiques et le liquide est stérile. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Insuffisance cardiaque gauche
Mésothéliome
épanchement parapneumonique
Asbestose
Pleurésie purulente
{"name":"DES.Q.ECN. Part 2", "url":"https://www.quiz-maker.com/QPREVIEW","txt":"Vous recevez les résultats d’un patient traité par héparine non fractionnée (TCA cible = de 1,5N à 2,5N) : TCA > 4N. Quel est le traitement le plus approprié ?, Vous réalisez un bilan de coagulation pré-opératoire chez un patient traité par antivitamines K au long cours. Au niveau pharmacologique, quel facteur de coagulation sera probablement normal?, Une patiente de 64 ans est admise aux urgences pour une douleur du mollet gauche d'apparition aiguë. Vous retrouvez à l'examen un oedème du mollet gauche prenant le godet et une douleur à la palpation. Elle a pour antécédents une hypertension artérielle bien équilibrée sous IEC + inhibiteur calcique. Elle porte une attelle depuis 8 jours pour une entorse de la cheville gauche. TA 120\/80, pouls 110\/mn, temp 38,2. Quelle est la probabilité clinique de thrombose veineuse profonde ?","img":"https://cdn.poll-maker.com/10-464614/9.jpg?sz=1200-000021100053"}
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