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Clinical Sepsis and Infection Quiz
Test your knowledge on sepsis, infection management, and clinical interventions with our comprehensive quiz. Ideal for healthcare professionals, this quiz covers a wide range of scenarios and antibiotic treatments.
Key Features:
- Over 100 challenging questions
- Multiple choice format
- Focus on real-case clinical scenarios
1. Le sepsis est :
A- la présence d’un agent infectieux invasif, bactérie, virus ou parasite chez l’hôte humain
B- la réponse inflammatoire non spécifique de l’hôte humain à la libération de médiateurs de l’inflammation
C- la réponse inflammatoire systémique de l'organisme à une infection définie
D- la septicémie associée à une baisse de la TA ou à un dysfonctionnement d’un organe
E- la septicémie associée associé à une hypotension artérielle persistante malgré des thérapeutiques adaptées
2. Le sepsis sévère est :
A- la présence d’un agent infectieux invasif, bactérie, virus ou parasite chez l’hôte humain
B- la réponse inflammatoire non spécifique de l’hôte humain à la libération de médiateurs de l’inflammation
C- la réponse inflammatoire systémique de l'organisme à une infection définie
D- le sepsis associé à une baisse de la TA ou à un dysfonctionnement d’un organe
E- le sepsis associé à une hypotension artérielle persistante malgré des thérapeutiques adaptées
3. Le choc septique est
A- la présence d’un agent infectieux invasif, bactérie, virus ou parasite chez l’hôte humain
B- la réponse inflammatoire non spécifique de l’hôte humain à la libération de médiateurs de l’inflammation
C- la réponse inflammatoire systémique de l'organisme à une infection définie
D- le sepsis associé à une baisse de la TA ou à un dysfonctionnement d’un organe
E- le sepsis associé à une hypoTA persistante malgré des thérapeutiques adaptées
4. L’antibiothérapie probabiliste de méningites communautaires avec signes neurologiques de localisation :
A- Lévoflaxacine
B- C3G (Céfotaxime ou Ceftriaxone) + Vancomycine
C- Érythromycine
D- Pénicilline G
E- Céphalexine
5. L’antibiothérapie probabiliste de méningites post-traumatiques
A- Vancomycine
B- Imipénème
C- Céftriaxone + vancomycine
D- Amoxicilline
E- Lévoflaxacine
6. L’antibiothérapie probabiliste de pneumopathies communautaires :
A- Augmentin ou Céfotaxime ou Ceftriaxone + Ofloxacine ou Lévofloxacine
B- Amikacine
C- Céphalexine + Gentamycine
D- Pénicilline G
E- Métronidazole
7. L’antibiothérapie probabiliste de pneumopathies nosocomiales :
A- Céphalexine
B- Céfamandole
C- Bêtalactamine antipseudomonas + Amikacine ou Ciprofloxacine
D- Pénicilline G
E- Ampicilline + Gentamycine
8. L’antibiothérapie probabiliste de péritonites communautaires :
A- Céphalexine
B- Ampicilline
C- Cefotaxime + Métronidazol
D- Vancomycine
E- Amoxicilline + acide clavulanique (Augmentin®)
9. Cas Clinique :Le patient 42 ans, masculin, est hospitalisé pour une douleur abdominale. Il n’a aucun antécédent médical ou chirurgical. Il a pris un médicament (Profénid®) depuis 15 pour des lombalgies. Les douleurs intenses ont commencé brutalement il y a 12h. À l’examen, l’abdomen est douloureux et une défense nette au niveau de l’épigastre. La pression artérielle est de 70/40 mmHg, pouls 120/min, la température 39 oC. L’examen de laboratoire montre un leucocyte 14000/mm3, Hb 10.5 g/dl, Ht 36%, plaquette 160 000/mm3, urée sanguine 0.48 g/l, créatininémie 98 µmol/l, transaminase ASAT 25 ui/l, ALAT 30 ui/l, bilirubinémie totale 10 µmol/l, amylasémie 40 ui/l. Quel est le diagnostic possible de ce patient ?
A- Gastrite aiguë avec un état septique
B- Pancréatite aiguë avec un sepsis
C- Cholecystite aiguë avec un sepsis grave
D- Péritonite aiguë par perforation gastro-duodénale avec un sepsis sévère
E- Péritonite biliaire avec un choc septique
10. Cas Clinique : Un patient 38 ans, masculin, est arrivé au service de réanimation pour une plaie infectée de la jambe droite avec un état de détresse respiratoire aigu. Le patient a eu un traumatisme de la jambe droite depuis une semaine par un accident de moto. Il n’a pas été allé à l’hôpital. Il a pris des médicaments lui-même à sa maison. Vers le 7è jour, le patient a présenté une douleur de la jambe droite très intense avec oedème gonflement ecchymotique et plaie nécrosée sur la face antérieure et externe de la jambe. À l’examen, le patient est en état dyspnéique important, la TA 80/40 mmHg, FC 130/min, la temperature 39.5 0C, la SaO2 87%. Après une heure de remplissage vasculaire avec un NSS 2000 ml, gélafundine 5oo ml et d’administration de Noradrénaline 40 ml/h (= 1.600 mg/h), la TA reste basse (85/38 mmHg). Quel est le diagnostic de ce patient ?
A- Traumatisme de la jambe droite avec un sepsis
B- Traumatisme de la jambe droite avec un sepsis sévère
C- Traumatisme de la jambe droite avec un état septique
D- Traumatisme de la jambe droite avec un choc septique
E- Traumatisme de la jambe droite sans un état septique
OAP1. Étiologies de l’OAP cardiogénique ?
A. Les pneumopathies aiguës bactériennes, virales ou parasitaires
B. Le syndrome de Mendelson, noyade
C. Les polytraumatismes, contusion pulmonaire
D. Les cardiopathies ischémiques, troubles de la fonction systolique VG, valvulopathies cardiaques (RM), troubles du rythme cardiaque
E. La péritonite, pancréatite aiguë et infarctus mésentérique
2. Tableau clinique de l’OAP lésionnel ?
A. Une céphalée, vertige et vomissements
B. Une tachypnée intense avec tirage, FR > 30/min, cyanose, tachycardie > 120/min, expectoration hémorragique, râles crépitants des deux poumons
C. Une douleur précordiale, FC < 60 /min
D. Une douleur épigastrique, péri-ombilicale et un méléna
E. Une crampe musculaire, douleur articulaire
3. Le gaz du sang de l’OAP lésionnel montre :
A. Une hypoxémie minime
B. Une hypoxémie modérée
C. Une hypoxémie profonde (PaO2 < 50 mmHg) + hypocapnie, alcalose gazeuse
D. Une hypercapnie
E. Une normocapnie
4. Le gaz du sang de l’OAP cardiogénique montre :
A. Une hypoxémie minime
B. Une hypoxémie modérée
C. Une hypoxémie profonde
D. Une hypoxie, hypocapnie ou hypercapnie, acidose respiratoire
E. Une normocapnie
5. Le traitement symptomatique de l’OAP cardiogénique
A. Une utilisation des anti-inflammatoires non-stéroïdes
B. Une utilisation des corticoïdes
C. Une oxygénothérapie nasale à forte débit (6 à 12 L/min), VNI ou ventilation assistée, vasodilatateurs veineux (dérivés nitrés), diurétiques de l'anse (IV), correction des troubles du rythme cardiaque
D. Une utilisation de ceftriaxone + vancomycine (IV)
E. Une prescription des antituberculeux
6. Le traitement symptomatique de l’OAP lésionnel :
A. Une utilisation des diurétiques de l'anse par voie IV
B. Une utilisation des dérivés nitrés
C. Une utilisation du cordarone ou de l’atropine
D. une oxygénothérapie nasale ou par masque facial à fort débit, ventilation mécanique avec PEP
E. Une utilisation d’un cardiotonique (dobutamine)
7. Un patient, 45 ans, masculin présente un état dyspnéique depuis 3 jours. Il a des antécédents d’une hypertension artérielle, un trouble du rythme cardiaque et une dyspnée d’effort. La radiographie pulmonaire montre une image suivante Quel est le diagnostic possible de ce patient ?
A. Une bronchopneumonie
B. Une pneumonie franche lobaire aiguë
C. un épanchement pleural
D. un œdème aigu du poumon cardiogénique
E. Un pneumothorax
8. Une femme de 84 ans est arrivée au service d’urgences pour un état dyspnéique il y a 2 jours. Elle avait des antécédents de cardiopathie et d’hypertension artérielle. À l’examen, la tension artérielle est à 190/110 mmHg, la fréquence cardiaque à 120/min, la SaO2 87%, le pouls irrégulier. Il existe des râles crépitants prédominants aux deux bases pulmonaires. La radiographie thoracique montre suivante : Quel est le diagnostic possible de ce patient ?
A. Une pleurésie avec hypertension artérielle
B. Une pneumonie aiguë
C. un œdème aigu du poumon lésionnel avec hypertension artérielle
D. un œdème aigu du poumon (OAP) cardiogénique avec hypertension artérielle
E. Un pneumothorax
Insufisance cardiaque : 1. Étiologies de l’insuffisance cardiaque par dysfonction diastolique :
A. La cardiomyopathie dilatée, hyperthyroïdie
B. La thyréotoxicose, cardiopathies rythmiques (FA, TSV, TV)
C. La cardiomyopathie hypertrophique obstructive
D. La cardiopathie diabétique, amylose cardiaque, hémochromatose
E. l’insuffisance mitrale aiguë, CIV congénitale ou acquis
2. Traitement non médicamenteux en cas de bloc de branche gauche :
A. Une surveillance régulière du poids
B. La pose d'un stimulateur cardiaque multi-site (Pace Maker)
C. L'exercice physique
D. Une restriction hydrique
E. l’utilisation des diurétiques
3. Les complications les plus fréquentes de l’insuffisance cardiaque sont :
A. Une infection
B. L'insuffisance respiratoire
C. L'insuffisance hépatique
D. Les troubles du rythme, accidents thrombo-emboliques, insuffisance rénale
E. Une hyperthyroïdie
4. Traitement médicamenteux de l'insuffisance cardiaque systolique :
A. Les anti-arythmiques de classes 1
B. Les corticoïdes
C. les IEC, ARAII, diurétiques, bêtabloquants, Digitaliques
D. La pose d'un stimulateur cardiaque multi-site (Pace Maker)
E. Les anti-inflammatoires non-stéroïdes (AINS)
5. Chez un malade en insuffisance cardiaque, l’utilisation des digitaliques est indiquée en cas de :
A. Bradycardie sinusale
B. Tachycardie ventriculaire
C. Tachycardie par fibrillation auriculaire
D. Blocs auriculo-ventriculaires des 2è et 3è degrés
E. Fibrillation ventriculaire
. Parmi les médicaments suivants utilisés dans le traitement de l’insuffisance cardiaque, quel est celui qui est contre-indiqué en cas de tachycardie ventriculaire :
A. Inhibiteur de l’enzyme de conversion (IEC)
B. diurétique
C. bêta-bloquant
D. digitalique
E. dérivé nitré
7. Quels médicaments qui ne sont pas recommandés dans le traitement de l’insuffisance cardiaque systolique :
A. Les inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC)
B. Les antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II (ARA II)
C. Les diurétiques
D. Les bêta-bloquants
E. Les inhibiteurs calciques
1- le diagnostic positif de l’arrêt cardio-circulatoire nécessite :
A. Pâleur
B. Inconscience
Apnée
D. Absence de pouls artériel
E. B,C et D sont corrects
2- Les gestes que vous faites immédiatement, après vous venez de poser le diagnostic positif d’ACC
A. Prescrire de l’Adrénaline 1 mg / 3 minutes
B. Noter l’heure
C. Appeler à l’aide
D. Commencer la RCP
E. B,C et D sont corrects
3- Parmi les mécanismes générateurs d’ACC suivants, lesquels sont exacts ?
A. Ischémie myocardique
B. Insuffisance circulatoire
C. Trouble du rythme cardiaque
D. Incompétence myocardique
E. Tous sont corrects
4- Vous prenez en charge un malade en ACC extra-hospitalier. Avant de poser un scope, quelle est votre hypothèse pour son tracé ECG ?
A. Asystolie
B. Dissociation Electro-Mécanique
C. Fibrillation Ventriculaire
D. Tachycardie Ventriculaire
E. Tous sont corrects
5- Vous prenez en charge un malade en ACC intra-hospitalier. Que recherchez-vous en priorité ?
A. Infarctus du Myocarde
B. Hypoxie
C. Embolie pulmonaire
D. Hypovolémie
E. Tous sont correct
6- Vous réalisez une RCP de base chez un patient en ACC. Dans quel ordre réalisez-vous les gestes ? A = Airways ; B = Breathing = ventilation ; C = Circulation = MCE
A. A-B-C
B. B-C-A
C. B-A-C
D. C-A-B
E. C-B-A
. 7- Massage Cardiaque Extern( MCE) doit être:
A- 80 par min
B- 90 par min
C- 110 par min
D- 130 par min
E- Tous sont corrects
8- Vous réalisez une RCP de base chez un patient en ACC. Quelles sont les complications possibles du MCE ?
A. Rupture gastrique
B. Fracture du sternum et des côtes
C. Pneumothorax
D. Inhalation de liquide gastrique
E. Tous sont corrects
9- Concernant la RCP spécialisée, quelles sont les mesures exactes ?
A. Monitorage
B. Traitement pharmacologique
C. Expansion volémique
D. Pose d'un abord veineux
E. Toux sont corrects
10- Un patient est trouvé en état de mort apparente par l’infirmière. L’ECG enregistre une asystolie. Quelle injection ordonnez-vous en urgence ?
A. Adrénaline 3mg
B. Cordarone 300mg
C. Adrénaline 1mg
D. Atropine 0.5mg
E. Atropine 1mg
11- Face à un patient en ACC, dans quelle situation utiliserez-vous de l’atropine ?
A. Fibrillation ventriculaire
B. Asystolie
C. Bradycardie en dissociation éléctro-mécanique
D. Tachycardie ventriculaire
E. Torsade de pointe
12- Quelle sont les signes de choc hémorragique?
A. Altération de la conscience
B. Tachycardie
C. Dyspnée
D. Pâleur
E. Tous sont corrects
.13- Un adult patient traumatisé est tombé dans un état choc hémorragique.Quel est le probabilité quantité sanguine perdu que vous estimer?
A. <15% de volémie
B. <20% de volémie
C. <25% de volémie
D. >30% de volémie
E. Tous sont corrects
14- Un patient traumatisé est tombé dans un état choc hémorragique. Vous trouvé un hématome de hypochondre gauche. Que faites vous en urgence?
A. Radiographie pulmonaire
B. Scanner cérébrale
C. Echographie abdominale(FAST)
D. ECG
E. Tous sont corrects
15- Prise en charge immediate du patient hémorragique.
A. Compression directe la plaie.
B. Lever les membre blessé.
C. Placer la victime dans une position couchée.
D. Pancement compressif.
E. Tous sont corrects
1. Concernant l’intoxication par alcool méthylique (méthanol), tous les propositions sont vrais sauf une.
A. Le méthanol est directement toxique pour le nerf optique
B. Son métabolisme au niveau hépatique nécessite le même catalyseur que celui de l’éthanol
C. L’élimination de l’acide formique est favorisée par l’administration de l’acide folique
D. Le méthanol est éliminé dans 10-20% par la voie respiratoire
2. Choix l’antidote de la benzodiazépine
A. Flumazénil
B. Naloxone
C. N-acétylcysteine
D. Protamine
E. Pralidoxim
F. Fomepyzole
3. Lequel est l’antidote de la morphine ?
A. Flumazénil
B. Naloxone
C. N-acétylcysteine
D. Protamine
E. Pralidoxim
F. Fomepyzole
4. Lequel est l’antidote de l’héparine,
A. Flumazénil
B. Naloxone
C. N-acétylcysteine
D. Protamine
E. Pralidoxim
F. Fomepyzole
5. Lequel est l’antidote du Méthanol
A. Flumazénil
B. Naloxone
C. N-acétylcysteine
D. Protamine
E. Pralidoxim
F. Fomepyzole
6. Lequel est l’antidote de l’organophosphorés
A. Flumazénil
B. Naloxone
C. N-acétylcysteine
D. Protamine
E. Pralidoxim
F. Fomepyzole
7. Lequel est l’antidote pour le surdosage de l’acétaminophène
A. Flumazénil
B. Naloxone
C. N-acétylcysteine
D. Protamine
E. Pralidoxim
F. Fomepyzole
8. 6h après une morsure du serpent, le malade présent une hypotonie de la nuque, une difficulté de parler et d’avaler. Quel est le serpent suspecté ?
A. ពស់ហនុមាន Cryptelytrops albolabris
B. ពស់វែកក្របី naja kaouthia
C. ពស់ពព្លាក់ Malayan pit viper
D. ពស់ស្រកាចាស Roussell viper
9. 3h après une morsure du serpent, le malade présent des taches ecchymotiques sur les deux jambes, les points de morsure sont très douloureux, rouge et œdémateux qui s’étendre. Quel est le serpent suspecté ?
A. ពស់សមុទ្រ Enhydrina
B. ពស់វែកក្របី naja kaouthia
C. ពស់ពព្លាក់ Malayan pit viper
D. ពស់ក្រាយ Malayan Krait
10. 1j après la morsure du serpent, le malade présent une élévation de la créatinine, de l’urée ; ecchymotiques sur les deux jambes, Il n’y a pas de grande hémorragie, l’hémodynamique est stable. Quel est le serpent suspecté ?
A. ពស់សមុទ្រ Enhydrina
B. ពស់វែកក្របី naja kaouthia
C. ពស់ស្រកាចាស់ Roussell viper
D. ពស់ឝៀវ Cryptelytrop macrops
11. La prise en charge immédiate après la morsure du serpent. Une seule réponse.
A. Prendre la tête du serpent pour montrer au médecin
B. Faire l’incision 2-3cm au niveau de la morsure pour chasser le venin
C. Aspirer le point de morsure par la ventouse
D. Immobiliser le membre atteint, réduire la contraction musculaire
12. Le sérum antivenimeux polyvalent hématologique est indiqué pour la morsure suivante sauf une.
A. De Naja siememsis ពស់វែកដំបូក
B. De Roussel’s viper ពស់ស្រកាចាស
C. De Malayan pit viper ពស់ពព្លាក់
D. De cryptelytrope albolabris ពស់ហនុមាន
13. Concernant le sérum antivenimeux, les propositions suivants sont faux sauf une, laquelle?
A. Si le patient est un terrain allergique, il est contre indiqué
B. Utiliser le sérum polyvalent hématologique et neurologique (dans le même flacon) est plus économique et moins de risque allergique.
C. La réaction anaphylactique est négligeable.
D. Donner le plus tôt, il est plus efficace.
14. Les signes et symptômes suivants sauf un, indique l’administration de sérum antivenimeux.
A. Douleur au niveau de la morsure
B. Ptose palpébrale
C. Teste 20 minutes WBCT positif
D. Une insuffisance rénale aigue
15. Concernant l’accident vasculaire cérébrale, choix une proposition vraie
A. La pénombre ischémique dure moins de 24h
B. La fenêtre thérapeutique de la thrombolyse est de 4.5h
C. Le risque de transformation hémorragique chez les thrombolysés et non-thrombolysés est similaire
D. Tous les AVC hémorragiques nécessitent d’une angiographie cérébrale ou MRA.
16. Concernant l’AVC hémorragique, choix une proposition vraie :
A. Est toujours causé par l’hypertension artérielle chronique
B. L’anévrisme cérébral est la cause fréquente de l’hémorragie sous-arachnoïdienne
C. L’hématome sus-tentoriel de diamètre plus de 3 cm est toujours mortel
D. La classification de Hun & Hess est utilisé pour grader la gravité de l’hémorragie intracérébrale
17. Quelques minutes à quelques jours après l’installation de l’hémorragie sous arachnoïdes, il survient les phénomènes suivant ; choix une vraie
Une augmentation de la pression intra crânienne
B. Un arrêt transitoire du mécanisme d’autorégulation du débit sanguin cérébrale
C. Une ischémie cérébrale secondaire
D. Toutes les propositions aux dessus sont vraies
18. Quelques minutes à quelques heures après l’obstruction un des branches de l’artère cérébral moyen, il survient les phénomènes suivant ; choix une vraie
A. Une zone d’infarcis cérébrale irréversible
B. Une zone entourée de l’infarcis qui s’arrête à fonctionner mais pas encore mort
C. un œdème cérébral
D. Toutes les propositions aux dessus sont vraies
19. Quelques minutes à quelques jours après l’installation de l’hémorragie intracérébrale, il survient les phénomènes suivant ; choix une vraie
A. Une augmentation de la pression intra crânienne
B. Un effet de masse dans le cerveau
C. Un œdème cérébral autour de l’hématome
D. Toutes les propositions aux dessus sont vraies
20. Concernant l’intoxication par alcool méthylique (méthanol) ; choix une réponse vraie
A. Acidose métabolique avec trou anionique
B. Trouble de la vision
C. Trouble de la conscience
D. Tous les réponses en haut sont vrais
21. Les signes cliniques suivants sauf un, sont en rapport avec l’hyperactivité cholinergique du récepteur muscarinique.
A. bradycardie
B. mydriase
C. hypersécrétion, salivaire, bronchique
D. NV/diarrhée
E. Incontinence urinaire/fécale
22. Les signes cliniques suivants sauf un, sont en faveur d’une morsure par le serpent du groupe Elapidé.
A. paresthésie
B. Disparition de la mimique
C. dysphonie
D. Urine noirâtre (hémolyse)
23. Les signes cliniques suivants sont en faveur d’une morsure par le serpent du groupe Elapidé, sauf un
A. fasciculation
B. Paralysie faciale
C. nécrose qui s’étendre en profondeur et en surface
D. Paralysie du muscle respiratoire
24. Concernant la décontamination digestive, elle est inefficace et même dangereuse dans les cas suivant, sauf un :
A. L’ingestion de kérogène
B. L’ingestion du méthanol
C. Surdosage de l’antidépresseur tricyclique
D. L’ingestion du liquide détergent
25. Concernant le produit insecticide, choix une réponse vraie
A. Le groupe de l’organochloré est le plus utilisé actuellement
B. Atropine seule est suffi pour le traitement de l’intoxication par le carbamate
C. Pralidoxime seul est suffi pour le traitement de l’intoxication par OP
D. Le traitement spécifique de l’intoxication par OP est l’Atropine avec ou sans pralidoxime.
Le débit sanguin cérébral est surtout augmenté par :
A. La vasoconstriction artérielle
B. L’hyperoxie
C. L’hypercapnie
D. L’hypocapnie
E. L’hypothermie
L’augmentation de la pression intracrânienne dépend des éléments ci-dessous, sauf un, lequel ?
A. Age du patient
B. Cinétique d’installation des lésions
C. Mécanisme de compensation
D. Poids du patient
E. Importance de volume des lésions
Quel est le seul signe clinique spécifique de l’hypertension intracrânienne ?
A. Céphalée
B. Déficit moteur
C. Mydriase
D. Nausées, vomissements
E. Œdème papillaire
Parmi les agressions cérébrales secondaires d’origine systémique ci-dessous, laquelle est plus grave?
A. Hypotension artérielle
B. Hypocapnie
C. Hyperglycémie
D. Hyperthermie
E. Acidose métabolique
Parmi les agressions cérébrales secondaires ci-dessous, laquelle est d’origine centrale?
A. Anémie
B. Epilepsie
C. Hypercapnie
D. Hypoxémie
E. Hyponatrémie
Les critères de réalisations d’une nouvelle TDM dans les 24 premières heures des traumatismes crâniens graves ci-dessous sont vrais, sauf un, lequel?
Les critères de réalisations d’une nouvelle TDM dans les 24 premières heures des traumatismes crâniens graves ci-dessous sont vrais, sauf un, lequel?
B. Augmentation rapide de la pression intracrânienne
C. Apparition d’un déficit moteur
D. Trouble hémodynamique d’origine périphérique
E. Trouble de la coagulation
Choisissez la réponse la plus appropriée concernant l’optimisation respiratoire dans la prise en charge d’un traumatisme crânien grave.
A. SpO2 > 92%
B. PaO2 > 70 mmHg, PaCO2 : 35- 40 mmHg
C. PaO2 > 70 mmHg, PaCO2 : 25- 30 mmHg
D. A+B
E. A+C
Concernant la stratégie de prise en charge d’un traumatisé crânien grave, les optimisations hémodynamiques ci-dessous sont vraies, sauf une, laquelle ?
A. Pression artérielle systolique > 100 mmHg
B. Pression artérielle moyenne = 80 -100 mmHg
C. Pression de perfusion cérébrale = 60 -70 mmHg
D. Pression veineuse centrale =3 - 5 cmH20
E. Normovolémie
Quelle est la réponse la plus appropriée concernant le traitement de l’HTA en situation d’hypertension intracrânienne?
A. Ne traiter qu’au-delà de 145 mmHg de pression artérielle systolique
B. Ne traiter qu’au-delà de 160 mmHg de pression artérielle systolique
C. Traiter par des antihypertenseurs centraux ou des ß-bloquants.
D. A+C
E. B+C
Les indications neurochirurgicales formelles à la phase précoce du traumatisme crânien grave ci-dessous sont vraies, sauf une, laquelle ?
A. Hématome extradural symptomatique > 10 mm d’épaisseur
B. Hématome sous dural > 5 mm d’épaisseur avec déplacement de la ligne médiane > 5mm
C. Embarrures fermées compressive, épaisseur > 5mm, effet de masse avec déplacement de la ligne médiane > 5mm
D. Embarrures ouvertes
E. Hémorragie méningée
Au cours de traumatisme du thorax, les critères de réalisation de la tomodensitométrie ci-dessous sont vrais, sauf un, lequel ?
A. Les mécanismes violents à fort transfert d’énergie
B. Instabilité hémodynamique
C. Fractures des deux premières côtes à la radiographie
D. Toutes les anomalies du médiastin à la radiographie
E. Toutes les anomalies de la plèvre ou du parenchyme à la radiographie
Concernant la contusion pulmonaire, toutes les propositions ci-dessous sont vraies, sauf une, laquelle?
A. La contusion pulmonaire est un milieu propice à la surinfection
B. Le diagnostic est suspecté devant une hémoptysie avec hypoxie.
C. La contusion pulmonaire est visible en radiographie au bout de quelques heures
D. La TDM thoracique spiralée est le gold standard des examens d’imagerie
E. L’intubation avec ventilation mécanique est le premier objectif de traitement
Quelle est la conséquence de la contusion pulmonaire?
A. Une augmentation de débit cardiaque et index de travail du ventricule gauche
B. Une diminution du rapport ventilation/perfusion.
C. Une diminution du rapport perfusion/ventilation
D. Une augmentation de la compliance pulmonaire.
E. Une diminution des résistances des voies aériennes.
À propos du volet costal, quelle est la proposition fausse parmi les suivantes?
A. Il se définit comme un double trait de fracture sur au moins trois côtes adjacentes
B. Il est plus grave lorsqu’il est antérieur
C. Il est de topographie latérale le plus souvent
D. Il peut entrainer une insuffisance respiratoire aiguë par l’instabilité mécanique et la douleur.
E. Il est très mobile lorsqu’il est postérieur
Dans les traumatismes fermés du thorax, la présence d’images hydro-aériques dans l’hémithorax gauche est en faveur :
A. Une lésion de l’œsophage
B. Une rupture diaphragmatique
C. Une atélectasie du poumon
D. Une lésion péricardique
E. Une plaie des gros vaisseaux
Devant d’un traumatisme du thorax avec suspicion de pneumothorax compressif, que faites-vous avant tous?
A. Oxygénothérapie à haut débit
B. Sédation et calmer la douleur.
C. Intubation avec ventilation mécanique.
D. Drainage thoracique.
E. Exsufflation à l’aiguille puis drainage thoracique.
Parmi les critères de l’intubation lors de traumatisme thoracique ci-dessous, selon Baron, quelle est l’indication de l’intubation?
A. Fréquence respiratoire > 25c/min
B. Fréquence cardiaque > 100/min
C. Pression artérielle systolique < 100/mmHg
D. Détresse respiratoire: PaO2 < 60 mmHg, PaCO2 > 45 mmHg, pH < 7.2
E. Au moins présence de 3 critères ci-dessus
Un patient traumatisé thoracique et inconscient est intubé par le SAMU et placé sous ventilation mécanique. Après quelques minutes, la Sp02 qui était initialement à 100% diminue à 80% et la TA chute de 110/80mmHg à 70/40mmHg. Quelle lésion intra-thoracique faut-il évoquer?
A. Une rupture diaphragmatique
B. Une rupture splénique associée
C. Une rupture oesophagienne
D. Un hémopneumothorax ou un pneumothorax compressif
E. Une contusion pulmonaire étendue
Un patient traumatisé thoracique et inconscient est intubé par le SAMU et placé sous ventilation mécanique. Après quelques minutes, la Sp02 est stable à 100% mais la TA diminue progressivement de 110/80mmHg à 70/40mmHg et la fréquence cardiaque s’accélère à 130/min. Quelle lésion associée faut-il évoquer?
A. Rupture diaphragmatique
B. Rupture isthme aortique
C. Rupture oesophagienne
D. Pneumothorax compressif
E. Contusion pulmonaire hémorragique
Un patient présentant un hémothorax post traumatique doit bénéficier d’une thoracotomie en urgence en cas :
A. d’anémie inférieur à 10g/100ml
B. De volet thoracique associé
C. d’un débit sanguin dans le drain supérieur à 300 ml/h pendant deux heures
D. d’un hémothorax de volume supérieur à 1L lors de la pose du drain
E. d’association à un pneumothorax
1. Cochez la bonne réponse . Le diagnostic positif et bilans cliniques du coma :
ς A. nécessitent une véritable enquête.
ς B. Le bilan circonstanciel n'est pas important.
ς C. Le bilan vital est au dernier plan.
ς D. Dagnostic plus facile pour coma non traumatique
ς E. Le bilan des fonctions rénales est au 1er plan
2. Concernant la surveillance d'un patient comateux, cochez la bonne réponse.
ς A. Examen clinique tous les 2 jours.
ς B. Constantes vitales répétées, originellement tous les 2h.
ς C. Recherche régulière de la protéinurie.
ς D. Surveillance des entrées et des sorties est inutile
ς E. Le bilan de la fonction hépatique est au 1er plan.
3. La priorité de l'examen paraclinique chez un patient comateux fébrile est :
ς A. Recherche de la protéinurie
ς B. Test de la glycémie
ς C. Recherche des toxiques dans les urines
ς D. Hémoculture
ς E. Dosage de l'alcoolémie
4. Choisissez la réponse correcte . L'état de choc compensé est caractérisé par :
ς A. Chute importante et brutale de la pression artérielle
ς B. PAM > 80 mmHg
ς C. Hypoperfusion tissulaire
ς D. Trouble de conscience
ς E. Bradycardie
5. Concernant les particularités communes des états de choc, le diagnostic rapide est basé sur :
ς A. Signes de vasoconstriction cutanée
ς B. Agitation
ς C. Anomalie de l'ECG
ς D. Trouble de l ' hémostase
ς E. Bradypnée
6. Pour la prise en charge immédiate des états de choc , est de :
ς A. Oxygénation par sonde à lunettes
ς B. Remplissage vasculaire
ς C. Injection de l'Atropine
ς D. Injection du Lasilix
ς E. Transfusion des culots plaquettaires
7. Concernant les médicaments aggravants le choc anaphylactique , choisisseez la bonne réponse .
ς A. Diurétiques
ς B. Inhibiteurs calciques
ς C. Inhibiteurs de l'enzyme de conversion
ς D. Antihistaminiques
ς E. Anti angineux
8. Pour le choc hémorragique, l'hypotension artérielle ne se manifeste que si la volémie diminue de :
ς A. 5% à 10%
ς B. 10% à 15 %
ς C. 15 % à 20 %
ς D. 20 % à 25 %
ς E. 30 % à 40 %
9, Cochez la bonne réponse . Le traitement du choc septique, la priorité est :
ς A. Antibiothérapie par voie IM
ς B. Antibiothérapie après résultat de l'hémoculture
ς C. Antibiothérapie de probabiliste en urgence
ς D. Corticothérapie
ς E. Association de 2 antibiotiques est contre indiqué
10. Pour les critères cliniques de l'efficacité de la prise en charge des états de choc , quelle est la bonne réponse ?
ς A. Persistance permanente des marbrures
ς B. Diurèse < 1ml / Kg / H
ς C. PVC reste < 3 cm d'eau
ς D. Régression de la tachycardie
ς E. PAS toujours < 90 mmHg
11. Concernant les anesthésies loco-régionales , choisissez la proposition correcte .
ς A. L' utilisation d'un hypnotique est contre indiquée
ς B. Pas d ' indications en chirurgie ambulatoire.
ς C. Maintien du réflexe de protection des VAS
ς D. Contre indications pour les sujets âgés
ς E. Plus de risque vital en comparant avec une AG
12. Cochez la bonne réponse . Pour l'anesthésie générale ( AG ) :
ς A. Abolition de la conscience
ς B. Analgésie irréversible
ς C. Maintien du réflexe de protection des VAS
ς D. Consultation d'anesthésie n'est pas nécessaire
ς E. La narcose n' a pas de place
1). Quelles sont les propositions exactes concernant les symptomatologies de la crise d'asthme?
A. Dyspnée.
B. Sifflement (râles sibilants).
C. Oppression thoracique.
D. Toux sèche.
E. Toux avec crachat mousseux (faute).
2). Quelles sont les propositions exactes concernant les mécanismes physiopathologies de la crise d'asthme?
A. Inflammations chroniques des voies aériennes et le plus souvent d'origine allergique avec l' Hyperactivité bronchique.
B. Bronchoconstriction.
C. Bronchodilatation (faute).
D. Oedème de la muqueuse bronchique.
E. Hypersécrétion glandulaire.
3. Concernan la noyade en eau douce, les propositions suivants sont exactes sauf UN.Laquelle?:
A. Hypervolémie.
B. Hémodilution.
C. Hypernatrémie (faute).
D. Hémolyse.
E. Oedème aiguë du poumon (OAP).
4). Concernant la noyade en eau de mer, les propositions suivants sont exactes sauf UN.Laquelle?:
A. Hypovolémie.
B. Hémoconcentration.
C. Hyponatrémie (faute).
D. Hypernatrémie
E. Oedème aiguë du poumon (OAP).
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