Med tronc/nehphro/1

A conceptual illustration depicting a healthcare professional analyzing kidney fun<wbr>ction with various related medical charts and kidney diagrams in the background.

Kidney Health Quiz: Test Your Knowledge!

Welcome to the Kidney Health Quiz, where you can assess your understanding of nephrology, renal diseases, and related medical conditions. This quiz contains 30 thoughtfully crafted questions that challenge you to apply your knowledge and clinical reasoning skills.

Key features of the quiz:

  • Engaging multiple-choice questions
  • Covers essential topics in nephrology and urology
  • Perfect for medical students, healthcare professionals, and enthusiasts alike
30 Questions8 MinutesCreated by AnalyzingKidney47
Le jeune homme M, 15 ans, sans antécédent particulier, sauf diabétique chez les parents, est venu à la consultation pour apparition brutale depuis quelques semaines d’un oedème des paupières le matin et des chevilles gonflées le soir. A l’examen clinique, vous constatez une prise de poids de 5 kg en 3 semaines, PA = 105/50 mmHg, FC = 78/min. Il est apyrétique. L’auscultation cardio-pulmonaire est normale. Bandelette urinaire : protéines ++++, sang (-), sucre (-). Examens complémentaires sanguins : Na❺ = 137 mmol/L, K❺ =4 .1mmol/L, Chlore = 92 mmol/L, protides = 42g/L, albuminémie = 21g/L, urée = 0.45g/L, créatinine = 78μmol/L, Protéinurie = 9g/jour, NFS sans particularité. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Glomérulonéphrite aiguë
Néphropathie diabétique
Néphropathie lupique
Syndrome néphrotique impur
Syndrome néphrotique idiopathique
Monsieur M, 26 ans, sans antécédent particulier, est venu à la consultation pour un syndrome oedémateux évoluant depuis 2 semaines. A l’examen clinique, PA = 115/60 mmHg, FC = 88/min. Il existe des oedèmes des membres inférieurs jusqu’à mi-mollet, mous bilatéraux, prenant le godet. L’auscultation cardio-pulmonaire est normale. Examens complémentaires sanguins : Na❺ = 137 mmol/L, K❺ =4 .1mmol/L, Chlore = 92 mmol/L, albuminémie = 24g/L, urée = 0.45g/L, créatinine = 78μmol/L, calcémie = 76g/L, Protéinurie = 5g/jour, NFS sans particularité. Comment expliquez-vous le taux de la calcémie ?
Fausse hypocalcémie
Vraie hypocalcémie
Vraie normocalcémie
Fausse normocalcémie
Fausse hypercalcémie
Mademoiselle R, 25 ans, sans antécédent particulier, est hospitalisée pour syndrome oedémateux apparu progressivement depuis 2 mois avec la prise de 5 kg. Les premiers résultats montrent : Leucocyte à 3,2 giga/L (PN à 75% et Lymphocyte à 20%), hémoglobine à 12,7 g/dl, plaquettes à 85 giga/L, créatinine à 75 μmol/L, Urée à 0,35 g/L, albumine à 28 g/L, protéinurie à 4g/24h et pas d’hématurie. L’interrogatoire vous apprend qu’il existe des douleurs articulaires distales depuis plusieurs mois, prédominant le matin avec raideur des articulations, une sensibilité exagérée au soleil et une perte importante de cheveux. A l’examen clinique, on note un poids à 65 kg, une pression artérielle à 120/72 mmHg, fréquence cardiaque à 84/min, des oedèmes des membres inférieurs, blancs, mous, bilatéraux et symétriques, prenant le godet remontant jusqu’à mi mollets. Il n’y a pas de signe d’insuffisance cardiaque. Le reste de l’examen clinique est sans particularité. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Myélome multiple à chaînes légères.
Syndrome néphrotique idiopathique
Nécrose tubulaire aiguë.
Néphropathie lupique
Maladie de Berger
Mademoiselle R, 25 ans, sans antécédent particulier, est hospitalisée pour syndrome oedémateux apparu progressivement depuis 2 mois avec la prise de 5 kg. Les premiers résultats montrent : Leucocyte à 3,2 giga/L (PN à 75% et Lymphocyte à 20%), hémoglobine à 12,7 g/dl, plaquettes à 85 giga/L, créatinine à 75 μmol/L, Urée à 0,35 g/L, albumine à 28 g/L, protéinurie à 4g/24h et pas d’hématurie. L’interrogatoire vous apprend qu’il existe des douleurs articulaires distales depuis plusieurs mois, prédominant le matin avec raideur des articulations, une sensibilité exagérée au soleil et une perte importante de cheveux. A l’examen clinique, on note un poids à 65 kg, une pression artérielle à 120/72 mmHg, fréquence cardiaque à 84/min, des oedèmes des membres inférieurs, blancs, mous, bilatéraux et symétriques, prenant le godet remontant jusqu’à mi mollets. Il n’y a pas de signe d’insuffisance cardiaque. Le reste de l’examen clinique est sans particularité. Pour confirmer le diagnostic, quels sont les examens complémentaires utiles à réaliser ?
Echographie rénale, échographie cardiaque et radiographie pulmonaire
Echographie cardiaque, radiographie pulmonaire et auto-anticorps
Radiographie pulmonaire, auto-anticorps et bilan lipidique
Auto-anticorps, bilan lipidique et échographie rénale
Bilan lipidique, échographie rénale et échographie rénale
Monsieur R, 45 ans, originaire de Rattanakiri, vient vous voir à la consultation pour oedème des membres inférieurs. L’urée et la créatinine sont normales mais l’albuminémie à 26 g/L, protéinurie = 4 g/24h, la glycémie = 2,56g/L (HbA1C = 8,5%), et dyslipidémie. La pression artérielle est de 160/90mmHg. Quel est le principe du traitement le plus adapté dans ce contexte ?
Corticothérapie, antihypertenseur et statine
Antihypertenseur, statine et antidiabétiques oraux
Statine, antidiabétiques oraux et corticothérapie
Insulinothérapie, corticothérapie et antihypertenseur
Antihypertenseur, insulinothérapie et statine
Le jeune homme D, 16 ans, sans antécédent particulier, vient à la consultation de néphrologie pour syndrome oedémateux. Il apporte avec lui des examens suivants : urée = 0.45g/L, créatinine = 85μmol/L, albuminémie = 20g/L. Quel est l’examen complémentaire pour confirmer le syndrome du syndrome néphrotique idiopathique ?
Bandelette urinaire
Uroculture
Protéinurie des 24 heures
Electrophorèse des protéines plasmatiques
Electrophorèse des protéines urinaires
Monsieur M, âgé de 50 ans est venu voir un médecin de ville pour un bilan de santé. Le médecin a trouvé une protéinurie des 24 heures à quantité néphrotique mais cette protéinurie est négative en bandelette urinaire. Le patient est donc adressé ensuite à la consultation de néphrologie. Devant ce contexte, quel est le diagnostic le plus probable ?
Néphropathie lupique
Nécrose tubulaire aiguë
Néphropathie diabétique
Syndrome néphrotique idiopathique
Myélome multiple à chaînes légères
Monsieur D, âgé de 45 ans vous est adressé à la consultation de néphrologie pour plusieurs épisodes d’hématurie macroscopique. Vous avez demandé au laboratoire d’analyser cette hématurie (hématies en contraste de phase). Le résultat montre les hématies déformées. Devant ce contexte, quelle est la cause la plus probable ?
Cancer du rein
Cysto-prostatite aiguë
Maladie de Berger
Infection urinaire
Polykystose rénale (rupture des kystes)
Le jeune homme M, âgé de 20 ans, sans antécédent particulier, est adressé de province de Mondolkiri dans votre service pour fièvre et oedème discret des membres inférieurs depuis 5 jours. A l’examen clinique, l’appareil cardio-vasculaire, neurologique, digestif et urinaire est sans particularité. Les examens biologiques montrent : la fonction rénale et hépatique normale, mais un syndrome inflammatoire biologique, albumine à 35 g/L, protéinurie à 1,2 g/ 24h et hématurie positive en bandelette urinaire. Vous pensez à une glomérulonéphrite aiguë. Quel élément anamnestique pour renforcer votre diagnostic ?
Notion de contage tuberculeuse
Notion de piqûre par insecte
Notion d’oedème généralisé
Notion de douleur dentaire
Notion de pharyngite aiguë
Monsieur A, âgé de 45 ans est hospitalisé dans votre service pour syndrome oedémateux. Les résultats du laboratoire montrent une albuminémie à 25 g/L et protéinurie à 4 g/L. Quelle est la cause la plus fréquente de ce syndrome néphrotique chez l’adulte ?
Amylose
Néphropathie lupique
Syndrome néphrotique idiopathique
Glomérulonéphrtite extra-membraneuse
Glomérulonéphrite rapidement progressive
1. Quel est le paramètre qui ne correspond pas au tableau biologique d’une insuffisance rénale fonctionnelle ?
B. Augmentation de la créatininémie
A. Augmentation de l’urée sanguine
C. Diminution de la natriurèse
D. Diminution de la concentration uréique urinaire
E. Hématocrite augmenté
2. Une femme de 35 ans sans ATCD médical, a eu une septicémie post-abortum, compliqué d’une insuffisance rénale auguë anurique justifiant le recours à des hémodialyse répétées. 6 semaines plus tard, la diurèse n’a toujours pas repris. Parmis les causes suivantes, quelle est celle qui vous parait expliquer le plus vraisemblablement la persistance de l’insuffisance rénale ?
A. Néphrocalcinose
B. Thrombose des veines rénales
C. Nécrose corticale bilatérale
E. Aucune des propositions n’est correcte
D. Obstacle sur les voies urinaires
3. Parmis les éléments suivants, donnez celui (ceux) qui ne représente(nt) pas une circonstance favorisante à l’apparition d’une hyperkaliémie dans l’insuffisance rénale aiguë :
A. Hémolyse
B. Rhabdomyolyse
C. Hémorragie digestive
D. Hyperhydratation
E. Acidose
4. Lors d’une insuffisance rénale aiguë le risque vital immédiat est lié à l’un des facteurs suivants :
A. L’hyperuricémie
B. L’hyperkaliémie
C. L’élévation de l’urée
E. L’hypotension artérielle
D. La rétention hydrique
5. Les médicaments suivants sont renommés susceptibles de déclancher des insuffisances rénales aiguës dans certaines conditions, sauf un. Lequel ?
A. Amphotéricine B
B. Aminosides
C. Glafénine
D. Produit de Contraste Iodée
E. Insuline
6. Parmis les mécanismes de l’insuffisance rénale aiguë, Les affirmations suivantes sont exactes, sauf un, lequel ?
B. La résistance artériolaire afférente augmente
A. La résistance artériolaire efférente diminue
C. Gradient de pression entre les tubules et les capillaires glomerulaires
E. Augmentation de pression dans la chambre urinaire
D. Diminution du débit sanguin renal
7. Le mécanisme de l’adaptation apparait au cours de l’insuffisance rénale aiguë fonctionnelle :
A. Vasoconstriction pré-glome̝rulaire, inhibition de la re̝absorption de Na et d’eau au niveau tubulaire.
B. Vasoconstriction post-glome̝rulaire, re̝absorption de Na et d’eau au niveau tubulaire.
C. Vasodilatation pré et post-glome̝rulaire, re̝absorption de Potassium et d’eau au niveau tubulaire.
D. Vasoconstriction pré-glome̝rulaire, re̝absorption de Na et d’eau au niveau tubulaire
E. Vasoconstriction post-glome̝rulaire, re̝absorption de phosphate et de la créatinine au niveau tubulaire
8. Chez un malade attaint d’insuffisance rénale chronique, on observe souvent une tendance hémorragique anormale. Parmi les examens suivants, lequel est habituellement perturbé ?
A. Numération des plaquettes
B. Fibrinogène
C. Temps de saignement
D. Temps de Quick
E. Temps de céphaline activé
9. La qualité minimum de protéine nécessaire pour maintenir une balance azotée chez les malades en insuffisance rénale chronique est :
A. 0,5g/kg de poids
B. 1g/kg de poids
C. 2,25g/kg de poids
D. 3g/kg de poids
E. 4g/kg de poids
10. L’anémie de l’insuffisance rénale chronique présante les caractéristiques suivantes, sauf une, laquelle :
A. Liée à un déficit en érythropoiétine
B. Normochrome
C. Peu régénérative
D. Parfaitement corrigée par l’épuration extra rénale
E. Demie vie des GRs diminuée
11. Un homme de 55 ans est en hémodialyse depuis 5 ans pour insuffisance rénale terminale causée par une HTA. Il est actuellement asymptomatique et anurique. Une échographie rénale révèle des kystes simples au niveau du rein gauche, aucune anomalie rénale n’est visible à droite. Conduite à tenir :
A. Néphrectomie du rein gauche
B. Artériographie avec embolisation de l’artère rénale gauche
C. Scanner abdominale
D. Echographie de controle dans 1 an
E. Angiographie par voie veineuse
12. Parmi les diurétiques suivants, quell est celui qui n’est pas contre-indiqué en cas d’insuffisance rénale ?
B. Diurétique thiazidique
A. Spironolactone
C. Furosémide
D. Diurétique épagneurs de potassium
E. Association de diurétique thiazidique et épagneurs de potassium.
13. Dans la maladie rénale chronique, l’argument qu’on doit penser à l’origine glomérulaire :
A. Contexte de maladie générale, présance de protéinurie>3g/ hématurie et HTA
B. Contexte de maladie générale, absance de proteinurie/ hématurie et HTA
C. Contexte de maladie générale, présance de proteinurie/ hématurie mais pas d’HTA
D. Contexte de maladie infectieuse, présance de proteinurie>3g/ hématurie et HTA
E. Contexte de maladie générale, présance de proteinuria<3g/ hématurie et HTA
14. Les moyens thérapeutiques pour ralentir la progression de l’insuffisance rénale chronique :
A. Bon contrôle de PA <13/8cmHg et protéinurie <0,5g/j, restriction protidique (1 �  2g/kg/j)
B. Bon contrôle de PA<13/8 cmHg et protéinurie <1,5g/j , restriction protidique (0,8 �  1g/kg/j)
C. Bon contrôle de PA<13/8cmHg et protéinurie <1g/j , restriction protidique (1g �  1,5g/kg/j)
D. Bon contrôle de PA<13/8 cmHg et protéinurie >1g/j , restriction protidique (0,8 à 1g/kg/j)
E. Bon contrôle de PA<13/8 cmHg et protéinurie <0,5g/j , restriction protidique (0,8 �  1g/kg/j)
15. Devant une insuffisance rénale chronique de cause inconnue, on peut évoquer à son origine une néphropathie interstitielle chronique si l’on constate
A. Protéinurie > 5g/24h
B. Une leucocyturie à 50 000/ml à une protéinurie de 0,3g/24h
C. Une hématurie de l’ordre de 100 000/ml associée à une protéinurie de 1g/24h
D. Un syndrome néphrotique
E. Présance d’auto anticorp anti MBG
16. La dialyse péritonéale est une dialyse :
A. Discontinue avec un cathétère péritoneal, poches plastiques souples de 2 ou 3 litres contenant un dialysat riche en glucose et bonne système de connection.
B. Continue avec un cathétère péritoneal, poches plastiques souples de 2 ou 3 litres contenant un dialysat riche en glucose et bonne système de connection.
C. Continue avec un catheter fémoral, poches plastiques souples de 2 ou 3 litres contenant un dialysat riche en glucose et bonne système de connection.
D. Discontinue avec un cathétère péritoneal, poches plastiques souples de 4 ou 5 litres contenant un dialysat riche en glucose et bonne système de connection.
E. Continue avec un cathétère péritoneal, poches plastiques souples de 2 ou 3 litres contenant un dialysat riche en sodium et bonne système de connection.
17. Combien y-a-t-il d’échanges de dyalisat par jour au cours de la DPCA (dialyse péritonéale continue ambulatoire) ?
A. 1 à 2
B. 2 à 3
C. 3 à 4
D. 4 à 5
E. 5 à 6
18. Un phénomène d’ultrafiltration au cours de l’hémodialyse :
A. Phénomène actif permettant le passage d’eau et des solutés à travers de la membrane, grâce au gradient de pression
B. Phénomène passif permettant le passage d’eau et des solutés à travers de la membrane, grâce au gradient de pression
C. Phénomène actif permettant le passage d’eau et des solutés à travers de la membrane, grâce au gradient de concentration
D. Phénomène passif permettant le passage d’eau et des solvants à travers de la membrane, grâce au gradient de concentration
E. Phénomène passif permettant le passage des substances du compartiment plus concentré vers le compartiment moins concentré, grâce au gradient de concentration
19. les Incidents-accidents en hémodialyse, sauf un, lequel ?
B. Syndrome de déséquilibre
A. Choc anaphylatique
C. Nausées, vomissements , crampe musculaire
D. Problèmes cardiaques
E. Cécité complete
20. Qu’est-ce qu’une fistule artério-veineuse ?
B. Anastomose vasculaire sous cutané entre la veine et l’artère
A. Anastomose vasculaire sous cutané entre l’artère et l’artère
C. Anastomose vasculaire sous cutané entre la veine et la veine
D. Anastomose vasculaire sous cutané entre la veine et les capillaires
E. Anastomose vasculaire entre l’artère et les capillaires
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