QCM ECN Part 1 (215qcm)

A vibrant and engaging illustration featuring a medical professional in a busy emergency room, surrounded by various medical tools and charts related to emergency medicine, conveying a sense of urgency and critical thinking.

Clinical Emergency Quiz - 215 Questions

Test your medical knowledge with our comprehensive quiz featuring 215 questions focused on emergency clinical scenarios. Whether you're a medical professional or a student in the health sciences, this quiz challenges your diagnostic skills and understanding of critical care.

Key Features:

  • Wide range of topics covering emergency medicine
  • Multiple choice format for clarity and ease
  • Ideal for exam preparation or self-assessment
215 Questions54 MinutesCreated by DiagnosingDoctor37
Vous ramassez Jimmy, 17 ans, sur le bord de la route après un AVP Scooter contre Arbre. L'examen clinique retrouve une fracture des 3 cotes gauche, une rhinoliquorhée, une fracture de fémur droite non ouverte, il produit des sons à la demande, n'ouvre pas les yeux lors de la friction sternale, présente un mouvement de retrait du bras gauche à la douleur. Quel est le score de Glasgow initial ?
5
6
7
8
9
10
Vous prenez en charge Monsieur P, 40 ans présentant commen antécedents un AVP il y a 2 ans, avec plaie hépatique, splénectomie et syndrome de stress post traumatique. Il est traité par neuroleptiques et fluoxétine. Vous le voyez aujourd'hui pour confusion et trouble de conscience. L'examen retrouve une ouverture des yeux spontanée, un évitement de la douleur adapté. Il présente également un signe de Brudzinski positif. Quel est le diagnostic probable ?
Méningite bactérienne
Méningite bactérienne
Méningo encéphalite HSV
Méningo encéphalite à pneumocoque
Syndrome malin des neuroleptiques
Vous prenez en charge en réanimation Monsieur P, 40 ans présentant une méningoencéphalite à pneumocoque avec Coma initial. L'examen neurologique le lendemain retrouve chez ce patient sédaté mais conscient une hémiplégie droite du membre supérieur, des reflexes du troncs cérébral normaux, des pupilles myotiques symétrique, un regard tourné à droite avec une déviation des yeux controlatéral à la lésion. Quelle structure est le plus probablement atteinte ?
Nerf VI droit
Tronc cérébral
Protubérance
Hypothalamus
Corps calleux
Vous prenez en charge en réanimation Monsieur P, 40 ans présentant une méningoencéphalite à pneumocoque avec Coma initial. Le patient est maintenant extubé. 4h plus tard il est somnolent de nouveau, bradypnéique, hypotonique. Sa saturation est de 94%. Quel prise en charge est le plus approprié en urgence ?
Contention
N-acétylcystéine
Flumazenil
Intubation
Naloxone
Vous avez pris en charge en réanimation Monsieur P, 40 ans présentant une méningoencéphalite à pneumocoque avec Coma initial. Le patient est sorti de votre service. 15j plus tard le médecin des étages vous appelle pour troubles de conscience, des vomissements non étiquetée. Il se plaint de maux de tête. Quel est le diagnostic probable ?
Syndrome malin des neuroleptiques
Empyème sous dural
Hydrocéphalie à pression normale
Hydrocéphalie communiquane secondaire
Méningite bactérienne
Vous prenez en charge une patiente pour trouble de conscience, mydriase bilatérale, crises cloniques, syndrome pyramidal. L'ECG déroule une tachycardie sinusale, des QRS à 200 ms, PR régulier à 140ms, des ondes T plates. Sa tension est symétrique à 80/40 mmHg. Quel est la substance la plus probablement responsable de ce syndrome ?
Chloroquine
Tricycliques
Cocaine
Héroine
Aténolol
Paroxétine
Bromocriptine
Vous prenez en charge une patiente retrouvée chez elle dans le coma, entourée de comprimés de Trycicliques. A l’arrivée en réanimation, elle présente un trouble de conscience, mydriase bilatérale, crises cloniques, syndrome pyramidal. L'ECG déroule une tachycardie sinusale, des QRS à 200 ms, PR régulier à 140ms, des ondes T plates. Sa tension est symétrique à 80/40 mmHg. Quel est le traitement le plus adapté ?
Glucagon IV
Bicarbonate de sodium molaire
Hydratation par cristalloides
Dobutamine IVSE
Atropine IV
Vous prenez en charge une patiente retrouvée chez elle dans le coma. En réanimation vous constatez une hyperthermie à 41°C, une rigidité extrapyramidale, un purpura avec des suffusions hémorragiques, une instabilité tensionnelle avec des poussées hypertensives. Quel est la substance la plus probablement responsable de ce syndrome ?
Chloroquine
Tricycliques
Cocaine
Héroine
Aténolol
Paroxétine
Bromocriptine
Vous prenez en charge une patiente retrouvée chez elle dans le coma, au sol, entourée de plusieurs comprimés et de seringues. Quel est le signe que vous recherchez qui serait le plus en faveur d’une intoxiation opiacée?
Diminution des bruits hydro-aériques
Mydriase
Ataxie
Tachycardie
Polypnée
De garde au SAMU, vous êtes envoyé par le médecin régulateur au domicile d'un patient à 3h du matin avec une équipe. Il décrivait au téléphone une douleur thoracique constrictive intense d'apparition brutale et irradiant dans les deux bras alors qu'il se trouvait dans son lit. Ce patient de 60 ans est dyslipidémique et hypertendu. Il a déjà présenté des épisodes d'angor à l'effort, cédant rapidement à la prise de dérivés nitrés. Ce traitement n'a pas permis de soulager sa douleur cette fois-ci, motivant un appel au 15 environ 1 heure après l'apparition de la douleur. Votre examen physique retrouve une fréquence cardiaque à 120 bpm, une fréquence respiratoire à 22 cycles/min, une saturation en air ambiant à 92% et une apyrexie. La PA est symétrique à 120/70 mmHg. Il n'y a pas de signes d'insuffisance cardiaque. Tous les pouls sont perçus, sans souffle. Quel examen est le plus approprié en priorité dans la suite de la prise en charge ?
Radiographie thoracique
Électrocardiogramme 18 dérivations
Gazométrie artérielle
Dosage de la troponine
Échographie cardiaque
Bilan transfusionnel
Dosage des CPK
De garde au SAMU, vous êtes envoyé par le médecin régulateur au domicile d'un patient à 3h du matin avec une équipe. Ce patient de 60 ans est dyslipidémique et hypertendu. Votre examen physique retrouve une fréquence cardiaque à 120 bpm, une fréquence respiratoire à 22 cycles/min, une saturation en air ambiant à 92% et une apyrexie. La PA est symétrique à 120/70 mmHg. L'ECG 18 dérivations réalisé au domicile du patient retrouve un sus-décalage du segment ST convexe en haut et englobant l'onde T dans les dérivations D2, D3 et aVF, ainsi que des images en miroir en V1-V4. Quelle est l’atteinte la plus probable de ce syndrome coronarien ?
Inférieur
Latéral
Antérieur étendu
Postérieur
Antéro-septo-apical
De garde au SAMU, vous êtes envoyé par le médecin régulateur au domicile d'un patient à 3h du matin avec une équipe. Ce patient de 60 ans est dyslipidémique et hypertendu. Votre examen physique retrouve une fréquence cardiaque à 120 bpm, une fréquence respiratoire à 22 cycles/min, une saturation en air ambiant à 92% et une apyrexie. La PA est symétrique à 120/70 mmHg. L'ECG 18 dérivations réalisé au domicile du patient retrouve un atteinte du territoire inférieur. Quelle complication devez-vous plus particulièrement redouter chez votre patient compte-tenu de la localisation de l'infarctus ?
Insuffisance mitrale aiguë
Hémopéricarde
Bloc indra-nodal de haut degré
Insuffisance cardiaque gauche aiguë
IRA sur nécrose tubulaire aiguë
Endocardite infectieuse
Syndrome de Dressler
Vous suivez en hospitalisation un patient de 60 ans est dyslipidémique et hypertendu ayant présenté un SCA ST+ il y a 2 semaines. Au décours de l'hospitalisation, votre patient présente un syndrome de Dressler. Quelle est la physiopathologie de ce syndrome ?
Auto-immune
Mécanique
Médicamenteux
Infectieux
Vous recevez à votre consultation une jeune femme tabagique à 12 paquets-année présentant comme antécédents un syndrome de Raynaud et des céphalées à type de migraines fréquentes. Elle se plaint d’une douleur thoracique de survenue nocturne typique d’un SCA. Vous retrouvez les constantes suivantes : FC 75 bpm ; TA 135/85 mmHg ; FR 18 ; saturation 99 % en AA. Quel diagnostic différentiel le plus probable évoquez-vous devant ce tableau ?
Vasospasme coronaire
Embolie pulmonaire
Dissection aortique
Pancréatite aiguë
Artérite de Takayasu
Péricardite aiguë
Vous recevez aux urgences un patient de 67 ans présentant une douleur rétro-sternale en barre irradiant dans la mâchoire depuis 45 min. Vous retrouvez les constantes suivantes : FC 80 bpm ; TA 120/75 mmHg aux deux bras ; FR 18 ; saturation 98 % en AA. L’ECG réalisé montre un sus-décalage du ST convexe vers le haut en D1-VL et dans toutes les dérivations précordiales. À quel territoire cardiaque correspondent ces dérivations ?
Antérieur étendu
Antéro-septo-apical
Latéral
Inférieur
Postérieur
Vous recevez aux urgences un patient de 67 ans présentant une douleur rétro-sternale en barre irradiant dans la mâchoire depuis 45 min. Vous retrouvez les constantes suivantes : FC 80 bpm ; TA 120/75 mmHg aux deux bras ; FR 18 ; saturation 98 % en AA. L’ECG réalisé montre un sus-décalage du ST convexe vers le haut en V7-V8-V9. La coronarographie réalisée retrouve une sténose importante de l’artère circonflexe. Il est donc décidé de poser un stent actif dans le même temps. Le patient ressort de l’hôpital quelques jours plus tard avec notamment une bithérapie antiplaquettaire. Une pose de prothèse de hanche était prévue de longue date chez ce patient deux semaines plus tard. Quelle serait la meilleure conduite à tenir concernant cette intervention ?
Différer l’opération et attendre au moins 6 mois.
Différer l’opération et attendre au moins 3 mois.
Différer l’opération et attendre au moins 12 mois.
Différer l’opération et attendre au moins 18 mois.
Différer l’opération et attendre au moins 9 mois.
Vous recevez aux urgences un patient de 72 ans présentant une douleur rétro-sternale en barre irradiant dans la mâchoire depuis 45 min. Ses antécédents comporte un tabagisme à 60 paquets-année, une BPCO, une rupture de la coiffe des rotateurs à gauche opérée il y a 3 ans, une dyslipidémie et un diabète de type 2. Vous retrouvez les constantes suivantes : FC 90 bpm ; TA 100/60 mmHg aux deux bras ; FR 20 ; saturation 92 % en AA. L’ECG réalisé montre un sus-décalage du ST convexe vers le haut en D2-D3-VF et un sous-décalage en V1-V4. Quel territoire intéresse cet infarctus du myocarde ?
Inférieur
Antéro-septo-apical
Latéral
Antérieur étendu
Postérieur
C'est l'été et vous recevez aux urgences un mari et sa femme actuellement en cure thermale. Ils sont de passage dans la région et sont accompagné par un de leur petit fils. Sa femme vous explique que son mari, 60 ans a perdu connaissance pendant quelques secondes : son regard est devenu vide et il ne répondait plus à sa femme, puis a repris tout à coup une conscience normale. Il n’y a pas eu de perte d'urine, ni prodromes ni mouvements anormaux. Il ne se souvient absolument de rien et se demande ce qu'il fait aux urgences. L’examen neurologique ne retrouve aucun signe de localisation, le reste de l’examen clinique est normal.Quelle pathologie cardiovasculaire suspectez-vous?
Blocs auriculo-ventriculaires du deuxième degré type Mobitz 1 et 2
Blocs sino-auriculaires paroxystiques
Tachycardies supra ventriculaires et ventriculaires
Torsades de pointe
Rétrécissement aortique serré
Cardiomyopathie obstructive
Hypertension artérielle pulmonaire primitive
Insuffisance coronaire
Vous recevez un patient de 54 ans présenant des malaises à répétition. D'après les résultats de vos examens, vous suspectez un bloc auriculo-ventriculaire du 3ème degré asymptomatique. Quel traitement de 1ère intention devez-vous envisager en priorité?
Pacemaker
Isoprénaline en perfusion continue
Sonde d’Entrainement Electro-Systolique
Atropine à la dose de 0,5 mg par voie intraveineuse directe
Aucun
Vous recevez un patient de 23 ans aux urgences pour perte de connaissance. Il faisait la queue dans un magasin. Vous voyez votre patient réveillé. Il va bien. Le médecin de l'ambulance vous indique que son pouls était faible à la prise en charge. L'examen neurologique est normal. Quel est le diagnostic le plus probable?
Une hypoglycémie
Une syncope vaso-vagale
Une crise d'épilepsie
Une hypovolémie par déshydratation
Une hypotension orthostatique
Un trouble de la conduction cardiaque comme son grand-père
Une anomalie ionique
Une syncope consécutive à la stimulation de son glomus carotidien
Vous recevez un monsieur de 65 ans aux urgences. Il est admis pour hallucinations auditives et visuelles ainsi que pour agressivité. Les symptômes qui ont débuté il y a environ 20h commencent visiblement à s'estomper. A l'examen, le patient se montre plutôt apathique, mais vous le sentez anxieux et méfiant. Il présente une désorientation spatio-temporelle complète et le langage est incohérent. La TA est à 125/90. Il est apyrétique. L'alcoolémie est normale et la glycémie est de 1.05 g/l. Quel est le diagnostic le plus probable?
Syndrome parkinsonien
Syndrome démentiel
Syndrome dépressif
Syndrome confusionnel
Syndrome psychogène
Vous recevez un monsieur de 65 ans aux urgences. Il est admis pour hallucinations auditives et visuelles ainsi que pour agressivité. À l'examen clinique, vous remarquez un globe vésical. Après votre toucher rectal, vous pensez à une origine iatrogène. Vous récupérez son ordonnance. Quel est le médicament est le plus probablement responsable selon vous de ce globe vésical ?
LAROXYL (amitriptyline) 100 mg le soir
INEXIUM (Ésoméprazole) 20 mg le soir
LOPRIL (captopril) 75 mg le matin
TAHOR (atorvastatine) 80 mg le soir
CARDENSIEL (bisoprolol) 10 mg le matin
XATRAL (alfuzosine) LP 5mg le soir
Vous recevez aux urgences un patient de 67 ans pour intoxication éthylique aiguë. Il présente un syndrome confusionnel. La TA est à 125/90. Il est apyrétique. L'alcoolémie est à 4 fois la normale. Vous vous demandez si ce patient boit régulièrement de l'alcool. Quel outil est le plus approprié pour estimer un mésusage de l'alcool ?
Questionnaire DATE
Test de Fagerström
Score de Cushman
Score de Fine
Questionnaire AUDIT
Score de Bishop
Score FOUR
Le MMSe
Vous suivez en hospitalisation un monsieur de 65 ans, que vous connaissez bien car il présente régulièrement depuis 3 ans des épisodes confusionnels résolutifs à chaque épisode infectieux. A quelle pathologie le patient est-il le plus probablement exposé compte tenu des ses confusions à répétition ?
Syndrome démentiel
Maladie de parkinson
Dépression
Syndrome de Korsakoff
Aphasie de Wernicke
Mélancolie stuporeuse
Vous recevez une Patiente de 80 A pour syndrome confusionnel. Elle présente des douleurs abdominales et vomit régulièrement depuis quelques heures avec arrêt des matières et des gaz. À l’examen, l’abdomen est distendu mais non sensible. Apyrétique. Vous demandez un TDM abdominal dont voici les résultats :Comment interprétez-vous ce TDM et qui expliquerait la confusion de votre patiente ?
Syndrome occlusif
Globe vésical
Fécalome
Tumeur colique caecale
Lymphome gastro-intestinal
Cancer de la vessie
Fibrome
Vous recevez aux urgences un garçon de 13 A pour syndrome confusionnel et une parésie des 4 membres. Il se plaint également de quelques crampes. Vous savez qu’il vit dans la rue et que ses conditions de vie sont précaires. À demi-mot son ami qui l’accompagne vous dit qu’il a l’habitude de boire beaucoup de breuvages alcooliques «faits maison» et de «sniffer» de la colle. En attendant les résultats de biologie, comme pour tous les cas de syndromes confusionnels, vous effectuez un ECG dont voici le résultat : Au vu de ces éléments, quel est selon le vous le diagnostic le plus probable responsable de sa confusion ?
Hypokaliémie
Encéphalopathie de Gayet-Wernicke
Embolie pulmonaire
Hypercalcémie
Hypoglycémie
Hypothermie
Vous recevez un patient de 80 A qui a chuté cette nuit dans les escaliers. Il souffre de nycturie et prend des anxiolytiques en automédication pour l’aider à s’endormir. À la clinique vous retrouvez une grosse plaie du scalp. Il est en effet très confus et vous devez légèrement le calmer par médicament sédatif pour pouvoir lui passer un scanner cérébral. Voici les résultats de son scanner :Quel est le diagnostic le plus probable avec l’ensemble des éléments?
Hématome sous dural fronto-temporal G
Hémtame extra-dural fronto-temporal G
Hématome intraparenchymateux
Hémorragie méningée
Hématome intradural
Vous recevez un patient de 40 A qui est tombé dans les escaliers lors d’une fête arrosée avec ses amis. Il est rapidement pris en charge aux urgences et passe un scanner cérébral moins de 3H après la chute. Voici son cliché : Quel diagnostic est le plus approprié ?
Hématome sous dural aigu G
Hémorragie méningée
Hématome extra-dural G
Hématome intradural
Hématome sous dural chronique sans lésion aiguë visible
Vous recevez un patient de 60 A qui présente un syndrome anxiodépressif et trouble du comportement. Il n’a pas d’ATCD. Sa femme vous explique que progressivement ses facultés déclinent et que son comportement devient de plus en plus étrange. Il s’énerve facilement pour un rien, mange sans arrêt mais ne boit pas d’alcool. Sa femme trouve également qu’il perd la mémoire et son hygiène est mauvaise. Il est sous antidépresseur et suivi par un psychiatre en ville depuis plusieurs mois mais aucune amélioration n’a été constatée. À l’examen vous le trouvez un ralenti et familier avec vous. Vous lui faites passer une IRM dont voici un extrait du compte-rendu : Conclusion : Atrophie frontale et péri-centrale gauche associée à une atrophie sous-tentorielle gauche sans atrophie temporale interne. Au vu de ces éléments, de quelle pathologie souffre probablement votre patient ?
Hydrocéphalie à pression normale
Dégénérescence lobaire frontotemporale
Maladie à corps de Lewy diffus
Syndrome de Korsakoff
Maladie d’Alzheimer
Vous recevez aux urgences une patiente de 76 ans adressée par son médecin traitant pour douleur abdominales avec vomissements. Elle présente comme antécédents un diabète de type 2 non insulino-requérant et une appendicectomie dans l’enfance. A l’interrogatoire, elle décrit un arrêt des matières et des gaz depis 24h. L’abdomen est météorisé, sensible dans son ensemble mais sans défense. Quel examen est strictement CONTRE-INDIQUE chez cette patiente ?
Radiographie d'abdomen sans préparation
Lavement colique aux hydrosolubles
Scanner abdomino-pelvien avec injection
Echographie abdominale
Coloscopie totale
Vous prenez en charge une patiente de 54 ans que vous avez opéré il y a 4 jours d'une sigmoïdectomie avec remise en continuité par laparotomie, motivée par une diverticulite sigmoïdienne récidivante. La patiente présente un arrêt des matières et des gaz depuis sa chirurgie. Les constantes sont stables (Fc 75 bpm, TA 13/9), avec tout de même un fébricule (température 38,2°C). Quelle est l’hypothèse diagnostique la plus probable ?
Iléus paralytique
Syndrome d'Ogilvie
Péritonite aiguë
Fistule anastomotique
Occlusion sur bride
Vous demandez un scanner abdominal avec injection de produit de contraste pour un patient de 54 ans dans un contexte de douleur abdominale brutale avec arrêt du transit depuis moins de 24h. Ce patient présente une fibrillation auriculaire à l’ECG. Parmi les signes radiologiques suivants, lequel recherchez-vous en faveur d’un pronostic favorable ?
Rehaussement des parois digestives
Epanchement intra-abdominal
Dilatation du caecum > 10 cm
Pneumatose pariétale
Aéroportie
Pneumopéritoine
Vous prenez en charge aux Urgences un patient de 26 ans pour douleur abdominale. Il a comme seul antécédent une appendicectomie dans l’enfance. Quel élément clinique recherchez- vous en faveur d’une occlusion sur bride ?
Douleur d'installation progressive.
Vomissements clairs et abondants
Météorisme abdominal majeur.
Arrêt précoce du transit
Fièvre
Vous prenez en charge un garçon de 1 an pour douleur abdominale aiguë. L’abdomen est douloureux et météorisé, sans défense. TA 110/80, pouls 80/mn, temp 37,4. Le bilan biologique retrouve une hyperleucocytose modérée (GB 14000). L’échographie abdominale retrouve un boudin d’invagination. Quel est le traitement le plus approprié en première intention ?
Lavement aux hydrosolubles
Traitement antalgique
Désinvagination chirurgicale
Coloscopie interventionnelle
Résection de l'anse intestinale
Vous accueillez aux urgences un patient de 66 ans, pour douleur abdominale et arrêt des matières et des gaz depuis 48h. Il n'a aucun antécédent notable hormis une appendicetomie apr Mac burney dans l'enfance, mais se plaint de troubles du transit et à type de diarrhée/constipation depuis 3 mois. Vous suspectez un cancer colo-rectal compliqué. Quel autre diagnostic vous parait le plus probable chez ce patient ?
Occlusion sur bride
Volvulus du sigmoïde
Ischémie mésentérique
Ascaridiose digestive
Constipation
Vous accueillez aux urgences un patient de 66 ans, pour douleur abdominale et arrêt des matières et des gaz depuis 48h. Il n'a aucun antécédent notable hormis une appendicetomie apr Mac burney dans l'enfance, mais se plaint de troubles du transit et à type de diarrhée/consitpation depuis 3 mois. Vous suspectez une occlusion sur bride. Quel signe fonctionnel ou clinique serait le plus en faveur de ce diagnostic ?
Survenue brutale de la douleur
Absence de rectorragies
Absence de bruits hydro-aérique à l'auscultation abdominale
Hypotension artérielle
Météorisme abdominal
Vomissements
Vous accueillez aux urgences un patient de 66 ans, pour douleur abdominale et arrêt des matières et des gaz depuis 48h. Il n'a aucun antécédent notable hormis une appendicetomie apr Mac burney dans l'enfance, mais se plaint de troubles du transit et à type de diarrhée/constipation depuis 3 mois. Vous suspectez un cancer colo-rectal compliqué d’occlusion. Quel est l’examen le plus approprié dans la suite de la prise en charge ?
Radiographie d'abdomen sans préparation
Lavement colique aux hydrosolubles
Echographie abdominale
Scanner abdomino-pelvien avec injection
Coloscopie totale
Vous accueillez aux urgences un patient de 66 ans, pour douleur abdominale et arrêt des matières et des gaz depuis 48h. Il n'a aucun antécédent notable hormis une appendicetomie apr Mac burney dans l'enfance, mais se plaint de troubles du transit et à type de diarrhée/constipation depuis 3 mois. Vous suspectez un cancer colo-rectal compliqué d’occlusion. Quel est le siège le plus probable de la tumeur ?
Colon droit
Colon transverse
Colon gauche
Rectum
Canal anal
Vous accueillez aux urgences un patient de 66 ans, pour douleur abdominale et arrêt des matières et des gaz depuis 48h. Il n'a aucun antécédent notable hormis une appendicetomie apr Mac burney dans l'enfance, mais se plaint de troubles du transit et à type de diarrhée/constipation depuis 3 mois. Vous suspectez un cancer colo-rectal compliqué d’occlusion. Quel traitement en urgence vous semble le plus adapté ?
Traitement chirurgical avec remise en continuité non protégée par une stomie
Traitement chirurgical par stomie d'amont
Coloscopie avec pose d'une prothèse endocolique
Mise en place d'un tube de Faucher
Traitement médical avec mise à jeun, aspiration digestive par sonde nasogastrique
Vous prenez en charge aux urgences un patient de 60 ans pour d'abondants saignements rouges vifs s'extérioriant par l'anus. Ses antécédents notables sont une fibrillation auriculaire anticoagulée par Coumadine, un tabagisme non sevré, et des douleurs lombaires dues à l'arthrose pour lesquelles il a été mis sous antalgiques par son médecin traitant. Le patient vous signale par ailleurs des douleurs abdominales post-prandiale depuis 48h malgré ses antalgiques. Quel est la description qui convient le plus au motif de consultation de ce patient ?
Rectorragie
Hématémèse
Hémoptysie
Méléna
Rhinorragie
Vous prenez en charge aux urgences un patient de 60 ans pour d'abondants saignements rouges vifs s'extérioriant par l'anus. L'examen clinique du patient est le suivant : TA=90/55 mmHg, Fc=110/min, SaO2 = 95%. L'examen clinique est sans particularité notable en dehors d'une paleur cutanéo-muqueuse. Quel examen est le plus approprié en urgence ?
NFS, plaquettes, , bilan pré-transfusionnel
Fibroscopie oeso-gastro-duodénale
Scanner abdominopelvien avec injection
Echographie abdominale
Coloscopie totale
Vous prenez en charge aux urgences un patient de 60 ans pour d'abondants saignements rouges vifs s'extérioriant par l'anus. Ses antécédents notables sont une fibrillation auriculaire anticoagulée par Coumadine, un tabagisme non sevré, et des douleurs lombaires dues à l'arthrose pour lesquelles il a été mis sous antalgiques par son médecin traitant. Le patient vous signale par ailleurs des douleurs abdominales post-prandiale depuis 48h malgré ses antalgiques. Vous décidez de réaliser une endoscopie digestive haute à visée diagnostique. Que retrouverez-vous le plus probablement lors de cet examen ?
Un ulcère gastrique ou duodénal
Des varices oesophagiennes
Une tumeur oesophagienne
Des lésions caustiques
Un tube digestif normal
Vous prenez en charge aux urgences un patient de 60 ans pour d'abondants saignements rouges vifs s'extérioriant par l'anus. Ses antécédents notables sont des douleurs lombaires dues à l'arthrose pour lesquelles il a été mis sous antalgiques par son médecin traitant, et un ulcère gastrique. L'examen clinique du patient est le suivant : TA=90/55 mmHg, Fc=110/min, SaO2 = 95%. L'examen clinique est sans particularité notable en dehors d'une paleur cutanéo-muqueuse. Quelle est votre prise en charge étiologique de première intention ?
Hémostase endoscopique
Traitement médical par inhibiteur de la pompe à proton à haute dose en intraveineux
Traitement médical par mise à jeun et aspiration par sonde nasogastrique
Embolisation par radiologie interventionnelle
Traitement chirurgical avec résection de la lésion hémorragique
Surveillance
Vous prenez en charge aux urgences un patient de 60 ans pour d'abondants saignements rouges vifs s'extérioriant par l'anus. Ses antécédents notables sont une fibrillation auriculaire anticoagulée par Coumadine, un tabagisme non sevré, et des douleurs lombaires dues à l'arthrose pour lesquelles il a été mis sous antalgiques par son médecin traitant. L'examen clinique du patient est le suivant : TA=90/55 mmHg, Fc=110/min, SaO2 = 95%. L'examen clinique est sans particularité notable en dehors d'une paleur cutanéo-muqueuse. Dans le contexte, quelle cause vous semble être la plus probablement l'origine de l'hémorragie massive ?
La prise d'anti-inflammatoire non stéroidien
Une cirrhose hépatique décompensée
La fibrillation auriculaire
Une tumeur gastrique
Le tabagisme actif
Vous prenez en charge une femme de 55 ans, aux antécédents de spondylarthitee ankylosante depuis de nombreuses années, pour hématémèse. L’examen clinique ne retrouve pas de signe de gravité hémodynamique. TA 110/80, poul 80/mn. L’hémoglobinémie est à 10,9 g/dL. Vous réalisez une fibroscopie gastrique qui retrouve une lésion de la face antérieure de l'estomac avec un caillot adhérent. Quelle est la sévérité de cette atteinte selon la classification de Forest ? …
Forrest IIb
Forrest Ia
Forrest Ib
Forrest IIa
Forrest IIIc
Forrest IIIa
Vous voyez en consultation une jeune femme de 45 ans pour des rectorragies minimes. L’examen clinique retrouve des hémorroïdes externes. Quel examen réalisez-vous en première intention chez cette patiente ?
Coloscopie totale
Scanner abdomino-pelvien avec injection
Fibroscopie oeso-gastroduodénale
Echographie abdominale
Recto-sigmoïdoscopie
Vous prenez en charge une femme de 55 ans, aux antécédents de spondylarthitee ankylosante depuis de nombreuses années, pour hématémèse. L’examen clinique ne retrouve pas de signe de gravité hémodynamique. L’hémoglobinémie est à 10,9 g/dL. Vous décidez de pousser le bilan étiologique par une fibroscopie oeso-gastro-duodénale. Quel élement recherchez vous qui pourrait contre-indiquer la réalisation de cet examen ?
Pneumopéritoine à la radiographie
Antécédent d'accident thrombo-embolique veineux de moins de 6 mois
Antécédent d'infarctus du myocarde de moins de 6 mois
Anticoagulation curative en cours
Plaquettes < 50000/mm3
Vous prenez en charge au déchocage un patient de 65 ans, cirrhotique éthylique connu, pour hématémèse. Le patient est Child A6, et présente une hypertension portale modérée non traitée. Quel paramètre clinique recherchez vous en priorité afin d’apprécier au mieux l’importance de l’hémorragie ?
Tension artérielle
Coloration cutanéo-muqueuse
Saturation en oxygène
Abondance de l'hématémèse
Confusion
Vous prenez en charge un garçon de 6 ans, sans antécédents pour douleur abdominale aiguë en fosse iliaque droite ayant débuté la veille. TA 110/80, pouls 100/mn, temp 38,5°C. L’examen retoruve une défense en fosse iliaque droite. Quel est est le diagnostic le plus probable ?
Appendicite aiguë
Diverticulite aiguë sigmoïdienne
Diverticulite aiguë de Meckel
Invagination intestinale aiguë
Colique hépatique
Gastro-entérite aiguë
Cholécystite aiguë
Vous prenez en charge un garçon de 6 ans, sans antécédents pour douleur abdominale aiguë en fosse iliaque droite ayant débuté la veille. L'examen clinique du patient est le suivant : TA=90/55 mmHg, Fc=110/min, SaO2 = 95%. L'examen clinique est sans particularité notable en dehors d'une paleur cutanéo-muqueuse et d’une défense en fosse iliaque droite. Le patient vous signale des douleurs abdominales post-prandiale depuis 48h. Quel examen est le plus approprié dans la suite de la prise en charge ?
Echographie abdominale
Scanner abdominopelvien avec injection de produit de contraste
Radiographie d'abdomen sans préparation
Lavement colique aux hydrosolubles
Pas d'examen radiologique
Vous prenez en charge un garçon de 6 ans, sans antécédents pour douleur abdominale aiguë en fosse iliaque droite ayant débuté la veille. L'examen clinique du patient est le suivant : TA=90/55 mmHg, Fc=110/min, SaO2 = 95%. L'examen clinique est sans particularité notable en dehors d'une paleur cutanéo-muqueuse et d’une défense en fosse iliaque droite. Le patient vous signale des douleurs abdominales post-prandiale depuis 48h. Quelle prise en charge vous paraît la plus adaptée ?
Chirurgie immédiate sans antibiothérapie associée
Chirurgie immédiate avec antibiothérapie pendant 5j
Chirurgie immédiate avec antibiothérapie pendant 48h
Antibiothérapie puis chirurgie à froid
Antibiothérapie sans chirurgie
Vous prenez en charge un garçon de 6 ans, sans antécédents pour douleur abdominale aiguë en fosse iliaque droite ayant débuté la veille. Vous prenez en charge son appendicite. 3 jours après votre prise en charge chirurgicale, votre jeune patient se plaint d'une douleur en regard d'une zone inflammée sur sa cicatrice opératoire. TA 110/80, pouls 90mn, Temp 37,1. Que suspectez-vous en priorité ?
Un abcès pariétal
Une péritonite aiguë généralisée
Un abcès intra-abdominal
Un hématome pariétal
Une occlusion sur bride
Vous accueillez aux urgences un garçon de 6 ans pour douleur abdominale fébrile en fosse iliaque droite. TA 110/70, pouls 60/mn, temp 38,5. Le bilan biologique retrouve une hyperleucocytose modérée (GB 15000). Vous suspectez une appendicite aiguë non compliquée. Quel diagnostic différentiel est le plus probable ?
Adénolymphite mésentérique
Invagination intestinale aiguë
Diverticulite de Meckel
Gastro-entérite aiguë
Cystite aiguë
Vous prenez en charge une fillette de 9 ans pour douleur abdominale en fosse iliaque droite. TA 110/80, pouls 60/mn, temp 38,6. Vous suspectez une appendicite aiguë. Vous demandez un bilan biologique et d’imagerie afin de confirmer votre diagnostic et de rechercher d’éventuelles complications. Lequel de ces tableaux vous ferait opter pour une prise en charge médicale en première intention ?
Plastron appendiculaire
Appendicite aiguë non compliquée
Appendicite aiguë rétro-caecale
Péritonite aiguë généralisée
Abcès appendiculaire
Vous prenez en charge une fillette de 8 ans pour douleur abdominale en fosse iliaque droite depuis 24h. Il existe une défense en fosse iliaque droite, et la jeune fille se plaint de brûlures mictionnelles. L’échographie abdominale pose le diagnostic d’appendicite aiguë. Compte tenu de sa symptomatologie, quelle est la position la plus probable de l’appendice chez cette patiente ?
Appendice pelvien
Appendice latéro-caecal interne
Appendice sous-hépatique
Appendice méso-coeliaque
Appendice rétro-caecal
Vous prenez en charge une jeune femme de 25 ans pour douleur abdominale aiguë en fosse iliaque droite depuis moins de 24h. Elle est adressée par son médecin traitant pour suspicion d’appendicite aiguë. Quel paramètre clinique serait le plus en faveur d’une prise en charge chirurgicale immédiate?
Défense abdominale
Elévation de la CRP
Hyperleucocytose
Fièvre >38,5°c
Vous avez opéré un jeune garçon de 10 ans d’une appendicectomie par Mac Burney pour appendicite aiguë non compliquée il y a 2 mois. Vous le revoyez aux urgences où il consulte pour des douleurs abdominales aiguës depuis moins de 24h. TA 120/60, pouls 80/mn, temp 38,2. Quelle complication dans les suites de sa pathologie initiale suspectez vous ?
Occlusion sur bride
Abcès intra-abdominal
Péritonite aiguë
Hématome
Abcès de paroi
Vous êtes devant un patient de 50 ans présentant des douleurs abdominales sus pubienne, asthénie, altération de l'état général, nausées et des épisodes de fièvre. Il y a une heure il a présenté une douleur abdominale brutale et un abdomen péritonéal. L’évolution initiale est défavorable, et le patient est traité par noradrénaline et dobutamine pour un choc septique. Quelle prochaine étape de votre prise en charge est la plus appropriée ?
Laparotomie en urgence
Stabilisation puis TDM abdominopelvien
Début d'une épuration extrarénale
Elargissement de l'antibiothérapie
TDM abdominopelvien en urgence
Echographie abdominale
Vous êtes devant un patient de 50 ans présentant des douleurs abdominales sus pubienne, asthénie, altération de l'état général, nausées et des épisodes de fièvre. Il y a une heure il a présenté une douleur abdominale brutale et un abdomen péritonéal. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Appendicite mésentérique perforée
Péritonite sur infection de liquide d'ascite
Pelvipéritonite sur prostatite
Hépatite aiguë grave
Pancréatite aiguë grave
Vous prenez en charge à J+4 en réanimation un patient de 50 ans suite à un choc septique sur péritonite appendiculaire. Le patient est stable. Il a été extubé à J2, il est apyrétique. Depuis ce matin il est confus sans signes de focalisation, son bilan retrouve un pH 7,32, PCO2 37, PO2 86, Bicarbonates 18. Quelle prochaine étape de votre prise en charge est la plus appropriée ?
TDM abdominopelvien
Début d'une ventilation non invasive
Sédation légère par benzodiazépine ou antiH2
TDM cérébral sans injection
Avis neuropsychiatrique
Vous recevez aux urgences un patient de 62 ans, fumeur actif (24 paquets-année) et diabétique de type 2. Sa femme vous explique qu'il a présenté une douleur thoracique latérale à droite il y a environ douze heures, suivie d'une toux, de frissons, et d'une sensation d'essouflement au repos qui s'est progressivement aggravée. Ses constantes sont les suivantes : température 39,8°C, PA 88/58 mmHg, FC 125 bpm, FR 38 cycles/min, saturation en oxygène percutanée 80%. À l'examen clinique, vous constatez une cyanose importante, une contraction des muscles abdominaux à l'expiration et un battement des ailes du nez. Le patient répond difficilement à vos questions et vous paraît de plus en plus confus et somnolent. L'auscultation pulmonaire retrouve des râles crépitants aux deux champs pulmonaires et un souffle tubaire à droite. Quelle est la cause la plus probable de cette insuffisance respiratoire aiguë ?
Pneumopathie infectieuse bactérienne
Décompensation de BPCO
Intoxication au monoxyde de carbone
Pneumothorax compressif
Intoxication aiguë aux opioïdes
Embolie pulmonaire
Crise d'asthme sévère
Pancréatite aiguë
Vous recevez aux urgences un patient de 62 ans, fumeur actif (24 paquets-année) et diabétique de type 2. Sa femme vous explique qu'il a présenté une douleur thoracique latérale à droite il y a environ douze heures, suivie d'une toux, de frissons, et d'une sensation d'essouflement au repos qui s'est progressivement aggravée. Ses constantes sont les suivantes : température 39,8°C, PA 88/58 mmHg, FC 125 bpm, FR 38 cycles/min, saturation en oxygène percutanée 80%. À l'examen clinique, vous constatez une cyanose importante, une contraction des muscles abdominaux à l'expiration et un battement des ailes du nez. Le patient répond difficilement à vos questions et vous paraît de plus en plus confus et somnolent. L'auscultation pulmonaire retrouve des râles crépitants aux deux champs pulmonaires et un souffle tubaire à droite. Quelle est la description la plus appropriée des signes présentés par le patient ?
Des signes de lutte et d'hypoxémie uniquement
Des signes d'hypoxémie et d'hypercapnie uniquement
Des signes de lutte et d'hypercapnie uniquement
Des signes de lutte, d'hypoxémie et d'hypercapnie
Des signes d'hypercapnie uniquement
Des signes d'hypoxémie uniquement
Des signes de lutte uniquement
Vous recevez aux urgences un patient de 62 ans, fumeur actif (24 paquets-année) et diabétique de type 2. Sa femme vous explique qu'il a présenté une douleur thoracique latérale à droite il y a environ douze heures, suivie d'une toux, de frissons, et d'une sensation d'essouflement au repos qui s'est progressivement aggravée. Ses constantes sont les suivantes : température 39,8°C, PA 88/58 mmHg, FC 125 bpm, FR 38 cycles/min, saturation en oxygène percutanée 80%. La gazométrie artérielle sous 15 L/min d'oxygène est la suivante : pH 7,35 - PaO2 50 mmHg - PaCO2 34 mmHg - bicarbonates 18 mmol/L - SaO2 80%. Quel est le diagnostic le plus approprié ?
Acidose métabolique non compensée
Acidose respiratoire compensée
Acidose respiratoire non compensée
Acidose métabolique compensée
Alcalose métabolique non compensée
Alcalose respiratoire non compensée
Alcalose respiratoire compensée
Alcalose métabolique compensée
Vous recevez aux urgences un patient de 62 ans, fumeur actif (24 paquets-année) et diabétique de type 2. Sa femme vous explique qu'il a présenté une douleur thoracique latérale à droite il y a environ douze heures, suivie d'une toux, de frissons, et d'une sensation d'essouflement au repos qui s'est progressivement aggravée. Ses constantes sont les suivantes : température 39,8°C, PA 88/58 mmHg, FC 125 bpm, FR 38 cycles/min, saturation en oxygène percutanée 80%. La dyspnée de votre patient s'aggrave de plus en plus et il devient inconscient. Quelle prise en charge est la plus appropriée en urgence ?
Hospitalisation en réanimation et intubation endotrachéale
Hospitalisation en réanimation et mise en place d'une technique de ventilation non invasive
Hospitalisation en réanimation et oxygénothérapie par masque haute concentration
Hospitalisation en réanimation et oxygénothérapie par lunettes
Prise en charge ambulatoire et oxygénothérapie par lunettes
 
De garde en réanimation-chirurgicale, vous recevez en début d'après-midi un patient de 27 ans héliporté par le SMUR suite à un AVP en moto. Il a percuté une voiture de face en se déportant dans un virage. Il a un trauma au niveau du membre inférieur droit. Les radios des membres montrent une fracture fémorale diaphysaire simple à droite, avec un trait de fracture situé dans les 2/4 moyens. Le lendemain, alors que le réveil s'est bien passé et que le patient est stabilisé, son état neurologique se dégrade et il présente un tabeau de détresse respiratoire aiguë accompagnée d'une fièvre et de pétéchies sur la peau. Quelle complication est à évoquer en priorité devant ce tableau?
Embolie graisseuse
Thrombose veineuse profonde
Syndrome des loges
Syndrome de Sudeck-Leriche
Gangrène gazeuse
Tétanos
De garde en réanimation-chirurgicale, vous recevez en début d'après-midi un patient de 27 ans héliporté par le SMUR suite à un AVP en moto. Il a percuté une voiture de face en se déportant dans un virage. Il a un trauma au niveau du membre inférieur droit et l'équipe du SMUR l'a transporté avec une attelle de Donway. Les radios des membres montrent une fracture fémorale diaphysaire simple à droite, avec un trait de fracture situé dans les 2/4 moyens. Quel est le type de fracture est le plus probable chez ce patient ?
Trait de fracture transversal
Trait de fracture spiroïde
Fracture comminutive
Fracture à « double étage »
Fracture par compression
Fracture engrenée
De garde en réanimation-chirurgicale, vous recevez en début d'après-midi un patient de 27 ans héliporté par le SMUR suite à un AVP en moto. Il a percuté une voiture de face en se déportant dans un virage. Il a un trauma au niveau du membre inférieur droit et l'équipe du SMUR l'a transporté avec une attelle de Donway. Les radios des membres montrent une fracture fémorale diaphysaire simple à droite, avec un trait de fracture situé dans les 2/4 moyens. Quel est le traitement le plus approprié pour sa fracture ?
Enclouage centro-médullaire à foyer fermé
Enclouage élastique selon la technique de Métaizeau
Enclouage verrouillé ou claveté
Ostéosynthèse par plaque
Fixateur externe
Mme B. Vous consulte en cabinet pour l’apparition chronique de lésions cutanées du visage ainsi que des ulcérations buccales. Vous pensez à un Lupus érythémateux disséminé Parmi les résultats suivants, lequel sera le plus spécifique pour faire le diagnostic ?
Positivité des Ac anti ADN natif
Positivité des Ac anti nucléaires
Positivité des Ac anti histones
Positivité des Ac anti RNP
Positivité de la CRP
Vous recevez en urgence au bloc un patient pour AVP. Sa remorque lui a comprimé les membres inferieurs pendant 6h environ et a provoqué 1 fracture tibiale gauche ouverte. Un garrot est mis en place par l'urgentiste à H0. Le patient vomit pendant l'intubation en séquence rapide. Vous pensez prévenir une possible pneumopathie d'inhalation. Quel antibiotique est le plus approprié ?
Augmentin
Augmentin + Métronidazole
Tazocilline
Cefepime
Ceftriaxone
Amoxicilline
Vous recevez en urgence au bloc un patient pour AVP. Sa remorque lui a comprimé les membres inferieurs pendant 6h environ et a provoqué 1 fracture tibiale gauche ouverte. Un garrot est mis en place par l'urgentiste à H0. Il présente soudain une tachycardie ventriculaire sans pouls. Vous venez d'effectuer 3 chocs éléctrique externes, sans évolution favorable. Quelle est la suite de la prise en charge la plus appropriée ?
300 mg cordarone
Sulfate de magnésium
Coup de poing sternal
150mg cordarone
Atropine 1mg
Vous êtes anésthesiste au bloc opératoire, pendant la prise en charge d’une patiente de 34 SA avec mise en place de péridurale. Elle présente soudain un passage en FV. Quelle est la suite de la prise en charge la plus appropriée ?
CEE biphasique 150j
Hypothermie thérapeutique précoce
Mise en décubitus latéral gauche
Corticothérapie foetale
Glucagon 1mg
 
Une femme de 29ans présente une angine aiguë. Le test de diagnostic rapide pour la détection du streptocoque du groupe A est positif. Elle n'a pas d'antécédent particulier ni d'allergie. Quel est le traitement de référence pour cette angine ?
Amoxicilline 1g 2 fois/jour pendant 6 jours
Azithromycine 200mg/jour pendant 3 jours
Cefpodoxime-proxétil 100mg 2 fois/jour pendant 5 jours
Cefpodoxime-proxétil 8mg 2 fois/jour pendant 5 jours
Amoxicilline 50mg 2 fois/jour pendant 6 jours
Ofloxacine 200mg 2 fois/jour pendant 5 jours
Un patient de 35ans, traité pour une infection pulmonaire à Chlamydia pneumoniae par un macrolide, est admis aux urgences à la suite d'un malaise survenu à son domicile. Il a fait un surdosage par erreur et a pris 3 fois la dose recommandée. Quelle anomalie ECG est la plus probable ?
Allongement du QT
Tachycardie sinusale
Bloc auriculo-ventriculaire
Bradycardie sinusale
Fibrillation atriale
Un patient de 85ans vous consulte pour une éruption cutanée érythémateuse apparue sur tout le corps depuis ce matin avec apparition de pustules quelques heures après. Il présente une fièvre à 38,9°C. Ses antécédents sont: hypertension artérielle, diabète de type 2, dyslipidémie. Il est sous metformine 850mg x2/j, atorvastatine 10mg/j, amlodipine 10mg/j. Son médecin lui a prescrit du gliclazide il y a 1 mois car son diabète était mal équilibré. Son traitement antihypertenseur a été majoré avec adjonction de périndopril il y a 10 jours et il est traité par pristinamycine pour une érysipèle depuis 2 jours. Quelle molécule est suspectée pour cet exanthème dans l'hypothèse d'une toxidermie ?
Pristinamycine
Metformine
Gliclazide
Amlodipine
Perindopril
Atorvastatine
Un enfant de 5ans présente une infection à Mycoplasme dont l'antibiogramme est le suivant: sensible à la tétracycline, sensible à la ciprofloxacine, intermédiaire à l'ofloxacine, intermédiaire à la rifampicine, résistant à l'érythromycine. Quel antibiotique est le plus approprié pour ce patient ?
Ciprofloxacine
Tétracycline
Ofloxacine
Rifampicine
Erythromycine
Vous recevez la famille d'un enfant de 7ans qui a présenté une méningite à méningocoque. Quel traitement antibiotique est le plus approprié pour les membres de sa famille ?
Rifampicine
Pénicilline G
Tétracycline
Vancomycine
Métronidazole
Fosfomycine
Ofloxacine
Gentamycine
Une femme de 23 ans présente pour la première fois des brulures mictionnelles. Elle n'a pas d'antécédent particulier ni d'allergie. Quel est votre traitement de 1ère intention ?
Fosfomycine trométamol en prise unique
Fluoroquinolone en prise unique
Nitrofurantoïne pendant 5 jours
Sulfaméthoxazole - triméthoprime pendant 5 jours
Fluoroquinolone pendant 3 jours
Céfixime pendant 5 jours
Vous recevez une patiente de 23 ans présentant une pyélonéphrite aiguë simple. Elle a eu une cystite traitée par ofloxacine il y a 6 semaines. Elle n’a pas d’autre antécédent connu. Quel est votre choix d'antibiothérapie probabiliste ?
Céphalosporine de 3ème génération intraveineuse
Céphalosporine de 3ème génération orale
Sulfaméthoxazole - triméthoprime par voie intraveineuse
Fosfomycine trométamol par voie orale
Fluoroquinolone par voie orale
Nitrofurantoïne par voie orale
Pénicilline par voie intraveineuse
Vous recevez une patiente de 23 ans présentant une pyélonéphrite aiguë simple. Elle a eu une cystite traitée par ofloxacine il y a 6 semaines. Elle n’a pas d’autre antécédent connu. Vous mettez en place un traitement par Céphalosporine puis un relai par antibiothérapie orale. Quelle est la durée du traitement la plus appropriée si l'évolution est favorable ?
10 à 14 jours
5 à 7 jours
3 semaines
4 à 6 semaines
3 jours
Vous recevez une patiente de 23 ans présentant des infections urinaire à répétition. Il est décidé de mettre en place un traitement antibioprophylactique par sulfaméthoxazole – triméthoprime. Quel prescription est la plus appropriée pour éviter les effets secondaires de ce traitement ?
Supplémentation en acide folinique
Traitement par bicarbonate de sodium
Supplémentation en vitamine B6
Apport hydrique > 2L par jour
Supplémentation en fer
Vous recevez une patiente de 23 ans présentant des infections urinaire à répétition. Il est décidé de mettre en place un traitement antibioprophylactique par sulfaméthoxazole – triméthoprime. Douze jours après le début du traitement, elle est une éruption cutanée diffuse avec des vésicules et des bulles de petite taille, ainsi que des zones de décollement cutané limitées, recouvrant environ 5% de la surface corporelle. Quel diagnostic suspectez-vous ?
Syndrome de Stevens-Johnson
Erythème pigmenté fixe
Pustulose exanthématique aiguë généralisée
Syndrome de Lyell
DRESS syndrome
Urticaire
Eczéma
Un patient de 41 ans vous consulte pour un lumbago. Vous décidez de prescrire de l'ibuprofène comme anti-inflammatoire non stéroïdien pour traiter ses lombalgies. Quelle est la posologie la plus appropriée ?
400mg x3/jour
50mg/jour en 1 prise
200mg x3/jour
400mg/jour en 1 prise
1g x3/jour
50mg x3/jour
Vous recevez un patient présentant des lombalgies. Vous décidez de prescrire un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS). Quelle information l’interrogatoire recherchez-vous qui nécessite l’association d'un inhibiteur de la pompe à protons ?
Prise d’antiagrégant plaquettaire
Hypertension artérielle non contrôlée
Insuffisance rénale chronique
Traitement par IEC
Un patient traité par AINS présente une insuffisance rénale aiguë avec un profil fonctionnel. Quel mécanisme physiopathologique est le plus probable ?
Vasoconstriction de l'artériole afférente
Vasoconstriction de l'artériole efférente
Vasodilatation de l'artériole efférente
Vasodilatation de l'artériole afférente
Une femme de 38ans, primipare, présente une menace d'accouchement prématuré. Quelle molécule est la plus appropriée pour la maturation pulmonaire fœtale ?
Bétaméthasone
Acide tiaprofénique
Prednisone
Méthylprednisolone
Ibuprofène
Triamcinolone
Hydrocortisone
Kétoprofène
Une femme enceinte de 35 semaines d'aménorrhée présente des lombalgies. Quel est le principal risque cardiaque pour le fœtus si une prescription d'AINS est effectuée chez cette femme enceinte ?
Fermeture prématurée du canal artériel
Cardiomyopathie hypertrophique
Tachycardie sinusale fœtale
Bloc auriculo-ventriculaire
Communication inter-atriale
Aucun risque foetal
Une patiente de 84 ans est mise sous corticothérapie pour une maladie de Horton révélée par une neuropathie optique ischémique antérieure aiguë de l'œil gauche. Elle a eu des bolus intraveineux de corticoïdes pendant 3 jours. Vous débutez une corticothérapie orale.Quelle prescription est la plus appropriée ?
Prednisone 1mg/kg/jour
Prednisone 10mg/kg/jour
Prednisone 100mg/kg/jour
Prednisone 1g/kg/jour
Prednisone 10mg/jour
Prednisone 1g/jour
Prednisone 1mg/jour
Une patiente de 84 ans est mise sous corticothérapie pour une maladie de Horton révélée par une neuropathie optique ischémique antérieure aiguë de l'œil gauche. Elle a eu des bolus intraveineux de corticoïdes pendant 3 jours. Vous débutez une corticothérapie orale. Quelle supplémentation est la plus appropriée dans ce cas ?
Potassium
Bicarbonate de sodium
Oméga 6
L-thyroxine
Fluor
NaCl
Une patiente de 84 ans est mise sous corticothérapie au long cours pour une maladie de Horton La patiente a comme antécédents ophtalmologiques une chirurgie de la cataracte des 2 yeux. A quel autre complication est la plus exposée la patiente en raison du traitement?
Glaucome chronique
Occlusion de la veine centrale de la rétine
Crise aiguë de fermeture de l'angle
Migraine avec aura ophtalmique
Occlusion de l'artère centrale de la rétine
Décollement de rétine
Œdème papillaire
Une patiente de 84 ans est mise sous corticothérapie au long cours pour une maladie de Horton. Une ostéodensitométrie est réalisée, le T-score est à -1,7 au niveau de la hanche et -1,6 au niveau du rachis L2-L4. La patiente est déjà supplémentée en vitamine D et a des apports calciques suffisants. Elle n'a jamais eu de fracture. Quelle prise en charge est la plus appropriée?
Instauration d'un traitement par bisphosphonate
Instauration d'un traitement hormonal substitutif de la ménopause
Instauration d'un traitement par ranélate de strontium
Instauration d'un traitement par raloxifène
Instauration d'un traitement par tériparatide
Une patiente de 84 ans est depuis longtemps traitée par corticothérapie au long cours pour une maladie de Horton. Peu compliante, elle vous annonce son souhait d’interrompre brutalement son traitement par corticoïdes. A quel risque est la plus exposée la patiente dans ce cas ?
Insuffisance surrénale aiguë
Décompensation acido-cétosique
Décompensation œdémato-ascitique
Ulcère gastro-duodénal
Syndrome de Cushing
Insuffisance thyréotrope
Crise aiguë hypertensive
Risque infectieux
Une patiente de 88ans a une hypertension artérielle récemment découverte et traitée par hydrochlorothiazide. A quelle association d'effets indésirables la patiente est le plus à risque ?
Hypokaliémie, hyponatrémie, hyperuricémie
Hypokaliémie, hypernatrémie, hyperuricémie
Hyperkaliémie, hypernatrémie, hyperuricémie
Hyperkaliémie, hyponatrémie, hyperuricémie
Vous décidez de traiter l'hypertension artérielle d'un patient de 67 ans par un antagoniste calcique. Quel est l'effet secondaire le plus probable chez ce patient ?
Œdèmes
Crises de goutte
Hyperkaliémie
Asthme
Toux
Hyperglycémie
Gynécomastie
Vous devez traiter une hypertension artérielle secondaire chez une patiente de 49ans chez qui un bilan a retrouvé une hyperplasie bilatérale des surrénales. Quel traitement antihypertenseur est à privilégier dans cette situation ?
Spironolactone
Bisoprolol
Hydrochlorothiazide
Ramipril
Amlodipine
Furosémide
Suite à la constation de plusieurs mesures de la pression artérielle élevées lors de consultations répétées, vous avez décidé de prescrire une mesure ambulatoire de la pression artérielle (MAPA) à votre patient de 68 ans. Le bilan que vous avez réalisé est en faveur d'une HTA essentielle. Vous décidez de prescrire un inhibiteur de l'enzyme de conversion en monothérapie. A quel risque le patient est il le plus probablement exposé ?
Hyperkaliémie
Hypercalcémie
Hyperuricémie
Hyperchlorémie
Hypokaliémie
Hypocalcémie
Hypophosphatémie
Hypochlorémie
Suite à la constation de plusieurs mesures de la pression artérielle élevées lors de consultations répétées, vous avez décidé de prescrire une mesure ambulatoire de la pression artérielle (MAPA) à votre patient de 68 ans. Le bilan que vous avez réalisé est en faveur d'une HTA essentielle. Vous décidez de prescrire un inhibiteur de l'enzyme de conversion en monothérapie. A quel effets secondaire le patient est il le plus probablement exposé ?
Toux
Aggravation d'un syndrome de Raynaud
Agranulocytose immuno-allergique
Crises de goutte
Hyponatrémie
Gynécomastie
Suite à la constation de plusieurs mesures de la pression artérielle élevées lors de consultations répétées, vous avez décidé de prescrire une mesure ambulatoire de la pression artérielle (MAPA) à votre patient de 68 ans. Le bilan que vous avez réalisé est en faveur d'une HTA essentielle. Vous décidez de prescrire un inhibiteur de l'enzyme de conversion en monothérapie. Qu’allez vous surveiller en priorité sur le bilan biologique de ce patient?
Kaliémie et créatininémie
Ionogramme sanguin et bilan hépatique
NFS-plaquettes et bilan hépatique
Créatininémie et CPK
Kaliémie et uricémie
NFS-plaquettes et kaliémie
Un patient de 73ans a présenté il y a 3 semaines un infarctus du myocarde qui a été pris en charge de façon rapide et adaptée. Vous poursuivez l'aspirine en prévention secondaire de la coronaropathie. Quelle est la prescription la plus appropriée pour la dose d'aspirine ?
75mg/jour
75mg/kg/jour
10mg/jour
500mg/kg/jour
500mg/jour
1g 3x/jour
1g/jour
10 mg/kg/jour
Un patient de 69ans a présenté un syndrome coronarien aigu il y a quelques jours. Vous mettez en place un traitement anti-aggrégant plaquettaire. Quelle est la durée est la plus appropriée pour ce traitement ?
Au moins 1 an
Au moins 5 ans
Au moins 6 mois
Au moins 3 mois
Au moins 1 mois
Au moins 15 jours
Vous prescrivez de l'héparine non fractionnée pour le traitement d'une embolie pulmonaire. Quel examen est le plus approprié pour apprécier son efficacité ?
Activité anti-Xa
Dosage des plaquettes
TCA
INR
TP
Vous recevez les résultats d’un patient traité par héparine non fractionnée (TCA cible = de 1,5N �  2,5N) : TCA > 4N. Quel est le traitement le plus approprié ?
Injection de sulfate de protamine
Transfusion de plaquettes
Injection de vitamine K
Transfusion de plasma
Vous réalisez un bilan de coagulation pré-opératoire chez un patient traité par antivitamines K au long cours. Au niveau pharmacologique, quel facteur de coagulation sera probablement normal?
Facteur V
Facteur VI
Facteur IX
Facteur X
Facteur II
Une patiente de 64 ans est admise aux urgences pour une douleur du mollet gauche d'apparition aiguë. Vous retrouvez à l'examen un oedème du mollet gauche prenant le godet et une douleur à la palpation. Elle a pour antécédents une hypertension artérielle bien équilibrée sous IEC + inhibiteur calcique. Elle porte une attelle depuis 8 jours pour une entorse de la cheville gauche. TA 120/80, pouls 110/mn, temp 38,2. Quelle est la probabilité clinique de thrombose veineuse profonde ?
Forte
Très faible
Nulle
Faible
Intermédiaire
Une patiente de 64 ans est admise aux urgences pour une douleur du mollet gauche d'apparition aiguë. Vous retrouvez à l'examen un oedème du mollet gauche prenant le godet et une douleur à la palpation. Elle a pour antécédents une hypertension artérielle bien équilibrée sous IEC + inhibiteur calcique. Elle porte une attelle depuis 8 jours pour une entorse de la cheville gauche. TA 120/80, pouls 110/mn, temp 38,2. L’échographie-doppler met en évidence une thrombose veineuse profonde distale. Quelle durée de traitement anticoagulant est la plus adaptée chez cette patiente?
6 semaines
2 ans
3 semaines
6 mois
3 mois
A vie
Vous avez reçu en traité en hospitalisation une patiente pour phélbite du membre inférieur droit : vous avez effectué un relais HBPM - AVK. La patiente vous appelle après avoir reçu le résultat de son INR qui est à 5,3. Elle est asymptomatique. Quelle prise en charge est la plus appropriée chez cette patiente ?
Saut d'une prise d'AVK et contrôle de l'INR à +24h
Arrêt des AVK, apport de 10mg de vitamine K par voie orale, administration de concentré de complexes prothrombiniques et contrôle de l'INR 30 minutes après
Arrêt des AVK, apport de 5mg de vitamine K par voie orale et contrôle de l'INR à +24h
Arrêt des AVK, apport de 1 à 2mg de vitamine K par voie orale et contrôle de l'INR à +24h
Poursuite du même traitement et contrôle de l'INR à +24h
Vous avez reçu en traité en hospitalisation une patiente pour phlébite du membre inférieur droit : vous avez effectué un relais HBPM - AVK. Une semaine plus tard, la patiente présente une épistaxis de la narine droite ayant duré 20 minutes, s'étant tarie spontanément après compression locale. Son INR est à 6,7. Quelle prise en charge est la plus appropriée chez cette patiente ?
Arrêt des AVK, apport de 1 à 2mg de vitamine K par voie orale et contrôle de l'INR à +24h
Arrêt des AVK, hospitalisation, apport de 10mg de vitamine K par voie orale, administration de concentré de complexes prothrombiniques et contrôle de l'INR 30 minutes après
Poursuite du même traitement et contrôle de l'INR à +24h
Arrêt des AVK, apport de 5mg de vitamine K par voie orale et contrôle de l'INR à +24h
Saut d'une prise d'AVK et contrôle de l'INR à +24h
Vous prescrivez du paracétamol à un enfant de 3 ans pour de la fièvre. Quelle est la prescription la plus appropriée ?
15mg/kg/6h en sirop
60mg/kg/6h en sirop
100mg/kg/6h en sirop
15mg/kg/6h en comprimé
7,5mg/kg/6h en comprimé
100mg/kg/6h en comprimé
60mg/kg/6h en comprimé
7,5mg/kg/6h en sirop
Vous hospitalisez un enfant de 6 mois pour une gastro-entérite avec vomissements abondants et déshydratation. Quelle est la prescription de paracétamol par voie intraveineuse la plus appropriée ?
7,5mg/kg/6h
60mg/kg/6h
60mg/kg/6h
60mg/kg/6h
100mg/kg/6h
50mg/kg/6h
15mg/kg/6h
Un enfant de 4 ans est amené aux urgences par ses parents pour une intoxication au paracétamol. L'enfant a échappé à la surveillance et a bu la fin d'un flacon de paracétamol qui était resté sur une table. Quelle est la prescription la plus appropriée comme antidote ?
N-acétyl-cystéine
Sulfate de protamine
Oxygénothérapie hyperbarre
PPSB
Flumazénil
Naloxone
Hydroxocobalamine
Vous décidez de prescrire du tramadol chez un patient de 36ans présentant des douleurs post-opératoires non soulagées par du paracétamol. Quelle est la prescription la plus appropriée ?
50mg toutes les 6h
200mg toutes les 6h
500mg toutes les 6h
5mg toutes les 6h
Vous décidez de faire un relais intraveineux pour une prescription de morphine chez un patient traité pour des douleurs chroniques résistantes aux autres classes d'antalgiques, qui était équilibré avec 60mg/j de morphine par voie orale. Il ne peut plus prendre ses médicaments per os en raison de vomissements. Quelle est la prescription la plus appropriée pour la dose totale quotidienne de morphine par voie intraveineuse ?
20mg/j
10mg/j
30mg/j
5mg/j
120mg/j
60mg/j
Vous prenez en charge dans votre service d'oncologie un patient de 71 ans atteint d'un cancer de la prostate métastatique au niveau osseux. Il signale des douleurs lombaires évaluées à EN = 3/10 malgré la prise de paracétamol. Vous décidez de la prescription de tramadol LP par voie orale. Quelle posologie est la plus adaptée en première intention ?
100 mg toutes les 12h
1g toutes les 12h
0,1 mg/kg toutes les 12h
5 mg toutes les 4h
15 mg toutes les 12h
100 mg toutes les 4h
15mg toutes les 6h
1g toutes les 6h
Vous prenez en charge dans votre service d'oncologie un patient de 71 ans atteint d'un cancer de la prostate métastatique au niveau osseux. Il signale des douleurs lombaires évaluées à EN = 3/10 malgré la prise de paracétamol. Vous décidez de la prescription de tramadol LP par voie orale. A quel risque est le plus probablement exposé ce patient en raison de ce traitement?
Vertiges
Rétention aiguë d'urine
Cytolyse hépatique
Diarrhée
Tachycardie
Vous prenez en charge dans votre service d'oncologie un patient de 71 ans atteint d'un cancer de la prostate métastatique au niveau osseux, avec une fracture vertébrale de T10 à l'origine de douleurs importantes non soulagées par les antalgiques usuels. Vous décidez d'initier un traitement par morphine par voie intraveineuse. Quelle posologie est la plus adaptée en première intention ?
Chlorhydrate de morphine 0,1 mg/kg
Sulfate de morphine 0,01 mg/kg
Sulfate de morphine 0,1 mg/kg
Chlorhydrate de morphine 0,01 mg/kg
Chlorhydrate de morphine 10 mg/kg
Chlorhydrate de morphine 1mg/kg
Sulfate de morphine 10 mg/kg
Sulfate de morphine 1 mg/kg
Vous prenez en charge dans votre service d'oncologie un patient de 71 ans atteint d'un cancer de la prostate métastatique au niveau osseux, avec une fracture vertébrale de T10 à l'origine de douleurs importantes non soulagées par les antalgiques usuels. Vous décidez d'initier un traitement par morphine par voie intraveineuse. Quelle posologie des bolus est la plus appropriée lors de la titration ?
2 mg toutes les 5 minutes
0,2 mg toutes les heures 0,5 mg toutes les heures
0,05 mg toutes les heures
2 mg toutes les heures
0,5 mg toutes les 5 minutes
0,2 mg toutes les 5 minutes
0,05 mg toutes les 5 minutes
Vous vous occupez en salle de naissance d'une patiente de 39 ans, G3P2. Le déroulement de la grossesse est marqué par un diabète gestationnel sous insuline bien équilibré. L'échographie du 3ème trimestre retrouve un fœtus > 95 ème percentile ainsi qu'un hydramnios. A l'arrivée aux urgences la hauteur utérine est �  37cm, la patiente contracte douloureusement toutes les 3 minutes. La dilatation cervicale est rapide après rupture spontanée des membranes. L'accouchement se déroule normalement en occipito-pubien donnant naissance �  un enfant de sexe masculin pesant 4250 grammes. La délivrance dirigée a lieu dans les 10 minutes. Il existe un filet de sang persistant. Quel volume minimal de sang serait en faveur du diagnostic d’hémorragie du post partum sévère?
1000 cc
1500 cc
750 cc
500 cc
Vous vous occupez en salle de naissance d'une patiente de 39 ans, G3P2. Le déroulement de la grossesse est marqué par un diabète gestationnel sous insuline bien équilibré. L'échographie du 3ème trimestre retrouve un fœtus > 95 ème percentile ainsi qu'un hydramnios. A l'arrivée aux urgences la hauteur utérine est �  37cm, la patiente contracte douloureusement toutes les 3 minutes. La dilatation cervicale est rapide après rupture spontanée des membranes. L'accouchement se déroule normalement en occipito-pubien donnant naissance �  un enfant de sexe masculin pesant 4250 grammes. La délivrance dirigée a lieu dans les 10 minutes. Il existe un filet de sang persistant. L'équipe de garde est appelée, les anesthésistes commencent la réanimation. Vous posez une sonde urinaire �  demeure. Quel est son objectif principal?
Permettre une meilleure rétraction utérine
Voir si les urines deviennent hématiques
Prévenir une obstruction
Evaluer la diurèse
Eviter le caillotage
Vous vous occupez en salle de naissance d'une patiente de 39 ans, G3P2. Le déroulement de la grossesse est marqué par un diabète gestationnel sous insuline bien équilibré. L'échographie du 3ème trimestre retrouve un fœtus > 95 ème percentile ainsi qu'un hydramnios. A l'arrivée aux urgences la hauteur utérine est �  37cm, la patiente contracte douloureusement toutes les 3 minutes. La dilatation cervicale est rapide après rupture spontanée des membranes. L'accouchement se déroule normalement en occipito-pubien donnant naissance �  un enfant de sexe masculin pesant 4250 grammes. La délivrance dirigée a lieu dans les 10 minutes. Il existe un filet de sang persistant. Dans ce contexte, quelle est la cause la plus probable de l'hémorragie?
Atonie utérine
Plaie de la filière génitale
Travail rapide
Rétention placentaire
Vous vous occupez en salle de naissance d'une patiente de 39 ans, G3P2. Le déroulement de la de l’accouchement est sans complication, la délivrance dirigée a lieu dans les 10 minutes. Il existe cepedant un filet de sang persistant, vous faisant poser le diagnostic d’hémorragie du post partum. Un traitement par ocytocine est mis en place avec massage utérin. 15 minutes plus tard, le saignement persiste. Quel traitement est le plus approprié ?
Sulprostone
Acide traxénamique
Carbétocine
Methylergométrine
Atosiban
Vous voyez lors de votre visite en suite de couches une femme de 29 ans qui a accouché à terme d'un garçon de 3500 grammes. A J3 post-partum, votre patiente est fébrile à 38°5 et présente une mastodynie. Quel diagnostic est le plus probable ?
Montée laiteuse
Engorgement mammaire
Abcès mammaire
Lymphangite
Galactophorite
Vous voyez lors de votre visite en suite de couches une femme de 29 ans qui a accouché à terme d'un garçon de 3500 grammes. Votre patiente a accouché par forceps. A J2, son bilan montre une hémoglobine à 8,6 g/dL, GB = 12 200/mm3 et la patiente se plaint d'une douleur côtée à 9/10 au niveau de la cicatrice d'épisiotomie. Quel diagnostic est le plus probable?
Thrombus vaginal
Infection au niveau de la suture de l'épisiotomie
Lésion nerveuse du périnée
Phlébite pelvienne
Endométrite
Vous voyez lors de votre visite en suite de couches une femme de 29 ans qui a accouché à terme d'un garçon de 3500 grammes. A J5, elle présente une mastodynie droite, un placard inflammatoire avec 39° de fièvre, signe de Budin négatif. Quel est le diagnostic le plus probable?
Mastite
Engorgement mammaire
Abcès du sein
Galactophorite
Lymphangite
Vous voyez lors de votre visite en suite de couches une femme de 29 ans qui a accouché à terme d'un garçon de 3500 grammes. A J5, elle présente une mastodynie droite, un placard inflammatoire avec 39° de fièvre. Quelle est la prochaine étape la plus utile pour votre diagnostic ?
Recherche de pus dans le lait
Traitement antibiotique probabiliste
Test par AINS
Palpation mammaire
Vous voyez lors de votre visite en suite de couches une femme de 29 ans qui a accouché à terme d'un garçon de 3500 grammes. A J3 vous retrouvez votre patiente en train de pleurer, anxieuse, elle a peur de ne pas savoir s'occuper de son enfant. Vous la trouvez extrêmement irritable. Quel diagnostic est le plus probable?
Post-partum blues
Dépression du post-partum
Episode dépressif majeur
Trouble bipolaire débutant
Vous voyez aux urgences Mme B. 37 ans pour métrorragies intermittentes de faible abondance. C’est la première fois qu’elle présente ce symptome, et n’a aucun antécédent. L’examen clinique est sans autre particularités. TA 120/80, pouls 70/mn, temp 37,2. Quel examen est le plus approprié en première intention ?
BHCG
Echographie pelvienne
Bilan d'hémostase
Hémocue
NFS
Vous voyez aux urgences Mme B. 37 ans pour métrorragies intermittentes de faible abondance. C’est la première fois qu’elle présente ce symptome, et n’a aucun antécédent. L’examen clinique est sans autre particularités. TA 120/80, pouls 70/mn, temp 37,2. L’échographie retrouve un fibrome. Quelle est la localisation la plus probable de ce fibrome ?
Intracavitaire
Intramural
Sus muqueux
Sous séreux
Vous voyez aux urgences Mme B. 37 ans pour métrorragies intermittentes de faible abondance. C’est la première fois qu’elle présente ce symptome, et n’a aucun antécédent. L’examen clinique est sans autre particularités. TA 120/80, pouls 70/mn, temp 37,2. L’échographie retrouve un fibrome. Quelle est la physiopathologie la plus probable de ce saignement ?
Origine mécanique
Origine fonctionnelle
Origine tumorale
Origine obstétricale
Vous voyez aux urgences Mme B. 37 ans pour métrorragies intermittentes de faible abondance. C’est la première fois qu’elle présente ce symptome, et n’a aucun antécédent. L’examen clinique est sans autre particularités. TA 120/80, pouls 70/mn, temp 37,2. L’échographie retrouve un endomètre à 25 mm sans fibrome, les BHCG sont négatifs. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Hypertrophie endométriale
Hyperplasie endométriale
Adénomyose
Cancer de l'endomètre
Vous voyez aux urgences Mme B. 37 ans pour métrorragies intermittentes de faible abondance. C’est la première fois qu’elle présente ce symptome, et n’a aucun antécédent. L’examen clinique est sans autre particularités. TA 120/80, pouls 70/mn, temp 37,2. L’échographie retrouve des Fibromes. Quel traitement chirurgical est le plus adapté dans ce cas ?
Résection de myome par hystéroscopie
Polymyomectomie par laparotomie
Polymyomectomie par coelioscopie
Hystéroscopie diagnostique
Vous recevez une patiente de 55 ans, ménopausée depuis 4 ans, que vous suivez régulièrement pour des fibromes responsables par le passé de metrorragies. Votre prise en charge chirugicale il y a 6 ans avait définitivement stoppé le metrorragies. Elle consulte car elle présente de nouveau un épisode de métrorragies. Quel examen est le plus approprié en première intention ?
Biopsie d'endomètre
Hystéroscopie diagnostique
Hystéroscopie opératoire
Frottis cervico-utérin
 
Vous voyez une patiente de 37 ans enceinte à 13 SA. Elle est G6P2 : 3 fausses couches spontanées, 2 césariennes. Dans ses antécédents on note un lupus érythémateux disséminé ainsi qu'un syndrome de Gougerot-Sjögren. La biologie montre : AC anti-nucléaires +, Anticardiolipides +, Anti-SSA+, Anti-SSB + Quelle atteinte d'organe secondaire au lupus recherchez-vous qui CONTRE-INDIQUERAIT la grossesse?
Rénale
Dermatologiques
Osseuse
Hépatique
Ophtalmique
Vous voyez une patiente de 37 ans enceinte à 13 SA. Elle est G6P2 : 3 fausses couches spontanées, 2 césariennes. Dans ses antécédents on note un lupus érythémateux disséminé ainsi qu'un syndrome de Gougerot-Sjögren. La biologie montre : AC anti-nucléaires +, Anticardiolipides +, Anti-SSA+, Anti-SSB + Quel suivi effectuez vous en priorité dans ce cas?
Echographie cardiaque fœtale
Surveillance ophtalmologique chez la mère
Surveillance à chaque consultation de la pression artérielle
Surveillance dermatologique
Dépistage du diabète gestationnel
Vous voyez une patiente de 37 ans enceinte à 13 SA. Elle est G6P2 : 3 fausses couches spontanées, 2 césariennes. Dans ses antécédents on note un lupus érythémateux disséminé ainsi qu'un syndrome de Gougerot-Sjögren. A 22 SA le fœtus est au 9 ème percentile. La vitalité fœtale est bonne, le doppler ombilical est normal, il existe des notchs au niveau des dopplers utérins. Quel est la cause la plus probable du retard de croissance intra utérin dans ce cas?
Vasculaire
Génétique
Infectieuse
Iatrogène
Endocrinien
Vous recevez en consultation aux urgences ophtalmologiques un patient de 78ans pour baisse d'acuité visuelle brutale de l'œil gauche. Il a pour antécédents une hypertension artérielle, un diabète de type 2 (dernière HbA1c 6,8%) et une hypercholestérolémie. L'examen du segment antérieur est normal, en dehors de la présence d'une cataracte cotico-nucléaire débutante. Le fond d'œil retrouve une tortuosité veineuse rétinienne associée à des hémorragies en flammèche et des nodules cotonneux dans les 4 quadrants. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Occlusion de la veine centrale de la rétine
Neuropathie optique ischémique antérieure aiguë
Occlusion de l'artère centrale de la rétine
Névrite optique rétrobulbaire
Uvéite postérieure
Rétinopathie diabétique
Vous examinez un patient présentant une pan-uvéite de l'œil droit liée à une sarcoïdose. Le fond d'œil est mal visible en raison d'une hyalite cotée 3+. Au niveau physiopathologique, dans quelle région de l'œil se trouvent les cellules inflammatoires dans une hyalite ?
Vitré
Choroïde
Chambre antérieure
Chambre postérieure
Rétine
Vous examinez un patient de 75ans pour baisse d'acuité visuelle brutale. Vous concluez à une neuropathie optique ischémique antérieure aiguë. Quelle en est la cause la plus fréquente ?
Maladie de Horton
Artériosclérose
Sclérose en plaques
Herpès
Médicamenteuse
Vous recevez en consultation d'urgence une femme de 34ans pour baisse d'acuité visuelle rapidement progressive. Vous concluez à une névrite optique. Quelle diagnostic étiologique est le plus probable?
Sclérose en plaques
Alcool
Sarcoïdose
Médicamenteuse
Spondylarthrite ankylosante
Maladie de Crohn
Vous voyez en consultation aux urgences ophtalmologiques Mr B., 74 ans, pour baisse de vision de l'œil gauche apparue de façon brutale il y a 2 jours. Il s'est fait opéré de la cataracte de l'œil droit il y a 7 mois et de l'œil gauche il y a 6 mois. Il décrit un épisode de phosphènes il y a 5 jours. L'acuité visuelle avec correction est à 9/10ème P2 à droite, 3/10ème P7 à gauche. Quelle est le diagnostic le plus probable ?
Décollement de rétine
DMLA atrophique
Glaucome aigu par fermeture de l'angle
Cataracte secondaire
Uvéite intermédiaire
Vous voyez en consultation aux urgences ophtalmologiques Mr B., 74 ans, pour baisse de vision de l'œil gauche apparue de façon brutale il y a 2 jours. Il s'est fait opéré de la cataracte de l'œil droit il y a 7 mois et de l'œil gauche il y a 6 mois. Il décrit un épisode de phosphènes il y a 5 jours. L'acuité visuelle avec correction est à 9/10ème P2 à droite, 3/10ème P7 à gauche. Vous évoquez le diagnostic de décollement de rétine. Quel facteur de risque serait le plus en faveur de ce diagnostic ?
Myopie
Hypermétropie
Astigmatisme
Presbytie
Vous voyez en consultation aux urgences ophtalmologiques Mr B., 74 ans, pour baisse de vision de l'œil gauche apparue de façon brutale il y a 2 jours. Il s'est fait opéré de la cataracte de l'œil droit il y a 7 mois et de l'œil gauche il y a 6 mois. Il décrit un épisode de phosphènes il y a 5 jours. L'acuité visuelle avec correction est à 9/10ème P2 à droite, 3/10ème P7 à gauche. Vous évoquez le diagnostic de décollement de rétine. Quel examen est le plus approprié dans la suite de la prise en charge?
Fond d'œil au verre à 3 miroirs
OCT (Tomographie en Cohérence Optique)
Angiographie rétinienne à la fluorescéine
Ponction de chambre antérieure
Angiographie rétinienne à la fluorescéine
Aucun examen n'est nécessaire avant le traitement
Prise de la pression intraoculaire
Vous voyez en consultation aux urgences ophtalmologiques Mr B., 74 ans, pour baisse de vision de l'œil gauche apparue de façon brutale il y a 2 jours. Il s'est fait opéré de la cataracte de l'œil droit il y a 7 mois et de l'œil gauche il y a 6 mois. Il décrit un épisode de phosphènes il y a 5 jours. L'acuité visuelle avec correction est à 9/10ème P2 à droite, 3/10ème P7 à gauche. Vous évoquez le diagnostic de décollement de rétine. Quel thérapie est la plus adaptée ?
Prise en charge chirurgicale
Collyre hypotonisant
Injection intravitréenne d'anti-VEGF
Corticothérapie locale
Traitement par laser YAG
Vous voyez en consultation aux urgences ophtalmologiques Mr B., 74 ans, pour baisse de vision de l'œil gauche apparue de façon brutale il y a 2 jours. Il s'est fait opéré de la cataracte de l'œil droit il y a 7 mois et de l'œil gauche il y a 6 mois. Il décrit un épisode de phosphènes il y a 5 jours. L'acuité visuelle avec correction est à 9/10ème P2 à droite, 3/10ème P7 à gauche. Vous évoquez le diagnostic de décollement de rétine. Quelle est la cause la plus probable des phosphènes chez ce patient ?
Survenue de la déchirure rétinienne
Néovaisseaux maculaires
Soulèvement de la rétine périphérique
Réaction inflammatoire vitréenne
Soulèvement de la macula
Hypertonie oculaire
Vous recevez aux urgences ophtalmologiques une patiente de 48ans pour une rougeur oculaire de l'œil droit associée à des douleurs oculaires profondes importantes, d'apparition brutale. Elle a pour antécédents une thyroïdite de Hashimoto substituée par L-thyroxine depuis 6 mois, un syndrome dépressif majeur traité depuis 15 jours par clomipramine et une intolérance au glucose. L'acuité visuelle avec sa correction (OD: +2,50 add +1, OG: +2,25 add +1) est à 2/10 P6 à droite et 10/10 P2 à gauche. Elle signale également des nausées. L'examen à la lampe à fente retrouve un oedème cornéen, une chambre antérieure étroite ainsi qu'une rougeur conjonctivale diffuse. Quelle hypothèse diagnostique est la plus probable ?
Crise aiguë de fermeture de l'angle
Glaucome néovasculaire
Kératite herpétique
Uvéite antérieure aiguë
Abcès de cornée bactérien
Sclérite
Kératoconjonctivite à adénovirus
Conjonctivite allergique
Vous recevez aux urgences ophtalmologiques une patiente de 48ans pour une rougeur oculaire de l'œil droit associée à des douleurs oculaires profondes importantes, d'apparition brutale. L'acuité visuelle avec sa correction (OD: +2,50 add +1, OG: +2,25 add +1) est à 2/10 P6 à droite et 10/10 P2 à gauche. Elle signale également des nausées : vous posez le diagnostic de crise aigue de glaucome par fermeture de l’angle. Quel signe clinique serait le plus en faveur de ce diagnostic ?
Semi-mydriase aréflectique à droite, pupille normale à gauche
Mydriase complète à droite, pupille normale à gauche
Myosis à droite, pupille normale à gauche
Pupilles en myosis serré
Pupilles en mydriase complète
Pupilles isocores isoréactives
Pupillie droite en semi-mydriase aréflectique, pupille gauche en myosis serré aréflectique
Pupille droite en myosis, pupille gauche en semi-mydriase aréflectique
Vous recevez aux urgences ophtalmologiques une patiente de 48ans pour une rougeur oculaire de l'œil droit associée à des douleurs oculaires profondes importantes, d'apparition brutale. L'acuité visuelle avec sa correction (OD: +2,50 add +1, OG: +2,25 add +1) est à 2/10 P6 à droite et 10/10 P2 à gauche. Elle signale également des nausées : vous posez le diagnostic de crise aigue de glaucome par fermeture de l’angle. Quelle est la prise en charge la plus appropriée ?
Collyres hypotonisants + inhibiteur de l'anhydrase carbonique par voie intraveineuse
Injections intravitréennes d'antibiotiques et collyres antibiotiques fortifiés
Corticothérapie locale en collyr (dexaméthasone) + atropine
Collyres hypotonisants seuls
Corticothérapie par voie intraveineuse en bolus et locale
Collyre antihistaminique et antidégranulant mastocytaire
Aciclovir par voie orale et locale
Collyre antiseptique
Vous recevez aux urgences ophtalmologiques une patiente de 48ans pour une rougeur oculaire de l'œil droit associée à des douleurs oculaires profondes importantes, d'apparition brutale. L'acuité visuelle avec sa correction (OD: +2,50 add +1, OG: +2,25 add +1) est à 2/10 P6 à droite et 10/10 P2 à gauche. Elle signale également des nausées : vous posez le diagnostic de crise aigue de glaucome par fermeture de l’angle, et votre prise en charge initiale est efficace. Quelle prise en charge est la plus appropriée sur l’œil controlatéral (= «œil adelphe ») ?
Collyre myotique + iridotomie périphérique au laser YAG
Collyre mydriatique + iridotomie périphérique au laser YAG
Collyre antibiotique à large spectre
Iridotomie périphérique au laser YAG seule
Corticothérapie locale + collyre mydriatique
Corticothérapie locale + collyre myotique
Corticothérapie locale
Collyre antiseptique
Vous examinez un patient aux urgences ophtalmologiques qui présente on une rougeur conjonctivale en secteur associée à des douleurs oculaires sans baisse d'acuité visuelle. Quelle hypothèse diagnostique est la plus probable ?
Episclérite
Uvéite antérieure aiguë
Conjonctivite
Kératite
Crise aiguë de fermeture de l'angle
Vous examinez un patient qui présente une kératite ponctuée superficielle. Il y a une notion de contage. Quel agent infectieux est le probablement responsable ?
Adénovirus
Herpès
Streptocoque
Chlamydia trachomatis
Staphylocoque
Vous recevez une patiente pour œil rouge et douloureux. Dans quelle situation est-il recommandé de rechercher une maladie de système dès le 1er épisode ?
Sclérite
Crise aiguë de fermeture de l'angle
Episclérite
Conjonctivite papillaire
Kératite
Conjonctivite folliculaire
Vous examinez un patient pour baisse d'acuité visuelle. L'examen de la cornée retrouve des ulcérations cornéennes dendritiques. Quel agent infectieux est le probablement responsable ?
Herpès
Chlamydia trachomatis
Streptocoque
Adénovirus
Vous recevez un patient de 76ans qui présente un œil rouge et douloureux en post-opératoire d'une chirurgie de la cataracte survenue il y a 4 jours. Quel est le diagnostic est à évoquer en priorité ?
Endophtalmie
Sclérite
Kératite amibienne
Kératite bactérienne
Conjonctivite bactérienne
Vous voyez une patiente de 74ans qui présente une baisse d'acuité visuelle progressive bilatérale. Vous avez noté que la patiente, qui était emmétrope dans sa jeunesse, présente une myopie qui augmente progressivement. Elle est actuellement à -3,25 et -3,50. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Cataracte nucléaire
Œdème papillaire lié à une hypertension intracrânienne
Cataracte sous-capsulaire postérieure
Rétinopathie diabétique
Glaucome chronique
Vous examinez un patient qui présente une amétropie avec la réfraction suivante: -6,25D et -7,00D. Quelle amétropie le sujet présente-il ?
Myopie
Hypermétropie
Astigmatisme
Presbytie
Vous examinez un patient qui présente une amétropie avec la réfraction suivante: 0,00 (-1,50 à 90°) œil droit et 0,00 (-1,00 à 90°). Quelle amétropie le sujet présente-il ?
Astigmatisme
Hypermétropie + astigmatisme
Myopie + astigmatisme
Myopie
Hypermétropie
Presbytie
Vous suivez un patient de 9ans pour une altération progressive de la vision centrale. Vous suspectez une dystrophie maculaire héréditaire. Quel diagnostic est le plus probable ?
Maladie de Stargardt
Glaucome chronique
Rétinopathie pigmentaire
Adénome hypophysaire
Rétinopathie diabétique
Vous suivez un patient de 15ans qui présente une héméralopie, un rétrécissement progressif du champ visuel. Le fond d'œil retrouve des migrations de pigments sous-rétiniens donnant des images en ostéoblastes. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Rétinopathie pigmentaire
Maladie de Stargardt
Occlusion de branche de l'artère centrale de la rétine
Glaucome chronique
Maculopathie diabétique
Vous voyez en consultation un garçon de 7 ans amené par sa maman pour des céphalées et une vision trouble de près lors de la lecture ou d'un travail prolongé sur ordinateur. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Hypermétropie
Myopie
Astigmatisme
Presbytie
Vous voyez en consultation un garçon de 7 ans amené par sa maman pour des céphalées et une vision trouble de près lors de la lecture ou d'un travail prolongé sur ordinateur. La réfraction sous cycloplégique confirme votre hypothèse. Quelle prise en charge est la plus appropriée ?
Verres sphériques convexes
Verres cylindriques concaves
Verres cylindriques convexes
Verres sphériques concaves
Vous voyez en consultation un garçon de 3 ans amené par sa maman pour des céphalées et une vision trouble de près lors de la lecture ou d'un travail prolongé sur ordinateur. Vous désirez évaluer son acuité visuelle de près. Quelle échelle est la plus appropriée ?
Echelle de Rossano-Weiss
Echelle de Monoyer
Echelle ETDRS
Echelle de Parinaud
Vous recevez aux urgences un patient de 9 ans qui présente un saignement de nez. À l’interrogatoire, vous apprenez que cela se produit 2 à 3 fois par mois. Sa mère vous dit que c’est la première fois que la compression bidigitale des ailes du nez ne permet pas de stopper le saignement. Après évacuation des caillots par mouchage, vous réalisez une rhinoscopie mettant en évidence un saignement localisé à la tâche vasculaire du côté gauche. Quelle est l’origine la plus probable de ce saignement ?
Irritation de la tâche vasculaire
Perforation septale
Télangiectasie hémorragique
Fracture de l’éthmoïde
Vous recevez aux urgences un patient de 9 ans qui présente un saignement de nez. Vous finissez par apprendre qu’il se plaignait de maux de tête dans la matinée et que sa mère lui a administré 3 comprimés effervescents d’aspirine 500 mg espacés de 2 heures car elle a l’habitude d’utiliser de l’aspirine pour soulager ses propres maux de tête. Le patient continue à perdre du sang et vous le trouvez de plus en plus pâle, avec une fréquence cardiaque qui est à présent à 135 bpm. Quel examen complémentaire est le plus approprié en première intention ?
NFS-plaquettes, TP-TCA et groupe
Fibroscopie nasale
Scanner du massif facial
Radiographie du crâne face et profil
Vous recevez aux urgences un patient de 9 ans qui présente un saignement de nez. Vous finissez par apprendre qu’il se plaignait de maux de tête dans la matinée et que sa mère lui a administré 3 comprimés effervescents d’aspirine 500 mg espacés de 2 heures car elle a l’habitude d’utiliser de l’aspirine pour soulager ses propres maux de tête. Le patient continue à perdre du sang et vous le trouvez de plus en plus pâle, avec une fréquence cardiaque qui est à présent à 135 bpm. La compression bidigitale après mouchage a échoué. Quelle prise en charge est la plus adaptée ?
Tamponnement antérieur avec des mèches non résorbables
Embolisation des artères sphéno-palatines seules
Cautérisation de l’artère sphéno-palatine par voie endonasale
Embolisation de l’artère ethmoïdale seule
Embolisation des artères sphéno-palatines et de l’artère ethmoïdale
Ligature des artères ethmoïdales
Vous recevez aux urgences un patient de 25 ans pour épistaxis unilatérale gauche survenue spontanément alors qu’il était chez lui. Il ne consomme aucun toxique et vous ne relevez pas d’antécédent particulier à l’interrogatoire. Ses constantes sont les suivantes : FC 75 ; TA 130/80 mmHg. Quelle est l’étiologie d’épistaxis la plus probable pour ce patient ?
Grattage de la tâche vasculaire
Fracture de l’ethmoïde
Fibrome naso-pharyngien
Granulomatose de Wegener
Maladie de Rendu-Osler
Vous recevez aux urgences un patient de 22 ans pour épistaxis bilatérale. Ce n’est pas la première fois que cela lui arrive et vous apprenez à l’interrogatoire que son père est également fréquemment sujet aux épistaxis. Vous remarquez à l’examen clinique qu’il présente de multiples télangiectasies au niveau des lèvres et quelques-unes au niveau des pommettes. Ses constantes sont les suivantes : FC 75 ; TA 130/80 mmHg. Quelle pathologie devez-vous évoquez devant ce tableau ?
Maladie de Rendu-Osler
Syndrome de Kasabach-Merritt
Syndrome de Sturge-Weber-Krabbe
Granulomatose de Wegener
Syndrome CREST
Vous recevez aux urgences un patient de 32 ans pour épistaxis unilatérale droite abondante. Il présente un antécédent de lupus érythémateux disséminé avec syndrome des anti-phospholipides. Son traitement comporte de l’hydroxychloroquine et une anticoagulation par AVK au long cours. Il est pâle et le temps de recoloration cutanée est inférieur à 3 secondes. Ses constantes sont les suivantes : FC 105 ; TA 110/70 mmHg. Quels examens complémentaires demandez-vous dans l’immédiat pour évaluation du retentissement ?
NFS-Plaquettes, TP-TCA et INR
NFS-Plaquettes, TP-TCA
NFS-Plaquettes, TP-TCA et Groupe-Rh-RAI
NFS-Plaquettes, TP-TCA, Groupe-Rh-RAI et INR
NFS-Plaquettes, TP-TCA, fibroscopie nasale
NFS-Plaquettes, TP-TCA, INR, fibroscopie nasale
NFS-Plaquettes, TP-TCA, INR, Groupe-Rh-RAI, fibroscopie nasale
Vous recevez aux urgences un patient de 47 ans pour épistaxis unilatérale gauche. Il est tabagique à 25 paquets-année et ne présente pas d’antécédents particuliers hormis une appendicectomie dans sa jeunesse. Il ne prend aucun traitement et ne présente pas de signes cliniques de gravité. Ses constantes sont les suivantes : FC 88 ; TA 120/75 mmHg. Après mouchage efficace, compression bi-digitale et méchage antérieur, l’épistaxis ne s’interrompt pas. Que proposez-vous ?
Tamponnement antéro-postérieur
Embolisation de l’artère sphéno-palatine
Cautérisation de la tâche vasculaire
Ligature de l’artère ethmoïdale
Embolisation de l’artère ethmoïdale
Vous recevez aux urgences un patient de 28 ans pour épistaxis unilatérale droite après un choc lors d’un match de rugby. Il n’a pas d’antécédents particuliers. Il ne prend aucun traitement et ne présente pas de signes cliniques de gravité. Ses constantes sont les suivantes : FC 75 ; TA 125/80 mmHg. Vous constatez à l’examen que l’épistaxis, initialement rouge vif, s’éclaircit de plus en plus. À quoi pensez-vous ?
Une brèche méningée
Une épistaxis sur sinusite
Une otoliquorrhée
Une perforation septale
Une fracture des os propres du nez
Vous recevez aux urgences pédiatriques un jeune garçon de 4 ans présentant une fièvre à 39,1 °C, une rhinorrhée purulente gauche et une exophtalmie importante associée à une mydriase du même côté. Ses parents vous informent qu’il a présenté une rhinopharyngite il y a 2 semaines. À l’examen clinique, l’exophtalmie est irréductible et vous retrouvez un écoulement purulent au méat moyen gauche. Quel est votre diagnostic ?
Phlegmon orbitaire compliquant une ethmoïdite antérieure
Probable hyperthyroïdie associée à une ethmoïdite antérieure
Probable hyperthyroïdie associée à une ethmoïdite postérieure
Glaucome associé à une ethmoïdite antérieure
Phlegmon orbitaire compliquant une ethmoïdite postérieure
Glaucome associé à une ethmoïdite postérieure
Vous recevez à votre consultation M. S., 37 ans, menuisier. Il présente depuis 4 mois des céphalées, une cacosmie gauche et une rhinorrhée purulente gauche. À l’examen clinique, vous retrouvez un écoulement de pus au méat moyen avec un œdème du cornet moyen faisant suspecter une sinusite sous-jacente. Quel examen complémentaire demandez-vous pour confirmer votre diagnostic ?
Un TDM des sinus
Un examen bactériologique des sécrétions
Un dosage des anticorps c-ANCA
Une IRM des sinus
Un panoramique dentaire
Vous recevez en consultation Mme C., 35 ans, secrétaire de direction. Elle se plaint d’une obstruction nasale et d’une rhinorrhée depuis 3 jours. Elle présente par ailleurs un écoulement dans l’arrière-gorge, l’obligeant à cracher quotidiennement. Sa température est de 38°C et elle ne présente comme antécédent qu’un syndrome du canal carpien gauche. Votre examen clinique retrouve une irritation rhinopharyngée. Mme C. Travaille dans une grande administration et vous dit qu’au travail tout le monde est « malade ». Quel est votre diagnostic ?
Rhinosinusite aiguë virale
Angine
Rhinosinusite aiguë bactérienne
Grippe
Rhinopharyngite
Vous recevez à votre consultation M. L., 48 ans, pompier. Il présente depuis 3 mois des céphalées, une cacosmie droite et une rhinorrhée purulente droite. Il vous explique que ses problèmes sont apparus suite à des soins dentaires. L’imagerie met en évidence une sinusite maxillaire droite mycotique avec surinfection bactérienne. Quelles sont les modalités de votre prise en charge ?
Traitement chirurgical + traitement antibiotique
Traitement chirurgical + traitement antimycotique
Traitement médical antibiotique seul
Traitement chirurgical + traitements antibiotique et antimycotique
Traitement médical antibiotique + antimycotique
Traitement médical antimycotique seul
Vous recevez à votre consultation Mme V., 53 ans, professeur de français. Elle est tabagique à 25 paquets-année et est atteinte d’endométriose. Elle se plaint de céphalées rétro-orbitaires persistantes et irradiant au vertex depuis plusieurs jours. Vous pensez à un diagnostic de sinusite sphénoïdale mais vous ne retrouvez pas d’écoulement purulent à la rhinoscopie. Quel est le diagnostic différentiel à évoquer devant ce tableau clinique ?
Hypertension intracrânienne
Névralgie du trijumeau
Hématome sous-dural aiguë
Hyperthyroïdie
Accident ischémique transitoire
Vous recevez en consultation une femme de 40 ans. Elle présente une obstruction nasale du côté droit et une rhinorrhée postérieure apparues il y a environ deux semaines. Elle se plaint également de céphalées et d'une douleur sous-orbitaire pulsatile à droite depuis quelques jours et augmentant la nuit. Le mouchage est purulent et elle a une fièvre à 38,5°C. Ses constantes sont normales. La rhinoscopie retrouve du pus dans le méat moyen et l'état buccodentaire est excellent. Elle vous explique avoir pris du paracétamol régulièrement cette semaine et se laver les fosses nasales au sérum physiologique plusieurs fois par jour sans que son état ne semble s'améliorer. Quel diagnostic est le plus probable ?
Sinusite maxillaire aiguë droite
Sinusite frontale aiguë droite
Sinusite ethmoïdale aiguë droite
Sinusite frontale chronique droite
Sinusite ethmoïdale chronique droite
Sinusite maxillaire chronique droite
Sinusite mycotique aspergillaire droite
Vous recevez en consultation une femme de 40 ans. Elle présente une obstruction nasale du côté droit et une rhinorrhée postérieure apparues il y a environ deux semaines. Elle se plaint également de céphalées et d'une douleur sous-orbitaire pulsatile à droite depuis quelques jours et augmentant la nuit. Le mouchage est purulent et elle a une fièvre à 38,5°C. Ses constantes sont normales. La rhinoscopie retrouve du pus dans le méat moyen et l'état buccodentaire est mauvais. Elle vous explique avoir pris du paracétamol régulièrement cette semaine et se laver les fosses nasales au sérum physiologique plusieurs fois par jour sans que son état ne semble s'améliorer. Quel germe serait le plus en faveur d’une origine dentaire ?
Germes anaérobies
Pneumocoque
Haemophilus influenzæ
Staphylocoque
Moraxella catarrhalis
Vous recevez en consultation une femme de 40 ans. Elle présente une obstruction nasale du côté droit et une rhinorrhée postérieure apparues il y a environ deux semaines. Elle se plaint également de céphalées et d'une douleur sous-orbitaire pulsatile à droite depuis quelques jours et augmentant la nuit. Le mouchage est purulent et elle a une fièvre à 38,5°C. Elle vous signale avoir fait une importante réaction allergique à l'Augmentin dans l'enfance. Ses constantes sont normales. La rhinoscopie retrouve du pus dans le méat moyen et l'état buccodentaire est excellent. Vous posez le diagnostic de sinusite aigue maxillaire droite. Quel traitement est le plus adapté ?
Amoxicilline + acide clavulanique
Pristinamycine
Amoxicilline
Lévofloxacine
Macrolide
Vous recevez en consultation une femme de 40 ans. Elle présente une obstruction nasale du côté droit et une rhinorrhée postérieure apparues il y a environ 2 mois, récidiantes. Elle se plaint également de céphalées et d'une douleur sous-orbitaire pulsatile à droite depuis quelques jours et augmentant la nuit. Le mouchage est purulent et elle a une fièvre à 38,5°C. Ses constantes sont normales. La rhinoscopie retrouve du pus dans le méat moyen. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Sinusite maxillaire chronique droite
Sinusite frontale chronique droite
Sinusite ethmoïdale aiguë droite
Sinusite maxillaire aiguë droite
Sinusite ethmoïdale chronique droite
Sinusite mycotique aspergillaire droite
Sinusite frontale aiguë droite
Rhinite allergique chronique
Vous recevez dans votre cabinet de médecine générale un enfant de 2 ans présentant de multiples élevures saillantes, circonscrites et ombiliquées, mesurant de 1 à 5 mm et situées autour de la bouche et sur les joues. Elles ne contiennent pas de liquide. Quel type de lésion élémentaire présente ce patient ?
Papules
Vésicules
Pustules
Bulles
Nodules
Végétations
Nouures
Nævi
Vous recevez dans votre cabinet de médecine générale un enfant de 6 ans présentant des placards rouges vifs confluents au niveau des plis de flexion, du thorax et de l'abdomen, sans intervalles de peau saine et accompagnés d'une sensation de cuisson. Les lésions disparaissent à la vitropression. Quel type de lésion présente ce patient ?
Un exanthème scarlatiniforme
Un exanthème roséoliforme
Un exanthème morbilliforme
Un purpura ecchymotique
Un angiome plan
Un purpura pétéchial
Vous recevez dans votre cabinet de médecine générale un enfant de 2 ans présentant des maculo-papules rouge-vif, non prurigineuses, avec des intervalles de peau saine. Les lésions sont situées au niveau du visage, derrière les oreilles, au niveau du tronc et disparaissent à la vitropression. Quel type de lésion présente ce patient ?
Un exanthème morbilliforme
Un angiome plan
Un exanthème roséoliforme
Un purpura pétéchial
Un exanthème scarlatiniforme
Un purpura ecchymotique
Des vibices
Vous recevez un patient de 35 ans présentant des lésions squameuses blanches, brillantes, épaisses, larges et adhérentes. Au grattage, les squames s'effritent progressivement en lamelles jusqu'à ce que le derme soit mis à nu et que le sang perle en surface. Quel type de lésions présente ce patient ?
Squames psoriasiformes
Squames ichtyosiformes
Squames pityriasiformes
Squames folliculaires
Squames scarlatiniformes
Vous voyez en consultation un jeune patient de 5 ans présentant des petites macules pâles, non prurigineuses, apparues initialement au niveau de la face et progressivement extensives au niveau du tronc, des membres et des fesses. Il a une fièvre modérée et quelques adénopathies cervicales. Le vaccin ROR n'étant pas obligatoire, ses parents ont préféré ne pas le vacciner. Vous évoquez une rubéole. Quel type de lésion serait le plus en faveur de ce diagnostic ?
Un exanthème roséoliforme
Un exanthème scarlatiniforme
Un exanthème morbilliforme
Un purpura pétéchial
Un purpura nécrotique
Un purpura ecchymotique
Vous recevez une patiente 45 ans et se plaint de douleurs insomniantes des deux mains, en particulier au niveau des 2ème et 3ème articulations métacarpo-phalangiennes, ainsi que des interphalangiennes proximales qui sont gonflées, donnant à ses doigts un aspect « en fuseau ». Ces douleurs persistent au repos. Vous évoquez un tableau de polyarthrite rhumatoide. Quelle atteinte cutanée serait la plus en faveur de ce diagnostic ?
Nodules sous-cutanés au niveau des crêtes ulnaires
Érythème polymorphe au niveau des mains
Vésicules de localisation métamérique au niveau du tronc
Bulles hémorragiques au niveau de la muqueuse buccale
Papules jaunâtres au niveau du visage
Éruption rosacéiforme au niveau des ailes du nez
Vous recevez une patiente 45 ans, sans antécédent, se plaignant d'éruptions vésiculeuses étendues en bouquet de part et d'autre des commissures labiales. Quel agent pathogène est le plus probablement impliqué ?
L'Herpes simplex virus de type 1 (HSV-1)
Le virus d'Epstein-Barr (EBV)
L'Herpes simplex virus de type 2 (HSV-2)
Le virus varicelle-zona (VZV)
Le virus de l'immunodéficience humaine (VIH)
Le cytomégalovirus (CMV)
L'adénovirus
Vous recevez un jeune hommen âgé de 20 ans vient vous consulter pour une éruption vésiculeuse sur le pénis et autour de l'anus. Quel agent pathogène est le plus probablement impliqué ?
L'Herpes simplex virus de type 2 (HSV-2)
L'Herpes simplex virus de type 1 (HSV-1)
Le virus varicelle-zona (VZV)
Le virus d'Epstein-Barr (EBV)
Le cytomégalovirus (CMV)
L'adénovirus
Le virus de l'immunodéficience humaine (VIH)
Vous recevez un patient de 25 ans, séropositif au VIH, non observant concernant sa trithérapie. Il présente une altération de l'état général importante. Vous remarquez notamment des plaques violacées légèrement surélevées sur son tronc et ses bras. Quel diagnostic est le plus probable ?
Une maladie de Kaposi
Une sarcoïdose
Une sclérose tubéreuse de Bourneville
Des hémangiomes cutanés
Une neurofibromatose de type 1
Un purpura fulminans
Vous recevez à votre cabinet de médecine générale Mme X., 85 ans, dont les antécédents comportent une HTA, une dyslipidémie et un rétrécissement aortique calcifié. Elle se plaint de l’apparition de « grosses bulles qui grattent » sur le tronc et les membres de manière symétrique. Vous constatez à l’examen que ces bulles sont tendues et surviennent sur des zones de peau érythémateuse. Le signe de Nikolski est négatif. Quel est le diagnostic le plus probable devant ce tableau ?
Pemphigoïde bulleuse
Nécrose épidermique staphylococcique
Pemphigus superficiel
Syndrome de Lyell
Syndrome de Stevens-Johnson
Vous recevez à votre consultation de médecine générale Mme V., 52 ans, dont les antécédents comportent un diabète de type 2, une HTA, une dyslipidémie et un éthylisme chronique non sevré. Elle vous consulte pour un panaris de l’index gauche survenu après une manucure un peu trop intensive. Par argument de fréquence, quel est le germe probablement responsable de ce panaris ?
Staphylococcus aureus
Streptococcus pyogenes
Staphylococcus epidermidis
Trichophyton rubrum
Microsporum canis
Vous recevez à votre consultation un patient de 35 ans, paysagiste, que vous suivez régulièrement pour un diabète de type 1. Il vous avait consulté pour un panaris au niveau de l’auriculaire droit il y a deux semaines, mais il vous avoue n’avoir pas été très observant concernant les bains antiseptiques que vous lui aviez prescrits. Vous constatez à l’examen clinique une attitude en crochet de l'auriculaire, avec des signes inflammatoires au bord ulnaire. Quel est votre diagnostic topographique le plus probable ?
Phlegmon de la gaine digito-carpienne ulnaire
Phlegmon à bascule
Phlegmon de la gaine digito-carpienne radiale
Phlegmon avec nécrose du tendon
Phlegmon d'une gaine d'un doigt médian
Vous recevez à votre consultation une jeune femme de 27 ans. Elle est esthéticienne et n’a pas d’antécédents particuliers. Elle se plaint d’une douleur et d’une rougeur de l’annulaire gauche depuis quelques jours. Vous constatez à l’examen clinique une collection périunguéale avec des signes locaux d'inflammation, de la fièvre, une adénopathie épitrochléenne et un écoulement de pus en surface. Quel est le diagnostic le plus probable devant ce tableau ?
Panaris périunguéal collecté compliqué d'une fistulisation
Panaris périunguéal collecté compliqué d'une arthrite
Panaris périunguéal au stade inflammatoire
Panaris périunguéal au stade collecté
Panaris périunguéal collecté compliqué d'une ostéite
Phlegmon
Vous recevez en consultation un cuisinier en milieu scolaire de 45 ans sans antécédent particulier et présentant un phlegmon des gaines suite, apparemment, à un panaris négligé. Un traitement chirurgical avec mise à plat de la gaine est réalisé en urgence. En plus de la kinésithérapie et de l’éducation du patient, quelle prise en charge est la plus appropriée ?
Éviter traitement par AINS, vaccination antitétanique selon statut vaccinal et arrêt de travail
Traitement par AINS, vaccination antitétanique selon statut vaccinal et poursuite du travail
Éviter traitement par AINS, vaccination antitétanique selon statut vaccinal et poursuite du travail
Traitement par AINS, vaccination antitétanique d’emblée et arrêt travail
Éviter traitement par AINS, vaccination antitétanique d’emblée et arrêt travail
Traitement par AINS, vaccination antitétanique d’emblée et poursuite du travail
Vous recevez aux urgences une patiente de 48 ans sans antécédent particulier retrouvé à l’interrogatoire. Elle vous explique s’être fait mordre au niveau de la main droite par l’un de ses chats il y a plusieurs jours et qu’elle n’arrive désormais plus à bouger le pouce droit car le moindre mouvement est extrêmement douloureux. Vous constatez qu’elle présente un phlegmon de la gaine digito-carpienne radiale invalidant. Quel type d’antibiotique serait le plus approprié chez cette patiente ?
Cycline
Céphalosporine de 3ème génération
Amoxicilline
Fluoroquinolone
Co-trimoxazole
Vous recevez en consultation une jeune fille de 22 ans pour un renouvellement de contraception et elle vous signale qu'un de ses doigts la fait souffrir depuis quelques jours. Elle présente en effet des signes locaux d'inflammation en périphérie de l'ongle de son index gauche, avec une douleur modérée au cours de la journée. Vous remarquez que c'est une adepte de la manucure. Elle n'a pas de fièvre. Quel diagnostic est le plus probable ?
Panaris périunguéal au stade inflammatoire
Panaris périunguéal au stade collecté
Phlegmon de la gaine des fléchisseurs au stade collecté
Ostéite
Phlegmon de la gaine des fléchisseurs au stade inflammatoire
Arthrite septique
Arthrite microcristalline
Vous recevez en consultation une jeune fille de 22 ans pour un renouvellement de contraception et elle vous signale qu'un de ses doigts la fait souffrir depuis quelques jours. Elle présente en effet des signes locaux d'inflammation en périphérie de l'ongle de son index gauche, avec une douleur modérée au cours de la journée : vous posez le diagnostic de panaris périungéal au stade inflammatoire. Quelle prise en charge est la plus appropriée ?
Pansements et bains antiseptiques pluriquotidiens associés à des antalgiques
Traitement chirurgical associé à une antibiothérapie
Pansements et bains antiseptiques pluriquotidiens associés à des antalgiques et des antipyrétiques
Traitement chirurgical seul
Antibiothérapie par cyclines PO pendant 10 jours associée à des antalgiques
Vous revoyez à 48h une patiente traitée pour panaris périungéal. La situation de son doigt a empiré. Elle vous explique que malgré le traitement que vous lui avez prescrit, elle a progressivement eu de plus en plus de mal à étendre son doigt car cela lui provoquait une douleur importante et qu'il est à présent complètement bloqué. Vous constatez à l'examen que son index est très œdématié et forme un crochet irréductible. La paume de sa main présente également des signes locaux d'inflammation et vous retrouvez quelques adénopathies satellites. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Phlegmon de la gaine des fléchisseurs au stade collecté
Phlegmon de la gaine des fléchisseurs au stade inflammatoire
Panaris périunguéal au stade inflammatoire
Panaris périungéal au stade collecté
Arthrite septique
Ostéite
Rutpure tendineuse
Fasciite nécrosante
Vous recevez à votre consultation une femme de 45 ans. Ses antécédents comportent notamment un lupus érythémateux disséminé à l’âge de 25 ans sans autre poussée depuis. Ses constantes sont les suivantes : FC 80 ; TA 130/70 mmHg. Elle vous décrit des douleurs bilatérales des mains et des pieds. Quel élément lors de votre interrogatoire peut vous orienter vers une douleur de rythme inflammatoire ?
Douleur réveillant la nuit
Douleur soulagée par le repos
Douleur augmentée à la palpation
Douleur maximale le soir
Douleur calmée par du paracétamol
Une patiente de 51 ans consulte pour des douleurs articulaires des poignets et des chevilles évoluant depuis 8 semaines. Elle a un antécédent d’hypothyroïdie. À l’interrogatoire et à l’examen physique, vous suspectez une polyarthrite rhumatoïde. Vous décidez de prescrire un bilan d’auto-immunité. Lequel de ces anticorps recherchez-vous chez cette patient qui serait le plus en faveur du diagnostic de polyarthrite rhumatoïde ?
Anti-CCP
Anti-SSA
Anti-Centromère
Anti-DNA natif
Anti-Actine
Vous recevez en consultation M. Y., 48 ans, ingénieur en aéronautique. Il souffre d’une polyarthrite survenue brutalement il y a 6 mois et qui a débuté aux genoux, avec notamment un épisode de synovite qui a duré 7 semaines, pour toucher ensuite successivement les poignets et les articulations métacarpophalangiennes. Il se plaint également d’un enraidissement de plus en plus prononcé des épaules. M.Y. n’est que peu soulagé par les AINS et il vous explique qu’il se réveille la nuit à cause de la douleur et que ses articulations sont particulièrement raides le matin. Ses antécédents comportent un tabagisme à 42 paquets-année, une dyslipidémie et un angor d’effort. Votre examen clinique et les examens complémentaires vous font finalement poser le diagnostic de polyarthrite rhumatoïde. Lors des prochaines consultations, quel sera le score le plus adapté pour évaluer l’activité de cette polyarthrite rhumatoïde ?
DAS28
BASDAI
BASFI
BASMI
HAQ
Vous recevez en consultation Mme O., 53 ans, magistrate. Elle souffre d’une polyarthrite survenue brutalement il y a 5 mois et qui a débuté au niveau des 2ème et 3ème articulations métacarpophalangiennes de manière bilatérale, avec une raideur et un dérouillage matinal supérieur à 30 min. Elle se plaint également d’une déformation de ses doigts de plus en plus prononcée. Ses antécédents comportent une hypothyroïdie, une hystérectomie pour fibrome utérin il y a 3 ans, un asthme allergique depuis l’enfance et une hypertension artérielle traitée depuis cinq ans par irbésartan et hydrochlorothiazide. Elle ne fume pas et n’est pas ménopausée. Vous suspectez une polyarthrite rhumatoïde. Quel autre signe recherchez-vous qui serait le plus en faveur de ce diagnostic ?
Nodules sous-cutanés
Rash maculo-papuleux
Lombalgies inflammatoires
Aphtes buccaux
Spondylolisthésis
Alopécie
Vous recevez en consultation M. L., 55 ans, avocat. Il souffre d’une polyarthrite survenue brutalement il y a 5 mois et qui a débuté au niveau des 2èmes et 3èmes articulations métacarpophalangiennes de manière bilatérale, avec une raideur et un dérouillage matinal supérieur à 30 min. Il se plaint également de douleurs au niveau des chevilles. Ses antécédents comportent un vitiligo, une hypertension artérielle traitée depuis quatre ans par irbésartan et hydrochlorothiazide et un tabagisme à 40 paquets-année. Vous suspectez une polyarthrite rhumatoïde et demandez des clichés radiologique Main et poignet de face. Quelles autres incidences radiologiques sont les plus appropriés pour confirmer votre diagnostic ?
Pieds face + ¾ ; rachis cervical face + profil + bouche ouverte
Pieds face + profil ; rachis cervical face + profil + bouche ouverte
Pieds face + profil ; rachis cervical face + profil
Pieds face + ¾ ; rachis cervical face + profil
Pieds face + ¾ ; genoux de face + profil
Pieds face + profil ; genoux face + profil
Vous recevez à votre consultation Mme V., 51 ans, secrétaire de mairie. Elle ne fume pas et ses antécédents comportent une appendicectomie dans l’enfance, une hypothyroïdie, de l’arthrose lombaire et une fracture du col du fémur survenue lors d’un AVP il y a 15 ans. Elle est droitière et se plaint d’acroparesthésies douloureuses fréquentes de la main droite à type de fourmillements et d’engourdissement. Ces douleurs empirent la nuit et l’empêchent de dormir. Vous pensez à un syndrome du canal carpien. Quel test allez-vous utiliser au cours de votre examen clinique pour mettre en évidence une compression du nerf médian ?
Test de Phalen
Test de Gerber
Test de Jobe
Test de Patte
Test de Hawkins
Vous recevez à votre consultation M. F., 29 ans, guide de haute montagne. Il ne fume pas, a des antécédents de fractures du calcaneum et du scaphoïde suite à des chutes, et pratique l’escalade à un haut niveau. Il vous décrit une douleur de la cuisse et de la jambe droites, irradiant jusqu’ à la plante du pied, et qui se déclenche dès qu’il part marcher sur des chemins un peu difficiles. À l’examen clinique, le Lasègue est positif, la marche sur les talons est possible mais vous constatez qu’il est incapable de tenir sur la pointe des pieds. Le réflexe achilléen est aboli à droite. Quelle est la localisation anatomique la plus probable de la lésion ?
Racine S1
Racine L2
Racine L3
Racine L4
Racine L5
Vous recevez à votre consultation M. W., 39 ans, agent d’entretien. Il a des antécédents de luxations d’épaule multiples, systématiquement à droite. Il se plaint depuis quelques temps de difficultés à lever le bras droit, ce qui le gêne dans son travail, et de douleurs au niveau du moignon de l’épaule. Quelle est la localisation anatomique la plus probable de la lésion ?
Racine C5
Racine C4
Racine C6
Racine C7
Racine C8
Vous recevez à votre consultation M. T., 47 ans, chauffeur de poids-lourd. Il est porteur d’une valve mitrale suite à une endocardite il y a 8 ans. Il se plaint d’une douleur à la face antéro-externe de la cuisse droite et se prolongeant au bord antérieur de la jambe et au niveau de la malléole interne. Quelle est la localisation anatomique la plus probable de la lésion ?
Radiculalgie L4
Radiculalgie L3
Radiculalgie L5
Radiculalgie S1
Vous recevez à votre consultation M. R., 29 ans, déménageur, pour une lombalgie aiguë survenue après le port d’une charge lourde. À l’examen, vous retrouvez une douleur lors de l’extension passive de la jambe vers l’avant (signe de Lasègue positif), et lors de l’extension passive vers l’arrière (signe de Léri). Quel autre signe clinique recherchez-vous qui serait le plus en faveur du diagnostic de hernie discale ?
Signe de la sonnette
Signe de Lhermitte
Signe de Phalen
Signe de Tinel
Signe du Tabouret
Vous recevez aux urgences un jeune homme de 27 ans. Plus tôt dans la journée, il effectuait un déménagement jusqu'au moment où il ressentit une violente douleur au niveau de la fesse et de la cuisse. À l'interrogatoire, vous comprenez que la douleur de la fesse irradie jusqu'au bord externe du pied gauche le long de son 5ème orteil, en passant par la face postérieure de la cuisse et le creux poplité. Vous ressentez une contracture des muscles para-vertébraux au niveau du rachis. Il n'a pas d'antécédent particulier hormis une appendicectomie à l'âge de 16 ans. L'état général conservé. Sa température est de 37,5 °C, sa tension artérielle est de 126/84. Sa fréquence cardiaque est normale. Le reste de l'examen clinique est normal. Quel diagnostic est le plus approprié ?
Lombosciatique commune S1
Lombocruralgie commune L3
Lombosciatique commune L5
Une étiologie extra-rachidienne
Lombocrulagie symptomatique L4
Lombocrulagie commune L4
Lombosciatique symptomatique S1
Mme A., 80 ans, est admise au service d’accueil des urgences pour diarrhée abondante et vomissements. Comme antécédents on retrouve une suspicion de tumeur du foie avec scanner injecté il y a deux semaines. Elle est sous bisphosphonates et diurétique thiazidique pour une hypertension connue. À l’examen vous retrouvez : poids 35 kg, taille 1,60 m, TA 100/62 mmHg, FC 110 bpm, saturation en oxygène 87%. Il existe un pli cutané persistant. La créatininémie sur un bilan prescrit par son nouveau médecin traitant était à 70 µmol/L il y a un mois. Le résultat du bilan biologique que vous demandez est le suivant : Na+ 145 mmol/L, K+ 2,4 mmol/L, créatinine 310 µmol/L, urée 28 mmol/L. Vous faites réaliser une échographie rénale de principe qui montre des cavités pyélocalicielles fines et sans dilatation. Quel type d'insuffisance rénale est le plus probable devant ce tableau ?
Insuffisance rénale aiguë et fonctionnelle
Néphropathie vasculaire sur un terrain d'HTA
Insuffisance rénale aiguë et nécrose tubulaire aiguë due à la déshydratation
Insuffisance rénale par obstacle lithiasique sur une éventuelle hypercalcémie d'origine thiazidique
Néphropathie interstitielle due à la pénicilline
Mme A., 80 ans, est admise au service d’accueil des urgences pour diarrhée abondante et vomissements. Comme antécédents on retrouve une suspicion de tumeur du foie avec scanner injecté il y a deux semaines. Elle est sous bisphosphonates et diurétique thiazidique pour une hypertension connue. À l’examen vous retrouvez : poids 35 kg, taille 1,60 m, TA 100/62 mmHg, FC 110 bpm, saturation en oxygène 87%. Il existe un pli cutané persistant. Quel élément serait le plus en faveur du diagnostic d’une insuffisance rénale aigue?
Une créatininémie de base normale
Une petite taille des reins
Une anémie arégénérative
Une hypocalcémie
Une hyperphosphorémie
Une acidose métabolique
Une hyperuricémie
Une HTA
Vous recevez en consultation un homme de 55 ans qui se plaint de difficultés à la miction. À l'interrogatoire, il vous explique que depuis quelque temps il a la sensation de devoir « pousser » pour uriner et il se plaint d'aller aux toilettes plus de 5 fois par jour. Il était au cinéma avec sa femme quand il a eu une envie soudaine et pressante d'aller uriner (« Seulement quelques gouttes sont sortie. »). Voici ce que vous notez dans un premier temps : température 37,8°C, TA 132/85 mmHg, 1,85 m pour 75 kg, antécédent de torsion testiculaire en 1980. Quel est la prochaine étape diagnostique la plus appropriée ?
Toucher rectal
Recherche d'une douleur lombaire
Échographie réno-vesico-prostatique
Bandelette urinaire
Dosage du PSA
Vous recevez un patient de 55 ans se plaignant de dysurie. La BU ne retrouve pas d'hématurie, de glycosurie, ni de signes d'infection urinaire. Le PSA est légèrement augmenté, la créatinémie est à 95 µmol/L. Vous lui faites une échographie réno-vésico-prostatique et vous retrouvez un résidu post mictionnel de 80 ml, ainsi qu'une légère dilatation des cavités pyélocalicielles non significative. La prostate est évaluée à 30g. Le patient est géné de manière modérée dans sa qualité de vie (IPSS = 15/35). Quelle prise en charge est la plus appropriée en première intention ?
Monothérapie par un alpha bloquant
Incision cervico-prostatique
Monothérapie par un inhibiteur de la 5-alpha réductase
Monothérapie par un anti-cholinergique
Résection transurétrale de prostate
Bithérapie comprenant un alpha bloquant et un inhibiteur de la 5-alpha réductase
Abstention thérapeutique
Vous recevez un patient de 55 ans se plaignant de dysurie : après évaluation clinique, vous mettez en place de l'Alfuzosine (Xatral) 1 cp le soir après le repas. Que recherchez vous en priorité avant de prescrire ce traitement ?
Antécédent d'hypotension orthostatique
Insuffisance cardiaque chronique
Association avec un inhibiteur de l'alpha-réductase
Syndrome dépressif
Insuffisance rénale sévère
Vous suivez un patient de 55 ans porteur d’hypertrophie bénigne de la prostate. Après un évolution défavorable, vous avez réalisé une prise en charge chirurgicale : l’intervention s’est déroulée sans complication, et vous laissez sortir le patient. A quel risque est le plus exposé ce patient à long terme ?
Éjaculation rétrograde
TURP syndrome
Prostatite
Dysfonction érectile
Incontinence urinaire
Sténose du col vésical
Un patient de 45 ans avec des antécédents dépressifs est admis aux urgences pour obnubilation, céphalées importantes et vomissements. Tenant un discours inapproprié, l'interrogatoire est difficile. Il présente des troubles de comportement et ne sait ni la date, ni le lieu où il se trouve. Vous le voyez regarder autour de lui, perdu. Sa femme vous dit qu'il boit « beaucoup trop de bière et que ça ne l'étonne pas qu'il soit maintenant dans cet état ». Vous apprenez aussi qu'il présente depuis quelques jours une gastro-entérite qui lui donne d'importantes diarrhées liquidiennes. Il a perdu 5 kg en 3 jours et présente à l'entrée une fébricule à 37,9°C. La tension artérielle est de 110/64 mmHg. À l'examen neurologique, on ne note pas de syndrome neuro-méningé, ni d'anomalie pupillaire. Vous ne retrouvez une réponse motrice qu'à la douleur. Quel est le diagnostic le plus probable?
Hyperhydratation intracellulaire
Hématome sous-dural aigu
Déshydratation extracellulaire
Hypoglycémie par inhibition de la néoglucogenèse hépatique Syndrome de sevrage
Delirium tremens
Encéphalopathie hépatique due à l'importante consommation d'alcool
Un patient de 45 ans avec des antécédents dépressifs est admis aux urgences pour obnubilation, céphalées importantes et vomissements. Tenant un discours inapproprié, l'interrogatoire est difficile. Il présente des troubles de comportement et ne sait ni la date, ni le lieu où il se trouve. Vous le voyez regarder autour de lui, perdu. Sa femme vous dit qu'il boit « beaucoup trop de bière et que ça ne l'étonne pas qu'il soit maintenant dans cet état ». Vous apprenez aussi qu'il présente depuis quelques jours une gastro-entérite qui lui donne d'importantes diarrhées liquidiennes. Il a perdu 5 kg en 3 jours et présente à l'entrée une fébricule à 37,9°C. La tension artérielle est de 110/64 mmHg. À l'examen neurologique, on ne note pas de syndrome neuro-méningé, ni d'anomalie pupillaire. Vous ne retrouvez une réponse motrice qu'à la douleur. Quel est le score de Glasgow du patient ?
8
9
10
11
12
Mr F est un patient de 35 ans suivi pour une sarcoïdose. Il est admis à l'hôpital en raison d'une hypercalcémie à 3,50 mmol/l. L’examen clinique retrouve une tension artérielle à 120/80 mmHg, une fréquence cardiaque à 75/min et une température à 37.2°C. Quel est le mécanisme le plus probablement responsable de l'hypercalcémie ici ?
Synthèse de 1 alpha hydroxylase par les macrophages des granulomes
hyperrésorption osseuse liée à la corticothérapie systémique
Diminution de l'excrétion tubulaire de calcium par néphropathie tubulaire
Granulomes osseux responsables d'une hyperrésorption osseuse
Sécrétion de parathormone par les fibroblastes des granulomes
Une femme de 70 ans est hospitalisée pour altération de l'état général. Son examen clinique retrouve une température à 37°C, une fréquence cardiaque à 65/min et une tension artérielle à 115/80 mmHg. Laquelle de ces manifestations cliniques est la plus évocatrice d'une hypercalcémie symptomatique ?
Constipation
polyarthrite distale
Nystagmus
Toux sèche
Pyurie
{"name":"QCM ECN Part 1 (215qcm)", "url":"https://www.quiz-maker.com/QPREVIEW","txt":"Test your medical knowledge with our comprehensive quiz featuring 215 questions focused on emergency clinical scenarios. Whether you're a medical professional or a student in the health sciences, this quiz challenges your diagnostic skills and understanding of critical care.Key Features:Wide range of topics covering emergency medicineMultiple choice format for clarity and easeIdeal for exam preparation or self-assessment","img":"https:/images/course8.png"}
Powered by: Quiz Maker