DES ANE Se 2 Bopha ( 1-25 )Kuno ( 26-39 ) BunSeoun ( 40-53 )Rady ( 54-59)Yuth ( 60-69)

A medical illustration of the kidneys with labels highlighting acute kidney injury and its effects, in a clinical setting, vibrant colors and clear details.

Understanding Acute Kidney Injury

Test your knowledge on the critical factors, mechanisms, and management of acute kidney injury (AKI). This quiz is designed for healthcare professionals, students, and anyone interested in nephrology.

  • 96 detailed questions
  • Multiple choice format
  • Covers causes, complications, and treatment options
96 Questions24 MinutesCreated by AssessingDoctor742
Facteurs de risques de l’insuffisance rénale aigue , quelle est le réponde juste :?
Tous les répondes sont justes.
Âge
HTA
Diabète, myélome
Déshydratation, hypovolémie
Par quel mécanisme, les statines peuvent-elle induire une insuffisance rénale :?
Nécrose tubulaire aigue parenchymateuse est plus fréquent
Néphrite interstitielle aigue immuno-allergique
Glomérulonéphrite extra membraneuse
Obstacle
Etiologie plus fréquent de l’insuffisance rénale fonctionnelle pré rénale :?
Hypovolémie
Nécrose tubulaire aigue
Hypotension artérielle
Polyurie osmotique
Tous les réponde sont justes.
L’IRA fonctionnelle :?
Fait souvent suite à une déshydratation intra cellulaire
Fait souvent suite a une déshydratation extra cellulaire
S’ accompagnée d’une fièvre aigue
Peut s’observer dans une maladie BPCO grave
L’Insuffisance rénale fonctionnelle, par exemple: Syndrome hépato- rénale on peut :?
Peut s’observer dans une ascite cirrhotique décompensée
Peut s’observer au cours de déshydratation 10%
Peut s’observer au cours des gingivorragie iatrogène
Peut s’observer de l’état septique
Lequel de ces éléments est en faveur d’une insuffisance rénale chronique plutôt qu’aigue ?
Une anémie
Des reins de taille normale
Une polyglobulie
Une infection urinaire
Une hématurie
-L’insuffisance rénale aigue :
Nécessite toujours la recherche d’un obstacle sur les voies excrétrices urinaires
Est toujours symptomatique
Est toujours réversible
S’accompagne toujours d’une hypocalcémie
Justifie toujours à l’épuration extrarénale
Quelle est la première étiologie à rechercher en cas de diagnostic d’insuffisance rénale aigue ?
Une insuffisance rénale obstructive
Une sténose des artères rénales
Un syndrome hépatorénal
Un syndrome hémolytique et urémique
Un syndrome de cholestase
l’urographie intraveineuse peut :
Peut mettre en évidence des lithiases d’acide urique et peut aggrave la fonction rénale des insuffisances rénaux
Est formellement contre-indiqué en cas d’allergie à l’antibiotique
Est réalisée de préférence à toutes les pathologies rénales et donne le résultat fiable
Est nécessaire pour réaliser chez KC rénaux et pour explorer les métastases à autres organes
Lors d’une insuffisance rénale aigue le risque vital immédiate est lié à l’un des facteurs suivants :
L’hyperkaliémie
L’hyper uricémie
L’augmentation de l’urée
La rétention hydrique
L’hypotension artérielle
A quoi correspond le plus souvent chez la femme un tableau de cystite, accompagné d’une fièvre supérieure à 39 C.
Pyélonéphrite aigue
Cystite compliquée d’une salpingite
Appendicite
Vulvo-vaginite / leucorrhée
Salpingite bilatérales
Parmi les bactéries suivants laquelle peut être responsable d’infection du tractus urinaire
Escherichia coli
Listéria monocytogènès
Brucella abortus
Streptocoque
Salmonella
Le meilleur moyen d’apprécier le débit de filtration glomérulaire en pratique courante, donc la valeur de la fonction rénale est :
La clairance de la créatinine selon Cockcroft
La clairance de créatinine mesurée UVP
La créatininémie
La clairance de l’insuline
La mesure de la diurèse
La mise en dialyse se décide en cas d’insuffisance rénale terminale.
S’il existe une surcharge cardiovasculaire résistante au traitement ou hyperkaliémie sévère.
Sur les chiffres biologiques exclusivement et hypertension extrême
Si l’existe un choc cardiogénique permanente
S’il existe hypothermie persistance accompagné d’hypokaliémie sévère
-l’insuffisance rénale aigue peut :
Baisse brutale de la filtration glomérulaire et réversible après traitement.
Baisse progressive de la filtration glomérulaire et irréversible après traitement
Pas de signe urinaire à noter, comme diurèse est conservé
Anémie brutale et douleur lombaire extrêmement
-L’insuffisance rénale aigue peut être :
Elévation progressive de la créatinine
Oligoanurique (diurèse < 400ml/24h)
Signe anémie hémolytique évidence
Dyspnée très intense
L’insuffisance rénale aigue s’oppose à l’insuffisance rénale chronique :
Diminution progressive et irréversible du débit filtration glomérulaire
En pratique : augmente de la clairance de créatinine et diminue de la créatininémie
En tous cas le traitement est impossible
Pas de moyen de traitement médical, en tous cas épuration extrarénale
-L’insuffisance rénale aigue fonctionnelle :
Diminution du flux sanguin rénale et le parenchyme rénale est intact
Habituelle irréversible et ne peut pas traitement médicale simple
Diminution de la créatinine plasmatique brutalement
Urine est conservé ensuite pollakiurie
L’insuffisance rénale aigue parenchymateuse
C’est la forme plus grave peut aggraver par nécrosetubulaire
Pas de lésion du parenchyme rénale à noter.
Remplissage insuffisance est le moyen de traitement
Arrêter l’antidote
Conséquences hématologiques de l’insuffisance rénale aigue :
Anémie, trouble de hémostase, déficit immunitaire.
Hypovolémie, trouble de la conscience, Diarrhée aigue
Myalgie, crampe musculaire, asthénie intense
Hypercalcémie, hyper vitamine .D
Complication métabolique propre à l’insuffisance rénale aigue :
Acidose métabolique et OAP
Hypokaliémie et dyspnée
OMI et état de choc
Crise convulsive répété
Les Facteurs pronostic vital de l’IRA sont lié :
Le terrain du patient, Le nombre de défaillance viscérale et les complications secondaires
Le niveau de vie et maladie anciens comme BPCO, HTA
Sujet pris contraceptif sans prescription.
Maladie de manière et Hypertension gravidique + Alcoolisme
La prévention de l’insuffisance rénale aigue on doit :
Connaître le médicament à risque et situation à risque
Connaître la famille et les hygiènes
Connaître l’alimentation avant son entré à l’urgence
Connaître les en tourrage
Technique hémodilution on doit être réservé au patient suivant :
-Hémodynamique stable, et présentent une défaillance rénale isolée.
-Hémodynamique instable et défaillance multi viscérale
-Dans la condition extrême urgence vitale.
Dans la condition Normale
Technique Hémofiltration on doit être réservé au patient suivant :
Le patient dans le tableau de défaillance multi viscérales comme le choc septique
Le patient dans le tableau mort cérébrale
Le patient dans le tableau encéphalopathie hépatique notamment CHC
Le paient dans le tableau choc prolongé et situation urgence vitale
l’index de masse corporelle d’une femme de 40ans pesant 63kg pour une taille de 150cm est :
28
30
26
24
22
Pour un adulte en bonne santé, la part conseillée de l’apport calorique représentée
1900 à 2700 Kcal/j
3000 à 4000 Kcal/j
4000 à 5000 Kcal/j
2000 à 2500 Kcal/j
1500 à 2000 Kcal/j
Un homme de 58 ans vient de subir en urgence une résection étendue de l’intestin grêle pour un infarctus mésentérique étendu (il reste en place moins de 50cm d’intestin grêle). Son poids est de 82kg pour une taille de 1,74m. Il n’y a pas eu d’amaigrissement récent. Quelle technique d’assistance nutritionnelle doit être choisie et quelle voie d’abord doit être utilisée ?
Alimentation perentérale par voie veineuse centrale est mieux
Alimentation parentérale est souhaitable
Alimentation entérale est plus possible
Alimentation en même temps de l’alimentation entérale et parentérale
Alimentation perentérale par voie veineuse périphérique est mieux
Pour un adulte actif en bonne santé, la part conseillée de l’apport calorique représentée par les protéines est de l’ordre de :
5%
15%
20%
25%
30%
Pour un adulte actif en bonne santé, la part conseillée de l’apport calorique représentée par les glucides est de l’ordre de :
55%
15%
25%
35%
45%
Pour un adulte actif en bonne santé, la part conseillée de l’apport calorique représentée par les lipides est de l’ordre de :
<35%
<15%
<25%
<45%
<55%
Quel est le dosage biologique permettant d’évaluer la masse maigre d’un individu ?
la créatininurie des 24 heures
. l’albuminémie
. La pré-albuminémie
. La protéine vectrice du rétinol-sérique
. la 3-méthyl histidinurie
Vous devez prescrire une nutrition artificielle à une femme de 60 ans, mesurant 1,68 m et pesant 50 kg. Cette patiente est ambulatoire et son ionogramme sanguin est normal. Quelle est la cible calorique approximative de cette patiente ?
1500 kcal/jour
1000 kcal/jour
2000 kcal/jour
2500 kcal/jour
3000 kcal/jour
Vous examinez un patient de 55 ans. Son poids est de 70 kg, sa taille de 1,70 m. Il y a 1 mois, ce patient pesait 78 kg. Qu'en concluez-vous?
Le patient est sévèrement dénutri
Le patient est dénutri
Le patient a un état nutritionnel normal
Le patient est en surpoids
Le patient est obèse
Les principales causes de dénutrition sont
All correct
Les cancers
Les maladies neurologiques
Les pathologies inflammatoires du tube digestif
La malabsorption intestinale et les maladies infectieuses chroniques, insuffisance cardiaque ou respiratoire
La nutrition entérale peut se faire via 3 types de sondes d'alimentation
Une sonde naso-gastrique, une sonde de gastrostomie, une sonde de jéjunostomie
Une sonde naso-gastrique, une sonde de trachéotomie, une sonde de jéjunostomie
Une sonde naso-gastrique, une sonde de gastrostomie, une colostomie
Tracheotomie, une sonde de gastrostomie, une sonde de jéjunostomie
Une sonde tracheotomie, une colostomie, une sonde de jéjunostomie
Le nutrition parentérale peut se faire via
Voies veineuses périphérique pour la solution moin d’ hyperosmolaire
Toujours les voies veineuses périphériques
Toujours les voies veineuses centraux
Toujours les voies veineuses centraux et périphériques
Voies veineuses périphérique pour la solution hyperosmolaire
La durée de la nutrition parentérale par voie périphérique peut se faire
Des courts durées , Des petits volumes
Des longs durées
Des grands volumes
Des courts durées
Des petits volumes
Les principales complications d’une nutrition artificielle sont :
All correct
Une diarrhée,
Des nausées ou vomissements,
Une constipation,
Un reflux gastro-œsophagien
Le volume intra-cellulaire représente :
De 40 à 50 % du poids du corps
De 05 à 10 % du poids du corps
De 10 à 20 % du poids du corps
De 20 à 25 % du poids du corps
De 25 à 30 % du poids du corps
Le volume extra-cellulaire représente :
De 20 à 25 % du poids du corps
De 05 à 10 % du poids du corps
De 10 à 20 % du poids du corps
De 25 à 30 % du poids du corps
De 30 à 40 % du poids du corps
Un traitement trop tardif et/ou trop lent des hyponatrémies hypotoniques favorise la survenue :
D'un oedème cérébral
D’une hypoxie
D’une hypercapnie
D’une hyperkaliémie
D’un trouble du rythme cardiaque
Un traitement trop rapide des hyponatrémies hypotoniques peut entrainer :
Le développement d’une myélinolyse centropontine
Un trouble du rythme cardiaque
Un oedème cérébral
Une hyperkaliémie
Une hypokaliémie
Une hyperkaliémie sévère, quand :
Une concentration plasmatique en K+ > 7 mmol / L
Une concentration plasmatique en K+ est entre 3.5 et 5.5 mmol / L
Une concentration plasmatique en K+ est entre 5.5 et 6 mmol / L
Une concentration plasmatique en K+ est entre 6.1 et 6.9 mmol / L
Une concentration plasmatique en K+ > 8 mmol / L
Un patient de 27 ans, de sexe masculin, sans antécédents pathologiques, est admis au servicede réanimation pour une crampe musculaire et hypotonie des 4 membres. Après avoir des vomissements et des selles liquides durant 2 jours, le patient ressentait des myalgies, de faiblesse musculaire, une distension abdominale et une sensation de fatigue intense. L’examen clinique montre une conscience conservée, un état asthénique, un ventre souple peu distendu, une crampe musculaire au niveau des membres supérieurs et inférieurs, une auscultation pulmonaire et cardiaque est normale. L’examen de laboratoire retrouve un leucocyte 7200/mm, Hb 12 g/dl, Ht 41%, plaquette 210 000/mm3, urée sanguine 0.45 g/l, créatininémie 82 μmol/l, transaminase ASAT 28 ui/l, ALAT 35 ui/l, glycémie 120 mg/dL, Calcémie 85 mg/L, Na+ 135 mmol/L, K+ 2.6 mmol/L, chlorémie 98 mmol/L. Quel est le diagnostic de ce patient ?
Troubles ioniques avec hypokaliémie
Troubles ioniques avec hyponatrémie
Troubles ioniques avec hypernatrémie
Troubles ioniques avec hyperkaliémie
Hypocalcémie
Un patient de 27 ans, de sexe masculin, sans antécédents pathologiques, est admis au servicede réanimation pour une crampe musculaire et hypotonie des 4 membres. Après avoir des vomissements et des selles liquides durant 2 jours, le patient ressentait des myalgies, de faiblesse musculaire, une distension abdominale et une sensation de fatigue intense. L’examen clinique montre une conscience conservée, un état asthénique, un ventre souple peu distendu, une crampe musculaire au niveau des membres supérieurs et inférieurs, une auscultation pulmonaire et cardiaque est normale. L’examen de laboratoire retrouve un leucocyte 7200/mm, Hb 12 g/dl, Ht 41%, plaquette 210 000/mm3, urée sanguine 0.45 g/l, créatininémie 82 μmol/l, transaminase ASAT 28 ui/l, ALAT 35 ui/l, glycémie 120 mg/dL, Calcémie 85 mg/L, Na+ 135 mmol/L, K+ 2.6 mmol/L, chlorémie 98 mmol/L. Modalités d’utilisation des traitements du diabète de type 2 avec l’anesthésie :
Diabète de type 2 déséquilibré : insulinothérapie IV
Diabète de type 2 équilibré : insulinothérapie IV
Diabète de type 2 équilibré : arrêt du traitement médicamenteux oral
Diabète de type 2 déséquilibré : traitement médicamenteux oral
Diabète de type 2 déséquilibré : pas de traitement
Un patient de 27 ans, de sexe masculin, sans antécédents pathologiques, est admis au servicede réanimation pour une crampe musculaire et hypotonie des 4 membres. Après avoir des vomissements et des selles liquides durant 2 jours, le patient ressentait des myalgies, de faiblesse musculaire, une distension abdominale et une sensation de fatigue intense. L’examen clinique montre une conscience conservée, un état asthénique, un ventre souple peu distendu, une crampe musculaire au niveau des membres supérieurs et inférieurs, une auscultation pulmonaire et cardiaque est normale. L’examen de laboratoire retrouve un leucocyte 7200/mm, Hb 12 g/dl, Ht 41%, plaquette 210 000/mm3, urée sanguine 0.45 g/l, créatininémie 82 μmol/l, transaminase ASAT 28 ui/l, ALAT 35 ui/l, glycémie 120 mg/dL, Calcémie 85 mg/L, Na+ 135 mmol/L, K+ 2.6 mmol/L, chlorémie 98 mmol/L. Modalités d’utilisation des traitements du diabète de type 1 avec l’anesthésie :
Diabète de type 1 équilibré : poursuite du traitement insulinique sous-cutané
Diabète de type 1 équilibré : traitement médicamenteux oral
Diabète de type 1 déséquilibré : arrêt du traitement d’insulinothérapie
Diabète de type 1 déséquilibré : traitement médicamenteux oral
Diabète de type 1 déséquilibré : pas de traitement
Un patient de 27 ans, de sexe masculin, sans antécédents pathologiques, est admis au servicede réanimation pour une crampe musculaire et hypotonie des 4 membres. Après avoir des vomissements et des selles liquides durant 2 jours, le patient ressentait des myalgies, de faiblesse musculaire, une distension abdominale et une sensation de fatigue intense. L’examen clinique montre une conscience conservée, un état asthénique, un ventre souple peu distendu, une crampe musculaire au niveau des membres supérieurs et inférieurs, une auscultation pulmonaire et cardiaque est normale. L’examen de laboratoire retrouve un leucocyte 7200/mm, Hb 12 g/dl, Ht 41%, plaquette 210 000/mm3, urée sanguine 0.45 g/l, créatininémie 82 μmol/l, transaminase ASAT 28 ui/l, ALAT 35 ui/l, glycémie 120 mg/dL, Calcémie 85 mg/L, Na+ 135 mmol/L, K+ 2.6 mmol/L, chlorémie 98 mmol/L. Le choix entre anesthésie générale (AG) et anesthésie loco-régionale (ALR) du patient diabétique :
Le choix entre AG et ALR reste débattu
L’AG est mieux que l’ALR
L’ALR est mieux que l’AG
Le choix entre AG et ALR est bien précisé
L’AG est la technique de 1ère choix
Une femme de 54 ans se présente un état dyspnéique, une polydipsie survenus depuis 3 jours.Ces symptômes s’aggravent progressivement avec une confusion mentale et une polypnée. L’auscultation pulmonaire ne montre pas de râles audibles, l’auscultation cardiaque pas de bruits pathologiques. La TA est de 120/70 mmHg, la fréquence cardiaque 92/min, le rythme respiratoire 34/min, la température 37 oC, SaO2 92%. L’examen de laboratoire montre un leucocyte 8600/mm3, Hb 11.5 g/dl, Ht 39%, plaquette 260 000/mm3, urée sanguine 0.80 g/l, créatininémie 114 μmol/l, transaminase ASAT 18 ui/l, ALAT 24 ui/l, glycémie 360 mg/dL, Na+ 146 mmol/L, K+ 4.6 mmol/L, glycosurie 3 croix à la bandelette, présence de corps cétoniques dans l’urine.Quel est le diagnostic de cette patiente ?
Diabète sucré acidocétosique
Diabète sucré hyperosmolaire
Insuffisance rénale chronique avec syndrome urémique
Hypoglycémie
Pneumonie grave
Une femme de 54 ans se présente un état dyspnéique, une polydipsie survenus depuis 3 jours.Ces symptômes s’aggravent progressivement avec une confusion mentale et une polypnée. L’auscultation pulmonaire ne montre pas de râles audibles, l’auscultation cardiaque pas de bruits pathologiques. La TA est de 120/70 mmHg, la fréquence cardiaque 92/min, le rythme respiratoire 34/min, la température 37 oC, SaO2 92%. L’examen de laboratoire montre un leucocyte 8600/mm3, Hb 11.5 g/dl, Ht 39%, plaquette 260 000/mm3, urée sanguine 0.80 g/l, créatininémie 114 μmol/l, transaminase ASAT 18 ui/l, ALAT 24 ui/l, glycémie 360 mg/dL, Na+ 146 mmol/L, K+ 4.6 mmol/L, glycosurie 3 croix à la bandelette, présence de corps cétoniques dans l’urine. Quels sont les moyens de traitement de cette patiente diabétique acidocétosique ?
Donner l’oxygène, remplissage vasculaire et insulinothérapie
Donner les antibiotiques
Donner les bêta-bloquants
Donner les diuretiques
Donner les anti-hypertenseurs
Un homme âgé de 65 ans est entré au service d’urgence pour une douleur abdominale depuis 3 jours. L’examen clinique a montré une douleur abdominale au niveau de la fosse iliaque droite et de l’épigastre. La radiographie pulmonaire montre une opacité alvéolaire au sommet du poumon droit. Le patient va opérer pour une appendicite abcédée. Ce patient est un sujet diabétique en cours de traitement par les antidiabétiques oraux. Quelle est la bonne technique de l’anesthésie pour ce patient ?
Anesthésie rachidienne (rachi-anesthésie)
Anesthésie générale
Anesthésie générale + Rachi-anesthésie
Anesthésie générale sans intubée
Anesthésie péridurale
Une femme diabétique, âgée de 46 ans est hospitalisée pour un polytraumatisme par un accident de circulation. L’examen clinique et paraclinique montrent une douleur abdominale diffuse avec un épanchement liquidien intra-péritonéal et une fracture ouverte du 1/3 moyen de la jambe gauche. La patiente va opérer pour la fracture ouverte de la jambe gauche et un hémopéritoine. L’antécédent de cette patiente est le diabète sucré et l’hypertension artérielle. Quelle est la bonne technique de l’anesthésie pour cette patiente ?
Anesthésie générale avec intubation oro-trachéale
Rachi-anesthésie
Anesthésie générale + Rachi-anesthésie
Anesthésie générale sans intubée
Anesthésie péridurale
Un homme âgé de 25 ans est entré au service d’urgence pour un trouble de la conscience. Ce patient est un sujet diabétique de type 1 traité par une insulinothérapie. L’examen de laboratoire montre un leucocyte 6500/mm3, Hb 12 g/dl, Ht 38%, plaquette 360 000/mm3, urée sanguine 0.80 g/l, créatininémie 104 μmol/l, glycémie 0.46 g/L, Na+ 136 mmol/L, K+ 3.8 mmol/L. Quel est le diagnostic probable de ce patient ?
Coma hypoglycémique
Accident vasculaire cérébral
Coma hyper-osmolaire
Coma acidocéto-diabétique
Coma métabolique
Concernant des critères de la gravité du traumatisme maxillo-facial, tous sont exactes sauf un, le quel ?
Traumatisme maxillo-faciale mineur dans le cadre d’un traumatisme multiple,
Traumatisme maxillo-faciale associé à la fracture de mandibule, fracture isolée du malaire.
Disjonctions crânio-faciales, les fractures du complexe naso-ethmoïdien et les fractures de l’étage antérieur de la base du crâne.
Présence d’une détresse respiratoire avérée ou potentielle,
Une hémorragie abondante et de lésions associées.
Au cours du traumatisme maxillo-faciale grave, cochez la proposition exacte :
Toutes les propositions sont fausses
Les agressions cérébrales secondaires d’origine systémique sont le plus souvent secondaire à une hypertension artérielle.
L’emploi d’antihypertenseurs est recommandé tous de suite.
La ventilation mécanique doit être systématique si le score de Glasgow est inférieur à 6.
Une augmentation de la pression de perfusion cérébrale induit une vasoconstriction cérébrale tant que l’autorégulation est conservée.
La gravité des traumatismes maxillo-faciales est liée à la présence des propositions suivantes, cochez une réponse la plus exacte.
Détresse respiratoire,
Hémorragie abondante,
Plaie oculaire,
Fracture de la mandibule
Lésions crâniennes et cervicales
Concernant de la prise en charge des traumatismes maxillo-faciales, les propositions suivantes sont vraies sauf une, la quelle ?
La décision d’une intubation trachéale s’impose devant un tableau de coma.
Le rétablissement rapide de la liberté des VA peut prévenir l’apparition d’une détresse respiratoire.
Il doit faire l’ablation des corps étrangers, l’aspirations du sang et des sécrétions, voire traction de la langue.
S’il s’agit d’un traumatisme isolé, le patient sera installé en position demi-assise.
Même en l’absence de détresse ventilatoire initiale, l’intubation trachéale est justifiée.
Concernant des traumatismes maxillo-faciales (TMF), les propositions suivantes sont vraies sauf une, la quelle ?
La prise en charge des TMF graves repose essentiellement sur la réanimation hémodynamique.
L’intubation trachéale peut être rendue difficile par le type de lésions rencontrées.
Les urgences chirurgicales sont rares mais doivent être connues.
La chirurgie réparatrice est effectuée le plus souvent à distance du traumatisme
Les formes complexes de ces traumatismes doivent systématiquement faire rechercher des lésions extra-faciales associées.
Concernant des traumatismes maxillo-faciales, les propositions suivantes sont vraies sauf une, la quelle ?
Les plaies de la face, les fractures ouvertes, les atteintes oculaires graves causées par la traumatisme maxillo-faciale grave ne sont pas vraiment des urgences chirurgicales
L’hémorragie nasale réfractaire aux tamponnements antérieur et postérieur peut justifier le recours à une artériographie-embolisation.
Les traumatismes maxillo-faciales complexes, même isolés, peuvent mettre en jeu le pronostic vital.
La détresse respiratoire par obstruction des voies aériennes est la principale cause engageant le pronostic vital.
L’intubation trachéale avec induction à séquence rapide est la méthode de choix pour traiter une détresse respiratoire.
En cas de traumatisme fermé du thorax, la présence d’une image hydro-aréique dans l’ hémithorax gauche est en faveur de : ?
Une rupture diaphragmatique
Une lésion de l’œsophage
Une lésion de péricarde
Une rupture trachéo-bronchiques
Une plaie des gros vaisseaux
Quel est le gold standard de l’examen d’imagerie pour diagnostiquer la contusion pulmonaire ?
La scanographie spiralée
La radiographie
La bronchoscopie
L’IRM
L’échographie
Devant un patient ayant le traumatisme thoracique, présente la détresse respiratoire avec suspicion de pneumothorax compressif, que faites-vous au premier temps?
Exsufflation à l’aiguille
Intubation avec ventilation mécanique
Oxygénation à haut débit
Drainage thoracique
Thoracotomie de sauvetage
Un patient présentant l’hémothorax post-traumatique doit bénéficier d’une thoracotomie en urgence en cas :?
D’un débit sanguin dans le drain supérieur à 300 ml/h pendant 2 à 3 heures
D’anémie (Hb < 10g /100ml)
De volet thoracique associé
D’association à un pneumothorax
D’hypoxémie mal corrigée par un masque à haute concentration d’oxygène
Dans l’heure qui suit un traumatisme thoracique, un blessé présente une détresse respiratoire et un emphysème sous cutané extensif à la base du cou, tandis que l’expectoration contient du sang. Quelle lésion intra-thoracique faut-il évoquer ?
Une rupture trachéo-bronchique
Une rupture diaphragmatique
Une rupture de l’œsophage
Une contusion pulmonaire
Une contusion myocardique
Une jeune patiente sans antécédent, est victime d’un AVP à grande vitesse. Lors de la prise en charge par le service d’aide médicale urgente, elle présente une hypotension artérielle inexpliquée (TA= 75/50 mmHg), la saturation pulsée en oxygène en air ambiant est à 95%. Quel diagnostic évoquez-vous ?
Lésions des gros vaisseaux
Contusion pulmonaire
Rupture diaphragmatique
Rupture bronchique
Un patient, âgé de 22 ans, traumatisé thoracique et inconscient est intubé par le SAMU et placé sous ventilation mécanique. Quelques minutes après, la SpO2 qui était initialement à 100% diminue à 80% et la TA chute de 110/80 mmHg à 70/40 mmHg. Quelle lésion intra-thoracique faut-il évoquer
Un hémothorax ou un pneumothorax compressif
Une contusion pulmonaire étendue
Une rupture œsophagienne
Une rupture splénique associée
Une rupture diaphragmatique
Un patient, âgé de 26 ans, traumatisé thoracique et inconscient est intubé par le SAMU et placé sous ventilation mécanique. Quelques minutes après, la SpO2 est stable à 100% mais la TA chute de 120/80 mmHg à 75/40 mmHg et la fréquence cardiaque s’accélère à 130/mn. Quelle lésion intrathoracique faut-il évoquer ?
Une rupture isthme aortique
Une rupture diaphragmatique
Une rupture œsophagienne
Une contusion pulmonaire étendue
Un pneumothorax compressif
Un patient, âgé de 32 ans, sans antécédent, présente un traumatisme thoracique isolé nécessitant une intubation. Dès la mise sous respirateur, les pressions d’insufflations sont 55mmHg pour Pmax et 40 mmHg pour Pmoy. Quel est le diagnostic immédiat de ce patient?
Un Pneumothorax compressif
Une contusion pulmonaire
Un hémomédiastin
Un hématome pariétal
Une rupture diaphragmatique
Un patient, âgé de 28 ans, traumatisé thoracique, sans antécédent particulier, présente une hémoptysie massive nécessitant une intubation. Après le début de la ventilation en pression positive, la TA chute de 135/80 mmHg à 75/40 mmHg et la conscience est perturbée. Quel est le diagnostic immédiat ?
Une embolie gazeuse systémique
Une rupture bronchique
Une rupture œsophagienne
Une contusion pulmonaire étendue
Un hémothorax ou un pneumothorax compressif
Devant un patient ayant eu un traumatisme du crâne, comateux d’emblée, quel examen para clinique demandez-vous en urgence ?
Scanner sans injection
Angiographie
Radiographie
IRM
Doppler tran-crânien
Parmi les lésions ci-dessous, laquelle est une urgence neurochirurgicale absolue ?
L’hématome extra-dural d’épaisseur > 10 mm
L’hématome sous-dural avec déviation de la ligne médiane 5 mm
Embarrure ouverte
Embarrure fermée avec déviation de la ligne médiane 5 mm
Hydrocéphalie
Parmi les moyens de traitement pour maintenir la pression de la perfusion cérébrale en cas des traumatismes crâniens graves ci-dessous, lequel est le concept de ROSNER.
Augmenter la pression artérielle moyenne
Hyperventilation modérée (PaCO2 :33-35 mm Hg)
Éviter hyperthermie
Éviter hyponatrémie
Éviter anémie (Hb > 9)
Un homme âgé de 20 ans, traumatisé du crâne, arrive au service urgent. Il ouvre les yeux à l’appel de son nom, répond de manière inappropriée aux questions qu’on lui pose, mais est capable sur ordre de serrer et de lâcher la main.(TA : 130/70 mm Hg ; pouls : 80/mn ; RR : 14/mn ; T° : 37°C ; SpO2 : 95%) Quel est le niveau de score de Glasgow de ce patient ?
12
6
8
10
14
Monsieur X, âgé de 30 ans, arrive au service urgent pour le traumatisme du crâne avec coma d’emblée, sans signe de localisation, pupille aréactive mais symétrique. (TA : 160/90 mm Hg ; pouls : 50/mn ; RR : 10/mn ; T° : 37,2°C ; SpO2 : 91%) Quelles gestes faites-vous initialement ?
Radiographie du rachis cervical, réanimation médicale et scanner.
Examen fond d’œil, radiographie du crâne, réanimation médicale.
Examen fond d’œil, ponction lombaire et réanimation médicale
Examen fond d’œil, IRM cérébral et réanimation médicale
Ponction lombaire, radiographie du rachis cervical, réanimation médicale.
Un homme, âgé de 24 ans, arrive au service urgent pour le polytraumatisme suite d’un accident de la voie publique avec coma (GCS : 8/15) et vomissement répété. (TA : 140/90 mm Hg ; pouls : 60/mn ; RR : 12/mn ; T° : 37,2°C ; SpO2 : 90%) Que faites-vous au premier temps?
Intubation
Examen clinique de tout appareil
Examen neurologique
Scanner cérébral
Echographie abdominale
Un homme, âge de 18 ans, arrive au service urgent pour le traumatisme crânien avec des signes l’état de choc, mais sans hémorragie extériorisée. (TA: 90/70 mm Hg ; pouls: 100/mn; RR : 20/mn; T°: 36,5°C ; SpO2 : 94%; GCS : 8/15)Dans ce cas-la, quel soluté de remplissage choisissez-vous initialement?
Sérum salé isotonique 0,9%
Lactate Ringer
Sérum glucosé hypertonique 10%
Dextran 40
Plasmion
Une femme, âgée de 50 ans, arrive au service de réanimation pour le traumatisme crânien avec signe d’hypertension intracrânienne et hypertension artérielle. La malade est intubée et ventilée mécanique. (GCS : 8/15 ; pouls: 58/mn; RR : 20/mn; T°: 37°C ; SpO2 : 98%;) Alors à partir de quel valeur de pression artérielle systolique, commencerez-vous votre traitement et par quoi ?
À partir de 160 mmHg, par antihypertenseur d’action centrale ou ß-bloquant.
À partir de 150 mmHg, par antihypertenseur d’action vasodilatatrice directe.
À partir de 150 mmHg, par des diurétiques
À partir de 160 mmHg, par antihypertenseur d’action vasodilatatrice directe.
À partir de 160 mmHg, par n’importe quel d’antihypertenseur.
Monsieur Y, âgé de 40 ans, transféré au Réa neuro pour le diagnostic de traumatisme crânien grave (GCS=7/15). Le malade est déjà intubé et ventilé mécanique. Concernant l’optimisation respiratoire de la prise en charge des traumatismes crâniens graves, quels objectifs souhaitez-vous atteindre après avoir ventilé le patient ?
SpO2 : 92% : PaO2 > 70 ; PaO2 : 35-40
SpO2 : 92% ; PaO2 > 50 ; PaO2 : 30-35
SpO2 : 92% ; PaO2 > 50 ; PaO2 : 35-40
SpO2 : 92% ; PaO2 > 70 ; PaO2 : 30-35
SpO2 : 92% : PaO2 > 70 ; PaO2 : 40-45.
Concernant la stratégie de la prise en charge d’un traumatisme crânien grave, cochez la proposition exacte.
Le traitement de l’hypertension intracrânienne commence par une augmentation thérapeutique de la pression artérielle suivi, en cas d’échec, par l’osmothérapie.
Ue de la pression artérielle suivi, en cas d’échec, par l’osmothérapie. . L’antihypertenseur est recommandé si la pression artérielle systolique est supérieur à150 mm Hg.
L’hyperventilation profonde induit une vasodilatation cérébrale et peut aggraver une hypertension intracrânienne.
Une diminution de la pression de perfusion cérébrale induit une vasoconstriction cérébrale tant que l’autorégulation est conservée.
La TDM cérébrale doit être réalisée immédiatement avant laparotomie chez le TC grave malgré l’état hémodynamiques est instable et l’échographie abdominale révèle une hémorragie intraabdominale significative.
Le débit sanguin cérébral est surtout augmenté par :
L’hypercapnie
L’hyperoxie
L’hypotension artérielle
L’hypothermie
L’hypoglycemie
Le débit sanguin cérébral est surtout diminué par :
L’hypotension artérielle
L’hyperthermie
L’hyperglycémie
La vasodilatation artérielle
L’acidose métabolique
L’augmentation de la pression intracrânienne dépend de :
Age du patient
Sexe du patient
Poids du patient
Etat général du patient
Morphologie du patient
Quel est le signe clinique le plus spécifique de l’hypertension intracrânienne ?
Œdème papillaire
Céphalée
Déficit moteur
Troubles visuels
Nausées, vomissements
Parmi les agressions cérébrales secondaires ci-dessous, laquelle est d’origine centrale?
Epilepsie
Embolie gazeuse
Position de la tête
Hyperthermie
Hypertension artérielle
Parmi les agressions cérébrales secondaires ci-dessous, laquelle est d’origine systémique?
Acidose métabolique
Clampage vasculaire
Convulsion
Vasospasme
Embolie gazeuse
Parmi les agressions cérébrales secondaires d’origine systémique ci-dessous, laquelle est la plus grave ?
Hypotension artérielle
Acidose métabolique
Hypocapnie
Hyperglycémie
Hyperthermie
Les médicaments proscrites en neuro-anesthésie surtout si risque d’hypertension intracrânienne sont :
Les halogénés
Les benzodiazépines
Les curares
Les morphiniques
Les barbituriques
Concernant les lésion-pressions sous les écarteurs en chirurgie endocrânienne, cochez la proposition exacte.
Elles sont variables selon les conditions anesthésiques.
L’incidence globale des complications dues aux écarteurs est inferieur à 5%.
Elles sont plus importantes en cas d’hypertension artérielle
Elles ne sont pas variables selon le site d’opératoire.
Elles ne sont pas variables selon l’operateur
Qu’est-ce qu’un des propriétés de l’agent anesthésique «idéal» en neurochirurgie ?
Préserve l’autorégulation cérébrale
Augmentation de la pression intracrânienne
Augmentation de la CMRO2
Réveil prolongé
Epileptogène
La caractéristique commune de l’intervention rachidienne est :
De courte durée
Pas d’hémorragique
D’effectuées souvent en décubitus dorsal
D’effectuées souvent sous l’anesthésie locorégional
De présenter un risque fonctionnel via une atteinte médullaire ou radiculaire, mais parfois un risque vital en raison de l’hémorragie
Pour la chirurgie du rachis cervical, l’anesthésiste doit faire plus d’attention sur une des propositions ci-dessous :
La gestion de voies aériennes supérieures
Le choix de la position opératoire
La prévention de sa complication.
La prise en charge post opératoire de la douleur.
Le confort du patient
Concernant les impératifs de la chirurgie, quelle est la meilleure position pour la chirurgie de l’hernie discale lombaire chez le sujet obèse ?
Genupectorale
Décubitus dorsale
Décubitus latérale droite
Décubitus latérale gauche
Décubitus ventrale stricte
Quelle est l’indication de la transfusion autologue programmée ?
Perte sanguine prévisible > 1000 ml
Infection bactérienne active
Hémoglobinopathie
Hémoglobine < 11g/dl ou Ht < 34%
Index cardiaque non contrôlé
Quelle est la contre-indication absolue de la transfusion autologue programmée ?
Hypovolémie, déshydratation, malnutrition
Abord veineux difficile
Hémoglobine > 11g/dl ou Ht > 34%
Eloignement du centre de prélèvement
Pathologie néoplasique
Concernant la technique de la transfusion autologue programmée, choisissez une proposition exacte.
Durée maximale de programme : 42 jours
Deux prélèvements /semaine
Intervention programmée au minimum 48 heures après le dernier don
Conservation à 4ºC (congélation à 0ºC pour les plasmas frais congelés)
La durée de conservation des unités prélevées: 8 semaines
Concernant les positions opératoires pour la chirurgie du rachis, cochez la proposition exacte.
Le choix de la position opératoire dépend des habitudes chirurgicales, de la technique anesthésique, et de la morphologie du patient.
En décubitus ventral, la compression de la veine cave inferieure est moins importante qu’en position genupectoral.
Le décubitus ventral expose au risque de rhabdomyolyse plus importante qu’en position genupectoral.
La position genupectoral ne modifie par les paramètres hémodynamiques.
La position genupectoral est contre-indiquée pour obésité morbide.
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