QCM DES 2 ème année, Module VII

A medical professional studying surgical techniques in a classroom setting, surrounded by anatomical diagrams and cadaver models related to lymphatic system dissection.

Cervical Lymph Node Dissection Quiz

Test your knowledge on the intricacies of cervical lymph node dissection and related oncology concepts. This comprehensive quiz consists of 85 questions that cover essential aspects of lymph node pathology, treatment modalities, and post-operative care.

  • Assess your understanding of surgical techniques and indications
  • Explore the classification of lymph nodes
  • Delve into common complications and their management
85 Questions21 MinutesCreated by DissectingKnowledge27
1- Buts de curage ganglionnaire cervical fonctionnel, lequel qui n'est pas exacte?
A. Effectuer l'ablation de tous les ganglions situés dans le territoire de drainage lymphatique
B. Intervention est nécessaire pour connaître le degré d'extension de cancer original
C. Exérèse plus ou moins large selon l'état d'envahissement des ganglions
D. Tous jours le curage emporte les aires ganglionnaires I à VI
E. Exérèse éventuellement les muscles, les veines, voire certains éléments nerveux du cou
2- Les aires de ganglions sous-mentonnières et sous-maxillaires, séparées par le ventre antérieur du muscle digastrique, Limites: en haut bord inférieur de la mandibule, en bas : os hyoïde, Médialement : ligne médiane, Latéralement : le ventre postérieur du muscle digastrique, Quel est le group de ces ganglions?
A. Groupe I
B. Groupe II
C. Groupe III
D. Groupe IV
E. Groupe V
3- Groupe jugulaire supérieur comporte les ganglions sous-digastriques et les ganglions spinaux supérieurs. Limites: en haut est la base du crâne, en bas : ligne horizontale au niveau de l'os hyoïde, Postérieurement : bord postérieur du muscle sterno-cléido-mastoïdien, antérieurement : bord antérieur du muscle stylohyoïdien. Quel est le group de ces ganglions?
A. Groupe I
B. Groupe II
C. Groupe III
D. Groupe IV
E. Groupe V
4- La résection de tous les groupes ganglionnaires cervicaux homolatéraux, des groupes I à V, ainsi que du nerf spinal, de la veine jugulaire interne et du muscle sterno-cléido-mastoïdien, Quel est le type de cette intervention ?
A. Évidement ganglionnaire radical
B. Évidement ganglionnaire radical modifié
C. Évidement ganglionnaire sélectif
D. Évidement ganglionnaire radical étendu
E. Évidement ganglionnaire fonctionnel
5- Résection « en bloc » du tissu lymphatique cervical homolatéral de groupes I à V. Conservation d'une ou plusieurs des structures suivantes : le nerf spinal, la veine jugulaire interne, le muscle sterno-cléido-mastoïdien. Évidement où le nerf spinal est réséqué, mais le muscle sterno-cléido-mastoïdien et la veine jugulaire interne sont préservés est appelé :
A. Évidement ganglionnaire radical
B. Évidement ganglionnaire radical modifié
C. Évidement ganglionnaire sélectif
D. Évidement ganglionnaire radical étendu
E. Évidement ganglionnaire fonctionnel
6- Le curage ganglionnaire est effectué pour des patients à risque de métastases ganglionnaires précoces, et plus souvent d'évidement dit «prophylactique» pour un cou classé N0 et leur rôle thérapeutique est encore en évaluation. Cela est appelé
A. Évidement ganglionnaire radical
B. Évidement ganglionnaire radical modifié
C. Évidement ganglionnaire sélectif
D. Évidement ganglionnaire radical étendu
E. Évidement ganglionnaire fonctionnel
7- Les évidements ganglionnaires sont étendus à des groupes ganglionnaires, des structures vasculaires, nerveuses ou musculaires, qui ne font pas partie d'un évidement cervical habituel. On appelle :
A. Évidement ganglionnaire radical
B. Évidement ganglionnaire radical modifié
C. Évidement ganglionnaire sélectif
D. Évidement ganglionnaire radical étendu
E. Évidement ganglionnaire fonctionnel
8- L’indication de curages fonctionnels, lequel n’est pas vrai
A. Carcinomes épidermoïdes de la tête et du cou
B. Adresse aux patients N 0 avec existent risque élevé de métastases occultes
C. Patients présentent un ou plusieurs ganglions de taille inférieure à 2,5 cm non fixé
D. Le caractère fixé d'un ganglion quelle que soit sa taille: une contre-indication absolue
E. Exérèse plus large selon l'état d'envahissement des ganglions
9- Les soins post opératoires, une de propositions dessous est faute
A. En l'absence de complications, les drains sont ôtés au deuxième ou troisième jour
B. Un pansement légèrement non compressif réalisé car la cicatrisation est facile et rapide
C. Des soins locaux pluriquotidiens effectuent et Patient est revu une dizaine de jours plus tard
D. Le chirurgien apprécie la cicatrisation et traiter d’éventuelles complications
E. Traitement complémentaire en fonction des données histologiques
10- Les complications, une de propositions suivant n’est pas de risques immédiates, laquelle ?
A. Section accidentelle du nerf accessoire réalise une anastomose micro chirurgicale immédiate
B. Hémorragie rare mais possible, nécessite alors un geste chirurgical d'hémostase
C. Hématome suspecté: apparition un empâtement cervical ou bombement du creux sus-claviculaire
D. Existence d’une fuite de lymphe: conséquence passée inaperçu de l'un des collecteurs lymphatiques
E. Douleurs cervicales ou de l'épaule avec gêne fonctionnelle, nécessitant alors le recours à la kinésithérapie immédiate
11. Les lymphomes malins non Hodgkiniens ont des manifestations souvent proches de celles de la maladie de Hodgkin. Quelle(s) est (sont) la (les) manifestation (s) qui leur est (sont) propre(s) ?
A. Propagation leucémique
B. Méningite spécifique
C. Splénomégalie
D. Pleurésie spécifique
D. Pleurésie spécifique
12. Parmi les 5 localisations primitives suivantes des lymphomes malins non hodgkiniens, quelle est la plus fréquente
A. Amygdale
B. Parenchyme pulmonaire
C. Cortex cérébral
D. Rein
E. Testicule
13. Parmi ces cinq localisations primitives extraganglionnaires de lymphome malin non hodgkinien, quelles sont les deux les plus fréquentes en France ?
A. Sphère ORL et Cerveau
B. Sphère ORL et Tube digestif
C. Sphère ORL et Poumon
D. Sphère ORL et Rein
E. Tube digestif et Cerveau
14. Dans le cadre du bilan d'extension de la maladie de Hodgkin, cocher la ou les situation(s) à un stade III :
A. Inguinale + splénique
B. Cervicale + médiastinale
C. Cervicale + axillaire + splénique
D. Axillaire + pédicule hépatique
E. Pédicule hépatique + crurale + splénique
15. Les adénopathies médiastinales sont fréquentes dans la(les) maladie(s) suivante(s) :
A. Maladie de Vaquez
B. Maladie de Hodgkin
C. Myélome osseux multiple
D. Leucémie myéloïde chronique
E. A, B, C, D
16. Une lymphopénie peut être due à :
A. Une maladie de Hodgkin
B. Une infection par le VIH
C. Une infection à pneumocoque
D. A, B
E. A, B, C
17. Quand une une maladie de Hodgkin est traitée par radiothérapie isolée, à étalement et fractionnement classique, quelle est la dose habituellement nécessaire pour obtenir l'éradication dans le volume irradié ?
A. 10 grays
B. 20 grays
C. 30 grays
D. 40 grays
E. 50 grays
18. Les associations radio-chimiothérapiques utilisées dans le traitement de la maladie de Hodgkin peuvent être responsables de:
A. Leucémies aiguës tardives
B. Stérilité irréversible
C. Insuffisance rénale
D. Alopécie irréversible
E. Leucémies aiguës tardives et Stérilité irréversible
19. Une maladie de Hodgkin peut être compliquée :
A. D'une infiltration lymphomateuse rénale
B. D'une anurie par obstruction urétérale par des masses ganglionnaires
C. D'un syndrome néphrotique à lésions glomérulaires minimes
D. D'une glomérulonéphrite extracapillaire
E. A, B, C D'une infiltration lymphomateuse rénale, D'une anurie par obstruction urétérale par des masses ganglionnaires et D'un syndrome néphrotique à lésions glomérulaires minimes
20. Quel est (sont) le(s) argument(s) ci-dessous qui va (vont) jouer un rôle péjoratif dans le pronostic de la maladie de Hodgkin ?
A. Sueurs nocturnes
B. Prurit
C. Gros médiastin (plus du 1/3 du diamètre thoracique)
D. Amaigrissement de 10 kg chez un homme de 80 kg
E. Sueurs nocturnes, Gros médiastin (plus du 1/3 du diamètre thoracique) et Amaigrissement de 10 kg chez un homme de 80 kg
21. Quel est le site ganglionnaire le plus fréquemment atteint dans la maladie de Hodgkin
A. Inguinal
B. Occipital
C. Latéro-cervical
D. Axillaire
22. Devant une adénopathie latéro-cervicale sous-digastrique dure survenant chez un homme de 65 ans, alcoolo-tabagique, et qui se plaint d'une otalgie homolatérale, quel examen doit être demandé en premier lieu ?
A. Audiogramme tonal et impédancemétrie
B. Biopsie-exérèse
C. Drill-biopsie
D. Scintigraphie thyroïdienne
E. Bilan endoscopique des voies aéro-digestives supérieures
23. Devant une tuméfaction latéro-cervicale sous-digastrique isolée apparue brutalement chez un sujet de 20 ans, quel diagnostic évoquez-vous en-dehors d'une adénopathie ?
A. Tumeur du pôle inférieur de la parotide
B. Grande corne de l'os hyoïde
C. Kyste congénital du cou
D. Nodule thyroïdien
E. Tumeur du glomus carotidien
24. Une tuméfaction cervicale médiane juxta-thyroïdienne peut correspondre à une ou plusieurs propositions suivantes
A. Une adénopathie révélatrice d'un cancer amygdalien
B. Un kyste du tractus thyréoglosse
C. Un kyste du sinus cervical
D. Un nodule thyroïdien
E. Un kyste du tractus thyréoglosse et Un nodule thyroïdien
25. Une femme de 42 ans, sans antécédent particulier en dehors d'un tabagisme de 20 ans à un paguet de cigarettes par jour, vient consulter à nouveau pour la persistance d'une tuméfaction cervicale sous digastrique de 2,5 x 1,5 cm isolée, 2 ou 3 mois après une vague pharyngite ayant néanmoins conduit à une biologie où une MNI récente avait été évoquée à l'époque de la consultation initiale. L'examen clinique ORL et du revêtement cutané cervico-facial est normal. Quels sont le ou les diagnostics à évoquer?
A. Un kyste congénital de type amygdaloide
B. Une métastase d'un cancer des VADS inapparent
C. Une adénopathie d'une hémopathie ou d'un lymphome
D. Un kyste du tractus Thyréoglosse
E. A, B, C, D
26. Parmi ces signes cliniques quel(s) est(sont) celui(ceux) qui inaugure(nt) volontiers la maladie dans le cancer de l'hypopharynx ?
A. Dysphonie
B. Dysphagie
C. Otalgie
D. Adénopathie cervicale
E. B, C, D
27. Devant une adénopathie cervicale, les critères évoquant fortement une tuberculose ganglionnaire comportent :
A. Intradermo-réaction fortement positive
B. Localisation spinale haute
C. Présence d'adénopathies médiastinales
Présence de calcifications sur les radiographies cervicales
E. A, B, D
Une sinusite chronique peut se révéler par : 1 - Une rhinorrhée antérieure 2 - Un jetage postérieur 3 - Une toux chronique 4 - Une adénopathie cervicale
1,2,3
1,2,3,4
2,3,4
2,3
2,4
29. L'association d'une adénopathie cervicale et de symptômes nasosinusiens et otologiques traînants, progressifs et unilatéraux doit faire penser avant tout à une des tumeurs malignes suivantes. Laquelle ?
A. Une tumeur de l'ethmoïde
B. Une tumeur de la fosse nasale
C. Une tumeur du cavum
D. Une tumeur de l'oreille
E. Une tumeur du voile du palais
30. Un homme de 17 ans consulte pour une surdité unilatérale droite. On découvre une otite séreuse droite et des adénopathies cervicales bilatérales. Quel diagnostic doit être évoqué?
A. Carcinome de l'oreille moyenne
B. Carcinome indifférencié du cavum
C. Carcinome de la base de langue
D. Zona auriculaire
E. Polypose naso-sinusienne
31. Chez un malade présentant une adénopathie cervicale chronique jugulo-carotidienne supérieure et dont l'examen O.R.L. Est normal. La ponction cytologique s'est avérée négative; quel est le geste adéquat qui permettra de faire le diagnostic
A. Biopsie ganglionnaire
B. Drill-biopsie
C. Cervicotomie exploratrice avec examen histologique extemporané
D. Tomodensitométrie cervicale
E. Échographie cervicale
32. Parmi les cancers suivants du domaine ORL, certain(s) saccompagne(nt) fréquemment d’adénopathies bilatérales. Le(s)quel(s)?
A. Pointe de la langue
B. Cavum
C. Base de langue
D. Sinus de la face
E. A, B, C
33. Un sujet nord-africain de 30 ans consulte pour une baisse de l’audition unilatérale récente. L’examen ORL trouve : une surdité de type transmission - une adénopathie jugulo-carotidienne haute, de 2 cm de diamètre - une paralysie du moteur oculaire externe du même côté. Quel diagnostic doit-on évoquer?
A. Otospongiose
B. Tumeur du glomus jugulaire
C. Tumeur du cavum (ou rhinopharynx)
D. Otite muqueuse à tympan fermé
E. Méningiome de la petite aile du sphénoide
34. Devant une tuméfaction latéro-cervicale sous-digastrique isolée apparue brutalement chez un sujet de 25 ans, quel diagnostic évoquez-vous en-dehors dune adénopathie?
A. Tumeur du pôle inférieur de la parotide
B. Grande corne de los hyoide
C. Kyste congénital du cou
D. Nodule thyroidien
E. Tumeur du glomus carotidien
35. Devant une adénopathie cervicale sous-digastrique suspecte d’être la métastase d’un cancer, il faut rechercher la porte d’entrée
A. Au niveau de l’hypopharynx
B. Au niveau de la corde vocale
C. Au niveau de l’amygdale
D. Au niveau du nasopharynx
E. A, C, D
36. Un homme de 27 ans, maghrébin d'origine, en France depuis 6 mois, présente depuis 4 mois une hypoacousie gauche. Il consulte pour une adénopathie spinale haute et gauche, de 3 cm de diamètre, fixée aux plans profonds. L'état général est conservé; l'examen clinique est normal par ailleurs. Il n'y a pas d'intoxication alcoolo-tabagique. La ponction ganglionnaire révèle la présence de cellules malignes. Le premier diagnostic évoqué est:
A. Un cancer bronchopulmonaire avec adénopathie métastatique
B. Une tumeur de la parotide, avec adénopathie métastatique
C. Un choléstéatome
D. Un cancer du cavum avec adénopathie métastatique
E. Un carcinome de la base de langue avec adénopathie métastatique
37. Nasopharyngeal carcinoma, the most common presentation is with?
A. Nasal stuffiness
B. Epistaxis
C. Hoarseness of voice
D. Cervical lymphadenopathy
E. Nasal stuffiness and Epistaxis
38. A 75-year-old man with conductive hearing loss, tinnitus, dull reflex on tympanic membrane, posterior cervical nodes palpable. What is the diagnosis?
A. Nasopharyngeal Cancer
B. Middle ear malignancy
C. Leukemia
D. Chronic otitis media
E. Otitis media with effusion
39. The most common and earliest manifestation of carcinoma of the glottis is?
A. Hoarseness
B. Hemoptysis
C. Cervical lymph nodes
D. Stridor
E. Dyspnea
40. Which one of the following investigations is most valuable in deep neck infections?
A. X-ray of soft tissue lateral neck view
B. CT scan
C. CT with contrast enhancement
D. MRI
E. Culture
41. Chances of cevical nodal metastases are highest in carcinoma of:
A. Glottis
B. Subglottis
C. Supraglottis
D. Anterior commissure
E. Vocal cords
42. The highest incidence of distant metastases in laryngeal cancer is seen in:
A. Lung
B. Bone
C. Liver
D. Brain
D. Brain
43. Quel est le principal facteur de risque de cancer de l’ œsophage :
A. Sujet alcoolo-tabagique chronique
B. Germe Helicobacter pylori
C. RGO
D. Papillomavirus humain de type 16
E. brûlures caustiques
44. Devant les symptômes suivants : une dysphagie progressive et persistante, une altération de l’état général (perte d’appétit, fatigue, amaigrissement) ou encore la survenue de régurgitations, un hoquet et une haleine fétide. Quel diagnostic proposez- vous?
A. Cancer de l’ œsophage
B. Cancer de hypopharynx
C. Cancer de larynx
D. Tumeur de l’ estomac
E. Diverticule de l’ oesphage
45. Parmi les propositions suivantes quelle(s) est (sont) celle(s) qui représente(nt) un risque particulier de cancer de l'œsophage ?
A. Varices œsophagiennes
B. L'ulcère du collet d'une hernie hiatale
C. L'alcoolo-tabagisme
D. Les tumeurs bénignes de l'œsophage
E. La sténose oesophagienne
46. Le cancer de l’œsophage :
A. Touche préférentiellement la femme jeune
B. Est responsable d’une dysphagie paradoxale
C. Histologiquement, est habituellement un carcinome épidermoïde
D. Nécessite une échographie abdominopelvienne
E. Peut- être révélé par une adénopathie sous mendibulaire
La dysphagie du cancer de l’œsophage :
A. Témoigne d’une extension médiastinale
B. Est d’abord marquée par les aliments solides
C. Apparaît dès le début de la croissance tumorale
D. Est d’évolution capricieuse
E. Est palliée par des traitements non chirurgicaux
48. Plusieurs examens sont utiles au bilan d’extension d’un cancer du tiers moyen de l’œsophage. Lequel le plus important pratiqué en premier lieu?
A. Tomodensitométrie thoraco- abdominale
B. Mediastinoscopie
C. Pleuroscopie
D. Echoendoscopie oesophagienne
E. Fibroscopie bronchique
49. Un homme de 50 ans en bon état général, est porteur d’un carcinome malpighien de l’œsophage prouvé par biopsie, situé au 1/3 moyen. Le bilan d’extension est négatif. Quel est le traitement que l’on doit lui proposer en première intention parmi les 5 propositions suivantes
A. Traitement par laser
B. Mise en place d’une endoprothèse
C. Oesophagectomie totale avec rétablissement de la continuité
D. Chimiothérapie
E. Irradiation loco- régionale
50. Concernant le cancer épidermoïde de l’œsophage, l’une des affirmations suivantes est fausse. Laquelle ?
A. L’incidence est d’environ 20 pour 100.000
B. Le tabagisme est un facteur de risque
C. La TDM thoracique est le meilleur examen pour préciser l’extension en profondeur de la tumeur
D. L’écho endoscopie est le meilleur examen pour préciser l’extension en profondeur
E. L’association à un cancer ORL ou bronchique survient dans 5% des cas
51. Le cancer thyroidien papillaire:
A. Est le plus frequent des cancers thyroidiens Peut avoir une extension au niveau des ganglions lymphatiques cervicaux. Peut être surveillé après thyroidectomie totale par le taux de thyroglobuline cervulante ( en l’ absence d’ anticorps anti-thyroglobuline.
B. Est de meilleur prognostic après 50 ans
C. Peut avoir une extension au niveau des ganglions lymphatiques cervicaux.
D. Est souvent associé à un phéochromocutome
E. Peut être surveillé après thyroidectomie totale par le taux de thyroglobuline cervulante ( en l’ absence d’ anticorps anti-thyroglobuline.
52. Aprèsthyroidectomie totale, iln’ya pas de fixation cervicale de l’ idiode 131. Parmi les propositions suivantes, quelles sont celles qui sont adaptées à l’ état pathologique?
A. Indication d’un traitement par l’iode 131.
B. Homonothérapie thyroidienne bloquant la réactivité de TSH à TRH Dosage régulier de la thyroglobuline sous hormonothérapie thyr Contrôle régulieu de la radiographie pulmonaire.oidienne.
C. Dosage régulier de la thyroglobuline sous hormonothérapie thyroidienne.
D. Contrôle régulieu de la radiographie pulmonaire.
E. Aucune de ces propositions
53. L’ analyse du liquid de ponction met en evidence des cellules thyroidiennes suspectes de malignité. Parmi les propositions suivantes tirées de l’ observation, quelles sont celles en faveur de la malignité?
A. Refoulement de la trachée vers la gauche
B. Paralysie du recurrent droit Antécédant de radiothérapie cervicale
C. Antécédant de radiothérapie cervicale
D. Présence d’ une macrocalcification
E. Absence d’ effondrement du nodule après ponction.
54. La ponction du nodule ne ramène qu’ un demi ml de liquid brun foncé ce qui ne modifie pas son volume. Parmi les propositions suivantes, quelles sont celles que l’ on peut exclure?
A. Kyste thyroidien vrai Hématocèle simple isolée Thyoidite nodulaire
B. Hématocèle simple isolée
C. Hématocèle localisée au sein d’ un adenoma
D. Hématocèle localisée au sein d’un épithélioma
E. Thyoidite nodulaire
55. Chez un patient de 60ans le traitement d ‘un cancer thyroidien papillaire de 3cm de diamètre du lobe droit comprendre:
Une Lobectomie droite
Une Thyroidectomie totale
Une parathyroidectomie
Une radiothérapie externe
Une chimiothérapie
56. Marqueurs des cancers thyroidiens : indiquez la réponse exacte.
A. Le dosage de la thyroglobuline est un bon outio de dépistage des cancers throidiens differences
B. Le dosage de la thyroglobuline est un bon outil de suivi des cancers thyroidiens médullaires après chirurgie
C. Un taux de thyroglobuline dans les valeurs normales 1an après thyroidectomie totale pour cancer papillaire signe sa guérison
D. Pour interpreter un taux de thyroglobuline in faut s’assurer de l’absence de surcharge iodée
E. Les anticorps anti-thyroglobuline peuvent interferer avec le dosage de la thyroglobuline
57. Dans quelle situation est il justifié de doser la thyroglobuline?
A. Nodule thyroidien avec adénopathie cervicale homolatérale
B. Volumuneux goiter nodulaire
C. Nodule thyroidien froid à la scintigraphie
D. Nodule thyroidien avec cytoponction très en faveur de la malignité
E. Suivi d’ un patient traité par thyroidectomie totale et totalisation isotopique pour cancer thyroidien
58. Cancer thyroidien différencié: citer le caractère qui est un facteur de moins bon pronostic.
A. Type papillaire
B. Localization isthmique
C. Pas de fixation del’ iode à la scintigraphie
D. âgé 60 ans
E. caractère hypoéchogène à l’échographie
59. Cancer thyroidien différencié: dans quelle cas peut on discuter une loboisthmectomie, plutôt qu’une thyroidectomie totale?
A. Cancer vésiculaire lobaire de 1cm de diamètre, unifocal, patient de 40ans.
B. Cancer papillaire lobaire de 1cm de diamètre, unifocal, patient de 12ans.
C. Cancer papillaire lobaire de 1cm unifocal, patiente de 60ans.
D. Cancer papillaire lobaire de 1cm de diamètre, unifocal, patient de 30ans
E. Cancers papillaires de 1cm de diamètre, multifocaux, patiente de 35ans
60. Chez quel patient doit-on utiliser un traitement par levothyroxine à des doses permettant de freiner la TSH?
Femme 60ans hypothyroidite de Hashimoto.
Femme 30as hypothyroidie par thyroidite atrophique
Homme 65ans thyroidectomie totale pour cancer papillaire
Homme 65 ans goitre nodulaire
Femme 70ans goitre simple.
61. Les types de chirurgies Oncologiques :
A. Chirurgie curative Chirurgie prophylactique Curage réparatrice et reconstrutive Chirurgie diagnostique Chirurgie palliative
B. Curage réparatrice et reconstrutive
C. Chirurgie prophylactique
D. Chirurgie diagnostique
E. Chirurgie palliative
62. Pour les Cancers en ORL T1N0 M0
A. Chirurgie curative curage sélectif
B. Curage ganglionnaire fonctionnel bilateral
C. Curage ganglionnaire fonctionnel unilateral
D. Curage radicale modifié
E. Curage sélectif
63. Pour les cancers en ORL T2N1 M0
. Chirurgie curative curage ganglionnaire fonctionnel
Curage ganglionnaire fonctionnel
Curage ganglionnaire radical
Curage radical modifié
Curage sélectif
64. Pour les cancers en ORL T2N2a Mo
A. Chirurgie curative curage fonctionnel bilateral
B. Curage fonctionnel bilateral
C. Curage fonctionnel fonctionnel unilateral
D. Curage radical modifié
E. Curage sélectif
Pour les cancers des VADS T2 N2b M0
A. Chirurgie curative curage fonctionnel fonctionnel unilateral
B. Curage fonctionnel bilateral
C. Curage fonctionnel fonctionnel unilateral
D. Curage radical modifié
E. Curage radial
66. Pour les cancers des VADS T2 N2c M0
A. Chirurgie curativeC. Curage fonctionnel fonctionnel unilateral D. Curage radical modifié
B. Curage fonctionnel bilateral
C. Curage fonctionnel fonctionnel unilateral
D. Curage radical modifié
E. Curage Radical
67. Pour les cancers des VADS T3 N3 M0 A. Chirurgie curative B. Curage fonctionnel bilateral C. Curage fonctionnel fonctionnel unilateral D. Curage radical modifié E. Curage Radical
A. Chirurgie curative curage fonctionnel fonctionnel unilateral curage radical modifié
B. Curage fonctionnel bilateral
C. Curage fonctionnel fonctionnel unilateral
D. Curage radical modifié
E. Curage Radical
68. Pour les cancers de la langue T1N1 M0 occupant le bord libre
Glossectomie partielle et curage fonctionnel unilateral
Hémiglossectomie et curage fonctionnel unilateral
Pelvi-glossectomie et curage radical
Pelvi-glossectomie et curage radical
Glossectomie partielle et curage radical
69. Pour les cancers de la languer T2 envahissant du plancher buccal, N1M0
Glossectomie partielle et curage fonctionnel unilateral
Glossectomie partielle et curage radical modifié
Pelviglossectomie et curage fonctionel bilateral
Pelviglossectomie et curage fonctionnel unilateral
F. Hémiglossectomie et curage fonctionnel unilateral
70. Pour les cancers du palais mou, occupant la ligne médiane T1N1M0
Chirurgie curative
Chirurgie curative avec curage fonctionnel bilateral
Chirurgie curative avec curage fonctionnel unilateral
Chirurgie curative avec curage radical modifié
Chirurgie curative avec curage selectif
71. Les cancers du larynx T3N1M0
A. Laryngectomie totale
Curage fonctionnel bilateral laryngectomie totale
C. Curage radical bilatéral
D. Curage recurrentil
E. Curage radical modifié
72. Le cancer de l’ amygdale droit T1N2cM0
Amygdalectomie droite + curage fonctionnel gauche et radical modifié droit
Amygdalectomie droite+ curage fonctionnel bilatéral
Amygdalectomie droite+ curage fonctionnel droit et curage radical gauche
Amygdalectomie droite+ curage sélectif droit et curage fonctionnel gauche
Amygdalectomie droite+ curage radical droit et curage fonctionnel gauche
73. Le cancer du sinus piriforme droit T2N3M0
A. laryngectomie + curage radical droit et curage fonctionnel gauche
Laryngectomie + curage fonctionnel bilatéral
C. Pharyngo laryngectomie totale+ curage radical modifié droit et curage fonctionnel gauch
D. Pharyngolaryngectomie totale + curage radical droit et curage fonctionnel gauche.
E. Pharyngolarymgectomie totale+ curage fonctionnel bilateral
74. Le cancer de l’aryténoide, envahissant de la paroi postérieur du larynxT3N2M0
A. Pharyngolaryngectomie totale+ curage radical droit et curage fonctionnel gauche
B. Pharyngolaryngectomie totale +curage fonctionnel bilateral
C. Laryngectomie totale +curage fonctionnel bilateral
D. Laryngectomie totale+ curage radical bilateral
Ryngectomie totale+ curage sélectif gauche et curage radical droit
75. Le cancer de zone de la corde vocale droite, envahissant à la bande ventriculaireT3N2aM0
Laryngectomie totale + curage fonctionnel bilateral
Laryngectomie totale+ curage radical droit et curage fonctionnel gauche
Laryngectomie totale + curage radical bilateral
Laryngectomie totale+ curage selectif gauche et fonctionnel droit
Pharyngolaryngectomie totale+ curage radical droite et curage médiatinal
76. La cancer thyroide droite T2 N1 M0
Lobo istmectomie droite + curage fonctionnel droit
Thyroidectomie totale + curage fonctionnel droit et curage récurrentiel
Thyroidectomie totale+ curage fonctionnel bilateral
Loboisthmectomie droite + curage récurrentiel et fonctionnel
Loboisthmectomie droite+ curage radical modifié et curage récurrentiel
77. Quelle est la Complication le plus frequent des curage ganglionnaires cervicale:
Dysphagie
. dysphonie
Ymphorrhée
Mortel
Aphagie
78. Le carcinoma de la langue mobile T1NoMo
Glossectomie partielle+ curage radical modifié
Glossectomie partielle+ curage fonctionnel
Glossectomie partielle+ curage radical modifié
Glossectomie partielle+ curage sélectif
Glossectomie partielle + fonctionnel bilateral
79. Carcinome in situ de la langue
Glossectomie partielle + curage sélectif
Glossectomie partielle
Glossectomie partielle + curage fonctionnel
Glossectomie partielle+ curage radical modifié
Hémiglossectomie
80. Carcinome indifferencié de l’amygdale
Amygdalectomie +curage sélectif
Amygdalectomie +curage sélectif
Amygdalectomie+ sans curage
Amygdalectomie élargie+ curage
. Radio et chimiothérapie
Concernant le cancer médullaire de la thyroïde, laquelle de ces propositions est fausse ?
A. C'est le plus fréquent des cancers thyroïdiens
B. Il peut être associé à un phéochromocytome
C. S'accompagne d'un taux élevé de calcitonine
D. N'est pas une cause d'hypocalcémie
E. présente plus souvent un envahissement ganglionnaire local
Le cancer médullaire de la thyroïde
A. Fait partie des cancers différenciés de la cellule folliculaire
B. représente plus de 30% des cancers thyroïdiens
C. Est une affection génétique héréditaire dans moins de 10% des cas
D. secrète de la calcitonine
E. A un meilleur pronostic que le cancer papillaire
83. Cancer thyroïdien différencié : citer le caractère qui est un facteur de moins bon pronostic.
A. Cancer vésiculaire lobaire de 1 cm de diamètre, patient de 40 ans
B. Cancer papillaire lobaire de 1 cm de diamètre, unifocal, patient de 12 ans
C. Cancer papillaire lobaire de 1 cm de diamètre, unifocal, patiente de 60 ans
D. Cancer papillaire lobaire de 1 cm de diamètre, unifocal, patient de 30 ans
E. Cancers papillaires de 1 cm de diamètre, multifocaux, patiente de 35 ans
84. Marqueurs des cancers thyroïdiens : indiquez la réponse exacte.
A. Le dosage de la thyroglobuline est un bon outil de dépistage des cancers thyroïdiens différenciés
B. Le dosage de la thyroglobuline est un bon outil de suivi des cancers thyroïdiens médullaires après chirurgie
C. Un taux de thyroglobuline dans les valeurs normales 1 an après thyroïdectomie totale pour cancer papillaire signe sa guérison
Pour interpréter un taux de thyroglobuline il faut s'assurer de l'absence de surcharge iodée
E. Les anticorps anti-thyroglobuline peuvent interférer avec le dosage de la thyroglobuline
85. Chez un patient de 60 ans le traitement d'un cancer thyroïdien papillaire de 3 cm de diamètre du lobe droit doit comprendre :
A. Une lobectomie droite
B. Une thyroïdectomie totale
C. Une para thyroïdectomie
D. Une radiothérapie externe
E. Une chimiothérapie adjuvante
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