Thérapeutic MD second choice
Thérapeutic Oncology Quiz for MD Candidates
Test your knowledge on pediatric oncology and hepatology with our comprehensive quiz designed for future medical professionals. This quiz covers critical topics, including cancer epidemiology in children, hepatitis treatments, and more.
Key Features:
- 265 Questions
- Multiple Choice Format
- Focused on Therapeutic Strategies
Quelle est la proposition exacte concernant l’épidémiologie de cancer chez l’enfant ?
L’enfant n’est jamais atteint de cancer
Il n’existe pas de cancer chez l’enfant au Cambodge
Il ne faut jamais penser au cancer devant une masse abdominale de nouveau-née
L’incidence de cancer de l’enfant < 15ans est environ 130 nouveaux cas par million par an
La leucémie aigue est une maladie de l’adolescence
Lequel entre les cancers si dessous est un cancer chez l’enfant ?
A. Le carcinome hépatocellulaire
B. Le cholangiocarcinome
C. Le carcinome à petite cellule du poumon
D. Le carcinome épidermoide de l’œsophage
E. Le néphroblastome
Quelle est la localisation tumorale de neuroblastome ?
A. Le rein
B. La glande surrénale et le system nerveux sympatique
C. Le ganglion lymphatique
D. La moelle osseuse
E. La rétine
La différence entre le cancer chez l’enfant et chez l’adulte :
A. Pas de différence
B. Le développement de cancer chez l’adulte est plus vite
C. Les enfants répondent mieux au traitement
D. Les cellules cancéreuses chez l’adulte sont plus tôt immatures
E. Les localisations et les types histologiques sont très semblables
La conduit à tenir de cancer chez l’enfant:
A. Evoquer le diagnostique, préserver la fonction vitale, traitement de la douleur, organiser la prise en charge par un équipe spécialisé
B. Le traitement est dans le bute palliatif
C. La chimiothérapie doit être commencée immédiatement
D. La radiothérapie ne doit pas pratiquer chez l’enfant
E. La chirurgie doit être faite avant la chimiothérapie
1- Évaluation pré-thérapeutique essentielle ( Pre-therapeutic assessment )concernant l’infection à virus C traitée par DAA ( Direct Acting Antiviral) + Ribavirin quelle est la proposition qui n’est pas importante ?
A- Génotypage du virus
B- Evaluation du stade de la fibrose
C- Dosage de la charge virale ARN VHC ( RNA HCV )
D- Dosage IL 28 B Génotype
E- L’utilisation du contraceptif efficace
2- Parmi les propositions suivantes concernant la surveillance du malade de l’hépatite C après l’arrêt du traitement , laquelle est exacte pour confirmer la guérison ?
A- Dosage de la charge virale PCR au 2ème mois après l’arrêt du traitement
B- Dosage de la charge virale PCR au 3ème mois après l’arrêt du traitement
C- Dosage de la charge virale PCR au 6 ème et 12ème mois après l’arrêt du traitement
D- Dosage de la charge virale PCR au 7ème mois après l’arrêt du traitement
E- Dosage de la charge virale PCR au 16 ème mois après l’arrêt du traitement
3- Donner la réponse exacte concernant l’utilisation de SOFOSBUVIR + LEDIPASVIR. Parmi Les effets secondaires souvent rencontrés :
A- Anurie
B- Anémie
C- Amaigrissement
D- Impuissance sexuelle
E- Céphalée et Fatigue
4- Donner la réponse exacte concernant l’utilisation de SOFOSBUVIR + LEDIPASVIR. Ces médicaments sont efficaces :
A- Pour tout les genotypes 1 2 3 4 5 6
B- Pour le genotype 2- 3 seulement
C- Pour le genotype 1-2- 3 seulement
D- Pour le genotype 1 – 4- 5- 6 seulement
E- Pour le genotype 3- 4 seulement
5- Parmi les propositions suivantes concernant le traitement du malade de l’hépatite C , laquelle est fausse ? Eradication du virus peut :
Réduire voire regresser le stade de fibrose,
Réduire le risque vers le Cancer
Eviter l’évolution vers le cancer
Réduire les besoins de transplantation hépatique
Reduire le risque de décompensation
6- Parmi les propositions suivantes concernant la surveillance et le résultat à la fin de traitement du malade de l’hépatite C , laquelle est fausse ?
A. Le Dosage de la charge virale s’effectue au 3ème - 6ème et 12 ème mois après l’arrêt du traitement
B. Le contrôle de la charge virale est nécessaire à chaque année
C. Si la charge virale s’avère négative au 12 ème mois on peut considerer comme guérit
D. Le contrôle de la charge virale n’est pas nécessaire si elle est negative au 12 ème mois après l’arrêt du traitement
L’eradication du virus peut réduire voire regresser le stade de fibrose,
7- Quel est le médicament en Cardiologie qu’il faut éviter d’utiliser en association avec SOFOSBUVIR + LEDIPASVIR :
A. Propranolol
B. Atenolol
A. Amiodarone
D. Nifédipine
E. Enalapril
8- Parmi les medicaments hypolipidémiants cités ci dessous, Quel est le médicament qui est sans interaction avec SOFOSBUVIR + LEDIPASVIR :
A. Atorvastatin
B. Lovastatin
A. Gemfibrozil
D. Fenofibrate
E. Simvastatin
1- Traitement de l’hépatite virale B : parmis les médicaments cités en bas lequel est préférable et nouveau dans l’année 2017 ?
A. Lamivudine
B. Adéfovir
C. Telbivudine
D. Ténofovir disoproxyl fumarate
E. Ténofovir Alafénamide
2- Traitement de l’hépatite virale B par Ténofovir disoproxyl fumarate doit être en precaution chez les malades avec :
A. Insuffisance rénale
B. Insuffisance hépatique
C. Diabète
D. HTA
E. Anémie Hb <7g
3- Traitement de l’hépatite virale B : En cas de résistance avec Tenofovir disoproxyl fumarate faut il choisir quel medicament :
A. Lamivudine
B. Adéfovir
C. Telbivudine
D. Entécavir
E. Ténofovir Alafénamide
4- Traitement de l’hépatite virale B : En cas de résistance avec l’Entécavir faut il choisir quel médicament:
A. Lamivudine
B. Adéfovir
C. Telbivudine
D. Ténofovir disoproxyl fumarate
A. Ténofovir Alafénamide
5- La prevention de la contamination périnatale de la mère porteuse de l’Ag HBs se fait par :
A- Vaccination
B- Vaccination et serum HBIG dans 24 h après accouchement
C- Vaccination et serum HBIG dans 12 h après accouchement
D- serum HBIG dans 24 h après accouchement
E- serum HBIG dans 12 h après accouchement
6- Une femme enceinte de 5 mois avec Ag HBs + et ADN HBV 150.000.000 copies/ml ;
A- Prescrire Telbivudine
B- Prescrire Ténofovir au 6 ou 7 ème mois de gestation et arrêter au semaine 24 après l’accouchement
C- Prescrire Ténofovir au 6 ou 7 ème mois de gestation et arrêter au semaine 12 après l’accouchement
D- Vaccination et serum HBIG de la mère au 6 ème mois
Prescrire Ténofovir au 6 ou 7 ème mois de gestation et arrêter au semaine 12 après l’accouchement + Vaccination et serum HBIG dans 12 h après l’accouchement
7- Une femme HBV enceinte de 4 mois sous traitement avec Lamivudine :
A. Continuer le traitement
B. Arrêter le traitement
C. Changer à l’entécavir
D. Associer avec Ténofovir
E. Changer au Ténofovir
8- Une femme porteuse de l’Ag HBs en accouchement :
A. Vaccination et serum HBIG pour la mère
B. Vaccination et serum HBIG pour le nouveau né dans 24 h après l’accouchement
C. Prescrire Ténofovir pour la mère
D. Vaccination et serum HBIG pour le nouveau né dans 12 h après l’accouchement
E. Vaccination et serum HBIG pour le nouveau né dans 12 h après l’accouchement et Prescrire Ténofovir pour la mère
1. La calcitonine chez l’homme:
Provoque une hypercalcémie
Provoque une hyperphosphorémie
Agit essentiellement la formation de la vitamine D
Bloque la résorption osseuse ostéoclastique
Constitue un traitement efficace des hypocalcémies
Un syndrome d'hypercalcémie peut s'accompagner d'un des plusieurs signes suivants:
Polydypsie
Prurit
Diarrhée
Polyphagie
Trouble mentruel
Laquelle est la cause d’une hypercalcémie à PTH augmenté:
Intoxication par la vitamine D
Une hyperthyroïdie
Hémopathies malignes
Un adénome parathyroïdien
Syndrome des buveurs de lait
Parmi les causes d'hypercalcémie suivantes, quelle est celle comportant une hyperabsorption digestive du calcium?
Maladies inflammatoires
Cancer osseux métastatique
Hypervitaminose D
Immobilisation prolongée
Maladie de Basedow
Parmi les propositions suivantes, lequel est trouvé dans l’hypercalcémie?
Signe de Trousseau
Allongement de l’espace QT
Hyperreflexie
Constipation
Insomnie
La calciurie est abaissée par:
L'hypercalcémie
L'acidose métabolique
Le traitement par le furosémide
L’hyperhydratation salée
Les diurétiques thiazidiques
Parmi les circonstances suivantes, laquelle peut révéler une hyper-parathyroidie primitive ?
Insuffisance rénale chronique
Hypercalcémie de découverte fortuite
Fracture osseuse
Hypertension artérielle
Polyarthrite rhumatoïde
Au cours d'une hypercalcémie maligne sans insuffisance rénale, laquelle est la premiàre mesure thérapeutique à mettre en place en urgence?
Diurétiques de l'anse (furosémide)
Réhydratation salée isotonique IV
Prednisone
Digitaline
Diphosphonates
Pour traiter une hypercalcémie, vous pouvez prescrire un des médicaments suivants:
Diurétique du groupe thiazide
Diurétique de l'anse (furosémide)
Anti-inflammatoires non stéroïde
Anti-thyroïdiens de synthèse
Les vitamines D3 actives
Au cours d'une hypercalcémie, les traitements suivants peuvent être employés sauf un, lequel?
Diurétiques de l'anse (furosémide)
Réhydratation
Prednisone
Biphosphonate
Indométhacine
Vous préconisez à traiter de l’hypercalcémie par la glucocorticoïde car:
Elle inhibe l’action de l’enzyme au niveau hépatique
Elle inhibe l’action de l’enzyme au niveau rénale
Elle entraine une hypersécrétion de PTH 1,84
Elle provoque une diurèse rénale abondante
Elle inhibe l’absorption intestinale du calcium
Parmi les proposition suivantes, lequel est trouvé dans l’hypercalcémie aiguë majeure?
A. Une fièvre élevée
B. Un calcule renal
C. Un signe de trousseau
D. Une hyperphosphatémie
E. Une diarrhée profuse
Les signes biologiques de l’hypercalcémie sont les suivants, sauf:
A. Hypercalcémie
B. Hypercalciurie
C. Hypocalciurie
D. PTH 1,84 élevée
E. Hypophosphatémie
Laquelle est la cause d’une hypercalcémie à PTH diminuée:
Intoxication par la vitamine D
Une hyperparathyroïdie primaire
Une hyperparathyroïdie secondaire
Une hyperparathyroïdie tertiaire
Une hyperplasie parathyroïdienne
Hyperparathyroïdie secondaire peut être causée par une des propositions suivantes, sauf:
Insuffisance rénale chronique
Insuffisance en vitamine D
Dialyse péritonéale répétée
Transfusion sanguine répétée
Insuffisance hépatocellulaire
Hypercalcémie par excès un vitamine D est traitée par les moyens suivants, sauf:
Arrêt le supplement en vitamin D
Réduction de l’apport de calcium
Arrêt la prise des thiazidiques
Réhydratation suffisante
Prescrire les glucocorticoïdes
Parmi les doses toxicologiques suivantes d’une intoxication aux benzodiazépines en moyenne chez l’adulte, laquelle est exacte ?
50mg à 70mg
100mg à 500mg
70mg à 90mg
1mg à 5mg
5mg à 10mg
Parmi les signes cliniques suivants d’une intoxication aux benzodiazépines, laquelle est exacte ?
Une hypertension artérielle
Un trouble visuel
Une mydriase unilatérale aréflexique
Un insomnie
Une hypotension artérielle
Concernant l’intoxication par benzodiazépine, quelle est la réponse exacte ?
Une tachycardie ventriculaire est une complication fréquente
Une arythmie complète par fibrillation auriculaire est une complication fréquente
Un bloc sino-auriculaire de haut degré est une complication fréquente
Une Bradycardie sinusale(Rohypnol®)
Un bloc auriculoventriculaire de haut degré est une complication fréquente
Parmi les signes cliniques suivants d’une intoxication aux benzodiazépines, laquelle est exacte ?
Une dépression respiratoire
Une mydriase unilatérale aréflexique
Un trouble visuel
Un insomnie
Une hypertension artérielle
Parmi les signes suivants, laquelle peut typiquement appartenir au tableau d’intoxication aux benzodiazépines ?
Une somnolence
Une mydriase unilatérale aréflexique
Une respiration de Cheyne-Stokes
Une asymétrie de tonus
Un allongement du QT sur l’ECG
En cas d’intoxication médicamenteuse volontaire aux benzodiazépines, le traitement évacuateur, lequel est vrai ?
Une installation en position demi assise
Une pose d’une voie veineuse avec perfusion d’un soluté glucosé
Un lavage gastrique charbon active
Un antidote
Une pose d’une sonde urinaire
En cas d’intoxication médicamenteuse volontaire aux benzodiazépines, le traitement pré hospitalisé, laquelle est vraie ?
Une installation en position demi assise
Une pose d’une sonde urinaire
Une oxygénothérapie : au masque 8l/mn
Un antidote
Une antibiothérapie
En cas d’intoxication médicamenteuse volontaire aux benzodiazépines, le traitement pré hospitalisé, laquelle est vraie ?
Une installation en position latérale de sécurité (PLS)
Une pose d’une sonde urinaire
Une antitoxine
Un antidote
Une antibiothérapie
Quel est l’antidote d’une intoxication exclusive par benzodiazépines ?
Un flumazénil (Anexate)
Une naloxone
Un N-acétylcystéine
Une vitamine K
Une vitamine C
Parmi les doses toxicologiques suivantes d’une intoxication aux benzodiazépines en moyenne chez l’enfant, laquelle est exacte ?
50mg à 70mg
100mg à 200mg
70mg à 90mg
1mg à 5mg
5mg à 10mg
Parmi les signes cliniques suivants d’une intoxication aux antidépresseurs tricycliques, laquelle est exacte ?
Une bradycardie fréquente
Une mydriase unilatérale aréflexique
Une mydriase unilatérale réflexique
Une rétention d’urine
Une pollakiurie
Concernant l’intoxication par les antidépresseurs tricycliques, quelle est la réponse inexacte
Une hypertension artérielle
Une tachycardie
Une constipation
Un état de mal convulsive
Une hypotension artérielle
Parmi les signes cliniques suivants d’une intoxication aux antidépresseurs tricycliques, lequel est exact ?
Un syndrome anticholinergique
Une mydriase unilatérale aréflexique
Une mydriase unilatérale réflexique
Une bradycardie fréquente
Une pollakiurie
Concernant l’intoxication par les antidépresseurs tricycliques, quelle est la réponse exacte ?
Une manifestation allergique cutanéo-muqueuse
Une tachycardie sinusale
Un trouble urinaire
Un trouble génital
Une diarrhée
Concernant l’intoxication par les antidépresseurs tricycliques, quelle est la réponse inexacte ?
Un état de mal convulsive
Une tachycardie
Une constipation
Une mydriase unilatérale
Une hypotension artérielle
En cas d’une intoxication par les antidépresseurs tricycliques, le traitement des torsades de pointe, laquelle est vraie ?
Une perfusion de soluté glucosé à 10%
Un antidote
Un antalgique
Une pose d’une sonde urinaire
Une utilisation d’isoprotérénol-Isuprel®.
Parmi les traitements suivants d’une intoxication par les antidépresseurs tricycliques, laquelle est inexacte ?
Une lavage gastrique
Une pose d’une sonde vésicale
Une oxygenothérapie
Une ventilation mécanique
Une utilisation du charbon activé
En cas d’une intoxication par les antidépresseurs tricycliques, le traitement pré hospitalisé, laquelle est vraie ?
Une pose d’une voie veineuse
Une pose d’une sonde urinaire
Un antalgique
Une antibiothérapie
Un antidote
Parmi les traitements suivants d’une intoxication par les antidépresseurs tricycliques, laquelle est inexacte ?
Une perfusion de lactate de sodium molaire
Une ventilation mécanique
Une oxygenothérapie
Une hémodialyse
Une utilisation du charbon activé
Concernant l’intoxication par les antidépresseurs tricycliques, quelle est la réponse inexacte
Une tachycardie
Une hypersécrétion bronchique
Une hypotension artérielle
Un état de mal convulsive
Une constipation
1. Chez un adulte suspect de pneumonie aiguë communautaire (PAC). Parmi les propositions suivantes concernant les arguments cliniques de diagnostic de PAC, indiquez celle qui est vraie ?
σ Une température à 38,5° C (hyperthermie) permet d’affirmer le diagnostic
σ Une température à 37° C(apyrexie) permet d’éliminer le diagnostic
σ La présence de râles crépitants apparus récemment a une bonne valeur prédictive positive
σ L’absence de signe de gravités apparus récemment a une bonne valeur prédictive positive
σ Un taux normal de procalcitonine au 3ème jour a une bonne valeur prédictive positive
2. Parmi les circonstances suivantes, quelle est celle qui peut rendre le diagnostic de pneumonie aiguë communautaire le plus difficile ?
σ Cancer prostatique
σ Grossesse à terme
σ Fibrose hépatique
σ Insuffisance rénale
σ Patient âgé
3. Un malade chez lequel une pneumonie aiguë communautaire est diagnostiquée aux urgences doit être proposé au réanimateur pour transfert si le critère est suivant est présent :
σ PAs < 170 mmHg
σ PaO2/FiO2 <250
σ pH artériel < 7,42
σ Hb 10 g/dl
σ Epanchement minime
4. Vous voyez en consultation à l’hôpital un homme de 52 ans, chauffeur de Tuk Tuk vivant seul dans la banlieue de Phnom Penh. Il présente depuis 2 jours une toux et une sensation fébrile, non améliorés par l’achat d’un sachet de médicaments à la pharmacie du quartier. Il va de plus en plus mal, et n’a plus la force de travailler.
A l’examen, vous notez : fréquence respiratoire à 31/min; fréquence cardiaque à 128/mn, pression artérielle à 110/80 mm Hg. Température 37,7°C (sous sachets). Trouble de conscience; foyer de râles crépitants des lobes inférieurs droit et gauche.
Quel critère clinique de gravité vous manque-t’il pour calculer le score CURB-65 ?
A l’examen, vous notez : fréquence respiratoire à 31/min; fréquence cardiaque à 128/mn, pression artérielle à 110/80 mm Hg. Température 37,7°C (sous sachets). Trouble de conscience; foyer de râles crépitants des lobes inférieurs droit et gauche.
Quel critère clinique de gravité vous manque-t’il pour calculer le score CURB-65 ?
σ L’âge du patient
σ L’existence d’un coma
σ La socio-économie
σ La baisse de TA
σ Le taux d’urée plasmatique
5. Un sujet âgé de 36 ans consulte aux urgences pour une toux fébrile suspecte de pneumonie aiguë communautaire (PAC). Parmi les propositions suivantes concernant les examens paracliniques d’imagerie pour la stratégie diagnostique de PAC, indiquez celle qui est exacte ?
σ Une radiographie thoracique de face réalisée en 1ère
σ Une radiographie thoracique de face et de profil réalisée en 1ère intention
σ Une échographie pleuro-pulmonaire réalisée en 1ère
σ Une TDM thoracique avec IV de produits de contraste réalisée en 1ère
σ Une TDM thoracique sans IV de produit de contraste réalisée en 1ère
6. Vous voyez en consultation une patiente de 43 ans, obèse, institutrice en école primaire à Takéo. Depuis 4 jours, elle présente une rhinite, pharyngite, et une toux avec expectoration blanchâtre et mousseuse, associée à une douleur rétro-sternale à l’inspiration. Elle a présenté une température pendant 2 jours, au maximum à 38,2°C, puis est devenue apyrétique sans traitement. Mais elle consulte car la toux s’est majorée. A l’examen, T 37,2°C ; PA 120/70 mmHg ; FC 80/min ; FR 16/min ; SpO2 99% en air ambiant. L’auscultation pulmonaire retrouve quelques râles bronchiques, pas de crépitants. Vous évoquez une bronchite aigue en 1èrehypothèse diagnostique, en pensant à une pneumopathie débutante comme hypothèse de diagnostic différentiel.
Parmi les options de bilans paracliniques suivantes, laquelle choisissez-vous ?
Parmi les options de bilans paracliniques suivantes, laquelle choisissez-vous ?
σ Pas de prescription d’examens paracliniques
σ Prescription d’une radiographie thoracique de face
σ Prescription d’un bilan biologique : CRP et NFP
σ Prescription d’un bilan microbiologique : hémocultures et ECBC
σ Prescription d’un bilan virologique : écouvillon naso-pharyngé H5N1
7. Vous recevez une femme XX âgée de 57 ans, pour une dyspnée fébrile. Elle est célibataire sans enfants et vit seule à Phnom Penh. Elle est dyspnéique, se plaint d’une toux non productive et de douleurs thoraciques bi basales apparues en même temps que la fièvre qui était d’emblée à 39,9°C depuis 24 heures. Elle n’a pas de maladies connues Les prélèvements du sang et le cliché du thorax fait. Son élève qui l’emmène à l’hôpital dit qu’elle a une diarrhée sanguinolente et un fébrile. Elle a prise le médicament anti diarrhéique, et il vous montre un sachet d’imodium. A l’examen : fréquence respiratoire à 32/min, TA à 90/50 mmHg, FC à 137 bpm, T à 39°C, SpO2à 87% en air ambiant. Le score de Glasgow est à 13, perte de conscience pendant le transport, râles crépitants bi basales. Dentition en mauvais état. Le reste de l’examen est sans particularité. ECG : rythme régulier et sinusal, tachycardie à 128.Biologie : créatininémie 80 μmol/L; Na 138 mEq/L; Cl 100 mEq/L; K 3.1 mEq/L; glucose 0,8g/L; CRP 125 mg/L; GB 12 800 103/ml; PNN : 9500 103/ml; D-Dimères 500 ng/ml.
Donnez la bonne réponse concernant les principaux critères pour proposer une hospitalisation à cette patiente selon le score Pneumonia Severity Index.
Donnez la bonne réponse concernant les principaux critères pour proposer une hospitalisation à cette patiente selon le score Pneumonia Severity Index.
σ Son âge
σ Le score de Glasgow à 13
σ L’isolement social
σ Le risque d’inobservance
σ Le sexe féminin
8. Une gazométrie artérielle est effectuée en air ambiant et retrouve : pH 7,47 ; Pa O2 60 mmHg ; PaCO2 32 mmHg ; HCO323 mmHg. Sur la base de ces gaz du sang vous concluez que la patiente est en :
σ Acidose respiratoire
σ Alcalose respiratoire
σ Acidose métabolique
σ Alcalose métabolique
σ Hypercapnique
9. Dans le contexte, devant ces gaz du sang, on peut penser que
σ l’hypoxémie lié à une hypoventilation
σ l’hypercapnie liée à une hyperventilation
σ le shunt lié à une embolie pulmonaire
σ le shunt lié à une pneumopathie
σ le gaz du sang est de l’état de base
10. Vous demandez certains examens à visée bactériologique dans ce contexte. Indiquez la proposition exacte :
σ Ces examens ne doivent pas retarder l’antibiothérapie
σ L’antibiothérapie est débutée avant tout examen
σ Il faut attendre les résultats des examens pour débuter une antibiothérapie
σ Aucun examen bactériologique n’est réalisable car la toux de la patiente n’est pas productive
σ Aucun examen bactériologique n’est nécessaire si la patiente n’est pas hospitalisée en réanimation
11. Votre externe vous demande si il y a un intérêt à réaliser une antigénurie pneumocoque.
Quels arguments lui répondez-vous ?
Quels arguments lui répondez-vous ?
σ L’examen interprété sans difficile compte tenu de l’antécédent de sinusite
σ L’examen n’a aucun intérêt les symptômes ayant débuté moins de 24h avant
σ L’examen doit être réalisé avant le début de l’antibiothérapie
σ L’examen peut être réalisé après le début de l’antibiothérapie
σ L’examen a une sensibilité de 100%
12. Vous allez admette la patienta. Quel est le score CURB-65 pour cette patiente ?
σ le score CURB-65 est de 0
σ le score CURB-65 est de 1
σ le score CURB-65 est de 2
σ le score CURB-65 est de 3
σ le score CURB-65 est de 4
13. Vous hospitalisez le patient. Quelle est le traitement antibiotique vous prescrivez ?
σ Cotrimoxazole 960 mg PO, 3 fois par jour en 10 jours
σ Erythromycine 2g PO, 2 fois par jour en 10 jours
σ Amoxicilline 3g Injection repartir en 3 fois par jour puis relais PO en 10 jours
σ Ceftriaxone 2g une fois PO par jours en 10 jours
σ Lévofloxacine 750 mg PO, jour en 10 jours
14. Elle quitte l’hôpital contre avis médical et revient 8 jours plus tard beaucoup plus calme, avec une douleur thoracique qui est réapparue, une dyspnée et une hyperthermie à 38°C. Le cliché de thorax et les planches de scanner les plus représentatives sont les suivantes.
Quelle est votre hypothèse diagnostique sur l’imagerie ?
Quelle est votre hypothèse diagnostique sur l’imagerie ?
σ Atélectasie pulmonaire
σ Excavation pulmonaire
σ Infiltration nodulaire
σ Opacité alvéolaire
σ Pleurésie cloisonnée
15. Quels sont les principes de prise en charge que vous allez proposer pour vous come le 1èreannée internat?
σ Diurétique de l’angle avec Lasilix 40 mg 2 ampoules/jour
σ Drainage pleural avec prélèvement bactériologique
σ Kinésie respiratoire de drainage bronchique
σ Ponction pleurale avec évacuation
σ Décision débuter anti tuberculeux
16. Un jeune home, auparavant sain, est admis aux urgences pour une intoxication aux barbituriques responsables d’une hypoventilation sévère. La respiration mélange à 50% d’O2n’a pas modifié sa PaCO2. Approximative, à quelle valeur la PaO2 peut être s’élever?
σ 25
σ 50
σ 75
σ 100
σ 200
17. On constate chez un patient ayant une inégalité du rapport ventilation/perfusion sévère et qui reçoit un mélange à 80% d’O2 n’a atteint que 300 mmHg. Les facteurs susceptible d’expliquer un chiffre si bas sont existence d’unités pulmonaires à très bas VA /Q une atélectasie des unités à bas rapport VA/Q du a Les avantages des sondes nasales pour l’administration d’O2 sont :
σ elles sont supportés confortablement sur le long période
σ les concentration d’O2 inspire dépasse facilement 60%
σ la concentration d’O2 dans l’air inspirée est connue avec précision
σ la PCO2 inspirée ne s’élève pas
18. Les masques à oxygène avec effect Venturi sont utile parce que :
σ ils délivrent une concentration d’O2 superieur 60%
σ la concentration d’O2 inspirée est bien controlée
σ la PaCO2 inspirée est base
σ FiO2 s’élève lorsque la ventilation augmente
19. L’oxygénothérapie intermittente peut être dangereuse dans le traitement de l’insuffisance respiratoire parce que:
σ l’élévation de la PaCO2 est rapide après arrêt de l’O2
σ la PaO2 s’effondre après arrêt de l’O2
σ l’élévation de la pression artérielle pulmonaire est importante
σ une HTA est possible
20. Chez quel(s) patients la prescription d’O2 est-elle potentiellement iatrogène ?
σ Chez tous les BPCO
σ Chez tous les Insuffisants respiratoires chroniques obstructifs
σ Chez tous les insuffisants respiratoires chroniques restrictifs
σ Chez tous les patients hypoxiques chroniques
σ Chez tous les patients hyperocéaniqu
1. Concernant l’indication de la thrombolyse, Indiquez la proposition exacte
σ Embolie pulmonaire
σ Dissection aortique
σ Péricardite
σ Ulcère gastrique
σ Accident vasculaire cérébrale hémorragique
2. Concernant la contre-indication de la thrombolyse, Indiquez la proposition exacte
σ Accident vasculaire cérébrale hémorragique
σ Infarctus du myocarde
σ Embolie pulmonaire
σ Thrombose de prothèse valvulaire mécanique
σ Occlusion artérielle aiguë
3. Concernant l’indication de l’héparine, indiquez la proposition exacte
σ Syndrome coronarien aiguë
σ Dissection aortique
σ Péricardite
σ Ulcère gastrique
σ Accident vasculaire cérébrale hémorragique récent
4. Concernant l’effet secondaire indésirable de l’héparine, indiquez la proposition exacte
σ Hyperleucocytose
σ Hyperkaliémie
σ Thrombopénie
σ Hyponatrémie
σ Augmentation de la créatininémie
5. Concernant l’indication de l’anti vitamine K, indiquez la proposition exacte
σ Maladie thromboembolique veineuse
σ Déficit de coagulation
σ HTA non contrôlée
σ Insuffisance hépatocellulaire
σ Accident vasculaire cérébrale récent
6. Concernant la contre-indication de l’anti vitamine K, indiquez la proposition exacte
σ Insuffisance hépatocelluclaire
σ Maladie thromboembolique veineuse
σ Embolie pulmonaire
σ Fibrillation auriculaire
σ Infarctus du myocarde avec thrombus dans le ventricule gauche
1. Un homme de 67 ans, habite à PP, hospitalisé en urgence au Service Porte de l'hôpital Calmètte, le 05/07/14 à 23h30mn pour une dyspnée d'aggravation brutale depuis 1 jour, il vous explique qu'il est toujours essoufflé de base et plutôt limité dans ses activités quotidiennes mais qu'actuellement il ne peut plus faire un mouvement sans être très essoufflé. L'interrogatoire retrouve une notion d'infarctus 5 ans auparavant sans notion de stent ainsi qu'une consommation alcoolique 5 à 6 bouteilles de bières par jour, avec tabagisme actif à 24 PA. Il n'y a pas eu de douleur thoracique. Son poids: 95kg pour une taille de 165cm2; TA: 130/80; Fc: 108bpm; SaO2: 92%; T: 36,8. L'auscultation cardiaque retrouve un souffle holosystolique à 2/6 au 4ème EICG en jet de vapeur. On retrouve aussi des crépitant au 2 bases pulmonaires, des œdèmes des membres inférieures, une turgescence jugulaire et reflux hépatojugulaire; ECG et la radiographie pulmonaire sont les suivants:QCM 1: Le critère diagnostique IC est:
Les signes clinique insuffisance respiratiores,
Les signes fonctionnels et singes physiques insuffisance cardiaques avec les preuves de diminution FEVG en échocardiographie ou en IRM Cardiaque.
Oedème MIs, turgescence jugulaire, hépatomégalie et hépatalgie.
Les syndrome insuffisance hépotocellulaire.
Les preuve de diminution FEVG en échocardiographie ou en IRM
2. Un homme de 67 ans, habite à PP, hospitalisé en urgence au Service Porte de l'hôpital Calmètte, le 05/07/14 à 23h30mn pour une dyspnée d'aggravation brutale depuis 1 jour, il vous explique qu'il est toujours essoufflé de base et plutôt limité dans ses activités quotidiennes mais qu'actuellement il ne peut plus faire un mouvement sans être très essoufflé. L'interrogatoire retrouve une notion d'infarctus 5 ans auparavant sans notion de stent ainsi qu'une consommation alcoolique 5 à 6 bouteilles de bières par jour, avec tabagisme actif à 24 PA. Il n'y a pas eu de douleur thoracique. Son poids: 95kg pour une taille de 165cm2; TA: 130/80; Fc: 108bpm; SaO2: 92%; T: 36,8. L'auscultation cardiaque retrouve un souffle holosystolique à 2/6 au 4ème EICG en jet de vapeur. On retrouve aussi des crépitant au 2 bases pulmonaires, des œdèmes des membres inférieures, une turgescence jugulaire et reflux hépatojugulaire; ECG et la radiographie pulmonaire sont les suivants: QCU 2: Consernant la dyspnée de ce patient:
Il s'agit d'une dyspnée NYHA III
Il s'agit d'une dyspnée NYHA IV
Il s'agit d'une dyspnée NYHA IV sur un état de base stade III
σ Il s'agit d'une dyspnée NYHA IV sur un état de base stade II
Il s'agit d'une dyspnée NYHA II sur un état de base stade I.
3. Un homme de 67 ans, habite à PP, hospitalisé en urgence au Service Porte de l'hôpital Calmètte, le 05/07/14 à 23h30mn pour une dyspnée d'aggravation brutale depuis 1 jour, il vous explique qu'il est toujours essoufflé de base et plutôt limité dans ses activités quotidiennes mais qu'actuellement il ne peut plus faire un mouvement sans être très essoufflé. L'interrogatoire retrouve une notion d'infarctus 5 ans auparavant sans notion de stent ainsi qu'une consommation alcoolique 5 à 6 bouteilles de bières par jour, avec tabagisme actif à 24 PA. Il n'y a pas eu de douleur thoracique. Son poids: 95kg pour une taille de 165cm2; TA: 130/80; Fc: 108bpm; SaO2: 92%; T: 36,8. L'auscultation cardiaque retrouve un souffle holosystolique à 2/6 au 4ème EICG en jet de vapeur. On retrouve aussi des crépitant au 2 bases pulmonaires, des œdèmes des membres inférieures, une turgescence jugulaire et reflux hépatojugulaire; ECG et la radiographie pulmonaire sont les suivants: QCU 3: L'ECG met en évidence
Tachycardie sinusal avec fc à 108bpm, QRS fin; HVC et surcharge systolique.
Tachycardie sinusal avec HVG.
σ BAV II Mobitz I
BAV I
Sus-décalage du segment ST en V6
4. Un homme de 67 ans, habite à PP, hospitalisé en urgence au Service Porte de l'hôpital Calmètte, le 05/07/14 à 23h30mn pour une dyspnée d'aggravation brutale depuis 1 jour, il vous explique qu'il est toujours essoufflé de base et plutôt limité dans ses activités quotidiennes mais qu'actuellement il ne peut plus faire un mouvement sans être très essoufflé. L'interrogatoire retrouve une notion d'infarctus 5 ans auparavant sans notion de stent ainsi qu'une consommation alcoolique 5 à 6 bouteilles de bières par jour, avec tabagisme actif à 24 PA. Il n'y a pas eu de douleur thoracique. Son poids: 95kg pour une taille de 165cm2; TA: 130/80; Fc: 108bpm; SaO2: 92%; T: 36,8. L'auscultation cardiaque retrouve un souffle holosystolique à 2/6 au 4ème EICG en jet de vapeur. On retrouve aussi des crépitant au 2 bases pulmonaires, des œdèmes des membres inférieures, une turgescence jugulaire et reflux hépatojugulaire; ECG et la radiographie pulmonaire sont les suivants: QCM 4: La radiographie thoracique:
Met en évidence un syndrome de condensation du lobe inférieure gauche
Met en évidence un syndrôme alvéolo-interstitiel bilatéral
N'était pas indiquée dans la prise en charge de ce patient
Met en évidence 2 opacités spiculées du lobe supérieur droit
Met en évidence un index cardio-thoracique supérieure à 0,5.
5. Un homme de 67 ans, habite à PP, hospitalisé en urgence au Service Porte de l'hôpital Calmètte, le 05/07/14 à 23h30mn pour une dyspnée d'aggravation brutale depuis 1 jour, il vous explique qu'il est toujours essoufflé de base et plutôt limité dans ses activités quotidiennes mais qu'actuellement il ne peut plus faire un mouvement sans être très essoufflé. L'interrogatoire retrouve une notion d'infarctus 5 ans auparavant sans notion de stent ainsi qu'une consommation alcoolique 5 à 6 bouteilles de bières par jour, avec tabagisme actif à 24 PA. Il n'y a pas eu de douleur thoracique. Son poids: 95kg pour une taille de 165cm2; TA: 130/80; Fc: 108bpm; SaO2: 92%; T: 36,8. L'auscultation cardiaque retrouve un souffle holosystolique à 2/6 au 4ème EICG en jet de vapeur. On retrouve aussi des crépitant au 2 bases pulmonaires, des œdèmes des membres inférieures, une turgescence jugulaire et reflux hépatojugulaire; ECG et la radiographie pulmonaire sont les suivants: QCU 5: L'épisode actuel pourrait correspondre à:
OAP cardiogénique secondaire à un rétrécissement aortique serré
SCA ST+
Pneumopathie franche lobaire aiguë du lobe inférieur gauche
Insuffisance cardiaque aiguë (OAP) sur insuffisance cardiaque globale chronique
Exacerbation aiguë de BPCO.
6. Un homme de 67 ans, habite à PP, hospitalisé en urgence au Service Porte de l'hôpital Calmètte, le 05/07/14 à 23h30mn pour une dyspnée d'aggravation brutale depuis 1 jour, il vous explique qu'il est toujours essoufflé de base et plutôt limité dans ses activités quotidiennes mais qu'actuellement il ne peut plus faire un mouvement sans être très essoufflé. L'interrogatoire retrouve une notion d'infarctus 5 ans auparavant sans notion de stent ainsi qu'une consommation alcoolique 5 à 6 bouteilles de bières par jour, avec tabagisme actif à 24 PA. Il n'y a pas eu de douleur thoracique. Son poids: 95kg pour une taille de 165cm2; TA: 130/80; Fc: 108bpm; SaO2: 92%; T: 36,8. L'auscultation cardiaque retrouve un souffle holosystolique à 2/6 au 4ème EICG en jet de vapeur. On retrouve aussi des crépitant au 2 bases pulmonaires, des œdèmes des membres inférieures, une turgescence jugulaire et reflux hépatojugulaire; ECG et la radiographie pulmonaire sont les suivants: QCU 6: Les étiologies suivantes pourraient être évoquées:
Non-observance médicamenteuse
Ecart au régime sans sel
Poussée hypertensive
Ischémie myocardique
Valvulopathie aiguë.
7. Un homme de 67 ans, habite à PP, hospitalisé en urgence au Service Porte de l'hôpital Calmètte, le 05/07/14 à 23h30mn pour une dyspnée d'aggravation brutale depuis 1 jour, il vous explique qu'il est toujours essoufflé de base et plutôt limité dans ses activités quotidiennes mais qu'actuellement il ne peut plus faire un mouvement sans être très essoufflé. L'interrogatoire retrouve une notion d'infarctus 5 ans auparavant sans notion de stent ainsi qu'une consommation alcoolique 5 à 6 bouteilles de bières par jour, avec tabagisme actif à 24 PA. Il n'y a pas eu de douleur thoracique. Son poids: 95kg pour une taille de 165cm2; TA: 130/80; Fc: 108bpm; SaO2: 92%; T: 36,8. L'auscultation cardiaque retrouve un souffle holosystolique à 2/6 au 4ème EICG en jet de vapeur. On retrouve aussi des crépitant au 2 bases pulmonaires, des œdèmes des membres inférieures, une turgescence jugulaire et reflux hépatojugulaire; ECG et la radiographie pulmonaire sont les suivants: QCM 7: L'échocardiographie retrouve un ventriculaire gauche dilaté (DTDVG:72mm) avec hypokinésie globale et FEVG = 30% ainsi qu'une insuffisance mitrale modérée sur Valves fine. Le principale étiologie à évoquer pour expliquer les anomalies du VG est:
Cardiopathie hypertensive.
Cardiomyopathie ischémique
Cardiomyopathie rythmique chronique
Cardiomyopathie des maladies de système
Cardiomyopathie alcoolique.
8. Un homme de 67 ans, habite à PP, hospitalisé en urgence au Service Porte de l'hôpital Calmètte, le 05/07/14 à 23h30mn pour une dyspnée d'aggravation brutale depuis 1 jour, il vous explique qu'il est toujours essoufflé de base et plutôt limité dans ses activités quotidiennes mais qu'actuellement il ne peut plus faire un mouvement sans être très essoufflé. L'interrogatoire retrouve une notion d'infarctus 5 ans auparavant sans notion de stent ainsi qu'une consommation alcoolique 5 à 6 bouteilles de bières par jour, avec tabagisme actif à 24 PA. Il n'y a pas eu de douleur thoracique. Son poids: 95kg pour une taille de 165cm2; TA: 130/80; Fc: 108bpm; SaO2: 92%; T: 36,8. L'auscultation cardiaque retrouve un souffle holosystolique à 2/6 au 4ème EICG en jet de vapeur. On retrouve aussi des crépitant au 2 bases pulmonaires, des œdèmes des membres inférieures, une turgescence jugulaire et reflux hépatojugulaire; ECG et la radiographie pulmonaire sont les suivants: QCM 8: Un examen complémentaire indispensable s'impose dès lors pour éclairer la Q7:
ECG
Coronarographie
Echographie abdominale et des veines sus-hépatiques
TDM cardiaque
Scintigraphie myocardique
9. Un homme de 67 ans, habite à PP, hospitalisé en urgence au Service Porte de l'hôpital Calmètte, le 05/07/14 à 23h30mn pour une dyspnée d'aggravation brutale depuis 1 jour, il vous explique qu'il est toujours essoufflé de base et plutôt limité dans ses activités quotidiennes mais qu'actuellement il ne peut plus faire un mouvement sans être très essoufflé. L'interrogatoire retrouve une notion d'infarctus 5 ans auparavant sans notion de stent ainsi qu'une consommation alcoolique 5 à 6 bouteilles de bières par jour, avec tabagisme actif à 24 PA. Il n'y a pas eu de douleur thoracique. Son poids: 95kg pour une taille de 165cm2; TA: 130/80; Fc: 108bpm; SaO2: 92%; T: 36,8. L'auscultation cardiaque retrouve un souffle holosystolique à 2/6 au 4ème EICG en jet de vapeur. On retrouve aussi des crépitant au 2 bases pulmonaires, des œdèmes des membres inférieures, une turgescence jugulaire et reflux hépatojugulaire; ECG et la radiographie pulmonaire sont les suivants: QCM 9: Le souffle évoqué dans l'énoncé est en rapport avec:
Rétrécissement aortique calcifié
Insuffisance aortique
Insuffisance mitrale fonctionnelle par dilatation du VG
Rétrécissement mitral congénital
Insuffisance mitrale sur dégénérescence fibro-élastique
10. Un homme de 67 ans, habite à PP, hospitalisé en urgence au Service Porte de l'hôpital Calmètte, le 05/07/14 à 23h30mn pour une dyspnée d'aggravation brutale depuis 1 jour, il vous explique qu'il est toujours essoufflé de base et plutôt limité dans ses activités quotidiennes mais qu'actuellement il ne peut plus faire un mouvement sans être très essoufflé. L'interrogatoire retrouve une notion d'infarctus 5 ans auparavant sans notion de stent ainsi qu'une consommation alcoolique 5 à 6 bouteilles de bières par jour, avec tabagisme actif à 24 PA. Il n'y a pas eu de douleur thoracique. Son poids: 95kg pour une taille de 165cm2; TA: 130/80; Fc: 108bpm; SaO2: 92%; T: 36,8. L'auscultation cardiaque retrouve un souffle holosystolique à 2/6 au 4ème EICG en jet de vapeur. On retrouve aussi des crépitant au 2 bases pulmonaires, des œdèmes des membres inférieures, une turgescence jugulaire et reflux hépatojugulaire; ECG et la radiographie pulmonaire sont les suivants: QCM 10: Les traitements suivants peuvent être indiqués dans le traitement de l'insuffiance Cardiaque systolique de stade III:
Durétique si signes congestifs, IEC + Bétabloquant de l'insuffisance cardiaque à dose minimale efficace,
σ Diurétique si signes congestifs,
ARA II + anti-aldostérone
Réadaptation cardiaque
Stimulation biventriculaire si FE inférieure à 35% et QRS supérieur à 120ms.
1. I/ Chloroquine base 300mg ស្មើchloroquine phosphate:
σ 350mg
σ 450mg
σ 400mg
σ 250mg
σ 500mg
2. II/ Dose toxic Chloroquine.
σ 1,5g
σ 2g
σ 2,5g
σ 3g
σ 3g+
Dose total de chloroquine phosphate for adult
σ 3g
σ 2,5g
σ 2g
σ 1g
σ 1,5g
Duration de traitment de chloroquine
σ 2Days
σ 3Days
σ 4Days
σ 5Days
σ 7Days
Dose Chloroquine by bodyweigh
σ 5mg/kg
σ 8mg/kg
σ 9mg/kg
σ 20mg/kg
σ 25mg/kg
Dose toxique de paracetamol
σ 2g
σ 2,5g
σ 3g
σ 3,5g
σ 4g+
Dose lethal de paracetamol
σ 5g
σ 5,5g
σ 6g
σ 7g
σ 10g+
Antidote paracetamol
σ Atropine
σ Carbonesie or Charcoal
σ Vitascorbol
σ Hydrocortisone
σ Acetylcysteine
Dose toxic for children
σ 100mg
σ 150mg
σ 200mg
σ 250mg
σ 300mg
្នាំប៉ារ៉ាស៝ឝាម៉ុលលើសកម្រិឝពុលដល់សរីរាង្គ៖
σ ក្រពះ
σ ប៝ះដូង
σ ភ្នែក
σ ឝ្រចៀក
σ ឝ្លើម
ើម៝រោគគ្រុនចាញ់Plasmodiumមានប៉ុន្មានប្រភ៝ទ៖
σ 5
σ 3
σ 4
σ 6
σ 2
ACTs សម្រាប់ព្យារបាលជម្ងឺគ្រុនចាញ់៖
σ ១¬ ធ្ងន់ធ្ងរ
σ ២ សន្លប់
σ ៣ ស្រាល
σ ៤ ក្ឝៅឝ្លាំង
σ ៥ ញាក់ឝ្លាំង
រណីគ្រុនចាញ់ធ្ងន់ធ្ងរAdultឝើឝ្រូវប្រើArtesunate IVឬIM:
1.5mg/kg
σ 2.4mg/kg
σ 3mg/kg
σ 3.5mg/kg
σ 4mg/kg
14. IV/ ACTsជាអក្សរព៝ញ៖
σ Active combination therapy
σ Action combination therapy.
σ Artemsinine combination based therapy
σ Action control test
σ Action clearance time
រណីគ្រុនចាញ់ធ្ងន់ធ្ងរChildrenឝើឝ្រូវប្រើArtesunate IVឬIM
σ 1.5mg/kg
σ 2.4mg/kg
σ 3mg/kg
σ 3.5mg/kg
σ 4mg/kg
Primaquine ព្យារបាលជម្ងឺគ្រុនចាញ់ប្រភ៝ទVivax រយះព៝លៈ
σ 7ឝ្ងៃ
σ 10ឝ្ងៃ
σ 8ឝ្ងៃ
σ 12ឝ្ងៃ
σ 14ឝ្ងៃ
រណីPrimaquineមិនអាចប្រើលើប្រជាជនឝ្មែរឝ្លះក្នុងរយះព៝ល១៤ឝ្ងៃជាប់គ្នាអាចមានជម្រើសប្រើរយះព៝លវែងល៝បម្ឝង១ព៝ល១សប្ឝាហ៝ដោយប្រើរយះព៝ល៖
σ 3week
σ 4week
σ 5week
σ 6week
σ 8week.
្នកជម្ងឺគ្រុនចាញ់មានDeficiency G6PD Primaquineអាចឲ្យ៖
σ ឝូចឝ្លើម
σ ឝូចប្រព៝ន្ធរំលាយអាហារ
σ ប៉ះពាល់ប៝ះដូង
σ ប៉ះពាល់ភ្នែក
σ នោមឈាម
Dose primaquine
σ 15mg/day
σ 14mg/day
σ 12mg/day
σ 10mg/day
σ 8mg/day
ីវិឝសឝ្វមូសអាចរស់បានរយះព៝ល៖
σ 10ឝ្ងៃ
σ 20ឝ្ងៃ
σ 15ឝ្ងៃ
σ 25ឝ្ងៃ
σ 30ឝ្ងៃ
1. Les symptômes d'une hypoglycémie insulinique peuvent être masqués par la prise de :
σ Glucorticoïdes
σ Inhibiteurs de l'enzyme de conversion
σ Bêta-bloquants
σ Diurétiques thiazidiques
σ Progestatifs macro-dosés
2. Parmi les symptômes suivants, l’un n’est pas évocateur d’hypoglycémie aiguë. Lequel ?
σ Signe de Babinski
σ Coma convulsif
σ Transpirations profuses
σ Dyspnée de Kussmaul
σ Cétonurie faible (+)
3. Un coma acidocétosique chez un diabétique insulino-dépendant peut être déclenché par :
σ Un arrêt de l'insuline
σ Un exercice physique intense
σ Un surdosage en insuline
σ Un repas riche en glucide
σ À jeune prolongé
4. Dans le coma hyperosmolaire du diabétique :
σ La natrémie est basse
σ Il existe une acidose métabolique décompensée
σ La déshydratation est globale
σ Il y a toujours de cétose
σ La calcémie est base
5. Concernant les comas métaboliques du diabète :
σ Le coma céto-acidosique s’installe généralement en quelques minutes
σ Dans le coma hyperosmolaire la déshydratation est à prédominance extra-cellulaire
σ Dans le coma céto-acidosique, la kaliémie a tendance à augmenter sous l’influence de l’insulinothérapie
σ Dans le coma céto-acidosique, la décroissance de la fréquence respiratoire est grossièrement corrélée à celle de l’acidose
σ Dans le coma hyperosmolaire, le pH sanguin est toujours normal
(CS) Une jeunne fille ayant de VIH> 5ans avec CD4 : 45/mm3, et encours de traitement par des TB et ARV (anti-rétroviral débuté 2 semaines après les Anti- TB) avec une bonne réponde aux traitements. Mais au J35, elle se présent : Fièvre, asthénie et toux. Quel l`examen nécessaire pour diagnostiquer PARADOXAL syndrome ?
Hémoculture
Examen de crachat contrôle
Tx CD4 et charge viral
Radio pulmonaire
Autre examens pour chercher des infections
(CS) A 19-year-old man has donated blood for the first time. Despite having no risk factors for human immunodeficiency virus (HIV) infection, his blood tests positive for HIV by enzyme immunoassay (EIA). Which of the following statements is correct?
EIA is currently the most specific test for HIV
He might have a false-positive secondary to an unsuspected collagen vascular disease
He has a 75% chance of truly being infected with HIV
EIA is an excellent screening test
A Western blot test would be more Sensitive
(CS). A24-year-old woman complains of pain every time she eats or drinks anything. She is HIV positive, but currently not on any antiretroviral therapy. Her last CD4 count was 250/mm3. Select the most likely pathogen causing infection.
Staphylococcus aureus
Candida
P. carinii
Streptococcus pneumoniae
Gram-negative enteric bacilli
(CM).A 44-years patient HIV + develops severe cough and shortness of breath on exertion. On examination, he appears dyspneic, respirations 24/min, pulse 110/min, and oxygen saturation 88%. His lungs are clear on auscultation and heart sounds are normal. CXR shows bilateral diffuse peri-hilar infiltrates. Bronchoscopy and bronchial brushings show clusters of cysts that stain with methenamine silver (silver staining). Which of the following is the most appropriate next step in management?
Amphotericin B
cephalosporins
Trimethoprim-sulfamethoxazole
Aminoglycosides
High O2
(CS). A34-year-old man HIV +/under HAART, presents with diarrhea 3 weeks after returning from a trip to kg SOM. Over the past few weaks, he has gradually developed severe head ache, and lower abdominal pain and diarrhea. Now the symptoms are much worse with malaise, and a severe head ache, confusion. . He is afebrile, the abdomen is tender in left lower quadrant, and his stools tests show tinea solium. Which offollowing the initial
Cerebral MRI
Cerebral scanner with radio contrass
Lombar puncture
Serology test of T. Solium antibody
Abdominal ultrasound
(CS).A31-year-old woman presents with symptoms of vulvar itching and burning made worse by urinating. She has no fever or frequency, but has noticed a recent whitish vaginal discharge. Clinical examination reveals vulvar erythema, edema, and fissures. On speculum examination, there is a white discharge with small white plaques loosely adherent to the vaginal wall. Which of the following treatments is appropriate for her asymptomatic HIV+ male sexual partner?
Azole cream to the penis
Oral fluconazole
Standard urethritis investigation
No investigation or treatment
Azithromycin plus cefixime
(CS). A22-year-old woman HIV+ complains of vulvar itching, burning, and pain when voiding urine. She has no other symptoms of fever, vaginal discharge, or urinary frequency. Physical examination reveals some vulvar ulceration but no vaginal discharge. The ulcers are small 2–3-mm lesions with an erythematous base. Which of the following is the most likely diagnosis?
HSV infection
Trichomonas vaginalis infection
N. Gonorrhoeae infection
C. Trachomatis infection
M. Genitalium infection
(CS).A 19-year-old woman HIV+ , CD4 = 450/mm3 was traveling in a rural Kandal. She returned 3 weeks ago and, over the past few days, has gradually developed lower abdominal pain and diarrhea. Now the symptoms are much worse with 10 stools a day consisting mostly of mucus and blood. She is febrile, the abdomen is tender in left lower quadrant, and the remaining examination is normal. Her stool is mostly comprised of blood and mucus. Which of the following is the most likely causative organism?
Escherichia coli infection
Salmonella infection
Shigella infection
Vibrio parahaemolyticus infection
Histolytica infection
(CS) A 22-year man HIV+ under HAART with viral load of HIV underdetected is back travel from Kampong som. Ten days after arriving, she develops symptoms of anorexia, malaise, and abdominal cramps followed by a sudden onset of watery diarrhea. There are no symptoms of fever or chills, and the stools are nonbloody. The most likely pathogen causing infection.
Campylobacter
E. coli
Salmonella
Shigella
Rotavirus
(C S).A 25-year-old HIV+ patient known more than 10 years without Anti Retro Viral treatment . On day he develops severe head ache and right hemiplesia. On examination, he appears malaise, head ache and right hemiplesia, BP: 14/8 mm/Hg, pulse 80/min, and his CD4 count 57 cells /mm3 Which of the following is the most appropriate next step in diagnosis?
Amphotericin B
test serology of anti body of toxoplasmosis
Cerebral scan
Lumbar puncture
cotrimoxazole
(CS) Une jeunne fille ayant de VIH> 5ans avec CD4 : 45/mm3, et encours de traitement par des TB et ARV (anti-rétroviral débuté 2 semaines après les Anti- TB) avec une bonne réponde aux traitements : CD4 =250/mm3, Charge Viral HIV : indétectable . Mais au J45, elle se présent : Fièvre, asthénie, céphalée et toux. Que pensez- vous dans cette situation?
Nouveau infection opportuniste
Echec du traitement par des anti-TB
Réaction paradoxale
Pneumocystose infection
Méningite à cryptocoque
(CS) A 19-year-old man has donated blood for the first time. Despite having no risk factors for human immunodeficiency virus (HIV) infection, his blood tests positive for HIV by enzyme immunoassay (EIA). Which of the following statements is correct?
EIA is currently the most specific test for HIV
He might have a false-positive secondary to an unsuspected collagen vascular disease
He has a 75% chance of truly being infected with HIV
EIA is an excellent screening test
A Western blot test would be more Sensitive
(CS) A 22-year-old married woman has an High risk factors for human immunodeficiency virus (HIV) infection, ( her husband died of HIV+ 1 years ago) her blood tests for many times was Negative for HIV by enzyme immunoassay (EIA) . Which of the following statements is correct?
EIA test is not so sensitive
She might have a false-Negative
She has a 50% chance of truly being non infected with HIV
She might have a completed CCR5 mutation
A Western blot test would be more Sensitive
(CS) Parmi les manifestation suivantes, le quelle sont classante pour le stade de SIDA?
Cachexie
Carcinoma insitu
Cancer du sein
Cancer anal
Lymphome de Hodgkin
(CS) La positivité de l `Antigen p 24 est possible à partir de :
7-8jours après infection
10jours après infection
12 jours après infection
20Jours après infection
Tout est faux
(CS) la fenêtre virologique de détection virus est de (temps pendant lequel de détection du virus est impossible)
7-8 jours
10 jours
12-15 jours
20 jours
Tout est faux
La prévention de la pneumocystose pulmonaire chez un VIH
CD4> 300/mm3
CD4 <200/mm3
CD4>250/mm3
CD4<300 >200/mm3
Tout est faux
La positivité d`un test ELISA est possible à partir de :
3 jours après infection
5 jours après infection
10jours après infection
>20 jours après infection
Tout est faux
Le risque de transmission du VIH d`une mèreà son enfanten absent de traitement :
Est d`environ 60-65%
Est d`environ 50-55%
Est d`environ 40-45%
Est d`environ 30-35%
Est d`environ 20-35%
Parmi les propositions suivantes, lequel est correct :
Au Cambodge le nombre de personnes infectés par le VIH est estimé à 300000.
L`incident du VIH en Cambodge est de 20000 par an
L`incident du VIH en Cambodge est de 10000 par an
La prévalence du VIH est estimé 0.6 (de population de 15 ans-49 ans) en 2012.
Tout est faux
1. 1- Les médicaments suivants sont indiqués dans le traitement de la syphilis, lequel doit-on utiliser dans la syphilis congénitale:
Pénicilline G
Extencilline
Doxycline
Erythromycine
Azithromycine
2. 2- Concernant le protocole thérapeutique de la syphilis dans ses formes tardives (latente plus d’un an et syphilis III ), montrer la fausse proposition:
Neurosyphilis ou syphilis oculaire: pénicilline G en hospitalisation 0.5 MUl/kg/j en 6 PIV/4h pendant 14 jours
Sans atteinte neurologique centrale: en hospitalisation, au début Extencilline 2.4 MUI/sem. à j1- j8 et j15 [1.2 MUI chaque fesse]
Syphilis de la femme enceinte: Extencilline 2.4MUI en IM à j1 et j8.
Syphilis congénitale: pénicilline G 100 000 à 150 000 U/kg/j IV à administrer à 50000 UI/kg/12h dans la 1ère semaine de vie, puis toutes les 8h pdt 10 à 14 jours
Aucune
Les médicaments suivants sont indiqués dans le traitement du chancre mou, sauf:
Erythromycine
Doxycline
Ciprofloxacine
Ceftriaxone
Azythromycine
Dans le traitement de la gonococcie, lequel des médicaments suivants est prescrit pour le traitement de l’urétrite (concomitente) à chlamydia:
Ceftriaxone
σ Spectinomycine
Ciprofloxacine
Doxycline
Aucun ci-dessus
Concernant le protocole thérapeutique de la gonococcie dans ses formes compliquées, montrer la fausse proposition:
Orchi-épididymite: traitement antigonococcique, puis doxycline pendant une semaine
Conjonctivites gonococciques: ceftriaxone 1g IM dose unique
Salpingite: Ceftriaxone IM 500 mg + doxycline et métronidazole jusqu’à apyrexie 2 jours, puis relais par doxycline et métronidazole 15 jours
Septicémie gonococcique: Ceftriaxone IM 1g jusqu’à apyrexie + 2j, puis relais par ciprofloxacine ou céfixime po pendant 7 jours
Aucune
Laquelle de ces présentations de Econazole est utilisée dans le traitement de la candidose génitale chez l’homme:
Econozole [Gyno-Paveryl 150 mg]
Econazole [Gyno-Paveryl LP]
Econazole [Paveryl lait]
Econazole [Paveryl 1% crème]
Concernant le traitement des condylomes, quel est le choix pour des formes cutanées vulvaires, périnéales péri-anales:
Imiquinol 5% crème (Aldara*)
Cryothérapie : application d’azote liquide
Podophylline 25 %
5 fluoro-uracile (Efudix* crème)
Electrocautérisation
Concernant le traitement des condylomes, quel est votre choix dans les formes diffuses multifocales et récidivantes
Imiquinol 5% crème [Aldara*]
Cryothérapie
σ Podophylline
5 fluoro-uracile [Efudix* crème]
Electrocautérisation
Concernant le traitement des condylomes, quel est votre choix dans les formes diffuses vulvaires chez la femm
Imiquinol 5% crème [Aldara*]
Cryothérapie
Podophylline
5 fluoro-uracile [Affudix* crème]
Laser CO2
Quelle est la proposition thérapeutique qui convient au traitement de l’herpes génital dans la phase érosive : ZELITREX II : ACICLOVIR creme III : VIOLET DE GENTIANE
σ I
σ II
σ III
σ I+II
σ I+III
Concernant la conduite à tenir devant les infections sexuellement transmissibles, lequel des symptomes suivants doit être prescrit par la Doxycycline :
σ écoulement purulent
σ écoulement séreux
σ écoulement cailleboté
σ écoulement avec mauvaise odeur
σ écoulement verdatre
Concernant la conduite à tenir devant les infections sexuellement transmissibles, lequel des symtomes suivants doit être prescrit par le métronidazole :
σ écoulement purulent
σ écoulement séreux
σ écoulement cailleboté
σ écoulement avec mauvise odeur
σ Aucun
Concernant le conseil au patient présentant une insuffisance surrénale, laquelle des propositions suivantes est la moins importante :
L’hormonothérapie substitutive [hydrocortisone] à instituer à vie
L'adaptation des doses d’hydrocortisone en cas d’agression (infection, chirurgie, stresse…)
Le régime est rigoureusement normosodé, les laxatifs et diurétiques à manier avec prudence, voire à proscrire
σ La carte d’Addisonien doit indiquer le diagnostic, la nature et la posologie du traitement prescrit
Le malade doit avoir avec lui de quoi faire réaliser une injection de cortisone stockée à 4º C
Concernant la récupération fonctionnelle, l’insuffisance surrénale est réversible dans les cas suivants:
à l’arrêt du traitement par corticothérapie prolongée
Après chirurgie pour hypercorticisme (tumeur surrénalienne ou hypophysaire)
Après une antibiothérapie spécifique de la tuberculose
σ à l'arrêt du traitement par les anticortisoliques de synthèse
Tous les cas sont exacts
Lors de la décompensation de l’insuffisance surrénale, quel est le signe qui traduit le transfert de liquide vasculaire dans le compartiment intracellulaire:
σ l’installation du collapsus cardio-vasculaire souvent brutale et seulement précédée par d'une discrète hypotension artérielle
Les signes de déshydratation: faciès creusé, hypotonie des globes oculaires, pli cutané, température 40°
Les troubles digestifs avec douleurs épigastriques, intolérance digestive, nausées, vomissements et diarrhée
Les troubles neurologiques variable (délire ou adynamie, asthénie intense, douleurs musculaires) évoluant vers le coma sans signes de localisation
Lequel des médicaments suivants est utilisé dans le traitement de l’insuffisance surrénale aigue?
Tétracosactide
σ Dihydrotestotérone
Vasopressine
Hydrocortisone
Tous
Un patient prend la prednisone 40 mg par jour pendant 6 mois. Il l’arrête brusquement, lequel des affections suivantes peut apparaitre:
Myopathie
Diabète
Nfection
Psychose
Insuffisance surrénale
Lequel des médicaments suivants peut être utilisé en vue de diagnostic d’insuffisance surrénale?
Desmopressine
Climaston
Captopril
Tétracosactide
Tous
Concernant la prise en charge de l'insuffisance surrénale aigue: <>, quel est le point dans la démarche suivante n’est pas justifié:
σ Le traitement sera débuté en urgence sans attendre les résultats des examens complémentaires
Mise en condition : pose d'une voie veineuse pour réhydratation par du sérum physiologique avec environ 3 à 5L sur 24 h
Traitement substitutif: hydrocortisone IV en bolus de 50 mg puis 200 mg/24 h
Traitement du facteur déclenchant
Aucun
Concernant le traitement curatif de l’ostéporose, en association avec la supplémentation vitamino-calcique, lequel de ces médicaments que l’on juge présenter un risque grave comme effets secondaires si un bilan préthérapeutique est manqué:
Le tériparatide
Le ranélate de strontium
σ le traitement hormonal substitutif
Lesbiphosphonates
σ la calcitonine
Dans la stratégie thérapeutique de l’ostéoporose, quel est le médicament qui répond au principe préconisant d'agir sur les déterminants majeurs de l'ostéoporose: stimuler de la formation osseus
L’œstrogénothérapie substitutive
σ la supplémentation vitamine D calcium
Les bisphosphonates
La parathormone
Le ranélate de strontium
Dans la stratégie thérapeutique de l’ostéoporose, quel est le médicament qui répond au principe préconisant d'agir sur les déterminants majeurs de l'ostéoporose: stabiliser la densitométrie osseus
L’œstrogénothérapie substitutive
La supplémentation vitamine D calcium
Les bisphosphonates
σ la parathormone
Le ranélate de strontium
Dans la stratégie thérapeutique de l’ostéoporose, quel est le médicament qui répond au principe préconisant d'agir sur les déterminants majeurs de l'ostéoporose: bloquer le processus de destruction osseus
L’œstrogénothérapie substitutive
σ la supplémentation vitamine D calcium
Les bisphosphonates
La parathormone
σ le ranélate de strontium
Une femme de 45 ans en préménopause est concernée du fait de son histoire familiale d’ostéoporos Sa densitométire récente est T score 1.0. Choisir un traitement approprié parmi les suivants:
Estrogénothérapie substitutive
Supplémentation en vitamine D et calcium
Hormonothérapie substitutive (par estroprogestatifs)
Teriparatide en injection
Calcitonine en spray
Un pharmmacien reçoit une prescription de Fosamax 75 mg pour la prévention de l’ostéoporose avec les instructions à la patiente concernant le mode de la pris Les choix ci-dessous ne sont pas entierement corrects, sauf : I- La dose de Fosamax est de 1 comp par semaine II- Fosamax doit être pris au moins 30 mn avant le repas III- La patient peut se coucher une heure après chaque administration de Fosamax
σ I
σ I + II
σ I + II + II
I + III
II + III
Quelle est la dose recommandée de calcium orale par jour pour l’adulte :
250-500 mg
300-600 mg
500-1,000 mg
1,000-1,500 mg
1,500- 2,000 mg
Lequel des médicaments suivants est considéré comme le choix de 1ère intention pour le traitement de l’ostéoporose postménopausique:
Alendronate
Calcitonine
Minidril
Tériparatide
Tous
equel des médicaments suivants est présenté en forme spray nasale et injectable:
Raloxifène
Alendronate
Teriparatide
Calcitonine
Minidril
Lequel des médicaments suivants n’augmente pas le risque d’ostéoprose :
Depo-Provera
Tamoxifène
Glucocorticoides
Lévothyroxine
Tous
Quelle est la dose recommandée de Raloxifène dans la prévention et le traitement de l’ostéoporose post-ménopausique:
10 mg
15 mg
40 mg
60 mg
120 mg
L’accès goutteux est due à la présence des cristaux d’urate dans l’articulation entrainant la phagocytose et l’inflammation. La lutte contre la douleur doit être précoce, et on aura le choix un de ces médicaments, sauf:
La colchicine
La phénylbutazone
L'indométacine
σ les glucocorticoides
L’accès goutteux est due à la présence des cristaux d’urate dans l’articulation entrainant la phagocytose et l’inflammation et donc la douleur. Lequel de ces médicaments n’est pas un anti-inflammatoire:
La colchicine
La phénylbutazone
L'indométacine
Les glucocorticoides
L’accès goutteux est due à la présence des cristaux d’urate dans l’articulation entrainant la phagocytose et l’inflammation et donc la douleur. Lequel de ces médicaments est très efficace mais pourvu d’accident hématologique élevé:
La colchicine
La phénylbutazone
L'indométacine
Les glucocorticoides
Dans la stratégie thérapeutique, les propositions suivantes concernent le traitement de l’accès de goutte, sauf:
Le traitement de l’accès de goutte doit être réalisé le plus précocement possible
Le médicament choisi doit être prescrit à fortes doses dès le 1er jour
Les jours suivants, les doses seront diminuées en fonction des résultats
Il est important d'adapter les doses en fonction de la persistance de l'inflammation goutteuse
Le traitement hypo-uricémiant doit entamer en même temps que le traitement de l’accès
Ces médicaments peuvent être utilisés comme hypo-uricémiants à toutes les doses et les doses doivent être progressives, sauf:
σ l’allupurinol
σ le feboxostat
L’aspirine
Le probénicide
La benzbromarone
Concernant le traitement de la goutte, laquelle de ces propositions qui n’entre pas dans la liste des conseils au patient:
σ Nécessité d’un traitement hypo-uricémiant à vie
Régime alimentaire: aliments prurinogènes limités et lipides réduits
Boissons alcoolisées supprimées
Suppression du tabac
Exercice musculaire modéré
Lequel des symptomes suivants de la goutte n’est complètement pas justifié:
L’accès se fait pendant la nuit
La présence de l’hyperuricémie
La forme typique est au niveau de l’articulation métatarso-phalangienne
La présence des cristaux biréfringents dans le liquide synovial de l’articulation atteinte
La présence des tophus dans la phase chronique au niveau de l’articulation atteinte
Tous
Tous les effets suivants sont en rapport avec les actions de l’allupurinol (Zyloric*), sauf :
Il diminue la formation de l’acide urique par l’inhibition de la xanthine oxydase
il ne nécessite pas l’ajustement de dose chez les patients avec insuffisance rénale
Les réactions cutanées tel que le Syndrome de Steven-Johnson a été rapporté lors de son utilisation
Il ne doit pas être utilisé pour le traitement de la crise de goutte
Le(s)quel (s) des médicaments suivants présente(nt) un danger potentiel d’interactions avec Zylorc? I- Amoxicilline II- Imuran III- Essidrex
I seulement
I et II seulement
I, II et III seulement
III seulement
1. M. K TH âgé de 65 ans, vient vous voir en consultation pour la douleur lombaire très intense avec un déficit sensitive et motrice des 2 membres inférieurs, une constipation depuis 7 jours. Il est en cours d’un traitement hormonal pour son cancer de la prostate découverte depuis 7 mois. Quel est votre diagnostic ?
Syndrome de compression médullaire
Calcul rénal.
Effets indésirables de traitement hormonal.
Ostéophyte.
Pyélonéphrite Aiguë.
2. M. K TH âgé de 65 ans, vient vous voir en consultation pour la douleur lombaire très intense avec un déficit sensitive et motrice des 2 membres inférieurs, une constipation depuis 7 jours. Il est en cours d’un traitement hormonal pour son cancer de la prostate découverte depuis 7 mois. En cas d’un syndrome de compression médullaire par une métastase osseuse suit à un IRM rachidienne, En cas de la présence d’un signe de l’épidurite, voulez-vous ajouter quel médicament de plus ?
Paracétamol.
Aspirine.
Corticoïdes.
Ibuprofène.
Diazépam.
3. M. K TH âgé de 65 ans, vient vous voir en consultation pour la douleur lombaire très intense avec un déficit sensitive et motrice des 2 membres inférieurs, une constipation depuis 7 jours. Il est en cours d’un traitement hormonal pour son cancer de la prostate découverte depuis 7 mois. Dans quel cas la radiothérapie de la colonne rachidienne est indiquée dans le syndrome de compression médullaire compliqué par un cancer de la prostate ?
Le traitement chirurgical est possible.
Après l’intervention chirurgicale.
L’apparition du déficit neurologique dans les 48 premières heures.
L’apparition du déficit neurologique dans les 24 premières heures.
L’apparition du déficit neurologique dans les 72 premières heures.
4. M. K TH âgé de 65 ans, vient vous voir en consultation pour la douleur lombaire très intense avec un déficit sensitive et motrice des 2 membres inférieurs, une constipation depuis 7 jours. Il est en cours d’un traitement hormonal pour son cancer de la prostate découverte depuis 7 mois. Dans certain cancer, un syndrome de lyse tumorale apparait
2 semaines après le traitement par la chimiothérapie.
Quelque mois plus tard après avoir finis le traitement.
Le plus souvent pendant la chimiothérapie ou dans les jours qui suivent (entre 1 et 5 jours).
Lorsqu’il y a des sites métastatiques multiples.
3 semaines après le traitement par la chimiothérapie.
5. M. K TH âgé de 65 ans, vient vous voir en consultation pour la douleur lombaire très intense avec un déficit sensitive et motrice des 2 membres inférieurs, une constipation depuis 7 jours. Il est en cours d’un traitement hormonal pour son cancer de la prostate découverte depuis 7 mois. Qu’est-ce qu’on voit à la radiographie thoracique dans un syndrome cave supérieur compliqué par une tumeur?
Opacité micronodulaire.
Encombrement des sinus costo diaphragmatique.
Elargissement du médiastin.
Epaississement bronchique.
Opacité retrouvé surtout dans l’apex du poumon droite.
6. M. K TH âgé de 65 ans, vient vous voir en consultation pour la douleur lombaire très intense avec un déficit sensitive et motrice des 2 membres inférieurs, une constipation depuis 7 jours. Il est en cours d’un traitement hormonal pour son cancer de la prostate découverte depuis 7 mois. Comment traiter une thrombose diagnostiquée chez un patient cancéreux ?
Commencer tout d’abord pas Aspirine.
Héparine Bas Poids Moléculaire 200 UI/kg/j (en 1 ou 2 injections SC).
σ Puis Anticoagulant orale SINTROM avec INR > 2,0 et < 3,0.
Anticoagulant orale SINTROM avec INR > 2,0 et < 3,0 puis Héparine Bas Poids Moléculaire 200 UI/kg/j (en 1 ou 2 injections SC).
Héparine Bas Poids Moléculaire 200 UI/kg/j jusqu’à une amélioration.
Héparine Bas Poids Moléculaire 400 UI/kg/j jusqu’à une amélioration.
7. M. K TH âgé de 65 ans, vient vous voir en consultation pour la douleur lombaire très intense avec un déficit sensitive et motrice des 2 membres inférieurs, une constipation depuis 7 jours. Il est en cours d’un traitement hormonal pour son cancer de la prostate découverte depuis 7 mois. Concernant le critère de la gravité de la neutropénie fébrile, le taux des Polynucléaires neutrophiles (≤ 500 - < 1000/mm3) est classé dans quel grade de l’OMS ?
Normal
Grade 1
Grade 2
Grade 3
Grade 4
8. M. K TH âgé de 65 ans, vient vous voir en consultation pour la douleur lombaire très intense avec un déficit sensitive et motrice des 2 membres inférieurs, une constipation depuis 7 jours. Il est en cours d’un traitement hormonal pour son cancer de la prostate découverte depuis 7 mois. Quel est la première question urgente pourra être posé au patient dans le cas d’une suspicion de la neutropénie fébrile suite à une chimiothérapie d’un cancer?
En cas de neutropénie grade 3 ou 4 : Le malade est-il fébrile ?
σ En cas de fièvre : Le malade est-il neutropénique ?
Vous avez quoi comme le type de cancer ?
Quelle est le protocole de la chimiothérapie que vous avez reçu ?
Quand est-ce que vous avez reçu le traitement ?
Est-ce que c’est la première cure de traitement ?
9. M. K TH âgé de 65 ans, vient vous voir en consultation pour la douleur lombaire très intense avec un déficit sensitive et motrice des 2 membres inférieurs, une constipation depuis 7 jours. Il est en cours d’un traitement hormonal pour son cancer de la prostate découverte depuis 7 mois. Quel est le risque principal causer le décès dans la neutropénie fébrile suite à une chimiothérapie d’un cancer?
La déshydratation causée par la fièvre.
σ Choc cardiogénique.
Choc septique.
Choc hypovolémique.
Choc anaphylactique.
10. M. K TH âgé de 65 ans, vient vous voir en consultation pour la douleur lombaire très intense avec un déficit sensitive et motrice des 2 membres inférieurs, une constipation depuis 7 jours. Il est en cours d’un traitement hormonal pour son cancer de la prostate découverte depuis 7 mois. Le recours au Facteurs de croissance hématopoïétiques de manière préventive, prophylaxie secondaire, est indiqué dans quel cas ?
Dès la première cure da la chimiothérapie.
Suite à un épisode de neutropénie fébrile post chimiothérapie.
Avant commencer la chimiothérapie.
S’il y a une demande d’un patient.
Patient à haut risque d’une infection grave.
Quel est la portion du trajet de nerf facial qui est attaint pour l’inflammation de glande parotide?
σ Portion cérébrale
σ Portion intracérébrale
σ Portion intrapétreux
σ Portion extrapétreux
σ Portion angle pontocérébelleux
Quel est la portion du trajet de nerf facial qui est attaint pour la fracture de rocher?
σ Portion cérébrale
σ Portion intracérébrale
σ Portion intrapétreux
σ Portion extrapétreux
σ Portion angle pontocérébelleux
Comment pouvez-vous mettre en evidence une paralysie faciale chez un patient comateux?
σ Signe de Charles Bell
σ Signe des cils de source
σ Manoevre de PirrMarie et Foix
σ Fumer la pipe
σ Asymétrie faciale
Quel examen complémentaire demandez-vous en urgence pour faire le bilan de paralysie faciale périphérique à frigore?
σ IRM cérébrale
σ Scanner cérébrale
σ Consultation ORL
σ Scanner de rocher
σ Radiographe de rocher
Quel est la complication otologique pour la paralysie faciale périphérique?
σ Spasme d’un hémiface gauche
σ Signe de Larme en crocodile
σ Choléstéatome
σ Hyperacousie
σ Hypoacousie
Quel étiologie ne peut être associé à une paralysie faciale périphérique?
σ Tumeur cérébrale
σ Tumeur de la parotïde
σ Traumatisme crânien
σ Otite moyenne aiguë
σ Hématome sous durale
Quel est l’étiologie le plus fréquence de paralysie faciale périphérique?
σ Paralysie à frigore
σ Traumatique
σ Infectieuse
σ Otologique
σ Maladie systémique
Quel est le signe d’inspection retrouvé habituellement devant une paralysie faciale périphérique?
σ Effacement des rides du front
σ Sourcil abaissé
σ Raréfraction du clignement
σ Effacement du ligne nasogénien
σ Lagophtalmie
Comment on peut différencier la paralysie faciale périphérique et central? Paralysie faciale périphérique:
σ Touche le territoire inférieur
Touche le territoire inférieur que le supérieur
σ Dissociation automatico-volontaire
σ Pas de Dissociation automatico-volontaire
σ Déficit moteur homogène
Quand on ne fait pas de TDM/IRM cérébrale devant paralysie faciale périphérique?
σ Paralysie faciale périphérique isolée
σ Présence de signe neurologique de localisation
σ Forme progressive ou récidivant
σ Formes graves non régressive
σ Forme syndromique
Comment pouvez-vous mettre en evidence une paralysie faciale chez un patient comateux?
Signe de Charles Bell
Signe des cils de source
Manoevre de Pirre-Marie et Foix
Fumer la pipe
Asymétrie faciale
Quel examen complémentaire demandez-vous en urgence pour faire le bilan de paralysie faciale périphérique à frigore?
IRM cérébrale
Scanner cérébrale
Consultation ORL
Scanner de rocher
Radiographe de rocher
Quel est la complication otologique pour la paralysie faciale périphérique?
Spasme d’un hémiface gauche
Signe de Larme en crocodile
Choléstéatome
Hyperacousie
Hypoacousie
Quel étiologie ne peut être associé à une paralysie faciale périphérique?
Tumeur cérébrale
Tumeur de la parotïde
Traumatisme crânien
Otite moyenne aiguë
Hématome sous durale
Quel est l’étiologie le plus fréquence de paralysie faciale périphérique?
Paralysie à frigore
Traumatique
Infectieuse
Otologique
Maladie systémique
Quel est le signe d’inspection retrouvé habituellement devant une paralysie faciale périphérique?
Effacement des rides du front
Sourcil abaissé
Raréfraction du clignement
Effacement du ligne nasogénien
Lagophtalmie
Comment on peut différencier la paralysie faciale périphérique et central? Paralysie faciale périphérique:
Touche le territoire inférieur
Touche le territoire inférieur que le supérieur
Dissociation automatico-volontaire
Pas de Dissociation automatico-volontaire@
Déficit moteur homogène
Quand on ne fait pas de TDM/IRM cérébrale devant paralysie faciale périphérique?
Paralysie faciale périphérique isolée
Présence de signe neurologique de localisation
Forme progressive ou récidivant
Formes graves non régressive
Forme syndromique
1. Mademoiselle TEANG Bopha , âge de 25 ans , vient consulter pour le suivi de sa maladie asthmatiqu Son asthme est connu dès l’enfance à l’âge de 9 ans , découvert par une symptomatologie de toux nocturne , des crises dyspnéiques typiques lors de week-end à la campagne , ou à l’effort. Le bilan initial mettait en évidence un terrain atopique , une allergie aux pollens et aux phanères de chat . Il n’y a pas d’arguments cliniques pour un reflux gastro-oesophagien . Quel est le facteur déclenchant de son asthme bronchique ?
Atmosphère chaud
Facteur psychologique
Infection respiratoire
Pollens végétaux
Reflux gastro-oesophagien
2. Mademoiselle TEANG Bopha , âge de 25 ans , vient consulter pour le suivi de sa maladie asthmatiqu Son asthme est connu dès l’enfance à l’âge de 9 ans , découvert par une symptomatologie de toux nocturne , des crises dyspnéiques typiques lors de week-end à la campagne , ou à l’effort. Le bilan initial mettait en évidence un terrain atopique , une allergie aux pollens et aux phanères de chat . Il n’y a pas d’arguments cliniques pour un reflux gastro-oesophagien . Un argument clinique typique de la crise d’asthme de Mlle TEANG Bopha est :
Dyspnée diurne
Dyspnée nocturne
Fièvres et frissons
Hémoptysies répétées
Secousses de toux sèches
3. Mademoiselle TEANG Bopha , âge de 25 ans , vient consulter pour le suivi de sa maladie asthmatiqu Son asthme est connu dès l’enfance à l’âge de 9 ans , découvert par une symptomatologie de toux nocturne , des crises dyspnéiques typiques lors de week-end à la campagne , ou à l’effort. Le bilan initial mettait en évidence un terrain atopique , une allergie aux pollens et aux phanères de chat . Il n’y a pas d’arguments cliniques pour un reflux gastro-oesophagien . Quel test doit être fait pour affirmer un terrain atopique spécifique aux pollens pour cet asthme bronchique ?
Hémogramme-VS
Sérologie dans le sang
Transaminases dans le sang
Test épicutané anti-pollens
Test IDR
4. Mademoiselle TEANG Bopha , âge de 25 ans , vient consulter pour le suivi de sa maladie asthmatiqu Son asthme est connu dès l’enfance à l’âge de 9 ans , découvert par une symptomatologie de toux nocturne , des crises dyspnéiques typiques lors de week-end à la campagne , ou à l’effort. Le bilan initial mettait en évidence un terrain atopique , une allergie aux pollens et aux phanères de chat . Il n’y a pas d’arguments cliniques pour un reflux gastro-oesophagien . Un signe clinique marquant une urgence thérapeutique de la crise d’asthme est :
Bradypnée
Cyanose
Polypnée
Tirage
Sueurs
Mademoiselle TEANG Bopha , âge de 25 ans , vient consulter pour le suivi de sa maladie asthmatiqu Son asthme est connu dès l’enfance à l’âge de 9 ans , découvert par une symptomatologie de toux nocturne , des crises dyspnéiques typiques lors de week-end à la campagne , ou à l’effort. Le bilan initial mettait en évidence un terrain atopique , une allergie aux pollens et aux phanères de chat . Il n’y a pas d’arguments cliniques pour un reflux gastro-oesophagien . Le traitement de la crise d’asthme simple fait habituellement appel aux :
Antidégranulants ( Lomudal )
Bêta 2-mimétiques en spray
Corticoïdes inhalés ( Bécotide 250 )
Corticoïdes retards par IM
Corticoïdes par voie parentérale E
sur l’asthme L’asthme aigu grave se définit par :
Dyspnée avec anémie sévère
Dyspnée avec asphyxie
Dyspnée avec toux
Dyspnée avec sibilance
σ Dyspnée avec hémoptysies
7. Sur l’asthme Au cours d’asthme aigu grave , un seul des signes suivants n’est pas observé ?
Diminution de murmure vésiculaire
Expectoration abondante
Polypnée importante
Signes de cœur pulmonaire aigu
Troubles de conscience
sur l’asthme Devant une suspicion de crise d’asthme aux urgences , quel examen paraclinique demandez-vous en urgence ?
Épreuves fonctionnels respiratoires
Gaz du sang artériel
Mesure des Ig E toaux
Numération de formule sanguine
Test allergique percutané
sur l’asthme Un asthme est souvent aggravé par l’administration de :
Atropine
Bêta-bloquant
Cycline
Paracétamol
Pénicilline
10. Sur l’asthme Quelle stratégie thérapeutique doit-on traiter immédiatement de l’asthme aigu grave ?
Antibiotique par voie parentérale
Bronchodilatateurs par nébulisation
Corticoïdes par voie intra-veineuse
Radiographie pulmonaire
Tonicardiaque par voie parentérale
11. Un homme de 65 ans est atteint d’une insuffisance respiratoire chroniquDepuis l’âge de 21 ans , il fume 2 paquets de cigarettes par jour. Depuis 25 ans , il tousse et crache fréquemment en accompagnant d’une dyspnée d’effort progressivement augmentéActuellement il ne peut monter qu’une dizaine de marches environ. Les épreuves fonctionnelles respiratoires effectuées montrent : VEMS : 1 200ml (val. Théorique : 2 500ml), CV : 2 400ml ( val. Théo. :3 200ml) , CPT : 6 000ml (val.Théo. :5 000ml) .Les gaz du sang artériels sont : PaO2 : 54 mmHg , PaCO2 : 45 mmHg , pH : 7,41 , SaO2 : 90% , bicarbonates : 32 mmol/l . Une cause de l’insuffisance respiratoire chronique est fréquemment rencontrée au Cambodge :
Diabète sucré de type II avec obésité
Insuffisance cardiaque d’origine valvulaire
Insuffisance rénale d’origine infectieuse
Insuffisance respiratoire obstructive par tabac
Œdème du poumon hémodynamique
12. Un homme de 65 ans est atteint d’une insuffisance respiratoire chroniquDepuis l’âge de 21 ans , il fume 2 paquets de cigarettes par jour. Depuis 25 ans , il tousse et crache fréquemment en accompagnant d’une dyspnée d’effort progressivement augmentéActuellement il ne peut monter qu’une dizaine de marches environ. Les épreuves fonctionnelles respiratoires effectuées montrent : VEMS : 1 200ml (val. Théorique : 2 500ml), CV : 2 400ml ( val. Théo. :3 200ml) , CPT : 6 000ml (val.Théo. :5 000ml) .Les gaz du sang artériels sont : PaO2 : 54 mmHg , PaCO2 : 45 mmHg , pH : 7,41 , SaO2 : 90% , bicarbonates : 32 mmol/l . Une insuffisance respiratoire chronique a un tableau clinique caractéristique comme ci-dessous :
Toux-expectorations avec cyanose
Toux-expectorations avec fièvre prolongée
Toux-expectoration avec dyspnée progressive
Toux avec expectorations muco-sanglantes
Toux sèches avec douleur thoracique
13. Un homme de 65 ans est atteint d’une insuffisance respiratoire chroniquDepuis l’âge de 21 ans , il fume 2 paquets de cigarettes par jour. Depuis 25 ans , il tousse et crache fréquemment en accompagnant d’une dyspnée d’effort progressivement augmentéActuellement il ne peut monter qu’une dizaine de marches environ. Les épreuves fonctionnelles respiratoires effectuées montrent : VEMS : 1 200ml (val. Théorique : 2 500ml), CV : 2 400ml ( val. Théo. :3 200ml) , CPT : 6 000ml (val.Théo. :5 000ml) .Les gaz du sang artériels sont : PaO2 : 54 mmHg , PaCO2 : 45 mmHg , pH : 7,41 , SaO2 : 90% , bicarbonates : 32 mmol/l . Parmi les propositions ci-dessous , laquelle est associée à l’hypoxémie chronique ?
Accident vasculaire cérébrale
Hypertension artérielle systémique
Œdème pulmonaire hémodynamique
Polyglobulie post-tabagique
Troubles des équilibres hydro-électrolytiques
14. Un homme de 65 ans est atteint d’une insuffisance respiratoire chroniquDepuis l’âge de 21 ans , il fume 2 paquets de cigarettes par jour. Depuis 25 ans , il tousse et crache fréquemment en accompagnant d’une dyspnée d’effort progressivement augmentéActuellement il ne peut monter qu’une dizaine de marches environ. Les épreuves fonctionnelles respiratoires effectuées montrent : VEMS : 1 200ml (val. Théorique : 2 500ml), CV : 2 400ml ( val. Théo. :3 200ml) , CPT : 6 000ml (val.Théo. :5 000ml) .Les gaz du sang artériels sont : PaO2 : 54 mmHg , PaCO2 : 45 mmHg , pH : 7,41 , SaO2 : 90% , bicarbonates : 32 mmol/l . Quelle est le contexte de gravité de l’insuffisance respiratoire ?
Dyspnée + Hypoxémie avec hypercapnie
Dyspnée + Hypoxémie avec normocapnie
Dyspnée + Hypoxémie avec hypocapnie
Dyspnée + Normoxémie avec hypercapnie
Dyspnée + Normoxémie avec hypocapnie
15. Un homme de 65 ans est atteint d’une insuffisance respiratoire chroniquDepuis l’âge de 21 ans , il fume 2 paquets de cigarettes par jour. Depuis 25 ans , il tousse et crache fréquemment en accompagnant d’une dyspnée d’effort progressivement augmentéActuellement il ne peut monter qu’une dizaine de marches environ. Les épreuves fonctionnelles respiratoires effectuées montrent : VEMS : 1 200ml (val. Théorique : 2 500ml), CV : 2 400ml ( val. Théo. :3 200ml) , CPT : 6 000ml (val.Théo. :5 000ml) .Les gaz du sang artériels sont : PaO2 : 54 mmHg , PaCO2 : 45 mmHg , pH : 7,41 , SaO2 : 90% , bicarbonates : 32 mmol/l . Quels est la durée quotidienne de l’oxygénothérapie à domicile d’une insuffisance respiratoire chronique ?
σ 4 à 6 heures
6 à 8 heures
8 à 10 heures
10 à 12 heures
> 12 heures
16. Sur l’insuffisance respiratoire L’insuffisance respiratoire aiguë est définie par :
Une polypnée respiratoire brutale
Une hypotension artérielle
Une caverne sur la radiographie pulmonaire
Une hypoxémie PaO2 < 60 mmHg
Une hyperleucocytose sur l’hémogramme
17. Sur l’insuffisance respiratoire Quel est le signe clinique montrant une insuffisance respiratoire aiguë ?
Bradypnée
Fièvres
Frissons
Polypnée
Cyanose
18. Sur l’insuffisance respiratoire Quel est l’examen complémentaire à demander pour affirmer une insuffisance respiratoire aiguë ?
Cholestérolémie
Gaz du sang artériel
Hémoculture
Numération de formule sanguine
Vitesse de sédimentation sanguine
sur l’insuffisance respiratoire Quel est le contexte clinique de gravité de l’insuffisance respiratoire ?
Cyanose + Polypnée
Cyanose + Hyperleucocytose
Cyanose + PaO2 < 65 mmHg
Cyanose + pH < 7,30
Cyanose + Hypoglycémie
sur l’insuffisance respiratoire Quel mode d’inhalation vous semble le mieux adapté dans l’oxygénothérapie d’une insuffisance respiratoire aiguë ?
Cathéter transtrachéal
Lunette nasale
Masque naso-baccale
Sonde nasopharyngée
Trachéotomie
21. Mme KOLAP , âgée de 45 ans , domiciliée à Saang de la province de Kandal , est adressée aux urgence pour troubles de conscience récente avec une fièvre majeure . L’examen initial montre : température à 40oC , TA :80/35 mmHg , FC : 135/mn ,FR : 28/mn SpO2 : 91% , glycémie capillaire : 16 mmol/l (N : 3,9 -5,6) . La patiente est ininterrogeable , ses propos sont confus .A la stimulation douloureuse , la patiente réagit de manière adaptée . Il n’existe pas de signe de localisation , ni de raideur méningée . On note une cyanose des extrémités et des marbrures des genoux .L’auscultation cardiaque et pulmonaire est normale .L’abdomen est un peu distendu , douloureux . Il n’y a pas d’éruption , ni de lésion cutanée . La bandelette urinaire montre : glycosurie ( + ), présence de leucocytes et de nitrites Quelle est la principale porte d’entrée de cette septicémie probablement à pneumocoque ?
Porte d’entrée cutanée
Porte d’entrée digestive
Porte d’entrée pulmonaire
Porte d’entrée urinaire
Porte d’entrée sexuelle
Mme KOLAP , âgée de 45 ans , domiciliée à Saang de la province de Kandal , est adressée aux urgence pour troubles de conscience récente avec une fièvre majeure . L’examen initial montre : température à 40oC , TA :80/35 mmHg , FC : 135/mn ,FR : 28/mn SpO2 : 91% , glycémie capillaire : 16 mmol/l (N : 3,9 -5,6) . La patiente est ininterrogeable , ses propos sont confus .A la stimulation douloureuse , la patiente réagit de manière adaptée . Il n’existe pas de signe de localisation , ni de raideur méningée . On note une cyanose des extrémités et des marbrures des genoux .L’auscultation cardiaque et pulmonaire est normale .L’abdomen est un peu distendu , douloureux . Il n’y a pas d’éruption , ni de lésion cutanée . La bandelette urinaire montre : glycosurie ( + ), présence de leucocytes et de nitrites Le diagnostic de sepsis sévère repose sur des syndromes et des signes suivants mais cochez-vous ceux qui n’existent pas dans ce cas ?
Cyanose des extrémités , marbrures des genoux
Fièvre majeure à 40oC , frissons
Hypotension artétrielle, tachycardie
Râles crépitants , sous crépitants et arythmie à l’auscultation
Somnolence , polypnée à FR : 28/mn
23. Mme KOLAP , âgée de 45 ans , domiciliée à Saang de la province de Kandal , est adressée aux urgence pour troubles de conscience récente avec une fièvre majeure . L’examen initial montre : température à 40oC , TA :80/35 mmHg , FC : 135/mn ,FR : 28/mn SpO2 : 91% , glycémie capillaire : 16 mmol/l (N : 3,9 -5,6) . La patiente est ininterrogeable , ses propos sont confus .A la stimulation douloureuse , la patiente réagit de manière adaptée . Il n’existe pas de signe de localisation , ni de raideur méningée . On note une cyanose des extrémités et des marbrures des genoux .L’auscultation cardiaque et pulmonaire est normale .L’abdomen est un peu distendu , douloureux . Il n’y a pas d’éruption , ni de lésion cutanée . La bandelette urinaire montre : glycosurie ( + ), présence de leucocytes et de nitrites Quel examen complémentaire indispensable pour affirmer les germes en cause demandez-vous devant la septicémie ?
Coproculture et API
ECG en cas de tachycardie
Hémocultures , ECBU
Hémogramme et Gaz du sang
Scanner cérébral en cas de confusion
24. Mme KOLAP , âgée de 45 ans , domiciliée à Saang de la province de Kandal , est adressée aux urgence pour troubles de conscience récente avec une fièvre majeure . L’examen initial montre : température à 40oC , TA :80/35 mmHg , FC : 135/mn ,FR : 28/mn SpO2 : 91% , glycémie capillaire : 16 mmol/l (N : 3,9 -5,6) . La patiente est ininterrogeable , ses propos sont confus .A la stimulation douloureuse , la patiente réagit de manière adaptée . Il n’existe pas de signe de localisation , ni de raideur méningée . On note une cyanose des extrémités et des marbrures des genoux .L’auscultation cardiaque et pulmonaire est normale .L’abdomen est un peu distendu , douloureux . Il n’y a pas d’éruption , ni de lésion cutanée . La bandelette urinaire montre : glycosurie ( + ), présence de leucocytes et de nitrites Quel est le signe caractéristique indiquant la gravité de la septicémie ?
Fièvre majeure avec frissons
Hypotension avec confusion
Oligurie avec douleur abdominale
Polypnée avec rythme normal
Tachycardie avec rythme régulier
25. Mme KOLAP , âgée de 45 ans , domiciliée à Saang de la province de Kandal , est adressée aux urgence pour troubles de conscience récente avec une fièvre majeure . L’examen initial montre : température à 40oC , TA :80/35 mmHg , FC : 135/mn ,FR : 28/mn SpO2 : 91% , glycémie capillaire : 16 mmol/l (N : 3,9 -5,6) . La patiente est ininterrogeable , ses propos sont confus .A la stimulation douloureuse , la patiente réagit de manière adaptée . Il n’existe pas de signe de localisation , ni de raideur méningée . On note une cyanose des extrémités et des marbrures des genoux .L’auscultation cardiaque et pulmonaire est normale .L’abdomen est un peu distendu , douloureux . Il n’y a pas d’éruption , ni de lésion cutanée . La bandelette urinaire montre : glycosurie ( + ), présence de leucocytes et de nitrites Le critère du traitement préventif individuel pour éviter la septicémie est :
Antibiothérapie prolongée
Hospitalisation au service spécialisé
Mesures strictes d’asepsie
Répétition des hémocultures de contrôle
Répétition de radio-pulmonaire de contrôle
sur la septicémie/le choc septique Parmi les propositions suivantes , lesquelles sont exactes ?
En cas de sepsis sévère , une antibiothérapie doit être mise en place après l’identification du micro-organisme sur les prélèvements réalisés.
Le choc septique est défini , au cours d’un sepsis sévère , par une hypotension artérielle ne répondant pas au remplissage vasculaire
L’existance d’une oligo-anurie , des troubles de conscience ou d’une polypnée sont , chez un patient en état de choc , spécifiques d’origine infectieuse
Un choc septique avec douleur lombaire évoque une pyélonéphrite avec tension artérielle normale
Un choc septique associé à un purpura extensif et nécrotique évoque en premier lieu une endocardite infectieuse
27. Sur la septicémie/le choc septique Quel est le signe clinique typique du choc septique ?
Cyanose des extrémités
Dyspnée respiratoire
Fièvre majeure
Hypotension artérielle
Tachycardie sinusale
28. Sur la septicémie/le choc septique Quel est l’examen complémentaire indispensable et urgent dans le choc septique ?
Hémogramme
Hémoculture
Ionogramme
Rx thorax
Scanner E
29. Sur la septicémie/le choc septique Quel est le signe clinique que l’on doit utiliser tout de suite des antibiotiques sans attendre les résultats paracliniques devant un état septicémique ?
Anurie avec douleur abdominale
État de confusion mentale
Fièvre majeure To > 40o
Polypnée FR > 30/mn
Tachycardie FC > 120/mn
30. Sur la septicémie/le choc septique L’antibiothérapie dans le traitement d’un état septique sévère , indiquez la proposition fausse ?
Double ou triple
Par voie parentérale
Synergique et bactéricide
En attendant les résultats de l’antibiogramme
Donnée tout de suite sur les germes suspectés
Définir la septicémie ?
Céphalées + Convulsion
Frissons + Tachycardie
Fièvre + Hyperleucocytose
Hypotension + Polypnée
Cyanose + Sueurs
Qu’est-ce que c’est le choc septique ?
Hypotension artérielle + état comateux
Hypotension artérielle + Fièvre avec frissons
Hypotension artérielle + Hyperleucocytose
Sepsis sévère + Hypotension malgré remplissage vasculaire
Hypotension artérielle + Polypnée avec cyanose .
Quelle est l’affirmation exacte concernant les sepsis bactériémiques à bacille à Gram négatif ?
Ne sont jamais d’origine hospitalière
La porte d’entrée est souvent cutanée
La plus redoutable de leurs complications est le choc septique
L’ictère est un symptôme constant
L’hyperleucocytose est toujours constant .
Le diagnostic de certitude d’une septicémie repose sur :
Les signes fonctionnels
Les signes physiques
La numération de formule sanguine
Le bilan sérologique
Les hémocultures .
Quelle est la principale porte d’entrée des septicémies à bacille Gram négatif ?
Porte d’entrée cutanée
Porte d’entrée digestive
Porte d’entrée urinaire
Porte d’entrée sexuelle
Toutes les portes d’entrée .
Quelle est la principale porte d’entrée des septicémies à cryptococcose ?
Porte d’entrée cutanée
Porte d’entrée digestive
Porte d’entrée urinaire
Porte d’entrée pulmonaire
Porte d’entrée sexuelle .
L’endotoxine bactérienne :
Est une substance thermolabile
Est un constituant présent chez toutes les bactéries
Provoque la formation d’anticorps protecteurs
Est libérée seulement par la lyse bactérienne
Est responsable de diarrhées toxiniques .
Lors d’une infection invasive bactérienne à pyogène, quelle est l’anomalie biologique sanguine observée ?
Anémie hémolytique
Anémie macrocytaire
Polynucléose neutrophile
Éosinophilie
Lymphocytose .
La prévention individuelle , le plus mieux chez le sujet âgé , pour éviter la septicémie est :
Hospitalisation au service spécialisé
Antiseptiques préventifs
Antibioprophylaxie
Examen biologique de surveillance
Application de la vaccination .
En présence d’orientation étiologique , quelle est l’antibiothérapie non recommandée en cas d’état septique ?
En contexte communautaire : C3G + Aminoside
En contexte nosocomial : Bêta-lactamine large spectre + Aminoside
Une seule antibiothérapie mais à forte dose
En cas de suspicion d’anaérobies : + Métronidazole
En cas de suspicion de staphylocoque doré : + Glycopeptide
La fréquence respiratoire normale chez sujet sain est comprise entre :
8 à 12 mouvements / minute
12 à 16 mouvements / minute
16 à 20 mouvements / minute
20 à 25 mouvements / minute
25 à 30 mouvements / minute
Le syndrome de détresse respiratoire aigu est basé sur :
Polypnée
Bradypnée
Hypotension artérielle
PaO2 < 60 mmHg
Hyperleucocytose .
Quelle est le signe associé à l’hypoxémie chronique ?
Hypertension artérielle
Dyspnée
Palpitation
Hyperleucocytose
Polyglobulie .
Les signes cliniques graves de l’insuffisance aiguë est :
Dyspnée + FC > 120 /mn
Palpitation + FR > 30 /mn
Cyanose + Sueurs
Fièvre à 40oC + Frissons
Tachycardie + tirage .
Au cours d’une BPCO évoluée, quel est le critère le plus fiable pour indiquer une oxygénothérapie à domicile à faible débit de 15 h / jour ?
Dyspnée d’effort invalidante
Cyanose permanente des extrémités
Un VEMS/CV inférieur à 30%
Un VEMS inférieur à 1000ml
Une PaO2 à l’état stable inférieur à 55 mmHg .
Lors d’une embolie pulmonaire de moyenne gravité , l’examen du gaz du sang montre :
Une hypoxémie avec hypercapnie
Une hypoxémie avec normocapnie
Une hypoxémie avec hypocapnie
Une normoxémie avec hypercapnie
Aucune de ces perturbations .
La prise en charge thérapeutique d’une détresse respiratoire aiguë est :
Hospitalisation au service spécialisé
Antibiothérapie à large spectre
Tonicardiaque injectable
Corticoïde injectable
Oxygénothérapie à haute concentration .
Quel mode d’inhalation vous semble le mieux adapté dans l’oxygénothérapie d’une insuffisance respiratoire chronique ?
Masque bucco-nasal
Sonde naso-pharyngée
Lunettes nasales
Cathéter transtrachéal
Autres réponses .
Quel débit de l’oxygénothérapie utilisez-vous dans l’insuffisance respiratoire chronique ?
0,5 à 1 litre/mn
1 à 2 litre/mn
2 à 4 litre/mn
4 à 8 litre/mn
8 à 12 litre/mn
Quel débit de l’oxygénothérapie utilisez-vous dans l’insuffisance respiratoire aiguë ?
0,5 à 1 litre/mn
1 à 2 litre/mn
2 à 4 litre/mn
4 à 6 litre/mn
6 à 12 litre/mn
Quel est le signe clinique caractéristique de l’asthme ?
La fièvre prolongée
La dyspnée respiratoire
Des sibilants à l’auscultation
Des crépitants à l’auscultation
Des hémoptysies répétées
Un seul signe physique caractéristique montre la gravité de l’asthme :
Des râles crépitants et sous crépitants
Des râles sibilants et ronflants
La silence à l’auscultation
La polypnée respiratoire
Des toux avec expectorations
Devant un asthme aigu grave , quel l’examen paraclinique demandez-vous en urgence ?
La radiographie pulmonaire
La mesure du débit de pointe
Les épreuves fonctionnelles respiratoires
La mesure des IgE totaux
La mesure de gaz du sang artériel .
La confirmation du diagnostic d’un asthme repose sur des critères suivants :
Fonctionnels
Cliniques
Radiologiques
Biologiques
Fonctionnels et radiologiques .
En cas de crise d’asthme , quelle est la thérapeutique la plus rapide efficace ?
Injection IV d’hémisuccinate d’hydrocortisone
Injection IV de théophylline
Une bouffée de bêta 2-mimétique en spray
Une bouffée de chromoglycate de sodium
Quel est le médicament de base utilisé dans le traitement de fond de l’asthme ?
Oxitropium bromure
Bricanyl inhaler
Ventoline spray
Corticoïdes inhalées
Théophylline en comprimé .
Quel est le médicament de base utilisé dans le traitement de la crise d’asthme ?
Antibiotiques
Antiallergiques
Corticoïdes
Bronchodilatateurs
Analgésiques .
La posologie moyenne utilisée chez l’adulte non tabagique pour obtenir une théophyllinémie dans la zône d’efficacité préventive est d’environ :
3 à 6 mg/kg/j.
6 à 10 mg/kg/j
10 à 15 mg/kg/j
15 à 25 mg/kg/j
25 à 30 mg/kg/j
Parmi les propositions suivantes , laquelle est une contre-indication à la théophylline ?
Enfant d’âge inférieur à 30 mois
Insuffisance cardiaque
Insuffisance rénale
Myasthénie
Antécédents comitiaux .
Le traitement d’une crise d’asthme simple fait habituellement appel aux :
Corticoïdes inhalées (Bécotide 250)
Corticoïdes retards par IM
Bêta2-mimétiques en spray
Antidégranulants (Lomudal)
Corticoïdes par voie parentérale
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